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LES IMPLANTS DE MICRO-PUCES, LE CONTROLE MENTAL, LA

CYBERNÉTIQUE ET LA PSYCHOTRONIQUE...

3 Juin 2014 , Rédigé par Nicolas Méchin

Publié dans #Documentation

par Rauni-Leena Luukanen-Kilde, docteur en médecine, ex-officier médical en chef de la


Finlande.

En 1948, Norbert Weiner a édité un livre, "CYBERNETICS" , que l'on a définie comme une
théorie de communication et de contrôle neurologique, déjà en vigueur dans de petits cercles, en
ce temps-là. Yoneji Masuda, le "père de la société de l'information," a, en 1980, clamé haut et
fort sa préoccupation de voir notre liberté menacée, de façon orwellienne, par la technologie de
la cybernétique, totalement inconnue de la plupart des gens.

Cette technologie relie les cerveaux des gens, par l'intermédiaire d'implants de micro-puces , aux
satellites contrôlés par des ordinateurs géants basés au sol. Les premiers implants cérébraux
furent chirurgicalement insérés en 1974, dans l'état de l'Ohio, aux États-Unis, et également à
Stockholm, en Suède. Des électrodes cérébrales furent insérées dans le crâne de bébés, en
1946, à l'insu de leurs parents. Dans les années 50 et 60, des implants électriques furent insérés
dans les cerveaux d'animaux et d'êtres humains, particulièrement aux États-Unis, lors de la
recherche sur la modification du comportement, et sur le fonctionnement du cerveau et du corps.
Des méthodes de contrôle mental furent employées dans des tentatives de modifier le
comportement et les attitudes d'êtres humains. Influencer les fonctions cérébrales devint un but
majeur de l'armée et des services de l'intelligence.

Il y a trente ans, les implants, d'1 centimètre de taille, furent découverts dans les radiographies.
Les implants suivants rétrécirent pour atteindre la taille d'un grain de riz. Ils étaient faits de
silicium, et plus tard encore, d'arséniure de gallium. De nos jours, ils sont assez petits pour être
insérés dans le cou ou dans le dos, et également en intraveineuse, dans différentes parties du
corps, pendant des opérations chirurgicales, avec ou sans le consentement du sujet.

Aujourd'hui, il est quasi impossible de les détecter ou de les enlever. Il est techniquement
possible que l'on injecte à chaque nouveau-né une puce, qui pourrait alors fonctionner pour
identifier la personne, le restant de sa vie. De tels projets sont discutés en secret aux États-Unis,
sans aucune diffusion publique des problèmes que cela implique pour le respect de la vie privée
.

En Suède, le premier ministre Olof Palme donna la permission en 1973 d'implanter les
prisonniers, et l'ex-Directeur Général Jan Freese révéla que des patients dans les maisons de
retraite avaient été implantés, vers le milieu des années 80. La technologie est révélée, dans le
rapport officiel suédois 1972:47, STATENS OFFICIELLA UTRADNINGER (SOU). Des êtres
humains implantés peuvent être suivis n'importe où. Leurs fonctions cérébrales peuvent alors
être surveillées à distance par des super ordinateurs et même être altérées par le changement
des fréquences.
Les cobayes utilisés dans des expériences secrètes inclurent des prisonniers, des soldats, des
patients atteints de maladies mentales, des enfants handicapés, des personnes sourdes et
aveugles, des homosexuels, des femmes célibataires, des personnes âgées, des écoliers et
n'importe quel groupe de personnes considérées comme "marginales", par les expérimentateurs
de l'élite. Les expériences publiées sur des prisonniers de la prison d'état de l'Utah, par exemple,
sont choquantes pour la conscience. Les micro-puces d'aujourd'hui fonctionnent au moyen
d'ondes radio de basse fréquence qui les ciblent.

À l'aide des satellites, la personne implantée peut être pistée, n'importe où, sur la planète. Une
telle technique figurait, parmi un certain nombre de techniques testées pendant la guerre d'Irak,
selon le Dr. Carl Sanders, qui a inventé l'interface biotique équipée d'intelligence(IMI), injectée
dans des êtres humains. (Auparavant, pendant la guerre du Vietnam, des soldats furent injectés
avec la "puce Rambo", conçue pour augmenter l'écoulement d'adrénaline dans la circulation
sanguine.) Les super ordinateurs de la National Security Agency des Etats-Unis (NSA) capables
de calculer 20 milliards de bits par seconde pourraient, à présent, "voir et entendre" ce que les
soldats éprouvent sur le champ de bataille, avec un système de télésurveillance (remote
monitoring system ou RMS).

Lorsqu'une puce de 5 micro-millimètres de diamètre (le diamètre d'un brin de cheveux est de 50
micromillimètres) est placée dans le nerf optique de l'oeil, elle capte les impulsions neurales du
cerveau qui incarnent les expériences, les odeurs, la vue et la voix de la personne implantée.
Une fois transférées et entreposées dans un ordinateur, ces neuro-impulsions peuvent être
renvoyées au cerveau de la personne, par l'intermédiaire de la puce, pour permettre le
renouvellement de telles expériences.

En utilisant un système de télésurveillance (RMS), un opérateur d'ordinateur basé au sol peut


envoyer des messages électromagnétiques (encodés comme des signaux) au système nerveux,
affectant la performance de la cible. Avec le RMS, des personnes en bonne santé peuvent être
amenées à voir des hallucinations et à entendre des voix dans leur tête. Chaque pensée,
réaction, audition et observation visuelle provoque un certain potentiel neurologique, des pics et
des modèles dans le cerveau et ses champs électromagnétiques, qui peuvent à présent être
décodés en pensées, images et voix.

La stimulation électromagnétique peut donc modifier les ondes cérébrales d'une personne et
affecter l'activité musculaire, provoquant des crampes musculaires douloureuses vécues comme
une torture. Le système électronique de surveillance de la NSA peut simultanément suivre et
manipuler des millions de personnes. Chacun de nous possède une fréquence de résonance
bioélectrique unique dans le cerveau, tout comme nous possédons des empreintes digitales
uniques.
La fréquence électromagnétique (EMF) du cerveau étant entièrement codée, des signaux
électromagnétiques pulsants peuvent être envoyés au cerveau, provoquant la voix, les effets
visuels que l'on désire que la cible éprouve.
C'est une forme de guerre électronique. Des astronautes américains furent implantés, avant
d'être envoyés dans l'espace, de façon à ce que leurs pensées puissent être suivies et que
toutes leurs émotions puissent être enregistrées 24 heures sur 24. Le Washington Post rapporta
en mai 1995 que le prince William de Grande-Bretagne avait été implanté à l'âge de 12 ans.
Ainsi, si jamais il était enlevé, une onde radio avec une fréquence spécifique pourrait être
envoyée jusqu'à sa micro-puce. Le signal de la puce serait suivi via satellite sur l'écran
d'ordinateur du quartier général de la police, où les mouvements du prince pourraient être suivis.
Il pourrait en fait être situé n'importe où, dans le monde. Les mass médias n'ont pas signalé que
la vie privée d'une personne implantée disparaît pour le reste de sa vie. Cette personne peut être
manœuvrée de plusieurs manières , toutes différentes les unes des autres. En utilisant
différentes fréquences, le contrôleur secret de cet équipement peut même modifier la vie émotive
d'une personne.
Il est possible de la rendre agressive ou léthargique. Sa sexualité peut être artificiellement
influencée. Des signaux de pensée et la pensée subconsciente peuvent être lus, des rêves
peuvent être affectés et même induits, tout cela à l'insu et sans le consentement de la personne
implantée. Un cyber-soldat parfait peut donc être créé. Cette technologie secrète a été employée
par les forces militaires dans certains pays de l'OTAN, depuis les années 80, sans que les
populations civiles et académiques aient entendu quoi que ce soit à son sujet. Donc, peu
d'informations sur de tels systèmes invasifs de contrôle mental sont disponibles dans les
journaux professionnels et académiques. Le signaux de l'intelligence de la NSA peuvent
surveiller à distance l'information des cerveaux humains, en décodant les potentiels évoqués
(3.50hz, 5 milliwatts) émis par le cerveau.
Il s'avéra que des prisonniers faisant l'objet d'expérience à Gothenburg, en Suède et à Vienne,
en Autriche, eurent des lésions cérébrales. Une circulation sanguine diminuée et un manque
d'oxygène dans le lobe frontal et le lobe temporal droits sont les conséquences des endroits, où
les implants cérébraux sont habituellement utilisés. Un sujet d'expérience finlandais a subi une
atrophie cérébrale et des attaques intermittentes de perte de conscience, dues au manque
d'oxygène. Les techniques de contrôle mental peuvent être employées à des fins politiques. Le
but des contrôleurs de l'esprit est aujourd'hui d'inciter les personnes ou les groupes de
personnes visés à agir contre leurs propres convictions et contre leurs meilleurs intérêts.

Des individus zombifiés peuvent même être programmés pour assassiner et n'avoir aucun
souvenir de leur crime, par la suite. Des exemples alarmants de ce phénomène peuvent être
trouvés aux États-Unis.

Cette "guerre silencieuse" est conduite par l'armée et les agences de l'intelligence, contre des
civils totalement ignorants des faits et contre des soldats. Depuis 1980, la stimulation
électronique du cerveau (ESB) a été secrètement utilisée, pour contrôler les personnes ciblées à
leur insu et sans leur consentement.

Tous les accords internationaux des droits de l'homme interdisent la manipulation non consentie
des êtres humains -- même dans les prisons, et ce, sans même parler des populations civiles.
Sur l'initiative du sénateur américain John Glenn, des discussions ont débuté en janvier 1997
concernant les risques d'irradiations des populations civiles. Viser les fonctions cérébrales des
gens avec des champs et des faisceaux électromagnétiques (à partir d'hélicoptères et d'avions,
de satellites, à partir de camionnettes blanches en stationnement, à partir de maisons voisines,
de poteaux téléphoniques, d'appareils électriques, de GSM, de la TV, de la radio, etc.), fait partie
du problème de rayonnement qui devrait être abordé dans les corps de gouvernements,
démocratiquement élus.
En plus du contrôle mental électronique, des méthodes chimiques ont été également
développées. Des drogues altérant l'esprit et différents gaz odorants affectant négativement la
fonction cérébrale peuvent être injectés dans des conduits d'air ou des conduites d'eau. En
outre, des bactéries et des virus ont été testés de cette manière dans plusieurs pays. La
supertechnologie d'aujourd'hui, reliant nos fonctions cérébrales par l'intermédiaire de
micro-puces (ou même sans elles, selon la dernière technologie) à des ordinateurs à travers des
satellites aux Etats-Unis ou en Israël, pose la plus grave menace pour l'humanité. Les derniers
super ordinateurs sont assez puissants pour surveiller la population du monde entier.
Qu'adviendra-t-il lorsque les gens seront tentés par de fausses promesses, afin de permettre
l'insertion de puces dans leurs corps? Un leurre, parmi d'autres, sera une "carte d'identité
micro-puce".

On est même allé jusqu'à proposer secrètement une législation obligatoire aux Etats-Unis, afin
de rendre criminel tout retrait d'un implant d'identification. Sommes-nous prêts pour la
robotisation de l'humanité et pour l'élimination totale de la vie privée, y compris la liberté de
pensée? Combien d'entre nous voudraient céder leur vie entière, y compris leurs pensées les
plus secrètes, à Big Brother? Pourtant, la technologie existe afin de créer un "nouvel ordre
mondial" totalitaire. Les systèmes de communication neurologiques secrets sont en place pour
contrecarrer la pensée indépendante et pour contrôler l'activité sociale et politique, au nom des
intérêts privés et militaires égoïstes.

Quand nos fonctions cérébrales seront déjà reliées aux ordinateurs géants, au moyen d'implants
radio et de micro-puces, il sera trop tard pour protester. Cette menace peut être vaincue,
seulement en instruisant le public, en utilisant la littérature disponible sur la biotélémétrie, ainsi
que l'information échangée, lors de congrès internationaux.
Une raison pour laquelle cette technologie est demeurée un secret d'état est le prestige à grande
échelle du MANUEL STATISTIQUE DE DIAGNOSTIC IV de psychiatrie produit et publié en 18
langues, par l'Association Psychiatrique Américaine (APA) des Etats-Unis. Les psychiatres
travaillant pour les agences d'intelligence américaines ont sans aucun doute participé à la
rédaction et à la mise à jour de ce manuel.
Cette "bible" psychiatrique dissimule le développement secret des technologies de contrôle de
l'esprit, en étiquetant certains de leurs effets, comme étant des symptômes de la schizophrénie
paranoïaque. Les victimes de l'expérimentation du contrôle mental sont donc diagnostiquées
ainsi, de façon routinière, sur le mode du réflexe du genou, comme étant mentalement malades,
par des médecins qui ont appris la liste de "symptômes" du manuel statistique de diagnostic à
l'école de médecine.
On n'a pas enseigné aux médecins que les patients peuvent dire la vérité, lorsqu'ils rapportent le
fait d'être ciblés contre leur volonté ou le fait d'être utilisés comme cobayes, pour des formes
électroniques, chimiques et bactériologiques de guerre psychologique. Le temps s'épuise pour
changer la direction de la médecine militaire, et pour assurer le futur de la liberté humaine.

Rauni Kilde, docteur en médecine.


6 décembre 2000

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