Chapitre 01 : gestion intégrée et développement durable

La mise en place d'une politique et l'eau propulse la gestion de la ressource au

cours des enjeux est liée à l'aménagement et au développement du territoire. Le
vaste mouvement de recomposition organisationnelle et politique pavoise cette
approche fonctionnaliste par besoin, cependant il contribue également a donner la
légalité d'autres construction territoriale. Dans ce cas en passe de la dimensions
géographiques et environnemental à territoires de l'eau (présence de l'humain) lié
aux différents bassins Hydrologiques et Hydrogéologiques. L'évolution de
l'environnement et la décentralisation modifier la gestion de l'eau, de le fait on doit
passer d'une politique nationale de l'eau a une politique locale basée sur la notion
du bassin Versant qui va servir de cadre à la gestion de l'eau. Le processus de
territorialisation est définie comme l'ensemble des procédures à travers laquelle un
territoire se forme et évalue. Cette notion fait intervenir des interrelations entre
l'homme et son environnement. Donc on a une organisation at une structuration
nouvelle et spécifique à chaque territoire, c’est-à-dire a chaque bassin Versant.
L'eau joue un rôle centrale dans l'organisation, l’appropriation de l'espace, dans la
construction des représentations collectifs on individuels ou encore dans la
structuration des relations sociale et économique des sociétés de gestion locale.
Dans ce cas on a une nouvelle analyse dans la recomposition des relations entre
facteurs, ressources et territoire. On devinera par exemple des grands bassins
versants en Algérie qui va délimiter le territoire de chaque bassin.
1. On doit délimiter avec précision chaque bassin Versant.
2. Développer nos connaissance sur l’évolution du cycle de l’eau.
3. Rôle de l’état de sa volonté de contrôle de ressources en eau.
4. Evolution des rapports société-eau-territoire.

I. Délimitation du bassin versant, caractéristiques géométriques du bassin

versant, mesure de débits, Caractéristiques de relief :
Avec la structuration d’écologie on est passer à la notion (eau milieu au lieu de eau
ressources) avec la création d’une politique de gestion de l’eau.
L’approche des différentes organisations de gestion de l’eau (recherche et
exploitation) donne une structure autour de la ressource en eau suivante à axes
économique, territoriale, environnemental. L’eau est toujours au cours de l’activité
économique et sa gestion s’effectue par filière selon les principaux usages
agricoles, industrielles, sanitaires. Fasse au différents usage de l’eau et
l’augmentation des besoins, il été nécessaire de mettre en œuvre une entreprise
globale de la ressource Ce qui permet une optimisation économique de la ressource
et de son utilisation. Cette expertise a mis en évidence un conflit entre les
agronomes et les Spécialistes dans le domaine d’eau (superficielle, hydrologie
souterraine, hydrogéologie) parce que avant chacun travaille dans son coin.
II. Problème et défie rencontre dans la gestion des ressources en eau :
Dans les derniers années l’Algérie a fait des efforts considérables dans le domaine
de la recherche et de la distribution de l’eau potable d’ébullition des eaux du
dessalement des eaux de mer et de la protection des ressources. Ce qui a permet
d'enregistrer des améliorations remarquables. Il est important de passer d’une
gestion traditionnelle sectoriel à une gestion globale (Etude de l’ensemble du
système dans sa complexité). Il est accordée une priorité à l’homme dans les efforts
du développement.
Il faut comprendre le sens du développement en intégrons trois paramètres
essentiels :
 Le développement humain qui implique l’intégration de la culture au
développement, les sciences quelles qu’elles soit doivent être mise au service
de l’humanité au service de l’homme.
 Le développement écologiquement viable nécessite le maintien des systèmes
entreprenant la vie et de processus écologiques, le protection de la
biodiversité, l’intégration de l’environnement.
 Le développement durable insiste sur le respect de la capacité de le biosphère
à supporter la vie me, ainsi que le respect des capacités de la biosphère a
générer les ressources et assembler les déchets résultant de son
fonctionnement.
Dans ce contexte les meilleurs décisions sont celle quand prend après consultation
des hommes. Il faut de préoccuper des gens qui suivent à proximité des ressources
et ne pas seulement exploiter ces ressources.
Ressources en eau enjeux et déficit
Parmi l’ensemble des exigences de développement humain nous nous focalisons
sur celui relatif en ressources en eau et assainissement qui constitue un aspect
fondamental et capitale de ce développement. Sur les 6,27 milliards d’habitant de
la planète (2007), 26% n’accède pas à une eau de qualité suffisante, 50% ne dépose
pas d’un système adéquat d’assainissement. Chaque jour 20.000 personnes surtout
les enfants mènent des maladies liées à l’eau. Sans mesure particulière, environ
135 millions de personnes mènent des maladies transmises par l’eau entre 2002 et
2020.
Les objectifs de la communauté internationale : vise à réduire l’extrême
pauvreté et la faim dans le monde. A faire baisser la mortalité infantile, à garanti à
les enfants l’accès à l’éducation et à vaincre les inégalités du genre.
La quantité d’eau disponible par habitant n’est qu’un indicateur qui est très loin de
pouvoir expliquer à lui seul la situation hydraulique d’un pays. Il faut pas ignorer
le fait que dans certains pays où l’eau est abondante, certain population n’on pas
accès à l’eau.
Il n y a pas moins aujourd’hui qu’hier. Cependant nous sommes plus nombreux et
nous consommons beaucoup plus d’eau. De plus la pollution et le réchauffement
climatique réduisent considérablement des réserves d’eau disponible.
Chapitre 02 : Gestion de l’eau dans les zones arides et semi-arides
Plus qu’ailleurs dans les zones arides et semi-arides, la gestion durable des
ressources en eau est un challenge permanent dont la difficulté augmente depuis
plusieurs décennies à cause d’une part des impacts du changement climatique et
d’autre part de l’accroissement des populations et de leur besoin en eau.
Qu’il s’agisse d’eaux de surface où d’eaux souterraines, les moyens de stockage
sont variés : barrage, réservoirs souterrains ou les 2 à la fois. Mais d’autres
techniques permettent d’utiliser des ressources en eau non conventionnelles :
désalinisation, réutilisation d’eaux usées, captage d’eau atmosphérique ou de rosée.
Parmi les instruments de la gestion, on utilise l’irrigation goûte à goûte. La
réglementation doit intervenir pour imposer ses techniques de gestion d’eau. Un
autre problème majeur dans ces zones c’est la compréhension des processus
hydrologiques à la surface et en sub-surface et de leur variabilité en fonction de
l’évolution climatique surtout le problème de l’évaporation très élevée et
l’influence du vent sur ces réserves de surface.
La base de toute étude hydrologique reste sur l’observation au sol, des pluies, des
débits et les données piézométriques.
La variabilité pluviométrique à l’échelle de l’Algérie est importante du Nord au
Sud. En plus on a observé une diminution des pluies depuis plusieurs années de
20 à 30% selon les régions.
Il faut une modélisation hydrologique qui sert à la simulation des débits qui tienne
compte de changement climatiques : surtout la pluie et l’évapotranspiration et qui
détermine le régime hydrologique et les ressources en eau à adopter. Ca concerne
tous les domaines d’activité, approvisionnement en eau potable, l’irrigation, la
santé.
La recharge des nappes est liée à la quantité des précipitations, la baisse des pluies
enregistrées dans les zones arides et semi-arides ces dernières années est associée
à une baisse du niveau des eaux souterraines. Mais la pression de l’homme sur
l’exploitation de ces eaux est encore plus importante sur l’abaissement des niveaux
des eaux souterraines. La surexploitation des eaux souterraines provoque une
dégradation de la qualité des eaux. La construction d’un barrage répond à des
besoins différents selon la taille. Dans ce cas, on a la possibilité de disposer d’eau
à tous moment de l’année quelque soit la variabilité du régime pluviométrique. A
l’échelle de l’Algérie, la construction de grands barrages a constitué une priorité
nationale. Et surtout les reliés entre eux pour compenser le déficit d’alimentation
de certaines zones et disposer de l’eau toute l’année pour ces zones arides et semi-
arides.