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• « Tu es trop susceptible. »
• « Tu prends les choses trop à cœur. »
• « Tu te fais des idées. »
• « De toute façon, tu n'es jamais content(e). »
• « Tu te trompes ou confonds (comme toujours). »
• « Ça ne va pas ? Tu dis des choses très bizarres. »
• « Tu ne sais pas ce qui est bon pour toi. » (après avoir fait souffrir)
• « Tu es seul(e) maître de ce qui t'arrive. » (après avoir mis dans une
situation compromettante sans l'accord de sa victime voire contre son
gré)
• « Tu es trop faible pour y arriver seul(e). »
• « Tu n'as aucune volonté (de t'en sortir). »
Comme décrit par l'essayiste Patricia Evans, les sept « signes
d'avertissement » du gaslighting sont :
L'emprise psychologique par le discours fait que des spectateurs extérieurs, qui
auraient autrement pris la défense des victimes, peuvent se retrouver complices
malgré eux car ils sous-estiment ou minimisent les abus. Cela renforce d'autant
plus la situation et les sentiments d'abandon et de culpabilité des victimes. Par
exemple, les spectateurs externes peuvent se dire : « Si c'était si grave, il(elle)
l'aurait déjà quitté(e) ou coupé les ponts ». Or précisément, si la victime ne se
sépare pas de son abuseur, ce n'est pas parce qu'elle n'a pas été « assez »
abusée mais parce qu'elle a été « tellement » abusée que mêmes ses
mécanismes d'autodéfense (fuite ou rébellion) sont anéantis.