CONTRÔLE DE FRANÇAIS :

Établissement : ………………………………………….
Classe de 2de Durée : 2 heures
Nom :………………………… Prénom(s) :………………………………………

Note finale : Appréciations :

/20

I. I) Le narrateur et le point de vue : (3 points)

1) Identifiez le point de vue de chacun de ces extraits en justifiant votre réponse.
a) Nous étions à l’étude, quand le proviseur entra, suivi d’un nouveau habillé en bourgeois et d’un garçon
de classe qui portait un grand pupitre :…………………………………………………………………
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b) Un groupe de jeunes garçons semblant travailler tourna soudainement son regard vers les trois hommes
qui entrèrent dans la salle :……………………… …………………………………………………….
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c) Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une
pension bourgeoise établie Rue Neuve-Sainte Geneviève, entre le quartier latin et le Faubourg Saint-
Marceau. (Honoré de Balzac, le Père Goriot,
1835):…………………………………………………………..………………………………………
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. II) Les figures de style : (5 points)
1) Repérer les figures de style dans ces phrases et nommez-les :
a) « La maîtresse de mon cœur est là » …………………………..
b) Je ne peux toujours travailler avec elle, je ne la déteste pas………………..
c) Cet été, nous partirons visiter la capitale de l’Espagne…………………….
d) Sa fille, il y tient tel que la prunelle de ses yeux………………………...
e) Qu’est-ce que le soleil noir de la mélancolie ? …………………………….
f) « Faut-il laisser un affront impuni ?
Faut-il punir le père de Chimène ? » (Corneille)
g) « Puis des tricots, des bas, des chaussettes, des dentelles. » (Zola)…………...
h) « Mais la chevelure est une rivière tiède. » (Mallarmé)………………………
i) « Le spectre Rien levait sa tête hors du gouffre. » (Hugo)……………………
j) La République nous appelle…………………………………………………...

III) POÉSIE : (10 poits)

LES FORMES FIXES
En vous aidant du décompte syllabique et de la disposition des rimes, recomposez cet extrait de Pierre
Louÿs, de manière à produire un sonnet (poème de 14 vers répartis en deux quatrain et deux tercets).
Vous ferez attention à la disposition des rimes.

Pégase
De ces quatre pieds purs faisant feu sur le sol la Bête chimérique et blanche s’écartèle et son vierge
portrait qu’homme ni dieu n’attelle s’éploie en un vivace et mystérieux vol.

Il monte et la crinière éparse en auréole du cheval décroissant fait un astre immortel qui resplendit dans
l’or du ciel nocturne, tel Orion scintillant à l’air glacé d’Éole. Et comme au temps où les esprits libres et
beaux buvaient au flot sacré jailli sous les sabots d’illusion des sidérales chevauchées, les poètes en deuil
de leurs cultes perdus imaginent encor sous leurs mains approchées l’talon blanc bondir dans les cieux
défendus.

Pierre Louÿs « Astarté », 1893

 Traité du poème
Titre :
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Pierre Louÿs « Astarté », 1893

NB : La présentation de la copie est notée sur 2 points

Chargé du cours : Monsieur BAH

Tél : 620513564