Vous êtes sur la page 1sur 1

Arthur Leroux est né le 17 octobre 1891 à Paris, dans le 16ème

arrondissement. Franco-allemand, il était très élégant, grand de taille, avec


des yeux en forme d'amande d'une couleur noisette, et un regard malicieux.
Ses cheveux noirs étaient doux comme de la soie, son nez plutôt droit, ses
lèvres fines, et son teint halé. De corpulence moyenne, il était très sportif et
solide, doté de jambes musclées. Il était principalement vêtu d'un képi, d'une
chemise bleue, d'un pantalon, de bottes, ainsi que de plusieurs équipements
militaires.

La littérature était l'un de ses loisirs préférés. La lecture le faisait voyager, lui
faisait découvrir de nouvelles histoires, et lui procurait du plaisir et de
l'enrichissement, car il avait appris à lire et à écrire seul grâce à des manuels
et des guides élaborés. La musique était également un loisir que j’appréciait
beaucoup, cela lui permettait de se détendre, de passer le temps quand il
s'ennuyait et de s'évader. Le ricochet était son meilleur loisir. Chaque soir,
mon frère et moi allaient au coucher du soleil pour passer des heures à faire
des ricochets. À un moment donné, il était devenu un poilu, un soldat, en
service au sein des forces armées françaises. Issu d'une famille à la fois riche
et pauvre, une partie bénéficiait de moyens financiers suffisants tandis que
l'autre moitié faisait face à des défis financiers plus importants tels que les
tâches domestiques, la nourriture, les factures et les moments de repos. Sa
descendance se composait de quatre membres : ses parents, son frère aîné
qui était en Allemagne pour ses études, et lui-même. Son père Paul était un
ouvrier juif ainsi que sa mère Suzanne était infirmière et athée. Ils travaillaient
dans des conditions très compliquées, ils étaient mariés depuis très
longtemps de plus il y avait parfois des tensions entre eux, et leur relation ne
semblait pas très saine ni harmonieuse en termes de religion, d’argent ...
Après son déménagement datant de plusieurs années, il était devenu un peu
plus compliqué de trouver des moyens de rester en contact avec ses
meilleur(e)s ami(e)s : Paul, Georges, Albert, Juliette, Gabrielle ...

Après une longue période en France, Suzanne avait reçu un diagnostic de


cancer elle traversait une période très difficile, elle était très fatigue
physiquement et n’avait pas beaucoup d'énergie. De plus J'ai été témoin
d'une tragédie inacceptable : des soldats français avaient tués Paul (mon
père) sous mes yeux cet événement douloureux, inattendu était difficiles à
supporter surtout pour ma mère. Arthur avait donc pris une décision radicale
pour exprimer son chagrin : il avait décidé de rendre en Allemagne par la
même occasion ma mère avait décider de me rejoindre dans le but de se
soigner et de prendre du repos. En plus de cela la majorité de mes amies

Vous aimerez peut-être aussi