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THÈSE
yrésenlée yar
‹ I romboronkoto.............................................................................................................................95
Au terme de ce travail, je rends grâce au Seigneur, Le digne de reconnaissances et je prie sur Son
Prophète Mouliammed.
Mes « cannt » s'adressent également à SERIGNE TOUBA-KHADIMOU RASSOUL, notre guide
éclairé et à Serigne Saliou MBACKÉ , que le Bon Dieu Lui accorde une longue vie.
Ce mémoire n'aurait pas vu le jour sans le soutient constant de personnes que je tiens à remercier :
Les instigateurs de ce travail M. le Pr 0. DIA et le Dr P. MOURGUES, Directeur de
recherche à l'ORSTOM, qui m'a témoigné une amitié et une attention constantes
M. le Dr A. DIA, mon directeur de thèse et le Dr M. RITZ, Directeur de recherche à
l'ORSTOM, mon maître de recherches, qui ont supervisé ce travail
MM. les Dr A. LY, C. B. GAYE et D. P. DlALLO i'our les conseils, la documentation
fournie qu'ils m'ont prodigoé et roilr avoir accepté de faire partie du jury
M. P. MA4’£llEU, Représentant de l'ORSTOM au Sénégal pour l'accueil qui m’a été
réscivé an centre de 1 lann et roor l'allocation qui m'a été octroyée. A travers sa personne je
Jx‘ù sciile iiics lioiiiiiiages aux persoiiiiels scientiliquc, tccliniqttc ct atlniinistratif tle 1'OltS’l’OM
M le l'r C’I IOUT’EAU tle l'école Polytechnique de Monti éal pour toutes le tloiinées ‹pi'il
m'a permis d'exploiter ainsi 'l ue son étudiant Bernard GIROUX pour sa collaboration franche et
fructueuse
MM. les hr A. FAYE, R. SARR, A. DIOP et P. M. NGOM du Département de Géologie,
pour leur soutien efficace dans ma recherche bibliographique
M. VILLENEUVE, Salam NDIATLI et Macoomba de leur soutien sur le terrain
Mes collègues du laboratoire de Géophysique J. VASSAL, M. DESCLOITRES, M.
DUKKHAN et mes camarades Same DIOUF, Rémond GOMIS et Joseph TChANI, pour leur
disponibilité
MM. DIA’FTA et NGOM du Ministère de l'FIydraulique qui ont bien voulu inc
permettre de consulter les données de forages
M. Mbaye BA qui a confectionné la majeure partie des fiBures
Tous mes frères et condisciples du « Daara » Serigne Saliou MBACKÉ
Mes amis de toujours, toutes les connaissances qui m'ont témoigné leur sympathie
C'est aussi pour moi l'occasion d'exprimer ma reconnaissance à Serigne Cheikh Béthio
Aii‹lio-Magnéto-Telliiriqiie
In‹lex d'eliplicité
Angles de skeiv
Induction magnétique
«n1›
€'nl›érence
Con‹ltictivité
Constante cliélectriqiie
Champ tell‹irique
l°leclro-Ma;;nélique
Densité spectrale
II
Champ magnël iqtic
V
Siisceptibilité ma;;nétiqtie
Longueur tl’onde
I•erniéabilité magnétique
M'I' Magnéto-TeII‹irique
flk‹•ii› régional
Nanntesla
I*réqtience
pxy/pyx
Itésistivité en mode ‹le pnlarisatinn I'/I I
Ià egré de polarisation
I3irectinn strticturale
l•ériotle
Gegré d'ellipticilé
Unité l2lecIrn-Magnétiq‹i«
ultrahasiqïie
3'9-N4o‹lèle de la station
2 4fJ-Modèle Ile la
station 3 4 I -Motlè le de la
station 4
44-Modèle Je la station
45-Mndèle de la station 8
4f›-Moilèle de la station 9
*l7-É "nri é latinn entre sondages nzé «nniques et nan‹lèIes é lectriques ‹les stations I , 2 ct !J
'lH-!”nri” I»!inn cntr snn‹l•ö •s ‹ cani1ci•s et n ‹›‹lèI•s éle«triqii«s ‹I«s si‹iii‹›ns .i, < «I x
•1*ł-Cnrrólatinn entre snn‹Iages inócanigcies et modeles źlectrigcies ‹les słatinns 7, £› et S
a -+14‹›wi.”i’Ls»ii-.- AiI.so/.
I -8tnictiires gćologiques de ta boutonnićre de Kćdougou
ń-f'rnIil rl'annmaIies T- I I
7-PrnfsdAnnmNiesT12mTl3
I ’i-h4 o‹1ćIe tim profil ‹te 9"onib‹iron ś oto entre 2 1GG et 3 100 ni
20-Mndćle ‹tu prnfil de
de Tinknto
Depuis les années cinquante, des investigations géologiques et géophysiques ont été
effectuées sur le bassin sédimentaire sénégalo-mauritanien pour la prospection pétrolière. Par la
suite, pour affiner la connaissance de la partie sénégalaise, des étuiles géophysiqiies ont été
réalisées : mesures gravimétriques et magnétiques, prospection électrique et, plus récemment,
sondages magnéto-telluriques.
La connaissance du bassin sédimentaire demeure malgré tout, très partielle en particulier dans sa
partie profonde où très peu de données sont disponibles sur l'aquifère maastrichtien et les
isobathes dii toit du socle.
D'une manière générale les méthodes électriques ont été largement utilisées pour
caractériser la stnicture du bassin. Elles permettent d'obtenir le paramètre de résistivité
électrique qui varie en fonction du type de roche ; ce paramètre est cependant très sensible à
la présence d'eau : le rapport de résistivité entre les formations rocheuses sèches et les
formations humides peut aller de dix à cent (ASTIER, 1971). Néanmoins, la méthode de sondage
en courant continu ne permet d'atteindre que des profondeurs d'investigation limitées et la
nécessité de tirer de grandes longueurs de ligne contribue à l'alourdissement de cette méthode.
Par conséquent, nous avons utilisé la méthode de sondage magnéto-tellurique à large bande de
fréquences, initiée aii Sénégal depuis les années quatre vingt, pour l'étude de la géométrie de
l'aquifère profond ; de la salinité des eaux ; de la profondeur et éventuellement la nature du
socle dans la partie cit-.chore dii bassin.
I.« l›,irsin sć‹lin cnlairc sćr›ć\;aln-mam il‹in/c» cst !e l›h/ ‹!*!< *!*> !!>>> !!> *!e !!!‹!*Iśe I**
* quì F‹›i”n\ciJt la hordure
oc«i‹Ici›t8I« tlti c‹›iili> !!! afi“ic•ii!! !! I* >*!!!* tine *!iI›«i fi«i !!!
340. î0tJ Ibn 2 cnviron et co Ivi e la Maui iłanic, le Sćitügal, la Gambi« «I la Guii›éc Dissau
(ł'ig.ł-I)
I'ig.1.1 - C»dre géol‹›gi‹1iic ct pt›sili‹ o ilii y'ofil tie iiicsiircs úl’I’ (‹l'•‹ ›i é» ‹:«i lc
lccloniqtie tic l'A fi it]iie in‹ltlifjéc ; ASGA/I JNESCO, 1!1í›8)
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Carte de localisation des sondages de référence (COPñTAO, SAP, E c he II e .
SPS,
A Diana Malai i (DM 1), le PiiJèozoïque est coiistituè par ‹les grès siliceiix fins et ‹les scliistes
noirs. l.es scliistes séi‘iciteux ‹lu sondage tle Dabo (Db lli) ne sont paü datés, il en est tle méme
›oiir les si Ïls r‹›iq;es ‹le I)ioiirliel (DI l ), les scliisles plissés tle I.iiigiiù re (Li E 1) et ‹le N‹lio‹lori (Ni
F' I). I.cs gi”anilcs rc«ni›iois z 1lintiinauan (Di FI) sni›t ‹r /›z”i‹›/’i )›rćcan›l›riens.
1.1.3 Le Cériozoïqiie
I.it sćtłimeniaiion paléocène est essenliellemenl chimiquu ei liiocliiniiqiie avec ‹les fticiès argilo-
luai’neøx et calcaires liien tlúcrils pai‘ M‹iNCiAlti ENI ( l9hfì). Les âges s‹int ‹lćlei niinés avec
1›eiiiicoøp ‹le précision grâce aux fossiles lels qoe Glohorøtaliti .sy›, les Niiinmiililes et les
Operculines. Aux Madeleines, le Palćocène affłeiire soøs forine ‹lc marno-calcaires (ßlirrl‹i eï
ml., 1585).
A I’ ncène in£érieur les ‹Iépñts marnetix et argileux dnn inent nettement (lin nns ‹Ic I'l Ïñpital
et ai”gilcs ‹le la l°i”isnn) ; I'Éncènc n ‹›yen «st marque par ‹lcs ai”gilcs, ‹les marnes, ‹les
inlcrcalalinns ‹le cal«aire argileux ż silex cl l'oclivilé vnlcanìquo ‹lu C'ap-Vert ‹Ians la réginn ‹le
1”hiès. TI itfÏleurs å l’Aux« I1‹•i n攋I sniw Iì›i"nt« ‹I« n m”iir›-‹:nI«aii”‹•s. I«s mên›«x F‹›i”rnłitinns
à l’I'‹›«üf « supSi”i«cir (argiI«s l›«i(;«s tI« Y‹›lJț. ”I’‹ ›lJfvi/H‹KiNi. oï ‹i/. ( I*Jb•l) ‹›nI ț›i"‹›«č‹lć â
lIn« iin{›ni1anle ićvisinn stratigrapI›i‹jtie cIu Faléncćne ct ‹i« l'üncćnc inFüri«iir ‹le la rúginn ‹lc
N‹]iass, à l’ai‹le ‹les £‹›ramini£ères plnnctnnigues et des nannnfnssiles calcaircs.
I.a lnciu e ‹Ic I'Oligncènc inFúi”i«iir et mnyen est ‹l'«xtensinn rëgi‹›nale. I .'Oligncène siipćrieur est
cnIcair« el inarneux «n CasaiTi:ii «c, síil›Ieux ct argiletix ‹4 l'Ïîsl ‹Iu l›assin. IJri« sërÌc pljtjspligtéo
i”ë‹luitc se rcncnntre :a l'hićs; I«s prcmićrcs nzanifestatinns vnIc‹ini‹]ucs s'elal›lisscnt à Dakai" avec
lcs sills tic pyroxćoiies ‹les Miitlclciiics ct les iøfs (Citi.v‹ ›i a ct ‹if., í 994).
l‹ laciınc enlre les ternies marins ‹lit Paléogène el ‹lti Nü ogène a ćlć inise en évi‹lonce aiissi
bien piir lit microfìiiine, la microfiore (El l‹'‹ì’l’l'Al Jx et Ml'l11iS, l9Íì0) que par les
associations
‹l'‹istraco‹les (LY et CAltIlfJNNlo., 1987). Par ailletirs, LY (198S) a élti‹liè la l›ioslratigr:ipliie et la
sú‹Iimentnlngie ‹lu Tertiaire de Casamance.
I.c Mincćne l›asal est argileiix. Selnn Ti.68iI.It cl rn. (î 473), les Fni matinns ‹lćnnmmées
!! FnfłlinCntal terminal » nc snnt pas tlnigcicmcnl cnntiucnl:lI«s fnais imsüi inariit«s II s'a(ți( de
Fnl”lnítti‹›ns s‹il›m-ar{\ilecises i"cił›ćfiücs qui re[›rćSCnIcnt ‹les ëlCiùs ‹l’íïlIüiaI¡‹›n lai”‹liv«, sans â{țg, gg
tcrminant généralemcnt ‹a wur snmmet par tine cuirasse Iatúriłi‹yi«.
Aøcime formation datée ‹le façon certaine clti Pliocène n'a encoi’e été ol›servće.
Le Qtiaternaire est marqoć par :
- FUS ÊO£ri3atÎnnS Marines (fief .fJt ïAIt 11 el all., ) 9ń9) av£,c I'Ïnclłit ¡on el l« Çø\ g țç țjøțți jj
- ‹les f‹irmations coniinentales (Mhi h.l., 1973) telles qoe le glacis coii’assć, les
calcaires liiciisires, les ‹lćpûts éoliens ;
- lüciivitë volceoiqoe ‹les Memelles en ‹leøx phases prineipales (I.i› ri ‹i/., 1092;
Cltl.viii.A
in «nncliisinn I rnis sequences pi”incipaIes snnt recnnnties stir Ic l›‹issin (Cii ›lI't› ct Ît‹›t J88wl.,
I .«s st rti‹:lures en ‹lislensinn pi"ürlnn›inenI : linrsts el gral›cns, rlinpirs ‹le s«l, Oiilles list i”iqiies. Ï.es
‹Iii «•I i‹›us n,j«ul”«s s‹›lJl sul›müi i‹li«l1l\«.s I1« Il”ćs rJ‹›uJl›i”«tis«s :iiiIi”«s ‹Iii”‹'‹:I i‹›n6 s‹›uI n\is« «n
üvi‹l«ijc‘c• }jłu” ¡nl«r{jrćI‹jI i‹›i1 {›li‹›l‹1-[țć‹›l‹›jji‹]ti«. I .ii {1ltlp:u I ‹l«s lì”íi«liir«s ‹›Ml j‹›iiü ‹ml l‹iill«»
M‹›rn1aIcs a la Iìn tl‹i Crélacú et ‹liirant l« "I”«rtiairc. Îic l'É'ncćnc au ¢}ti:itcrnair« ‹I«s
inai1iF«stations vnlcaniqries se sont prn‹lmtcs avcc ‹les mn‹ïcs de gisement varićs : vnl«ans,
‹lyk«r, xiIls, gìpes,
«n ilúes, tiifs stratifiés.
Ï.«s slrticlurcs ‹l'cnscnil›lc généi“aIen›cnł tal› ›loii”cs ‹1 l'üsl cl æi cc•nli'c, s‹: «›i›q›li‹j icnl vci's
l'nuest rl'tin« znne-cl arnićrc müri‹linnalc I ń°3ÛW, sn is l'elT«t ‹l’unc I«Inti‹jii« en cxlei1sinn
‹lnnt lcn nigncnl lcs l›nrsIs ‹lc N‹liass «I FJ;ikai , lc gral›«n ‹le ßtifisqiic. I .‹i siihsi‹lcn«c «st F‹›i lc
ń l'Cł icst
‹lc ccIte znnc-clzarnièrc. Des intrusions vnlcaniqiies qiii ‹latent ‹lii Mnasli i«liIicn nu Ouaternaire
‹ccnnJpagnent ccs strticltii cs. Au lai ge ‹lc la Casainancc «I ‹l« la Mam itnni«, ‹lus intnisinns
‹liapiriques triasicn-liasirț ies rïćF‹›rmcnt Fnrtentcnt l«s [xtissanIc•s sćrics i»ni”ii cs ›tti niveau
rI‹i plate:th continental (TI'Ml›I.I'’l'ï›N, 1971) Ï.a natiii e «I lige ‹lii siil›sIraIiiitt ‹l‹i l›assin snnt
iiiüctinntis ‹a l'Otiest ‹1ii 1iiéi’i‹lieii 1 fi‘3fi\V. Vcrs l'Est qiiclqiies s‹iii‹liigcs ft›iil ül;il ‹l'tiii
siilislraliim F‹›i”inć ‹l'iinc {›íii”l ‹I« {ți”íinilcs «I il« i”‹1«h«S inćl ílmni”plJì‹]u«s }JlixsćcS
íip{j,irl«itíiitl au sncle j›i üt:‹us I›i i«n ‹I« lu ‹l‹›rs‹il« ItügrIil›‹il «I ‹i lit «l›nîu« ›‹tnnlïi«íiii1« «I
llcr«yni«ru « ‹l«s M;uii iłani‹lua,
‹I"‹iiiti”c {›ai”I ‹le scltistes siliii”n-‹lćvnniens a}1parl«nant aii l›assit1 {jalć‹›z.‹›ïqiia• ‹l« ]1‹›vć. I.a cnjjpe
gü‹›łogiqiie syntliéliqiie ‹le In' Si'l'Ntil.l'lt c/ ft . (l9fčì) søi‘ lit ñgiii c 3 illiisti e la simclime
‹I’euseml›le ‹lu l›assin entre Dakai" et fłakel.
I,cs mn‹lificnlinns Waites par fi’i'aNc'i‹›l'r' ml o/. (19ß6) siii la «niq›e ‹l« Di. fii›i:N‹,i.i.i‹ u/ ‹i/. (j
96ćî),
‹›nt pnrlé csscntiellemcnt em” ‹lms cni"respnn‹lances enl re I«s an‹›inaIi«s gćnpl ysi‹yies et les
linëaincnfs vtis siir les imagcs I .an‹Isat, qtii nnt pcrmis ‹lc u clli”« cn ćvi‹I«i\c« ‹le nncivelles
slrticttires telles que I intrtisinn ‹l’Ol‹InïI Dël›nktil, l'annmaIi« ‹l« Waraf«nni-Mé‹Iina el I’:anomalie
gr«avinzétrique de Itévane.
-:' l'q•=
BIC t. fOnt
l.es ‹lii eclions ‹le taille cl les gr‹iiipcs ‹l'acci‹lenis majeurs sooligoès par I.C Plilf 1. el oil.NF:
(1084)
nm les suivants:
Ï.«s niveaux slraligra}›Iiiqiies qui p‹›i“Ient ‹in intérêt IJy‹lrolngi‹jii« cCi”Iain s-‹›nl tt':il›nrtl Ie fix:›sI
i”i«l›Ii«n esscntielI«n cul sal›In-ai”gileux rencr›uI ré ‹fans la in:tj«ur« pttrli‹J t Il !Ji1S1l , ensuite le
ii‹iIcrn:‹ii « ct le Continent al "£«rn in‹il nil l›aign« tinu na ›pe }›lu ënlir}u« , cl on fin l« I°‹ilë‹›cène et
l« I.uléIicti I‹›rsqii'ils snnt caIcair«s cl karstifiés cnmme «'est le «as ‹fans Ice pai li«s centrales dtt
F« j›ai agrapl›e intéresse singuliüreinent les tlnnnées génpliysiq‹ies relatives à la {Mai lie ên›ergée ‹In
l›assin sé‹liinentaire sénégaln-mariritanien.
( 1 OU›?) «I ‹l« Clef:NN et ItF‹'I II.hIMANN (19ùS) nnt éU intei pi él écs siic«essivcn «nt par Ï.I‹ilîlt
( I ‹Ego), C,I iI• i’x’I’ (19gg1 ) cl p,ir P‹›Nxxi‹I› ( 1984). ice ‹l«i ni«rs ‹lëcriv«nt css«nliclI«ment la
st riictiii”e prnf'nn‹lc ‹lii I›: ssiu ainsi ‹]iic celle ‹lcs ens«n›I›l«s stru«lm”‹uix a‹lja«cnts, 8ve«
unt‹iinn ent la znnc ‹le grii‹li«nl ›nsiIiF cñlicr cu rel‹ilinn nvc« la I ransiIini\ ci"nulc ncüaniqtie-
‹'i”‹›iiI« «› i1l i rici1taI«; ct l«s [›i”irici[›a l«s ai1r›u1‹iIi«›t liü«s sr›it :i i ix int i i i›i‹›i » n1‹ilï‹]ucs (f.ér›ria,
t.‹i I›asc ‹l‹i fvlaastricI›ti«n est ti”es «nn‹Iuctricc ‹lans snn cnscml›lo ( I ,S nl›t›i tn). Au«unc pr¿cisinn
u'«st tlnnnec sur la natm”c tlu sul›sl ratun rcsislai›t qtii u’«sl sntivcnl dans all«iul. t Jnc iin jnrtante
flcxiirc ‹lii snc)c est nnlec â l’a;›l‹›inl› tlu mei i‹lien 13°30'W.
Fig.I.5 - Cane aéromagnétique du hassin (champ
Fig.1.4 - Carte des anomali.•s ü.• Sou(u-ar (LisER. 1980) transformé au pô ’ le) d aFr•s Liczx,
1980
1 .2.3 Stilisidence et Kvoltition tliei niiqtie
1 Jc l'ü l ii‹lc ‹In la sulisitlcnce ‹lø liassin, LA I if.-Ilitt iN (1957) ilislingiio ‹lciix pliiises ‹lc siilisiilence
i api‹lc ‹mins le tlomaine occitlenlal (Jiirassiqiie iøfcrieiir ct tlćliiil ilø €'i ëlacü sii}ti ioiir) et iine
phase ‹re stilisi‹lencc rapi‹le aii nivcaii ‹le la zone ‹le llexiire ct twins lc ‹lomaine occi‹lcntiil
(firú tacé
I.n v‹ilcur innycnne ‹lcl flcix tltcriniqtie «st évalciéc à 50 n Win› , un pnt”lant tlc vingł guatre
snn‹Iagcs pćtrnliers ‹le rćfêrencc (Fi/ț.Ï-5). Cc flux ‹fú crnît prn/țressivcmc•nl ‹l«puis l‹i znne Be
Ï1cxr‹r« (70n›W/m2) juscțuü u tlunzaine occi‹Iental (4S-30 n W/m2). I.es n ‹›‹Ićlcs th snł›siJence
pcrmcttcnt ‹l'ćvaluer la mat‹iraticn de la matiè re organiq‹ie ainsi qiu l'évnl‹iIion ‹liagénćti‹jtie
‹les rú ‹liincnts, cnnnaissant leur I istnire tl ermiq ie ait cours ‹lu temps.
s I . LOff I S
i›» x A n ° fly ”
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£”• IJ ł N E E
BISSAU
Ui{ț. I.6 — Carle ‹lti fltlx tlicriniqtlo tlti li‹assio sćnćgiiliiii (1 . ’i J l .—II lt i iN, l ‹jg7)
i
i .2.4 Nfagnétn-tclluri‹jtie, Tclluriquc el Son‹lng«s génn1agnê li‹ ii«s
I1«s grnsgcciinns n ngnetn-t«Il«riques (Iti’i'/., î 984 ; tti’i”/. et fti.i.i.i‹›N, 1091), i«Il«riq«s (ki”i”/. et
ri.ir'‹›i-i‹/\t›X, I 98fî) el les snn‹Iages géenJagnéliqties ‹lilfüi enliels (ItI’I/., I9g4 , ltI'l /. ej
VessM., I Ogfî) mot permis de ‹lécrii"c en certains en‹lrnits ‹th l›assin, l‹i ‹listi”ihuIi‹›i1 ‹l« la
c‹›it‹ltictivité ülcclrigiie tic la séquence sé‹limentaire, ‹Ie la croîïte et ‹lu manteau supérieur.
1.2.5 Sismique
Ï.cs données sismiques réflexion et réfraction ou-,shore reslent encore assez peu ‹)ilfiisües par
les
compagnies pétrolières.
Tuconin MAGNn”io- rni.i.unioun
] .« rnćtl nJe m»gi ćtn-t«II ii irtie (MT), j›i nFnste ‹l'ñ l›‹› ‹ [»l 1”I I If ENI !V ( I <! ) e!
Af iNl,'\¡t l j ( }053), Çøi( flppel atjx v¡iriñ }ions na{tli‘elles iltl chaMp m8gliéı iqtie lCFi‘CSl i’0 CH fOnClİ0ft
‹In temps.
I.'ćlii‹le ‹le ce champ permel, dans certaines con‹lilions, ‹l'oblcnir la ‹listi‘ibtiiion ‹les résistivités
ćlecl iiqiies ‹les terrains soiis-jacents jøsqii'ă plusieiirs ‹lizaines ‹le kilomći res de Jii’of‹in‹leor.
Celle lechniquc liien connote est déci iie ‹lans de nombreiix oilvrages el nous avons pris
référence essentiellement srir ceux de PA”iit et Mar.i.icK (1980) et tie Km Jl'M N et Kim.l.I:lt
( 105 I ).
I .c gnørccs ‹l'ći1«rgi« ‹lu «Iiû i1j}j MI" snul «xcItisìv«m«nl r\íil tii «II«S «I ‹lii «l«itJcnt liées â
l'acłivilć ‹wi soleil. he spectre ‹les aiiiplitiicles permet ‹le ‹listingiier ‹leiix sources principales
de periurbalions hM (Fi¡ț 1-7) :
- Yes sons-‹irages niagnéiiqiies géoéraleiirs ‹Yes tinier oJiiilsatiOn9 illix fi’éqoences
ioférieiires à I hertz ;
- les orages ioagnćtiqiics potir ìcs )iiilsalions siipćriciircs ù I liei lz..
I°.o ‹İcç‹n ‹li i herl z. lcs niici opiilsalioos }ii’é‹loiiiineiil , cc s‹iol ‹lcs lliicliiiili‹›ns ‹lii clialiip
i»nșnćl iqii« lcrrcstre ‹lnnl l'an {›lilutlc va ‹le la Fi"‹iclìon ‹le gantn n ‹q qliclqiics ‹liz.‹ ii cs tle gnmmas.
1.ewi st i Picture esl qiiasimenl pćrio‹1iqiie avec ‹les péi’iodes 'i" i se siiiient em i’e O, I sccon‹le et
IO turret itcs (J6‹ ii8s, 1970) I.es niici‘ojiiilsations soot gćné rées à piii iii’ ‹lit ‹iü veloppenieol ‹)es
on‹les
iiiagoćlo-liy‹li’o‹lyoaniiqiies (At.i’Vl:N, 1942), tm }iliü noiiièoc iol iøierøenl lie aux soøs—orages qiii
rcJirü senlcnl ‹les perliii lialioos iil mospliü i‘iqiies iiyaol iioc ‹liil ćc ‹le l'‹ir‹li‘c ‹lc ł'lieiire. I.es
i»i«i”npuls‹itinns gćninagnćtiqucs nut ćlć siił›‹Iivisćcs en ‹I«tix cI;tss«s . I«s ptils‹ilit›ns cnntincies
(Inc) cl lcs pulsalinns ii”régulićres (I°i). Cl actinc ‹lc ces tl«\ix «l‹isscs cms pr«n‹l {›Itisìcrirs types
‹l'nn‹les siiivant ‹livcrses gammes ‹lc périn‹Ies.
/\u-‹Icssus ‹lc I I ci”lz. Ice ni”ages inagnćliques ‹l'ćcl cite pI‹inéIairc snul les principales
s‹ tii-c«s tlti champ ri”r. II exislc I r‹›is [;rat\‹ls cent i cs ‹l't›i”tigc mat;ij¿lit u« sit i iü s ‹iii I\i”ćsiI, en
Alri‹j‹ic ccnI raw et en Malaisic, avcc envirn» I û 0 jnurs ‹l'niage magnú liquc par an. Fł’Rułres
ccnli cs s«c‹›r ‹l‹tii es alleign«nl jïi»‹ u'ï ?Ü 0 j‹›m”s ‹l’‹›ragc l’‹innü « Ï'ltisictii”s ćlutI«s tual pcrmis ‹le
u ì«ux a;› rel «n‹Ici” cl ‹l« cl‹issci“ c«s lypcs ‹lc Iîucl ialinns snil å ›ni lii ‹l’i iiic ‹u ‹iIys« I‹ilislirțciu
(£‘l iAi'IviAN et I1AIt’l'l'.I.x, I +ñ //) ; snit ‹l’après l'exłension tics pci liii I›ali‹›ns (I1‹ ›iiit‹›v, 196 I ). I.a
classification la plus répanilue cst celle ‹le Ci IAI'MAN ( 1964) qui se ftin‹lc sur les mécanismes
p)]y i()tj¢$ () t ti génbrcnt CCS }iepJ iii lialiotis ; i me ilisl incl i‹in csl fiii1 c t:lil i c lcs {x:rl iii lml i‹ins eyant
une source siliiée ù la liiiiiie ‹le la magnélospliè re (Dlt) et celles qui sonl liées aux effets
ioli‹›spliériqiies (UP 1 el Dl’6]. E.n {général un orage magnétique ‹ltirc ‹jiiel‹ples secon‹les è
plusieurs jours avec ‹les amplilii‹les variant ‹le quelques gammes à qiicl‹jiies riiillici’s ile
gainmas. ma Iïéqiience ‹l'apparition ‹lépenil de l'activité solaire et ‹le la périoste de l'année.
(GAM MAS )
S T RENG7 H
F IE L D
F nEouEucv f•z » J
PE RIOD f s ec J
Suivant l'approche ‹le CAi:NlAltlI (1053), le milicii ülanl consiilürü ciiiiiine isolrope, le
cl anp électrnmagnétir\‹ie (rM) pi ésent ne ‹lépen‹ï r} ie ‹le l'axe v«i lic‹il ‹l«s «nm tI‹›nnëes et ‹Ie la
‹tier ii aion spatiale des résisii iiés, rt — (Ex,0,o) et i1 = (oJ Iy,0). En «iiisant i«
inéilio‹le opc‘ationnelle de la solution bles équations ‹le MAXwFLl. nous entrons tin cliiinip l îM
‹le lu f‹irme l'=—fix exp(-i‹ot), I I=I Iy.exp(-not) où lex et Ily sont des aiiiJililii‹les complexes l.es
équations ile
MAxwI0.I. ‹fans tn icilic i linmngùne ct isntrnp« snnl
rntE -F ‹JI3//X = 0 ( 1)
15
s= *'4 r• '('**,"Y)
x-(x/4) poim (Gy, IIx) (21)
l‹ phase est indèpentlanlc ‹le la iésislivilé f1'tin milieu iinil‹iririe 1:in‹lis ‹Jiie le inoiliile de
lä mpé‹lance ‹lècroît lorsque la c‹iii‹liiclivilé cl la périoste aii;¡nienlenl. l.'éqii:il ion ( l9) peut
s'é crire
«n m ilćs prali‹jtics :
' /y
0p2 "i' ] r.x/l ty ) 2 nlu».in avcc I2x en i zV/Ki» «I I ty cn gai»itzas (2?)
I-es rćsistivitćs apparcnlcs y (3yy snnt i‹lenliques suivant les ‹te ix ‹lii”cctinns ‹]e n estire si
te nzilicu ert rignure‹iscmcnt hniTingćne, puisque ‹lans ce cas Zxy = -Zyx.
I,’hypnII›ćsc ‹lc I’nn‹Ie plan« i"cstc val:tl›l« jusqti’ń la pćrin‹l« ‹Ic I fJ 0fłf\ s«c‹›n‹I«s «nvii“nn pnur
lee vnIe‹irs ‹te ró sistivitć rcncnntrćes Jans te snl (kfAJ1Jł.N ct NN.II›N, I 9ń d).
I.a cnnc\uctivitć ne ‹\ćpcncI plus tiniqtieiTient ‹te I'8xc vcrti«al, cllc varie a issi l‹ilćralement.
F’«st ta silualinn rencnnlrćc ‹lans lc cas ‹I' ine faillc, ‹l'cin F‹›ssń ‹›ti ‹lc tntit« autr« anis‹›trnpie
rlans l« pInn Izni“iznntaI. Si ta rćsistivitć ‹tu snl ne varie qtic suivant les axcs x ct z par cxcmple, te
cljamp cst inva› iant ‹lans ta Jireclinn y (rJ/r = II). 7.es śquatinns tle MAxwl.I.I. (łt) et (9) clnnnent :
I 1c•‹ix viil«ii s ‹l« i”ćsisl ivilć ({›gy «I pyg) iiinsi ‹]‹i« ‹l«ix vtil«tirs ‹l« {›l›iis« (‹pgy «I ‹pyg) snnt
calciilćes ‹a parlir ‹te ces inipć‹lances. ł•liisietirs aoleiirs oni lenlć lit i’ćs‹iłiili‹›n ‹łcs ć‹jiialions
ci-
‹lcsstis selon iliffćrents cas de figiiie (faille, dyke, fossć...).
l3;ins le cas ‹l'une sti’iictiire à lrois ‹dimensions, la con‹liiclivilè varie en f‹›nction iles
trois coor‹lonoéen x, y, z. 1.es équations (II) et (0) ‹donnent :
(i3flz/Złx) - (f3Ey/f3r) = -
ifo{iIlx (f3Ex/róż) - (r3fir7f3x) =
-ioi{tI Iy (AEy/rA) - (r3Ex/‹Ę)
= -iropl Iż.
Il est pnssil›le tte séparci” les cnmpnsantes th› champ rM cn n n‹les ‹le pnlarisatinn ‹lislincis. I.es
›rngrammes cle mn‹têIisali‹›n en ñ-II gui existent snnl l›asés exclusivcnaenl sur cles calculs
iiiiiiićriqiies.
2.5 - 1”ensem” tI'iinpćtl:mcc et fnn«Ii‹›ns ‹te ti":t»sFci"I i»‹j,j,›ćti‹ ue
I.nrsr}uc la cnn‹luctivit¿ ‹I pun‹I aussi l›ien ‹lu la prnF‹›n‹lutir rțtic ‹l« la ‹Iii”«cIiniî
lir›riznntale, l;i i”«latinn cnlrc Ie cI›amp fi el Ie champ Fî nc peul j›I‹is ctrc cxprin cc par l'cqiiaIi‹›n
( 19) inais par lc lensciir ‹l’iinpe‹lance (CAN'l'WIîl.I., I 96fî)
lix = Zxx Zxy I Îx
Ey = y Zyy ny
I.es inzpćdances cnmplexes Zxy et Zyx snnt les ćlćments principaux mi anIi‹liagnnaiix tan‹lis que
’7.xx ct yy reprćsentent les ćlćn1ents a‹l‹Iiłinnnels mi ‹liagnnaux. hans ta fnrmiilc ‹te CA‹›NlAnD
( I 9S3) Zxx — Zyy = fJ ct Zxy — -Ż yx ‹Innc te tenscur satisFait ‹a ta cnnJiIit›tl ixx I Ż yy — fJ. Cette
n ćmc cnn‹liIinn cst ćgalcn›cnt rcmglie quan‹l l'iin ‹lcs axes ‹l« ivc•siir« esl p‹arallćl« 1 l‹i
‹lirecłinn sirtictiii’ale ‹l'iiii modćle 2-D Si les axes ‹te iiiesiire ool inie ‹łii’cclion ‹}tielconqiic 0, tiiie
rolalion
‹lii 1cnseiii’ ‹l'iinpć‹liincc est cfli:cl uće ‹lans lc litil ‹l'obleiiir l"Iiiglc poiir łii‹jiiellc la s‹unnie ‹les
ó lfiiiicnts ‹liiig‹inaiix est iniiiiriiiilu : c'cst lii tlii’cct i‹iii {»‘incipii te ‹l'iinis‹il i‘‹i}iic 0o (S W 11 i', i 'łfi7).
!•' !!!IGX fl’£.lliI!ti«it Ă' 'xx- 'yy 'xy“!“ 'yx )CUI nnn nfil ]›ntii" iii1 i11£›£Icl« .1-lg.
I.e clzainp verlical sccnn‹liiirc Tîz pcut s’exprimer snus I:i £ni”mc tl'm c relatinn IÎneaire
‹le
I îx et I1y :
ITz = A.TTx -I pt.TTy
itYCt Ul ft finnCtÎnnS fie trfinsflcrl iTja{țrlC] lr{lIC ¢:alcfjlCCS [jar Cxen1[j]« gi ‹jtj ({ij;]jnge ‹]e \]e\țy
ri‹—n.fly.
1.e fit›/›ei‘ est iitilisć poor corrćler les champs lioi‘izontaux avec lc chamji vci tical (V‹iz.‹ił-t°, 1972),
sa magnitti‹le mesure l'impnrtance ‹Iu champ vertical causć par un (çra‹licnt de rćsístivité
horizontal :
T = (] A) 2+ ) ü ')'"
Tdir = tan () fł Ü A )
Ï.a ‹liicclinn ‹Iti lipper -T‹lir- in‹lique la ‹lirectinn ‹l'anisotrnpie maximale ‹I'm c structure 2-D.
tJn a itre ìn‹Iex de génmétrie assncié aii cltamp vertical est to li]›¡›er skew (li ii•i• st VnZ.nFF,
I 97ń) :
I.a rüaìslìvilć appai”enle pcut ćlre ‹tć‹Iuilc tlh cal«cit ‹Ice invarianls ‹lu leits«m” ‹l'iinpë‹lance ‹lans le
«as ‹lc strucł ires particulièrcs ‹Ju milieu.
Z‹ïet = (ZxxZyy-ZxyŻ’.yx)!!!
ün słi" iclclrc ?-G, its nnl ‹lćnznnlrć que le tlélerminanl ‹Iti tensciir est égaI ż la moyenne
gü‹›mütrique ‹les éIün›ents anti‹liagnna I›¢.
£‘«s inv‹u”ianls snnl fi”équcmmenl ulilisćs ‹l'tine pai”l pnur n)›lii ziscr la m‹›‹lüIisalinn I -Fł cn cas ale
I‹›i”t« :›nisntrnpic cl ‹l'aulrc part Emu” fattier au pt ćnnmćnc ‹lc .sïoIi‹: .‹'/›i// (kaN‹iaNAvAKi, I 9ß4). I*.n
clT«l, ïi r i”nximiI é ‹l'unc structure ñ-f3 les accumiilalinns t]e «ln›t“g« s‹ii” I«s limilcs verlicales
pciwcnt «nn‹îciire ‹a une ‹listnrsion ‹les court›es th rüsislivilü cl pl›ase en n n‹lc ’F"Ł' ulilisćes pnur
l'int crprél alinn I -U. Äinsi il y a risque ‹l'erreur tl’intei”grćlalinn.
I c .s'I‹iIi‹' .s'lii[I (nu tlislnrsion gaIvąnicțu« nii tlisl‹›rsinn st;jliqu«) sc rćsuu « par tin tlúcalnțje
cnnsłant ‹let cntu-lees ‹I« i”ćsislivilë apparenle sur ime ganm c ‹Ic Iì”ć‹)u«ncc, l«s pli;is«s par cont re
20
rcrtcnl i‹IcnIi‹{ues. I.ii «:msc }›Iiysic{lic ‹te l‹i tlisl‹›rsi‹›is csl scqJ{›‹›sćc ćIi”« ta tlisli il›tiIi‹›u ‹l«
«Iiai”g« cl«li i‹}tic ‹jciasi-sIiili‹}ti« i”ćsciII:tul ‹l«s «›lii”ai\1s iit‹lliits {›ai” tim «›iiIi asl« ‹l« rćsislivitć
tl‹uls un t»iIicti pch ›i‹›F‹›u‹l. J‹›Nl.x ( I 9łł8) et S'I”IfI NITI‹It‹i ‹il. ( I 9Rg) «xj›‹›sci›t l«s i» lli‹›‹l«s tl«
Ii”iiil«ittcitl ‹lcr ‹l‹1i›nćcs alTeclćcs par tlu .s/‹r/it' .sliifI.
dn ‹l«lini s ‹l‹i .skeiv, ‹I’‹ititres {›ai an›ćtres s‹›i›t intrntl iits gi1«c aux invai i‹u›ts rlu l«itscm p‹›cii
cara«tćrisci' ta ‹listnrsinn tlci tcnscur tl'inspć‹Iance.
7 ‹›rsgtic I'iitipć‹Iancc ntcstii dc i 'cel p:ts c‹›nFerInc ali izi‹›‹lćIc 2-ł1 i‹Ić‹il, tI«tix lypcs tl«
iućtIi‹›‹l«s s‹›nt titilirćcs j›‹›tir t«i›ii” c‹›mptc ‹te l'cnscnil›lc ‹lcs ćlćnictils ‹tel Icus«tii”
- In mćlIi‹›tlc ‹te tlćcnutpnsitien tcnsoricllc grżce ‹a la‹ uclle «rtains pai”amćtrcs ‹I' in i»o‹lćl«
partictilier sont cxtraits ‹les ćlćinents ‹łti tensciir (ł.AltsliN, 1977 ; ii IAN‹ cf ‹if., 1987 ; lIAIłIt,
- lcs inó llio‹)es ‹te Iraileincnl inallićinnlique ‹lii lensciir ‹l'iinpć‹lance coinme tine inntrice
cai‘i’‹ic ‹l'‹›i’‹lrc ‹lcox (fi‹ •‹ii'i‹s, I ia2 ; Si•i’i"z., 1981 ; Ci'vai.i.‹ te, l93ó ; I. ”F‹ ›itua‹'a ci ‹if.,
l9sć› ; Yla: ct l'ai i,.s‹›N, l9C7). Glt‹ ›‹ ›M ct llAll.1.Y ( 1990) ‹›iit ffit l'iovciitaire tlcs lccliiii‹jiies ‹te
trailement inatlićmati‹liic.
1.Ai‹sl.N (1977) a inti o‹liiit lc p:iranićtrc p consitlćrć conime iine inesiire, invariante par i’otation,
tlcs tłiflcrcnccs tle pliasc ‹lans łc teoscur ‹l'iinJić‹l:ince :
Zm = A.Z. =
14c c‹iclliciciit tj ap ielć .s’kc•i e i ćgitiiial est iitilisć potm ćvaliici’ te caraclći’e ti’i-diiiiensioiiiicl 3-D)
‹le ta slriicliii‘e i’‹igi‹inałc :
vJ = (I [D1,52]-[.S l,D2] l)"'/ G2 l
Si i :=fl,3 lc niotłèle pi’incipal tie søperposilion n'cst pas iipplical›lc, la tlislril»ñi‹in ‹le la
c nn‹lu«livilć rćginnale ‹foil êlrc *raiscnlÏ›lal›lcmeut ‹le ‹lii11«nsinn ñ. I.« .sk‹'n' i ć{;i‹›n‹iI csl lié aux
J›h;iscs pliilûl qø'iiiix iiio‹liiles ‹les impedances, siisccplililes tl'êl i’e alTcclć ‹le .i’ffffí‹' .i’/i(/f ; ce qiii
fait son avanlage sir le .ske•iv conventionnel de SWil'l’ ( l9fì7). I.a ‹direction ‹le la structure
rćțționalc u est donnće par la rclałion
Z = (D I'd S2')/D2'
ñuivant m n ndèle physique i‹leniiq»e ń cclui ‹le Ï\AIllt (198ß), CiItr›‹JM el 7\All.wv (1989) ont
inlrn‹l‹iit lcs paramèlres tic ‹lislnrsinn l‹›caIe f ct e, /p'i.x'/ ct .'/i‹•r»” rcspcctiven›enI, Iiés aux
‹listnrsinns angulaires § i el §y par les relations suivanles :
arc lan(e) + arc tan(I) = §,
arc łan(e) - arc tan(f) = §i
I.e l›rtiii ‹lésigne bottles les inipiilsions EM tie loiiles oi’igines, naliirclles, in‹liisłrielIes,
I‹›«: I«s, siluées ‹lans la t›an‹le ‹le Frćrj‹ience MI", qui nc pe‹wenI pas êlrc cnnsi‹Iérćes cnmme ‹Iu
sign‹il (¢"l th/.l' ct I.avrlt‹•Nl., I )70). I inc ‹iu‹iIys« ‹lc c‹›hërcncc cnli « Ir: «s él«ctrique et
i›i‹łbnëli‹}ti« assncićcs ț›crin«l sniivci›l ‹l'ëliiJ iiler tinc {țrai1‹l« ›aI Ii« ‹I«s Ï›rtiil s I .a ‹ltirće ‹]es
{1‹›rlÌni1s ‹lc Irac« analysü«s ‹JépCn‹l tlc la péri‹›‹lc : il est «nn1n1‹›‹l« ‹l’‹ïi1‹ïlys«i” ‹lcs lnn[țuecirs dc
I r‹ic°c comprises eutie ?0 el ć›0 lois les périn‹les analysées, avec° ‹l«s inlcrvallcs ‹l'é«hantillonnage
‹lc l'‹›rtIre ‹lc 0, I Fnis les pći in‹les. Um lest permel tie ne relcnir pntir l« «il«il ‹lcs rćsislivités
apparenłes que les porii‹›ns ‹le trace potir lesqiiellcs le coefficient ‹le cori ül‹iIi‹›o esl
siiffisammenl ćlcvć, supéi ieur ń 0,7 ou 0,ß ț›ar exeinple.
I .’uniF‹›rmilć ‹Ics champs pcuI It issi ćlre lcslć snil au mnycn ‹I« ‹l«tix stations simii1tanées
‹l’«ni”«gisIi”cn em, snil par l'ülti‹l« ‹J« la cnmpns‹›nlc vci”li«al« I Iz. cn tmc st:ili‹›n.
I ,'iin« ‹lee pltis gran‹lcs .sn‹ircc.s ‹te parasites cn moyenne £rćqucncc ( I II I iż. /\ 1 7 iż.) prnvisnt ‹]ci
v«nl et ‹Ics vil›ratiens micrnsisinir}ties. ha statinn ‹fe mesure ‹lnil ćlrc inq›lanl « ‹lans unc clairióre,
min ‹ies arl›res.
Scl‹›n Al lAlx.i' ct 7 AVf'ftłiNl: (197fł) il est ‹lifficile ‹te nzcner une prnspeclinn łvfT sans
pcrttii ł›‹tlinns /t mnins ‹te .1fł Km ‹les lignes ‹te tractinn źleclrifićes, a mnins ‹tu S Km ‹les lignes des
ti ansmissinn ‹l'ćncrgie ólectri‹j ic TTautc-Tensinn ct ft inniils ‹lc I Km ‹les lign«s ‹tu scctetir Sfł
hertz.
ai'l'altl'il.I.aGl' I'll 'rItal'I zn‹EN'r nl'.s sI‹:NaIJx Yi'l
Oøi‘aiil l'ac({iiisitioø tics tltinoćcs sur PI IOENI X V5, les ićsiillals ‹le soø‹lagc strut
røis à joul’ an for ct à 1nesi1i‘e que les signatlx solit coregisli’és. Aiosi le syslèliie ‹wi V5 ap iaraîi
c(iøøne tin syslènic ‹l'acr tiisition eø leințis rćcl. he țirocessiis il'acqiiisiti‹›li etc soudagc M"I"
co1iipi‘end ‹letix étapes : la pre-acquisilion et l'acqøisition.
raoraot la Jii é—ac'i" isii io ii tlivers parainètres tl'enregistrcinenl pcrnieltent ‹le coofigører ct
ile ilćci‘ii c le soiølage 11 s'agil tle la lì‘é‹ iiclice ‹les lignes ‹le le1isi(to, la calibralioli, le 1i‹›1iilii’e
‹le
canaiix aclifs, lc type tie capteiir ‹a cinque canal, le niiiné i’o tlii son‹lage ainsi que sa localisation,
sow all if title, lit ltiiigiiciir ties li docs tclliiri‹ mcs elc... ’I tnis ccs piitøiøćl res stint inü iø‹ii isü s Grimm
potiv‹iii ćlre rćotilisés oii lransfÜ rćs.
I.'ac‹juisilion ‹lcs ‹lonnćes est faite sur iłetix {famines priiicipales ‹le frćqiicncc siilxlivisćes
e1i pliisieilrs niveaiix . la « 1 latitc—Gainine » correspontlalit ‹a l'at1tlio-magnéto-lelluriqiie ( 10 KI lz à
0,9 I lz) ct la « Gainlne Ilasse » (Ć› Hz à 0,0005 I lz).
I3ivci scs tccliiii‹Jiies s‹›nt røiscs en oeuvre stiivant les ‹liffći’ents niveaiix ile fi ćqiiclices
‹l'analyse des siguaux M’I“.
rxtrc IO Int Iz ct 7,5 1 Iz la l1’aosfor1iićc ‹le F(it iitii‹it tliscrèlc (TIED) est effcciiiée stir
pliisieiiis sediments d'e1ii‘cgisli eiiicnts, res protłilits conjtlgtićs tletix à tletix tics 8" ct ô“
cocfiicicnts sonl iiioyeiiiiés stir le noinbi’e loial ‹le segments aiialysés.
ReC6= SmNmcos(6zW6)
l'it;. I.Il - Org:ıııigranııııc ‹le l'analyse MT en teıııJıs rccl, Jıaı’ ı1ü ciınati‹›ıı ce
c:ıst:iıtles (tl'alı rö s Wu ıı ı ı‘ of nl, 1977)
I .ł› FCI ül I C ‹ I « I I A NN est İll( I ‹›tl IIİ IC }›t›l Ir I11i r›i IItİsCI” l’«lT«t tlC I I ‹›l›«›(i t›lt tl« I‹t elf İc ‹ l« ‹lt1lI I›ü«s.
I '.X«}›l ü I cl II Al cutltIc, Ice liI(r«s I'I'11 I II İI İ sĆs CFI ‹4 I Îílth C-ĞtlIt1l1›C » cl Cir « Ğ‹tI11I›1C I î‹I sS« » S£łI1t
‹I II l11ĆmC ly)1e.
I'.nti”c 0,01 ] lv. ct 0,0005 7 Ïz. tin )›i”ncesstis :q›p«lü « «ml rel‹iccincuI » est a)›{›li‹ tié ‹lans
l'‹›l›jcct iF ‹lc ‹Iü‹I‹›cihlci” l« nnmlji”c ‹l'cnregirl muJoitI s qci'nn atu ait ‹›lJtcnti «N }1r‹1cü‹lć itnrNt‹il.
I.«s Íìcl icrr ‹l« ‹I‹›nnć«s r‹›nl c‹›i1sIiIućs }1ar Ice ci1i”cgisl rem cuts ‹Ics ‹lcnsilćs s;›c«I r‹›Ics cl
3.3 - Col›úrcnccs
avec fł<colixy(u›)<1
ia In fréqoence
x ct y F‹›i ctions ‹Iu temps
1* tlensité specti”ale
I Jne ‹Iéj›«n‹Iance linéaire cut r« lcs ‹I‹›nnćes ten purelles est mæ ‹țuće ț›‹ir m c ct›I érct›«c égaIe ń 1,
}›‹tr c‹›nli”c I«s tlt›itnécr nc st›nI p‹ts «›t”i”ëlücs xi l‹i «›ltći”cnc« cal iuillc. }1ctil ‹iiitsi n›«siii”ci“ In
‹țiiíililć ‹Ice sigrlatlx M’ì" «iti«gisli Üs. VAN'i’wi'.i.i. ( I 9Ć›0) ct I1‹›.?'I'ií'K cl ŃłVii’i'I i ( I*JĆ›2) 8‹›i1t ¡›ai
uli I«s ; rcnti«rs ïi ćI‹ił›Iir ccIIc I ccl ni‹jtic. On utilisc fi érțïicn»ncnt la c‹›rrćlatiun «rnìséc cnti e Ics
c‹iløposaoles ‹wi cliaiiiJi élccl ii‹Jøe ‹ibservć ct celles tlu cmaniji ćlcclriqiic calciilć ù partii’
ties
signiiiix iniigoüti‹]iies ‹›bservćs el ties ćléirlcnts ‹le l'iinpćdancc calciilée (Vi /.OI-’I-, 1972)
colix(m) I/iiZ(I g¡ E'g$,)
cohy(iø) = I /flZ(ÍïJ.;.E'y$ț)
p in‹liqiie le champ calculć (‹ni prétlil)
o oomlire d'observałions
Iïxpi'-Zxx.I Ixi I Zxy I lyi
I'.ir ailleiirs Swil-’ i’ ( I 9fi7), pois Ićn‹ › ct IIANK iN ( 1977) calciñcnl la c‹ilićrcoce thi cliaiiip
tit:igoćli‹Jtic ‹a pæ tii ‹lii cliaiiip lolltiri‹jtic oliservć cl ‹le l'a‹lniillancc.
$iii iiu syslüiiic ù vtiics nitill i}ilcs, les ct›lićrenccs røiilliJilcs (tÎc i‘iiog 2) cm foocli‹iø tic lit frÜr{iieoce
s‹iiit ‹lonnćcs par la f‹iriiiiile {;ćnćrale :
4- I 2 = 1 '22 '*'14 ' ' ' 'i i t ‹b" I'-2lte(ú 2*b2J*I•J jl l "'44(' '11— 22‘ '12 ')
I lx= I ; I Iy=2 ; Ex=4 ct Гy=-5
Um calciil similaire tl‹iiine lcs c‹›liéiences cohfiy-I lxl Iy, cowl Ix-rxüy, colil Iy-ëxIïy et lcs
ct›liüi cøc‹!s ‹lii fiJiJi‹•r c‹i1iI lz.-1'xlîy, c‹ilil lz-1 Ix I Iy.
1.a qiiaiilificalioø ‹lc la c‹›lićrcace pci’iiict tl'i‹leøtificr lcs ct rciirs iøais nc foiii‘nil pas iin in‹iyco tle
c‹›l‘i ccti‹›o ‹lcs tl‹innćcs lii:iisćes. €ìnMi1l.1. ct ‹il. ( 1070) prop‹iseøt ıiøe mütlio‹lc poiivaiit élilniiici‘
ce biais ‹laws le calcill tles inipćtlalices M’F. 11 s'agil d'effectiler siintiltalićlnent ‹leiix sondagcs
squares, l'iiñ ap iclć la stalioli tic iiiesiire et l’aoti‘e la rćféi ewcc. Oh ‹lispose aiiisi ‹l'iiri iiioyen
efficace tł'ainoimłrir lcs limits coliéreiits.
I*.It {xćscnce ‹l'tinc sIicI«lcirc c‹›n‹Iucli ice ‹lans t» site cl« n es ire, lcs cl‹n›j›s M‘r nut
I«i ‹Iait«c ‹a ûlrc « canalisćs » ‹laus I:t ‹lircclinn ‹le la sIrti«Im“c cl il cm rúscille une pnlarisalinn
‹les cliain is ‹a la siii face ‹Ïıi s‹il. €’c iliénoniène ictit égaleiiienl ćlrc iiihérclit à lit Jiolilrisałion tles
sources elles iiiêmes.
"l“rois paramèti cs principatix ‹lćcrivcnt la polarisalion (E‹›wl.l•lt ct øf., 1967) :
- le ‹legrć ‹le p‹ilarisal it›1i It, rapport tic l'iolciisilć polar isće stir l'intciisilé l‹ilale ‹lii si;țnal
,
- la tlii‘ection 0 ‹lii {;raii‹l axc tie l'ellilise de polarisation year i’ap tort à l'axc de unsure
X;
- le ‹wgré ‹l'ellipłiciłć, tg[I, ćgal an i’apport ‹lii petit axe ‹le l'cllipsc tie polarisation stir
le
gran‹l axc.
C'cs ț›‹ir;in1ètrcs snnt cal«ïilćs p‹›tii“ lc champ ÏÏ et/nïi lc cltm t› £' ‹i l'‹iiclc clcs £ornmlcs stiivantcs :
IŁ = ( I-4det[S]!!!/(Sxx< Syy)!
s 2+•(<•y)!(>••->yy)
27
Sxy ‹lcositć iiiterspect i‘ale tic l;i coiiiposaote x ilø sigiial avec la coinposante y.
I.«s élćmcnl s ‹lu l«ijscui ‹l’iirjpć‹lnncc sont cnlctilés gi îi«e aux ćr(tialini\s (31) ct attx
‹lensilés spcclrales ‹les cI›an›ys M’r de la station locale ct ‹lc la st‹ilion ‹lc rélercncc (GAMlłl.I' eI
Ex = ExxlIx FZxyI Iy
fly = Jyxl Ix ł-Z.yyI Iy
(“cs ü‹)ii;ili‹iiis s‹inl øliilti ›lićos ›:ii’ lcs s}iecl i’es I Ixi‘ ct I lyi’, ct ol‹iycoøćes iipi ćs iiil noililii e fixć
‹ìe
‹lćlerminalions.
1'x I l'xr = Zxx.I lxI l'xi’ -ł Zxy.I lyl l'xr
fi.xI l'yr = Zxx.1Ixl )‘yr —I Jxy.1lyl l'yr
fiyI l'xr = Zyx.I lxl l'xi’ I Zyy.I lyI l'xi
•" ' '•' "i' ie la station de réféience, fixl l'xr est la tensile iutei’spcctiale.
Ces ćqiiatioiis sont rćsoliies poør les ćlćinents ‹In
teøseiir : Zx.x =- (Ext l'xr.I lyl l'yi -IJxI l'yr.I lyl
l'xr)/D Zxy = (Exì l'yr.I Ix I l'xr—Ex I l'xr.Ilxl
l'yr)/kì Zyx = (Eyl l'yi‘.I lyl I‘yr-lïyl l'yr.I lyl
l'xr)/D Zyy = (fiyI l'yr.I Ixl l'xi -I Ixl I'yr.IIyI I
xr)/G
I.c levć M’I’ ‹›i iciilć cst-oticst ;i ćlć cffcctiió siii im Ju’ofil ilc 9 staliiiiis t1isl;iiits tlc 5fl
Km covii ‹iii, ‹lii I I‹›rst ‹}e N'l)iass ‹i 1'‹iiicst iiti villa{¡e ‹le ltaiići oti tliilis lc leci l‹› (1'ig 1- 1 ct "l“al›.
i). 1.'ac‹jiiisilit›ii csl ‹a Iai’gc liaiitle : 1 I) III Iż 3 1 C00 s, pooi’ tlcox sigoaox lelliii’iqiics l'x, 1“'.y ‘, ti ois
signatix inagoćlii}iles tle nicstirc 1 Ix, I ly, 1 Iż et tletix si{;natix iiiagiićlit]tics tle rćfći eocc I lxr, ł lyr.
Sor l'eoseiiible tles sites tle inesiii c l'iixe tle i ćfćrence x esl t›i’ieotć siiivant te nor‹l gó‹›gi’aplii‹pie,
l'axe y est-ouest et l'axe z vertical.
I. cs sigiiaiix ac‹jtiis sont tiailćs em lciiips rćel griice art logicicl VSMTAfiQ.fI3 ilti syslćine
tłll V3.
I.es pai’ainfil i‘es M4’ ‹lfilci’iniiićs a]›i‘ćs Irailcinenl cl calciil s‹›iil lee c‹ilići eiiccs cnl i’c lee
‹liffó rcrits sigu:liix, lcs iiive:iux ile lii’iiil, lcs coefficicnls ‹lc ‹liiiicosioriaalil6 liy)›c•i’ .vleir,
cl1iJ›ticitć), 1cs ilii cclii›iin sl i itel iii alcs, lcs i ćsislivilćs cl pliascs iiiaxiiiialos cl tiiiniiiiiilcs
lJii ciiseiiil›lc tle JH ‹›có ‹liii’cs ot ‹lc l,i’ogi’aiiiiiics ćci’ils cii "Fiii’lio flasic cst f‹iiiI iii }iai‘ lc ctiosl
rtlclctii’, cn pai’lictilier im protii’aiiiiiie appelfi Xl'll-I'1.O'I’ ‹)iii c;ilciile et visiialisc la valeiii’ ‹lc
l'ciiseinble ‹łes paramćłres cil ćs ci-‹lcssiis.
i.c J»ogi aiiiiiic tle llAl ll‹ ( I 9'I I ) pci iiicl tle c:iciilci’ lcs piu aiiićl i‘cs tle tlisttirsiiiii lcosiH icllo (.i’Icir
ct›ilvcoli‹›nocl ir, .sIcil' rćgi‹iniil -i)-, p, Ii, [I1, [12, I:i iłii’ccli‹iii i cgionalo) ‹)iii u‹iiis inili‹pient lcs
fivciiliiiililó s ‹lc sti}ici’}›‹›siti‹›o eoli‘c inic sti’iicl tii’atitiii l‹icalc tlifffii‘cole tle l‹łrcliilccliii‘c i’‹igi‹iiiilłe.
I.e ›i ogi iiiiiiiie X Pll-l1l3l’l’ ćtlilc lcs tl‹iiinćes stiivaot te Poriii:it ‹lc lii SEG (.i’‹›‹ icfr ‹J cr/›f‹›r‹ifi‹›ii
genyli) ,ii.if), I a u‹lis qiie te pi ‹›gi a mnie X PIl-COllR pci iiict tle c‹ii i igci’ cnlre aiil ies . ta ltiii ;tietir
‹les li;oes 1chin iijiies, te ficliiei tle colil›i iilioii, les gaios el lii pt›‹rilfi tlcs caplciii s
I Jn calcill ‹lii ‹lclei’iiiioanl ‹ml tensctii’ tle J'iinpć‹latice moyenne (lll'ltl ›lCl 11'V.'iKl ct l)Ml’l’ltłl'V,
l97fi) csl e(fccliic stir ‹{tlelqtics tincs ‹lcs slali‹ios les pltis anis‹›ti’‹i ›cs, co vtic tl't›blciiir lii ićsistivit ć
ot lii pli:isc eflicaces. I.cs ćló mcnls tlii lenseiir tl'inipćtlaiice siiivaol lcs axes ‹te iiiesiii‘e ainsi qiie
lcs foiicłi‹ins ‹te ti aiisFcrt magiićłiqiie soiit stockćs sui’ ficliiei’ avec lcs l›arrcs ‹l'eri’eiii .
I. cs liiiiiics ‹l'titilisaliiiii ‹te lii iiićilitiilc iiiagiiclo-lclliii’i‹Jiic stint liccs j›i iiiciJ›alciiieiit a
l'cnvirt›nnciiiciit tlti sile tle inesiii’e. l'arnii les tlćsagrćiiieots reiic‹iiiti’ćs on pciit cilci
4.2 - n«sui»is
D:ins ta gainiiic ‹les fi cqiienccs 10 KI iż- I I Iż la tim:iJilć tlcs signaiix cnregislrćs esl
iii6‹li‹›ci c, p‹›iivant ćtrc liarliiis ti ćs niaiivaise. l'otii’ ceiic raisoii iitiiis n'avoiis pt is en coinptc
que lcs csiilliils ‹lcs sontlagcs tliiiis 1,a gainiiie M’P c'esi a tlii’c eiili c 320 I iż cl 1800 s. I.es J›ai
aiiićtres iiiixilliaires sool consignćs em iiiiiicxe sotis f‹ii‘ine tle gi‘apliiqiies (A I a A7). I.cs
i’ćsultats lićs excliisivcmeiil atix coniptisanles inagnćliqiies ont ćtć sćparćs ‹lc ceux ‹liii soiil
relalifs aux leiiseiii’s d’impódancc.
N‹›lnus que l« caractère 1-U ‹l'un sn»‹lagc MT est vérifié qunn‹l les c‹›iiit›cs ‹le iúsistivité
: pgarente cn Fnnctinn ‹le In fréquence snnt cnnr n‹l ies et cc, qiiel‹yie s‹›iI l'nri«ntalinn.
Ï.’interprélation 1-ÏJ ne Rose aucun prnt›lèine.
fii lcs slrïiclures géclngiqiies Fnnt app‹iraitre ‹les Failles, ‹les cIia‹igements lalúi”aux ‹lc f‹iciès etc. ;
c«la sc I ra‹fuit ‹lans la plupart ‹(es cas, par ‹les variatinns laterales le résistivilú et ‹l‹›nc par iine
struclure è ‹lcux nu à trnis ‹liu cnsi‹›ns. alnrs les i”ésistivilüs apparentes et les pliases
}›iincipales, c'est-è-‹lii e les i-égnuses MT sclnn l'axe ‹le In sIrti«I ui « (¡›‹›lai isalinn Ü) et selnn le
j›i”nfiI Ii”ansvers‹il (pnlarisalinn ÏÏ).
hans la totalité ‹les sites ‹le mesure ART le i appnrt ‹lti signal nir la s‹›n me ‹lii signal et dti
!*i tiif ‹Iiiï\ii\iIc ‹(e Lt\ani¿rc sysléiTIalir{tle entre 1 S et I Û s ct rliïval\ta(§c [›nilr l«; sigj aux Iclltirir(tieS
‹jtic stir lcs n agn¿lirjties (bi(j.Ï-9).
É'« {›l1ci1‹M11Èt1c est Afin.S i1iill« ‹l‹flIIû ‹lit Û«IcM1fiilI lié Ïï lij Êiiil›l«SF« tl«S illj{›iil5i‹›iEi Ijijtc r«lleg ‹lans
«ct!« l›/i/‹l« ‹l« Fi"üfltl«f\c«s I'N ‹l«li‹›i”s ‹l« ccIt« inl«rvall« la ‹{iuililü ‹l«x «iii"«}'i1Il”«ijj«IlIx «st I›nnne,
en Pal Iiculi«r mur les cnmpnrantcs magnétiques IinriznntaI«s
t)
=
-
Sign al/(Sign al-
Brur ü >
a*a*s ]ÿy
OOOOO)•
l'ri i r›‹l ‹• ( s)
4.3.1 Site I
I. ce cntii lacs ‹l’ninplitu‹le suivant l«s ‹feux nxcs ‹lu lcnsciir nul In i»û u›« ft»”ute i»ais snut ‹lé cnlé es
vei liciilctncnl ÏÏ lravcrs lii ganJtt1u ‹le Ë ré‹]tien«cs (Fig.7) cl n‹›iIs st›iituzcs «il {›i ëscit« ‹l'uu milieu
o •
• • • • tno‹le TKl ’e +
I.cs viiiciii s tic i’üsistivitć tlüci’‹iissciil em f‹øiclioo ale lit pćri‹i‹lc ct :itleigiicnt iølc v:ilciii’ iiiiiiiiiiiiiii
‹lc O,k t›liIil.Ill «1)1i « I «ł I IN s, Ä {›úl lİl C)c 10 , lłzs VttlCLII ›i «I ‹›İ øiCI!l jIlS‹}Il’ń 2Ü C›lțlu I1ț C'«lIC
i”ćj›‹›usc M”F ț›etIl üIi“c ass‹›cić« è ‹l«s Iti‹›tIèIes I rois-l«ri”aii1s : i“üsìsIai1I-c‹›ntIii«l«ui“-i ćsislai›l
I.cs Icrr»cs ‹lc I”ćsislant «I «oit‹fii«leïii” sont cn ț›l‹›yćs ici ‹le w›:mière l‹›til ń l‹iil ‹)tialil:tlivc ct
ui›i‹țuci»ci›I ț›‹›tir IrtttIiiii”e tiue ț›ei›Ic ț›‹›sitive ‹les cntiil›es ‹1e s‹›nJn/;«, ‹›ci ń l'iiîvei”s«, mc
ț›eutc rićg:ilive. l.es phases iissocićes s‹int iepi ésentü es ‹a İa figure I- I O. lîlles s‹iiit sopći iciircs à 45
tlcgrés tlaws la gauiiøe 300 I Iz-4 s ptiis, ‹lcvienneiit iiifći’ietircs ù 45 ‹lcgi‘ćs art-tlelfi tic 4 s. I.e
c‹iinp‹irleinciil est égalciiiciit intlicalif tl'iirie sćqiicoce à 1r‹iis-tcrr:iiws. I acs phrases n‹iiil c‹iiif‹iiitliies
suivaiil les tleiix axes jus‹pi'à 200 s piiis tlivei‘gerit, ce qiii lćinoigne d'iine aiiis‹itr‹ipie en
pr‹iftiiiileiir. Dcs formes itlenliqiies ties coiirlies tie résistivilé ct ties valour‘s égales ties phases
j iis'l 'ia 2()0 s, tin pctit en tlü diiire qø'il existe iine dislorsitiii tles cliaiii{is ГM Jtic
csscnticllcnieot
aux effets gnlvaniques.
l.:l v:ilt•iii ‹Îø .s’lcor eel }ii’oclio ‹lc z.üi ‹i }iiiiir len {iúrio‹len iiifüi‘iciii’cs ù 300 s. Art ‹lel.a ‹le 3P0 s,
oø c‹iiinl:ile iluc lii’iis‹ ilc iiii{țiiieilliili‹iii tlu .skei v (>0,l ) iiiili‹ții:iiit 1:i J›i’üseiicc ‹l'ililc sl i iicliii c
2 ‹ni 3-13
Skew
Direction (degré )
I a tİirecli‹io țll iøcițiale tlii lensetii‘ ‹l'iiilpédance toili’ne atitoiil’ tie -fi0 tJegi’ćs sttt’ la iiiajctti-
țjar)ic tle la gaiiinie ‹lc pério‹les, piiis ellc leli‹l ù dćcroiti’c après 300 s (l'ig.I- 1 1).
Ï.cs cnl›érenccs locales (nu col›érences simples) ix-ÏÏy et by-TÏx nnt la n›úmc allm e ‹]ue celle du
Û ÜI Ü I I I Îî I Îî
]'Ï'I i il î I ‹' ( u )
1 a cohérence clii liyyei est comparalile aii rapport siJ;nal sur bruit dc la composante verticale Hz.
.liisqii'‹a 1fl s de périotle, lii valeur de cette c.oliérence esl nëgligcal›lc, cc qui montre que le
”, pliü noinù ne tl'intliiclion esl nü gligeiililc. Par conlrc, a plus ttc IO s, la colièi’ence csl f‹irle
(>O,CS), cc qui signifie que la composante I Iz. est tolalemenl io‹liiile par les cliiiiii;is l lx el l ly (Eig.l-1
S).
Hz csl ‹lonc sGconilairc ct sa pI’‹isencc 1l’afliiit iinc sli’iicliiriilit›n liirleiiicnt iinisolr‹ipe en
profondeur.
0 8
» -
Ą• 8 * °
«>
I .c i11ilicti pctit ûłrc cnnsi‹IćrÜ cnmiTłc isnlrnpc av«c ‹l«s v;iIctii"1 ‹l« rćFiSlivitÜ cni11țJi”iS«6 «mrC 1Û et
?0 ‹›lm m qui ‹liminucnt jtisqu'‹q 1 t›Iim.m ‹a la pério‹)c 30 s, puis cr‹›isscnl Ïï n‹›uvcau. I.a peme cst
‹lnnc nćg‹ilive juscțu’È 30 s, pnsilivc tie 30 ń 1000 s. C'cst iınc i”ćpnnsc typiquc ‹l'un inilicu trois-
terrains : resistant-con‹lucteur-resistant.
I. cs pleases associćes snnt inÊćricures å 4 S clegrüs å moins tle 0,î s ct au ‹fcla ‹lc ?0 s. lilies sont
«›nÊnn‹Iues suivanl les ‹lcux axcs, avcc une légèrc ‹lispcrsinn cn lìn ‹l« gammc.
I.c .s’keii' est ł rès netlcmcnl infći’ieiii’ à O, I (F'ig I-17), cl la ‹lii’eclion sl rticiiiralc esl ‹le fî5 degrés
cnviron, par rapport rim nord.
l,cs coherences locales ct lc rapport signal stir lent it ‹les tether iijiies a‹lo item la niêine allure. Entre
I), I s ct 1O s les valeiirs ale coherences sont Paililes (<0,S) ‹lit fail ‹le la maiivaise qiialilé dir signal
Iclliiriqiic. I cs signaiix ma{;nćliqiies 1 Tx et TIy soul 1›icn i csliliiü s, lit cohéi ence entre les
niagnćliqiies locales el la rćfü rence est silpćrieøre ‹a 0,55.
I. cs cohéi’ences miilliplcs E-1 Ixl ly e1 I ł—Exl3y soul itlenliqtics :iøx ctilièreoccs locales fi—I I, les
valciirs sont acceptaliles (*0,łł) aii delà ‹le 10 s.
O •
O •
O •
Cohë rences du tipper
•
O
W
I
+
I
j
’
'
I
-
-
I.‹i «›I›ćr«ncc ‹lti /i/›/›cz‘ est tntit ïï Tait i‹lenIiquc ‹a la qualitú ‹le l‹i c‹›mpnsante i»‹ițjnćtiq‹ie
vcrlicaie I lz rți›i n’csl apprú ciahI« gci'au ‹lclń ‹lc 1û û s, nii il «st in‹ltiil ‹l«s signatlx h‹›t”iznnłntix
ÏÏx et I ły
(ri/¡.I-18).
4.3.3 Site 3
I. cr rćs¡stix•iIćs se ‹IiIYë rcnc¡cnt ń )›arlir ‹lc ñ û s, cc1lcs ‹lu nz‹›‹lc ’FIVf ‹Icvicnn«nt largement
rqpü ricurcs ;a ccllcs ‹lu mn‹lc TO (Wig 7-19). Ï.a penu est negative aux pú rin‹lcs iuFü ricures à SU s
ct ‹lcvicnt positive ensuite. Ï.c milicu est vraisen ł›lal›lentcnt cfc iyț›c trnis-tci“iaim : rčsistant-
cni1‹luctcur-rćsistant avec une £nrte an¡sntrnpic en prnFnn‹lctir atl nivcati ‹lu terrain rćsistant
inFérieur.
• e ° ’
'"-'+'r—
u
.•
e
.
I. cs phrases iissocićes confirincnl celle anisoti‘opie jii’‹ifontlc, elles se ‹liss‹›eiciil ‹a pai’lii’ ‹le 25 s.
I.es valeiirs ‹le phases sont siiJići ieiires à 45 ‹legré s entre TOO I Iz. et 30 s, puis ‹liiiiiniienł.
1.c .sIeir (t'i¡i.1-20) ‹lépasse exceplionnellenient O,1 en fin ‹le giimmc, la ‹lit ecii‹›n ‹le polarisation
tlevienł stable atitoiir ‹le 0 ‹legré ù partir ‹le 100 s.
I.es coliérences locales E-I I et I I-E sont i‹lenliqoes aft rappoi t si};nal siii l›riiii lclliii iqiie. I a
" lioćiii itü colrc les siț¡naiix magrićlii}iies et lelliiriqties esl irïćtliocre cnl i e Û , 1 cl 1 O s, ce qiii est
vi aiseinliíiil›leinent tlii à lit mauvaise qiialilü ‹In si{;niil lcíltli iqiic ‹lit us celle l›iiii‹lc ‹le lì ëqiiences.
0.E
Skew
.cs silina' x añnetiqoes sont ‹l'un niveno acce ›tal›le (>0,30) sin‘ la fipiii’c 1.a l .
Cohérenc e
4.3.J Site 4
Siiix•anl lcs ‹levix axes ‹lit lenseiir, les coiirlies ‹le résisiivilć sonl isomorplies et lćgèrement
‹lècalćcs cn ‹lćl›iit ‹le gamme țiiiis fliver{țent à parlir ‹lc 60 s (Ei{;. I-22). Noiis sf›iniiics en présence
‹l'iine siipei’position entre tin milieø taliiilaire liomogè ne en surface et tin milieu anisotrope en
prnfondeiir. La penle tie la coiirlie est negative jiisqii'à 30 s, se re‹lresse enire 30 el 60 s, pour
ilevenir positive en fin ‹le gamme. Les phases associées corroborent l'hypotlièse ‹ł'iine séqiience
è irois-terrains, anisołrope en profonJeur avec présence d'iin faible effel galvaniqiie. I.es valeiirs
sont sopérieiires à 45 degrés jiisqii'à 25 s pour le motle TM ct jiisqii'à 100 s poiii‘ lc niotle
Tíí.
wc .skc•\i' (Fig.1-23) est supérieur ù 0, 1 au-‹lelà ‹lc 25 s I.es ‹lircclinns sli uclurales en tongues
périn‹les snnt muIIi;›les . -85 ‹legrés enlre 1Û el 50 s ; -175° ‹le SU s è 110 s ; I S degrés au ‹lessus
th I 3Û s. A innins Je 4 s la ‹direction de pnlarisalinn se stal›ilise aux environs ‹Ie -î.1ù ‹legrés psr
J ,'jj]]țJ(p (]p¡¡ col)ćrences SİM[I]CS Cü t i‹țent iqț je ğ CC]{p Ițț ț (í1(l(lf)I‘l SjțjRill SI11’ Íll’l l Ît łI.UI łFİíjl lG ; les
\,¡¡ÍCț țps qont pØrțict)lièrement ¡nć‹]iocres entre (),Ș 5 f•,t ] () S UI] (Ì1İ ł tÎti Oil łTiill IV8lü ti LOSİ İl I łÍÎ0ft ‹Îes
0.01“
Direction (deqr• ê )
1.;i coliérence ties composantes magnétiqties łiorir.onlales est lionnc à l'image ‹le wi qiialilć tlii
signal magnétiqiie horizontal (Eig.1-24).
Coherence
4.3.5 Site 5
1.es iésislivités suivant les ‹feux axes se confon‹lent jusqu'à 4 s puis ‹livergent ù travers la
gamme 4 s-400 s, se croisent ptiis annoncent une seconde divergence (Fig.1-25). I.a courbe
suivant le ino‹le Th4 est conforme au mo‹léle 4-terrains : résistant-coniltictetir-résistant épais-
con‹lticteiir. Par contre les valeurs en mo‹le TE illustrent un mo‹lèle 5-terrains. f.es phases
associées adoptent lcs iiiêincs types ‹le variations gtte lcs i’ésislivil és, toiilef‹iis la ‹divergence
‹félicite à O,3 s contre 4 s pour les résistivités. 1.es phases sont ioféi ieurs ‹a 4 S ‹legi és à
travers la fenêtre 20 Hz-100 s.
. .,
I c .ikcir est sir iérieiir à 0,1 att ‹lelà ‹le 100 s. ha ‹direction ‹le polarisation se staliilise à -30
‹leJ;ré en moyenne, pour les Jiério‹les ‹le plus ‹le 0,fî s. rntre 0,1 s el 0,3 s la ‹lirecli‹io est à -90
degrés environ (Fig.I-2éi).
I.ès signau x fiy et TÏx sont l›ien corrélés sir toute la gammc ‹le mesures, cc ‹jtii n’en pns I« cas ‹les
sign.six lex et I Iy au ‹lelà ‹le lfl s. ha mauvaise liiiéarilè entre fix et Ily ne serail pcs liée à
la qualilú ‹les signaux car «elle-ci est l›nnne : les lelluriqucs ne snnt j›as l›i”tfilüs, les
n›agnüfiques le
snuI F‹iihlen em em re 1 s el 10 s. f'ar cnnsúqtienl, lc mangiie ‹le Iin¿ai”íIú enIi“« fix «I I Fy ‹mil
é$re CIi1 ‹i Iíl SlFtlCl IlFfltion ÇFGÈGI1()« t]LI SGÈIS-IG] (]lli BC (]Gi[ jpg e{rg tjilTj/(g (?-[g, -Ç}) }'g[[[çg
(jgç{ jjjj it‹›lcra que le signat teIlm“iquc Ry est relativcn em mnins l›rtiitú que fix
a
Skew
° 4 4 4 8 4. Ț 4 4 4 . 44 t 4 4 4.)
l°fi i c›‹Ie
(degré )
(s)
› '' “ '
, . ..
Direc
Łi
l.cs cole’cnccs ent re lcs signaux iiiat,nél iqiies Ile la station l‹icale el il‘e
lii‘ i cf ü iciice sont très
bonnes en ‹dehors ‹le la Iian‹le l s- IO s on elles sont assez ü iibles (0,7-
8,0).
1.ès coliéi ences pré‹liles fi el II sonl élevées (+0,85)
' " "•""""n"" " f'''/' •' •s"s» : 'y ‹' e "•»''i‹ n' 'tre» i»• i»ii«›i.,.»• •: :› »c
u. ,i
y. * rePrdsenJe in silin:il pi‘iinaire ‹le lrés ü iilile nivc:iii.
4.3.tî Uite 6
figure I- 7 iIl«siie une ‹liveisence ‹les ai''l›iiiu‹ics ‹t•• i''›rv‹l: nc• căile i i si ‹nn r.n
"C Sf'!ț” '! “ s !C : i: :iL'8 s‹!nÎ vCl”Ii«fÎlelnCl1I ()L,CȚț) CȘ $jj)VȚj)1l ){• ()¿jjg jqygjj ()jj [ nsgt]r
•‹» » • !‹i slalinn SUN-5, lc silc fî n nnlrc tin n›n‹l le 4-Iei fains (›‹›iir l« «›‹›‹l« ’T'M cl S-te i rains
!'"!!* !! !!*‹›‹l !" !.c !!”**‹*‹ < l<rra n est flsSCz ăgais «I i”¿sisIijnl
1.e iiiilieii à I'.i}ilornłi twi nt›iltliigc est vraiseiiibİableiiieiit lalnilaii c ct li‹iiiiogćiic en stirfacc et
iioi.s‹›l i t›j›c ca j›i’‹ilì›iitlctir , iİ )• a iøic siij›ci{i‹›sit i‹iil ‹İe st i met in cs ‹lilTéi’ciilen siiiviiiil la
j›i’‹›Iìiii‹leiir. I .«s j›Iiascs ‹iss‹›«ićcs s‹›itI asscz ‹lisj›«isćcs «tix «nm Ice püi i‹›‹lcs «I tlivci{ț«itI«s ‹m
‹l«l,q ‹I« Û,5 s. fiuìv.mt lc m‹›tl« ”I”!Vf Ice aitgl«s s‹›itt inFćrieurs ń 45 tlegrćs cnli c 0,f 3 s et 100 s,
su(›éri«iirs 21 45
‹lcgi”üs ttiIIctii”r. I*‹›ui“ le mntI« ’l“I•., elIer s‹›nt inFći”icures ù US tI«/ți”ćs «tili”c Ü,ÜS s «I 3 s ptiis au
‹lclż
‹Ie 3û s.
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l.e .\’)t'll' iló țlilSSC (1, 1 iltl ilolà tle I S, alleint ilil [Ialİcf enlrc IO ct IO(j S ptlih alnorce t¡ne cțltlț .
flans lit £ciićtrc 0,02-0,04 s, lc .i’1c r tlépasse légèreinenl 0,1. I.a tlireciion tle Jiolai‘isatioii esl tle -
45 ‹le{țrćs cut i‘c 0, I ct 2 s, ;iiiis cite piv‹ite ù 0 degré envii‘‹iii flu tlcsstis tie 3 s (I*ig 1-2łl)
1.:i c‹›liü i’eilcc Stream esl iiiativaiso (<f),Il) jtisqti'à 0,2 s, cite økl Ji;jss;;[›lc øtt ‹}c}à t]ø 5 s. pe
pliéntiinćnc esI vraiseiiiblablcinent i elié ‹a la qııaln ë ‹lii signal telhii iqiie ‹løi est I rè s lii‘iiiié cii
tlćbtit tic gamete (I*ig. I-29) ; ]iar c‹›ot re en fin tie garnıiie, lø niailvaisc liøé arité eiit i c Ex ct I Iy
scuttle ćlre liće ‹n la sii’ticliii’e tin s‹iiis-sol. I.a coherence simple I'y-1 I x est lioiine siii toiile la
garrøme de périotles.
'ig. .2H - Skcw et tlir0clions slrtlcltir;llcs ,q lit sjit¡i‹ln jj
Siq•nal/(Siq=nal+BruiŁ)
"• co'›'‹e'›ces prü dit•s ‹'- « r› so•t i‹ieniis'‹es i i• coi›«renc» i‹› »i» i e, »¡,‹,e,»s „„ ,;
„„„.
‹ nt appr ci:l bles PQ]’ '( ( e 30 s enÀ 'iΑo]) e) la con]posan)e Ils es) cn i $•e$q$c$$$ in‹ $$ite
ú.3.7 Siłe 7
I .cs i üsirlivilés suivanl Ics axes ‹lu ț›‹›I‹irisaIinn ‹IifFèicnł «wire 2 cl I ùùù r pmu sc cr‹›iser ń l8fłû s
(dig I-3O) Elles sont i‹łcnliqties en-‹lessoiis ‹le 2 s. G':ititi c par t, Ice valciii’s en iiio‹lo 9“i\f
sonl siiJiúi’ieiires ù celles ‹to mo‹lc Tfi et le nioilèle est à trois-terrains : i’ćsislant-coii‹liicleilr-
résistant.
1.c.s țiliases associćes sonl pi’aliqøenienl itleiitiqoes jiisqii'à 11.5 s, iiiiilgrü one lügći’e ilispersion,
ptiis elles tlivcrgent. Lears valours sont siipćrieiircs ù 45 ‹legrćs aø ‹lcl‹a ‹le 4 s en inti‹le TM eł
am
tlelà de 20 s en mode TE.
o»
I c ’l’eli’ est str ié rieiir ‹a G, I «nS I:t fenćl re 3 S- 1000 S (Fi;j I-3 1 ). I.it ‹lİi‘ccli0n sl I’tlCliir;l]q Est tJe -
I ñ ‹lcgrés cnlrc fł,S ct I ,S s, cite piv‹›te ń EU ‹Icgrés «nvii”nn sntr« l,'î ct •) s I'ntr« 4 s et l S s e{Ie
CA( tltlX ł1lUl1(tJtlFŃ ()łš ÜÜ (ÎU@I“ĆS, )3tlİS CB(FC - ] 5 C( I ()” tjtl t{tJlj t[l l Ș ÿ. ’I” (țjjj ‹Iir¿ct i‹›ns snn[
I.;j «›I1¿rence ‹Iti li[›[›«r a‹l‹› etc la n1â me ‹Illtirc rțtic In tjtialilc tlii signiil I lz, scs valeurs sont
«nnsi‹Icral›les (>f\,8S) tle ?0 s 150 s. Dc ?f\ s ‹a ?f\f\ s, I iz. cel in‹Iiiil puisqiic la cnl›erence du
tipper 1 fr.-U.xEy est supérieure à fl,85. rn tleliors Ile cette fenetre, I lz. ne rcpréscnle
pratiquement tjtie tin liniit.
J.3.11 Site R
l es résislivilès sont i‹lcntiqocs stiivanl les tleiix axes ‹lu Penseur jtisqii'ii 3fl s ptiis ‹)iver};ent, les
vaictirs ‹lti niotle 3"M sonl siiJiéi’ieiires ù celles ‹lii mo‹lc rE (l'ig.1-32). l.c in‹i‹lù lc figuré est ‹le
i ypc i rois—ici rains : résisl nul-con‹loclciii’-résislanl potir le rii‹›‹le "l’M of cio‹j-lei i’iiiiis pour le
mode ’l’f'. Une 1 i ü s foi Ic ‹lisl‹ii si‹iii ¡;a1v:unique affecte la coin lie ‹lii moule ’l"f*. iiiix l‹ioj;iics péi
ioiles ( 2fl s) l .cs sl i iicltii‘es s‹iol vi’iiisciiil›liilileinenl li‹›iiifigù ocs en sin theo cl iinisol ropes en
}ii ol‹›n‹leiii‘ I pcs pliascs associécs sonl iissez. ‹dispersées en ‹lébtit ‹le gamme finis ‹livei’gent à parlir
dc 5 s. Pour le nio‹le J’M, les vnlciirs ‹l‹ipassent 45 ilegrés en ‹dessous ‹le 1O s.
47
!*! !* 1n s !* .’!*' i’ c*! **• » !. I s ••le‹irs Fn«v«n! Omc I› s lcve«s (> ,5) I .a ‹lir«ciion d‹i
g ”› ‹! ‹›•« ‹!• l'clliPsc ‹I'imPü ‹lancc I‹›tirnc autour ‹Ic 9n ‹lcgiés jusrj«'‹a n, i s puis l›‹isciile è is
‹lejjj"és cnlrc Ü ,ï et .1 s (Fig. I-3ñ ). rnlrc 1 et 9 s, ellc cst ‹le 90º ; :m ‹l«In tl« s «lle piv‹›te è 15”.
‹i ‹i
4.3.9 Site 9
I acs i”ćsisI í ilés snnt i‹lentiqiies siiivant les ‹leux axes ‹lu ïcnseiir ‹l'inq›é‹l:u «c, unus s‹›inmes en
grüscncc ‹l'un milieu isntrngc ct tal›ulaire (Fig. Ï-3•l).
I .i lì›i w1c ‹lc I‹l «r›tii l›c s'‹ï‹l.t}›tc .t m› n\r›‹lc*lc Ii ‹›is-tel i ainx c‹›n‹lu«Ic•m”-i”üxixl æil -t•‹›u‹Iucl«ui .
łïn i.iis‹in ‹le lit lr‹ip foi le ‹íis iersi‹in, les i ćsiilliils aux l‹iią;iies Jićl i‹i‹lcs ( • I OO s) ii'onl pits élé
reporłés. I.es phases associćes sont i‹lentiqiies stir lotile la gamıne tic pćrio‹les. I.ciirs valours sont
inférieiires à 45º am delà de 40 s.
ReSİS t ivité (ohm.m
p
C•
_
, —, , , , , -— , — —— - < i -——
I IIÎ łlfl
Phase ( d e =ré
"v
) m‘
I.e .›‘/“«' est inr.•”ieur « Û, I sur Incite la gamme. I.a tIire«iinn prìncip.›l« est statute aumm” ‹le -
15º
B.4 - Schéma du principe du magnétomètre ä précession nucléaire
(d’après SHmlFF, 1984)
I. iI col1£rcncC Iocfl)e ix-) )y Csl /jti[›lC aŁi ‹Ie] ‹lp {}, g, g q ćv‹›][)linn qg{ ¡‹]»pi¡‹ [je <j celle je ]g
‹{uRlitć tl\i signnl tell •'i*i•ic ix. 13c m8me, lcs signatix I*.y cl I lx ne prćscnlent pas iuie bonne
linćaritć entre 5 s et III s.
"c“l "ni‹Î!icmen! ln fl!inlilc ‹I!! sibnal t llcii”ig<e g!ii cnnfI¡Iinnnc lit valcill” clc Îa cnlj reljce clans
«II« Iitli‹›n. !-a cnllC.rcn« Chi Si{țnî\I I Îx est  ‹›l”lc, ce ‹jlii jy¿$ț [ț;jg țq q;j ¿{g ][y ¿gjț(țjp- ¿[g I() s
e[ iltl ‹lesstls ‹I • ?fîfÎ g. f.eg cn)j rcnc g pg \]{tcs ( [} gqnț ¡j{cjjț¡j)qej; jjqy qjjțp p. nqqg. ( g.g(es g
u‹›rnpcsanlc I lz étanf pratiquement ntille, la cohérence tlti Iif› f›«r n›nnlre q‹iu la c‹›n›posanIe I Ïz est
tiniqtien›ent primaire.
Sur l'ensemlile ‹les si les ‹le mesure, les valeurs ‹l'clliplicité de l'iiiipé‹lance sonl ;;
lo1›alement nulles (<0,5) avec qiiel‹jiies exceptions qui finissent présager ‹les slriicliiies locales
3-O, à certaines fi’ćquences (Eig.I-3fi a et li).
Ellipticité
*lC S*lPel’POSiliOH n'CSt plus iltlilplć. C'CSt l'exetilJlle de la sl‹lliOn it cl i}anS tIne n1‹lif1‹]¡‘e tjje5¡¡re ‹]es
siles 4, fi cl 7. I.es siles 3 ct 4 ni‹inl rent nellemcnl iine ilirccłion i‘ćgi‹›iialc ‹le 12‘ environ, et
pliisicors ilircclions localcs (cnlre - 19° et 55°). Avec la profon‹leiir, tr‹iis ‹lireclions łocales
s'itlenlifieot aii site 5 : 59", 2‘ cl —16°. Par conli’e la iłirecli‹iti ilcs sliicl iii es rć(;ionaJes est ‹Je }3°
environ.
1.e programme ‹le flAi in (l 991) confirme les ordres ‹le gran‹leiii’ ‹lii .i1t'ir li’oiivées ù l'aime
du programme ‹le Phoenix.
iN‘i"l'iti•lzi‹J’I”A’F'l‹›N i›iïS SnNi›A‹:I'M h‹”i’
Isa rćsistiviić élecli’iqtie est le pi’incipal résiillat ‹lc mesuie ‹les iiićlli‹›‹les élecii iqties
et electro-magnétiqties.
€ićnéraleinenl, la résistivité ties loches saiui’ées à condiiciil›ililé éleclroly—liqøe esl fonction :
- ‹Ic la porosìlé letale cemmunicanłe ;
- ‹le la conJuctil›ililé ‹le l'eau ‹l'imliibiłion ,
- ‹le la ićparlilion el ‹lc la lorine ‹lms ioi’cs el fissures ,
- ‹wi ‹legré ‹le salinilé el ‹le la teni{iéra1tiie.
AS‘l'll'lł ( l'ł7 I ) tl‹wlne r{iicl‹}iics giiiiliiics ‹ìc viilciii’s ‹lc i üsislivilüs }›‹iiii’ t'ci 1:iiuus ciii ix ct
i’‹iclieo :
"t“‹›iil cs ces coosi‹lći’alions ootis anićneot ‹a lenlei‘ iine inlci’pi’ü lal i‹iii ‹Jøiiøl il iilive piir
røo‹lü lisation I -D el par tine ćvaliiiilion tie la tlistorsioø tensorielle. I."‹inalysc coiiiJiarative ‹lcs
coiii lees ‹le rćsisl ivilć cl ties coililies ‹le phases noirs pcrmet ‹l'afliriiier qti'il n'y a ‹Jiie i}iicl‹pies
rares cas ‹le
.vüilii.- .vliifl stir l'ensetnlile ‹Ice stations ; les effels ol›scrvü s sonl ilc nature giilvaniqtic et
io‹Iiicłive. On Jioiirra iøener iine iiio‹lćlisalion 1 -D en loiile séciiriié. I.a nio‹lé 1isalir›o 2—FI nd
Seas été jøgée oćcessaii’e car les slaii‹ins ‹lc iiiesiire sonl él‹iignées el ii’oiil ;›as slriclcnicøl lcs
mimes ‹lireclions principales.
ł.2 - ß4n‹Iêlisnli‹›i›
I.’nI›jet ‹Ic la mn‹lú lisaIi‹›n csl ‹le parvenir à riintilcr In rćalils )›l ysiqtie ń l'ai‹le ‹le
caIc‹iIs II›ü ni“i‹;ucs. Dans Ic cas ‹I1in terrain I nn ngù nc ct is‹›I r‹›(›c (î -D), l'‹›pü i”alinn c‹›i siste
‹1 chnisir le n‹›inl›r« ‹le «nticI›cs {țënćlccIri‹yics ainsi quc lcs 1nI«ui”s ti‹ićqiialcs ‹l« l«iii”s
i”ćsisłiviłés cl üpaisseiii s, ‹le façoø qiic s'iijiisłeøt la coiii’lie ‹le sontlage lliüoriqtie et lcs ioiiils expüi
imenłaiix.
Ià'‹›r‹liiiaire, lcs chnøigis élccli‘iqiics ol›sci’vćs soht f‹ii‘lciøeoI p‹›laiisüs uI iciivciil iii‹iiitrcr ‹les
vai’iiili‹›ns iiiiporlantcs sør ‹lc coiii tes tlislances, en rais‹in ‹Ice ;inisolr‹iJiies ‹lc la con‹liiclivile ‹lii
s‹›ut-s‹›l Acliiellemenl ‹lcs mn‹IèIes ‹le calctil snut ‹Iis[›nIîihI«s j›‹›tii” ‹Ićt«i”n incr Ics cfF«ls ‹les
slriictm «s ?-D ct ce ix ‹lcs st riicl ires 3-D (TrN‹i et Ï łł AlIMAN, 197ù).
‹lc i'l' h * tr? * I *” (1963) i cnsiiite le lot,iciel « NCCAM » ‹le Ct› s i tit u ri of. (1987) qiii
pi’o‹liiil tin mo‹lćle lissé. Poør l'ensemlile de ces pr‹igramines lcs ‹)onnćes c•nlrèes sont la
fiü‹jiicoce, la rćsistiviić appai’cnle, la phase cl les crrciirs i’oliilivcs. N‹iiis :ls•‹›os cli‹›isi
‹l'interpréter
les cniil”I›es ‹IC FaSİSiiV:‹é )€łB@itflfÎÎfłł\ÎC ((,y fłfl MfłłțC "l'Î\,/Î) CAF elIc•s nc s‹›n[ aț]ȘcIćejj ¿)jjg qç l'eIȚ "«(
‹I'M ‹luclinn r}tii pro‹Iuİt gú né i”alci sent ıine ‹lislnrsinn nćgligcal›Ie (ljl It i jir'i li:v ¿j øl çjMI”I’ltjj.y
ss
197s›). l'ai cnntre les courl›es transversales (p,. nu mn‹le Tr) snnt I rès alTcctées pnr ‹me
‹lislnrsinn ‹le type galvanique.
dn vuc ‹le stabiliser les snlulinns, ‹les contraintes ont éfé io›p‹›secs sui” I«s n›n‹lèIcs ‹le
‹lépart en
s'‹q›piiy‹inl ‹l'une part sur les snn‹lages {›êli”nIici”s efF«cltiês ‹Iui”anl les 8nnëcs SO è 60 el,
‹l’autre
{ ‹jl”t, x‹u” lcs inF‹›rmalions ‹le Forages liy‹lraulicjtics plus i ccenls mais l›«au«›ri{› mnins prnFnn‹ls.
ice contraintes ont pnrlé essentielles ent sui” ‹les épaisseiii's cnnmic.s ‹l« c«i”Iaines Foi"maliens
génlngiques. lues figures I-38 è Ï-46 représentent lcs ino‹lèl«s l1CItrSl el les mn‹IèIes
OCCAIVf pour l’cnsei»t›le ‹les me‹Ies TÏvl des neuf stations ‹le mesure. Nnus nnl‹›ns ‹léjè
que certains niveaux peu épais sont I›ien mis en évi‹Ience par les mo‹lèles lissés. Far ailleurs,
nous avnns tenté tl'inlerj›relcr lcs cn»rI›es ‹Ic résistivitü tirées ‹les in pé‹lances efficaces que
nous avnns calculées gi?acc atix F‹›i iTitilcs ‹le Ïtl:ltlCtrl II:V8KI et DMI I ItII‹V ( 197s›) ex}›‹›sécs
au piiragraplic 2.S. C'es o n‹lèlcs, iI›ênriqiien ent in‹Iépet›‹l‹inls ‹le l’nricntalinn ‹les axes ‹l« n
cstire, ‹liflercul très peu les u\‹›‹I lee ‹lu uJ‹›‹I« ‹I« }›‹›liu i6uli‹›n ’l'M (I'ig.17), iu I«s ligiin•s siiiviml«8, I«x
u›‹›‹l¿I«s UC'C'AM
snul en Ii”ail plein, les n eJelcs DCUI'S I cn lirets cl les mo‹Ieles ‹l« la resislivile cf\icace en tirels-
poinls.
R E S ł S T I VI TE ( 0 in )
RC $tSTlVlTC CÆtm)
10 100 IOOO
ßE SIS TI VłTE( ¥ta1
n e s i s y i vl7 e fw= I
°,' IO IOO
l CS lll0tlùlCS CÎ-tleSStlS lfloiJl i ent flillls l’enselli(ile illle SI r¡ilifiCillion en 1 roÏS len aiijn (rdsis{pn{-
COlltltltiltill F-l‘éSÎ Sl illit), à l’exceJition des Slal ions 2 et S oti lg lTlof}é}e e5( t}p {yp¢ tjt¡¡j{p {e¡-p¡¡¡¡jg.
/'iir ailleurs le iiiotlùle lissé fail ap Paraître plus tte niveaux que lo iiio‹lèle tte type Mnit‹yi htm ,
tirais les piofontleiirs ne sont pas nettes.
SYATI ON ”/
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STATIO N 2
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L I I h o Io q I e mornes Soble
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STATION 9
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I I ressol 1 ‹le lit c‹irø}iariiisoli ciil i’c lcs iiiIi‹1ćles Í3CR E.S I el les l‹igs gć‹iÍ‹igi‹]tlcs, into c‹ii‘i‘ü líil i‹iii
‹l'‹iiilaiit iiicillctii e ‹)øe lcs iiiveatix siilès (< 1 ‹thin. rø) sonl liieii ciii‘iicl éi isés (figiii es í-44 ‹a I-4Č›).
Les jii’‹ifoo‹letii‘s thi suwsl i’iitiiin twi liassiii sćtlimeiilaii’c s‹iiit røiscs en évi‹lctice iiiix stations 8fiN-
2, 4, S cl 7 aii røtiycii tic ia iii‹i‹lćlisali‹io l -FI (MICR ESI). Art silc SEN-4, lc s‹iclc csl it 2444 wi tic
prof‹iii‹1eiir siii le iii‹i‹lćle, sa i ú sistivilé élatit ‹lc 1400 oliiri wi ciivirou , ce qi ii c‹›i i espon‹l wien atix
iliiiiiićes ‹lii s‹iodage pü li oliei’ de K‹il‹il›ane (Km. I) : cornćcnøcs atteiotes à 2480 tit Aii site SGN-
C, le iiio‹lćle (Ei{;.1-48c) ‹l‹›iiiic 1 170 ohm in à 1 100 ui, conlre 72ïi ni poui’ le gr;ioiie ‹ml sc›ø‹lage
‹le Gassaiie (Ga. I ) O?elte ‹lifféi’eiice ‹le prof‹in‹letir est liéc, s‹iit ‹a l'iolluencc tie la st ructtirc 3—D
siii‘ les iøcsiires, suit à la gi’aiitle ‹lislance qiii sépai e le s‹in‹lage pćl r‹ilier Gii 1 el le son‹l;ige M"F
(1 5 Km), en adiiiettant iine forte variation latérale ‹le la pr‹ifun‹leur tlii socle. Uo pliéooinèiie
idciiti‹}iie, iiiais 1ieaiic‹iii i in‹›iiis {iron‹incé, se prodtl it à İa station SEN-7 . ture țir‹iftiiideiir tie
575 øi sør lc in‹i‹lćlo el 535 in p‹itir le son‹lage ‹lc Lingiići c (I.i F. l ), iøic i‘ü sislivilü ‹le 29 ohm. iii
i}ui s'‹i‹la{ite assez liieii aii s‹›clc scliisteiix {irtilialilcinciil allći‘ć en siii fiicc. En t:e t}tii ctincerne İns
atıl res sites ‹le iøestire, les raisoiis ‹le la non—i‹lentificali‹iii ‹lii socle pctiveot ćlI’c ‹lc ti’ois types,
lié es o i sćparú cs, à sav‹›ir
LEGEN DE
---Faille et s•ns d’effondrem•nt
.10fJ I EU(ł ‹› m.
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\ :10-3tJf) ‹›llm.ny
€ 1,5 olini (invasion saline)
3000
3000-
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I.'intergrétalinn ‹les ‹Innnées acquises lnrs ‹le c«I te cai»pagnc i›‹»is a pei”mis ‹le ‹lécrire la
‹lislril›tilinn rte la cnn‹lticliviIé électrique ‹lu l›asrin seclinzcnlaire stiiv‹›nl le prnfil éltiriié. Ï.a
›rnFnn‹Ietii ‹lu sncl« est mien ‹lüterminée I‹›•••i•ie sa rêsislivitü «nnlrasIe suffisamment avec celle de
In Fnrinatinn sus-jacente. Un ‹lnmaine ncci‹lenlal, ‹lnnt la l›ase ‹lti Mnasli“i«lilien est salée, se
rlistingue ‹lu ‹lnmainc oriental nnn salé, situé à l'fist ‹l« ï.ii›g ière. f.es ‹Iir«cIinns ‹le fracturatinn
snnt très ‹diversifiées mais nn retrouve constamment la ‹lireclinn m‹›yenne N 13º q‹ii représente
tine stnicture régionale ayant aÏTecté le sncle lors ‹les premières ét‹ipes ‹le la t1ist«nsinn. I.a figure ï-
S3 schén atisc tl'une pai”t l'ensemble ‹les Jirectinns ‹le fi“acturalinn ‹lécelées pnr mn‹lélisation,
suivant les dilTürentes stations ‹le n esuru et, ‹l'autre part, la pnsilinn :q›pi”nximaIivc 4e la limite
‹orientale ‹lu dnn›aine salé inFi”a-maastricI›lien.
16 •
S 5 S on da q ç ma g n r I ot cl I u r equ e
St LOUI S
S5
Linguere
Ii S6
S2 S9
S8
S4
DAKAR S3
TAk‹ B A CO U N 0 A
CONCLUSIONS
I.’nhjectif ‹te nnlre éIu‹îe, ‹fans celle première partie, é tait ‹le contribuer ù la connaissance
‹les slrucmres lu hassin sé‹limcntaire sénégalais par la métI›n‹lc ‹le snntla/;e magnéln-tellurique à
large bande Ue Fréquences. I.es métl o‹tes gruvimé triquc et aérnmagn¿tique antérieurement
appliquées ont permis cle décrire ces structures dans leur grandes lignes ; toutefois, les paramètres
mesurés (densité et susceptihilité) val ient sur des gammes de valeurs mnins éten‹tues que celles du
paramètre ‹le résistivité électrique. I.a méthocle fvfT nous a Fourni des informations substantielles
qui s'a‹Iaptent aux clonnées de son‹lages géologiques existants. I.e succè s de l'ii turprétation MT
‹lcpei ‹I ‹fans une large mesure de la géométrie ‹les structures ‹Ie la cofivei"lm”e ‹îu hassin. hans
la ban‹fe 1 FJ Katz-400 FÏz, les clonnées snnt dispersées et inexpIoitaI›Ies ; nous n'avons travaillé
que
‹Ltns la gamme 400 I Iz-1800 s
I.e prcmier problè me gtte n‹itis avons cherché à résoii‹lre concerne la proFoo‹leur dti
stibstrattim dii bassin. Sur ce point nous avons pli nous rendre compte ‹les ilifficiillé s
rencontré es pour obtenir fine bonne qualité ‹lu signal aux longues périodes, ‹fans les zones
de très forte siibsidence et assez conductrices comme au niveau do horst de Ndiass et à
Keor Samba Kane. Ailleurs le sncle est atteint et bien caracté risé lorsque sa résistivité contraste
suffisamment avec celle de la séi ie sus-jacente.
t.es résistiviiés du socle varient entre 77 el 1400 ohm m, traduisant une tliversification
lithologiqiie latérale importante.
I.'un des résultats les plus appréciables concerne, comme on pouvait l'escompter, la mise en
évidence de l'extension et ‹le la profondeur dtl niveau salé infra-niaastriclitien. I.a limite
orientale ne l'invasion saline se sittie dans le Eerlo, entre les stations de I.ingiière et ‹le
Dioumanan, comme levait prévu la CGG en 1955 gr3ce à la méthode ‹le sondage en courant
continu
1 'utilisation parallèle Ile la méi ho‹le conventionnelle de détermination ‹les ‹directions principales et
‹l'une métlio‹le spécifique qtii s'appuie stir les invariants dii Penseur ‹l'impé‹lance ri permis de
faire la part enf re les directions régionales et les directions locales. tua directi‹in N‹›i’tl l 3º est
celle de la principale slrticture régionale rencontrée, elle correspond vraisemblablement à l'iinc des
ilirections Ile fractiiration dii socle lors des pi entières étapes de la tlistension criistale ‹lu
’l’rias
A travers les quelques sondages MT effectués, nous sommes parvenus tlaos les cas les
plus favorables, à décrire la stratification des résistivités électrique ‹lii sous—sol suivant le
transect
70
bI‹liass—Ranéroii. Une aiiginenliilion ‹le la ‹lcnsil é ‹les poiul s ‹le inclure pei‘iiicl 1i ilit ‹l'ètablir une
iiio‹lélisai ion en ileux-‹liiiiensions le lon; ‹lti {Profil êl ii‹lié.
l.a méilio‹le ‹le son‹lage MT est légère et ‹le mise en oeuvre facile. Elle s'.l‹laple liien ù l'étii‹le ‹les
stivctores profon‹les dii l›assin malgi’é certaines limites.
72
iNvnOnUCTION
Plusieurs études géologiques et géocliiiniqiies des formations lan iniiennes ont signalé la
pi éscncc il'in‹lices de minéralisaiion ‹lans certains secteurs ‹lii socic aii S›énègal oriental.
Les minéralisalions les plus niarquanies ont été compilées sur lii carte géologique de la
région do Sénégal oriental aii l/2tl0 00tl, établie pai‘ le hameau tte Iteclierchcs Géologiques
et Minières
R fin tte calculer les paramètres géométriques (profon‹leor, lai geiir ou épiiisseiir, pen‹lage)
ct niiignéiique (aimanlalion) ‹les sources magnétiques pi olial›les, notis avons mène une campagne
Ile prospection magnétique aii sol Plans les secteurs clés de "roiriliororikoto, lioiiloiintou, Tinkolo
cl ’rnnkniilo-l-ént›a. Autant celle grnspeclion sera ‹lirecl« mur les mincratix magnél iqucs et les
gisements mixtes, autant elle poiiri‘a être un complément pour les huiles sii’uciiii’alcs (filon,
faille, contacts géologiques) et litliologiques ‹les formations enf‹iiiies sous l'ê iaisse couche
laléritiqiie.
1.'acquisition ‹les données a élé relisée tlu 10 aii 20 mai l'7'73 sur bles profils limités et il'éclielle
locale.
Dans la première section, nous ferons une tlesci ipiiou somniiiire ‹lii ca‹lre géologique
el gèopliysii l iie de la rëgion ‹lu socle bit iniien au Sénégal. Ensuite nous exposei’‹ins
successivement les principes tle magnétisation bles roches, les résultats oliteiiiis et les
pi’incipa1es interprétations retenues.
f.a l›nulnnniérc ‹le Ké‹fnugn» apparaît cninmc fln sn«l« ‹l’ñg« essentiellement
l'inléinznique Ïnfëri«tir alitntir ttc 2,1 fin. I'.lle est tin il ée à par la znne mnt›ile ‹les
i'rtaiiriiaoi‹lcs et recouverte en ‹liscor‹lance par les formations plus rèceoles ‹lii bassin ‹le
Taotidéni
‹a l'Est (Fig.11-l).
0 r o ni I e p u s I - Ie ‹. I tt n t qu g
G ron i I e d e R on› b od jl
B o I h o I i I e de S o r o y o
fÎ 01 tï o I i I lï e de l¢ o k o J ion
S u pe i q r o t›{› c de IJ lo I e - II o Ie’m o
Super q ro u p e d c kl o k o
Chevou «h em en I
O 25 *.. 5O 75km
l.a gcol‹igic ‹le la liftul oooiei’e tie Kc‹loiigoii a fail l'‹i1ijcl ‹lc ›liisieiii s âl ii‹lcs gâ‹il‹igi‹]iies el
ciii iogia;›liiqiies (Wii’siiaiu , l9f›s , fie.ss‹ii, 19GG, Cum.i.‹›, 1983, N‹i‹›r‹, l9ss, Ni‹›ii,
19as),
75
qui ont permis la définition bles grandes structures et précisé les traits majeurs de la géocliimie
des différentes unités.
1. es formations de cette partie dii craton ouest-africain sont communément suhdivisées en deux
grands siipergroupes
- le stipergroupe de Mako formé d'associations de roches volcaniques (basaltes, basaltes
andésitiqiies, andésites, rhyodacites) et hypovolcaniques (microdiorites et microgat›bros), en
intercalation avec des ensembles de roches volcano-sédimentaires (tiifs, cinérites, grauwackes)
et sédimentaires (calcaires, pélites et grès). Le supergroupe de Mako est intmdé par un
plutonisme basique à acide, constituant le batholite de Kakadian ,
- le supergroupe de Dialé-Daléma, situé dans la partie oricntale de la lioiitonnière et
formé de roches à dominante sédimentaire.
Toutes ces roches, en dehors des xénolites métamorpliiqiies, sont métamorpliisées dans le
faciès schiste vert, très peu ‹léformées et généralement i penilage très re‹lressé.
Les affleurements rencontrés dans ces trois secteurs sont globalement identiques. Il s'agit
de formations essentiellement birimiennes
- tin complexe basaltiqiie ;
- des pyroxénites à olivine ou serpentine orientés suivant la direction liirimienne
E.NE-
W.S SE, certaines pyroxénites sont riches en magnétite polaire (Kotilountou) ,
- roches volcaniques à tendance basique métamorphique (basalte, gabbro) ;
- un complexe granitique calco-alcalin à biotite et ampliibole qui présente souvent
des indices de minéralisation en galène liée à la blende, calcopyrite, molybdénite, or
allilvionnaire en particulier à Tinkoto (GinAUI3ON, 1961) ,
- méta-andésites à façiès parfois brécliique ;
- des filons de quartz et des champs pegmatitiqiies.
Les principales anomalies gravimétriques décrites au Séné;;al oriental sont les suivantes
(PoNSARD, 1984; Fig.II-2 ) :
- les anomalies positives qui, en général, coïncident avec les séries
métamorphiques (Mako, Dialé, Daléma) ;
- les anomalies négatives qui correspondent aux massifs granitiqiies (Samboka,
Saraya), à l'exception dii massif de Bambadji.
La Compagnie Générale de Géophysique a établi en 1562 une carte ‹les anomalies
radiométriques, et aéromagnétiqiies du champ total dans la région de Kédougou. A la suite
de cette couverture aérienne, vingt et un secteurs sélectionnés (dont dix-huit s'étendent sur
des anomalies aéromagnétiques et radiométriques) ont fait l'objet de prospections géophysiques
au sol à l'aide des méthodes suivantes (CGG, 1566) ;
77
- magnétisme au sel ;
- prospection électrique ;
- polarisatinn spontanée :
- électromagnétisme TUkAfvl ,
- ra‹linmélrie.
I.a II1écrie ‹Iti n agnéiisn e terrestre et lcs principes ‹l« la pi”nspecIinn u agnétique au sol
onl été simplement exposés pai’ l.Asl'Altiii fi.s ( l'3f›G) el par ’l’l 0.1’‹ iltl i cf srl. ( 1'4111).
l.a pliiparl tles éléments constitutifs ‹les roches sonl peu ou très peu magnétiques. l.a
siisceplihilité magnétique k repré sente le paramèti e physique essenl iel. ha réponse tles roches
et ties minéraux est contlilionnée par la quantité de matériaux magnétiques qui y sont présents ;
ces tlcrniers ont ‹les valeurs ‹le k l›ien pltis élevées que les anti es iiiinèratix (iiiagnétite,
ilménile, pyri liolile) lles diflerences iinpoi’tanles se manifestent ainsi ‹fans le cliairip principal,
par smile ‹le lii vai‘iiiIion ‹le la tenetir en minérarix iiiagnèliqties ‹lcs roches voisines ‹lo la stu llice.
I.’aimantalion ‹l'tine i”ocl e est ‹file permanente rjtiantl elle siil›sisle en I'al›scnce ‹le tout
champ magnétique extericur. I2IIe résulte ‹le cinq aimantatinns ‹le types cliITe"cnls :
- l'aiinantation Ihermnré n anente (A’I'I\), mécanisme cssei fiel tl« IÜ ii»anlalinn ‹les roches ;
- l'aimantalinn ré manente isnll›«rn e (AU I) ;
- l'aimantation cI›imiqtie (AUC') ;
- l'aimantalion délriliqiie ;
- l'aimantation visqiieiise.
1.e magnétisme rémanenl ‹l'une roche peut ê lre important el avoir une polarité très différente dii
champ actuel.
I.'in‹lrictinn est l›caiicntip pltis importante que la rü n anen« ex«cpIù s quelques rares cas
(h‹isalIe, certains minéraux). I-'inlensité tl'aimantation I esi pi”r›pni"lionnellc aci cliitmp appliqué .
I — L.1 l avec 1. la siisceplibilité magnétique el 1 l le champ appliqué
I.a stisceplil›iIité magné tique ‹l'une i“ncI e emil très géné i”alci»enl avec le pnm”centage ‹le magné lite
«t tl'ilmé nite qu'elle cnnlicnt, elle varie avec le champ 11 à Ien›pé i“aI tire ni”‹liizaire et avec la
leinp‹iratiire pour II constant. 1.e talileao ci-après ‹lonne quelques valc•iii‘s iiioyennes ‹le
sosceptibilitô de minéraux et ‹le roches.
Nous trouvons remarquer que les roches sé‹limeniaires el les évapoi iles possù ‹leot les plus l›asses
sosceplibililës moyennes, les roches i(¡nèes liasiqoes les plus élevées
l.'intliiclion iiiagnèlique est le champ tolal à l'extèrietlr ‹l'tin corps I'l1c i‘e;ii‘ü sonte la i’ésultante
‹lu champ applique et de l'aimanlation
11 Lsl ex}ii’iinli en Tesla (iinilC SI) oii en gaiiss (me.m oii sysleinc c.g.s) , l'iinilii iraliqile est
le
g:'''''n»-y- (I gamma = 10 * gaiiss = l0-° Tesla)
I c I”appnrt ‹l« I’in‹Icictinn ft sau“ 77, cIînmp r)ui le prnx nqtic, ‹Infinit la perm¿;jl›i]it¿ mqgj1etiqije [\.
I*.gaIe a 1 tlans Ie vite, elle est Iiec ‹n la susceptit›ilite k j›ar Ia rel‹ttinn
‹=11k
2.3 - Principaux îypes ‹îe ›niIgnétisn e
I.cs iiialériaiix (ćléinents niinúraiix, loches) peiivent ûtre classćs ‹mins łrois groøpes
siiivant
I«iu“s pm( rićlés magnćliques : ‹liainagnúlique, paramagnéliquc el £«ri”nmagnćli‹jiic.
I.ors‹]iie la stiscețililiilitü magnóliqiic ‹l'tine malićre eel nó ,:ltive, cİÎe esł ‹liłe
‹Iianta{țnźtiquc ; l'intcnsité ‹l« l'ainzantatinn in‹Iuite s'nppnsc am champ in‹Iti«t«tu”. C'«tl«
ț›rnpriété est fï›il›Ie ‹levant 1es autres £nrmes ‹le magnéłisme. A celte calé/ț‹›ric s« ralIa«I›cnt
la pIupart ‹les gaz, l'ea i, les nxy8es, t›eaucoup du métaux (or, mercure, argent), la presqiie
tntalilč ‹les composts nrganiq»es.
Ï.cs «orps paramagnúliques nnt une susceptihililć inagnéIiqii« gnsilivc. îfs pcr‹lent
letir
aii›itinl‹Ili‹›n ‹lÈs que lc «hamp exlći”i«ir ‹lisparaît, c'est l« cas ‹lc la pIiq›ai”t ‹l«s i”n«li«s.
Ï.«s c‹›rps Ferr‹›majțnétigties som I«s innins nnn I›rctix n ais nnI les stis« liI›iIilé8
l«s plus
ülc•x•ü«x Äl‹›i s ‹]ii« we siix‹:«}1I il›iIiI ć's ‹l«s siiI›sIan«cs }1ui”a ‹m ‹Iiaij‹iÜuüli‹pi‹'x x‹›ul iul i”i«iii”cs è I
0-
ti « itz, l« F«r, Ic «ol›aIt, I« ni«k«l «I I«tirs ttlli‹tgus nnt ‹Ice v:tl«tii s I fï!' iî›is ț›Itis (țiau‹l«s.
wu «Itrnn e ct Ic manganèse, paramagnétigties è l’ëlat Iil›r«, F‹›rn cm ‹Ice c‹›mI›inaisnns
F«rrnmagnéliq ies avcc ‹le nnmI›r«ux mćtallnî‹l«s : łvfnfłi, Ci€ł, C'iTe. I.es ininëraiix
respnnsakles
‹Ice pm ›i-iúićs niagnétiqii«s ‹lcs i"n«l›cs aț› ›arliennent principalcm«ni au systènzc ternaire
F•e€ł- Ti£J2-fie3Cłj (Fig.ÏÏ-3). Ï.es autres n›inéraux sont la pyrrI›t›Iits «I Ics
nxyl›y‹lrnxy‹l«s ‹le F«r (goelliite FeOOI Iix et lépi‹locrosite FeOOI Iy).
I c point ‹le Cørie est la lempéraiiirc à laqiielle l'aimanliiłion ‹l'tinc siilisliince lì:rromagnélique
rl«vient nćgligeahle. Pntir In magnétilc -F'ej€Jq- pai exemplc, Ic p‹›int Uc C‘ciric «si ‹l« S78OC, sa
rlcnsilć est ‹Ie 5,?Û et snn aimantalinn ‹le saturation à la Icmpćraliire nr‹Iinaire est ‹to 480
uein/cm*.
81
Fe2l'iO
v‹›sp n«II«
r«ÿi”i‹› 4
i'«› i'«.,‹›,
M :l IIü I i I «
C’IIńPlTItf•.” IU
xNxi.x'siï i›iï« izí«tii.”i'x’i’s
I. cs j›i"nfils magnćliqu«s nnt ćlé eIT«clués s‹ir les q lalre sites suivæ›ls :
- Tnmt›ornnl‹nło
- Koulnuntnu
- Tinkoto
- Tonkoutn-ï.énba.
I.c.s rúsullals snnt ohtenus sous Fnrn e ‹le cntirt›es d’annnzalie ‹lu cl›nn p InI‹iI, am ès avnii” rčd iit les
‹lnnnćes. I.'cxtension ‹les znnes rle levé étant Iìmitée, aucunc cnrr«ciin» n’a ćłé Faile s‹ir les
\,.,jç];j[{øjjg \] {q(] jj\{ ]jg\jç ] ç]j;jțnțj țn(g] (ñ a § '//Ñ m). ]I Cn it úl£, he mûIIlC țJOUI” lute Ct1i FeCIİ£łfłS ã
ț’,jjj” )İlтî”C, u/\j" ) {}r;j{Iienl verli«;jl vai”ie ȘéI1ći'alOIncnl ‹l'tin lníîXİI11llI1l ïÎU Û,Û1 Ț/111 ítt IX (3ñles À tlFł
\\\iijiitjiiijj ‹l« -Û,fł15 y/lj ‹0 l’c.‹jiiul«ui' i11a{țnćli‹jii«. I.'inIlii«n« ‹I« líi In{›‹›/ți ‹t{›I\ic est nćÿIitšual›Ic, los
‹IilTćrcnccs tl'aIlitu‹Ic ne tlépassent pas ì 0 m.
I.'acquisition ‹lcs ‹Innnćcs » étć £ailc è l’ai‹Ic ‹Ic tleux n›agnëtnn›ćti”cs s«al‹iii“es à précessien
iiiiclü;irc ‹le type f,f'd f, ‹l'iinc scnsil›ilii ü ‹lc fl,tl I oT ct ‹l'iiiic pi’ècisi‹›n ‹re 0,2 ii”P. I.'im ties
;ippai”cils i”csle immnl›ilc «I scrt ‹l« l›ase, l'aulrc sert ‹le inesui”« stiivanl l« pi”nfiI «l›nisi ; les ‹letix
:q›p:ir«ils snnt syncltrnnisüs. Î.es n1cslires snnt ullćricïir«incut rć‹Iuilcs, «nsiiil e l‹t vnleiir tlu
i”ëÊći"«ncc csl rctrancliée pnur nl›tcnir l'annnaalic ‹Iti cl›an›ț› tnt»I. I.«s spćcificaliniss ‹toe apgareils
s‹›nt ‹l‹›nnü«s «n anncxc. Ï.a canJgagnc tJc nacstircs «'cst tlüinuIë« ‹Iu IO au 2łJ i›iai s 1991.
N‹›tis :tvnns cfFc«tuú tinc ț›rnspccIiniï ütl s‹›I avcc iine nlcsui c t‹›iir l«s tlix mćfius , quelgtleFeis
I‹›iis I«r ‹I«iIx mimes, l« «aptctir n aint«nu cnnslnnamcnt ‹a 1 m ‹I‹i s‹›l ń l'‹ii‹Ic ‹l'iiuc perchu.
I.’‹›ri«nlnIi‹›n ‹l«s pr‹›ńls a ćlü «Iinisic ‹le maniùi’u ‹q i”c«›iiț›«i” ws ‹Iir«ti‹›ns sli“ucttira!cs
erm logi’:ipliićcs ct ‹lc sc rapproclier ‹lø nor‹l lniigiićli‹jiie poør ohlcnii tin sigøiil ‹›ptiiiiiini.
l,'iitilisaIi‹in cn parallćle ‹ł'iin í il’.ś u Magellan » et ile repćrcs ciirl‹›griipliiqiies, a permis de
p‹isitionnor les extrćniitćs ‹le chaqiie profit.
3.2 - Traitement et analyse ‹les données
3.2.1 - Tomlioronhoto
I .‹› fig‹ire Ïl-4 prcsenl« le cnnlcxlc génlngi‹jiic ‹lii prnfil principal i ü alisü à Tnnîl›nrnnkotn.
Il s'ngiI ‹l’‹in l«vé tte 35Û 0 m ‹l« Inng avec un fcis ‹Ie 10 m, ni icnlü N.\ I S" I .«s «›‹›r‹l‹›nnées
snnt 1?°48'?0N, t2°17’24W pour le pnint origine et 12°49'û 2N, 12º18'38W j›n‹ir lu ‹dernier
pnint.
A m ph i b e t i t e s
Pig.l I.4 - Conlexle {;éolo;;iqiie tlii profil ’I'- l (‹l'après IIltCi M, l 9f›3)
l.e s pi‘ofils suivants sont elTecliiés sur certaines Jiarlies tin rrofi l {Principal 3“- l avec une
échelle rètliiile et iln pas de 2 m
- le profil J’- 1 1 long ‹le 300 in , effectué en vue ‹le ‹détailler les anomalies ‹lii ‹léliiit du
profil "l“-1 ,
- I«s prnfils 1”- I? «t T-13, paralIeI«s et «ITecıtıes ‹uı niv«aıı ‹l’un« ı»:u « }›‹›ur t«nI«r ‹le
vnir I'‹›rigiuc ‹lu gra‹li«nt tl'annn alic cxcessi£ signalü par l« ınngnülr›n eh u v«rs 2fJfîfî n› cltı p‹›int ‹le
rlepaı I ‹lu prnfil T-1 ;
- le prnfil T-14 qtıi prnlnnge le leve T-1 vers le su‹l-est, au ı›iveau ‹lu plateau Iat4ritigue,
sıır ııne l‹ıngııeıır ile 280 m ,
- le profil T-15 parallüle atı T-14 mais ‹l‹ical6 de 100 nı â l'üst et s'üten‹l sıır 24fi m.
‹l'atilr« part, la F‹›i”in« ‹l« l‹i «›m I›« ‹I’:tn‹›n1ali« rcsl« incl›angée.
l›«aticnii{› plus prnnnn«¿c nu" le ’F- I S (15 y). D'api”ùs les lî›i”n\itli‹›ns (;ü‹›l‹›(;ir}ii«s cartngrapl\
iées,
«ttc annnaalie pnuirait cnrres ›nn‹li c aii contact vei s le Surf, enli e les ai» I il›nliIcs el les
scl›isles i”ecnuvcrIcs d'une imgnrlanle ‹lallc laléritiqtie qui est à l'nriginc ‹les parasilcs nl›servés
vers la fin
‹lu imkh T-14.
R7
3.2.2 - ïCotilnttntnti
l.e ca‹lre géologique csi J›rêsentê ù la ligiire I1-0. l.es ‹lciix pi‘‹›fi1s eflI:t:tués sont de
meme (lii clinn cl snnt ‹ț¿caI¿s ‹le lfjf) m. I.'amintit N I 2fî° a fii cli‹›isi ț›ntu rccnuț›«i ‹1 la F‹ is la f‹iillo
ț›i”csui»ee et les rn«l›es vnlcaniqties uItral›asirțues et l›asirțiies n ineralisees iu‹Îiqu es stir la carte
genlogique.
I.« ț›i nfil K-1 (Fig.77-10) i»nnti c unc annm‹ fie ‹l« gran‹lu inagnitii‹l« ( I I 1f\0 y) avec line cnIirl›e
,›xynzcli”i‹jtic ‹jtii pr¿scnte l‹›«:iIem«nt ‹les anninalics ‹l« p«lit« l‹›n(țuc‹ir ‹l'‹+n‹lc I .ti pnsilinn ‹l‹i
I›1ÎIX i ITll I I» țar›sil i F }›flr I“:I;›[›r›I t a I:i Cttrl « g ‹›l‹›{;ir ll« iI\‹I ifjl l« r}l Ic t:«l I « iîl1r›ITial ie eS(
vraiseml›la1ilement liée ‹u la fi iicliire régionale signalée à ccl en‹lroil . Coninic les (;ra‹lienls tle
l'anomalie majeure sont f‹›ris et coniparal›les ‹les tleiix cotés, ‹›o peut siiJiJi‹›ser ‹)iie la faille est
‹fans un plan vertical et qu'elle est suls-aMeiirante. I.'anomalie iii‹iyt•iine syiiiéiriijiie à 1200 in,
r«f\ètè le passage latéral ‹les ultrat›asites ati Ïil‹›n ‹ie mi«r‹›gr:uzif« à fil›lc stis«eptihilité
u agnétir{ue.
I.e profil K-2 ne présente aucune anomalie remarqiial›le l‹›i‘sqii'il est i e ii’o‹liiif à la même échelle
qtic le prnlil K-1 (big.IT-1 I).
Sch i s Ie
s
B o s o I I e, q obb r
o
P r o Ii I mo 9 n e ł i q ue
G ro n i ł e s y n le c to nique
F il ori de nuor ł z ou [› e q ni o ł i ł
e
t4ic ro 9r o n i le , opl i ł e +æ Fuille pro t›ob ł e
0
t
Amp hib o Ií I e s % P e I i d o - p y r o x ś n ł te s
i' g.ii.! 2 - ‹›i›lex c gćnlngil e th grnûl ‹l« I"i»k‹›i‹› (unc tvi, i vr›z)
3.2.3 - ’I’iiiI«ilo
1.ii figiii e 1I- 12 io‹li‹Jiie lii l‹›calisiil iiiii tim jii‘ofil ‹te 3’iiik‹il‹› (’FL) effccliifi a I i avers les
gr iiiiil c.s alccl‹ini‹jtics a 1›i‹›litc et aliipliib‹›le ct les aii‹lćsiles. I.cs c‹›‹›r‹lt›iiiires €›I'S ‹lc l'‹›I‘igine ‹lti
Jm ‹ilil s‹iiil I 2°55'3GN, I 2"07' I 3W , celles ‹lii ‹lei’oicr p‹iiiit s‹iiit 1ż°5ć›' I 5N, I 2"flil'32W.
l3es iii‹liccs ‹l’‹›r et ‹te galćiie cel i‘e aiil i‘es, ‹iot ćlć sigiialćs .iii oivcaii ‹les fil‹iiis ‹le ‹jiiai lz issiis tlii
gr aoite {i‹ist—tccttini‹jtie ‹te ’I"inkot‹i. I.a ir‹ispecti‹in gć‹icliiiiii‹jtic i’ćaliscc piir €liitAi ii x iN (
1961) a i 6vclfi ‹ł'tiiic pan t qtic lcs aii‹iinałies sigiiificativcs ii'appai aissciil ‹jtie p‹›iir lc J›l‹›iiili cl l'‹ir
et,
‹l'ititrc par t,‹Jiic łes iiitłices iiiiiiiiralisćs ćtti‹lićs n'tint aticiine valeiir ćc‹ioomi‹ ii». Stii ta ‹jiiiiranlailie
n
‹te fil‹ios sci ićs, la paragćnćse cst typi‹ eiiient celle d'tin IlI'CiC a gangiie ‹te ‹> ai tz.
I e profil ‹l'an‹iiiialies (I'i;;. II- 13), ‹1'‹irientati‹in N3 10° ol ‹lc )i:is ‹te 10 iii, cxJii inic te cai actćre
iełiiliveiiiclit plus paraiiiaglićtiqiie ‹les andó sitcs par i’app‹ii I art gi’anile ó par lii ‹lc 1000 in. lou
cflcl, il cxisl e inic ‹lill i co‹:c iii‹›yciiiie ‹l’iirh›iiialie ‹te 200 y cel i c to.s iiiiilćsilcs cl te ¡i iinite. I cs
liii les aii‹iiiialit•s nfigal ivcs }iciiveot s'ex}iliqtier {iai’ la }irfiseiice ‹te iiiiofii‘alisati‹iiis aii scin ‹les
fil‹iiis
‹lc qiiartz .
I.a flame 11- l4 repro‹luit le cotiłexte gé‹il‹›giqtie ‹lit [ø‘‹ifil fl“‹›iik‹itil‹i—I.é‹›l›a (-r-1.). C'est
tin profit ‹le ‹direction moyenne NO—Sfï qøi s'ćlen‹l stir 7000 in, toøt am l‹iag ‹le lit piste ‹jøi mène
‹łii village ‹lc Tonkooto vers I.é‹›l›a. Le levé ‹léliiite an point tie cooi ‹touches GPS 13°34'l4N, I 2°0ć›'4
8W et se termine am p‹›int tie co‹›rtlonnécs 13‘32'20N, I2°O3'47\V iivec iin point ‹le mesure
tons les 10 m.
Disl a rice ( ni )
slriicl rire }iorphyi’ohlaslii}iie. l.es ;inoiiialies sont gl‹ibalenieiil posil ives ù l'l*sl ‹le
Sandikotin‹la, riü galives ‹u l'f)iiesl. Fleiix poinles lîarl es se irhinifeslenl l'une il fiantlil‹oiiotlii ct l'‹nil
i‘c 500 ni plus è suivie ‹l'tine foi‘le violeur négative (-700 y) Ices ‹feux p‹iinles in‹li‹piées ci-
dessus c‹›rrcsJ›oo‹lent aux criminel s gabl›r‹›i‹)iies tléci’its p:ir fbi A ( l CSS) l d'anomalie cenl i‘èe à
3éî00 m ‹le
l'‹›i iginc dii profil, p‹iiirrait û li e i elalive à la ü iille cai l‹›{¡ia}iliiü e.
l.'allure ‹lii profil magnù i ique fl“—I. confirme les résiil lits ‹le l:i €’fi€i ( l0f›2) à cel en‹lroit oir une
foi’le anoiiialie ‹lii champ 1olal ('1000 y) a élé mise co évitlence ‹a l'l'sl dc "l’‹›iil‹‹milo, à la suite
‹l'une c:iinpagne aéi’oinagnètiqiie qui a cotivcrl la i égion di i Sü nèt;:il fii icnlal (l'ig.l l— 1fi).
TONKOUTO
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Leobo
0 t 2 3 9[m
Ilans ce paragraj›] c, seule I'ain antalion in‹luile a Etc prise ‹• cm ij›te Inrs ‹te ta
n t›‹lćIis‹ilinn I.es aimanlatinns reinanentcs cxistenł lrcqucn n›cnt mais snnt ‹lillicilcn ent
mn‹lćIisalinn, ta valcur ‹te In prnfnn‹Icur ‹te ta l›as« ‹les «oi ps agit li ćs peti Im s‹jti’«Ilc ‹I passe
200 in ; ‹te ce fait, noiis avons fixó la profon‹leiir niaximale ile l'enscinble ‹lcs corps a 200
ni.
I.es valeiirs d'inclinaison et ‹te ‹lćclinaison ‹lii cliamp local ont elć obteiiiics gi’3ce art modćle
IGRF-90 (I•AN€iCL, 1992).
4.1 - Tnmlinrnnltntn
I.a »n‹lélisatinn a éIé faite par pnrlinns ‹le Ï 000 m, avc« ‹ice stations ‹distantes ‹le 2fJ m car
l« prngra n mc ‹le calcul n'a‹Iinet pas plus ‹le IO points ‹le mesures. I.es «ninpnsantes du champ
tntal ‹lnnnées par l'lGltW-9fï sont : une inclinaison ‹Ie S,?°, une ‹léclinaisnn ‹bc -8,9° et une
iotensitć ‹te 32329 y.
dlii ta {›‹›i linn 0 ‹q 1000 nJ, six cnr[›s vei ticatix sill›-aITlcIiriinls snnt i‹Ientifi¿s, tlnnt les
‹lift icIi«s tI'nintantaIi‹›n snnl gl‹›l›;il«in«itl inF¿i i«tires â g0g (Fig I I- 17) I.«ii s I;ii(;«tirs vai ien(
«nI rc 70 nz ț›ntir lc cnrps 6 ct ?05 in pmm lc «nrps S. I.cs cni ps I, 1 «I f› ieprescnt«raient ‹des
fiI‹›its ‹l« ‹j‹iartz asscz pcu n›ineraliscs injc«tes ‹Inns les amphiI›nlitcs
Profondeur (m)
Sur la }iiii’tioo ‹Ic 1000 ‹i 2flOO lil, i}iial i‘e iiiotlù lcs ‹le c‹ii’{is ver lic;iilx ‹Ic f;iible profon‹lettr
( ” l iii) sonl itlenlifiés (Eig l 1- l S) lces coi’ps 2 et 'l sonl les plus iii:igiiü li‹pies el repré sentent
ü galenieol des filons Ile ‹Quartz pen minéralisé s ou ‹les peginai iies aii sein ‹les aiiipliiboliies.
bc 21 OU ‹a 31 OO m, on passe aux scliisles ‹lonl les valeur s ‹l'iiiiriaiiliil ion sonl ioliii’ieiires ù
celles ‹les anipliibolites en valeur atisoliie (Eig.l I- 19). f.es zones ‹le fil‹iiis iiiinëriilisés peuvent
être assez lai’{;es (corps 2 : SS irï) ou plus ré‹liiiles (corps 4 cl f› 30 in).
97
'Żt IT ń0 nTI R nT
4.2 - Xoulnunłnu
I.cs plus £nrtes anomalies ‹le nntre cainpagne snnt nl›teii ies sur lc prnfil ‹lc Knulnuntntl ł.
I-« champ magnéliguu ‹Inns c« secteur présente les carRctćristiques siiiv9nt«s calculèes par Ie
n n‹lèle i€ikF-9û : Ï=S,4° ; IN—-9,9° et le champ total fi=ñ23Słł y.
I.c inn‹lćIc ietenu comgnrle six corps paraniagnéliques suI›-vcrIi«aux, ‹I« laiI›lc prnlî›n‹Ie‹ir (I
m) et peti épais (Fig.ÏÏ-2û).
4.3 - Tinhnto
l e champ iriagnèliqiie local ‹lonnè par le mo‹lùlc l€iRF'-00 est 1—5,5° , fl=-8,9° el
I-a figure ff-2 î mnntre ‹letix corps paramagnéliqties (I el 3) el ticatix cl ‹le scclinn peu large, au
scin ‹l'une matrice très peu magnélir}uc.
C‹›inple tenu ‹Iti ca‹lre génlngig‹ie et géncl›imiguc (Ciii‹AI îU£ ïN, I9h I), ces c‹›i”ps peuvent
«›i”rcspnn‹li”e à ‹les pegmalites nu à ‹les Jilnns ‹le quartz. mii éi“alisés, ii jcctés ‹fans bc granite ‹le
TinLnln
Au ‹lel‹ï ‹le g00 n ‹le l’origine ‹lii prnfil, les annn alies ernst cxclilxivcincnl p‹›siIives et la
fttntlülisalinn tlevicnl liïl›ni”ieusc siu‹›n impnssil›le avec I'iil}}nrilljnjc ‹]« C"alvll›ljl.I 1. ( { ‹jg1) kja¡s
aq vu ‹le l‹i Fnrnze ‹le la cn irt›e ‹l’annnzalies sui” les an‹lésitcs, nn {›euI a‹li»«I ti"e quc le magnétisme
‹le cette znne est ‹lii au phénomène ‹le pai“asifes lis vraiseinl›Ial›I«inent aux nxyliy‹Ii“nxy‹les Ue fer
‹Ie
la couverture latéritiqiie.
Fig.ïï.?J - Mn‹lèle ‹lu S‹nrii ttc 1"inknt‹›
1.c secletir ‹le Tink‹il o présenle il‹inc des aspects siiiiil;iires aii secteur ‹le
Toniboronkoto, ' avec ‹les anomalies Piililes ‹a moyennes lië cs essenliclleiiicnl iiiix fil‹ins ‹Ic ‹jii;ii‘lz
inincr;ilisés et/ou
aox pegmatiles.
4.4 - Tonl‹oiilo-Léolia
I.es «nmgnsanles ‹Iti «lvan p lncal ‹Innnécs par I« mntlù lc ICikI'-90 sr›nl I-7°, II—-fî,7” et
Ï' 1?5H î y.
I.‹I p‹›t”I inn 3Û Û à Î 3Û Û Mr ntnnl re ‹{tinlre «ni-ps pai”nitJilgnél iqi i«s v«i(i«alix «( pI”nf'nn‹]s ‹{e
? in (Fig.ÏÏ-?2).
ha F‹›t1e anomalie négative centrée vers 1200 in est atii iI›ual›I« au ct›t ps 1, tl’mzc intensité ‹le
?00 nT et ‹l’une largeur Ic 30 in.
Eig.I ł.22 - Mo‹lćle ‹te Tonk oiil o-I.ó o1ia cnl i e 5OO cl I 5t)O iii
Siir te inotlćlc tle la poi’tion 1500 3 2500 iii, lcs aiiiianlalions ‹les ‹:or is ne ‹l6passent pas
I •1fl n"I’, cc qiii in‹liqiie iine fiii1›le ainianlation ‹l‹inc iine fiiiblc ‹:‹inccoti‘iiii‹in cn ininćraiix
iiiagnćtiqiies (Eig.11-23).
Art ‹lel3 ‹le 280f) m, les anomalies sonł positivcs, le pro ;ranime ‹le calciil ‹te
CAt4I•ntiI.I. ( I 98.3) n'est pas tililisable. Totitefois, on petil noter qiie les anoni‹alies cenl r‹ies siii
.3fiDD in, ‹ł’tine iiiiigiiitii‹le ‹le 250 nT et stir flfi00 iii, prćsenleni łoiis les aspecls ‹i'tinc
anomidie liće a une Pailłe. t'n eflel, nićme ‹lans les teri’ains ‹te fiiil›le susceptil›ilitć iiiagnćlitjiie,
ta ;ii’ćscnce ‹l'iinc lfiille crće ‹te it‹›tat›Ics annnialies. G'aprćs C. S‹'i ii.i itvIBl‹itr ii.ft (i// I .AxI‹Alt‹ii H.e,
I*J£›ń : I I II- 119) : « les iiit›iiveiiients répétés qui ont ‹fourré naissance ù la faille s’acc‹iiiip:i('ociil
tÎe viliralioiis et l’aniplilii‹le ‹le celles-ci est maxiiniim au voisinage ilii plan ‹ie faille ; or une
roche soumise à les vil›i’aiions répétées acquiert tin magnétisme permanenl ». Par i appoi 1 aii
iiio‹lè1e 2-D électrique de RI’l”Z, rt ml. (l 993) Plans ce secletll’, notis n'avons pas pli établir true
lionne c‹irrélalion avec ]g modèle magnétique
102
2I)n
- ’' j sio ' I ao0 I ‘zno i ëtlf› ' I 6i›ii ' ‹m‹i ' tj I ‹ni ’ ü .j‹lil ’ ü i‹ili ' .î j lHl
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dff nT I•I0 nT l2fÏ nT 3fl nT SU n"l"
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CONCKUS!ON
I.'interpretation ‹les an‹›malies inngnétiques a ț›eri»is ‹l« lncnlis«i" ‹l«s fil‹›ns ‹le guRrłz
et ‹le pegn alites fГil›lemenț i»inéralisés (ZLOO nT) ‹Ians lcs cncaissaołs scI›isI«ix ‹le
"I"ni»l›nronkoto au sein ‹lti /țraniie ‹le Tinknln. Ces fiIoi›s snnI sans inlérêl p‹›ui la ma{țnćlit«
et l’ilinénite car l’expéi”ience mnntre que les annmalics ‹lignes ‹l’intérêt s‹›nt stq›éri«tii”cs ïï SÛÛ y
("FI:I.l•‹fltl› c/ n/., 196 1). Mais il est cnnnu que ces filnns pe went renfcrmer ‹l'auties types
‹le minéi’aIisations ‹font l’intúrût écnnomique reste à être ‹lémnntré par les métl›n‹les
génchin iques.
7.es fnrtes anomalies nl›servées ń Knul‹›untnu snnt iittriNial›Ies ń Jes sources peu
›r‹›f‹›n‹Ius (<5 m) ut f‹›itenzcnt magnćtiqiies (jusqtï'‹1 ù0ùù nT) ren«›nłrücs ‹l‹ins le sillnjțe du la
x.‹›n« ‹le I›rnyage q‹ii afF«te les péi”i‹ln-ț›yrnxćnites. 7.cs c‹›itti’;islcs ‹l« stis«pIiI›iIiIù majțnéliguc
«st ‹t mcllre en c:ttIs«, un pai1ic. Nútinin‹›ins, il Fatil n‹›ler ‹țti'tm p«n‹l:qj‹• li ès r«lr«ssS cIti plan tlu
Faille peut contrihuer è l'accentuatìnn ‹le la valeur ‹lms anomalies. flue élti‹I« «n cai”le est
souhaitée pnur vźrifier l'exìstence d'axes annmaliques privilégiés.
finlre Tnnknutn et I.ćnl›a, lcs sources ‹Ie ț›erłurl›ali‹›n snnł łiès p«ti magnéti‹jties
( ?fł0 nT), mûmes si l«s anni»aIi«s alteigncnt parŁ‹›is ‹l«s p‹›inlcs ;ss«z ćIevć«s (-7fłfł nT). Deøx
an‹›inaIics au mnins snnt liées aitx dailies.
î.es étii‹Ies inagnéIir]iies au snl, l›ien qtie menées siir tin sctil prt›fiI, nnl j›si"iriis ‹le ieettre
en évi‹l«nce ‹Ics pliénnmènes gé‹›Ingiques lncatix ‹lc faikle cxtensi‹›n i‹•ls ‹yio l‹i prësence ‹fe
fiInns Je f]tIùłlZ., tUS I\I\1íłS LIC l1lİne£ai n1ağné(iqlle, £ICS C£łf\lítC{S {}Cfłlf›gİ\ț\jCjj C{ \]¿¿ ('jjilles Une
»!I)I›!/cati‹» ‹les lovLS \›cri»ettrait unc ćlii‹l« en cai”Ic ‹l'isan‹›n›al«s, j›‹›iii vći iù«r l'ey\eøt¡ ø
l‹›tćrale ‹les sot rces paramagnüti‹jiies, notaniment ‹lans le secleiir tlc K‹›iil‹›iini‹›ii.
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A l'cx«c}Jli‹›n ‹lcs caț›lem”s magnćliques qui snnl de marque ń /«I/'‹›//i.v, I’cnscn›l›lc ‹lcs ii\strui\Kents
ulil¡sćs ct› łvl'I‘oi›t ü‹é cnnçiis ct lul›riqućs par w› c‹›n›pa/;ni« cana‹li«ni›c /'Ii‹›eiii. ł Ie‹›j›Ii\‹s'ia.s
I.iiiiile‹I et ‹i ›;›artient ń l'lÏcnI« l' nly te«I›i"' i*ie tie Moi ti”éúl.
I ’acqtiisitinn cst faitc «n tcni(›s rć«l (Wt(it I I' eI ‹it., 1977) avec un ‹lis{›‹›sitil”cli‹›isi ń 7 v‹›ics ‹lnnl 2
lellm iqiies (NO el ñ n agnéti‹jticr de mcsure (I lx, I Iy et I Iz) ct 2 n›agnćtiqucs ‹l« reference
(I lxr, I lyr). I.c t1‘aileiiicnt tlø signal est reo‹l* l' Ossible gi‘âce ‹a ‹leiix nio‹liiles tie
c‹iii‹liiion1ie1nent ct iln i ćcepteilr-eni’egistl’ciir (l'ig 111). 1.es iiiesures sont l‹ailcs stir tleiix
handles tle lì’ét]iieoces
séparées . la gaiiiliie l0 KI lz-1 I Iz et la gamlne l Hz- 1800 s.
wee ca ileiirs Iclliiri‹pies st›nt c‹ioslitiićs that‘ ‹lcs ülccl i‹ities iin ›‹iliii isablcs ‹wi type clil‹ii‘iii’c
tie
plomb (l'b/l'bCl). l'ar rapport aux electrodes de cuivre on de plonib, les électrodes iinp‹›larisables
‹int l'avanlage ‹le rétliiire 1e bi’iiit. Une i’ćsistance tle contact ćlcvće (>50íJ0 ‹›hwi) peut in‹liiire
tin bi iiit c‹insitléi‘a1i1e silr les caniiøx telliiri‹ l i1es. I 'utilisation syslématiqøe ‹lc beotoliite associće
à l'catl salé e atigmente ellicacelnent l'aire ‹le contact ‹le l'é lectrotle avec le s‹il sec. On peut
égalenient ‹liiøiniier la rćsistance tle contact en coiinectant pliisieiirs électrotles en parallćle. ma
ltiiigiietir ‹les ligoes a ü lé ‹le l0tl ni eovir‹io, touteliiis n‹iiis l'av‹iiis trü s sixiveot aiignieolće (2()(I
- 25tì ni) ‹lii1is le btit ‹l'aiii ililici‘ sensilileinent 1e signal tl'eiiti ćc. l.it meant e ü lecti i‹ tic ‹lc la
‹)tiiilitÜ tles electrodes est faite ă trois niveaiix
( 1) em coilrant alteriiatif line ‹lt1p inféi‘ieure ‹a 200 inV est i ecoininaii‹lée ,
(2) en c‹iiirii1it conf inc ‹›n ne ilevrait pas dépasscr 100 iiiV ,
(3) plus la resistance ‹le contact entre les electrodes est failile, plus lit qt ialitć ‹lcs inesures
est meillenre lan rê le gênérale la resistance únit être inläiieure G 2(MH) ‹rim s p‹iilr
iln niüou Ju résistiviié infćrietire à 50 ohm.in, par contie si la résistivité thi røilieil est supćrieiire à
50 ohm tit,
une resistance de 5000 ohms eoviron est acceptable.
Im‹ IY4tltlll l.lt iil' CON llt’rlONN CM EN’I- iiu sicNA 1. (si'V-5)
l .'iil ilisiil iiiii ‹lc cct 1 c titiit( est i cii‹liie iificcssiiii c {iar‘ lc iiivc‹i l‹iil›lc ‹les sit;oiiiix. 1 l com iJi‹ii te 11
ciinailx tl‹›nt ‹leiix telliiri‹lties ati iiiaxiintiiii, tin ampliliciileiir ‹a 1res l‹iililti linlit, tin aiiilililicatctir
prograliimiilile ct tlcs foiicti‹ins—li1ti’e. L'aniplificateui‘ inagiieti‹jtie 42f›0M reș‹iit lc signiil tlti ›re-
amplificateiir loge dans la cage du capteur magnetiqile. L'aiiipli1icateur et le circuit tie filtrage sont
semblables i ceiix des voies telliiriques.
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c‹u1l1i I s‹›LI s lc n‹u11 tlC ț›l-ü «sSi‹›l› ‹lc I .‹ll I\›‹›l“. £?« }›l›ćl1‹›li1è l1« lì II iI)i‹lgİl iü , Vcrs I *J'l .1, ‹\ ›rćs wt
‹lćc‹›uvci tc ‹le la rais‹›nat›«e nu«lćaii“« n›ngnéliquc. Cc i»n/;iićl‹›nićtie, mis ‹›u j›‹›inl ›‹u“ I'A‹.'KAi‹i›
et VAit lAN (1954), fait appel à la mesure de la fréqiience ‹le pi‘écession lilire ‹les pi’ot‹ins, ‹Viii ont
ćiü p‹›lai isês tlaiis true ‹direction ațiproxiniativeiiieot her ieii‹liciiliiire aii cm:iiiip tei‘i esli e.
l.ors‹pie l'‹in siipprinie briisqiienient le cliaiii{i ‹le polai’isation, les pr‹il ‹Ans prćcessionoenl c‹iøliiie
tine toiipie, le champ magnétique terrestre remplaçant la force tie prćcessi‹in qiii correspon‹l à la
pesanteiir dans le cas d'iine toupie.
we proloø prćcessionne avec iine vitesse angiilaire w, conniie s‹iiis lc noin ‹le frć‹pieiice ‹le
luar iii‹ir, ‹jtii est pt op‹irli‹›røielle à l'intensité I' dii champ, ce ‹Siii tl‹›øne
gJ› es( I C ríi]i pfli‘t gy rO iIlilgrlć ti €JtiC ‹Hi prOÍ O li, colt i1t re à ti he p récisİO it tlC (), 2 5 . I () ’.
On obtient le champ inagnéii‹jiie à partir ‹le la mesure des fréqiiences ct tie la relation
r — w/gp = 2n/gp
où re facteiir 2n/gp = 23,4874 0,0018 gamma/1 lz.
Ce type tie iiiesure ne nécessite ‹lonc aiicune calibrati‹in. 1 a figure D4 sclićmalise le bloc
‹liagraiiiine ‹l'iin iiiagnćt‹imćti e-enregisireur à précession niicléaii‘e.
Ires spćcificalions tlonnćes par le constnicteiir sont les siiivantes
Klagnèlmtti•li e/t"i ‹uliomc'li c'
ltés‹iluli‹in 0,0 l ii"l“ (cliaiiip et gratlienl)
f'ré cision 0,2 n’l"
l3ynainique l 8.000 à l 50.0fl0 n’l’
'l’olèi ance ttil gratlient Plus the IO.(100 n’l’/iiiù t i
e Intervalle tle pi’éccssioii 3 secontles aii
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