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Indice
Généralités………………………………………………………
Chapitre 1
1.1. Introduction à la géométrie descriptive
1.1.1. Analyse de la réalité visible ………………………………
1.1.2. Contour apparent …………………………………………..
1.1.3. Superficie .…………………………………………………...
1.1.4. Les arêtes .…………………………………………………...
1.1.5. Le sommet .…………………………………………………..
1.1.6. Les Trois concepts de base.………………………………….
1.1.7. Les positions de base des surfaces planes……………………
1.1.8. Les relations de position entre les vues (surfaces) planes.…
1.1.9. Les modes de perception des vues.…
1.1.10. La forme réelle et forme apparente d’une vue de (face)……
1.1.11. Les positions des bases des arrêtes…………………………
1.1.12. Les relations de position entre les arrêtes…………………..
1.1.1 3. Les modes de perceptions des arrêtes………………………
1.1.14. La forme réelle et forme apparente d’une
arête……………………...................................................................
1.1.15. Les autres concepts importants…………………………………
1.1.16. Les expériences visuelles……………………………………
1.117. Les modelés dans la conception………………………………
1.1.18. La géométrie descriptive……………………………………..
1.2. Les systèmes graphiques de la représentation
1.2.1. Système de cône ……………………………………….
1.2.2. Système axonométrique …………………......................
1.2.3. Dessin isométrique ……………………………………..
1.2.4. Perspective cavalière …………………………………...
1.2.5. Système de cotation ……………………………………
1.2.6. Système de dièdre…………………………....................
1.2.7. Fondements du système dièdre (1er cadrant) …………...
Chapitre 2. Le Point, la droite, et le plan
2.1. L’Analyse de la réalité visible ………………………………….
2.1.1. L’expérience visuelle………………………………………….
2.2. Système dièdre…………………………………………………..
2.2.1. Le corps géométrique………………………………………….
2.2.2. Les projections orthogonales des corps simples………………
2.3. Le point…………………………………………….....................
2.3.1. Les généralités…………………………………………………
2.3.2. Les projections dans le 1er cadrant ……………………………
2.3.3. Les points situés dans les plans de
projection……………………………………………………………..
2.3.4. Les points situés dans les quatre cadrants……………………..
2.4. La droite
2.4.1. Les généralités…………………………………………………
2.4.2. Les positions de base de la droite……………………………..
2.4.3. Les positions par rapport aux plans de projection
2.4.4. Les modes de percevoir une droite…………………………….
2.5. Le plan
2.5.1. Les généralités…………………………………………………
2.5.2. Les positions basiques du plan………………………………..
2.5.3. La génération…………………………………………………..
2.5.4. La représentation du plan……………………………………..
2.5.5. La position par rapport au plan de projection ………………..
2.5.6. Les plans projetant …………………………..........................
2.5.7. Les Droites plan ……………………………………………..
2.5.8. Les projections des figures planes…………………… …
3.2. La distance……………………………………………………….
3.2.1 La distance d’un point à une droite……………………………...
3.2.2. La distance d’un point à un plan………………………………..
3.2. 3. La distance entre deux (2) plans parallèles……………………
3.4. Le parallélisme…………………………………………………..
3.4.1. Les exercices d’abstraction……………………………………..
3.4.2. Les principes basiques………………………………………….
3.4.3. Les problèmes fondamentaux……..............................................
3.5. La perpendicularité……………………………………………..
3.5.1. Les exercices d’abstraction………………………………………
3.5.2. Les principes basiques…………………………………………..
3.5.3. Les problèmes fondamentaux…………………………………...
4.3. La rotation………………………………………………………..
4.3.1. Les objectifs …………………………………………………….
4.3.2. La description …………………………………………………...
4.3. 3. Les principes fondamentaux ………………................................
4.3.4. La rotation d’un point …………………………………………...
4.3.5. La rotation d’une droite………………………………………….
4.3.6. La rotation d’une figure plane……………………………………
1.1.3. Surface
Tous les corps occupent une portion de l’espace, ils sont limités par la surface qui les séparent
l’espace qu’occupent pour la circonstance.
Les superficies des corps se caractérisent par sa structure, la configuration, la couleur et la
texture. Cependant, le concept superficie ou surface géométrique seul considère comme
l’essentiel la structure et la configuration, faisant abstraction à la couleur et la texture. La
superficie géométrique a deux dimensions, c’est-à-dire, manque d’épaisseur, comme
d’épaisseur, des ombres projetées des personnes et des murs.
1.1.4. Les arrêtes
Habituellement on appelle arrêtes, intersection de deux (2) surfaces planes d’un corps. en
général des arrêtes se considèrent comme des droites. Cependant, il résulte convenable
amplifier ce critère traditionnel, en considérant l’arrête à l’intersection de deux superficies de
n’importe nature. Les arrêtés aussi on considère les courbes. Dans le successif, lorsqu’on
mentionne seulement la phrase arrête on entend que c’est la droite.
Si une arête n’est pas droite si non courbe il s’appelle arête courbe. Ils existent les corps
qu’exceptionnellement n’ont pas d’arêtes, par exemple, un orange, une sphère ou un
ellipsoïde de révolution.
1.3.5. Le sommet
C’est les lieux concourants de trois ou plus d’arrêtes.
1.3.6. Trois concepts de base
L’analyse de corps limité par les faces planes conduit à établir que les surfaces planes
peuvent avoir trois positions basiques, trois (3) relations de position et on peut observer de
trois modes distinctes. Cette analyse aussi conduit à considérer que les arêtes droites peuvent
avoir trois positions de base, trois relations de position et on peut percevoir de trois modes
distinctes. Ainsi, les positions de base, les relations de position et les formes de percevoir,
constituent, indépendamment, trois concepts ; formé et une un concept de transition, qui
s’applique à l’observation ; représentation et interprétation de surfaces planes et d’arêtes
droites.
1.3.7. Position basique des surfaces planes
Les faces planes des corps peuvent avoir trois positions basiques. Ces positions sont
relationnelles à la « position de la surface supérieure des liquides en état de repos » (on
l’appelle L). Lesdites positions sont :
- Horizontale, celle qui a la même position que L ;
- Verticale, celle qui a la même position que L ;
- Et Inclinée.
1.3.8 Relation basiques des SUR faces planes
Les faces planes des corps peuvent avoir les relations de : parallélisme ; de perpendicularité
et oblique.
Les surfaces parallèles, celles qui maintiennent l’équidistantes dans son extension.
Les faces perpendiculaires. Celles qui forment un dièdre de 90°. (Le Dièdre c’est l’angle qui
forme deux faces d’un corps.),
Les surfaces faces obliques. Celles qui forment un dièdre distinct de 90°.
1.3.9. Les modes de percevoir les surfaces planes
Indépendamment de ses positions basiques,
Les faces planes des corps peuvent être perçus : frontalement, en profile (raccourci) et d’arête
(champ).
La surface perçus en frontalement, on dit qu’une face se perçus frontalement si on observe
avec une direction de vision normale au plan de dite face.
La surface perçus en profile (raccourci), toujours qu’on observe une face plane dans une
direction oblique à son plan, on dira que c’est perçus en radouci.
La surface perçus du champ ou dans le sens d’arêtes, lorsque la forme apparente d’une
surface plane d’un corps est semblable à un segment de droite, on dira que ladite surface est
perçus latéralement (champs).
Ce critère c’est aussi applique aux surfaces cylindriques ; c’est-à-dire, une surface
cylindrique perçus latéralement (champ), lorsque sa forme apparente est une courbe fermée ou
un segment de courbe.
1.3.10. Forme réelle et forme apparente d’une surface
Forme réelle ; dans les corps limites par les surfaces planes on peut avertir que celle-ci
présentent les diverses configurations ou les contours : les triangles, les carrés, la forme
réelle des faces, les rectangles, les polygones , les circulaires, etc. Ces formes on le
dénomme réelles.
Par exemple la forme réelle de surfaces d’un cube est un carré, et un cône circulaire droit, a
une base dont la forme réelle est un cercle. C’est facile de prouver ou de vérifiera que pour
percevoir la forme réelle d’une face peut se voir frontalement.
Forme apparente : en observant en raccourci une face plane d’un corps ; sa forme réelle subis
une transformation apparente. La forme perçus dans ces circonstances se dénomme forme
apparente. Par exemple ; la forme réelle des surfaces d’un cube se transforme
apparentement en rectangle, le losange, losongeide, le trapèze, etc. la base d’un cône
circulaire droit observé en raccourci, s’aperçoit avec un contour elliptique.
De l’oppose on déduit que la forme apparente est la conséquence de la vision en raccourci.
L’humain n’est pas capable de ‘voir’ les formes apparentes jusqu’à qu’il entrainement un
visuel adéquat.
L’expérience visuelle cumulée au long de l’existence permet d’induire la forme réelle des
surfaces planes, qui se perçoivent en profile (raccourci). ; empêchant à la fois noter les
transformations. Mentionnées. Ce phénomène psychologique se dénomme constance
perceptive et se manifeste non seulement avec la forme.
La constance perceptive se manifeste aussi dans la perspective de la taille et de la couleur des
objets.
1.3.11. Positions de base des arêtes
Les arêtes des corps limités par des surfaces planes peuvent avoir trois positions ou directions
de base dans l’espace réelles : verticale ; horizontale, ou inclinée. Ces trois (3) concepts sont
relationnels avec la direction de la force de gravité.
Arête verticale. Celle qui a la direction de la force de gravité.
Arête horizontale. Celle qui a la direction.
Arête inclinée. Celle qui a la direction qui ne coïncide avec la direction de la gravité n’est
pas normale.
Si l’arrête a la configuration d’une courbe plane – la circonférence par exemple – sa
position sera déterminée par le plan qui le contient. Ainsi, on dira qu’une arête courbe est
verticale, horizontal, ou incliné ; si le plan capable de contenir est verticale ou incliné
respectueusement.
- La projection dans le plan vertical toujours s’identifie par les lettres minuscules affecté
d’un accent (‘) que se lit prime.
- La distance (Bb) d’un point B a sa projection b, dans le plan horizontal, ou ce qui est
de même, la hauteur du point B par rapport (pH), s’appelle cote du point B.
- La distance (Bb’) d’un point B à sa projection b’, dans le plan vertical s’appelle
Eloignement du point B (illustré. 1.4.7B).
- Après le rabattement des deux projetions du point B restent contenue dans la droite
perpendiculaire à LT, qu’on appelle ligne de référence (illust. 1.4.7.D).
- Regardant frontalement le plan dans reste représenter après le rabattement des deux
projections, la cote du point B vient donne par la distance de la projection b’, dans le
plan horizontal a LT.
Notion que par rapport au système PV-pH, un point reste déterminé par sa cote et son
éloignement. C’est-à-dire ce n’est pas nécessaire limiter les deux plans de projections
pour les représenter. Enfin se référer des projections des point a la LT ou (y, y’) au
moyen de sa ligne de référence (illust. 1.4.7 E).
L’interprétation des projections orthogonales d’un point B après rabattement, consiste
a en regardant la projection B dans le pH on doit imaginer le pv ou (pf) vue de champs
et au point B situe’ dans une vertical vu d’un point qui passe par b, et séparer de cette
projection par une grandeur égale a la cote de B, lequel vient donne dans la projection
vertical (illust. 1.4.7 F).
De mode semblable on interprète la projection b’ dans le pV ou (pf) (illust. 1.4.7 G).
Un recours pratique pour visualiser rapidement la position d’un point par rapport
aux plans de projection (illust. 1.4.7 H).
1.4.8. Rabattement
4.4.9. Objectifs
L’objectif de la méthode de rabattement c’est de déterminer la forme réelle des figures
planes.
4.5. Description
La méthode consiste de faire roter le plan de la figure jusqu’à ce que ça coïncide
avec un des plans de projection.
Cette opération se réalise en prenant comme charnelle le trace du plan de la figure
avec le plan de projection correspondant.
La charnière peut être aussi le tracé du plan de la figure avec un plan parallèle au plan
pV ou pH, dont le cas le rabattement se réalise en faisant coïncider le plan de la figure
avec ledit plan parallèle à celui de projection de quoi on traite.
La méthode de rabattement d’habitude s’appelle aussi le rabattement ou coïncidence.
4.5.1. Le rabattement d’un segment de droite
Une droite es oblique au plan PH, para ailleurs, toujours on aperçoit en raccourci
en vue supérieur ; cependant, une droite inclinée peut être parallèle au plan Ph. De
l’intérieur on déduit que quand une droite inclinée est oblique au plan Pv on aperçoit
dans le raccourci (en profile) en deux projections. Pour représenter frontalement, en
vue supérieur une arrête inclinée ou un segment de droite inclinée vue en raccourci en
deux vues, on peut recourir à un abattement de ce qu’on appelle le triangle de
rabattement du segment.
Le triangle de rabattement est contenue dans la projetant vertical de la droite, pour cela on
voit du profile (champs) en vue supérieur. Ce triangle est le rectangle et a pour hypoténuse
le segment.
Une (cathéte) ou cote adjacent dudit triangle (l’horizontale) est donné par la projection
horizontal du segment, et l’autre côté adjacent (le vertical) a une longitude donnée par la
différence de cotes entre les extrêmes du segment (illust. 4.4. C).
Le triangle de rabattement d’une droite d’un segment a deux applications importantes dans
les problèmes de polyèdres (illustre. 4.4.3).
4.5.2. Rabattement d’un plan de projection.
Le rabattement d’une figure plane contenu dans le plan projetant, c’est de facile construction
lorsqu’on connait la méthode de rotation (illust. 4.3 D).
2.4. LA DROITE
2.4.1 Généralités
Durant l’expérience « 1.3.1» a démontré que les arêtes des corps limitées par les faces planes
sont représentés graphiquement dans une surface plane à travers le segment de droite, tant
dans la projection conique comme dans la projection cylindrique.
La droite est aussi le produit de l’abstrait géométrique, c’est illimité et la longitude infinie ;
De la géométrie Elémentaire on sait qu’un point divise une droite en deux demi-droites, Si un
point est situé dans une droite on dit que le point appartient à la droite, que la droite passe
par le point ou que le point est contenu dans la droite.
Deux points fixes dans l’espace déterminent une droite seulement une ;
Comme résultat d’expériences visuelles on peut arriver aux principes fondamentaux suivants,
concernent les projections d’une droite dans le système de dièdres ;
1. Une droite se représente dans le système de dièdres à travers deux (2) de ces points.
Lesquels la déterminent.
Pour faciliter la communication, les points de ce couple peuvent s’appeler gauche et
droite, inferieur et supérieur ou avant et après, selon ce qui convient.
2. Une droite AB est donnée dans le système de dièdres, après le rabattement, par ses
deux projections orthogonales (ab, a’d’), d’où ab identifie les projections de la droite
AB dans le plan de projection (pH). * ab identifie la projection de la droite AB dans
le plan horizontal de projection (pH), et a’b’ identifie a la projection de dites droite
dans le plan vertical de projection (pV).
3. La position d’une droite par rapport aux plans de projection est définie par la cote et
l’éloignement du couple de points qui la déterminent
4. Une droite se représente dans le système de dièdres par ses deux projections
orthogonales, c’est-à-dire, par deux droites ou par un point et une droite ;
5. Une droite peut s’interpréter dans le système dièdre, dessus de rabattement comme la
projection d’une droite ou comme un plan vu de profile (champs) ;
6. Un segment de droite peut être interpréter dans le système dièdre, depuis le
rabattement, comme la projection d’une arrête vue de frontale ou en du profile, ou
comme une des projections d’une surface plane vue de profile,
7. Une droite peut être située dans un des plans de protection ou dans un quadrant;
2- la vue supérieure n’exprime que le point A est plus éloigné que B, Maintenant plus
haut le croyons par son extrémité gauche, on le donne plus d’éloignement que celui
d’extrême droite ; En plus on doit noter que le point a plus de cote que l’éloignement
et que la cote du point B est petit que son éloignement.
3- Une fois situe le crayon dans la position indique,
On arrive à des conclusions suivantes :
a) - La position de base de la droite A B est inclinée(i)
b) - la droite est oblique au plan vertical de projection et oblique au Plon horizontal de
projection, parce que le crayon l’indique ainsi.
c)- la droite se voit en raccourci ou latéral (E), dans les deux (2) vues.
Egal que se fait avec le point, on insiste dans la nécessité de réaliser les exercices de
systématisation qui complémente cette étude. Son importance se met de manifeste par la
facilite que représente pour l’auto étude, dans la communication enseignement -étudiant ou
vice versa, et en plus, par son caractère instrumental durant la solution des problèmes qu’on
aborde plus tard.
2.4.6 Les plans de projections d’une droite
Toutes les projections des points infinis d’une droite oblique au plan pV et plan pH, ne
contient dans perpendiculaire à la LT, déterminent un plan perpendiculaire au pV et autre
perpendiculaire au pH. Qu’on on appelle projetant aux plans de (pH), respectivement (illust.
2.4.6 A). Comme cas particulier, une droite (verticale ; horizontale ou oblique) peut avoir un
même projetant au plan pV et pH, dont ce cas, le plan projetant sera perpendiculaire à la LT.
D’autre cas particulier se présente lorsque la droite est perpendiculaire z une de plans de
projection, dans ce cas on aura les infinis des plans à ces plan de projection.
2.4.7. Les traces d’une droite
Toute droite qui se croise avec la ligne de terre LT coupera aux deux (2) plans de
projection ou à une un d’entre eux. On appelle les tracés d’une droite, les points
d’intersection de celle-ci avec le plan de projection. Les traces d’une droite.
Les tracés d’une droite sont les points de la cote zéro(0), d’éloignement zéro(0), c’est
dire, les points contenus dans le pH, ou dans le pV, respectivement.
de là que nous identifions à ces points avec les lettres H (h,h’)et V(v,v’). De
l’ordinaire on s’habitue de tracés avec ligne continue la partie de la droite comprise
dans le premier quadrant et avec la ligne discontinues la partie de la droite comprise
dans le premier quadrant et avec les lignes discontinues les parties occultées, pour
résoudre derrière du pV et en bas du pH( illust. 2.4.6 C).
C’est convenable rappeler qu’une droite peut adopter trois (3) positions de base dans
l’espace : la position horizontale, verticale, ou inclinée, et en plus une droite peut être
situe dans trois (3) positions par rapport aux points de projections ,c’est a dire , peut
,être parallèle, perpendiculaire ou oblique à chacun d’eux ; Pour établir un ordre
dans l’analyse et une détermination des tracés des droites, nous procèderons en
accord avec ce qui est exposée précédemment .
Les droites horizontales.
a) il n’y en a pas de tracés dans le pH parce qu’ils sont parallèles au pH,
b) pour cela seul elles peuvent avoir le tracé dans le pV
c) cependant, quand ils sont parallèles au pV, non plus elles ont le tracé dans le
plan pV,
Les droites verticales :
a) il n’y en a pas de tracés dans le pV parce qu’ils sont parallèles au pV,
b) c’est dire que, seule elles ont un tracé dans le Ph ;
A travers des expériences avec les modèles tridimensionnelles, l’étudiant doit
procéder tous ces principes référents à travers des droites, mais en plus on doit
exercer à travers les interprétations les objectifs et dessiner les droites en
considérant les plans de projections vue de champs .
2.5 Le Plan
2.5.1 Généralités
Le concept de plan est le produit de l’abstraction. Le plan est limité, d’extension
infinie. Manque d’épaisseur. Si une droite est située dans un plan, on dit que : c’est
une droite du plan, que le plan passe par la droite, ou que le plan contient la droite.
Une droite d’un plan divise cette droite dans le les deux demi-plans. A travers un
point situé dans un plan on peut tracer des droites des directions infinies contenues
dans ladite droite.
2.5.2 Positions de bases
Comme nous connaissons que les faces planes des corps peuvent occuper trois
positions de bases dans l’espace réel : horizontal, vertical, et incliné.
2.5.3 Généralités
Aux effets de faciliter la solution divers problèmes, /
Le plan peut être considérer, engendrer par la translation d’une droite qui s’appelle
la génératrice La génératrice, dans son mouvement de translation, se maintien
parallèle en elle-même, en coupant constamment l’autre droite, de direction distincte
qui s’appelle directrice.
Etant donné que les corps géométriques qu’on manipule dans le Chapitre 5, avec
l’exception de la sphère, tous requièrent la construction des figures des plans, c’est
convenable exercer préalablement la construction des projections des figures planes,
raison pour laquelle c’est important d’analyser les constructions des projections
données, dans l’exercice de systématisation (2.5.8)
Dans le cas de cercle, on doit tenir compte, comme principe fondamentale ; que son
plan est donné par deux diamètres conjugués, c’est à dire, par deux diamètres qui se
coupent perpendiculairement. En plus, le cercle doit être manipulé en se référant du
carré qui le circonscrit.