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Correction de Droit des libertés

fondamentales session normale 2020-


2021
Pour la *correction de droit des libertés fondamentales*

Je peux apporter comme résultat ces approches de solutions

Les sujets étaient respectivement

*principe d'égalité entre l'homme et la femme


a travers 4 thématiques de la cour
constitutionnelle*
*La peine de mort au Bénin*
*L’Etat Viol t'il le droit à l'eau potable ?*
NB: il est conseillé et je vous conseille de ne plus essayer de faire le plan dans
ces genres de sujets( *preuve palpable j'ai pas fais de plan en session normale
mais j'ai fais le devoir en bloc sans plan et j'ai eu la moyenne,ce que je veux
vous faire savoir là en droit des libertés fondamentales cherchez comment
rédiger sans plan sinon les plans que vous allez trouver ne vont pas concorder
avec les sujets... Si possible je ferai un autre audio sur comment répondre aux
sujets en dlf* )
================≠===

*Venons en aux sujets*

👉 *La peine de mort au Bénin*


(Concernant la peine de mort si vous voulez vous pouvez écrire exactement ceci en session
de rattrapage vous aurez la moyenne puisque c'est exactement ce que j'ai écrit pendant
les compositions soyez rassuré* )
*Rédaction*

Le droit a la vie est un droit inhérent à chaque personne.Dès sa naissance l'individu est
considéré comme un être vivant qui doit être protégé.En éffet,le caractère humain implique
que la dignité de la personne doit être respecté ce qui passe avant tout par la protection de
son droit de vivre. Nul ne peut être condamné à mort ou exécuté par l'État.Sans le droit a la
vie il n'est pas possible de jouir des autres droit de l'homme.De ce fait la peine de mort est
une violations des droits de l'homme.La peine de mort ou la peine capitale est une peine
prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant été coupable d'une faute qualifiée
de crime capital. Son abolition est fondée sur un certains nombre de dispositions, *l'article8
alinéa 1 de la constitution béninoise,de même l'article15 de la même constitution* ainsi que
que *l'article 4 de la charte africaine des droits de l'homme et des peuples*, *le protocole
facultatif se rapportant au pacte international relatif au droits civils et politiques*. Il se pose
alors la question de savoir *comment a été abolie la peine de mort au Bénin ?*

Cette peine est désormais rangée au placard.Le Bénin a aboli la peine de mort.Cette abolition
n'a pas été une lettre à la poste.Elle a été un parcours de combattant.D'abord il l'a aboli en
adhérant le *5 juillet 2012* au *le protocole facultatif se rapportant au pacte international
relatif au droits civils et politiques* visant à abolir la peine de mort qui entrera en vigueur le
*05 octobre 2012* au Bénin.La cour constitutionnelle du Bénin dans sa décision *DCC 12-153
du 4 août 2012 avait jugé qu'aucune disposition légale ne doit plus fait état de peine de
mort.Dans la décision *DCC 16-020 du 21 janvier 2016* la cour constitutionnelle affirme
*que l'entrée en vigueur du *le protocole facultatif se rapportant au pacte international
relatif au droits civils et politiques* rend inopérante toute décision légale prévoyant comme
sanction la peine de mort*.Mieux le *le 15 février 2018* , le Président de la République
béninoise a communié par décret les peines des derniers condamnés à mort au Bénin au
nombre de *14* en *peine de réclusion criminelle à perpétuité*

Enfin le *5 juin 2018* le parlement adopte la nouvelle *loi n°18-16 du 28 décembre 2018*
portant code pénal béninois ne prévoyant plus la peine de mort au Bénin.
Par ailleurs la révision constitutionnelle du*1er Novembre 2019* constitutionnalise
l'abolition de la peine de capitale ou peine de mort précisément en son article *15 alinéa 2*
====================

👉 *L’Etat Viol t'il le droit à l'eau potable ?*


Le droit à l'eau potable est un droit indéniable,très important quant à
l'épanouissement de l'homme.Ce droit qui constitue une déclinaison des
*droits économiques et sociaux*.
Assurer le libre accès à l'eau potable à la population s'impose à l'État et
conscient de celà et consistant l'une de ses fonctions régaliennes,se voit
obligé d'utiliser ses prérogatives qui lui sont assignées pour y arriver.Ce qui
évince la population et qui amène une Dame dénommée Fidélia A.APOVO qui
saisie la cour constitutionnelle le *15 juillet 2019* par une plainte contre le
Gouvernement Béninois pour *violation des droits fondamentaux de l'homme
en particulier le droit les droits de l'homme a l'alimentation et à l'Eau* la
requérante développait que le coût des denrées alimentaires ne fait
qu'augmenter et que la goûte d'eau qui fait déborder le vase est la décision
du Gouvernement du *lundi 06 juillet 2009* qui porte sur une augmentation
de l'eau et l'électricité. Pour elle se basant sur certains chiffres qui montrent
l'état de pauvreté d'un grand nombre de personnes au Bénin,constatant que
plus de la moitié n'a pas accès à l'eau potable compte tenu de l'absence ou de
l'éloignement des sources d'approvisionnement dans certaines localités et le
Gouvernement << *en prenant cette décision d'augmentation du prix de l'eau,
celui ci fuit ses obligations de respecter,de protéger et de donner les éffets qui
résultent des droits à l'alimentation et à l'eau potable et aggrave la pauvreté
et la précarité dans laquelle vivait la population* >> donc en s'appuyant sur
les instruments internationaux et sur la constitution béninoise elle demande a
la cour constitutionnelle de << *condamner le Gouvernement Béninois pour
violation des droits fondamentaux de l'homme à l'alimentation et à l'eau* >>.
Il est arrivé que pour débouter des requérants qui voulaient que l'Etat
béninois soit condamné pour non respect de certains droits économiques et
sociaux,la cour constitutionnelle se voit appuyé sur la nature spécifique
desdits droits.
C'est en ce sens qu'il convient de se demander *si l'État Viol t'il le droit à l'eau
potable ?*
Il sied de se référer au prononcé de la cour constitutionnelle sur cette affaire.
Après avoir adressé cette requête au Gouvernement pour avoir ses
commentaires,la cour constitutionnelle conclura par *décision DCC 12-124 du
07 juin 2012 que << *le droit du citoyen à l'eau potable fait partie de ses
droits fondamentaux ; il s'agit d'un droit-créance opposable à l'État* ;
toutefois *l'État ne peut couvrir l'intégralité d'un tel droit que dans la
progressivité d'une Politique donnée comprenant une contrepartie à
supporter par tout bénéficiaire* ; qu'il résulte des éléments du dossier que
contrairement aux *allégations de la requérante* le Gouvernement a engagé
des actions pour alimenter progressivement la majorité de la population en
eau potable ; que les prix de cession de l'eau potable tels que fixés par le
Gouvernement ( *198f/M3 pour le branchement individuel et 330f/M3 pour
l'accès collectif* ) sont déjà en deçà du coût de revient du mètre cube d'eau
traitée ( *473m3* ) *preuve de la détermination du Gouvernement à
permettre à la majorité de la population l'accès à l'eau potable que dès lors
on ne saurait dès lors conclure à une violation des droits de l'homme, à
l'alimentation et à l'eau potable* >>
À l'esprit et a la lettre de cette décision il convient de remarquer que l'État
n'a su qu'utiliser les moyens qu'il dispose pour pouvoir assurer à la population
l'accès à l'eau potable en augmentant les prix et même en deçà des coûts de
revient de l'Eau.
De tout ce qui précède, il est a constaté que *l'État ne viol pas l'accès à l'eau
potable*

*Ceci est ma rédaction,vos apports et corrections seront les bienvenus*


De toute façon le troisième sujet est assez long que je ne saurai écrit tout,il
me conviendra juste vous faire le reste en audio sur WhatsApp dans les
groupes.. si je peux écrire aussi je le ferai et je vous dirai en aussi en audio
comment rédiger facilement les devoirs en *dlf*

Surtout remercier le respo 𝐁𝐞𝐧𝐨î𝐭 𝐒𝐀𝐌𝐀𝐃𝐎𝐑𝐈 l'intercession qu'il fait toujours pour vous au près de
moi pour que vous ayez ces informations, *soutenez le et mettez nous au centre de vos prières*

*Merci beaucoup et à tout à l'heure*

*NUL N'A LE MONOPOLE DU SAVOIR TOUT EST DISCUTABLE TOUT EST CRITIQUABLE*

#𝐁𝐞𝐧𝐨î𝐭 𝐒𝐀𝐌𝐀𝐃𝐎𝐑𝐈

#𝑫𝒂𝒓𝒍𝒆𝒙 𝑩𝑨𝑫𝑬

𝑨𝒍𝒊𝒂𝒔 𝒍'𝑬𝒂𝒖 𝑬𝒏 𝑷𝒐𝒖𝒅𝒓𝒆Pour la *correction de droit des libertés fondamentales*

Je peux apporter comme résultat ces approches de solutions

Les sujets étaient respectivement

*principe d'égalité entre l'homme et la femme a travers 4 thématiques de la cour constitutionnelle*

*La peine de mort au Bénin*

*Le droit Viol t'il le droit à l'eau potable ?*

NB: il est conseillé et je vous conseille de ne plus essayer de faire le plan dans ces genres de sujets(
*preuve palpable j'ai pas fais de plan en session normale mais j'ai fais le devoir en bloc sans plan et
j'ai eu la moyenne,ce que je veux vous faire savoir là en droit des libertés fondamentales cherchez
comment rédiger sans plan sinon les plans que vous allez trouver ne vont pas concorder avec les
sujets... Si possible je ferai un autre audio sur comment répondre aux sujets en dlf* )

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*Venons en aux sujets*

*La peine de mort au Bénin*

(Concernant la peine de mort si vous voulez vous pouvez écrire exactement ceci en session de
rattrapage vous aurez la moyenne puisque c'est exactement ce que j'ai écrit pendant les
compositions soyez rassuré* )

*Rédaction*

Le droit a la vie est un droit inhérent à chaque personne.Dès sa naissance l'individu est considéré
comme un être vivant qui doit être protégé.En éffet,le caractère humain implique que la dignité de la
personne doit être respecté ce qui passe avant tout par la protection de son droit de vivre. Nul ne
peut être condamné à mort ou exécuté par l'État.Sans le droit a la vie il n'est pas possible de jouir des
autres droit de l'homme.De ce fait la peine de mort est une violations des droits de l'homme.La peine
de mort ou la peine capitale est une peine prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant
été coupable d'une faute qualifiée de crime capital. Son abolition est fondée sur un certains nombre
de dispositions, *l'article8 alinéa 1 de la constitution béninoise,de même l'article15 de la même
constitution* ainsi que que *l'article 4 de la charte africaine des droits de l'homme et des peuples*,
*le protocole facultatif se rapportant au pacte international relatif au droits civils et politiques*. Il se
pose alors la question de savoir *comment a été abolie la peine de mort au Bénin ?*

Cette peine est désormais rangée au placard.Le Bénin a aboli la peine de mort.Cette abolition n'a pas
été une lettre à la poste.Elle a été un parcours de combattant.D'abord il l'a aboli en adhérant le *5
juillet 2012* au *le protocole facultatif se rapportant au pacte international relatif au droits civils et
politiques* visant à abolir la peine de mort qui entrera en vigueur le *05 octobre 2012* au Bénin.La
cour constitutionnelle du Bénin dans sa décision *DCC 12-153 du 4 août 2012 avait jugé qu'aucune
disposition légale ne doit plus fait état de peine de mort.Dans la décision *DCC 16-020 du 21 janvier
2016* la cour constitutionnelle affirme *que l'entrée en vigueur du *le protocole facultatif se
rapportant au pacte international relatif au droits civils et politiques* rend inopérante toute décision
légale prévoyant comme sanction la peine de mort*.Mieux le *le 15 février 2018* , le Président de la
République béninoise a communié par décret les peines des derniers condamnés à mort au Bénin au
nombre de *14* en *peine de réclusion criminelle à perpétuité*

Enfin le *5 juin 2018* le parlement adopte la nouvelle *loi n°18-16 du 28 décembre 2018* portant
code pénal béninois ne prévoyant plus la peine de mort au Bénin.

Par ailleurs la révision constitutionnelle du*1er Novembre 2019* constitutionnalise l'abolition de la


peine de capitale ou peine de mort précisément en son article *15 alinéa 2*

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*Le droit Viol t'il le droit à l'eau potable ?*

Le droit à l'eau potable est un droit indéniable,très important quant à l'épanouissement de


l'homme.Ce droit qui constitue une déclinaison des *droits économiques et sociaux*.
Assurer le libre accès à l'eau potable à la population s'impose à l'État et conscient de celà et
consistant l'une de ses fonctions régaliennes,se voit obligé d'utiliser ses prérogatives qui lui sont
assignées pour y arriver.Ce qui évince la population et qui amène une Dame dénommée Fidélia
A.APOVO qui saisie la cour constitutionnelle le *15 juillet 2019* par une plainte contre le
Gouvernement Béninois pour *violation des droits fondamentaux de l'homme en particulier le droit
les droits de l'homme a l'alimentation et à l'Eau* la requérante développait que le coût des denrées
alimentaires ne fait qu'augmenter et que la goûte d'eau qui fait déborder le vase est la décision du
Gouvernement du *lundi 06 juillet 2009* qui porte sur une augmentation de l'eau et l'électricité.
Pour elle se basant sur certains chiffres qui montrent l'état de pauvreté d'un grand nombre de
personnes au Bénin,constatant que plus de la moitié n'a pas accès à l'eau potable compte tenu de
l'absence ou de l'éloignement des sources d'approvisionnement dans certaines localités et le
Gouvernement << *en prenant cette décision d'augmentation du prix de l'eau, celui ci fuit ses
obligations de respecter,de protéger et de donner les éffets qui résultent des droits à l'alimentation
et à l'eau potable et aggrave la pauvreté et la précarité dans laquelle vivait la population* >> donc en
s'appuyant sur les instruments internationaux et sur la constitution béninoise elle demande a la cour
constitutionnelle de << *condamner le Gouvernement Béninois pour violation des droits
fondamentaux de l'homme à l'alimentation et à l'eau* >>. Il est arrivé que pour débouter des
requérants qui voulaient que l'Etat béninois soit condamné pour non respect de certains droits
économiques et sociaux,la cour constitutionnelle se voit appuyé sur la nature spécifique desdits
droits.

C'est en ce sens qu'il convient de se demander *si l'État Viol t'il le droit à l'eau potable ?*

Il sied de se référer au prononcé de la cour constitutionnelle sur cette affaire. Après avoir adressé
cette requête au Gouvernement pour avoir ses commentaires,la cour constitutionnelle conclura par
*décision DCC 12-124 du 07 juin 2012 que << *le droit du citoyen à l'eau potable fait partie de ses
droits fondamentaux ; il s'agit d'un droit-créance opposable à l'État* ; toutefois *l'État ne peut
couvrir l'intégralité d'un tel droit que dans la progressivité d'une Politique donnée comprenant une
contrepartie à supporter par tout bénéficiaire* ; qu'il résulte des éléments du dossier que
contrairement aux *allégations de la requérante* le Gouvernement a engagé des actions pour
alimenter progressivement la majorité de la population en eau potable ; que les prix de cession de
l'eau potable tels que fixés par le Gouvernement ( *198f/M3 pour le branchement individuel et
330f/M3 pour l'accès collectif* ) sont déjà en deçà du coût de revient du mètre cube d'eau traitée (
*473m3* ) *preuve de la détermination du Gouvernement à permettre à la majorité de la population
l'accès à l'eau potable que dès lors on ne saurait dès lors conclure à une violation des droits de
l'homme, à l'alimentation et à l'eau potable* >>

À l'esprit et a la lettre de cette décision il convient de remarquer que l'État n'a su qu'utiliser les
moyens qu'il dispose pour pouvoir assurer à la population l'accès à l'eau potable en augmentant les
prix et même en deçà des coûts de revient de l'Eau.

De tout ce qui précède, il est a constaté que *l'État ne viol pas l'accès à l'eau potable*

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👉 *principe d’égalité entre l’homme et la femme a travers 4 thématiques de la cour


constitutionnelle*

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Le principe d’égalité s’analyse au niveau de l’égalité entre hommes et
la femme. *l’égalité entre l’homme et la femme s’appréhende au
prisme autour de la question sur la polygamie,ensuite de
l’adultère,viendra ensuite la décision sur la décision sur la grossesse
de la femme enceinte dans l’armée*

*la décision sur la polygamie*


La haute juridiction constitutionnelle a en effet considéré dans une
décision du 23 décembre 2002 dans sa décision (dcc 02-144)que le
fait que le code des personnes et de la famille ait prévu la possibilité
pour l’homme d’avoir plusieurs épouses alors qu’une telle possibilité
n’était pas reconnue a la femme que les articles prévoyant cela dans
le cbpf béninois étaient contraire à l’article 26 de la constitution
consacrant au bénin l’égalité de tous devant la loi et en particulier en
droit de l’homme et de la femme.mais aussi de l’article 18 alinea 3de
la charte africaine des droits de l’homme et des peuples.

*la décision sur l’adultère*


Madame nelly houssou et monsieur akambi kamarou ……. Ceux qui
ont le document de dlf peuvent se référer à ces pages (13 et 14 ). Ce
qu’il faut savoir ici est que après avoir saisi la cour constitutionnelle
pour l’adultère d’une femme,les avocats de cette dernière ont soulevé
le fait les articles 336 a 339 de l’ancien code pénal prévoyant
l’adultère violent l’article 26 de la constitution ainsi que les articles
2et3 de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Alors
par sa décision dcc 09-081 du 31 juillet 2009 que je vais paraphraser (
il était dans les temps passés que pour sanctionner l’adultère d’une
femme il suffit qu’on la retrouve quelque soit le lieu avec un homme
en plein ébat sexuel et que l’homme pour être sanctionné il faut juste
le retrouver sur le lit conjugal pour être réprimé)je vais vous exhorté a
bien lire le document pour bien voir la décision de la cc.
Pour la cour <<l’incrimination ou la non incrimination de l’adultère ne
sont pas contraires à la constitution. Nonobstant que c’est la
différence de traitement de l’adultère entre l’homme et la femme qui
est contraire aux articles 26 de la constitution,2et3 de la charte
africaine des droits de l’homme et des peuples>>. C’est pour cette
raison que les articles 336 a 339 du code pénal ancien ont été
déclarés contraires à la constitution et supprimés du nouveau code
pénal béninois en prévoyant que l’effet attaché à l’adultère sera juste
le *divorce*.
==========≠=========
Pour la décision sur la nationalité et celle de la décision sur la
grossesse de la femme enceinte dans l’armée confère les pages
(14,15,16,17) du document vous allez bien comprendre.
*pour résumer celle de la grossesse de la femme enceinte dans
l’armée*

Par la décision dcc 19-271 du 22 août 2019,la cour constitutionnelle


répond en annulant le décret n°79-287 du 30 octobre 1979,et que les
articles résultants de celui-ci sont sont contraires à l’article 26 de la
constitution qui fait prescription a la charge de l’état l’obligation de
protéger la famille et particulièrement la mère et l’enfant.). pour
expliquer le décret disait en (ses)trois articles (2,3,4) que pour être
apte dans l’armée que les jeunes gens et jeunes filles doivent attendre
3 ans pour les garçons et 5 ans avant d’enfanter et ou contracter
mariage. Et pour les femmes elles doivent encore demander la
permission si je comprends bien avant de contracter mariage ou pour
enfanter sous peine d’être radier c’est ce qui arrivera à une jeune fille
et quand elle a saisie la cc celle-ci va déclarer les articles de ce décret
nuls et contraires à l’article 26 constitution. (lisez bien le document
pour bien comprendre)
*Pour la révision*
Je vous propose ces notions
Celle que je vais citer constituent *les droits civils et politiques*
*le droit a l’expression*
*la liberté d’aller et venir*
*le droit a la vie et la question de la peine de mort*
*le droit a la sûreté et la garde a vue*
*la liberté d’association

*dans les droits économiques et sociaux*


*le droit au travail*
*le droit a la juste rémunération*

➢ *Ceci est ma rédaction,vos apports et corrections seront les bienvenus*


➢ De toute façon le troisième sujet est assez long que je ne saurai écrit
tout,il me conviendra juste vous faire le reste en audio sur WhatsApp
dans les groupes.. si je peux écrire aussi je le ferai et je vous dirai en aussi
en audio comment rédiger facilement les devoirs en *dlf*

❖ Surtout remercier le respo 𝐁𝐞𝐧𝐨î𝐭 𝐒𝐀𝐌𝐀𝐃𝐎𝐑𝐈 l'intercession qu'il fait


toujours pour vous au près de moi pour que vous ayez ces informations,
*soutenez le et mettez nous au centre de vos prières*

*Merci beaucoup,Bonne suite de révision à vous tous et à tout à l'heure*


*NUL N'A LE MONOPOLE DU SAVOIR TOUT EST DISCUTABLE TOUT EST CRITIQUABLE*

#𝐁𝐞𝐧𝐨î𝐭 𝐒𝐀𝐌𝐀𝐃𝐎𝐑𝐈
#𝑫𝒂𝒓𝒍𝒆𝒙 𝑩𝑨𝑫𝑬
𝑨𝒍𝒊𝒂𝒔 𝒍'𝑬𝒂𝒖 𝑬𝒏 𝑷𝒐𝒖𝒅𝒓𝒆

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