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A LA CLAIRE FONTAINE
I.
A la claire fontaine m’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle que je m’y suis baigné
Refrain
Il y a longtemps que je t’aime
Jamais je ne t’oublierai
II.
J’ai trouvé...
Sous les feuilles d’un chêne je me suis fait sécher
III.
Sous les...
Sur la plus haute branche un rossignol chantait
IV.
Sur la...
Chante rossignol chante, toi qui as le cœur gai
V.
Chante...
Tu as le cœur à rire, moi je l’ai à pleurer
VI.
Tu as...
J’ai perdu mon amie sans l’avoir mérité
VII.
J’ai perdu...
Pour un bouquet de roses que je lui refusai
VIII.
Pour un...
Je voudrais que la rose fût encore à planter
IX.
Je voudrais...
Et que ma douce amie fût encore à aimer !
ALOUETTE
L'ALPHABET SCOUT
Un jour la troup’campa A-A-A
La pluie s’mit à tomber B-B-B
L’orage à tout casser C-C-C
Faillit nous inonder A-B-C-D
AU CLAIR DE LA LUNE
MA COUSINE
Version 2 :
I.
As-tu compté les étoiles
Et les astres radieux
Déployant aux nuits sans voile
Leur cortège dans les cieux?
Dieu qui leur donna la vie et l’éclat
Dieu qui leur fixa la course et le pas
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.
II.
As-tu compté les abeilles
Butinant parmi les fleurs,
Papillons mouches vermeilles
Sans soucis et travailleurs?
Dieu qui les vêtit couleurs paradis,
Dieu qui leur fournit vivres et logis
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.
III.
As-tu compté les fleurettes
Souriant au gai printemps?
Boutons d’or et pâquerettes,
Fleurs des bois et fleurs des champs?
Celui qui leur fit ces riches habits
Celui qui leur mit ces frais coloris
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.
IV
As-tu compté les nuées
Passant dans les champs du ciel?
Et les gouttes de rosée
Aux reflets de l’arc-en-ciel?
Dieu qui fit le temps sombre ou éclatant
Le ruisseau chantant et les flots grondant;
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.
V.
Sais-tu combien sur la Terre
Vivent d’enfants comme toi,
Dans le luxe ou la misère,
Fils de pauvres, fils de rois?
Dieu les connaît tous et les aime tous,
Dieu les garde tous et Dieu les veut tous :
Tu es aussi dans le nombre
De ceux qu’il n’oublie pas.
CANTIQUE DES PATROUILLES
I.
Seigneur, rassemblés près des tentes
Pour saluer la fin du jour,
Tes fils laissent leurs voix chantantes
Voler vers Toi pleines d’amour :
Tu dois aimer l’humble prière
Qui de ce camp s’en va monter
O Toi, qui n’avais sur la terre
Pas de maison pour T’abriter !
Refrain :
Nous venons, toutes les patrouilles,
Te prier pour Te servir mieux !
Vois, au bois silencieux,
Tes Scouts qui s’agenouillent :
Bénis-les, ô Jésus dans les Cieux !
II.
Merci de ce jour d’existence
Où Ta bonté nous conserva !
Merci de Ta sainte présence
Qui de tout mal nous préserva !
Merci du bien fait par la Troupe,
Merci des bons conseils reçus !
Merci de l’amour qui nous groupe
Comme des frères, ô Jésus !
III.
Nos coeurs ont-ils perdu Ta grâce,
Pardonne encore à nos erreurs !
Seigneur, que Ta clémence efface
Les péchés de Tes Eclaireurs !
Et que remplis de l’allégresse
D’avoir répété son serment
Chacun s’endorme en la Promesse
De Te servir sincèrement !
IV.
O Toi, qui veillais Tes Apôtres
Et les «bordais» durant la nuit,
Défends notre camp et les autres
Des rondes du Malin Esprit !
Monte la garde, ô notre Guide,
Afin que nous puissions demain
Ouvrir des yeux toujours limpides
Devant l’Etoile du Matin !
CATHERINE ETAIT CHRETIENNE
I.
Catherine était chrétienne
Bidibim, boum (2x)
Catherine était chrétienne
Son père ne l'était pas !
La la la la la la (2x)
Son père ne m'était pas !
II.
Un jour dans sa prière
Son père la trouva.
III.
Que faites-vous ma fille
Dans cette pose-là?
IV.
Je prie le Dieu mon Père
Que vous n'connaissez pas !
V.
Relevez-vous ma fille
Ou bien l'on vous tuera !
VI.
Tuez-moi donc, mon Père,
Mais je n'faillirai pas !
VII.
Son père dans sa colère
D'un glaive la transperça.
LE CHAMEAU
I.
Perdu dans le désert immense
L’infortuné bédouin
Douin, Douin, Douin, Douin,
N’irait pas loin
Loin, loin, loin, loin
Si la Divine Providence
N’allégeait son fardeau
Deau, deau, deau, deau,
Par un cadeau,
Deau, deau, deau, deau,
Ce cadeau précieux,
Ce précieux cadeau,
De la bonté des Cieux :
C’est le chameau,
Hello, hallo !
Refrain
Halli, hallo,
Et vive le chameau,
Voyez comme il trotte !
Halli, hallo, et vive le chameau,
Voyez comme il est beau !
Himalaya, Java, Calcutta,
Sidiborina, ha !
Himalaya, Java, Calcutta,
Sidiborina, ha !
Aléa léa léa ohé !
Aléa ohé ohé !
II.
Il sait faire la révérence
Et se mettre à genoux
Nous, nous, nous, nous,
Sur les cailloux,
youx, youx, youx, youx,
Et sur son dos quand on s’élance
Aussi léger qu’un daim,
Daim, daim, daim, daim,
Il part soudain
Dain, dain, dain, dain :
Yeux fermés, nez ouverts,
Des sables du désert
Il soulève les flots
De ses sabots,
Halli, hallo !
III.
Grâce à cet animal utile,
Vrai chemin d’fer vivant,
Vant, vant, vant, vant,
De l’Hindoustan,
Tan, tan, tan, tan,
On transporte d’un pas agile
Cachemire et rubis,
Bis, bis, bis, bis,
Et des tapis,
pis, pis, pis, pis,
De la gomme et du thé,
Du sucre et du café,
Du riz, du cacao,
De l’indigo,
Halli, hallo !
CHORAL DES ADIEUX
I.
Faut-il nous quitter sans espoir
Sans espoir de retour ?
Faut-il nous quitter sans espoir
De nous revoir un jour ?
Refrain:
Ce n'est qu'un au revoir, mes frères
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons mes frères
Ce n'est qu'un au revoir !
II.
Formons de nos mains qui s'enlacent
Au déclin de ce jour
Formons de nos mains qui s'enlacent
Une chaîne d'amour
III.
Car Dieu qui nous voit tous ensemble
Et qui va nous bénir
Car Dieu qui nous voit tous ensemble
Saura nous réunir
CHANT DE LA PROMESSE
I.
Devant tous je m’engage
Sur mon honneur
Et je te fais hommage
De moi, Seigneur !
Refrain
Je veux t’aimer sans cesse,
De plus en plus,
Protège ma promesse,
Seigneur Jésus !
II.
Je jure de te suivre
En fier chrétien,
Et tout entier je livre
Mon cœur au tien !
III.
Fidèle à ma Patrie
Je le serai ;
Tous les jours de ma vie,
Je servirai.
IV.
Je suis de tes apôtres
Et chaque jour
Je veux aider les autres
Pour Ton amour.
V.
Ta règle a sur nous-mêmes
Un droit sacré :
Je suis faible, tu m’aimes,
Je maintiendrai.
LA LEGENDE DU FEU
I.
Nos scouts ont mis la flamme
Au bois résineux
Ecoutez chanter l’âme
Qui palpite en eux
Refrain :
Monte flamme légère
Feu de camp si chaud si bon
Dans la plaine ou la clairière
Monte encore et monte donc (bis)
Feu de camp si chaud si bon.
II.
J’étais jadis un prince
Perfide et méchant
Dépeuplant sa province
Des petits enfants.
III.
Me tendit des embûches
L’enchanteur Merlin :
M’enferma dans les bûches
D’un gt rand bois voisin.
IV.
Depuis lors je dévore
Tout autour de moi.
De me voir près d’éclore
On tremble d’effroi.
V.
Mais des arbres qui flambent
Je suis prisonnier
Et mes bras et mes jambes
Brûlent tout entier.
VI.
Ce terrible supplice
M’a bien converti
Et pour votre service
Me suis fait petit.
VII.
Je m’installe en vos chambres
A votre foyer
Pour réchauffer vos membres
Et vous égayer.
VIII.
C’est moi qui vous éclaire
Dans les longues nuits,
Qui vous rend plus légère
La peur ou l’ennui.
IX.
J’entre dans la cuisine
Et fais chanter l’eau,
Et je sors de l’usine
Par le haut fourneau.
X.
Je permets que m’allume
Le pauvre ouvrier
Forgerons sur l’enclume
Ou pâle verrier.
XI.
Les gerbes d’étincelle
Que je sème au vent
Emportent sur leurs ailes
Vos rêves d’enfant.
XII.
Si bien que sur la terre
Les plus malheureux
Sont les traîne-misère
Qui n’ont pas de feu.
XIII.
Ma suprême espérance
Est qu’un jour viendra
Où Dieu plein d’indulgence
Me délivrera.
XIV.
Lors j’irai d’une haleine
Au divin séjour
Retrouver forme humaine
Et brûler... d’amour !
XV.
Mais je sens que j’expire :
Ecoutez la voix
Qui faiblit et soupire
D’un vieux feu de bois.
XVI.
Ma leçon, ma dernière,
Vous dit : «Mes enfants
On ne fait rien sur terre
Qu’en se consumant !»
I.
Le soir étend sur la terre
Son grand manteau de velours,
Et le camp calme et solitaire
Se recueille en ton amour.
Refrain
Ô Vierge de Lumière,
Etoile de nos cœurs,
Entends notre prière,
Notre-Dame des Eclaireurs.
II.
Ô Douce Dame aux Etoiles
Jette un regard sur ce camp
Où tes fils, sous leurs frêles toiles,
Vont dormir en t’invoquant.
Iii.
Ô Toi, plus blanche que neige,
Ravie au mont virginal,
Ta beauté, Vierge, nous protège
Contre la laideur du mal
IV.
Que tes bontés maternelles
Veillent sur ceux qui sont tiens;
Place ici comme sentinelles
Les bons anges nos gardiens.
V.
Comme les tentes légères
Que l’on roule pour partir,
Garde-fous, âmes passagères,
Toujours prêtes à mourir.
VI.
Fais-nous quitter l’existence
Joyeux et pleins d’abandon,
Comme un Scout, après les vacances,
S’en retourne à la maison.
Jacques SEVIN sj
LE PASTOURIAU
I.
Quand j’étais chez mon père
Apprenti pastouriau
Il m’a mis dans les landes
Pour garder les troupiaux
Refrain
Troupiaux, troupiaux, je n’en avais guère
Troupiaux, troupiaux, je n’en avais biaux
II.
Mais je n’en avais guère
Je n’avais qu’trois agneaux
Et le loup de la plaine
M’a mangé le plus beau
III.
Et le loup de la plaine
M’a mangé le plus beau
Mais des os de la bête
Me suis fait un flûtiau
IV.
Ferai danser mes frères
Dessous le gros ormeau
Et mon père et ma mère
Les pieds dans leurs sabots
LE ROCHER DU CONSEIL
Qui donc rassemblera sa sizaine au Rocher la première ?
Qui donc rassemblera sa sizaine au Rocher d'Akéla ?
Frères loups et louvards
Craignons d'être en retard :
La sauterelle saute, bondit, et court,
Légers comme elle courons, courons toujours !
LE ROI ARTHUR
I.
Le roi Arthur avait trois fils,
Quel supplice,
Mais c'était un excellent roi,
Oui ma foi.
Par lui ses fils furent chassés,
Oui chassés à coups de pied,
Pour n'avoir pas voulu chanter !
Refrain
Pour n'avoir pas voulu chanter, ohé (2x)
Par lui ses fils furent chassés,
Oui chassés à coups de pied,
Pour n'avoir pas voulu chanter !
II.
Le premier fils se fit meunier,
C'est bien vrai.
Le second se fit tisserand,
Oui vraiment.
Le troisième se fit commis
D'un tailleur de son pays,
Un rouleau de drap sous son bras...
Refrain
Pour n'avoir pas voulu chanter, ohé (2x)
Le troisième se fit commis
D'un tailleur de son pays,
Un rouleau de drap sous son bras...
III.
Le premier fils volait du blé,
C'est bien laid.
Le second fils volait du fil,
C'est bien vil.
Le troisièm' qu'était tailleur
Volait du drap à toute heure
Pour en habiller ses deux soeurs.
Refrain
Pour n'avoir pas voulu chanter, ohé (2x)
Le troisièm' qu'était tailleur
Volait du drap à toute heure
Pour en habiller ses deux sœurs
IV.
Dans l'écluse le meunier s'noya,
Ha, ha, ha...
A son fil le tiss'rand s'pendit,
Hi, hi, hi...
Et le diabl' mis en furie
Emporta le p'tit commis
Un rouleau de drap sous son bras !
Refrain
Pour n'avoir pas voulu chanter, ohé (2x)
Et le diabl' mis en furie
Emporta le p'tit commis
Un rouleau de drap sous son bras !
La mélodie fait partie du répertoire des "sonneurs" qui accompagnent les chasses à courre.
Il s'agit de la "Sonnerie les Honneurs".
TI YA YA TI
On reprend, chaque couplet un peu plus rapide que le précédent, jusqu'au décrochage ...
I.
Unissons nos voix avant de nous quitter
Je vais parcourir d’autres lieux.
La vie est si douce et le monde si beau,
Entonnons ce dernier adieu !
Refrain
Je vais par le monde emportant ma joie
Et mes chansons pour bagages.
Je chante l’amour et je chante ma foi,
Je pars pour un très long voyage.
II.
Je vais par les villes et je vais par les champs,
Mon coeur ne connaît que l’amour.
Mes poches sont vides et je lance mes chants
Qui sonnent à tous les carrefours.
III.
Et si je rencontre la mort en chemin
Fauchant parmi les rangs des gueux
Oui, je serai prêt comme un vrai paladin,
Je dirai mon dernier adieu.
LE VIEUX CHALET
I.
Là-haut sur la montagne
L'était un vieux chalet.
Murs blancs, toits de bardeaux,
Devant la porte un vieux bouleau.
Là-haut sur la montagne,
L'était un vieux chalet...
II.
Là-haut sur la montagne
Croula le bieux chalet.
La neige et les rochers
S'étaient unis pour l'arracher.
Là-haut sur la montagne
Croula le bieux chalet.
III.
Là-haut sur la montagne
Quand Jean vint au chalet
Pleura de tout son coeur
Sur les débris de son bonheur.
Là-haut sur la montagne
Quand Jean vint au chalet
IV.
Là-haut sur la montagne
L'est un nouveau chalet
Car Jean, d'un coeur vaillant,
L'a reconstruit plus beau qu'avant !
Là-haut sur la montagne
L'est un nouveau chalet
YOUKAIDI
I.
Aux premiers feux du soleil
Youkaïdi, youkaïda,
Tout le camp est en éveil
Youkaïdi aïda
On voit sortir de la tente
La troupe alerte qui chante
Refrain
Youkaïdi, youkaïda,
Youkaïdi aïdi aïda
Youkaïdi, youkaïda,
Youkaïdi aïda
Youkaïdi, youkaïda,
Youkaïdi aïdi aïda
Youkaïdi, youkaïda,
Youkaïdi aïda
II.
Le trappeur en voyageant
Peut arriver sans argent
Toujours joyeux en chemin
Qu'importe le lendemain?
III.
Toujours gai quoi qu'il arrive
Ayons de l'initiative
Sans geindre ni criailler
Nous saurons nous débrouiller
IV.
Qu'il fasse bon qu'il fasse beau temps
Nous sommes toujours contents
Nous vivons de bonne humeur
La devise de l'éclaireur.
I.
Au bois voisin, y a des violettes,
Des aubépines et de l'églantier.
Refrain
J'ai lié ma botte avec un brin de paille,
J'ai lié ma botte avec un brin d'osier
II.
J'y vais le soir pour y fair' la cueillette,
En gros sabots et en tablier.
III.
En revenant j'ai rencontré un prince :
Avec mes fleurs je l'ai salué.
IV.
M'a demandé de venir à la ville
Et d'habiter dans un grand palais.
V.
Mais j'aime mieux la maison de mon père,
Ses aubépines et son églantier !
Texte et musique de Francine COCKENPOT
Adeste fideles
Chant traditionnel de Noël
Adeste fideles læti triumphantes,
Venite, venite in Bethlehem.
Natum videte Regem angelorum.
Venite adoremus (ter)
Dominum.
C'est la cloche du
vieux manoir
Canon
Frère Jacques
Frère Jacques, (bis)
Dormez-vous ? (bis)
Sonnez les matines, (bis)
Ding, ding, dong ! (bis)
Il court, il court, le
furet.
Il court, il court, le furet,
Le furet du bois, Mesdam's,
Il court, il court, le furet,
Le furet du bois joli.
Il est né le divin
enfant
Il est né le divin enfant,
Jouez, hautbois, résonnez musettes,
Il est né le divin enfant
Chantons tous son avènement.
J'ai perdu le Do
J'ai perdu le Do de ma clarinette, (bis)
Ah ! si papa savait ça, tra la la, (bis)
Au pas, camarade ! Au pas, camarade ! Au pas, au pas, au pas ! (bis)
Et ainsi de suite en ajoutant à chaque fois une note de la gamme (mi, fa, sol, la, si).
Trois jeunes
tambours
Trois jeun' tambours s'en revenaient de guerre,
Trois jeun' tambours s'en revenaient de guerre,
Et ri, et ran, ran-pa-ta-plan,
S'en revenaient de guerre.
Lundi matin
Lundi matin, l'emp'reur, sa femme et le p'tit prince
Sont venus chez moi pour me serrer la pince.
Comm' j'étais pas là, le p'tit prince a dit :
« Puisque c'est comme ça nous reviendrons mardi ! »
La bourguignonne
sur l'air « Le petit vin blanc d'Argenteuil »
Madère et Champagne,
Approchez un peu,
Et vous, vins d'Espagne,
Malgré votre feu.
Le jus de l'ivrogne
Réclame ses droits.
Devant la Bourgogne,
Saluez trois fois.
La Trinité se passe,
Mironton, tonton, mirontaine ;
La Trinité se passe,
Malbrough ne revient pas. (ter)
A l'entour de sa tombe,
Mironton, tonton, mirontaine ;
A l'entour de sa tombe
Romarin l'on planta. (ter)
La cérémonie faite,
Mironton, tonton, mirontaine ;
La cérémonie faite,
Chacun s'en fut coucher. (ter)
Napoléon..., (ter)
Marchant du même pas.
Napolé..., (ter)
Marchant du même pas.
Napo..., (ter)
Marchant du même pas.
Na..., (ter)
Marchant du même pas.
..., (ter)
Marchant du même pas.
Ne pleure pas,
Jeannette
Ne pleure pas, Jeannette,
Tralalalalalalalalalalala,
Ne pleure pas, Jeannette,
Nous te marierons,
Nous te marierons.
Peuple fidèle
Peuple fidèle, le Seigneur t'appelle :
C'est fête sur Terre, le Christ est né.
Viens à la crèche voir le Roi du monde.
En lui viens reconnaître (ter)
ton Dieu, ton Sauveur.
Prière scoute
Mélodie de G. S CHINDLER
Harmonisation de Marc de R ANSE
Seigneur Jésus,
apprenez-moi à être généreux,
à Vous servir comme Vous le méritez,
à donner sans compter,
à combattre sans souci des blessures,
à travailler sans chercher le repos,
à me dépenser sans attendre d'autre récompense
que celle de savoir que je fais Votre sainte volonté.
Il était si vorace,
N'a laissé que la piau,
N'a laissé que la queue,
Pour mettre à mon chapiau.
Troupiaux, troupiaux, je n'en avais guère,
Troupiaux, troupiaux, je n'en avais biaux !
Savez-vous planter
les choux ?
Savez-vous planter les choux,
A la mode, à la mode,
Savez-vous planter les choux,
A la mode de chez nous.
(Hugues Aufray)
Refrain :
Bénissez la table
Bénissez-nous Seigneur
Bénissez ce repas
Ceux qui l'ont préparé
Et procurez du pain
À ceux qui en n'ont pas
Ainsi soit-il
Maître du ciel et des saisons
(suite...)
À la meute
Refrain :
(bis)
Le vieux loup est là qui écoute;
Allons crions : De notre mieux!
(bis)
(bis)
(bis)
Sa grosse tête est toute blanche
Et cependant, son oeil sourit.
(bis)
(bis)
(bis)
(bis)
(bis)
Examinons taille et pelage,
Nous ne saurions regarder trop.
(bis)
(bis)
(bis)
Peut-être devront-ils attendre
Avant de chasser avec nous.
(bis)
(bis)
Danse du serpent
Entraînante, sautillante,
C'est la danse, c'est la danse;
Refrain :
Entraînante, sautillante,
C'est la danse du serpent.
L'édit de la jungle
1. Loups, souvenez-vous
2. De votre promesse,
3. De sans cesse
4. Suivre le vieux loup.
Un louveteau chante
1. Loups, souvenez-vous
2. De votre devise
3. De notre mieux
4. Suivons le vieux loup.
9.
Refrain :
Danse du serpent
Entraînante, sautillante,
C'est la danse, c'est la danse;
Refrain :
Entraînante, sautillante,
C'est la danse du serpent.
1. Du serpent qui se déroule,
Et qui s'enroule
En sifflant.
Du serpent qui se faufile
Et qui file
Vivement.
2. À travers lian's et feuilles,
Qui l'accueillent
Bruyamment.
Le long corps de Kaa se dresse
Et fait l'« S »
Brusquement.