Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Elaboré par
ABIDI Asma
ELAKOURI Mohamed Dhafer
Encadré par
Mr. HIDOURI Abdelmoumen ISET Gafsa
Mr. MLIK Said ATTT Tozeur
L3-CFM6/PFE N°10
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE..........................................................................................................1
CHAPITRE 1 : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE ..................................................................................2
1. Introduction : .............................................................................................................................2
2. Définition de ripage et l’angle de ripage ...................................................................................2
2.1. Définition de ripage ...........................................................................................................2
2.2. Valeur de ripage ................................................................................................................2
3. Géométrie de la direction ..........................................................................................................3
3.1. Le parallélisme ...................................................................................................................4
3.2. Le carrossage .....................................................................................................................5
3.2. Angle divergée (pincement) ...............................................................................................6
3.4. Angle convergée (ouverture) .............................................................................................6
3.5. Angle de Chasse .................................................................................................................7
3.6. Inclinaison des pivots .........................................................................................................7
4. Les types de banc de ripage.......................................................................................................8
5. Conclusion partielle...................................................................................................................8
Chapitre 2 : ANALYSE DE LA VALEUR .......................................................................................11
1. Introduction .............................................................................................................................11
2. Analyse du besoin ...................................................................................................................11
2.1. Saisir le besoin .................................................................................................................11
2.2. Enoncer le besoin .............................................................................................................11
2.3. Validation de besoin ........................................................................................................12
2.4. Diagramme pieuvre ..........................................................................................................12
2.5. Validation des fonctions de services ................................................................................13
2.6. Cahier de charges fonctionnelles .....................................................................................14
3. Hiérarchisation des fonctions de service .................................................................................14
4. Analyse fonctionnelle technique .............................................................................................15
4.1. Définition .........................................................................................................................15
4.2. Modélisation : (Diagramme SADT) ................................................................................16
4.3. Diagramme FAST ............................................................................................................16
5. Proposition de solutions : ........................................................................................................17
5.1. Introduction : ....................................................................................................................17
5.2. Présentation des solutions : ..............................................................................................17
5.2.1. Première solution : ....................................................................................................17
LISTE DE TABLEAUX
INTRODUCTION GENERALE
La géométrie sur un véhicule est l'ensemble des caractéristiques du système de liaison entre
la caisse et la roue du véhicule. Un mauvais réglage de la géométrie entraîne une usure très rapide
des pneus ou une dérive du véhicule. Il est préconisé de contrôler la géométrie de son véhicule
régulièrement. Un contrôle de la géométrie et son réglage au moins tous les ans est indispensable
afin d'optimiser les angles ainsi que les alignements du véhicule. Tous ces ajustements sont réalisés
en conformité avec les informations constructrices.
Suite au cahier de charge dépose par l’ATTT (agence technique de transport terrestre), par
l’étude et la conception d’une plaque de ripage ambulante au une précision moyenne et un
encombrement réduit
Pour pouvoir évaluer les paramètres de ripage, plusieurs machines et outils est conçus et
exploités en se basant sur différents critères. C’est dans ce cadre s’installe notre travail de projet de
fin d’études. En effet ; nous étions appelés à concevoir et fabriquer un banc d’essai de ripage
portatif ou mobile qui pourra être utilisé, dans l’enseignement, à notre ISET. Tous les travaux que
nous avons faits sont rédigés dans ce rapport.
Ce rapport est divisé en cinq chapitres. Dans le premier chapitre, ’’recherche bibliographique’’
nous avons donné la définition de ripage et leur angleet nous avons presenté la definition de
dérapage et de leur angle.Nous avaons mis l’accentl’étude de géometrie de suspension.Enfin,nous
avons présenté succinctement dans un tableau les types des bancs de ripage.
1. Introduction :
Une étude de projet commence toujours par la collecte des informations qui pourraient faciliter
l’imagination de la solution technologique. Toutes les informations collectées sont présentées dans
ce chapitre avec une discussion rigoureuse de leurs points forts et leurs points faibles.
Même si le seuil est dépassé, le ripage au contrôle technique impose une contre-visite, et la
modification du parallélisme des pneus. De même, le ripage excessif n’entraine pas de
contravention, mais puisqu’il conduit à une usure rapide des pneus.
3. Géométrie de la direction
Le terme de « géométrie » est parfois confondu, a tout, avec celui de « parallélisme », lequel
n'étant en-fait que l'un des paramètres de la géométrie de direction.
C'est essentiellement la géométrie de la direction qui influe sur la tenue de route du véhicule.
Tout le travail d'un concepteur de véhicule est de définir cette géométrie pour obtenir un
comportement optimal en termes de tenue de route, donc de sécurité active, de confort et
d'endurance.
Les différents paramètres existants de la géométrie de direction sont présenté sur le type « double
bras en triangles oscillants ». En effet, il propose un grand choix de réglages de géométrie. Bien que
cette configuration soit de moins-en-moins utilisée, les différents paramètres de cette géométrie sont
transposables aux autres types de direction.
Dans les différentes descriptions qui suivent le « plan de roue », perpendiculaire à son axe de
rotation et placé à une distance médiane des flancs du pneumatique, est souvent désigner « la
roue ».
Pour orienter les roues, la méthode universellement adoptée consiste à monter leur fusée sur un
pivot. Mais les positions relatives des axes des roues et des axes des pivots de fusée obéissent à des
lois spéciales de conception et de construction correspondant aux phénomènes particuliers qui se
produisent lorsque le véhicule se déplace surtout à grande vitesse.
Pour une voiture roulant le plus souvent en ligne droite, on cherche toujours à obtenir qu’elle
suive naturellement une trajectoire rectiligne, sauf action du conducteur. On apprécie également le
fait que, après un virage, la direction revienne d’elle-même à la position en ligne droite. D’autre
part, une voiture ne roulant pas toujours sur un sol parfaitement plan, loin qu’il en faut, il importe
que la rencontre d’un obstacle par une roue ne provoque pas une réaction de braquage qui aurait une
influence sur la direction. Enfin, il est pratiquement impossible de placer l’axe de braquage de la
roue exactement dans le plan médian de celle-ci. Ainsi se trouvent résumés rapidement les facteurs
qui poussent les constructeurs à incliner l’axe de braquage de la roue par rapport à la verticale, et la
fusée par rapport à l’horizontale.
3.1. Le parallélisme
Le parallélisme correspond à l'angle formé par la projection des roues au sol et l'axe
longitudinal de la voiture. Lorsque les roues convergent vers l'avant, on parle de pincement (positif)
et lorsque les roues divergent on parle d'ouverture (ou de pincement négatif). Pour obtenir une
bonne stabilité en ligne droite, quand le véhicule roule, il ne faut pas que les pneumatiques soient en
ripage.
Pour cela, il faut que :
• Les deux roues d'un même essieu soient parfaitement parallèles.
• Les essieux AV et AR soient parfaitement alignés.
Les éléments des trains roulants ont obligatoirement du jeu (fonctionnels, montages
élastiques...). Les effets de la poussée, de la traction, du carrossage, des réactions en virage,...
nécessitent qu'à l'arrêt on prévoit de l'ouverture ou de la fermeture afin qu'en roulage, lorsque les
jeux s'éliminent, les roues se retrouvent parallèles pour permettre une bonne stabilité et pas d'usures
anormales des pneumatiques. On donne en général des valeurs de pincement positives aux
véhicules à propulsion arrière et des valeurs de pincement négatives (ouverture) aux tractions avant.
En fonction des documents et des constructeurs la valeur de réglage de parallélisme est donnée soit
en mm auquel cas cela correspond à la différence entre les longueurs A et B au niveau des bords
diamétralement opposés de chaque jantes, soit en degré auquel cas cela correspond à l'angle α. Il est
bien sur possible de convertir les valeurs d'angles de parallélisme en mm et vice versa grâce à des
formules relativement compliquées et indigeste.
C’est l'angle entre la roue et le plan perpendiculaire au sol suivant l'axe longitudinal du véhicule.
On mesure cette valeur en degrés et minutes.
Pour maintenir le pneu perpendiculaire au sol lorsque l'automobile prend du roulis. On donne un
carrossage négatif au repos. Normalement, le carrossage est réglé (et fixé sur les voitures de série)
de manière à avoir une usure uniforme (cylindrique) du pneu.
Un carrossage fortement négatif est de bonne adhérence en virages, mais faible adhérence en
accélération/freinage en ligne droite (le pneu n'est pas vraiment « bien à-plat » sur la route lorsque
les roues ne sont pas appuyées en virage).
À l'inverse, un carrossage négatif faible favorisera les reprises en ligne droite et pénalisera les
vitesses de passage en courbe.
Sur les voitures sportives fréquentant les circuits la valeur de carrossage optimale à employer,
pour un circuit donné, est évidemment le fruit d'un compromis, car là où la voiture gagnera en
motricité dans les virages, elle perdra en reprise et freinage en lignes droites. Cette valeur optimale
est déterminée grâce à un thermomètre, que l'on place en trois points de la bande de roulement du
pneu : l'intérieur, le milieu et le bord extérieur. En effet, lorsque la bonne valeur de carrossage a été
trouvée, la température mesurée doit être quasiment uniforme sur toute sa largeur, preuve qu'un bon
compromis entre adhérence en virages et tenue en ligne droite a été réalisé.
Sur les voitures à suspensions avant de type McPherson réglables le réglage s'effectue au niveau
des chapelles d'amortisseurs. La plupart du temps, grâce à des vis s'insérant dans des crans gradués.
On dit qu'il y a « pincement » quand les plans de roues tendent à se croiser devant le train
roulant étudié. On mesure cette valeur en degrés et minutes.
On dit qu'il y a « ouverture » quand les plans de roues tendent à se croiser derrière le train
roulant étudié. On mesure cette valeur en degrés et minute.
Figure 1.7: Cet angle positif (ouvert) avec un angle négatif (fermé) [2]
La chasse est comme expliqué ci-dessus, une inclinaison du pivot de fusée dans le plan
longitudinal. L’inclinaison du pivot proprement dit est une inclinaison dans le plan vertical
transversal à l’axe de la voiture. C’est à dire que le sommet du pivot de fusée se trouve basculé vers
le centre de la voiture. Cette inclinaison est toujours de même sens, et il n’existe donc pas
d’inclinaison « négative » des pivots. Le principal bénéfice de l’inclinaison des pivots est d’éviter
toute réaction de la direction lorsqu’une roue rencontre un obstacle.
Figure 1.8: Inclinaison dans le plan vertical transversal à l’axe de la voiture [3]
5. Conclusion partielle
Dans ce chapitre , nous avons présenté la définition de ripage et leur angle,et nous avons donné
la definition de dérapage et de leur angle.Ensuite on met l’accent sur l’étude de géometrie de
direction . Finalement,nous avons présenté succinctement dans un tableau les types des bancs de
ripage.
1. Introduction
Compte tenu de ce qui a été dit dans le premier chapitre, notre but, dans ce chapitre, est de
proposer quelques solutions pour concevoir un banc de ripage d’automobile et de choisir, suivant
les avantages et les inconvénients de chaque solution, celle qui convient pour notre analyse.
Pour choisir une solution optimale, nous commençons par une analyse fonctionnelle du
besoin qui est la première phase de conception d’un projet. Il est donc obligatoire de rechercher des
solutions techniques qui doivent satisfaire les fonctions de service.
2. Analyse du besoin
Les systèmes techniques se venir d’un besoin à satisfaire. Donc avant l’étude de conception il est
important de faire une analyse fonctionnelle pour placer la solution recherchée dans un milieu de travail.
La démarche de l’analyse est la suivant
- Saisir le besoin
- Enoncer le besoin
- Valider le besoin
2.1. Saisir le besoin
Ce besoin consiste à tester la direction de voiture.
2.2. Enoncer le besoin
Il s’agit d’exprimer avec précision le but et les limites de l’étude on posant les trois questions suivantes
- A qui rend le système
- Sur qui agit-il
- Dans quel but le produit existe-il
Pour cet effet on utilise un outil appelé : Diagramme bête à cornes
Utilisateur Voiture
Puisque que le besoin soit défini, on va essayer de voir sa stabilité dans le temps, Il faut
s'assurer que ce besoin est continu et évolutif pour une période suffisante. L’outil comporte les trois
questions suivantes qui permettent de valider notre besoin.
Cette méthode est utilisée pour analyser les besoins et identifier les fonctions de service d’un
système.
Pour chaque couple de fonctions, on utilise une variable réelle positive qui quantifie le degré
d’importance relative, et ceci selon le tableau suivant :
Tableau 2.4: Degré d’importance de fonction de services
Note Degré d’importance relative
0 Equivalence
1 Légèrement supérieur
2 Moyennement supérieur
3 Nettement supérieur
• On va maintenant comparer les différentes fonctions de service par la méthode de tri croisé afin
de dégager les fonctions les plus importantes
FC5 0 0
Total 37 100
20
0
FP FC1 FC2 FC3 FC4
FC5
SERIE 1
• Conclusion
On remarque que la fonction de service FP «Permettre à l’opérateur de tester la direction de
voitures» présente le pourcentage le plus important. On remarque que la fonction de service FC5 « Plaire à
l’œil » présente un pourcentage nul.
4.1. Définition
L’analyse fonctionnelle dépendante permet de modéliser et de décrire graphiquement le
système. Nous procédons par l’analyse successive dépendante, c'est-à-dire en allant du plus général
vers le plus détaillé en fonction des besoins. Pour arriver à créer un dossier technique d’avant-projet
nous devons procéder de la manière suivante : Etudier puis concevoir.
Il existe de nombreux outils et diagrammes pour pratiquer l’analyse fonctionnelle tels que :
- Diagramme SADT
- Diagramme FAST
4.2. Modélisation : (Diagramme SADT)
5. Proposition de solutions :
5.1. Introduction :
Pour trouver la meilleure solution, il est nécessaire de procéder à une recherche progressive et
descendante des fonctions techniques à partir de chacune des fonctions de service.
5.2. Présentation des solutions :
Pour répondre aux exigences de cahier des charges fonctionnelles précédant, nous avons proposé
les solutions suivantes
1) Tapis ;
2) rouleaux ;
3) Corps ;
4) Couvercle.
1) Tapis
2) corps
3) roue
4) Carte Arduino
✓ La 1ere partie : Contient le corps principal qui est composé d’un potentiomètre, d’une carte
Ardiuno et des billes ;
✓ La 2eme partie : Contient la partie mobile reliée au tapis ;
✓ La 3eme partie : le tapis.
Dans cette solution, on va changer l’élément de glissement par des billes pour diminuer les
surfaces de contact. Les billes donnent des surfaces réduites par rapport à l’autre solution.
➢ C1 : Utilisation simple.
➢ C2 : Localiser et déterminer l’origine des défauts.
➢ C3 : Etanchéité.
➢ C4 : Corrosion.
➢ C5 : Coût.
Tableau 2.6: Qualification de l’intérêt de critère de choix pour une solution donnée
Note Intérêt pour la solution
1 Douteuse
2 Moyenne
3 Bien adaptée
Pour chaque solution, nous avons attribué à chaque critère une note qui varie de 1à 3 comme
indique le tableau suivant :
Pour un utilisateur donné, chaque critère de choix de solution a un degré d’importance traduit par
un coefficient de pondération bien déterminé. En adaptant à chaque critère un coefficient de
pondération K compris entre 1 et 5, nous pouvons obtenir une note pour chaque solution. Soit :
K si K j N i
(0.1)
Avec :
D’après les résultats précédents, la solution S3 est globalement la plus intéressante. En effet, elle
possède la note la plus élevée par rapport à les et solutionsS1 et S2 .C’est donc la solution (S3) qu’il
faut retenir.
7. Conclusion partielle
Tout au long de ce chapitre, nous avons proposé trois solutions, que nous les avons vu
satisfaisante, pour les besoins annoncées précédemment. Nous avons suivi une démarche permettant
de choisir une solution parmi trois. Le détail de diagnostic et de calcul de cette méthode suivant la
solution adoptée sera développé dans le troisième chapitre.
1. Introduction
Pour assurer le bon fonctionnement du système plaque de ripage il faut établir les
dimensions et les formes des éléments de la machines. On va donc faire le calcule de résistance de
cisaillement de vis et Condition de pression de matage de bille.
2. Résistance des vis au cisaillement
▪ On pose que La masse d’une voiture est M=2000 kg et lors du test de ripage, une seule roue qui va
surmonter le banc de ripage sur le tapis ce qui nous permet de confirmer que l’ensemble des
roulements à billes est soumis à un quart de celle de la voiture.
M g 2000 9.81
F 4905 N (3.1)
4 4
▪ Choix de diamètre des vis par étude de résistance au cisaillement. On applique la condition
de résistance :
F F
n * Sc d2
n*
4
Or : Sc la section de vis soumis au cisaillement
n d 2
Sc
4
4kF
Rpg (3.2)
n d2
Avec
Re
Rpg
• s
• s : Coefficient de sécurité, s=3 ;
• K : Coefficient de concentration des contraintes, k = 2.2 ;
• n = 3 : Nombre des vis.
• C45 Re=665MPa
Donc : Rpg 665 133MPa
3
4K F
d
π n Rpg
4*2.2*4905
d 2*
*3*221.66
d min 9.09mm
▪ Choix de diamètre des vis par étude de résistance au cisaillement. On applique la condition
de résistance :
F F
n * Sc d2
n*
4
n d 2
Sc
4
4kF
Rpg
n d2
Avec :
Rpg
Re ; Re 665MPa
s
665
Donc : Rpg 221.66MPa
3
4K F
d
π n Rpg
4*2.2*4905
d 2*
*4*221.66
d min 7.87mm
• s : Coefficient de sécurité, s=3 ;
• K : Coefficient de concentration des contraintes, k = 2.2 ;
• n = 3 : Nombre des vis.
• C45 Re=665MPa
Pour la simplicité de manœuvre, on doit choisir pour les deux types de couvercles le même type de
vis et donc de même diamètre. Soit alors un diamètre de 10mm
P max Padm
3 F
• Padm ;
2 R2
Ft 4905
F 16.68 N ; Avec : Ft : effort total ; nb : nombre des bille.
nb 264
3 16.68
P max 0.22MPa
2 62
• 0.22MPa 700MPa
• La condition de résistance au des billes au matage est vérifiée donc chaque de bille résiste.
L
d
2* f
Avec :
D’après les résultats obtenus on peut conclure que le système est en état de bon
fonctionnement ce qui permet de passer au chapitre suivant dossier de conception.
Le dossier de conception contient les dessins d’ensemble et les dessins de définition du banc de
ripage d’automobile.
On fournit un dessin d’ensemble global ainsi les dessins de définition de toutes les pièces non
standards de la machine :
• Plaque ;
• Embase ;
• Couvercle long ;
• Couvercle court :
Tapis métallique
Acier XC 38 1
mobile
Acier XC 38 Embase 1
Le dossier de fabrication contient les gammes d’usinage et de réalisation ainsi que et les
paramètres d’oxycoupage aux différentes pièces du banc de ripage.
On fournit des gammes d’usinage pour les pièces non standards :
• Plaque ;
• Embase ;
• Couvercle long ;
• Couvercle court.
1. Paramètre d’oxycoupage
(Voir annexe 3)
l
e= 22 mm eur coulisse
00
L e
Fraisage : surfaçage de
1
1 et chanfrein
A) Référentiel défini par : Fraiseuse 4
Cf1
6
▪ Appui plan (1, 2,3). Universelle 5
Pieds à
▪ Orientation (4,5). 1 2 3 coulisse
Cf2
Fraise à
▪ Butée (6).
deux tailles
▪ Serrage contre 4
1 3
l’orientation.
5 2
Cf1 21mm
6
Cf 2 2mm
10
B) Fraisage : surfaçage
de 2 et chanfrein
2
Référentiel défini par :
▪ Appui plan (1, 2,3). 4
Cf3
6
▪ Orientation (4,5). 5
Fraiseuse
▪ Butée (6). Universelle 1 2 3
Pieds à
▪ Serrage contre coulisse
l’orientation. 4 Fraise à
1 3 deux tailles
Cf3 20mm
5 2
C) Fraisage : surfaçage 3
1
de 3et 4 et chanfrein
4
Référentiel défini par :
Pieds à
▪ Appui plan (1, 2,3). 2
Cf4
Fraiseuse 6 coulisse
▪ Orientation (4,5). Universelle Fraise à deux
▪ Butée (6). tailles
3
▪ Serrage.
Cf 4 301mm 4 5 Cf5
Cf5 51mm 1
2 4 5
3
6
5
D) Fraisage : surfaçage de 1
5et 6 et chanfrein 6
Référentiel défini par :
2 Pieds à
▪ Appui plan (1, 2,3).
Cf6
6 coulisse
▪ Orientation (4,5). Fraise à
Fraiseuse
▪ Butée (6). deux tailles
Universelle
3
▪ Serrage.
Cf6 300mm 4 5 Cf7
Cf7 50mm 1
2 4 5
3
6
E) Perçage :
Référentiel défini par :
▪ Appui plan (1, 2,3).
Pieds à
▪ Orientation (4,5). Cm1 Cm2 coulisse
Co
Cm2 100mm .
Co 10mm .
Cf8 6mm .
L e
Fraisage : surfaçage de 1
A)
1 4 1 3 Pieds à
Référentiel défini par : coulisse
▪ Appui plan (1, 2,3). Fraise à
Fraiseuse deux tailles
▪ Orientation (4,5). Universelle 5
10 ▪ Butée (6). 2
▪ Serrage contre 6
l’orientation.
Cf1 16mm 4
Cf1
6
5
1 2 3
B) Fraisage : surfaçage de b 22
Référentiel défini par :
4 1 3
▪ Appui plan (1, 2,3). Pieds à
Fraiseuse
▪ Orientation (4,5). Universelle
coulisse
Fraise à
▪ Butée (6). 5
deux tailles
▪ Serrage contre 2
l’orientation. 6
Cf 2 15mm
4
Cf2
5
1 2 3
C) Fraisage : surfaçage de
3
3 et 4
Référentiel défini par : 4 1 3
4
▪ Appui plan (1, 2,3). Fraiseuse
Cf3
▪ Orientation (4,5). Universelle Pieds à
5 coulisse
▪ Butée (6).
2 Fraise à
▪ Serrage contre deux
6 Cf4
l’orientation.
Cf3 51mm 4
6
5
Cf 4 451mm
1 2 3
D) Fraisage : surfaçage de 5
5et 6
4 1 3 6
Référentiel défini par :
▪ Appui plan (1, 2,3).
Cf5
E) Rainurage :
Cm1Cm2
Référentiel défini par :
▪ Appui plan (1, 2,3). 4 1
Pieds à
▪ Orientation (4,5).
3
coulisse.
▪ Butée (6). Outil a
▪ Serrage contre Fraiseuse 5 rainure
Universelle 2 en v.
l’orientation.
n rainures parallèles 6
Cf7
Cm1 20mm . Cf8 Cf9
Cm2 20mm 4 6
5
Cf7 4.5mm .
1 2 3
Cf8 11mm
Cf9 9mm
L e
1
A) Fraisage : surfaçage de
1 4 1 3
Référentiel défini par : 6
▪ Appui plan (1, 2,3).
▪ Orientation (4,5). 5
▪ Butée (6). Fraiseuse 2
Pieds à
▪ Serrage contre Universelle coulisse
6
10 l’orientation. Fraise à
deux tailles
Cf1 21mm 4
5 6
Cf1
1 2 3
2
B) Fraisage : surfaçage de
4 1 3
b
Référentiel défini par :
▪ Appui plan (1, 2,3). 5
Fraiseuse Pieds à
▪ Orientation (4,5). 2
Universelle coulisse
▪ Butée (6). 6 Fraise à
▪ Serrage contre deux
tailles
l’orientation.
4
Cf2
Cf 2 20mm 5 6
1 2 3
C) Fraisage : surfaçage de 3
3 et 4 4 1 3 4 Pieds à
Référentiel défini par : coulisse
Cf3
▪ Appui plan (1, 2,3). Fraise à
Fraiseuse 5 deux
▪ Orientation (4,5). Universelle 2 tailles
▪ Butée (6). 6 Cf4
▪ Serrage.
Cf3 301mm . 4
5 6
Cf 4 501mm .
1 2 3
D) Fraisage : surfaçage de 5
5 et 6 4 1 3 6
Référentiel défini par :
Cf3
Pieds à
▪ Appui plan (1, 2,3). coulisse
5 Fraise à
▪ Orientation (4,5). Fraiseuse
deux tailles
▪ Butée (6). Universelle 2
▪ Serrage. 6 Cf4
Cf3 300mm .
4
Cf 4 500mm . 6
5
1 2 3
Perçage :
E) Cm1 Cf5 Cf6
Référentiel défini par : Pied a
Co2 Co1
▪ Appui plan (1, 2,3). coulisse
4 3 foret de Ø
1
▪ Orientation (4,5).
6
▪ Butée (6). Fraiseuse Forêt de ø
Universelle 2 10
▪ Serrage.
réseaux des perçage 5 2
Cm1 50mm . 6
P
Co1 20mm . 4 6
5
Co2 20mm .
1 2 3
Cf5 6mm .
Cf6 10mm
p 4.5 .
F) Perçage et taraudage
Cm2 Cm3
Référentiel défini par :
Pied a
▪ Appui plan (1, 2,3). 4 coulisse
▪ Orientation (4,5). 1 3 foret de Ø
▪ Butée (6). 5
Fraiseuse 5 Forêt de
▪ Serrage contre Universelle
2 Ø6
l’orientation.
Cm2 100mm . 6
Cm3 100mm . 4
6
5
Cf7 5mm Cf7 1 Cf8 2 3
Cf8 6mm .
réseaux des perçage et
taraudage .
G) Perçage et taraudage :
Référentiel défini par :
Cm4 Cm5
▪ Appui plan (1, 2,3).
▪ Orientation (4,5). 4 1 3
▪ Butée (6). Pied a
Fraiseuse coulisse
▪ Serrage contre Universelle foret de Ø
5
l’orientation. 2 5
Cm4 100mm . Forêt de
Ø6
6
Cm5 100mm .
4
Cf9 5mm 5 6
Cm6 Cm7
H) Perçage et taraudage :
Référentiel défini par : 4
1
▪ Appui plan (1, 2,3).
▪ Orientation (4,5).
Pied à
Fraiseuse 2
▪ Butée (6). coulisse
Universelle
▪ Serrage contre foret de Ø
5
l’orientation. 5
Forêt de
Cm6 50mm . 3 Ø6
Cm7 100mm . 6
Cf11 5mm . 4 6
5
Cf12 6mm . Cf11
1 2 3
Cf12
Cf14 6mm . 4
5
Cf13 Cf14
1 2 3
l
L = 542 mm
eur coulisse
e = 22 mm
00 L e
A) Fraisage : surfaçage de 1
1
4
Cf1
Référentiel défini par : 6
Fraiseuse 5
▪ Appui plan (1, 2,3). Universelle 2 3
1
▪ Orientation (4,5). Cf2 Pieds à
coulisse
▪ Butée (6). Fraise à
4
1 3 deux tailles
▪ Serrage contre
l’orientation. 5 2
Cf1 21mm. 6
10
Cf 2 2mm.
B) Fraisage : surfaçage de 2
Cf3
b 4
6
Référentiel défini par : 5
1 2 3
▪ Appui plan (1, 2,3). Pieds à
Fraiseuse
▪ Orientation (4,5). coulisse
universelle
4 Fraise à
▪ Butée (6). 1 3 deux
▪ Serrage contre 5 2 tailles
l’orientation.
6
Cf3 20mm.
3
C) Fraisage : surfaçage de 1
3 et 4 4
Référentiel défini par : Pieds à
▪ Appui plan (1, 2,3). Fraiseuse
2
coulisse
Cf4
Universelle 6 Fraise à deux
▪ Orientation (4,5).
tailles
▪ Butée (6).
▪ Serrage. 3
Cf 4 541mm. 4 5 Cf5
Cf5 51mm. 1
2
3 4 5
6
5
D) Fraisage : surfaçage de
1
5 et 6
6
Référentiel défini par : Pieds à coulisse
▪ Appui plan (1, 2,3). 2 Fraise à deux
Cf6
6
▪ Orientation (4,5). Fraiseuse tailles
universelle
▪ Butée (6).
▪ Serrage. 3
Cf = 540 mm
4 5 Cf7
1
2
3 4 5
6
E) Perçage :
Référentiel défini par :
▪ Appui plan (1, 2,3).
Cm1 Cm2
▪ Orientation (4,5). Pieds à
Co
4 coulisse
▪ Butée (6).
Fraiseuse 5
Forêt de Ø6
▪ Serrage contre universelle
Cf8
l’orientation 1 2 3
Cm1 100mm .
Cm2 100mm .
Co 10mm .
Cf8 6mm .
CHAPITRE 6 : INTERFAÇAGE
1. Introduction
La carte Arduino est une plate-forme open source d'électronique programmée qui est basée sur
une simple carte à microcontrôleur de la famille AVR et un logiciel destiné pour l’écriture, la
compilation et le transfert d'un programme vers la carte a microcontrôleur.
On peut utiliser l'Arduino pour assurer la croissance des objets interactifs, il peut recevoir des
entrées comme les interrupteurs et les capteurs, et contrôler des lumières, moteurs ou toutes autres
sorties matérielles. Il peut être autonome, ou bien il peut communiquer avec des logiciels tournant
sur l'ordinateur (tels que Flash, proscessingou Max MSP).
La carte Arduino UNO est un microcontrôleur ATmega328(Le microcontrôleur ATMega328 est
un microcontrôleur 8bits de la famille AVR dont la programmation peut être réalisée en langage C.)
programmable permettant de faire fonctionner des composants (moteur, LED…). Elle possède des
«ports» permettant par exemple de se connecter à un ordinateur ou de s’alimenter. La carte Arduino
UNO est la pièce maîtresse de tout circuit électronique pour les débutants. Elle est dotée :
• de 14 entrées/sorties (dont 6 fournissent la sortie PWM)
• 6 entrées analogiques
• un cristal à 16 MHz
• une connexion USB
• une prise jack d'alimentation
• un en-tête ICSP
• une fonction reset.
3. Le potentiomètre
2.1. Définition
Un potentiomètre (appelé familièrement potard) est un type de résistance variable à trois bornes,
dont une est reliée à un curseur se déplaçant sur une piste résistante terminée par les deux autres
bornes. Ce système permet de recueillir, entre la borne reliée au curseur et une des deux autres
bornes, une tension qui dépend de la position du curseur et de la tension à laquelle est soumise la
résistance.
Il existe l'équivalent sous forme de circuit intégré : le potentiomètre numérique, dorénavant très
utilisé dans l'électronique analogique à commande numérique.
2.2. Utilisation
Les potentiomètres sont couramment employés dans les circuits électroniques. Ils servent par
exemple à contrôler le volume d'une radio. Ils peuvent aussi être utilisés comme
des transducteurs puisqu'ils convertissent une position en une tension. Ce type de dispositif peut être
rencontré dans des joysticks. Des potentiomètres de petite taille (les trimmers ou tripots) se
retrouvent fréquemment sur les circuits qui nécessitent des ajustements précis pour leur bon
fonctionnement. Dans les appareils de la vie quotidienne, ces petits potentiomètres montés à un
même circuit sont rarement destinés à être contrôlés par l'utilisateur final.
2.3. Les types :
Un potentiomètre peut être :
• rectiligne/rotatif ;
• analogique/numérique ;
• Avec position arrêt (petit cran lorsqu'on le tourne à fond à gauche, lié à un interrupteur) ;
• Avec cran central (permet d'avoir une position 'zéro' au centre de la piste) ;
• Couplé (se dit d'un potentiomètre numérique commandé par un potentiomètre analogique).
2.4. Programmer avec un potentiomètre (langage C)
4. Conclusion
La déviation du pneu sur son trajectoire sera afficher a l’aide un ordinateur relier avec la carte
arduino.
CONCLUSION GENERALE
Ce projet avait pour objectif final la fabrication d’un banc d’essai de ripage. Ce banc est
constitué de 3 parties : La 1ere partie contient le corps principal qui est composée d’un
potentiomètre, d’une carte Ardiuno et des billes, la 2eme partie contient la partie mobile reliée au
tapis et la 3eme partie est le tapis, qui est la solution optimale selon le choix de solution trouvée dans
le deuxième chapitre ’’Analyse de valeur ’’.
Nous avons effectué, dans le cadre de ce travail, une recherche bibliographique qui traite la
définition de ripage et leur angleet nous avons presenté la definition de dérapage et de leur angle et
par la suite nous avons mis l’accent sur l’étude de géometrie de suspension et les types des bancs de
ripage.Dans une deuxième étape, nous avons présenté une analyse fonctionnelle qui nous a permis
d’étudier la solution possible et de choisir la solution adéquate. La troisième étape était consacrée
au calcul et dimensionnement.Dans la quatrième et lacinquième étape , nous avons présenté la
conception des pièces et la gamme d’usinage.
Pour conclure, nous pouvons signaler que le fait de réaliser un tel projet commençant par une
idée jusqu’à sa concrétisation réelle demande des efforts énormes. De plus, pas mal de problèmes
au niveau de la conception ainsi que de la fabrication ont été évoqués. Dans ce contexte, nous avons
essayé de surmonter la majorité de ces problèmes.
ANNEXES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE
Web
[1] : https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9om%C3%A9trie_de_suspension
[2] : http://www.fiches-auto.fr/articles-auto/savoir-trouver-une-panne/s-1141-voiture-qui-tire-a-
gauche-ou-a-droite.php
[3] : http://www.flat4ever.com/la-geometrie-des-trains-roulants/
[4] : https://www.adafruit.com/product/50
Guide
http://58consmeca.free.fr/Cours%202a%20Pdf/contact_Hertz.pdf
D.SPENLE et R.COURHANT, Guide de calcul en mécanique, Hachette, France, 1998.
ANDRE CHEVALIER, Guide de dessinateur, Hachette, France, 1982.
Logiciel
DASSAULT systèmes : CATIA version 5.
Résumé
Ce travail s’inscrit dans le cadre des projets de fin d’études réalisés dans le département
Génie Mécanique de l’Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa et comporte 3
principales parties. La première propose un nouveau modèle d’un banc de ripage mobile et
portatif. Cette conception est basée sur une analyse fonctionnelle technologique appuyée sur une
analyse besoin. La deuxième partie concerne le dimensionnement et la vérification de la tenue en
service de la conception élaborée. La troisième partie présente les dossiers de conception et de
fabrication contenant les dessins de définition et d’ensemble et les gammes d’usinage des pièces
non standards.
Abstract
This work is a part of the our end-of-studies projects carried out in the Mechanical
Engineering department of the Higher Institute of Technological Studies of Gafsa and contains 3
main parts. The first offers a new model of a mobile and portable shift bench. This design is based
on a functional technological analysis based on a need analysis. The second part deals with the
design and verification of the serviceability of the design. The third part presents the design and
manufacturing files containing the definition and assembly drawings and the machining ranges of
the non-standard parts.