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Introduction au droit civil

Introduction
Droit : Ensemble de règles obligatoires qui encadrent la conduite des citoyens vivant
dans un instinct T. Mais ces règles ne sont pas nécessairement de règles de conduite
obligatoire ex tu conduiras à gauche.
Les règles de droit sont des règles d’action cad elles sont destinées à être mis en
application
✗ Bcp des règles confère un état ; un statut
✗ Certaines règles conduites donnent un droit ex : avoir réparation en cas de violation de vie
privée
✗ Pour être mis en action, ces règles suppose un travail de qualification juridique

Paragraphe 1 : La définition des notions fondamentale du droit


✗ Le droit utilise des mots :
 Du langage courant ex : vie.
 Des mots construits ex : divorce.
 Des notions spéciales
 Mais le droit peut aussi utiliser des mots du langage courant en leur donnant un
autre sens ex : le mots fruits qui est une chose qui peut gérer une revenue
✗ Ces notions sont des catégories générales ex le contrat

Paragraphe 2 : Les notions fondamentale didactique : le droit objectif et le droit subjectif


Le droit peut être vu sur pls aspects :
 Droit objectif : ensemble de règles sanctionnées par l’autorité publique
 Droit subjectif : Ensemble de prérogative reconnue a un sujet de droit par une
règle de droit objectif
 Ces deux droits sont complémentaires.

Partie 1 : La détermination des sujets de droits – les personnes


Droit subjectif : C’est un pouvoir attribué à un sujet de droit. Ce sujet est qualifié de
personne (per/Sonaré) au sens juridique.
Il existe deux types de personnes :
 Une personne physique soit être de chair et de sang
 Une personne morale soit des groupements de personnes ou de bien

Titre 1 : Les personnes physiques


Personne physique : Personne titulaire de droit subjectif et qui est soumis à des
obligations. Il est doté d’une personnalité juridique
Personnalité juridique : aptitude à être titulaire de droit subjectif. Cette aptitude doit être
vue sur 2 aspects :
 Positivement : Tous les individus sont dotés de la personnalité juridique. Mais dans
l’histoire cet aspect positif a fait débat. Ex : Durant l’esclavage les esclaves n’avaient
pas de personnalité juridique car il n’était pas des sujets de droit mais comme des
objets de droit de propriété. L’esclavage aboli en 1848 et est suivi de pls charte ex : la
déclaration universelle des droits de l’homme ; la loi Taubira de 2001 : esclavage est
reconnu comme un crime contre l’humanité

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Au côté de l’esclavage, le code pénal Napoléonien (1810) supprimait la personnalité
juridique aux condamnés à des peine perpétuel comme étant juridiquement mort=> Il
n’avait plus de personnalité et leur succession était ouverte. Cette est supprimé par la
loi du 31/05/ en 1854 : Art 227 du code civil
 Négativement : Dire que la personnalité juridique est reconnue à tout le monde, d’un
point de vue négatif, cela signifie que ceux qui ne sont pas des individus n’ont pas de
personnalité juridique.
Or il existe des entités qu’on ne peut pas catégoriser ex : les animaux ; embryon

Section préliminaire : Le statut juridique particulier des « animaux » et des « embryons »


1. Le cas particulier des animaux
 En droit, en 1804 les animaux sont considérés comme des choses => objet de droit de
propriété=> soumis au régime des biens
 La question de bien-être animal commence à se poser dès 1850. Ainsi, en 1850 la loi
Grammont réprime les mauvais traitements envers les animaux. Ces progrès continuent
ex : la loi de 1976 qui réprime l’abandon des animaux ; Art L 214-1 du code rural et de la
pèche maritime qui dispose que tout animal est un être sensible.
 Le code civil a commencé a évolué au 20e siècle
 Au 20e siècle leur statue évolue. Ainsi la loi du 6 janvier 1999 du code civil dissocie l’animal
et les autres objets d’exploitation ex : réécriture de l’Art 524. Ils ne sont plus considérés
comme des objets.
 Un autre pas est fait au 21e siècle. En effet la loi du 16 février 2015 l’Art 515-14 du code
civil dispose que les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilités. Mais ils sont tjrs
considéré comme des biens

2. Le statut de l’embryon et du fœtus


 L’embryon est une entité particulière, dont actuellement, le statut n’a pas été traité et ne
figure dans aucun texte du droit civil
 Autrefois la naissance vivante et viable était considérée comme le départ de la
personnalité juridique. Ainsi le fœtus n’avait aucun droit sauf ex 1985 la cours de
cassation applique un principe/ un arrêt rendu en 1985 selon lequel l’enfant conçu/ fœtus
est réputé née chaque fois où il va de son intérêt. Ex : droit d’héritage.
 La Cour de cassation a revisité cet arrêt dans 3 décisions en 2017 ; 2020 ; 2021 on
applique ce principe pour reconnaitre à cette enfant à naitre des droits à réparation d’un
dommage morale enduré d’avoir perdu son parent alors qu’il était dans le ventre de sa
mère
 Les progrès de la médecine on encourage le droit a reconsidère le statut de l’embryon (3
mois de grossesse)
 On se demande s’il y a une autonomie de l’embryon au moment de la conception=> le
commencement de la vie est donc au stade de la conception or il y a absence
d’autonomie=> la vie débute à la naissance, d’où l’attribution de la personnalité juridique a
la naissance
 L’embryon n’a pas de personnalité juridique car il est inapte à être titulaire de droit
 Mais le droit considère que l’embryon a droit à une protection en raison de l’Art 16 du code
civil sur le respect du corps humain qui dit que la loi assure la primauté de la personne
 La protection de l’être humain dès le commencement de la vie de l’Art 16 est source de
débat ex :
 Sur la question de l’IVG : loi Veil 1975. Certains auteurs on fait
valoir que le droit à l’avortement va contre l’Art 16 du code civil.
Le temps de délais pour recourir à l’IVG a été revisité pls fois :
 En 2001
 En 2022
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- EU en 2022, ce droit a été remis en cause
- UE a voulu en 2022 inscrire dans sa charte le droit à
l’avortement.
- La FR a voulu inscrire ce droit dans la constitution
ATTENTION. Le prêt d’utérus / mère porteuse est interdit
en FR Art 16-7 du code civil
 L’absence de protection pénal : dans le droit pénal, l’Art 221-6
affirme que le fait de causer la mort d’autrui involontairement
constitue un homicide involontaire
- Qui est cette autrui ? Est-ce qu’autrui englobe embryon ?
Ex-affaires :
Affaire 1 : 2 patientes, une consulte pour examen de grosse et
l’autre pour enlever le stérilet. Le médecin fait l’acte d’enlever le
stérilet sur la femme enceinte=> rompt la poche d’eau => fœtus
meurt=> dépôt de plainte=> la Cour va a l’inverse de la décision du
T correctionnelle qui a retenu la décision d’homicide involontaire =>
la Cour de cassation retient que l’Art 221-6 ne peut pas s’appliquer
à l’enfant à naitre
Affaire 2 : accident de voiture => fœtus de 8 mois meurt=> dépôt de
plainte=> chauffard condamnée car fœtus considéré comme arrêt
de quelqu’un=> Art peut s’appliquer
 On voit qu’il y a différence de point de vue entre les différentes Cours
 La question de protection a la personne a été posé à la Cour Européenne de droit de
l’homme dans l’affaire 1 qui rendu l’arrêt VO contre FR en 2004 rejeté la requête de la
femme car la cour a considéré que la Fr n’a pas violé le droit à la vie et a considéré que
l’Art 2 est inapplicable au fœtus
 Aj8 fœtus/ embryon n’est pas un objet ou une personne =>pas de protection de l’enfant à
naitre
En FR tuer un enfant unitero ne constitue pas un crime mais le blesser et provoque sa naissance
est considéré comme un crime
 Les lois bioéthiques encadrent les recherche embryonnaire Art L2151-5 code de la santé
public. Cette loi dit que aucune recherche sur embryon ne peut être faites sans
autorisation cad il faut qu’il ait autorisation écrit ; signé des parents

Section 1 : L’existence de la personne physique


L’Art 16 la loi assure la primauté de la personne (juridique/ personne qui née). La personne de
cet Art n’est pas un être humain or à l’Art 16-1 code civil : chacun a droit au respect de son corps
La personne et le corps est-ce la même chose ? Est-elle propriétaire de son corps ?
 Le droit protège le corps contre toute atteinte extérieure à l’intégrité physique.
 Autrefois le suicide était condamnable. Mais, aj8 le suicide n’est pas commandable mais le
fait de se faire aider et rien faire contre l’est : on parle de non-assistance à personne en
danger Art 223-6 code civil.
Euthanasie : thanatos : mort ; Eu : bonne. Il conste à offrir à une personne souffrant d’une
maladie incurable à lui proposer d’abréger ses souffrances
 En droit positif FR, le terme euthanasie n’est utilisé dans aucun texte de loi. De plus,
l’euthanasie actif est interdite en droit Fr
 Pays bas Belgique ; Luxembourg ; Espagne ont légalisé l’euthanasie
 En FR la législation reposait sur l’augmentation des soins palliatif, mais, la question de
l’euthanasie n’était pas considérée
 La loi Leonetti de 2005 ne légaliser pas l’euthanasie mais elle permet l’arrêt de la
nutrition et l’hydratation du malade => on peut débrancher les machines.
Cette loi fait la différence entre :
 Le patient en fin de vie
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 Le patient conscient et inconscient qui n’est pas en fin de vie
 Cette loi protège le patient et sa dignité mais, elle prévoit dans le code de la santé public,
une procédure de refus de traitement que peut demander un patient qui n’est pas en fin de
vie
Loi Leonetti : Toute personne peut anticiper au cours de sa vie, ce qu’elle veut, ce qu’elle
souhaite que soit faite de son corps lorsqu’elle sera en état d’inconscience.
 Avant 2005 : Ce souhait / directive anticipé se fait à l’écrit, sur papier libre. De plus, la
personne doit en informer son entourage ; médecin. Enfin, ce souhait doit avoir moins de 3
ans.
 Après : En 2016, une nouvelle loi en continuité de la loi Leonetti : la loi Leonetti-Claeys
complète la loi de 2005.
Elle met en place 3 nouvelles dispositions :
 Elle tente à suspendre des actes d’investigations cad maintient artificiel de la
vie. En effet, elle précise que la nutrition et l’hydratation peut être arrêté
 Le droit à une sédation profonde et continue pour tout malade.
 Elle permet à tout malade, en phase avancé ou terminale, le droit de recevoir
des traitements même si elles peuvent abréger la vie. Cette loi, renforce une
meilleure communication des directives anticipé et précise que ces directives
sont révisables
REMARQUE : Le CCNE parle/ débat d’une évolution de la loi, sur la possibilité de légiférer sur
le suicide assisté. Il permet aussi au président de lancer un nouveau débat national sur la
question de fin de vie
Au niveau européen. La Cour européenne s’est prononcée sur un arrêt rendu en 2002 : Petty
contre RU. M. Petty demande à mourir or le suicide assisté est interdit au RU=> elle demande
qu’il n’ait pas de poursuite contre son mari mais cela lui a été refusé par le RU=> saisit la cour
européenne de droit de l’homme sur le fondement de l’Art 2 sur le droit a la vie. Elle dénonce le
corolaire de droit a la mort. La cour rejeté la demande car l’Art 2 n’est pas corrélé au droit à mourir

Le don d’organe :
 La personne ne peut pas faire de commerce car les éléments et le corps humain sont hors
du commerce juridique
 Mais certains le sont ex :
 Don d’organe
 Don de sang
 Don de sperme
 Ces différents dons sont encadrés par des princes de :
 Gratuité
 Anonymat
 Respect de la dignité de la personne humaine
Paragraphe 1 : L’acquisition de la personnalité juridique
 La naissance vivante et viable => déclaration de naissance Art 55 du code civil. Cette
déclaration doit se faire sous 5 jours
 L’officier d’état civil dresse l’acte de naissance/ acte authentique

A) Atténuation : Un principe de simultanéité :


Deux atténuations :
 L’acquisition de la personnalité juridique peut être avancé mais elle se concrétise par la
naissance.
 La naissance n’est pas une condition suffisante pour l’acquisition d’une personnalité. Il faut
que cette naissance soit viable et vivante. En effet, par la loi de 1993 l’Art 79-1 considère
que des enfants peuvent naitre vivant et mourir après. Ces enfants ne doivent pas être
confondu avec des enfants morts née. Cette enfant n’acquière pas de personnalité
juridique=> pas d’acte de naissance.
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Un enfant qui nait vivant mais décédé avant la déclaration de naissance l’officier d’état civil va
pourvoir à établir un acte de naissance suivi d’un acte de décès à condition que soit produit
certificat de viabilité mais, à défaut de certificat, l’officier d’état civil établi un acte d’enfant sans vie
Un enfant qui nait vivant mais décédé avant la déclaration de naissance=> l’officier d’état civil
établit un acte de naissance suivi d’un acte de décès
Cet acte de naissance est fait à condition que soit produit un certificat de viabilité. A défaut,
l’officier d’état civil établi un acte d’enfant sans vie
 Avant 2008 le droit FR appliquait une circulaire de 1993 qui fixait le seuil de déclaration de
l’enfant mort nait à 6 mois de grossesse. Cette circulaire est modifiée en 2001 en abaissant
ce seuil a 5 mois de grossesse et en appliquant d’un seuil de poids de 500 grammes
 Des décrets on être prise suite a pls arrêt de cassation en 2008. Ces décrets encadrent la
délivrance de l’actes de l’enfant sans vie et exige qu’un certificat médical d’accouchement
puisse être produit pas le médecin
 La notion d’accouchement suppose une formation suffisante du corps du fœtus
 L’acte de l’enfant sans vie peut être dressé à la demande des parents pour faire le deuil
 Sur cet acte est indiqué l’identité des géniteurs, le jour l’heure
 Jusqu’en 2021 les actes n’indiquait pas le nom des enfants sans vie : la loi 2021 vise à
nommer les enfants sans vie=> le nom de l’enfant peut également figurer sur l’actes le nom
de l’enfants qui peut être celui de la mère ou père

B) Atténuations au principe de simultanéité :


Paragraphe 2 : La perte de la personnalité juridique
A) La certitude : le décès
 La personnalité juridique s’arrête avec le décès constaté et déclaré de la personne a
l’état civil auprès de l’officier de l’état civil => Officier dresse un acte de décès=> la
succession s’ouvre
 L’acte de décès consiste a constaté la mort d’une personne par l’officier publique qui
dresse un acte décès. Cette personne a pu exprimer une volontaire sur un testaments sur
lequel il manifeste sa volonté ex sur ses funérailles
Deux modes de sépulture sont prévus par le CGCT (collectivités générales des collectivité terr)
 Crémation
 Inhumation
Depuis qlq année on veut intégrer un nouveau mode sépulture
 La cryogénisation
Pls questions se pose a propos du corps du défunt :
 Question sur l’utilisation : alors même que ce droit au respect de son corps Art
16-1. Le défunt ne peut pas s’opposé a l’autopsie
 La question de prélèvement d’organe : Depuis la loi Caillavet toute personne
physique est présumée donneur d’organe sauf s’il s’est opposé de son vivant. Art
L.1232-1 suiv du code de la santé public : le prélèvement d’organe ne peut
être effectué qu’à des fins thérapeutique ou scientifique. Possibilité de faire
marche arrière
 Question de la protection de sépulture : Le défunt a droit a la protection de
son tombeau. => des sanctions possibles :
 Sanction civile : Réparation du dommage moral au profit des proches du
défunt : on parle de souffrance endurée
 Sanction pénale : Art 225-17
 Seul texte sur la mort, est lié au prélèvement d’organe décret de 2 aout 2005. Ce décret
précise les critères de la mort pour permettre le prélèvement d’organes.
Les critères sont :
 Arrêt cardiaque et respiratoire persistant plus 3 autres critères
 Absence totale de conscience et d’activité motrice spontané
 Abolition de tous les réflexes du tronc cérébrale
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 Absence de ventilation spontanée : on perle de la thèse de l’électro
encéphalogramme plat

a profanation de sépulture
B) Le doute ou les incertitudes : l’absence et la disparition
 En droit civil il y a 2 situations d’incertitudes :

a) L’absence
L’absence est définie endroit comme la non présente de la personne a un moment donné,
mais, dont on peut a ce moment la envisagé qu’elle est morte ex : disparition volontaire
 Cette situation est encadrée par pls règles ex-loi 67
Il y a 2 phases dans la situation d’absence :
 La présomption d’absence : Art 112-121 code civil. Cette étape, qui peut durer
10 ans constate que la personne n’est pas présente=> un juge (juge des
contentieux et de la protection) peut être saisi à la demande des parties intéressé
ou du procureur.
Le juge va déterminer une/pls personnes qui vont représenter la personne lost
cad qui vont agir en son nom comme en cas de tutelle
 La déclaration d’absence : Art 122 suiv. Cette étape s’ouvre après les 10
années=> procédure est engagé à la demande des parties intéressés ou
procureur. A cette étape, c’est le président du TJ qui déclare l’absence / déclare
une situation équivalente au décès/ d’acte de décès (sans cadavre) => la
succession s’ouvre ; le mariage ou autre et dissous
Si la personne réapparait, il fait une demande d’annulation du jugement=>
retrouve une partie de ces biens

b) La disparition
La disparition est définie comme personne non présente mais pour laquelle, la non-
présence s’expliquer pas des circonstances de nature a mettre sa vie en danger ex crash
d’avion
 Dans cette situation la mort est envisagée Art 79 suiv du code civil
 Ici, c’est le TJ qui est saisi a la demande des parties intéressé ou du procureur=> le
jugement tient lieu d’un acte de décès=> le succession s’ouvre ; mariage ou autre dissous.
Si la personne réapparait, il fait une demande d’annulation du jugement=> retrouve une
partie de ces biens
Attention : En cas de réapparition de la personne, le mariage reste dissous

Section 2 : l’identification de la personne


 Le droit FR individualiser les personnes physiques par des éléments d’état/ statut civil. Ces
éléments permettent d’identifier des personnes dans la société.
 Ces éléments apparaissent sur l’acte de naissance et de decés. Ces actes peuvent faire
objet de :
 Annulation
 Rectification Art 19 et 100 code civil
Ces éléments sont :
 Le sexe
 Le domicile
 Le nom

Paragraphe 1 : Le principe d’immutabilité des éléments d’identification


Immuabilité : absence de changement.
 L’évolution de la société, permet d’évolution de ce principe dans le respect de
réglementation
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 On est passé d’un principe d’immutabilité a un principe de mutabilité

Paragraphe 2 : Les principes éléments d’identification de la personne physique


A) La nationalité
Nationalité : identification des citoyens dans la communauté internationale. C’est
l’appartenance à la population d’un état
 Il est possible pour tout citoyens d’avoir pls nationalité
 Jusqu’en 1945, les règles de droit de nationalité était éparpillé dans différent code. C’est
une ordonnance qui a codifie ces textes. En 93, une loi abrogé le code pour le transfert des
règles liées a la nationalité dans le code civil en 17 articles du code civil
Pls façons d’acquérir la nationalité :
 Par attribution : on parle de nationalité d’origine Art 18 à 20
 Elle peut être attribué par un lien de filiation : droit de filiation
 Elle peut être attribué lorsque la personne née sur le territoire FR :
droit du sol
 Peut s’acquérir : on parle de nationalité FR d’acquisition.
Elle s’acquière par :
 La naissance ;
 Le mariage ; ou par
 Naturalisation
 Cette nationalité peut se perdre.

B) Le domicile
Le domicile est encadré par pls règles :
 La généralité : Toute personne a droit à un domicile définit comme le lieu de principale
établissement Art 102 du code civil. Il y pls raison qui explique cette loi notamment
lorsque la personne est dans une procédure judiciaire (voir cour orga de la justice).
Ce lieu de principal établissement suppose pls éléments :
 Elément Matériel cad l’installation de la personne dans un lieu
 Elément moral : on parle de domicile volontaire
Ce domicile peut être un domicile imposé : on parle de domicile légal. C’est le cas de
mineurs émancipé Art 108-2 du code civil
 Inviolabilité du domicile : le domicile fait partie de la vie privée de personne => sa
violation est sanctionnée pénalement Art 226-4 du code pénal. A l’exception des
constats faites par un commissaire de justice.
 L’unicité du domicile : Tout personne a un domicile. Ce domicile peut être élu chez un
avocat par exemple dans le cas d’une action en justice

C) Les nom et prénom



D) Le sexe
Art 57 du code civil dispose que l’acte de naissance doit énoncer le sexe de l’enfant.
 Cet article ne précise pas la binarité cad masculin ou féminin
 *****
 Certaine personne déterminée à leur naissance du sexe mas ou fem, peuvent se sentir
femme ou homme=> ils ont souhaité changer de sexe a l’état civil
 Jusqu’au année 90, la transsexualité était vu comme une maladie mentale
 Dans les années 2000 les juges de Fond restreigne le changement de sexe. En effet, il
exige notamment une preuve d’irréversibilité. C’est en 2016 que le législateur légalise le
changement d’état civil des transsexuels Art 61-5 du code civil
 Le changement de sexe d’une personne mineur pose débat. En effet l’art 57 parle que de
personne majeure
Le mariage des transsexuels :
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 Dans l’arrêt Godwin de 2002, la Cour européenne de droit de l’homme reconnait le mariage
transsexuel et condamne le RU pour la violation de l’Art 8 et14 de la convention sur la
non-discrimination.

Section 3 : la protection de la personne physique : Les droits de la personnalité, droits


extraterritoriaux
 Expression « protection de la personnalité physique » attribution de pouvoir qui sont
inhérents à l’acquisition de la personnalité juridique

Paragraphe 1 : Les règles communes


 Ces droits de la personne sont généraux cad elle appartiennent à toute personne vivante et
viable : on parle de droit extrapatrimonial (ne font pas partie du patrimoine, ne sont pas
évaluable)
Ces droits sont :
 Intransmissible cad ne sont pas dans le patrimoine
 Incessible cad ne peuvent pas être cédé
 Insaisissable
 Les droits extrapatrimoniaux assurent à la personne une protection => la personne peut
demander réparation au dommage subi.
 A la naissance du code civil, il n’y avait pas de protection de la vie privée car la presse
n’existait pas mais en cas d’atteinte a cette vie privée l’Art 1240 pouvait être utiliser.
Cet Art ne protégeait pas assez la personne. En effet, les victimes devaient démontrer qu’elles
subissent :
 Un dommage
 Une faute
 Un lien de cause à effet/ causalité
 Le législateur a mis en place un fondement dans lequel figure le fait que : chacun a droit
au respect de sa vie privée Art 9
 L’Art 1240 = réparation des dommages, intérêts forfaitaires ; monétaire. L’Art 9 permet la
réparation en nature. Ces réparations sont plus protectrices
 L’Art 9 est renforcé par l’Art 8 de la convention des droits de l’homme. A coté de cette Art la
loi du 6 janvier 78 relative à l’informatique ; ficher et aux libertés pose le principe que les
fichiers ne doivent pas porter atteinte au droit individuel. Cette loi crée la CNIL
Pls collusion entre liberté d’expression et contenu publié sur internet =>protection de la vie privée
fortement renforcé pas la protection des données à caractère personnels
Données a caractère personnelle : Information qu’une personne physique peut fournir à un
opérateur et qui permet de l’identifier
 La protection ces données s’est vu renforcé par un règlement de 25 mai 2018 le RGPD. A
cette pro s’ajoute une ordonnance de 2018 et un décret de 2019
 La personne est au cœur car la loi** prévoit le droit à l’oublie ; a l’effacement des données
et au consentement (doit être explicité). Age du consentement numérique 15 ans
 Depuis la loi bioéthique 1974 le corps de la personne est protégé par le droit à la dignité
des personnes
 En matière civil, le recours aux empreintes génétiques est rendu possible et légale en
matière de filiation. Et les Art 16 et suiv renforce cette protection du corps. Art 16-11 code
C. Cette recherche est très encadrée. En effet, seul le juge peut ordonner cette recherche a
condition d’avoir le consentement de la personne ciblée de son vivant (cas ive montant/
Grds père de Casta)
 En matière pénal, le recours au empreintes génétiques est légal ex-viol=> création du
fichier national automatisé des empreintes génétiques
 Le respect de la vie privée a suscité d’autre interrogation avec le dev de la biométrie. Les
données biométriques sont utilisées par ex dans des salles de coffre-fort

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Biométrie : Analyse mathématique des caractéristiques biologique d’une personne
permettant l’identification de cette personne

Paragraphe 2 : Les principaux droits de la vie privée


 Encadré par l’Art 9 du code civil.
 La preuve par le journal intime est possible
 Toute personne peut s’opposé à la divulgation des informations en rapport avec sa vie
privée
A) Le droit au respect de la vie privée
1. Le contenue du droit au respect de la vie privée
 La notion de vie privée n’est pas définie par le code=> le juge par le pouvoir d’interprétation
dresse les contours d’une notion
La vie privée est composée d’éléments fondamentaux :
 Relation amoureuse
 Familiale
 La véritable identité de la personne
 Son domicile
 État de santé
 Le CEDH ne donne pas la définition de la vie privée mais dit que c’est le droit de mener son
existence comme on veux
 La Cour de cassation dit que la vie privée c’est fait partie de vie privée droit de mener sa
vie de la façon la plus paisible
Vie privée : Tout ce qui se rapporte à l’intimité de la personne. Ce droit considère aussi le
domicile comme la vie privée
 ***
 L’employeur ne peut pas sans violer le droit prendre connaissance des messages
personnels émis et reçu par le salarié grâce a un outil informatique (du salarié) mm si
l’employer a interdit l’utilisation
 La vie privée s’arrête à la mort car droit extrapatrimonial

2. Les titulaires du respect de la vie privée


 Toute personne publique ou privée a droit au respect de sa vie privée
 Parfois le droit a l’information et le droit a la vie privée entre en conflit
ATTETION cas particulier : (complaisance) les artistes peuvent se laisser tirer par la presse et
puis se plaint=>porte plainte=> le juge pas con
Lorsque l’info peu importante

B) Le droit à l’image
 2eme droit inhérent a la personnalité juridique. Mais ce droit ne repose sur aucun texte
juridique a priori
 C’est droit est souvent invoque en même temps que les atteintes au droit à la vie privée.
Pas confondre ces 2 droits
 Ce droit ne peut pas être invoqué lorsque que les faits ne révèlent pas l’existence d’une
photo
L’atteinte au droit a l’image peut être sanctionnée et réparer par deux types de sanctions :
 Sanction d’un point de vue civil : dommage et intérêt fondée sur l’art 9
 Sanction pénale : Art 226-1 code pénale réprime le fait de fixer ; capter ; enregistrer
et transmettre sans le consentement de la personne l’image de la personne. Ça
constitue un délit lorsque la personne se trouve dans un lieu privé
1. Le principe
 Ce principe signifie que toute personne (connue/ inconnue) a droit exclusif sur son image
 Le droit a l’image est une construction jurisprudentielle=> pas d’art. Les juges l’a
rattaché à l’Art 9 c civil.
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 Pour qu’il y a atteinte au droit a l’image il faut qu’il ait une photo et un texte

2. L’autorisation
 Le consentement de la personne a la publication de son image : on parle de donner
explicitement son consentement
 Le consentement d’un enfant doit être donnée par un parent

3. Les exceptions
L’image de la personne peut être capté ; reproduit sans autorisation
4 conditions doivent être réuni simultanément
 Dans un lieu public ex la rue a condition que la personne ne soit pas
identifiable
 Prise à l’occasion d’un événement d’actualité ex la fête du livre
 Il faut un lien entre l’image et le contenu de l’information
 Pas d’atteinte à la dignité de la personne
 Lorsque l’image est captée dans un intérêt historique ex : procès filmé Art L222-1 du
patrimoine qui encadre les images issues d’un procès filmé. Ce procès ne peut pas être
diffusé tant qu’il n’a pas pris fin. Les audiences peuvent être filmé seulement dans un
intérêt informatif ; éducatif ; culturel ; historique ou scientifique. L’autorisation doit être
donnée par le chef de la juridiction après avis du ministère de la justice
 Art L222-1 prévoit que après 50 ans la diffusion audio ; visuel sera libre
 Le consentement peut ne pas être demander pour le débat d’intérêt général

Section 4 : La capacité des personnes physiques


 Principe selon lequel toute personne physique est en principe câble dés qu’il a la
personnalité juridique

Paragraphe 1 Vue d’ensemble


a) Un principe
 Le droit traite plus souvent la question de l’incapacité. Le droit des incapacités est un droit
de protection
 Principe de Art 1145 code civil « toute personne physique peut contracter sauf si il est
atteint d’incapacité »

b) Deux catégories d’incapables


Les personnes incapables sont citées par la loi :
 Les mineurs non émancipés
 Les majeurs protégés par la loi

c) De très nombreux textes


 Loi du 3 janvier 1968. Cette loi revisite le droit de la protection des majeurs incapable et
envisager de mesure de protection. Jusqu’à cette date il n’y avait pas texte qui encadré la
situation d’incapacité. Cette loi ne prend pas en compte la précarité
Cette loi crée 3 régimes de protection :
 La tutelle
 La curatelle
 Sauvegarde de justice
 La loi du 5/03/2007 modifie cette la situation des personnes incapable.
Entre en vigueur en 2009. Elle a nécessité de nombreux décrets
d’application.
Cette loi introduit de nombreux principes :
 De nécessité ***
10
 */
 La loi de 2007 est suivie d’une ordonnance (15/10/2015) qui a ajouté une mesure de
protection qui tient compte de la solidarité familiale et crée le principe d’habilitation
familiale. Cette loi a aussi créé le mandat de protection future=> ces personnes agiront à la
place de la personne qui perd la tête
 La loi du 23 mars 2009 donne aux incapable le droit de vote ; le mariage etc

d) Deux types d’incapacité


 La notion d’incapacité ne peut pas être déconnecté de la notion de personnalité juridique.
Cette notion revoie à la question des actes de la vie patrimoniale
La notion d’incapacité envoie à 2 aspects :
 Capacité de jouissance cad la personne est titularité du droit. Elle est liée à
l’acquisition de la personnalité juridique=> toute personne a cette capacité.
L’incapacité de jouissance cad une privation. Elle est exceptionnelle ; joue le
rôle de sanction. Ex : Art 909 du code civil tout personnel de soin qui a prodigué
des soins pendant la maladie puis la personne décède, le professionnel médical
ne peut profiter du testament de la personne : on parle de legs/ revoit des
libéralités
La privation de droit de vote pour les incapables majeur (curatelle). Cette loi est
annulée par la loi de 23 mars 2019
Les enfants adultérins n’avaient pas de droit de succession (annulée en 2001)
 Incapacité d’exercice cad la personne ne peut pas exercer ses droits seul. Les
touche les mineurs non émancipé et les incapables majeurs (le majeur en tutelle
est représenté et le majeur en curatelle est assisté)

e) Différent type d’actes a envisager


Pls méthodes de classements :
 La nature de l’acte
 Son résultat économique. La loi retient 3 types d’actes :
 Actes conservatoires but conserver le patrimoine ex : contrat
d’assurance habitation
 Actes de disposition : consiste à appauvri le patrimoine ex :la
vente d’un immeuble
 Actes d’administration cad actes de gestion courantes. Ces actes
fructifient le patrimoine
La loi de 2007 a revisiter cette liste d’actes et considère que les actes conservatoires peuvent être
assimiler/ intégré a des actes d’administration=> la loi considère qu’il y a seulement deux actes

f) Trois degrés de protection


 1er degré : Le maintien de la capacité avec un délai d’attente
 2eme degré : le régime de la semi capacité ou incapacité cad une suppression partielle de
la capacité => la personne doit être assisté
 3eme degré : la suppression de la capacité cad la personne n’a plus la capacité
d’exercice=> désignation d’un/ pls représentants

g) Des sanctions
Les actes irrégulièrement passés, ont deux sanctions :
 La nullité : c’est une sanction d’un acte irrégulier. En droit civil cette
sanction est prononcée par un juge : on parle d’action en nullité d’un acte.
Cette nullité n’est pas automatique. Au 19e la nullité est soit :
 La nullité absolue
 La nullité relative

11
Si la règle violée concerne un groupe=> la nullité n’est plus absolue mais relave. Japiot prend en
compte la finalité Art 1179 code civil
 L’action en nullité ne peut être engagé que par l’incapable. L’action en nullité des
incapables est =>relative car elle protège et ne peut être mené que par l’incapable
 Rescision pour lésion : forme de nullité conditionné par la lésion cad le
déséquilibre des prestations contre/ au détriment de l’incapable. =>l’acte
est anéanti => restitution des prestations de part et d’autre. Mais
l’incapable restitue seulement les sommes non dépensé Art 1352-4 Ccivil

h) Les organes ou institutions protectrices


 1er organe : Juge et le procureur de la république Art 416 alinéa 1 code civil. Organe de
protection sont :
 Juge de tutelle (le JAF)
 JAF. Ajd8 juge de contentieux et de la protection : Pour les majeurs
protégés
 Le juge du tribunal judicaire
 2eme organe de contrôle : le conseil de famille supervisé par le juge
 3eme organe d’exécution ; le représentant
 4eme organe : le lanceur d’alerte : médecin
La loi de 2007 a créé les mandataires judiciaires a la protection des majeurs : exerce la protection
de tuteur ou curateur en étant extérieur a la famille

Paragraphe 2 Les régimes de protection des incapables


A) Tous les mineurs
 Minorité titre à part entière
Mineur : personne physique moins de 18 ans art 388 code civil
 A partir de 18 ans on passe de l’incapacité a la capacité ex pas possible d’être député
ATTENTION : La capacité peut être acquise avant 18 ans ex : mineur émancipé Art 413-1 code
civil deux types d’émancipation :
 Emancipation de droit acquis par le mariage du mineur
 Emancipation décidé par le JAF => le mineur acquière la pleine capacité civile
A SAVOIR : Le désaccord entre les deux parents vaut consentement
 Ce mineur acquière l’autonomie juridique
1. L’autonomie juridique du mineur
 Autonomie juridique du mineur : notion juridique
 Elle se manifeste d’après certains textes, à partir du moment ou il est capable de
discernement de l’enfant. Certains textes donnent un âge ex : cas de l’adoption
 L’enfant entre 1-6 ans n’est pas capable de discernement
 A partir de 7-8 ans au cas par cas l’enfant est capable de discernement
 L’autonomie des mineurs a évolué sur influence droit international ex le CIDE signe par la
FR en janvier 90 et ratifié par une loi du 2 juillet 70. Cette convention reconnait à l’enfant
des prérogatives comme le droit de participer à une procédure qui le concerne ; le droit
d’association ; à la liberté d’expression.
 Le Conseil d’état a directement appliqué la CIDE. A l’inverse la Cour de cassation dans
l’arrêt Lejeune la Cour de cassation n’est l’a pas appliqué directement. C’est à partir de
2005 qu’elle a commencé a appliqué la CIDE ex : le droit de toute personne de connaitre
ses origines
 L’autonomie se manifeste par l’association général du mineur. En effet, il doit être
entendu dans les procédures qui le concerne Art 388-1 du code civil. Elle renvoie aux
mineurs capables de discernement ex-procédure du divorce. L’autonomie se manifeste par
l’association de l’enfant aux décisions qui le concerne Art 371 et art 371-1 alinéa 4
 L’association ponctuel en matière personnel le mineur doit consentir au mariage. En
matière de santé, depuis la loi, de 20 aout 2021 les prélèvements de sang ou organes sont
12
en principe interdit sur la personne du mineur mais exceptionnellement autorisé pour une
urgence thérapeutique et le mineur doit consentir personnellement. Le mineur a droit de
connaitre son état de santé a l’intermédiaire de ses parents. La demande doit être faite par
le parent. En cas d’IVG le mineur peut garder le secret a condition d’être entouré d’une
personne de confiance Art 2212-1 et suiv
 L’association en matière patrimonial : le mineur peut accomplir seul tout les actes de la
vie quotidienne cad ou il peut agir seul art 408 alinéa 1 du code civil. L’art 221-3 code
monétaire financier autorise les mineurs à ouvrir un livret A et peuvent sens l’intervention
des parents mais seulement après l’âge de 16 ans sauf opposition du représentant légal.
Le décret de 22 décembre 2008 dit que le mineur peur faire tt acte dépourvu de danger
pour son patrimoine. Si l’acte dangereux a été commis sans tuteur=> sanction de nullité de
protection=> le mineur ne rembourse que ce qui a tourné en son profit

2. La représentation du mineur et la jouissance légale


 Le mineur non émancipé est par principe incapable cad pour accomplir des actes il doit être
représenté.
Deux types de représentation :
 L’administration légale. Elle est règlementé Art 382. Il l’exerce en
commun mais ils peuvent faire certains actes chacun de leur côté.
L’administration legal doit voir 386-1. En cas de nécessité le JAF peut
autoriser l’exécution de certains actes en cas de désaccord
 La tutelle des mineurs : elle s’ouvre lorsque soit les parents sont décédé
soit l’enfant n’a pas de filiation ex : Enfant née sous X soit lorsqu’il a retrait
de l’autorité parentale=> ouverture de tutelle de mineur= mesure de
protection de l’enfant. Cette tutelle est donnée à un membre de la famille.
Si elle n’est pas exercée par un membre de la famille c’est l’aide sociale de
l’enfance qui prend en charge l’enfant

B) Les majeurs protégés


1. Quelques principes liés aux reformes : principe de nécessité, subsidiarité et
proportionnalité
 Art 414 du code civil fixe à 18 ans l’âge de la majorité=> pleinement capable. Certains
majeurs peuvent être déclaré incapable alors que l’art 414-1 dispose que l’acte fait par un
majeur est par principe valable sauf s’il est atteint de trouble mentale
3 grs principe doivent être utilisé par le juge Art 428 :
 Principe de nécessité
 Principe de subsidiarité. (Mandat de protection futur)
 Principe de proportionnalité cad la mesure de protection est décidé en fonction de
l’altération des facultés physique mentale faite par le médecin
 La loi de 2007 a distingué la personne du majeur et l’objet du majeur
 Le régime de protection des majeurs connaisse une graduation. Art 414-1 du code civil « un
acte peut être annulé des lors qu’il est établi un trouble mental au moment de l’acte ». cette
preuve est difficile a rapporté=>Protection ponctuelle : la responsabilité civile de celui qui
a causé un dommage alors qu’il était sous l’emprise d’une trouble mentale. A propos du
dommage causé par la personne incapable. Depuis 1968, le code civil a intégré dans
l’ancien art 489-2 la notion de responsabilité civil=> la victime peut demander réparation

2. Les dispositions applicables aux majeurs qui ne bénéficie pas d’une protection
organisée : la protection intermittente
 La loi de 2007 a distingué la personne du majeur et l’objet du majeur
 Le régime de protection des majeurs connait une graduation. Art 414-1 du code civil « un
acte peut être annulé des lors qu’il est établi un trouble mental au moment de l’acte ». Cette
preuve est difficile a rapporté=>Protection ponctuelle : la responsabilité civile de celui qui
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a causé un dommage alors qu’il était sous l’emprise d’une trouble mentale. A propos du
dommage causé par la personne incapable. Depuis 1968, le code civil a intégré dans
l’ancien art 489-2 la notion de responsabilité civil=> la victime peut demander réparation
 Le majeur lourdement handicapé cause un dommage alors que ce dernier est placé dans
un centre d’handicapé=> dans l’arrêt Blieck de la Cour de cassation répond que la victime
peut demander réparation à condition que le centre ait accepté de prendre en charge le
mode de vie du majeur

3. La sauvegarde de justice : mesure de protection légale et provisoire


 C’est une mesure de protection au profit du majeur qui a besoin d’aide sens que sa
capacité soit attente. Cette mesure est temporelle
Pls Condition pour là sa de justice :
 Doit être décidé par un juge de JCP
 Un certificat médical corroboré par le médecin désigné par le procureur de la rep
 Une mesure de protection plus durable peut être en visage mais prend du temps
Pls effets à la sauvegarde de justice :
 Maintient la pleine capacité du majeur sauf applique l’Art 485 du code civil
 Cette protection est provisoire dans le temps (1 an) et renouvelable un fois
 Le juge peut designer un membre de la famille qui va exercer un mandat
Elle peut prendre fin par :
 La curatelle ou tutelle
 La guérison de la personne

4. Les protections organisées et durables : la curatelle et la tutelle


 Depuis 2007 la curatelle intervient avant la tutelle
a) Les règles communes à la curatelle et à la tutelle
a-1 : L’ouverture de régimes
 Depuis 2007 ces mesures se fonde sur la solidarité familiale cad elle c’est d’abord un
devoir des familles Art 430et suiv du code civil=> le juge tient compte du cadre de vie
familiale
 Le juge doit tenir compte de la volonté du majeur : on parle de protection contractuelle.
 Le juge peut aussi choisir un mandataire a la protection des adultes
 Durée de 5 ans qui peut être renouveler sous justification médical
 Elle peut être renouveler à 10 ans ou 20 ans grand max

a-2 : Les effets des mesures des protections durables


 Art 464 et 465 du code civil l’acte est passé avant la publication du jugement=> les
sanctions sont moindres, cad l’acte est réduit au profit du majeur
 La rescision pour lésion =>anéantissement de l’acte
 L’acte passé après l’ouverture du jugement=> soit l’actes est un acte de gestion
courante=>l’acte est irrégulier conditionné par le déséquilibre et pour les actes de
disposition=>nullité d’office en cas de tutelle et nullité de droit en cas de curatelle
conditionné par justification d’un préjudice
a-3 : Fin des mesures
 Le mort
 La guérison
 Le changement de mesure changement de curatelle en tutelle

b) Les règles particulières a la curatelle :


b-1 : L’ouverture de la curatelle
 La curatelle suppose une altération des faculté physique ou mental sens que le majeur soit
hors état d’agir

14
 La curatelle entraine un régime d’assistance cad le concrètement du majeur est essentiel=>
il y a deux signatures celle du majeur et celle du curateur
b-2 : Effets particuliers de ma curatelle
c) Réglés particuliers a la tutelle
c-1 : L’ouverture
 Altération plus grave des faculté physique et mental nécessitant la représentation pour tous
les actes. La majeur en tutelle ou en curatelle peut se marier sens l’accord du juge mais
doit informer le curateur et tuteur
c-2 : Effets

5. Le mandat de protection future : la protection contractuelle


 C’est la mise en œuvre du principe de précaution. La personne peut passer un contrat de
mandat qui désigne ou pls personne qui vont pouvoir ses intérêts.
Art 477 à 494 du code civil. Formellement ce mandat peut prendre deux formes
 Le mandant notarier cad passé devant le notaire
 Le mandat sous seing privée Art 492 et suiv
Au sens du fond : c’est la liberté qui domine, le mandant a toute liberté de designer qui il veut et le
mandat se met en œuvre le jour ou la mandant ne peut plus pourvoi seul a ses intérêts

6. L’habilitation familiale : un dispositif supplémentaire de protection


 Est apporté par l’ordonnance de 2015 = art 494-1 et suis à 494-12.
 C’est une mesure de protection plus simple que la curatelle et la tutelle mais elle reste une
protection judiciaire
 Elle vise qu’a designer uniquement les membres de la famille
 Elle peut être décidé pour une durée de 10 ans max renouvelable 1 fois

7. Les mesures d’accompagnement social et médical


 Art 495 et suiv la loi de 2007 remplace la tutelle aux prestations sociales par des mesures
d’accompagnement social/ médical. Il vise a aider les personne en grande difficulté social à
gérer leur budget au quotidien dans le but de les rendre autonome
 Le contrat est tout d’abord signé avec le département ce sont des mesures personnalisées
assuré par l’Art 271-+1 et suiv du code de l’action social
 Si cette aide ne marche pas, elle devient une protection judicaire décidé par le JCP qui
désigne un mandataire a la protection judiciaire
Titre 2 : Les personnes morales : Les règles générales
Le code civil contient depuis 2016 la définition de l’acte et du faits juridique Art 1100-1 et 1100-2
Paragraphe 1 : Nature juridique de la personnalité morale
1. Les analyses doctrinales : fiction ou réalité ?
2. Les solutions du droit positif
Paragraphe 2 : La diversité des personnes morales
Paragraphe 3 : L’existence de la personne morales
Paragraphe 4 : l’identification de la personne morale
Paragraphe 5 : L’organisation de l’activité juridique des personnes morales
1. La responsabilité des personnes morales
2. L’activité juridique des personnes morales ; La capacité de jouissance des personnes
morales
3. La compétence de certaines personnes morales

15
Partie 2 : La reconnaissance des droits
Titre 1 : Les différentes classifications des droits reconnus_ la distinction des
extra-patrimoniaux et patrimoniaux

Chapitre 1 : La distinction des actes et des faits juridiques


 Le code civil, depuis 2016 définie de l’acte et du faits juridique Art 1100-1 et 1100-2
Acte : manifestation de volonté destinée à produire des effets de droit cad a créer des
droits par exemple la volonté d’acheter un vélo=> contrat
 La manifestation d’une volonté=> naissance d’un droit
Les actes s’opposent aux faits :
Faits : Agissement / évènement auquel la loi attache des effets de droit sans qu’il ait
manifestation de volonté Art 1100-2

Chapitres 2 : La distinction d’après l’objet et le contenu des droits


Section 1 : Classification des droits d’après leur objet
 Une chose est objet de droit cad le droit est exercée par une personne
Art 516 code civil : tous les biens en droit Fr sont meubles et immeubles

Paragraphe 1 : La distinction fondamentale entre meubles et immeubles


A) Les qualifications réelles : critère physique
1. Les meubles par nature
Art 528 : sont meuble par nature les biens qui se transportent d’un lieu à un autre

2. Les immeubles par nature (a contrario)


Est un immeuble les biens qui ne se transportent pas. Par exemple : Les fonds de terre et
bâtiment Art 518/519 du code civil
 Sont des meubles tous matériaux qui servent à fabriquer ces bâtiments : immeuble par
incorporation

B) Les qualifications fictives : le critère volontaire


La fiction juridique est un mécanisme juridique qui retient une qualification contraire à la
réalité dans le but de maintenir deux biens sous un même régime juridique
 Par exemple un poêle à bois suit le sort de l’immeuble dans lequel il est placé=> devient un
immeuble « L’accessoire doit suivre le sort du bien principale » : on parle d’immeuble par
destination.

1. Les immeubles par destination


Art 524-525 du code civil : pls critère du bien immeuble. Est immeuble par destination :
 Un bien meuble qui vas prendre la qualification du bien principale.
 Il faut que la personne soit propriétaire de l’immeuble
 Un lien de destination.
 Le biens meubles est affecté au service d’une exploitation
524/ 525
2. Les meubles par anticipation
 L’immeuble devient un meuble par exemple les récoltes de raisin

C) Les qualifications fonctions de l’objet : critère légal


 La loi peut de façon arbitraire tel ou tel qualification a un bien=>Art 526 du code civil sont
immeubles par l’objet auquel il s’applique les actes qui tente à revendiquer un immeuble

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1. Les immeubles par l’objet auquel ils s’appliquent
2. Les meubles par destination de la loi

Paragraphe 2 : Les autres classifications


A) La distinction des choses appropriées et des choses non appropriées
 Principe : Toute choses est susceptible d’appropriation. Mais il y a des exceptions :A/B

1. Les choses hors du commerce :


 Le corps humain est hors du commerce mais certains objets du corps humain peuvent faire
objet de commerce juridique par exemple don de sang

2. Les choses sans propriétaire :


 Les choses communes
 Les choses utilisés par tout le monde
 Les poissons des rivières
 Les trésors

B) La distinction des choses corporelles et des choses incorporelles


 Est un chose corporel une chose qu’on peut toucher
 Est un chose incorporel, chose qu’on ne peut pas toucher

C) Les classifications fondées sur l’utilisation des choses


Chose frugifère : choses qui rapportent de l’argent par exemple louer un appartement

Section 2 : La classification des droits d’après le contenu : Les droits patrimoniaux


Droits patrimoniaux : droit qui est dans le patrimoine de la personne. Ces droits sont :
 Évaluables, son
 Transmissible,
 Cessible et
 Saisissable
Ce droit se dédouble en :
 Droit réel : droit de propriété et les ses dérives
 Droit personnel : Droit de créance / obligation
Droits extrapatrimoniaux : droit en dehors du patrimoine

Paragraphe 1 : Les droits principaux


Est un droit réel un droit qui porte sur la transmission d’une chose. Ce droit a été crée par
le code civil de 1804 Art 544 du code civil le droit de propriété droit de jouir disposer des choses
de la manière la plus absolue

A) Le droit de propriété
 Il contient des attribues
 Il comprend le droit de jouir cad d’user (usus) de la chose comme on l’entend
 Il comprend le droit de disposer de la choses (abusus) le droit de passer un acte juridique
 Le droit d’en retirer des fruits (fructus) cad retirer par exemple le loyer d’une maison

B) Les caractères du droit de propriété


 Le droit de propriété est absolu cad il doit être porté à connaissance du tiers
 Il est inviolable cad il ne peut pas y avoir d’atteinte a la propriété. Cette inviolabilité se
manifeste en l’occasion des contentieux a l’image du bien
 La Cour de cassation a pris position dans diffèrent arrêts
 Arrêt de la première chambre civil 10 mars 1999 : Elle s’oppose a la
diffusion de bien
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 Puis elle ajuster sa position. Le 25 janvier 2000 la Cour de cassation dit
que le propriétaire a le droit de refuser l’exploitation du bien mais a
condition que le bien soit le sujet principal de l’image.
 Un an plus tard, 2 mai 2001 elle affirme que le propriétaire a seul le droit
d’exploiter l’image de son bien et peut refuser l’exploitation par un tiers si
le bien est le sujet principal à condition que le propriétaire justifié qu’il tire
un fructus
 La Cour de cassation va rendre un arrêt le 5 juin 2003 qui affirme qu’est un argument
erroné le fait que le droit a l’image serait un attribue du droit de propriété sur le fondement
de l’art 9. => divergence entre les chambres=> la Cour de cassation en assemblée plénière
affirme que le propriétaire ne dispose pas d’un droit exclusif du bien mais il peut s’opposé
 Ainsi le propriétaire peut s’opposer a l’exploitation de son bien des lors qu’il en tire un
fructus=> le droit de propriété est :
 Perpétuelle cad il se transmet aux héritiers
 Exclusif sauf s’il y a partage de propriété ex-copropriété
C) Les démembrements du droit de propriété
Paragraphe 2 : Les droits personnels
Droits personnels : C’est le droit qui a une personne sur une autre cad le droit d’exiger
quelque chose sur une autre
 Il appartient a une personnes qui a une personnalité
 Ce droit n’a pas être publie. Il a un effet qu’entre les parties contrairement au droit réel qui
un effet au-delà des parties
 Si la personne refuse de payer la chose qu’elle était censée faire : Exécution forcé (voir
droit général) à condition que le débiteur se constituer d’une garantie : on parle droit réel
accessoire.
 Si ce créadier a une garantie on dit que c’est un créancier privilégié.

Paragraphe 3 : Les droits réels accessoires


Droits réels : droit qui porte sur un bien mobilier ou immobilier du débiteur qui permet la
réalisation de la créance (à revoir)
La caution/ Le cautionnement : contrat par lequel une caution s’engage envers le créancier
à payer en lieu et place du débiteur en cas d’impossibilité
Différence entre sureté réels et personnes :
Sureté réelle : ex-hypothèque. La banque prend une garantie sur un bien immobilier et faut vendre
une maison par exemple
Titre 2 : La protections des droits : les grds principes du droit de la preuve
 De qu’une action en justice est engagée, le juge demande a ce que soit apporté une
preuve
 « Un droit qui n’est pas prouvé, est un droit qui n’existe pas » c droit a été modifié par une
ordonnance de 10 février 2016 Art 1353 a 1356 -1 du code civil
 Cette charge dépend du type de procès.
 En matière civil ce principe est la neutralité du juge civil=> ce sont les parties qui emmènent
les faits=> doivent apporter des preuves
 En matière pénal, le juge n’est pas neutre => c’est lui d’apporter la preuve des faits : on dit
qu’il a un rôle actif

Section 1 : Les moyens de preuve


1. Preuve écrite
Preuve : notion fondamentale de droit. Prouver c’est rechercher une vérité.
 En droit la vérité judiciaire n’existe pas car il y a une vérité différente entre les différentes
juridictions du 1er ou 2nd degré. Ainsi prouver c’est apporter une vérité judiciaire

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Pls systèmes de preuves sont envisageables :
 La preuve par tous moyens : on parle du système de la preuve libre
 La preuve légale : encadrée par le droit
 Depuis 1804, le droit civil, admet un système de preuve mixte qui mélange les deux types
preuve. Avant 2016 le principe était que de lors on est en présence d’un acte la preuve doit
être apporté par écrit depuis 2016 le principe est inversé Art 1358.
 La preuve écrite est appelée preuve parfaite. C’est une preuve légale Art 1359 (def)
Attention partielle
Deux types d’écrit sont envisagée par le code civil : et ce sont aussi des preuves. 3 types preuves
 L’écrit authentique
 L’écrit sous signature privée (seing privé). Elle peut être rédigé par un homme
de droit.
 Les copies. Si elle ne présente aucune preuve de falsification=>elle la même
valeur qu’une une preuve
 Il existe aussi des actes contre signé par un avocat (contreseing) Art 1374. Cet acte est
rédigé par deux partie de personne privée mais pour lequel l’avocat a délivré son devoir de
conseil
 L’acte sous seing privée a la même valeur que l’acte authentique mais n’a pas de force
exécutoire
 L’art 1379 la copie fiable a la même force probante que l’original
 Définition preuve écrit Art 1365 code civil
 Pour prouver un acte supérieur a 1500e il faut une preuve écrite
 Art 1375 code civil (à voir)
 La définition de l’acte authentique est donnée par l’art 1369 du code civil. L’acte
authentique est celui qui est reçu par un officier d’état civil qui a compétence et
qualification.
Le commissaire de justice sont aussi des officiers d’état civil
 Le notaire n’est pas un officier d’état civil mais un égal. Il dresse des titre exécutoire cad il
pet dresser un acte qui peut être immédiatement exécuté. Le notaire a l’imperium cad il a le
pouvoir de rendre le chose exécutoire
 Seule le juge a le double pouvoir : la juridictio et imperium
 L’acte du notaire est égal à l’acte exécutoire sauf s’il y a inscription de faux.
 L’acte du notaire est rendu exécutoire car elle comporte la formule exécutoire
 Le notaire dispose de l’imperium car historiquement au moyen Age le droit de rendre justice
était confondu avec le fait de rédiger des actes. Ainsi au 14e S que les deux sont séparé

2. D’autre mode de preuve :


 On parle de preuve imparfaite
 Art 1360 (voir)
 Lorsqu’il n’y a pas d’écrit alors qu’on doit prouver un acte de 1500 e ; on parle d’impossibilité
d’écrit
Impossibilité morale : relation de confiance
 Elles sont utilisées lorsqu’il, n’y a pas d’écrit
Pls moyens de preuves :
 Témoignage Art 1381
 Les présomption judicaire Art 1382
 L’aveu 1383. Deux types d’aveu :
 Aveu écrit
 Aveu oral
 Le commencement de preuve par écrit : c’est un écrit qui émane de celui qui
conteste un acte
La remise et l’adossement d’un chèque ne sont pas des preuves de prêt.

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Section 2 : la charge de la preuve
1. Un principe
 La preuve appartient à celui qui demande qlqch cad celui qui demande ou qui se prétend
libéré du payement doivent le prouver
 Il est impossible de déduire un lien de filiation de l’accouchement

Pls présomption légale


 Présomption de causalité
 Présomption irréfragable
 Présomption peut être simple
 Présomption mixte qui peut être renversé par des moyens identifié par la loi

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