Unités

1. 0,005 m3 valent 0,5 L

2. 0,005 m3 valent 5 L
3. 0,005 m3 valent 50 L
4. 0,005 m3 valent 500 L
5. 3π rad valent 180°
6. 3π rad valent 270°
7. 3π rad valent 360°
8. 3π rad valent 540°
9. 45,2° valent 45°2’00’’
10. 45,2° valent 45°12’00’’
11. 45,2° valent 45°15’00’’
12. 45,2° valent 45°20’00’’
13. 36 km/h valent 3,6 m/s
14. 36 km/h valent 10 m/s
15. 36 km/h valent 19,6 m/s
16. 36 km/h valent 360 m/s
17. 10 m/s valent 25 km/h
18. 10 m/s valent 36 km/h
19. 10 m/s valent 46 km/h
20. 10 m/s valent 36 000 m/h
21. 72 km/h valent 20 m/s
22. 72 km/h valent 10 m/s
23. 72 km/h valent 25 m/s
24. 72 km/h valent 200 m/s
25. 270° valent 2π rad
26. 270° valent 2π/3 rad
27. 270° valent 3π/2 rad
28. 270° valent π/4 rad

Problèmes
29. La douche des vestiaires fait 5 m2. Je souhaite la carreler avec des carreaux carrés de
100/3 cm de côté. Il faudra que j’achète au plus 30 carreaux.
30. La douche des vestiaires fait 5 m2. Je souhaite la carreler avec des carreaux carrés de
100/3 cm de côté. Il faudra que j’achète au plus 45 carreaux.
31. La douche des vestiaires fait 5 m2. Je souhaite la carreler avec des carreaux carrés de
100/3 cm de côté. Il faudra que j’achète au moins 60 carreaux.
32. La douche des vestiaires fait 5 m2. Je souhaite la carreler avec des carreaux carrés de
100/3 cm de côté. Il faudra que j’achète au moins 90 carreaux.
33. Je souhaite tracer avec du plâtre les bords d’un terrain de foot de manière à ce qu’ils
soient à angle droit. Si je mesure 6 m sur une ligne et 8 m sur l’autre, la valeur de
l’hypoténuse du triangle ainsi formé sera de 7 m pour que les bords soient
perpendiculaires.
34. Je souhaite tracer avec du plâtre les bords d’un terrain de foot de manière à ce qu’ils
soient à angle droit. Si je mesure 6 m sur une ligne et 8 m sur l’autre, la valeur de
l’hypoténuse du triangle ainsi formé sera de 8 m pour que les bords soient
perpendiculaires.
35. Je souhaite tracer avec du plâtre les bords d’un terrain de foot de manière à ce qu’ils
soient à angle droit. Si je mesure 6 m sur une ligne et 8 m sur l’autre, la valeur de
 l’hypoténuse du triangle ainsi formé sera de 9 m pour que les bords soient
perpendiculaires.
36. Je souhaite tracer avec du plâtre les bords d’un terrain de foot de manière à ce qu’ils
soient à angle droit. Si je mesure 6 m sur une ligne et 8 m sur l’autre, la valeur de
l’hypoténuse du triangle ainsi formé sera de 10 m pour que les bords soient
perpendiculaires.
37. En gymnastique, un gymnaste de 1,50 m fait un enchaînement aux anneaux qui sont
positionnés à 3 m au dessus du sol. Un basketteur de 2,00 m veut essayer. Pour que les
deux sportifs « jouent » à la même échelle, les anneaux devraient être positionnés à 3,5
m de hauteur.
38. En gymnastique, un gymnaste de 1,50 m fait un enchaînement aux anneaux qui sont
positionnés à 3 m au dessus du sol. Un basketteur de 2,00 m veut essayer. Pour que les
deux sportifs « jouent » à la même échelle, les anneaux devraient être positionnés à 4 m
de hauteur.
39. En gymnastique, un gymnaste de 1,50 m fait un enchaînement aux anneaux qui sont
positionnés à 3 m au dessus du sol. Un basketteur de 2,00 m veut essayer. Pour que les
deux sportifs « jouent » à la même échelle, les anneaux devraient être positionnés à 4,5
m de hauteur.
40. En gymnastique, un gymnaste de 1,50 m fait un enchaînement aux anneaux qui sont
positionnés à 3 m au dessus du sol. Un basketteur de 2,00 m veut essayer. Pour que les
deux sportifs « jouent » à la même échelle, les anneaux devraient être positionnés à 5 m
de hauteur.
41. Lors d’un match de rugby, un pilier de 90 kg court avec le ballon à une vitesse constante
de 20 km/h en direction de la ligne d’essai. Un arrière de l’équipe adverse, d’une masse
de 80 kg et situé à 20 m en face du pilier, arrive en sens opposé à une vitesse constante
de 30 km/h. Le pilier aura avancé de 7 m avant de se faire plaquer.
42. Lors d’un match de rugby, un pilier de 90 kg court avec le ballon à une vitesse constante
de 20 km/h en direction de la ligne d’essai. Un arrière de l’équipe adverse, d’une masse
de 80 kg et situé à 20 m en face du pilier, arrive en sens opposé à une vitesse constante
de 30 km/h. Le pilier aura avancé de 8 m avant de se faire plaquer.
43. Lors d’un match de rugby, un pilier de 90 kg court avec le ballon à une vitesse constante
de 20 km/h en direction de la ligne d’essai. Un arrière de l’équipe adverse, d’une masse
de 80 kg et situé à 20 m en face du pilier, arrive en sens opposé à une vitesse constante
de 30 km/h. Le pilier aura avancé de 9 m avant de se faire plaquer.
44. Lors d’un match de rugby, un pilier de 90 kg court avec le ballon à une vitesse constante
de 20 km/h en direction de la ligne d’essai. Un arrière de l’équipe adverse, d’une masse
de 80 kg et situé à 20 m en face du pilier, arrive en sens opposé à une vitesse constante
de 30 km/h. Le pilier aura avancé de 10 m avant de se faire plaquer.

Vecteurs
45. La direction d’un vecteur est déterminée à l’analyse du signe des coordonnées.
46. La direction d’un vecteur est déterminée par l’angle entre l’horizontale et la droite qui
porte le vecteur.
47. La direction d’un vecteur est déterminée par la racine carrée de la somme des carrés des
coordonnées.
48. La direction d’un vecteur de coordonnées (u ;v) est donnée par tg(u/v).
49. La direction d’un vecteur de coordonnées (u ;v) est donnée par tg(v/u).
50. La direction d’un vecteur de coordonnées (u ;v) est donnée par atg(u/v).
51. La direction d’un vecteur de coordonnées (u ;v) est donnée par atg(v/u).
52. Le sens d’un vecteur est déterminé à l’analyse du signe des coordonnées.
 53. Le sens d’un vecteur est déterminé par l’angle entre l’horizontale et la droite qui porte
le vecteur.
54. Le sens d’un vecteur est déterminé par la racine carrée de la somme des carrés des
coordonnées.
55. La norme d’un vecteur est déterminée à l’analyse du signe des coordonnées.
56. La norme d’un vecteur est déterminée par l’angle entre l’horizontale et la droite qui
porte le vecteur.
57. La norme d’un vecteur est déterminée par la racine carrée de la somme des carrés des
coordonnées.
58. Soit une force de coordonnées (1 ;1) dans un espace à deux dimensions. Sa direction est
l’axe des abscisses.
59. Soit une force de coordonnées (1 ;1) dans un espace à deux dimensions. Sa direction est
l’axe des ordonnées.
60. Soit une force de coordonnées (1 ;1) dans un espace à deux dimensions. Sa direction est
une droite qui fait un angle de 45° avec l’axe des abscisses.
61. Soit une force de coordonnées (1 ;1) dans un espace à deux dimensions. Sa direction est
une droite qui fait un angle de -45° avec l’axe des abscisses.
62. Soit un vecteur de coordonnées (200 ;-200). Son sens est une droite qui fait un angle de
45° avec l’horizontale.
63. Soit un vecteur de coordonnées (200 ;-200). Son sens est Haut/Gauche.
64. Soit un vecteur de coordonnées (200 ;-200). Son sens est une droite qui fait un angle de
-45° avec l’horizontale.
65. Soit un vecteur de coordonnées (200,-200). Son sens est Bas/Droite.
66. ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 + 𝐶𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗
67. ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝐴 − 𝐵𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗
68. ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 − 𝐵𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐴𝑂
69. 𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝐵𝑂
⃗⃗⃗⃗⃗
70. Soit M(x ;y) et M’(x’ ;y’) dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗). 𝑀𝑀′ = √(𝑥 − 𝑥 ′ ) + (𝑦 − 𝑦 ′ )
71. Soit M(x ;y) et M’(x’ ;y’) dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗). 𝑀𝑀′ = √(𝑥 − 𝑥 ′ )2 + (𝑦 − 𝑦 ′ )2
72. Soit M(x ;y) et M’(x’ ;y’) dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗). 𝑀𝑀′ = √(𝑥 − 𝑥 ′ )2 + (𝑦 − 𝑦 ′ )2
73. Soit M(x ;y) et M’(x’ ;y’) dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗). Les coordonnées de M dans un
repère ℜ(𝑀′, 𝑖, 𝑗) sont ((𝑥 − 𝑥′)2 ; (𝑦 − 𝑦′)2 )
74. Soit M(x, ;y) et M’(x’ ;y’) dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗). Les coordonnées de M dans un
repère ℜ(𝑀′, 𝑖, 𝑗) sont (𝑥 − 𝑥 ′ ; 𝑦 − 𝑦′)
75. Soit M(x ;y) et M’(x’ ;y’) dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗). Les coordonnées de M dans un
repère ℜ(𝑀′, 𝑖, 𝑗) sont (𝑥 ′ − 𝑥 ; 𝑦′ − 𝑦)
76. Les coordonnées du vecteur 𝑂𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗) sont les mêmes que celles du
point M dans le repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗)
77. Les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀 dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗) sont différentes de celles du
point M dans le repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗)
78. Les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀 dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗) sont (𝑥𝑀 − 𝑥𝑂 ; 𝑦𝑀 − 𝑦𝑂 )
79. Les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀 dans un repère ℜ(𝑂, 𝑖, 𝑗) sont (𝑥𝑂 − 𝑥𝑀 ; 𝑦𝑂 − 𝑦𝑀 )

Positions, Vitesses et Accélérations

80. Le système PAL SECAM permet une acquisition vidéo à une fréquence de 60 Hz.
81. Le système PAL SECAM permet une acquisition vidéo à une fréquence de 30 Hz.
82. Le système PAL SECAM permet une acquisition vidéo à une fréquence de 25 Hz.
83. Le système NTSC permet une acquisition vidéo à une fréquence de 50 Hz.
 84. Le système NTSC permet une acquisition vidéo à une fréquence de 30 Hz.
85. Le système NTSC permet une acquisition vidéo à une fréquence de 25 Hz.
86. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra PAL
SECAM. Au total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,30 s.
87. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra PAL
SECAM. Au total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,33 s.
88. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra PAL
SECAM. Au total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,36 s.
89. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra PAL
SECAM. Au total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,40 s.
90. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra NTSC. Au
total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,30 s.
91. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra NTSC. Au
total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,33 s.
92. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra NTSC. Au
total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,36 s.
93. Un mouvement de bascule à la barre fixe a été filmé à l’aide d’une caméra NTSC. Au
total, 10 images ont été acquises. La durée de la bascule est de 0,40 s.
94. Un sprinteur qui court le 100 m en 10 s a une vitesse moyenne de 2,78 km/h.
95. Un sprinteur qui court le 100 m en 10 s a une vitesse moyenne de 10 km/h.
96. Un sprinteur qui court le 100 m en 10 s a une vitesse moyenne de 36 km/h.
97. Un sprinteur qui court le 100 m en 10 s a une vitesse moyenne de 48 km/h.

Soient les 3 graphiques suivants où l’abscisse représente le temps :

98. Si B est la vitesse, C est le déplacement.

99. Si A est le déplacement, B est la vitesse et C est l’accélération.
100. Si A est la vitesse, B est le déplacement.
101. Si B est l’accélération, C est le déplacement.
102. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est positive et croissante, la
vitesse est croissante.
103. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est positive et croissante, la
vitesse est décroissante.
104. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est positive et croissante, la
vitesse est constante.
105. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est positive et décroissante, la
vitesse est croissante.
106. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est positive et décroissante, la
vitesse est décroissante.
107. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est positive et décroissante, la
vitesse est constante.
 108. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est nulle, la vitesse est
croissante.
109. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est nulle, la vitesse est
décroissante.
110. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est nulle, la vitesse est
constante.
111. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est négative et décroissante, la
vitesse est croissante.
112. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est négative et décroissante, la
vitesse est décroissante.
113. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est négative et décroissante, la
vitesse est constante.
114. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est négative et croissante, la
vitesse est croissante.
115. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est négative et croissante, la
vitesse est décroissante.
116. Au cours d’un mouvement, lorsque l’accélération est négative et croissante, la
vitesse est constante.

Voici l’évolution de la position horizontale d’un point en fonction du temps :

117. La vitesse est nulle en G

118. La vitesse augmente en G
119. La vitesse est négative en D
120. La vitesse diminue en D
121. La vitesse est nulle en E
122. La vitesse augmente en B
123. La vitesse est constante en B
124. La vitesse diminue en H
125. Le vecteur vitesse est de même sens en B et C
126. La vitesse est plus grande en B qu’en G
127. La vitesse est plus grande en D qu’en B

Relation fréquence/amplitude
Le tableau ci-dessous présence les paramètres cinématiques de différentes distances de course :
 Distance (m) Temps Vitesse Amplitude Fréquence Nombre de
(km/h) (m) (Hz) foulées
100 9,9 s 44,4
400 43,8 s 32,868 2,20 4,15 181,8
800 1 mn 43,4s 27,828 2,10 3,68
1 500 25,452 2 3,53 750
13 mn 12,9 s 22,716 1,80 3,50 2777,7
10 000 27 mn 30,5 s 21,816 1,75 3,46 5714,2

128. Sur 100 m, la vitesse v = (100 / 9,9) x 3,6

129. Sur 100 m, la vitesse v = (100 / 44,4) x 3,6
130. Sur 100 m, la vitesse v = (44,4 / 9,9) / 3,6
131. Sur 100 m, l’amplitude A = 100 / 9,9
132. Sur 100 m, l’amplitude A = 44,4 / 9,9
133. Sur 100 m, l’amplitude A = 100 / 44,4
134. Sur 100 m, la fréquence F = 1 / 9,9
135. Sur 100 m, la fréquence F = 44,4 / 9,9
136. Sur 100 m, la fréquence F = 100 / 44,4
137. Sur 800 m, le nombre de foulées n = (60 + 43,4) x 3,68
138. Sur 800 m, le nombre de foulées n = 800 / 2,10
139. Sur 800 m, le nombre de foulées n = (27,828 x 3,68) / 3,6
140. Sur 1500 m, le temps t = (1500 x 3,6) / 25,452
141. Sur 1500 m, le temps t = 750 / 3,53
142. Sur 1500 m, le temps t = 25,452 x 3,6 / 3,53
143. Sur une durée de course de 13 mn 12,9 s, la distance de course d = 1,80 x 2777,7
144. Sur une durée de course de 13 mn 12,9 s, la distance d de course d =
22,716 x (13.60 + 12,9) x 3,6
145. Sur une durée de course de 13 mn 12,9 s, la distance d de course =
1,8 x 3,5 x (13 x 60 + 12,9)

Relation angulaire / linéaire

146. Un sportif frappe une balle de tennis avec le bout de sa raquette dont la longueur
est de 75 cm. A l’instant de la frappe, son membre supérieur est en extension, la vitesse
du bout de la raquette est de 108 km/h et la vitesse angulaire de l’épaule est de 20 rad/s.
La longueur de son membre supérieur est de 50 cm.
147. Un sportif frappe une balle de tennis avec le bout de sa raquette dont la longueur
est de 75 cm. A l’instant de la frappe, son membre supérieur est en extension, la vitesse
du bout de la raquette est de 108 km/h et la vitesse angulaire de l’épaule est de 20 rad/s.
La longueur de son membre supérieur est de 75 cm.
148. Un sportif frappe une balle de tennis avec le bout de sa raquette dont la longueur
est de 75 cm. A l’instant de la frappe, son membre supérieur est en extension, la vitesse
du bout de la raquette est de 108 km/h et la vitesse angulaire de l’épaule est de 20 rad/s.
La longueur de son membre supérieur est de 1 m.
149. Un sportif frappe une balle de tennis avec le bout de sa raquette dont la longueur
est de 75 cm. A l’instant de la frappe, son membre supérieur est en extension, la vitesse
du bout de la raquette est de 108 km/h et la vitesse angulaire de l’épaule est de 20 rad/s.
La longueur de son membre supérieur est de 1,25 m.
150. Un lanceur de disque lance bras tendu son disque avec une vitesse de rotation à
l’instant du lâcher de 6 tours/s. Le bras de cet athlète mesure 80 cm. La vitesse linéaire
du disque à l’instant du lâcher est V = 80 x (6π)² m/s
 151. Un lanceur de disque lance bras tendu son disque avec une vitesse de rotation à
l’instant du lâcher de 6 tours/s. Le bras de cet athlète mesure 80 cm. La vitesse linéaire
du disque à l’instant du lâcher est V = 0,8 x (6π)² m/s
152. Un lanceur de disque lance bras tendu son disque avec une vitesse de rotation à
l’instant du lâcher de 6 tours/s. Le bras de cet athlète mesure 80 cm. La vitesse linéaire
du disque à l’instant du lâcher est V = 4,8 π m/s
153. Un lanceur de disque lance bras tendu son disque avec une vitesse de rotation à
l’instant du lâcher de 6 tours/s. Le bras de cet athlète mesure 80 cm. La vitesse linéaire
du disque à l’instant du lâcher est V = 5,2 π m/s.

Culture Générale
154. Sur la Lune, la masse d’un objet est inférieure à celle sur la Terre.
155. Sur la Lune, la masse d’un objet est équivalente à celle sur la Terre.
156. Sur la Lune, la masse d’un objet est supérieure à celle sur la Terre.
157. Au cours d’un saut vertical les articulations du membre inférieur se déplacent
simultanément.
158. Au cours d’un saut vertical Les articulations se déplacent selon une séquence
proximo-distale.
159. Au cours d’un saut vertical La contribution de la hanche dépend du niveau
d’expertise.

Les courbes ci-dessous représentent les coordonnées de la cheville dans un repère lié à la hanche
au cours d’une foulée pour différentes distances de course (100 m, 800 m et 10000 m) :

160. Cette représentation graphique est un kinogramme.

161. Cette représentation graphique est une cycloïde.
162. Cette représentation graphique est une poulaine.
163. La courbe en trait plein (____) correspond au 100 m
164. La courbe en pointillés (……) correspond au 800 m
165. La courbe en tirets (------) correspond à un cycle avant
166. La courbe en trait plein (____) correspond au 10000 m
167. La courbe en pointillés (……) correspond au 10000 m
168. La courbe en tirets (------) correspond à un cycle arrière
169. La courbe en trait plein (____) correspond à un cycle avant
170. La courbe en pointillés (……) correspond à un cycle avant
 171. La courbe en tirets (------) correspond au 100 m
172. La courbe en trait plein (____) correspond à un cycle arrière
173. La courbe en pointillés (……) correspond à un cycle arrière
174. La courbe en tirets (------) correspond au 10000 m
175. Le centre de rotation de la gymnaste au cours du salto arrière est le centre de
l’axe passant par ses hanches.
176. Le centre de rotation de la gymnaste au cours du salto arrière est son centre de
gravité.
177. Le centre de rotation de la gymnaste au cours du salto arrière est le centre de
l’axe passant par les épaules.
178. Le centre de rotation de la gymnaste au cours du salto arrière dépend de sa
position au cours de la phase de vol.

Unités dynamique
179. L’unité de force est le Kg.m.s-2
180. L’unité de force est le N.s
181. L’unité de force est le N.m
182. L’unité de force est le N
183. L’unité de l’impulsion est le Kg.m.s-2
184. L’unité de l’impulsion est le N.s
185. L’unité de l’impulsion est le N.m
186. L’unité de l’impulsion est le N/m2
187. L’unité de la pression est le Kg.m.s-2
188. L’unité de la pression est le N.s
189. L’unité de la pression est le N.m
190. L’unité de la pression est le N/m2
191. L’unité du moment de force est le Kg.m.s-2
192. L’unité du moment de force est le N.s
193. L’unité du moment de force est le N.m
194. L’unité du moment de force est le N/m2

Impulsion/pression
195. L’impulsion est proportionnelle au temps d’application d’une force
196. L’impulsion est inversement proportionnelle au temps d’application d’une force
197. L’impulsion est proportionnelle à la surface d’application d’une force
198. L’impulsion est inversement proportionnelle à la surface d’application d’une
force
199. L’impulsion est le rapport entre la norme de la force exercée par le sujet sur le
sol et le temps d’application de la force
200. L’impulsion est le temps au cours duquel un sportif prend un appui pour sauter
201. L’impulsion est le produit entre la norme de la force exercée par le sujet sur le
sol et le temps d’application de cette force.
202. L’impulsion entre deux sauteurs peut être identique avec un temps d’appui
différent entre les deux sauteurs
203. L’impulsion entre deux sauteurs peut être identique avec une force d’application
différente entre les deux sauteurs
204. L’impulsion entre deux sauteurs peut être différente avec un temps d’appui
identique et une force d’application identique entre les deux sauteurs
205. L’impulsion entre deux sauteurs peut être identique avec une surface de contacte
différente entre les deux sauteurs
 206. La pression exercée par une force dépend du temps d’application de la force
207. La pression exercée par une force dépend de la position du centre de gravité
par rapport à la surface de sustentation
208. La pression exercée par une force dépend de la hauteur du centre de gravité
209. La pression exercée par une force dépend de la surface d’application de la force
210. La pression exercée par une force est proportionnelle au temps d’application
d’une force
211. La pression exercée par une force est inversement proportionnelle au temps
d’application d’une force
212. La pression exercée par une force est proportionnelle à la surface d’application
d’une force
213. La pression exercée par une force est inversement proportionnelle à la surface
d’application d’une force
214. Soit un sauteur à ski qui décolle d’un tremplin. A l’instant du décollage, qui dure
0,3 s, la réaction du sol a pour coordonnées (300, 1500). Sachant que la surface de
contact entre les skis et que le tremplin peut être assimilée à un rectangle de 2 m sur
30 cm, la pression du tremplin sur les skis est 𝑃 = √3002 + 15002 × 0,3
215. Soit un sauteur à ski qui décolle d’un tremplin. A l’instant du décollage, qui dure
0,3 s, la réaction du sol a pour coordonnées (300, 1500). Sachant que la surface de
contact entre les skis et que le tremplin peut être assimilée à un rectangle de 2 m sur
30 cm, la pression du tremplin sur les skis est 𝑃 = √3002 + 15002 /0,6
216. Soit un sauteur à ski qui décolle d’un tremplin. A l’instant du décollage, qui dure
0,3 s, la réaction du sol a pour coordonnées (300, 1500). Sachant que la surface de
contact entre les skis et que le tremplin peut être assimilée à un rectangle de 2 m sur
30 cm, la pression du tremplin sur les skis est 𝑃 = 1500/0,6
217. Soit un sauteur à ski qui décolle d’un tremplin. A l’instant du décollage, qui dure
0,3 s, la réaction du sol a pour coordonnées (300, 1500). Sachant que la surface de
contact entre les skis et le tremplin peut être assimilée à un rectangle de 2 m sur 30 cm,
l’impulsion du skieur est 𝐼 = √3002 + 15002 × 0,3
218. Soit un sauteur à ski qui décolle d’un tremplin. A l’instant du décollage, qui dure
0,3 s, la réaction du sol a pour coordonnées (300, 1500). Sachant que la surface de
contact entre les skis et le tremplin peut être assimilée à un rectangle de 2 m sur 30 cm,
l’impulsion du skieur est 𝐼 = √3002 + 15002 /0,6
219. Soit un sauteur à ski qui décolle d’un tremplin. A l’instant du décollage, qui dure
0,3 s, la réaction du sol a pour coordonnées (300, 1500). Sachant que la surface de
contact entre les skis et le tremplin peut être assimilée à un rectangle de 2 m sur 30 cm,
l’impulsion du skieur est 𝐼 = 1500/0,6

Une gymnaste de masse 50 kg réalise un salto arrière tendu à la poutre en Gymnastique

Artistique Féminine. Au début de l’exercice, en position , la gymnaste est immobile. La
surface de contact avec la poutre peut être assimilée à un rectangle de 10 cm sur 30 cm. Le
temps total d’impulsion est de 0,3 s.
 220. La pression exercée sur la poutre à cette position est P = 500 / 300
221. La pression exercée sur la poutre à cette position est P = 500 x 0,3
222. La pression exercée sur la poutre à cette position est P = 5000 / 0,3
223. Sachant que la valeur moyenne de la réaction de la poutre est de 500 N, la valeur
de l’impulsion est I = 500 / 300
224. Sachant que la valeur moyenne de la réaction de la poutre est de 500 N, la valeur
de l’impulsion est I = 500 x 0,3
225. Sachant que la valeur moyenne de la réaction de la poutre est de 500 N, la valeur
de l’impulsion est I = 5000 / 0,3

Lois de Newton
Une gymnaste de masse 50 kg réalise un salto arrière tendu à la poutre en Gymnastique
Artistique Féminine. Au début de l’exercice, en position , la gymnaste est immobile. La
surface de contact avec la poutre peut être assimilée à un rectangle de 10 cm sur 30 cm. Le
temps total d’impulsion est de 0,3 s.

226. A l’instant t = 0,18 s, la réaction du sol a pour coordonnées (0,1000).

L’accélération du centre de gravité de la gymnaste à cet instant est nulle
227. A l’instant t = 0,18 s, la réaction du sol a pour coordonnées (0,1000).
L’accélération du centre de gravité de la gymnaste à cet instant est dans le même sens
que l’accélération de la pesanteur
228. A l’instant t = 0,18 s, la réaction du sol a pour coordonnées (0,1000).
L’accélération du centre de gravité de la gymnaste à cet instant est opposée à
l’accélération de la pesanteur
229. Un gymnaste de masse 60 kg et de taille 1,60 m est suspendu à une barre fixe,
immobile. La(es) force(s) externe(s) qui lui est(sont) appliquée(s) est(sont) son poids
230. Un gymnaste de masse 60 kg et de taille 1,60 m est suspendu à une barre fixe,
immobile. La(es) force(s) externe(s) qui lui est(sont) appliquée(s) est(sont) son poids et
la réaction de la barre
231. Un gymnaste de masse 60 kg et de taille 1,60 m est suspendu à une barre fixe,
immobile. La(es) force(s) externe(s) qui lui est(sont) appliquée(s) est(sont) son poids,
la réaction de la barre et la force exercée par les doigts pour maintenir le gymnaste
immobile
232. Un gymnaste de masse 60 kg et de taille 1,60 m est suspendu à une barre fixe,
immobile. La réaction de la barre peut être caractérisée ainsi (g = 10 ms -2) :
𝑃𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑 ′ 𝐴𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝐼𝑛𝑡𝑒𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒/𝐺𝑦𝑚𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒
𝑅⃗ {𝐷𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝑉𝑒𝑟𝑡𝑖𝑐𝑎𝑙𝑒
𝑆𝑒𝑛𝑠: 𝑉𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡
𝑁𝑜𝑟𝑚𝑒: 𝑅 = 600𝑁
233. Un gymnaste de masse 60 kg et de taille 1,60 m est suspendu à une barre fixe,
immobile. La réaction de la barre peut être caractérisée ainsi (g = 10 ms-2) :
𝑃𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑 ′ 𝐴𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝐼𝑛𝑡𝑒𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒/𝐺𝑦𝑚𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒
𝑅⃗ {𝐷𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝑉𝑒𝑟𝑡𝑖𝑐𝑎𝑙𝑒
𝑆𝑒𝑛𝑠: 𝑉𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑏𝑎𝑠
𝑁𝑜𝑟𝑚𝑒: 𝑅 = 600𝑁
234. Un gymnaste de masse 60 kg et de taille 1,60 m est suspendu à une barre fixe,
immobile. La réaction de la barre peut être caractérisée ainsi (g = 10 ms -2) :
𝑃𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑 ′ 𝐴𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝐼𝑛𝑡𝑒𝑟𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒/𝐺𝑦𝑚𝑛𝑎𝑠𝑡𝑒
𝑅⃗ {𝐷𝑖𝑟𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛: 𝑉𝑒𝑟𝑡𝑖𝑐𝑎𝑙𝑒
𝑆𝑒𝑛𝑠: 𝑉𝑒𝑟𝑠 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑢𝑡
𝑁𝑜𝑟𝑚𝑒: 𝑅 = −600𝑁
235. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Si 𝑅⃗ représente la réaction de la barre sur le gymnaste, 𝑅⃗ = 𝑚𝑔
236. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Si 𝑅⃗ représente la réaction de la barre sur le gymnaste, 𝑅⃗ = −𝑚𝑔
237. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Si 𝑅⃗ représente la réaction de la barre sur le gymnaste, 𝑅 = −𝑚𝑔
238. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Si 𝑅⃗ représente la réaction de la barre sur le gymnaste, 𝑅 = 𝑚𝑔
239. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Son poids 𝑚𝑔 est appliqué sur la main du gymnaste
240. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Son poids 𝑚𝑔 a pour coordonnées (0,-600)
241. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. Son poids 𝑚𝑔 a pour norme 600 ms-2
242. Un gymnaste de masse m = 60 kg et de taille L = 1,60 m est suspendu à une barre
fixe, immobile. La direction de son poids 𝑚𝑔 est vers le bas
243. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que l’accélération de son centre de
gravité est orientée vers le haut et vers l’avant, alors le nageur est immobile
244. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que l’accélération de son centre de
gravité est orientée vers le haut et vers l’avant, alors la force de réaction au sol est
verticale
245. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que l’accélération de son centre de
gravité est orientée vers le haut et vers l’avant, alors la force de réaction au sol est orienté
dans le même sens que l’accélération du nageur
 246. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que l’accélération de son centre de
gravité est orientée vers le haut et vers l’avant, alors il est impossible de connaître
l’orientation de la force de la réaction au sol
247. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que la force de réaction au sol est
orientée vers le bas et vers l’avant alors le nageur est immobile
248. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que la force de réaction au sol est
orientée vers le bas et vers l’avant alors l’accélération du centre de gravité du nageur
sera orientée vers le bas et vers l’avant
249. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que la force de réaction au sol est
orientée vers le bas et vers l’avant alors l’accélération du centre de gravité du nageur
sera horizontale
250. Lorsque le nageur est sur le plot de départ et que la force de réaction au sol est
orientée vers le bas et vers l’avant alors il est impossible de connaitre l’orientation de
l’accélération du centre de gravité du nageur

Leviers
251. Un moment de force correspond à une action mécanique ayant pour effet de
déformer un corps
252. Un moment de force correspond à l’aptitude d’une force à produire de la
translation
253. Un moment de force correspond à l’aptitude d’une force à produire de la rotation
254. Un moment de force est uniquement fonction de l’intensité de la force, de son
sens et de son bras de levier
255. Un moment de force est uniquement fonction de l’intensité de la force, de sa
direction et de son bras de levier
256. Un moment de force est uniquement fonction de l’intensité de la force, de son
point d’application et de son bras de levier
257. Le bras de levier correspond à la distance perpendiculaire à la direction de la
force passant par le point d’appui
258. Le bras de levier correspond à la distance entre le point d’application de la force
et le point d’appui
259. Le bras de levier correspond à la distance entre le point d’application de la force
motrice et le point d’application de la force résistante
260. L’avantage mécanique d’un levier est calculé par le bras de levier de la force
motrice divisé par l’intensité de la force
261. L’avantage mécanique d’un levier est calculé par le bras de levier de la force
résistante divisé par le bras de levier de la force motrice
262. L’avantage mécanique d’un levier est calculé par le bras de levier de la force
motrice divisé par le bras de levier de la force résistante
263. Julie et Marc ont des avant-bras mesurant respectivement 25cm et 30cm. En
considérant tous les autres paramètres comme étant égaux, Marc et Julie devront
produire le même moment de force pour tenir une masse de 10kg dans la main, coude
fléchi.
264. Julie et Marc ont des avant-bras mesurant respectivement 25cm et 30cm. En
considérant tous les autres paramètres comme étant égaux, Julie devra produire un plus
grand moment de force que Marc pour tenir une masse de 10kg dans la main, coude
fléchi.
265. Julie et Marc ont des avant-bras mesurant respectivement 25cm et 30cm. En
considérant tous les autres paramètres comme étant égaux, Marc devra produire un plus
 grand moment de force que Julie pour tenir une masse de 10kg dans la main, coude
fléchi.
266. Un levier inter-puissant a un avantage mécanique supérieur à 1
267. Un levier inter-puissant a un avantage mécanique qui peut être supérieur ou
inférieur à 1
268. Un levier inter-puissant a un avantage mécanique inférieur à 1
269. Lors d’une contraction concentrique le moment de la force résistante est
supérieur au moment de la force musculaire
270. Lors d’une contraction concentrique le moment de la force résistante est
inférieur au moment de la force musculaire
271. Lors d’une contraction concentrique le moment de la force résistante est égal au
moment de la force musculaire
272. Lors d’une contraction isométrique le moment de la force résistante est supérieur
au moment de la force musculaire
273. Lors d’une contraction isométrique le moment de la force résistante est inférieur
au moment de la force musculaire
274. Lors d’une contraction isométrique le moment de la force résistante est égal au
moment de la force musculaire
275. Lors d’une contraction excentrique le moment de la force résistante est supérieur
au moment de la force musculaire
276. Lors d’une contraction excentrique le moment de la force résistante est inférieur
au moment de la force musculaire
277. Lors d’une contraction excentrique le moment de la force résistante est égal au
moment de la force musculaire
278. La brouette est un exemple de levier inter-appui
279. La brouette est un exemple de levier inter-moteur
280. La brouette est un exemple de levier inter-résistant
281. Une personne tient un poids de 10kg dans la main, coude fléchis à angle droit et
avant-bras horizontal. On considère que le poids du bras est nul et que la résistance
s'applique au niveau de la main. Il s’agit d’un levier inter-appui
282. Une personne tient un poids de 10kg dans la main, coude fléchis à angle droit et
avant-bras horizontal. On considère que le poids du bras est nul et que la résistance
s'applique au niveau de la main. Il s’agit d’un levier inter-puissant
283. Une personne tient un poids de 10kg dans la main, coude fléchis à angle droit et
avant-bras horizontal. On considère que le poids du bras est nul et que la résistance
s'applique au niveau de la main. Il s’agit d’un levier inter-résistant
284. Les leviers de type inter-puissants sont des leviers fréquents dans le corps
humain.
285. Les leviers de type inter résistants sont des leviers fréquents dans le corps
humain.
286. Les leviers de type inter-appui sont des leviers fréquents dans le corps humain.
287. Le levier inter-appui a comme principal avantage de favoriser la force
(cinétique)
288. Le levier inter-appui a comme principal avantage de favoriser le mouvement
(cinématique)
289. Le levier inter-appui a comme principal avantage de favoriser l’équilibre
(statique)
290. Si le muscle tibial antérieur travaille en concentrique avec une charge
additionnelle au bout du pied, son levier est de type inter-appui
 291. Si le muscle tibial antérieur travaille en concentrique avec une charge
additionnelle au bout du pied, son levier est de type inter-puissant
292. Si le muscle tibial antérieur travaille en concentrique avec une charge
additionnelle au bout du pied, son levier est de type inter-résistant
293. Si le muscle tibial antérieur travaille en excentrique, son levier est de type inter-
appui
294. Si le muscle tibial antérieur travaille en excentrique, son levier est de type inter-
puissant
295. Si le muscle tibial antérieur travaille en excentrique, son levier est de type inter-
résistant
296. Si le muscle soléaire travaille en concentrique, son levier est de type inter-appui
297. Si le muscle soléaire travaille en concentrique, son levier est de type inter-
puissant
298. Si le muscle soléaire travaille en concentrique, son levier est de type inter-
résistant
299. Si le muscle soléaire travaille en excentrique, son levier est de type inter-appui
300. Si le muscle soléaire travaille en excentrique, son levier est de type inter-puissant
301. Si le muscle soléaire travaille en excentrique, son levier est de type inter-résistant
302. Une personne tient un poids de 10kg dans la main, coude fléchis à angle droit et
avant-bras horizontal. On considère que le poids du bras est nul et que la résistance
s'applique au niveau de la main. La distance du coude à la main est quatre fois supérieure
à celle du coude à l'insertion du biceps. Le biceps doit développer 200 N pour maintenir
la charge.
303. Une personne tient un poids de 10kg dans la main, coude fléchis à angle droit et
avant-bras horizontal. On considère que le poids du bras est nul et que la résistance
s'applique au niveau de la main. La distance du coude à la main est quatre fois supérieure
à celle du coude à l'insertion du biceps. Le biceps doit développer 400 N pour maintenir
la charge.
304. Une personne tient un poids de 10kg dans la main, coude fléchis à angle droit et
avant-bras horizontal. On considère que le poids du bras est nul et que la résistance
s'applique au niveau de la main. La distance du coude à la main est quatre fois supérieure
à celle du coude à l'insertion du biceps. Le biceps doit développer 600 N pour maintenir
la charge.

Equilibre
305. Selon la première loi de Newton, un corps est en équilibre si la somme des forces
externes est nulle
306. Selon la première loi de Newton, un corps est en équilibre si la somme des
moments est nulle
307. Selon la première loi de Newton, un corps est en équilibre si la somme des forces
externes est nulle et la somme des moments est nulle
308. Selon la première loi de Newton, un corps est en équilibre si la somme des forces
externes est nulle ou la somme des moments est nulle
309. L’équilibre corporel est assuré aussi longtemps que le centre de gravité se
projette à l’intérieur du polygone de sustentation
310. L’équilibre corporel est assuré aussi longtemps que le centre de gravité se
projette en dehors du polygone de sustentation
311. L’équilibre corporel est assuré aussi longtemps que le centre de gravité se situe
au-dessus du nombril
312. Pour améliorer son équilibre lors d’une prise en Judo, Julien a intérêt à élever
son centre de gravité
313. Pour améliorer son équilibre lors d’une prise en Judo, Julien a intérêt à
augmenter la taille de son polygone de sustentation
314. Pour améliorer son équilibre lors d’une prise en Judo, Julien a intérêt à
positionner la ligne d’action de la gravité au plus proche du centre de son polygone de
sustentation
315. Pour améliorer son équilibre sur la poutre, Claire a intérêt à écarter les pieds
316. Pour améliorer son équilibre sur la poutre, Claire a intérêt à se baisser
317. Pour améliorer son équilibre sur la poutre, Claire a intérêt à se grandir le plus
possible
318. Le centre de gravité est le point autour duquel les particules de masses
composant un objet sont également distribuées
319. Le centre de gravité est fixe à l’intérieur d’un segment
320. Le centre de gravité se déplace en fonction de la position des segments corporels
les uns par rapport aux autres
321. Le polygone de sustentation correspond à la projection du centre de gravité sur
un plan
322. Le polygone de sustentation correspond au polygone reliant la projection du
centre de gravité de chacun des segments sur un plan
323. Le polygone de sustentation correspond au polygone reliant l’ensemble des
points par lequel un corps repose sur un plan