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Objectifs
- Etude de la composition spectrale des sources mono chromatique : bleu, vert et rouge
-Etude de l’impact des verres ophtalmique bleue-block sur la transmission de la lumière bleu.
La spectroscopie
Un spectroscope est un appareil qui permet de décomposer une lumière pour les chromatique
on s'est diverses composantes monochromatique.
Le spectroscope à prisme
C’est un dispositif plus élaboré que celui de l'expérience décrite la source lumineuse S éclair
une fente fine, F, parallèle à l'arête du prisme (perpendiculaire au plan de la figure). Cette fente
est déplacée au niveau du foyer objet d'un système optique équivalent à une lentille mince
convergente L1, le prisme reçoit ainsi les faisceaux de rayon parallèle.
Une lumière rouge, composante de la lumière émise par s subi une déviation Dr à travers le
prix. La lentille L majuscule reçoit des faisceaux de rayon parallèle, elle fait converger la
lumière rouge suivant un trait air parallèle à l'arête du prisme, si tu es au niveau du foyer des
images de L2.
De même, une lumière violette subit une déviation de vie supérieure à dire et convergent suivant
un très vite situé à la même distance de L2 que R. sur un écran E on observe le spectre de la
lumière émise par S (dans notre exemple, cette lumière a deux composantes monochromatique,
son spectre a de Raies).
Si nous remplaçons l'écran par un film en photographie le spectre (on a ainsi la possibilité de
détecter les radiations infrarouges et ultraviolette émise par la source, en utilisant un film
sensible à ses radiations). L’appareil s'appelle alors un spectrographe.
**/Lumière blanche
Une source de lumière blanche éclaire une fente F. Avec une lentille convergente, on
forme l’image de cette fente sur un écran. On interpose le prisme de verre d’indicez n
sur le trajet de la lumière. Le faisceau lumineux est alors dévié vers la base du prisme,
et nous voyons apparaître une plage continue aux couleurs de l'arc en ciel, dans laquelle
on distingue successivement : le rouge, l'orangé, le jaune, le vert, le bleu, l'indigo et le
violet, l'ensemble de ces couleurs constitue le spectre de la lumière blanche.
Le terme de lumière « bleue » dont parlent les opticiens fait référence à la partie du spectre de
la lumière qui s’étend entre 400 nm et 500 nm, donc à l’ensemble des courtes longueurs d’onde
visibles.
Notons que cette dénomination peut prêter à confusion, car cet intervalle recouvre en réalité les
composantes monochromatiques perçues par l’œil de couleur bleue, mais aussi violette (en
dessous de 430 nm environ) et cyan (au-dessus de 480 nm environ).
Réalisation de l’expérience
En changeant à chaque fois le type de la source lumineuse : blanche, LED (rouge vert et bleu) ;
à l’aide de la caméra d’un smartphone on prend la photo apparue sur l’oculaire d’une lunette de
visée de spectre des faisceaux dispersés par le prisme de chaque type de lumière, cette lunette
se trouve sur un bras fixé sur un goniomètre tournant autour d’un axe placé sur le trajet de la
lumière.
- Dans un premier temps on utilise les sources lumineuses seule puis on intercale des
filtres (rouge bleu orange vert et jaune)
- On intercale en présence la lumière blanche une fois une lentille ophtalmique ordinaire
et une autre fois une lentille Blue-block Et en fin on compare l’intensité des spectres
obtenus en scannant les photos à l’aide de logiciel.
On remarque que le filtre vert a augmenté l’intensité de la lumière verte et de la lumière bleue et il a
causé la diminution de celle de la lumière rouge. En présence de filtre rouge et orange on remarque
une augmentation de l’intensité de la lumière rouge surtout et en deuxième position celle de la
lumière verte.
c/LED vert
Conclusion :
Finalement, ce TP nous a permis d’étudier le spectre d’émission de la lumière blanche de
différentes sources lumineuses artificielles. D’autre part, en utilisant la spectroscopie on a pu
étudier l’effet des traitements anti-lumière bleue proposés par les opticiens bleue sur la lumière.