Vous êtes sur la page 1sur 3

Je m'appele Marcus, lors de mon enfance en Ambre j'était passionné par les arts, les oeuvres et l'histoire

qu'elles racontent sur le sujet qu'elles traitent et sur l'artiste qui les réalise. Bien que trouvant les joutes
physiques impressionnantes je n'y révèlais aucun talent particulier, une nuit un homme qui se disait au
service de la cours d'Ambre est apparut dans ma chambre. Choqué par cette apparition soudaine je le
fixé sans rien dire, il se mit serainement à explorer ma chambre sans s'induiteter de ma présence. Son
regard s'arreta sur les pinceaux, crayon et croquis sur mon bureau, il me fixa.

-Ma fois ce n'est pas encore parfait, mais du à du talent petit t'en rend tu compte ?

-Je... Je...Ce ne sont que des croquis...

-Voyer vous cela ! Un Ambrien modeste !

Je ne sus pourquoi mais son ton moqueur rêveilla quelque mon esprit, m'obligeant à lui tenir tête.

-Ce n'est pas de la modestie, j'ai vu et apprécié assez de chef-d'oeuvres pour être capable de me rendre
compte que je suis bien loin de les égaler !

-Peut être pour l'instant, mais le talent ça se polit petit, c'est à travers ceci qu'on atteint l'art le vrai.
Selon moi c'est ce travail et ces effort qui sont l'essence même de l'art, qui a t'il de plus beau que de
découvrir de quoi l'on n'est capable, qu'elle sommet, quelle limite sommes nous capable d'atteindre,
sommes nous capable de les dépasser ?

Son visage, s'illuminait d'une passion brulante.

-Et c'est un art de débarquer au milieu de la nuit dans la chambre d'un autre, sans s'annoncer ou se
présenter ?

-Il est vrai que je manque à mes devoirs, et étant que je vais devenir ton professeur autant ne pas perdre
de temps et me présenter, on m'appele Le Joaillier, je parcours les mondes à la recherche de talent brut
comme le tien que je peux façonner et faire ressortir leur éclat caché.

-Mon professeur, mais qui à décider de ça !?!

-Et bien quelque soit la réponse que je te donnerais tu ne sera pas satisfait, alors disons que c'est toi qui
en à décider. Allez suis moi petit nous avons du travail.

-Vous pensez vraiment que je vais suivre un inconnu au milieu de la nuit ?

-Nous connaissons tout les deux la réponse à cette question, ne me fait pas perdre mon temps, prend tes
affaires petit !

Je sentis le serieux de son regard, je me sentis presque menacé, en m'habillant je pris la dague que je
cachais sous mon oreiller et la glissa dans ma manche. Cet homme était à mes yeux plus suspect
qu'intriguant, j'aurais tout le temps d'en apprendre plus sur lui lorsqu'il giserat sur mon sol.

-C'est bon je suis prêt ! Pouvez vous me passez le croquis d'helicoptêre sur mon bureau, il est inachevé
et j'aimerais le finir prochainement. Dis-je calmement en esprant n'eveiller aucun soupçon.

-En est tu sur ? Je pense que tu oublies autre chose.

Il me tourna le dos en regardant mon bureau et chercha croquis, je pouvait le surprendre, je ne pouvait
manquer pareil occasion ! Je fit glisser la dague de ma manche et me jeta sur lui. Il se retourna, un sourir
en coin sur le visage, je compris alors que ce n'est pas lui qui allez être surpris. L'espace d'un instant
suffit à ce que je me retrouve mon cou entre ses doigts et mon corps balotant au bout de son bras.

-On s'essaie à l'art du mensonge petit ? Nous travaillerons également ceci. La prochaine fois que tu
tentes ce genre de choses sans ma persission je briserais tes doigts de sorte que ne puisse plus jamais
tenir un pinceau.

Son regard noir me térrifia je sentis que ce n'étais pas une menace en l'air. Il me lacha, je recuperais mon
souffle tant bien que mal agenouiller sur le sol. Lorsque mon souffle se calma il me tendit un Atout.

-Leçon numero une petit, comment utilisé un Atout.

-Je sais déja faire ça !

-Ho et bien alors allont y !

Je posa mes yeux sur l'atout, qui représentait une cave noir illuminée par de faible torche, les details
étaient si réaliste que j'avais l'impression de voir les flammes bougeait, elle était magnifique. Je jetais
mon esprit dans la carte, me retrouvant alors transporter dans une grande piéce remplis de multitude
d'objets differents, des plantes, des armes, des tableaux... les objets ne semblait n'avoir aucun lien avec
l'objet à coté d'eux et pourtant l'ensemble me paru d'une harmonie complète.

-Bien, c'est ici que te t'entrainera toute les nuits et cela sera un secret, encore un art que tu devras
apprendre à maitriser parfaitement.

Je tremblais d'excitation. "Oui Maître" fur les mots qui me vinrent.

Ainsi commencérent mes nuits d'entrainement avec Le Joaillier. Cela dura des années, durant celles ci,
j'appris à peindre, dessiner, maitriser les Atoûts. Mais aussi à maitriser les poisons, la dague et
l'assassinat, qui selon mon maitre était la forme de tuerie la plus artistique car on se donne corps et âme
dans cette tâche, gardant les yeux sur l'objectif, n'écartant aucune méthode, qu'on écrit un pièce qui doit
semblait si vrai qu'elle en deviendra la réalité pour les spéctateur.

Il m'appris également à maitriser ma psyche. "Le niveau d'une oeuvre est le reflet de l'élèvation et du
controle de l'esprit de son compositeur". J'ai entendu cette phrase si souvent de la bouche de ce vieux
fou qu'aujourd'hui encore qu'en j'y pense je l'entends de sa voix.

Un jour quand je me rendais dans la salle d'entrainement, mon maître n'étais pas là, lui qui pourtant
n'etais jamais en retard, je trouvais simplement une note posée sur son siége.

"Ce qu'il te faut maintenant c'est de l'experience, l'Art est grand en toi cette cave est maintenant trop
petite pour le contenir, va mon disciple, va dans ces mondes merveilleux en extraire toute la beauté que
seule les artiste peuvent déceler. Adieu.

A. Joaillier"

De retour au chateau d'ambre, durant un an je fit discrétement des recherche et personne ne semblait
connaitre, cette étrange personne qui avait débarqué une nuit dans ma vie. J'ai éssayé de créer un atout
à son image pour le contacté mais tout ce que j'obtient en concentrant mon esprit c'est un rire lointain .
Il maitrisait donc bel et bien l'art du mensonge comme personne. Je me fis la promesse qu'un jour je le
trouverais que se vieux fou sera forcé de reconnaitre que je suis devenu le plus grand artiste de ces
mondes.

Vous aimerez peut-être aussi