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Compléments et Extensions de la Notion d’Intégrale

Toujours à méditer, souvent à adopter :


Il faut que le laboureur travaille avant de recueillir les fruits.

2 Timothée 2 : 6

Pré-requis :
1. Pages de calculs
2. Second degré, Division euclidienne
3. Nombres Complexes et Trigonométrie
4. Dérivation, Primitive et Intégrale
5. Calcul de Limites
6. Fonctions Usuelles : Réciproque des fonctions trigonométriques, Hyperboliques et Réciproques

Résumé du cours :
1. INTEGRATION DE FRACTIONS RATIONNELLES : Décomposition en éléments simples
2. INTEGRATION DE FONCTIONS TRIGONOMETRIQUES : Fractions rationnelles de fonctions trigonométriques :
Méthode de Bioche ou méthode générale – Linéarisations
3. INTEGRALES ABELIENNES : Trois méthodes particulières à retenir
4. INTEGRATION DE FONCTIONS COMPLEXES D’UNE VARIABLE REELLE : La constante complexe se comporte
comme une constante réelle
Compléments et Extensions de la Notion d’Intégrale
COMPLEMENTS ET EXTENSIONS DE ♥(3) Fraction irréductible : est une fraction irréductible ssi
LA NOTION D’INTEGRALE il n’y a aucune simplification possible dans l’écriture de cette
fraction.
I – INTEGRATION DE FRACTIONS RATIONNELLES
I – 1 Décomposition de polynômes en produit de facteurs Théorème fondamental et définitions:
premiers ♥Soit donnée une fraction rationnelle irréductible sans partie
Théorèmes et définitions: entière telle que la décomposition en produit de facteurs
♥(1) Division euclidienne : Soient A(x) et B(x) des polynômes
irréductibles de B(x) est
(i.e. A(x) = a0 + a1x + a2x + ... + anx avec les ai dans ℝ (à
2 n
B(x) = a(x – a1 (x – a2 (x – a3 … (x – ap
coefficients réels) ou dans ℂ (à coefficients complexes). Si an ≠ (x2 + s1x + t1 (x2 + s2x + t2 … (x2 + sqx + tq
0, le degré de A(x), noté d°A(x) est n), alors il existe un unique 2
avec si – 4ti < 0 pour 1 ≤ i ≤ q, alors
couple de polynômes Q(x) et R(x) vérifiant:
A(x) = B(x)Q(x) + R(x) avec R(x) = 0 ou d°R(x) < d°B(x) = + + +…+ + +
On dit que l’on a fait la division euclidienne de A(x) par B(x),
+ +…+ +…+ + +
Q(x) étant le quotient et R(x) le reste de la division euclidienne.
B(x) est un facteur de A(x) (ou A(x) est un multiple de B(x)) si et
seulement si (ssi) R(x) est égal à zéro. +…+ + +
♥(2) Propriété sur les degrés : Si A(x) et B(x) sont deux
polynômes alors on a: + +...+ + +
d°(A(x)B(x)) = d°A(x) + d°B(x)
♥(3) Racines et facteurs : Soient A(x) un polynôme à + +...+ +…+
coefficients réels (resp. complexes) et a un réel (resp. un
complexe) alors, a est une racine de A(x) (i.e. A(a) = 0) ssi x – a + +...+ (1)
est un facteur de A(x).
♥(4) Théorème fondamental : Les seuls polynômes à
coefficients réels irréductibles (que l’on ne peut plus décomposer Exemples :
en produit de facteurs (non constants)) sont les polynômes de ♥(1) Forme générale : Le second membre de l’équation (1) est
degré 1 et les polynômes de degré 2 dont le discriminant est appelé forme générale de la décomposition en éléments simples
négatif. de . Pour avoir la décomposition de en éléments
♥(5) Polynômes réels à racines complexes : Si P(x)est un
simples, il faut déterminer les coefficients aij, bij et cij
polynôme à coefficients réels et c ∈ ℂ, alors
(2) Les termes de la forme sont appelés éléments simples
* Si c est une racine de P(x), alors est aussi une racine de P(x).
* (x – c)(x – ) est un polynôme à coefficients réels dont le de première espèce.
discriminant est négatif. (3) Les termes de la forme sont appelés éléments
Exemples: Décomposer en produit de facteurs premiers les simples de deuxième espèce.
polynômes suivants: ♥(4) Méthode générale de détermination des coefficients : Les
2 4
a/ P1(x) = 4x – 1 b/ P2(x) = x – 16
6
c/ P3(x) = x – 1 termes aij, bij et cij sont des constantes à déterminer.
3 2 4 3
d/ P4(x) = x – 6x + 11x – 6 e/ P5(x) = x + 4x + 4x – 1
2 Une méthode générale (mais souvent très longue) permettant de
4 3 2 déterminer ces constantes et de mettre le second membre de
f/ P6(x) = x – 2x + 3x – 2x + 2. Calculer P6(i).
l’équation (1) au même dénominateur puis d’identifier les deux
membres de l’équation
Pour factoriser un polynôme du second degré, on peut utiliser le
discriminant, autrement, on peut utiliser les identités
Méthodes pratiques de décomposition en éléments simples
remarquables, rechercher des racines évidentes …
♥(1) Dans , si d°A(x) ≥ d°B(x) on fait une division
I – 2 Décomposition en éléments simples
euclidienne pour isoler la partie entière de . Si nécessaire on
Définitions:
♥(1) Fraction rationnelle : On appelle fraction rationnelle le rend aussi après la fraction irréductible.
quotient de deux polynômes, par exemple : ♥(2) Pour déterminer dans l’équation (1) le terme on
multiplie les deux membres de l’équation par (x – ai et on
détermine les limites des deux membres en ai.
♥(2) Partie entière : Soit une fraction rationnelle. Si ♥(3) Pour déterminer dans l’équation (1) les termes et
on multiplie les deux membres de l’équation par (x2 + six + ti
d°A(x) ≥ d°B(x), par division euclidienne de A(x) par B(x), on
et on détermine les limites des deux membres en l’une des deux
aura
racines (complexes) de (x2 + six + ti .
= Q(x) + avec R(x) = 0 ou d°R(x) < d°B(x) (4) On peut aussi trouver des relations entre les termes aij, bij et
k
cij en multipliant les deux membres de l’équation (1) par x pour
Q(x) est appelée partie entière de , on remarque que c’est un des valeurs adéquates de k et en calculant les limites à l’infini.
polynôme.
Si d°A(x) < d°B(x), la partie entière de est nulle. Exemples : Décomposer en éléments simples les fractions
rationnelles suivantes
a/ = b/ = c/ =
Compléments et Extensions de la Notion d’Intégrale
5 3 4
a/ J5 = cos xdx b/ I3 = sin xdx c/ I4 = sin xdx
II – INTEGRATION DE FONCTIONS
TRIGONOMETRIQUES 5 3
d/ I = cos x sin xdx
II – 1 Primitives de la forme R(cosx, sinx)dx, R fraction
rationnelle III – INTEGRALES ABELIENNES
II – 1 – 1 Méthode générale Les intégrales abéliennes (introduites par Niels Abel) sont des
♥ Pour intégrer ou déterminer des primitives de la forme primitives faisant intervenir des radicaux.
On va voir quelques cas particuliers importants.
R(cosx, sinx)dx, tel que R désigne une fraction rationnelle,
III – 1 Primitives de la forme I =
la méthode générale est de faire le changement de variable
(1) Si a = 0, on peut faire le changement de variable t = bx + c et
t = tan( ), et alors on a: 2
2
on obtient I = bx c
sinx = ; cosx = ; tanx = et = (1 + t ). b
2
On aura alors à intégrer une fraction rationnelle en t, après avoir (2) Si a ≠ 0, on met ax + bx + c sous forme canonique:
probablement, décomposé en éléments simples. 2 b 2 b 2 4ac
ax + bx + c = a[(x + ) – ]
2a 4a 2
Exemples: Déterminer les primitives suivantes : On est alors ramené à l’un des trois cas suivants, selon le signe
a/ b/ b 2 4ac
de a et de .
4a 2
♥ II – 1 – 2 Quelques méthodes particulières : Règles de (Dans tous les cas, k désigne un réel strictement positif.)
Bioche du u
La méthode précédente conduit parfois à de longs calculs. On ♥J = = arcsin( ) + c si -k ≤ u ≤ k
pourra tenir compte des remarques suivantes (règles de Bioche) k2 u2 k
pour choisir des changements de variables parfois mieux adaptés. du u
(1) Si R(cosx, sinx)dx est invariant par le changement de x en –x, ♥K = = argsh( ) + c si u ∈ ℝ
k2 u2 k
on pourra poser t = cosx.
(2) Si R(cosx, sinx)dx est invariant par le changement de x en du u
♥L = = argch( ) + c si u > k
π – x, on pourra poser t = sinx. k
u2 k2
(3) Si R(cosx, sinx)dx est invariant par le changement de x en
π + x, on pourra poser t = tanx = ln│u + u 2 k 2 │ + c si u < -k ou u > k

Exemples: Déterminer les primitives suivantes : Exemples: Déterminer les primitives suivantes
a/ ; b/ ; c/ dx dx
a/ I = b/ I =
- 4x2 2x 1 x2 12x 48
dx
II – 2 Primitives de la forme cospxcosqxdx ; c/ I =
2
x x-2
cospxsinqxdx ou sinpxsinqxdx
♥On intègre après avoir linéarisé à l’aide des relations : III – 2 Primitives de la forme I = ax 2 bx cdx
sinasinb = [cos(a – b) – cos(a + b)] (1) Si a = 0, on peut faire le changement de variable t = bx + c et
cosacosb = [cos(a – b) + cos(a + b)] 2
on obtient I = (bx c) bx c
3b
sinacosb = [sin(a + b) + sin(a – b)] 2
(2) Si a ≠ 0, on met ax + bx + c sous forme canonique:
2 b 2 b 2 4ac
Exemples: Déterminer les primitives suivantes: ax + bx + c = a[(x + ) – ]
2a 4a 2
a/ I = sin3xcos2xdx b/ I = sinxsin3xdx
On est alors ramené à l’un des trois cas suivants, selon le signe
c/ I =
2
cos xdx b 2 4ac
de a et de . (Dans tous les cas, k désigne un réel
n
4a 2
II – 3 Primitives de la forme In = sin pxdx strictement positif.)
1 2 u
et Jn =
n
cos pdx ♥I = k 2 u 2 du = (u k 2 u 2 + k arcsin( )) + c
2 k
♥On intègre après avoir linéarisé à l’aide des formules d’Euler si -k ≤ u ≤ k (on peut faire le changement de variable u = ksint)
n n
cos x et sin x. 1 2 u
♥J = k 2 u 2 du = (u k 2 u 2 + k argsh( )) + c
2 k
remarques
k ∈ ℝ(on peut faire le changement de variable u = ksht)
♥Ne pas oublier les résultats suivants: cos’x = -sinx ;
sin’x = cosx 1 2 u
♥K = u 2 k 2 du = (u u 2 k 2 – k argch( ) + c si u ≥ k
2 k
Exemples: Déterminer les primitives suivantes:
Exemples: Déterminer les primitives suivantes
Compléments et Extensions de la Notion d’Intégrale
1 1
a/ I = (5 3x 2 ) 2 dx b/ I = (x2 24x 244) 2 dx Propriétés:
(1) Z(t) = F(t) + iG(t) est une primitive de z(t) = f(t) + ig(t) sur I
ssi F (resp. G) est une primitive de f (resp. g) sur I.
dx
III – 3 Primitives de la forme I = (2) Si Z(t) est une primitive de z(t) sur I, toutes les primitives de
(px q) ax2 bx c z(t) sur I sont de la forme Z(t) + k, k constante complexe
♥On se ramène au cas III – 1 en faisant le changement de arbitraire.
♥(3) Toutes les règles de calcul de primitives de fonctions réelles
1
variable t = d’une variable réelle sont aussi valables pour les fonctions
px q
complexes d’une variable réelle, les constantes complexes se
comportant simplement comme des constantes réelles.
dx
Exemples: Déterminer la primitive suivante I=
x x2 1 Intégrale:
Soit z(t) = f(t) + ig(t) (f, g fonctions réelles) une fonction
Remarque: Une méthode plus générale sera vue dans l’exo13 complexe de la variable réelle t définie sur l’intervalle I de ℝ,
Z(t) = F(t) + iG(t) une primitive de z(t) et a, b ∈ I.
IV – INTEGRATION DE FONCTIONS COMPLEXES On appelle intégrale de la fonction z(t) de a à b le nombre
D’UNE VARIABLE REELLE complexe défini et noté comme suit:
IV – 1 Fonctions complexes d’une variable réelle : Forme b
algébrique – continuité - dérivabilité z(t)dt = Z(t) b = Z(b) – Z(a)
a
Définitions
a
(1) Fonction complexe d’une variable réelle : Une fonction z(t)
= F(t) b b
de la variable réelle t est à valeurs complexes ssi il existe deux a+ i G(t) a
fonctions réelles f(t) et g(t) de la variable réelle t telles que:
z(t) = f(t) + ig(t) Exemples:
On dit que c’est la forme algébrique de la fonction z(t). 1°/ Déterminer une primitive de f(t) = e e , a, b ∈ ℝ.
at ibt
(2) Soit z(t) = f(t) + ig(t) (f, g étant des fonctions réelles) une
fonction complexe d’une variable réelle, définie sur un intervalle 2°/ Calculer e dt, w ∈ ℝ.
iwt

I de ℝ, a ∈ I. 0
* La fonction z admet pour limite en a le nombre complexe
A + iB (A, B ∈ ℝ) ssi f et g admettent respectivement pour QCM
limite en a les nombres A et B. Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Pour chaque
* La fonction z est continue en a ssi les fonctions f et g sont question, trois ou quatre réponses sont proposées. Une seule des
continues en a. réponses proposées est exacte. On justifiera les réponses.
* La fonction z est continue sur I ssi la fonction z est continue en π
2
tous points de I ssi les fonctions f et g sont continues en tous
1°/ cos3tdt est égale à
points de I.
0
* La fonction z est dérivable en a ssi les fonctions f et g sont
dérivables en a, et on a alors: a/ 1 □ b/ 2□ c/ 4□ d/ autre □
z’(a) = f ’(a) + ig’(a) 3 3 3
* La fonction z est dérivable sur I ssi la fonction z est dérivable 2°/ f(x) = 1 n’est pas égal à
en tous points de I ssi les fonctions f et g sont dérivables en tous (x 4 1)
points de I. 1 1 + 1 – 1
a/ □ b/ □
(x 1)(x 1)(x2 1) 4(x 1) 4(x 1) 2(x 2 1)
Exemples:
1 – 1 – 1 □ d/ autre □
Soit a = a1 + i a2 a1, a2 ∈ ℝ. Exprimer les fonctions c/
4(x 1) 4(x 1) 2(x 2 1)
n at
f(t) = at , g(t) = e et fg(t) sous forme algébrique puis calculer
leur dérivée.
Comparer avec les résultats que l’on a en appliquant les règles de ex
3°/ dx est égale à
calcul valables pour les fonctions réelles d’une variable réelle. e2ix

♥Propriété: (1 2i)ex (1 2i)ex 2ie x


Toutes les règles de dérivation de fonctions réelles d’une a/ + k□ b / + k□ c / + k □ d/ autre □
5e2ix 5e2ix 5e2ix
variable réelle sont aussi valables pour les fonctions complexes
4°/ Avec les règles de Bioche, on peut calculer
d’une variable réelle, les constantes complexes se comportant
simplement comme des constantes réelles. dx
I= en posant
cosx(1 sin x)
IV – 2 Primitive et intégrale de fonctions complexes d’une a/ u = cosx □ b/ u = sinx □ c/ u = tanx □ d/ autre □
variable réelle 5°/ La forme à priori de la décomposition en éléments simples de
Définition: 1
est
Soit z(t) = f(t) + ig(t) (f, g fonctions réelles) une fonction (1 x 2 )(1 x)
complexe de la variable réelle t définie sur l’intervalle I de ℝ. a b c a b c
On appelle primitive de z(t) sur I toute fonction Z(t) dérivable a/ + + □ b/ + + □
1 x 1 x (1 x) 2 1 x 1 x (1 x) 2
sur I telle que pour tout t de I Z ‘(t) = z(t).
Compléments et Extensions de la Notion d’Intégrale
a bx c π
c/ + □ d/ autre □ 2
1 x 2 dx
1 x
12°/ Avec les règles de Bioche, on peut calculer I = en posant
6°/ De ce qui précède, on déduit que I est égale à sinx
π
1 1 1 3
a/ – ln(1 – sinx) + arctan(sinx) + (1 + sin2x) + k □
2 2 4 a/ u = cosx □ b/ u = sinx □ c/ u = tanx □ d/ autre □
1 1 1 π
b/ – ln(1 – sinx) + ln(1 + sinx) – +k□
4 4 2(1 sinx) 2
dx
13°/ est égale à
1 1 1 sinx
c/ – ln(1 + cosx) + ln(1 – cosx) – +k□ π
4 4 2(1 cosx) 3
d/ autre □ 1
π
a/ ln(3) □ b/ ln(3) □ c/ 2ln(3) □ d/ autre □
2
2 π
dx
7°/ est égale à 6
sinx dx
π 14°/ Avec les règles de Bioche, on peut calculer I = en posant
3 cosx
0
1 1
2 2 a/ u = cosx □ b/ u = sinx □ c/ u = tanx □ d/ autre □
du du π
a/ □ b/ □ c/ autre □
2
0
1 u 0
u(1 u 2 ) 6
dx
15°/ est égale à
cosx
0
dx
8°/ En faisant le changement de variable u = x2, est égale 1
a/ ln(3) □ b/ ln(3) □ c/ 2ln(3) □ d/ autre □
x 1 x4 2
à ex
1 1 1 1 16°/ dx est égale à
a/ – argsh( ) + k □ b/ – argch( )+k□ eix
2
2 x 2 x2
(1 i)e x (1 2i)ex 2ie x
c/ autre □ a/ + k□ b / + k□ c / + k□ d/ autre □
9°/ Avec les règles de Bioche, on peut calculer 2eix 5e2ix 5e2ix
dx
I= en posant
sinx(1 cosx)
a/ u = cosx □ b/ u = sinx □ c/ u = tanx □ d/ autre □
2°/ La forme à priori de la décomposition en éléments simples de
1
est
2
(1 x )(1 x)
a b c a b c
a/ + + □ b/ + + □
1 x 1 x (1 x) 2 1 x 1 x (1 x) 2
a bx c
c/ + □ d/ autre □
1 x 1 x2
10°/ De tout ce qui précède, on déduit que I est égale à
1 1 1
a/ – ln(1 – sinx) + arctan(sinx) + (1 + sin2x) + k □
2 2 4
1 1 1
b/ – ln(1 – sinx) + ln(1 + sinx) – +k□
4 4 2(1 sinx)
1 1 1
c/ – ln(1 + cosx) + ln(1 – cosx) – +k□
4 4 2(1 cosx)
d/ autre □
dx
11°/ En faisant le changement de variable u = x2, est
x 1 x4
égale à
1 1 1 1
a/ – argsh( ) + k □ b/ – argch( )+k□
2
2 x 2 x2
c/ autre □

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