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LA FRANCOPHONIE

Élève: Bucsan Angelica


Le Lycée Théorique “Panait Cerna”
Professeur: Narazu Teodorina
Le 20 mars – Journée internationale de la
Francophonie

Chaque année, le 20 mars, les Etats membres et observateurs de


l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), de cinq
continents, fêtent la Journée internationale de la Francophonie.
La Roumanie marque cet événement, conjointement avec les
autres 74 membres et observateurs de l’OIF, par une série
d’actions culturelles, artistiques et éducationnelles organisées en
Roumanie et à l’étranger, par le biais des missions diplomatiques
roumaines.
Comme dans les années précédentes, le Ministère des Affaires
étrangères célèbre la Journée internationale de la Francophonie,
en coopération avec le Ministère de la Culture et du Patrimoine
national, le Groupe des ambassades, délégations et institutions
francophones accréditées à Bucarest, avec la presse et d’autres
operateurs francophones dans l’esprit du dialogue et de la
solidarité spécifique à la francophonie.
l'importance de la francophonie

La Francophonie a pour missions de : Promouvoir la langue


française et la diversité culturelle et linguistique. Promouvoir la
paix, la démocratie et les droits de l'Homme. Appuyer
l'éducation, la formation, l'enseignement supérieur et la
recherche.

Origines de la francophonie en Roumanie


L’intérêt des Roumains pour la France remonte au XVIIIème siècle, époque où les
Princes phanariotes administraient le régime ottoman. Dans les "Académies"
instituées par les phanariotes, l’enseignement était dispensé en grec, à partir de
manuels traduits du français. A noter en 1771-1772, la parution en roumain,
traduites directement du français de plusieurs œuvres de Voltaire, suivies en 1772
de la traduction en roumain de l’ouvrage de Fénélon, Les aventures de
Télémaque. En 1776, à la suite de la réforme de l’enseignement, entreprise en
Valachie par le prince Alexandre Ipsilanti, le français devient matière obligatoire
au programme de l’école supérieure de Bucarest.
Langue des idées et langue de culture, le français est porté par les
secrétaires des princes régnants de Moldavie et de Valachie, locaux ou
français, comme Pierre De La Roche, secrétaire en 1758 pour les
Affaires étrangères du Prince moldave Jean Callimaky, qui devient en
même temps le premier Français à remplir les fonctions de précepteur
des enfants du prince, ou bien le comte de Hauterive, secrétaire du
Prince Ipsilanti et auteur du Mémoire sur l’état ancien et actuel de la
Moldavie, en 1787.

Les années 1920 et 1940 furent la grande époque


"française" de la Roumanie. Ce pays était le premier
client étranger de l’édition parisienne. Paul Morand
évoquait dans Bucarest (Plon, 1935), le "Petit Paris"
qu’était la capitale roumaine. Hélène Vacaresco, Anna
de Noailles, la Princesse Bibesco faisaient briller la
culture roumaine dans les salons parisiens. La Reine
Elisabeth traduisait en français les légendes populaires
roumaines sous le pseudonyme de Carmen Sylva, et la
Reine Marie publiait Histoire de ma vie chez Plon en
1938.
Représentation
TRADITIONNELLE de la
francophonie
Au centre était la France. Après, au premier cercle, les pays dans lesquels le
français était langue maternelle. Au deuxième cercle, les pays où le français
était la langue nationale, ou langue officielle. Ensuite, les pays où le français
était langue de communication ou de culture.
Relations entre la France et la Roumanie

Les relations entre la France et la Roumanie sont des relations internationales


s'exerçant au sein de l'Union européenne entre deux États membres de l'Union, la
République française et la Roumanie. Elles sont structurées par deux ambassades,
l'ambassade de France en Roumanie et l'ambassade de Roumanie en France.
Les deux pays sont membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord
(OTAN) et de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF).

Histoire

Les relations entre la Roumanie et la France sont des relations complètes, politiques, culturelles
et économiques, bien qu'assez récentes historiquement, puisqu'elles ne deviennent officielles
qu'avec la reconnaissance internationale de l'indépendance de la Roumanie en 1878.
Durant la Renaissance et surtout à partir du XVIIIe siècle les boyards et les princes des
principautés roumaines de Moldavie et de Valachie ont des majordomes, secrétaires,
précepteurs, cuisiniers, nourrices venus de France et influencés par l’esprit des Lumières ; la
noblesse roumaine et la bourgeoisie des deux principautés commencent à devenir francophiles
et francophones, phénomène qui culminera au début du XIXe siècle et perdurera jusqu’au milieu
du XXe siècle.
Histoire de France

L'histoire de la France commence avec les premières occupations humaines du territoire


correspondant au pays actuel. Aux groupes présents depuis le Paléolithique et le Néolithique,
sont venues s'ajouter, à l'Âge du bronze et à l'Âge du fer, des vagues successives de Celtes, puis
au IIIe siècle de peuples germains (Francs, Wisigoths, Alamans, Burgondes) et au IXe siècle de
scandinaves appelés Normands.

Le nom de la France est issu d'un peuple germanique, les Francs. Clovis (466-511), roi des Francs saliens,
scelle par son baptême à Reims l'alliance de la royauté franque avec l'Église catholique. Il unit les tribus
franques salienne et ripuaire et conquiert un ensemble de territoires en Gaule et en Germanie qui sont
agrandis par ses descendants mérovingiens, puis par la deuxième dynastie franque des Carolingiens fondée
en 751. Charlemagne en particulier conquiert la Basse-Saxe dans le Nord de l'Allemagne, le royaume lombard
en Italie et constitue une marche à l'est qui deviendra l'Autriche.
La Révolution française (1789-1799)

L'année 1789 est riche en événements historiques. Incapable d'établir un impôt universel, Louis XVI a
convoqué les États généraux pour le 5 mai 1789 à Versailles. Les députés du tiers état parviennent en deux
mois et sans violence à mettre fin à la monarchie absolue avec l'aide d'une partie du clergé et de la noblesse,
en se faisant reconnaître comme assemblée nationale à la suite du serment du jeu de paume, prêté le 20 juin
1789. Le 14 juillet 1789, les Parisiens, exaspérés par la crise économique, l'instabilité gouvernementale et
redoutant l'arrivée de troupes autour de Paris, prennent d'assaut la Bastille, accélérant ainsi le processus
révolutionnaire initié par les députés, en faisant plier un symbole de l'absolutisme royal. En effet, le 17 juillet,
le roi, venu à l'hôtel de ville de Paris entériner les nouvelles institutions parisiennes nées de la prise de la
Bastille, accepte de porter la cocarde tricolore : le blanc, la couleur royale, entouré des deux couleurs de la
garde municipale de Paris, le bleu et le rouge. Cette association de couleurs préfigure le drapeau tricolore qui
est utilisé à partir de 1794 pour symboliser la république. À la fin du mois de juillet 1789, les campagnes sont
agitées par la Grande Peur, une révolte contre les droits féodaux. Pour mettre fin à l'agitation les députés
votent dans la nuit du 4 août 1789, l'abolition des privilèges et des droits féodaux. Même si ces derniers sont
déclarés rachetables lors de la rédaction des décrets des 4, 6, 7, 8 et 11 août 1789, cette date marque la fin
de l'Ancien Régime et le début d'une nouvelle société. La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen
votée le 26 août 1789 en est l'acte de baptême. Ce texte reconnaît l'égalité des citoyens devant la loi,
consacre la souveraineté nationale et légitime le droit à la résistance à l'oppression. Avec le retour forcé du
roi à Paris les 5 et 6 octobre 1789, la Révolution semble avoir atteint ses buts : faire naître une monarchie
parlementaire en rabaissant le prestige du roi et en restreignant ses pouvoirs. Le 14 juillet 1790, un an après
la prise de la Bastille, la fête de la Fédération célèbre, sur le Champ-de-Mars à Paris, la réconciliation
nationale et l'unité de tous les Français. La mémoire de ces deux dates a conduit à adopter, en 1880, la date
du 14 juillet comme fête nationale de la République française.
Crises et succès de la République

La devise républicaine dans une couronne de chêne et de drapeaux tricolores, appuyée sur un
faisceau de licteur et surmontée d'un bonnet phrygien. Au premier plan, un coq gaulois, un
canon et un obusier. Estampe anonyme, 1793.
À l'automne les armées de la Révolution occupent les Pays-Bas autrichiens, la rive gauche du
Rhin, la Savoie et Mulhouse. Danton fait sienne la théorie des frontières naturelles et
encourage les guerres de conquête bien loin de l'idéal révolutionnaire de libération des peuples
opprimés. À Paris, la nouvelle assemblée élue au suffrage universel pour voter une nouvelle
constitution, la Convention, est occupée par le procès du roi à partir de décembre 1792. Son
exécution le 21 janvier 1793 soulève l'indignation de l'Europe monarchiste et entraîne la
formation de la première coalition en février.
Webographie: www.wikipedia.com
www.francophonie.org
www.mae.com

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