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Université Denis Sassou N’guesso de kintélé République du Congo

Institut Supérieur de l’Architecture Urbanisme Unité Travail Progrès


et des travaux publics (ISAUBTP) ************

COURS DE GEOMETRIE DESCRIPTIVE


(Fondement de la représentation)

Spécialité : Architecture et Urbanisme


Parcours : L1
Niveau :1ére Année

Enseignant : Architecte Joël Yoko BOMEMA

Année académique 2021-2022 / 2022-2023-2024


COURS DE GEOMETRIE DESCRIPTIVE
(Fondement de la représentation)

Indice
Généralités………………………………………………………
Chapitre 1
1.1. Introduction à la géométrie descriptive
1.1.1. Analyse de la réalité visible ………………………………
1.1.2. Contour apparent …………………………………………..
1.1.3. Superficie .…………………………………………………...
1.1.4. Les arêtes .…………………………………………………...
1.1.5. Le sommet .…………………………………………………..
1.1.6. Les Trois concepts de base.………………………………….
1.1.7. Les positions de base des surfaces planes……………………
1.1.8. Les relations de position entre les vues (surfaces) planes.…
1.1.9. Les modes de perception des vues.…
1.1.10. La forme réelle et forme apparente d’une vue de (face)……
1.1.11. Les positions des bases des arrêtes…………………………
1.1.12. Les relations de position entre les arrêtes…………………..
1.1.1 3. Les modes de perceptions des arrêtes………………………
1.1.14. La forme réelle et forme apparente d’une
arête……………………...................................................................
1.1.15. Les autres concepts importants…………………………………
1.1.16. Les expériences visuelles……………………………………
1.117. Les modelés dans la conception………………………………
1.1.18. La géométrie descriptive……………………………………..
1.2. Les systèmes graphiques de la représentation
1.2.1. Système de cône ……………………………………….
1.2.2. Système axonométrique …………………......................
1.2.3. Dessin isométrique ……………………………………..
1.2.4. Perspective cavalière …………………………………...
1.2.5. Système de cotation ……………………………………
1.2.6. Système de dièdre…………………………....................
1.2.7. Fondements du système dièdre (1er cadrant) …………...
Chapitre 2. Le Point, la droite, et le plan
2.1. L’Analyse de la réalité visible ………………………………….
2.1.1. L’expérience visuelle………………………………………….
2.2. Système dièdre…………………………………………………..
2.2.1. Le corps géométrique………………………………………….
2.2.2. Les projections orthogonales des corps simples………………
2.3. Le point…………………………………………….....................
2.3.1. Les généralités…………………………………………………
2.3.2. Les projections dans le 1er cadrant ……………………………
2.3.3. Les points situés dans les plans de
projection……………………………………………………………..
2.3.4. Les points situés dans les quatre cadrants……………………..

2.4. La droite
2.4.1. Les généralités…………………………………………………
2.4.2. Les positions de base de la droite……………………………..
2.4.3. Les positions par rapport aux plans de projection
2.4.4. Les modes de percevoir une droite…………………………….

2.5. Le plan
2.5.1. Les généralités…………………………………………………
2.5.2. Les positions basiques du plan………………………………..
2.5.3. La génération…………………………………………………..
2.5.4. La représentation du plan……………………………………..
2.5.5. La position par rapport au plan de projection ………………..
2.5.6. Les plans projetant …………………………..........................
2.5.7. Les Droites plan ……………………………………………..
2.5.8. Les projections des figures planes…………………… …

Chapitre 3. Les relations entre le point et le plan


3.1. Les généralités……………………………………………………
3.1.1. Les expériences visuelles………………………………………
3.1.2. Le point situé dans une droite………………………………….
3.1.3. Les relations entre les segments de droite……………………...
3.1.4. Les relations entre deux droites………………………………...
3.1.5. Les relations entre deux droites et un plan……………………..
3.1.6. La droite contenue dans un plan donnée par une figure plane
3.1.7. La droite contenue dans un plan donnée par une figure
plane…………………………………………………………………..
3.1.8. Un point situe dans un plan…………………………………….
3.1.9. Les relations entre les plans…………………………………….

3.2. La distance……………………………………………………….
3.2.1 La distance d’un point à une droite……………………………...
3.2.2. La distance d’un point à un plan………………………………..
3.2. 3. La distance entre deux (2) plans parallèles……………………

3.3. Les angles………………………………………………………..


3.3.1. Les angles entre deux droites et un plan………………………..
3.3.2. Les angles de la pente d’un plan………………………………...
3.3.3. La pente d’un plan………………………………………………
3.3.4. Les angles entre deux(2) plans………………………………….

3.4. Le parallélisme…………………………………………………..
3.4.1. Les exercices d’abstraction……………………………………..
3.4.2. Les principes basiques………………………………………….
3.4.3. Les problèmes fondamentaux……..............................................

3.5. La perpendicularité……………………………………………..
3.5.1. Les exercices d’abstraction………………………………………
3.5.2. Les principes basiques…………………………………………..
3.5.3. Les problèmes fondamentaux…………………………………...

3.6. Les Intersections……………………………................................


3.6.1. Généralités………………………………………………………
3.6.2. Les Intersections de deux droites………………………………..
3.6.3. Les Intersections de deux droites contenues dans un plan de projections…
3.6.4. Les Intersections de deux droites contenues dans un plan de projections
3.6.5. Les Intersections de deux plans
3.6.5. Les Intersections d’une droite avec une figure plane ;

Chapitre 4. Les Transformations…………………………………….


4.1. Généralités…………………………………………........................
4.1.1. Les Analyses de la réalité visible……...........................................
4.1.2. Les conditions d’observation ……………………………………
4.1.3. La forme réelle et apparente………..............................................
4.1.4. La méthode de transformation……………………………………

4.2. Le changement de plans…………………………………………


4.2.1. L’objectif ………………………………………….....................
4.2.2. La description de la méthode……………………………………
4.2. 3. Les principes fondamentaux …………………………………....
4.2.4. Le changement de plan par rapport à une figure plane………….

4.3. La rotation………………………………………………………..
4.3.1. Les objectifs …………………………………………………….
4.3.2. La description …………………………………………………...
4.3. 3. Les principes fondamentaux ………………................................
4.3.4. La rotation d’un point …………………………………………...
4.3.5. La rotation d’une droite………………………………………….
4.3.6. La rotation d’une figure plane……………………………………

4.4. Le rabattement ……………………………………………………


4.4.1. Les objectifs ………………………………………………………
4.4.2. La description …………………………………………………….
4.4. 3. Le rabattement d’un segment de
droite…………………………………………………………………….
4.4.4. Le rabattement d’un plan projeté …………………………………

Chapitre 5. Les superficies planes………………………………………


5.1. Les superficies planes
5.1.2. Génération de superficies planes………………………………….
5.2. Les polyèdres……………………………………………………….
5.2.1 Généralités…………………………………………………………
5.2.2. La pyramide…………………………………….
5.2.3. La prisme………………………………………...
5.2.3. L’anti prisme…………………………………….

5.3. Les polyèdres réguliers………………………….


5.3.1. Généralités ……………………………………..
5.3.2. Le tétraèdre (3) 3 ……………………………….
5.3.3. L’exèdre (4) 3……………………………………
5.3.4. L’octaèdre (3) 4……………………………….....
5.3.5. Le dodécaèdre (5) 3………………………………
5.3.6. L’icosaèdre (5) 3…………………………………
5.3.1. Les transformations réciproques………………..

5.4. Les polyèdres composés…………………………


5.4.1. Généralités ………………………………………
5.4.2. La représentation…………………………………
5.4.3. L’interprétation………………………….............
Chapitre 6. Les superficies courbes
6. 1. Les Généralités ………………………………………………….
6.1.1. Les courbes planes……….............................................................
6.1.2. Les courbes coplanaire (lignes droites qui sont ni parallèles ni inter croisées)
……….......................................................................................
6.1.3. Les classifications des surfaces courbes………………………….
6.1.4. Les superficies de simple courbature…………………………….
6.1.5. Les superficies de double courbature……………………………..

6.2. Le cylindre ……………………………………………………….


6.2.1. Les Généralités ……………………………………………….

6.2.2. La circonférence, le cercle, et l’ellipse


6.2.3. Le cylindre circulaire droit………...............................................
6.2.4. Les régions et génératrices de contour.
6.2.5. Les points dans la superficie cylindrique.
6.2.6. Les sections…………………………………………………….
6.2.7. Les développements……………………………………………
6.2.8. Le cylindre oblique…………………………………………….

6.3. Le cône …………………………………………………………


6.3.1. Les Généralités ……………………………………………….
6.3.2. La parabole et l’hyperbole………………………………………..
6.3.3. Le cône circulaire droit………......................................................
6.3.4. Les régions et génératrices de contour…………………………..
6.3.5. Les points dans la superficie conique…………………………….
6.3.6. Les sections………………………………………………………
6.3.7. Les développements………………………………………………
6.3.8. Le cône oblique…………………………………………………..
6.4. La sphère…………………………………………………………..
6.4.1. Les hémisphère et génération du contour………………………
6.4.2. Les points dans la superficie sphérique …………………………
6.4.3. Les sections ……….....................................................................
COURS DE GEOMETRIE DESCRIPTIVE
(Fondement de la représentation)
1. Généralités…………………………
1.1. La vision
1.1.1. Le processus visuel, d’un objet n’est possible que dans un environnement
totalement obscur ; c’est nécessaire la présence de la lumière et le contraste
avec l’environnement. Le reflet physique sur les objets et le phénomène du
monde visible donne lieu à des images dans la rétine () des yeux.
L’interprétation de ces images donne origine à la vision.
Cette interprétation se réalise instantanément dans le cerveau. De cette mode,
la perception visuelle humaine est essentiellement conditionnée à la réalité
visible ; au phénomène lumineux, aux yeux et le cerveau, ou exprimer en
d’autres termes, la vision des objets se produit par les raisons suivantes :
1- Parce qu’il existe la matière, dont trois (3) modes d’existence, évoqué
par le matérialisme dialectique et démontrée par la science sont : le
mouvement, l’espace, et le temps. Et parce que cette existence est
objective, c’est-à-dire, c’est indépendamment de la conscience de
l’homme.
2- Parce que la matière est inhérente à la propriété du reflet « la capacité
de réagir devant un stimule. En accord avec cette loi de la nature ; les
rayons lumineux sont reflétés physiquement par les surfaces des objets.
3- Parce que la rétine des yeux, sont capables de capter les images des
objets, en vertu du phénomène physique dénommé la réflexion.
4- Parce que le cerveau humaine, organe matière de la conscience à la
faculté d’interpréter les images visuelles, au moyen du processus
dénommé la perception visuelle.

1.3. Introduction à la géométrie descriptive

1.1.1. Analyse de la réalité visible …


Par la voie des expériences visuelles avec les corps simples, on arrive aux définitions des
concepts contour apparent ; la surface ; les arrêtes et le sommet.
En plus, l’analyse des corps limités par les surfaces planes sert pour formuler d’autres
concepts qui s’utilise d’immédiat, entre lesquelles on développe ce qu’on appelle les trois
concepts de base dont l’application conséquente est indispensable durant toute l’étude de la
géométrie descriptive.
1.1.2. Contour apparent
Le contour des objets du monde visible n’est pas constant, il se transforme visuellement en
dépendance du mouvement de l’observateur ou de l’objet. On appelle contour apparent celui
qui s’observe en voyant un objet depuis n’importe quelle direction.

1.1.3. Surface
Tous les corps occupent une portion de l’espace, ils sont limités par la surface qui les séparent
l’espace qu’occupent pour la circonstance.
Les superficies des corps se caractérisent par sa structure, la configuration, la couleur et la
texture. Cependant, le concept superficie ou surface géométrique seul considère comme
l’essentiel la structure et la configuration, faisant abstraction à la couleur et la texture. La
superficie géométrique a deux dimensions, c’est-à-dire, manque d’épaisseur, comme
d’épaisseur, des ombres projetées des personnes et des murs.
1.1.4. Les arrêtes
Habituellement on appelle arrêtes, intersection de deux (2) surfaces planes d’un corps. en
général des arrêtes se considèrent comme des droites. Cependant, il résulte convenable
amplifier ce critère traditionnel, en considérant l’arrête à l’intersection de deux superficies de
n’importe nature. Les arrêtés aussi on considère les courbes. Dans le successif, lorsqu’on
mentionne seulement la phrase arrête on entend que c’est la droite.
Si une arête n’est pas droite si non courbe il s’appelle arête courbe. Ils existent les corps
qu’exceptionnellement n’ont pas d’arêtes, par exemple, un orange, une sphère ou un
ellipsoïde de révolution.
1.3.5. Le sommet
C’est les lieux concourants de trois ou plus d’arrêtes.
1.3.6. Trois concepts de base
L’analyse de corps limité par les faces planes conduit à établir que les surfaces planes
peuvent avoir trois positions basiques, trois (3) relations de position et on peut observer de
trois modes distinctes. Cette analyse aussi conduit à considérer que les arêtes droites peuvent
avoir trois positions de base, trois relations de position et on peut percevoir de trois modes
distinctes. Ainsi, les positions de base, les relations de position et les formes de percevoir,
constituent, indépendamment, trois concepts ; formé et une un concept de transition, qui
s’applique à l’observation ; représentation et interprétation de surfaces planes et d’arêtes
droites.
1.3.7. Position basique des surfaces planes
Les faces planes des corps peuvent avoir trois positions basiques. Ces positions sont
relationnelles à la « position de la surface supérieure des liquides en état de repos » (on
l’appelle L). Lesdites positions sont :
- Horizontale, celle qui a la même position que L ;
- Verticale, celle qui a la même position que L ;
- Et Inclinée.
1.3.8 Relation basiques des SUR faces planes
Les faces planes des corps peuvent avoir les relations de : parallélisme ; de perpendicularité
et oblique.
Les surfaces parallèles, celles qui maintiennent l’équidistantes dans son extension.
Les faces perpendiculaires. Celles qui forment un dièdre de 90°. (Le Dièdre c’est l’angle qui
forme deux faces d’un corps.),
Les surfaces faces obliques. Celles qui forment un dièdre distinct de 90°.
1.3.9. Les modes de percevoir les surfaces planes
Indépendamment de ses positions basiques,
Les faces planes des corps peuvent être perçus : frontalement, en profile (raccourci) et d’arête
(champ).
La surface perçus en frontalement, on dit qu’une face se perçus frontalement si on observe
avec une direction de vision normale au plan de dite face.
La surface perçus en profile (raccourci), toujours qu’on observe une face plane dans une
direction oblique à son plan, on dira que c’est perçus en radouci.
La surface perçus du champ ou dans le sens d’arêtes, lorsque la forme apparente d’une
surface plane d’un corps est semblable à un segment de droite, on dira que ladite surface est
perçus latéralement (champs).
Ce critère c’est aussi applique aux surfaces cylindriques ; c’est-à-dire, une surface
cylindrique perçus latéralement (champ), lorsque sa forme apparente est une courbe fermée ou
un segment de courbe.
1.3.10. Forme réelle et forme apparente d’une surface
Forme réelle ; dans les corps limites par les surfaces planes on peut avertir que celle-ci
présentent les diverses configurations ou les contours : les triangles, les carrés, la forme
réelle des faces, les rectangles, les polygones , les circulaires, etc. Ces formes on le
dénomme réelles.
Par exemple la forme réelle de surfaces d’un cube est un carré, et un cône circulaire droit, a
une base dont la forme réelle est un cercle. C’est facile de prouver ou de vérifiera que pour
percevoir la forme réelle d’une face peut se voir frontalement.
Forme apparente : en observant en raccourci une face plane d’un corps ; sa forme réelle subis
une transformation apparente. La forme perçus dans ces circonstances se dénomme forme
apparente. Par exemple ; la forme réelle des surfaces d’un cube se transforme
apparentement en rectangle, le losange, losongeide, le trapèze, etc. la base d’un cône
circulaire droit observé en raccourci, s’aperçoit avec un contour elliptique.
De l’oppose on déduit que la forme apparente est la conséquence de la vision en raccourci.
L’humain n’est pas capable de ‘voir’ les formes apparentes jusqu’à qu’il entrainement un
visuel adéquat.
L’expérience visuelle cumulée au long de l’existence permet d’induire la forme réelle des
surfaces planes, qui se perçoivent en profile (raccourci). ; empêchant à la fois noter les
transformations. Mentionnées. Ce phénomène psychologique se dénomme constance
perceptive et se manifeste non seulement avec la forme.
La constance perceptive se manifeste aussi dans la perspective de la taille et de la couleur des
objets.
1.3.11. Positions de base des arêtes
Les arêtes des corps limités par des surfaces planes peuvent avoir trois positions ou directions
de base dans l’espace réelles : verticale ; horizontale, ou inclinée. Ces trois (3) concepts sont
relationnels avec la direction de la force de gravité.
Arête verticale. Celle qui a la direction de la force de gravité.
Arête horizontale. Celle qui a la direction.
Arête inclinée. Celle qui a la direction qui ne coïncide avec la direction de la gravité n’est
pas normale.
Si l’arrête a la configuration d’une courbe plane – la circonférence par exemple – sa
position sera déterminée par le plan qui le contient. Ainsi, on dira qu’une arête courbe est
verticale, horizontal, ou incliné ; si le plan capable de contenir est verticale ou incliné
respectueusement.

1.3.10. Géométrie Descriptive


La géométrie descriptive a comme objectif la représentation graphique des corps de l’espace
réel. De même on occupe d’étude et la solution des problèmes géométriques dans lequel
interviennent les trois dimensions qui caractérisent à l’espace réel aux corps de la réalité
visible. Cette science valle de diverses procédures basées dans la méthode de projection.
Ainsi, la Géométrie descriptive établit les normes générales par lesquelles, une forme
tridimensionnelle conçue et représentée par une personne, en transmet à une autre pour son
exacte interprétation.
En conséquence, cette discipline a deux (2) objectifs essentiels, un inverse à l’autre :
A/ Représenter dans une superficie, généralement plane, les formes tridimensionnelles
conçues ;
B/ Reconstruire dans la tête ou matériellement les formes tridimensionnelles données par ses
représentations bidimensionnelles.
1.4. Systèmes de graphiques de représentation
Dans l’ordre de la représentation graphique, la Géométrie descriptive permet d’établir les
relations de correspondance biunivoque entre la forme d’un objet tridimensionnelle.
Ce processus de décodification se dénomme interprétation et sa représentation dans une
superficie plane. De celui-ci on interfère, que tout système graphique de représentation, doit
satisfaire la condition essentielle de réversibilité implique dans les objectifs énoncés
antérieurement.
De façon traditionnelle, la Géométrie descriptive pose, la base de l’étude de quatre(4)
systèmes graphiques de présentation qui remplissent cette condition de réversibilité et donc,
permet au concepteur de communiquer avec le constructeur pour matérialiser ses
conceptions. Ces systèmes graphiques sont : le système conique, l’axonométrie, la cote et les
dièdres.
1.2. Systèmes de conique
Le système conique a comme finalité, les représentations bidimensionnelles des objets
tridimensionnels, au moyen d’une seule image linéaire. Cette image est capable de provoquer
un stimule visuel, semblable, dans certain sens, à ce qu’il produira la contemplation de
l’objet réel. C’est de là que le système conique, résulte plus complexe que ceux pour étudier.
En projection cylindrique, les arrêts d’un système perçu frontalement ou en raccourci se
présente des segments parallèles, et pour plus faciliter, lesdits segments on dimensionnent
un système perçu frontalement et se présente au moyen de segments parallèles, mais lorsque
le dit système se perçoit en raccourci ou en profil latéral, les arêtes du même se représente
par les segments concourantes. Aussi en projection conique et en correspondance avec la
perception visuelle de la réalité, les dimensions égaux se représentent avec les unités
variables indécence de sa distance à l’observateur. Dans le système conique, qui aussi
s’appelle la perspective, le plan de projection reçois le nom de plan de perspective, le centre
de projection reçois le nom de vue, et les projetant s’appellent les visuelles. Les fondements
de ce système et son application s’étudiera plus tard.
Une superficie, généralement plane, les formes tridimensionnelles conçues,
1.3. Systèmes axonométriques
Ce système a aussi comme finalité les représentations bidimensionnelles des objets
tridimensionnelles au moyen d’une seule image. Cette image, est plus conventionnelle a
l’image conique, cependant, de plus facile exécution. Dans ce système, le plan de projection
reçois le nom de plan axonométrique, le centre de projection se considère, par abstraction,
située dans l’infini, c’est un système cylindrique de projections qui peuvent être normales ou
obliques au plan axonométrique. Lorsque les projections sont normales au plan
axonométrique on a la projection isométrique et lorsque les projections sont obliques au
plan axonométrique a la projection de , dénomme aussi la perspective cavalière.
Dans le système axonométrique, on étudie :
 L’isométrie,
 la dimétrie
 et la trimètrie, selon les axes principaux de l’objet avec d’autre distinct, et les trois
avec le même raccourci ou déformation, deux avec raccourci (déformation) égale et un
troisième (3ieme) avec autre distinct, et trois avec les différents raccourcis,
respectivement.
 Cependant, en architecture on peut utiliser rien que le dessin isométrique et la
perspective cavalière comme application du système axonométrique. En dans les
deux cas las arêtes appartenant à un même système on représente au moyen de
segments parallèles, indépendamment de que soit perçu frontalement ou en raccourci
en profile,

1.4.2. Systèmes axonométriques


Le dessin isométrique se base dans les formes tridimensionnelles à partir de ses trois (3),
situées la largeur les ceux « 3 » de ceux des « 3 » axonométries. Par exemple, pour construire
un cube d’une arête donné, jusqu’à situer à partir de l’origine des trois (3) axes
axonométriques. La dimension dudit arête (illustration, 1, 4, 2, A), dans (l’illustration 1, 4, 2,
B), on peut apprécier la construction d’un cercle en dessin isométrique. Le cercle doit inscrire
dans un carré pour faciliter sa construction dans un dessin isométrique.
1.4.3. Perspective cavalière
La Perspective cavalière se base dans la construction des formes tridimensionnelles à partir
de ses trois dimensionnes situées au large des trois axes axonométriques. Dans ce cas deux
(2l’) axes se perçoit frontalement et le trois (3) IIème en raccourci. L’axe qui se voit en
raccourci, qui toujours es horizontale dans la représentation, formée un angle de 45° en
relation avec une horizontale frontale qui passe par l’Origine.
Dans l’axe horizontal perçu en raccourci on dimensionne avec les unités moyennes des
usages pour dimensionner dans les autres deux (2) axes perpendiculaires frontalement. La
perspective cavalière on peut dessiner avec l’axe You X, en raccourci. (Illustration .1.4.2 C).

1.4.4. Système cote


Il se base dans les représentations des formes tridimensionnelles dans un seul plan horizontal
de projection. Le plan de projection reçoit dans ce cas du plan de référence. Un point se
représente par la projection dans le plan de référence et un nombre situé à cote du dit point.
Ce nombre dénommé’ la cote d’un point, indiquée la quantité d’unités a ou se trouve séparer
le point de plan de référence. La cote se mesure par la normale au plan de référencé et peut
être positive ou négatif, selon le point de rencontre situe au-dessus ou par-dessus du plan de
référence (illustration ;1,4,5 A) ; les superficies géométriques ont de procédures de
générations simples. On engendre, comment on verra plus adiante, par le mouvement d’une
droite ou d’une courbe selon une loi déterminée, Cependant, dans la nature ils existent des
superficies qui ne correspondent à une loi géométrique déterminée. Par exemple, la superficie
d4un terrain accidenté. Pour l’urbaniste et l’architecte, l’application plus importante du
système de cote consiste, fondamentalement, à tracer et à interpréter les plans de
topographiques. Un plan de topographie représente une petite portion de la superficie
terrestre, tant petite selon l’extension de la terre ; que la courbure de celle dernière peut se
déprécier. Par cette raison dans un plan topographique la superfine de la mer se considère
plane niveau de la mer et reçois le nom de de plan de référence ; les points de terrain qui ont
une même cote s’unissent par des courbes horizontales qui s’appelle courbes de niveau. Les
courbes de niveau se considèrent théoriquement engendrées par l’intersection de plan
horizontales avec la superficie terrestre que se représentent. Pour faciliter l’interprétation des
plans topographique ; les courbes de niveaux se classifient en courbes de indices et courbes
complémentaire.
Courbes indices. Ce sont courbes de niveau facilitent qui facilitent qualitative du relief. Ces
cotes sont multipliées de cinq (5) fois l’équidistance. Par exemple si l’équidistance c’est 1m,
les courbes indices seront 5m, 10m, 15m, etc. les courbes indice s’interrompent pour noter la
cote correspondante et se représentent avec une line plus grosse que les restes courbes de
niveau. Courbes intermédiaires. Sont les quatre compris entre les lignes indices. On les
représente au moyen de lignes fines. Courbes
complémentaires. Ses celles qui sont comprises entre deux intervalles ou entre une
intermédiaire et un indice. On l’utilise lorsque les intervalles entre les courbes intermédiaires
sont grands. On représente au moyen b des lignes discontinues de grosseur égale que les
intermédiaires et on ne les cote pas. La cote correspondant à une courbe complémentaire on
déduit la moyenne de deux courbes là où ils se trouvent.
L’équidistance : les plans horizontaux qui engendrent les courbes de niveau à intersecter la
superficie d’un terrain, on considère toujours les équidistances, pour cela les équidistances
comme la distance uniforme entre les plans horizontaux considérés. Dans les plans
topographiques les équidistances se correspondent avec les valeurs normales suivantes :
0.25m, 1m, 2m, 5m, 10m ; 20m, et 100m, (illustration .1.4.5.B).
Intervalle : on appelle Intervalle, la distance entre les projections horizontales des courbes de
niveau consécutives.
La pente : la pente d’une superficie terrestre dans un lieu déterminé en raison inverse
d’intervalle correspondante, dans un plan topographique, les pentes seront plus grandes
lorsque les courbes se voient plus proches entre elles, et petites quand les courbes de niveau
apparaissent plus distantes (illustration .1.4.5. B et D).
1.4.5. Le système de dièdre
Aussi connu comme méthode de Monge, en honneur du célèbre géomètre français
Giscard Monge (1746-1818), est un système de double projection orthogonale. Ce
système utilise deux plans de projection perpendiculaires entre elle. Une des plans
est horizontal et l’autre vertical, pour lequel on appelle plan horizontal de
projection (pH) et plan vertical de projection (pV). Le plan horizontal de
projection divise l’espace réel en deux (2) demi-espaces appelles supérieur et
inferieur. Le plan vertical de projection, vue frontale par un observateur située
dans l’infini ; divise l’espace réel en deux demi –espaces, appelé antérieur et
postérieur par le dit observateur. El système formé par les plans de projection
compte des éléments suivants :
Les droites d’intersection des deux plans, qu’on appelle la ligne de terre (LT) ou (y
et y1).
Quatre (4) régions d’espaces réels ou Cadrant qu’on appel :
- Premier Cadrant (1er dièdre ou bissecteur) ou encore région antérieur supérieur ;
- Deuxième Cadrant (2ieme dièdre ou bissecteur) ou encore région supérieure ;
- Troisième Cadrant (3ieme dièdre ou bissecteur) ou encore région postérieure ;
- Quatrième Cadrant (4ieme dièdre ou bissecteur) ou encore région postérieure.

Quatre demi-plans, deux du plan horizontal de projection, c’est-à-dire le demi-plan


horizontal(HA) et l’horizontal postérieur (HP), et deux plans verticaux de projection,
c’est-à-dire, le plan vertical supérieur(VS) et le vertical inferieur(VI).
Pour faciliter les processus d’abstraction et généralisation qui aura lieu dans
l’interprétation des points et droites, c’est didactiquement convenable analyser les
positions qui occupent les quatre demi-plans après le rabattement.
Dans le rabattement seul on fait mouvoir le plan horizontal de projection.
Après de rebâtir le demi-plan (HA), on superpose avec le VI et consécutivement le HP
se situe derrière le VS.
1.4.7. Fondements du système des dièdres (1er cadrant)
Considérant le point B d’une pyramide dont la base est située dans le Ph et on
projette orthogonalement dans les deux plans de projection (illustré. 1.4.7A). Le
sommet mentionné est représenté en perspective cavalière par le point B. cependant
c’est de développer que en ce point le correspondent deux (2) projections dans le
système de dièdres, les points b et b1 situe dans les plans Ph et PV respectivement.
Comme résultat d’expériences avec les modèles tridimensionnelles.
On conclut que pour représenter dans le système de dièdre chaque point de l’espace
réels, fini ses deux projections, qu’après de rabattre reste situe dans une superficie
plane relationnels avec la ligne de terre, au moyen une ligne de référence (illustré.
1.4.7E).
A partir de l’expérience et des illustrations ou exemples (illustré. 1.4.7) on se réfère
a la suivante : (illustré. 1.4.7A). Le sommet supérieur de la pyramide, identifié avec
une lettre B (majuscule), en Géométrie descriptive est considéré un point séparé des
plans de projection.
- Un point représenté dans l’espace s’identifie, avec une lettre majuscule.
- Un point représenté dans le système de dièdres par ses deux (2) projections
orthogonales, lesquels s’identifient par les lettres minuscules.

- La projection dans le plan vertical toujours s’identifie par les lettres minuscules affecté
d’un accent (‘) que se lit prime.

- La distance (Bb) d’un point B a sa projection b, dans le plan horizontal, ou ce qui est
de même, la hauteur du point B par rapport (pH), s’appelle cote du point B.

- La distance (Bb’) d’un point B à sa projection b’, dans le plan vertical s’appelle
Eloignement du point B (illustré. 1.4.7B).

- Si on élimine la pyramide, ses deux (2), projections orthogonales son nécessaires y


suffisants pour rétablir sa position par rapport au système de plan PV- pH (illust.
1.4.7C).

- En rabattant le pH jusqu’au pV on a les deux (2) du point B représenté dans un seul


plan.

- Après le rabattement des deux projetions du point B restent contenue dans la droite
perpendiculaire à LT, qu’on appelle ligne de référence (illust. 1.4.7.D).

- Regardant frontalement le plan dans reste représenter après le rabattement des deux
projections, la cote du point B vient donne par la distance de la projection b’, dans le
plan horizontal a LT.

Notion que par rapport au système PV-pH, un point reste déterminé par sa cote et son
éloignement. C’est-à-dire ce n’est pas nécessaire limiter les deux plans de projections
pour les représenter. Enfin se référer des projections des point a la LT ou (y, y’) au
moyen de sa ligne de référence (illust. 1.4.7 E).
L’interprétation des projections orthogonales d’un point B après rabattement, consiste
a en regardant la projection B dans le pH on doit imaginer le pv ou (pf) vue de champs
et au point B situe’ dans une vertical vu d’un point qui passe par b, et séparer de cette
projection par une grandeur égale a la cote de B, lequel vient donne dans la projection
vertical (illust. 1.4.7 F).
De mode semblable on interprète la projection b’ dans le pV ou (pf) (illust. 1.4.7 G).

Un recours pratique pour visualiser rapidement la position d’un point par rapport
aux plans de projection (illust. 1.4.7 H).

Consiste à doubler par la LT le dessin des projections du point après le rabattement ;


formant un angle de 90 ° avec les plans de projection, et imaginer une
perpendiculaire à chacune de dits plans par les points b’ et b, ces droites se
convertiront dans les protestantes du plan B autrement seul pourront se couper dans
ce dit point B.
Autre recours consiste à représenter le système pV ou (pf)-pH de manière que les
deux plans de projections se voient de sens du champ.

1.4.8. Rabattement
4.4.9. Objectifs
L’objectif de la méthode de rabattement c’est de déterminer la forme réelle des figures
planes.
4.5. Description
La méthode consiste de faire roter le plan de la figure jusqu’à ce que ça coïncide
avec un des plans de projection.
Cette opération se réalise en prenant comme charnelle le trace du plan de la figure
avec le plan de projection correspondant.
La charnière peut être aussi le tracé du plan de la figure avec un plan parallèle au plan
pV ou pH, dont le cas le rabattement se réalise en faisant coïncider le plan de la figure
avec ledit plan parallèle à celui de projection de quoi on traite.
La méthode de rabattement d’habitude s’appelle aussi le rabattement ou coïncidence.
4.5.1. Le rabattement d’un segment de droite
Une droite es oblique au plan PH, para ailleurs, toujours on aperçoit en raccourci
en vue supérieur ; cependant, une droite inclinée peut être parallèle au plan Ph. De
l’intérieur on déduit que quand une droite inclinée est oblique au plan Pv on aperçoit
dans le raccourci (en profile) en deux projections. Pour représenter frontalement, en
vue supérieur une arrête inclinée ou un segment de droite inclinée vue en raccourci en
deux vues, on peut recourir à un abattement de ce qu’on appelle le triangle de
rabattement du segment.
Le triangle de rabattement est contenue dans la projetant vertical de la droite, pour cela on
voit du profile (champs) en vue supérieur. Ce triangle est le rectangle et a pour hypoténuse
le segment.
Une (cathéte) ou cote adjacent dudit triangle (l’horizontale) est donné par la projection
horizontal du segment, et l’autre côté adjacent (le vertical) a une longitude donnée par la
différence de cotes entre les extrêmes du segment (illust. 4.4. C).
Le triangle de rabattement d’une droite d’un segment a deux applications importantes dans
les problèmes de polyèdres (illustre. 4.4.3).
4.5.2. Rabattement d’un plan de projection.
Le rabattement d’une figure plane contenu dans le plan projetant, c’est de facile construction
lorsqu’on connait la méthode de rotation (illust. 4.3 D).

2. LE POINT, LA DROITE, LE PLAN


2.1Analyse de la réalité visible
2.1.1 Expériences visuelles
De l’observation des modèles tridimensionnelles des corps simples et l’application des
opérations logiques, nous arriverons au concept de corps géométriques et après, nous
analyserons ses projections orthogonales.
2.2. Système dièdre
2.2.1 Corps géométrique
Le corps géométrique est un concept produit des abstractions dans le corps physique. Ils se
représentent graphiquement au moyen des lignes ou de segments des lignes et points. Les
lignes ou segments, représentent le contour apparent, les arrêtes visibles et les superficies de
profile (champs). Les points représentent les sommets et les vues des points.
2.2. Les Projections orthogonale de corps simples pour représenter les corps géométriques
simple dans le système de dièdre, en plus de ce qui est exposé au paragraphe précèdent, on
utilise les lignes ou segments de tracés discontinus qui représentent les arrêtes ou les
courbes, occultes ou cachées par les faces visibles. La problématique de la représentation de
tels corps dans le système de dièdre, ainsi comme son interprétation, d’ordinaire résulte
complexe pour l’étudiant qui s’initie dans le fondement de la représentation graphique.
Cependant , des éléments géométriques essentielles : le point, la droite, pareillement a une
notation conséquente , facilite extraordinairement sa compréhension d’où l’importance du
point , la droite et le plan , dont commence l’étude.
2.3 Le Point
2.31. Les généralités
Durant les expériences (1.2.3) on a vu que le sommet des corps géométriques qui se
représentent graphiquement à travers les points., Le point est un produit d’abstraction. On n’a
pas une extension.
Résumons les divers aspects fondamentaux référents a un point.
1. un point est déterminé par deux droites qui se coupent.
2. un point peut s’interpréter comme une projection d’un sommet ou une arrête perçu de
point.
3. un point se représente dans le système de dièdre par deux (2) projection orthogonale, c’est à
dire, par deux (2) points.
4. le point s’identifie dans sa suite avec une lettre majuscule et ses deux projections avec la
même lettre, cette fois ci minuscule.
La projection dans le pV on l’affecte avec un accent (‘) simple qui se lit prime, exemple : A
(a, a’).
5. La position d’un point par rapport au plan de projection est déterminée par sa cote et son
éloignement.
* On appelle la cote la distance du point par rapport au pH et l’éloignement la distance lue
point au pV.
6. Après le rabattement ; la cote d’un point est donnée par la distance de LT à sa projection
dans le pV, c’est à dire à la projection identifiée avec la (‘) et l’éloignement est donné par la
distance de la projection dans le PH à la LT.
7. les deux(é) projections orthogonales d’un point sont contenues toujours dans une droite
perpendiculaire à la LT, qui s’appelle ligne déréférence.
8. un point peut être situer dans un de plans de projection ou un cadrant.
2.3.2 Projection au 1er cadrant
Tout point situe’ dans le premier cadrant se projettent dans le demi – plan vertical supérieur,
(VS) et dans le demi–plan horizontal antérieur ou avant (HA).
Un point se représente toujours, après le rabattement, à travers ses deux (2) positions qui
s’identifie avec une lettre minuscule. Cependant, en isométrie ou ou en perspective cavalière
on représente le propre point et ses deux projections,
Par exemple : le A et ses deux (a, a’). Tout point B du premier cadrant a après le
rebattement, sa projection dans le pV qui s’identifie b’, situe par-dessus de la LT trouvant
que le côté dudit point est positif pour être situer au-dessus du plan pH.
2.3.3 Points situés dans les plans de projection.
* Si Si un point est situé dans un des plans de projection, sa cote ou son éloignement a une
valeur zéro (0).
 Si un point est situé dans le plan vertical de projection (pV) son éloignement est zéro,
et sa cote pourra être positive ou négative (+-).
 Si c’est positif, le point sera situé dans le demi -plan (vS),
Et si c’est négatif (-), le point sera situé dans le demi-plan vertical inferieur (VI).
* Si un point, est situé dans le plan horizontal de projection (pH) la valeur de sa cote est
zéro (0) et son éloignement pourra être devant ou derrière du pV.
2.3.4 Les points dans les quatre quadrants.
* $i un point est situé dans un des quadrants, sa cote et son éloignement sont distincts de
zéro (0), Pour interpréter rapidement le quadrant dans lequel se situe un point donné, par ses
projections dans le système de dièdre après le rabattement, c’est convenable savoir que ;
1. Les points situés dans les premiers (1er) et seconds quadrants ont une cote positive (+),
puisque les deux (2) quadrants sont situés au-dessus du pH.
2. Les points situés dans le3ieme et quatrième quadrant ont une cote négative, parce que les
deux (2) sont situées en bas du pH.
3. Les points situés dans le 2ieme et quatrième quadrant, après le rabattement ont leurs
projections inversées dans la relation avec la LT. Ceux du second quadrant ont ses deux (2)
projections au-dessus de la LT.et ceux de quatre quadrants l’ont en dessus de la LT.
4. Les points situés dans le 2ieme et quatrième quadrant, après le rabattement ont ses
projections situées aux deux côtes de la LT, inverser par rapport à ladite ligne.
Pour déterminer l’étude du point, l’étudiant doit être capable de réaliser ses exercices de
systématisation et de contrôle avec rapidité, Ainsi on doit être capable de représenter et
interpréter en isométrique, perspective cavalière ou plan de projection vue de profil
quelconque de point situé dans les quadrants ou plans de projection , dont le cas doit préciser
dans le demi-plan.
L’étude de la droite doit commencer jusqu’à l’accomplissement de ce qui a été dit avant,
parce que quand on manipule avec habiliter le point on peut aborder avec succès l’étude de
la droite.

2.4. LA DROITE
2.4.1 Généralités
Durant l’expérience « 1.3.1» a démontré que les arêtes des corps limitées par les faces planes
sont représentés graphiquement dans une surface plane à travers le segment de droite, tant
dans la projection conique comme dans la projection cylindrique.
La droite est aussi le produit de l’abstrait géométrique, c’est illimité et la longitude infinie ;
De la géométrie Elémentaire on sait qu’un point divise une droite en deux demi-droites, Si un
point est situé dans une droite on dit que le point appartient à la droite, que la droite passe
par le point ou que le point est contenu dans la droite.
Deux points fixes dans l’espace déterminent une droite seulement une ;
Comme résultat d’expériences visuelles on peut arriver aux principes fondamentaux suivants,
concernent les projections d’une droite dans le système de dièdres ;
1. Une droite se représente dans le système de dièdres à travers deux (2) de ces points.
Lesquels la déterminent.
Pour faciliter la communication, les points de ce couple peuvent s’appeler gauche et
droite, inferieur et supérieur ou avant et après, selon ce qui convient.
2. Une droite AB est donnée dans le système de dièdres, après le rabattement, par ses
deux projections orthogonales (ab, a’d’), d’où ab identifie les projections de la droite
AB dans le plan de projection (pH). * ab identifie la projection de la droite AB dans
le plan horizontal de projection (pH), et a’b’ identifie a la projection de dites droite
dans le plan vertical de projection (pV).
3. La position d’une droite par rapport aux plans de projection est définie par la cote et
l’éloignement du couple de points qui la déterminent
4. Une droite se représente dans le système de dièdres par ses deux projections
orthogonales, c’est-à-dire, par deux droites ou par un point et une droite ;
5. Une droite peut s’interpréter dans le système dièdre, dessus de rabattement comme la
projection d’une droite ou comme un plan vu de profile (champs) ;
6. Un segment de droite peut être interpréter dans le système dièdre, depuis le
rabattement, comme la projection d’une arrête vue de frontale ou en du profile, ou
comme une des projections d’une surface plane vue de profile,
7. Une droite peut être située dans un des plans de protection ou dans un quadrant;

2.4.2 Positions de base de la droite


Durant l’analyse de la réalité visible on observe que les arêtes des droites peuvent
occuper trois positions de bases dans l’espace réel, et que ces dites positions, qui est
relationnel avec la direction de la force de gravite son verticales(V), horizontale(H)
et inclinée (I).
Par abstraction on peut considérer que toute arrête a une droite supporte, et
autrement les positions basiques on peut appliquer aussi a des droites par
généralisation. C’est là que qu’on considère que la droite aussi trois positions
basiques, c’est, vertical (V), horizontal(H) et incliner(I).

2.4.3 Positions par rapport à ces plans de projection


Une droite peut avoir trois relations de positions par rapport à chaque plan de
projection.
De la position d’une droite par rapport au plan horizontal (pH) que, peut-être
parallèle au (pH) (II pH), perpendiculaire au (pH) (L pH), oblique(pH) (L pH),
vienne donnée après de l’abattement par la relation entre la vue de face de la droite et
la LT, qu’aux effets d’interprétation représenta au plan horizontal de projection (pH)
vue de profil ou laterale. Ainsi, la position d’une droite par rapport au plan, qui peut
être) (II pH), (L pH), ou
(L pH), vient donnée du rabattement par la relation entre la vue supérieur de droite
et au LT, qui a les effets d’interprétation équivalent au pV vue des champs ou de
profil.

2.4.4. Modes d’observer les droites


On peut regarder une droite de trois manière distinctes dans chaque projections
orthogonales, c’est à dire dans l’infini, à savoir ;
- Frontalement F,
- De point au de dessus ou vue en plan P ;
- De profile ou laterale(raccourci) P ;
La manière d’apprécier ou de regarder une droite dans chacune de ses projections, se
déduit facilement lorsqu’on sait interpréter la droite objectivement.
2.4.5. Interprétation
Comme nous l’avons exprimé dans antérieurement, une des objectifs essentielles de la
géométrie descriptif est de reconstruire mentalement les objets tri -dimension aux ;
donnés par ses représentations bidimensionnelles. Ce processus logique s’appelle
interprétation. L’interprétation des droites représentées dans le système de dièdres,
requière un entrainement pouvant s’utiliser facilement applique les concepts de
cote, éloignement et les contenus dans les trois, c’est-à-dire, ladite interprétation a
quatre aspects à déduire des projections des droites ;
a /-les relations entre la cote et l’éloignement de deux de ses points ;
b /-la position de base de la droite ;
c/- la position de celle-ci par rapport a ses deux projection;
d/ -la manière qu’on aperçoit la droite.
On appelle interprétation objective d’une droite donnée par deux de ces points
l’action de situer un crayon par exemple dans un dièdre forme par une cartatuline
pliable ou un carnet en accord avec l’information qui alimente la représentation de
ladite droite dans le système de dièdres . En interprétant objectivement la droite AB
donnée dans (l’illustration. 2.4.5.C), on observe la suivante :
1-la vue de face indique que le point A, situe à gauche a plus de cote que B, c’est-à-
dire, on situe le crayon avec extrémité gauche plus haut que la droite.

2- la vue supérieure n’exprime que le point A est plus éloigné que B, Maintenant plus
haut le croyons par son extrémité gauche, on le donne plus d’éloignement que celui
d’extrême droite ; En plus on doit noter que le point a plus de cote que l’éloignement
et que la cote du point B est petit que son éloignement.
3- Une fois situe le crayon dans la position indique,
On arrive à des conclusions suivantes :
a) - La position de base de la droite A B est inclinée(i)
b) - la droite est oblique au plan vertical de projection et oblique au Plon horizontal de
projection, parce que le crayon l’indique ainsi.
c)- la droite se voit en raccourci ou latéral (E), dans les deux (2) vues.
Egal que se fait avec le point, on insiste dans la nécessité de réaliser les exercices de
systématisation qui complémente cette étude. Son importance se met de manifeste par la
facilite que représente pour l’auto étude, dans la communication enseignement -étudiant ou
vice versa, et en plus, par son caractère instrumental durant la solution des problèmes qu’on
aborde plus tard.
2.4.6 Les plans de projections d’une droite
Toutes les projections des points infinis d’une droite oblique au plan pV et plan pH, ne
contient dans perpendiculaire à la LT, déterminent un plan perpendiculaire au pV et autre
perpendiculaire au pH. Qu’on on appelle projetant aux plans de (pH), respectivement (illust.
2.4.6 A). Comme cas particulier, une droite (verticale ; horizontale ou oblique) peut avoir un
même projetant au plan pV et pH, dont ce cas, le plan projetant sera perpendiculaire à la LT.
D’autre cas particulier se présente lorsque la droite est perpendiculaire z une de plans de
projection, dans ce cas on aura les infinis des plans à ces plan de projection.
2.4.7. Les traces d’une droite

Toute droite qui se croise avec la ligne de terre LT coupera aux deux (2) plans de
projection ou à une un d’entre eux. On appelle les tracés d’une droite, les points
d’intersection de celle-ci avec le plan de projection. Les traces d’une droite.
Les tracés d’une droite sont les points de la cote zéro(0), d’éloignement zéro(0), c’est
dire, les points contenus dans le pH, ou dans le pV, respectivement.
de là que nous identifions à ces points avec les lettres H (h,h’)et V(v,v’). De
l’ordinaire on s’habitue de tracés avec ligne continue la partie de la droite comprise
dans le premier quadrant et avec la ligne discontinues la partie de la droite comprise
dans le premier quadrant et avec les lignes discontinues les parties occultées, pour
résoudre derrière du pV et en bas du pH( illust. 2.4.6 C).
C’est convenable rappeler qu’une droite peut adopter trois (3) positions de base dans
l’espace : la position horizontale, verticale, ou inclinée, et en plus une droite peut être
situe dans trois (3) positions par rapport aux points de projections ,c’est a dire , peut
,être parallèle, perpendiculaire ou oblique à chacun d’eux ; Pour établir un ordre
dans l’analyse et une détermination des tracés des droites, nous procèderons en
accord avec ce qui est exposée précédemment .
Les droites horizontales.
a) il n’y en a pas de tracés dans le pH parce qu’ils sont parallèles au pH,
b) pour cela seul elles peuvent avoir le tracé dans le pV
c) cependant, quand ils sont parallèles au pV, non plus elles ont le tracé dans le
plan pV,
Les droites verticales :
a) il n’y en a pas de tracés dans le pV parce qu’ils sont parallèles au pV,
b) c’est dire que, seule elles ont un tracé dans le Ph ;
A travers des expériences avec les modèles tridimensionnelles, l’étudiant doit
procéder tous ces principes référents à travers des droites, mais en plus on doit
exercer à travers les interprétations les objectifs et dessiner les droites en
considérant les plans de projections vue de champs .

2.4.8. Détermination des tracés d’une droite


Pour déterminer le tracé H (h, h’) d’une droite, donné par des projections de deux de
ses points, suffira de prolonger sa vue de face jusqu’à sa cote soit zéro(0), c’est-à-
dire, jusqu’à ce se rencontre a la LT, d’où on aura la projection (h’) ;
L’autre projection(h) sera contenue dans la vue supérieure de la droite et en plus dans
une ligne de référence que passe par h’ (illust .2.4.6 E).
La tracé V se détermine en prolongeant la vue supérieure de la droite jusqu’à ce que
son éloignement soit zéro (0), c’est-à-dire, jusqu’à ce qu’il rencontre la LT, d’où on
rencontre la projection (V).
L’autre projection (V) est contenue dans une ligne de référence qui passe par (V) et,
en plus, dans la vue de face de la droite ;
La détermination des tracés d’une droite inclinée ; capable d’être contenu par un
point perpendiculaire à la LT, se résout facilement en dessinant la droite dans le plan
de projection vue de champs ; (illust .2.4.6 F).Cette procédure résout de la manière
générale, le problèmes de déterminer les traces et les quadrants par lesquelles passe
une droite donnée par deux(2) de ces points.

2.5 Le Plan

2.5.1 Généralités
Le concept de plan est le produit de l’abstraction. Le plan est limité, d’extension
infinie. Manque d’épaisseur. Si une droite est située dans un plan, on dit que : c’est
une droite du plan, que le plan passe par la droite, ou que le plan contient la droite.
Une droite d’un plan divise cette droite dans le les deux demi-plans. A travers un
point situé dans un plan on peut tracer des droites des directions infinies contenues
dans ladite droite.
2.5.2 Positions de bases
Comme nous connaissons que les faces planes des corps peuvent occuper trois
positions de bases dans l’espace réel : horizontal, vertical, et incliné.
2.5.3 Généralités
Aux effets de faciliter la solution divers problèmes, /
Le plan peut être considérer, engendrer par la translation d’une droite qui s’appelle
la génératrice La génératrice, dans son mouvement de translation, se maintien
parallèle en elle-même, en coupant constamment l’autre droite, de direction distincte
qui s’appelle directrice.

1. Un plan horizontal seul peut se considérer engendrer par les génératrices


horizontales ;
2. Un plan incliné peut être considérer engendrer par le mouvement d’une
génératrice horizontale, ou par le mouvement des génératrices inclinées;
3. Un plan vertical peut se considérer engendre par :
a) Le mouvement d’une génératrice horizontale ;
b) Le mouvement d’une génératrice verticale ;
c) Le mouvement des infinies génératrices inclinées ;

2.5.4 Représentation du plan


La position d’un plan dans l’espace est déterminée par :
a) Trois points non alignés;
b) Une droite et un point hors de lui ;
c) Deux(2) qui se coupe;
d) Deux(2) droites ;
En géométrie Descriptive on utilise, généralement, le cas de deux (2) droites qui se
coupent, et encore, en partant du critère que le plan est illimité, on considère
comme la représentation suffisante du plan. Ce qui affecte à travers de ses deux
traces ou droites d’intersection du plan avec les projections. Le point dans
lequel un plan quelconque coupe la LT, Sera aussi commun aux deux (2)
projections et, consécutivement, sera à la fois dans ses deux traces. De ce qui a été
vue on déduit que les traces d’un plan coupent la LT dans le même point. Nous
appellerons les plans par ces tracés, avec les derniers lettres majuscules de
l’alphabet, accentuée ce qui correspond au tracé du plan avec le pV.

2.5.5 Position par rapport aux plans de projection.


Par rapport à la position dans l’espace, les plans peuvent avoir diverses positions par
rapport aux plans de projection.
Un plan horizontal sera toujours parallèle au pH, et perpendiculaire au pV.
Cependant,
un plan vertical sera toujours perpendiculaire au pH, mais peut etre parallèle,
perpendiculaire ou oblique au plan vertical (pV).
Un plan incliné sera toujours oblique au plan (pH). Mais peut etre pourra etre
perpendiculaire ou oblique au plan pV. Une position fréquente s’applique souvent au
Dessin Technique, c’est celle dans lequel plan incliné est parallèle à la LT.
L’étudiant doit analyser les positions des tracés par rapport à la LT, dans tous les
cas exposés (voir l’illust. 2.5.5).

2.5.6 Plans projetant.


Comme on a vu dans le point (2.4.5 ; l’interprétation) reçoivent le nom dues plans
de projections les plans perpendiculaires aux plans de projection. Ces plans sont de
grandes utilités dans la solution de divers problèmes. Entre les plans projetant nous
devons développer, par son utilité, ceux qu’on appelle projetant de base (voir l’illust.
2.5.6).
2.5.6 Les droites des plans.
Le concept de génératrice est extraordinaire importance pour faciliter la solution de divers
problèmes pratiques, surtout, quand interviennent les plans inclinés. D’où l’importance de la
représentation et interprétation de la génératrice des plans inclinés. Comme on sait, un plan
incliné peut etre considerer engendré par un système de générations horizontales ou par des
infinies systèmes de générations inclinées. De tous systèmes de génératrices nous intéresse
trois (3) :
1. Le système de génératrices horizontales;
2. Le système de génératrices inclinées parallèles au pV ;
3. Le système de génératrices inclinées perpendiculaires aux
génératrices horizontales. Les génératrices de ce système s’appelle
les droites de maximale pente maximale;
L’exécution de l’exercice de systématisation (2.5.7) ; c’est
fondamental comme complément de cette étude.

2.5.8 les projetions des figures planes.

Etant donné que les corps géométriques qu’on manipule dans le Chapitre 5, avec
l’exception de la sphère, tous requièrent la construction des figures des plans, c’est
convenable exercer préalablement la construction des projections des figures planes,
raison pour laquelle c’est important d’analyser les constructions des projections
données, dans l’exercice de systématisation (2.5.8)
Dans le cas de cercle, on doit tenir compte, comme principe fondamentale ; que son
plan est donné par deux diamètres conjugués, c’est à dire, par deux diamètres qui se
coupent perpendiculairement. En plus, le cercle doit être manipulé en se référant du
carré qui le circonscrit.

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