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PARTIE 3 

: LE DROIT DES PERSONNES


Le terme de personne à deux réalités diff : pers physiques et pers morales
Il y a d'abord l'étude de leur personnalité, l'étude de leur individualisat° et enfin en titre 3 : la
capacité des pers physiques.

TITRE 1 : LA PERSONNALITE JURIDIQUE


La personnalité juridique est une aptitude à être titulaire de droit ou tenu d'obligation.
Chapitre 1 : L’attribution de la personnalité juridique
Chapitre 2 : Les attributs de la personnalité juridique

Chapitre 1 :L’attribution de la personnalité juridique


Section 1 : La durée de la personnalité juridique des personnes physiques
Section 2 : L'incertitude de la personnalité juridique
Section 3 : Le reflet de l'état civil

Section 1 : La durée de la pero juridique des pers physiques


I. Le commencement de la perso J.
A) Un principe
La perso J s'aquiert à la naissance sous réserve que l'enfant soit né vivant, et viable. Finalement,
l'enfant qui n'est pas encore né, n'est pas un S de droit, il n'est pas titulaire de droit, ni tenu
d'obligation. D'autre part, l'enfant doit être né vivant, l'enfant né mort, n'est donc pas une personne.
Il y a eu cpt un problème, car l'enfant mort né ne pouvait pas béneficer d'une sépulture, car pour
enterrer une pers, il faut avoir un acte de décès, cpt pour acte de décès il faut un acte de naissance.
Le législateur à alors crée un acte d'état civil : l'acte d'enfant sans vie, il n'acquiert pas la perso
juridique, mais il permet l'inhumation.
Il y a cpt, un problème de def, car la viabilité est une notion médicale. En dr fr, enfant viable lq
dispose de ts les organes nécessaires à la vie en ordre de fonctm. On admet une présomption simple
de viabilité ( OMS) lq enfant pèse au moins 500 g à la naissance et que la gest° a duré + de 5 mois.
L'enfant qui ne naît pas viable, on le lui fait pas alors d'acte de naissance, car certificat
d'accouchement qui doit certifier qu'enfant viable. Il n'est donc pas juridiquement considéré comm
une personne, donc pas de perso juridique.

B) Les atténuations
a) La règle infans conceptus 
l'enfant simplement conçu, est considéré comme né, ch fois que c'est son intérêt. L'enfant n'est
pas encore né, mais --< acquisition anticipée de la perso j, mais c'est cpt soumis à une condit° il faut
que ce soit dans son intérêt.
Hypothèse : décès du père pdt la gestat°, dc qd personne décède plus de droit, dc succes° doit être
liquidée, cpt enfant doit être né, dc finalement il ne peut pas prendre part à cette success°, MAIS si
c'est son intérêt, on peut alors prévoir que dès sa concept°, il est doté de la perso j → Success°
bénéficiaire. Inversement, success° défécitaire ( + de passif que d'actif) : on fait alors inventaire
successoral, notaire va réserver une part de la success° à l'enfant.
Mais cpt, concept° provisoire, car l'enfant doit naître vivant et viable. La cour de Cassat° a rendu
un arrêt 1er ch civ, le 10 décembre 1985, bull 1 er civ, règle Segers : Un H a conclu un contrat
d'assurance décès, le risque assuré : décès et si décès accident, assureur versera le k décès.
Une clause de ce contrat prévoit que le k, sera majoré ( réglementé) en fonct° du nbre d'enfant
vivant au foyer de l'assuré, au jour de son décès. Monsieur Segers décède alors dans un
accident, alors que MS est enceinte de 2 jumeaux. Elle demande dc versement du k décès mais
majoration de ce k, pour les deux enfants à naître. Mais assureur interprêtat° littérale, car
enfant à naître pas au foyer de l'assuré. La cour d'appel de Paris, décide alors qu'il n'y a pas
lieu de majorer le k, car enfant pas né, dc D rejetée. La Cour de cassat°, casse alors l'arrêt
d'appel en faisant appl° de la règle infans conceptus. La cour de cassat° dis que finalement, la
majorat° du k décès était destiné à permetre l'entretient des enfants ap leur naissance.

b) Le décès accidentel de l'enfant à naître


Le 1er arrêt, rendu par la CA de Douet, le 2 juin 1987, JCP89 n° 21250 : accident de la
circulat°, le couple franchisse une intersect°, et est persécuté par une ambulance, la collision
intervient par la droite, or l'épouse est enceinte de 9 mois, elle est donc a terme, l'épouse est alors
hospitalisé en urgence, on pratique alors une césarienne, cpt effract° d'un fœtus mort. L'enfant est
alors né mort. On lui fait alors un acte d'enfant sans vie, et n'a donc pas acquis perso de l'état civil.
On poursuit alors pénalement le conducteur de l'ambulance des pompiers, poursuivi pour : blessures
involontaires pour blessures de la femme et du mari, et également pour homicide inv sur l'enfant à
naître. Mais peut-on reconnaître la qualificat° d'homicide sur un enfant à naître ?
La cour d'Appel, donne une une rep positive. Cela aboutit a une contradict° entre l'aspect civil et
l'aspect pénal. Sur le plan civil, Sylvie pas une personne. Cpt, sur le plan pénal, Sylvie est une pers,
car droit s'applique à une personne. Sauf, si on considère que droit civil et droit pénal, pas m def
de ce qu'est la pers. Donc, en apparence contradict°.
Cette deuxième analyse est alors juste : infract° impossible. Ex : il a percé un coffre fort vide →
infract° imp/ Ex : un pick pocket met sa main dans une poche vide/ Ex : meurtre d'un cadavre.
La cour de cassat° dans un arrêt de 1986, dis que le meurtre du cadavre est puni, on peut retenir la
tentative de meurtre alors m que la victime est déjà décédé. Pour le droit civ, cadavre +une
personne, mais pour le droit pénal : meutre. Donc solut° de la cour d'Appel de Douet est justifiée.

L'arrêt de Douet a été diversement apprécié, jusqu'à qu'une autre cour d'appel, aille dans le m
sens : cour d'appel de Lyon 13 mars 1997, n°22955, cet arrêt est connu comme l'affaire Vo →
accident médical, dans un hopital public de gynécologie, hopsétrique il y a alors deux femmes
parmi les patients, tt deux Vo, d'O vietnamienne , et aucune des deux ne parlent le fr. Une est alors
enceinte est vient pour la visite du 3ème mois de grossesse. Tandis que la deuxième vient pour
qu'on lui retire son stérilet. Cpt, problème, le médecin va se tromper de patiente, mais qui se finit
par la perte de l'enfant à naître. F porte donc plainte, la cour de Lyon est emmené à statuer et
s'appuie sur l'arrêt de la cour d'appel de Douet et condamne l’obstétricien et le condamne pour
homicide involontaire du fœtus. Et le médecin se pourvoit en cassat°, et cour de cassat° stature le 30
juin 1999,p 711, et casse l'arrêt de Lyon au motif que, les faits, n'entrent pas dans les prévis° de l'art
221-6 du CP ( article qui punit l'homicide involontaire : « le fait de causer, par imprudence,
négligence... la mort d'autrui est puni) → Mort ? Oui/ imprudence, négligence ? Oui Lien de
causalité ? Établit. Donc, la cour considère que le fœtus ne rentre pas dans la qualité d'autrui.
Autrui ( alter), finalement enfant l'autre ou sa mère ? Ils ont en commun une série de ch, mais n
m tps ne se confond pas complètement avc sa mère. Dffté du statut de l'enfant à naître. Cette arrêt
de 1999, a mis un terme à ces interrogat° sur la qté de personne du fœtus.

II. La fin de la personnalité


Perso reflet de la vie physique, dc perso j devrait disparaître avc la mort. Mais cpt, perso j
disparaît avc la mort, mais lq ? Il peut s'agir de la mort physique, ou d'une mort juridique (Ex :
esclave, n'existait pas en tant que pers sauf lq l'affranchissait → Abolit° de l'esclave en 1848 avec V.
Shelsher/ Ex : jusqu'en 1854, existait une peine qui s'appelait la mort civile, l'h invisible, pers j
dissoute → abolit° 1854/ Ex : les religieux qui prononçaient des vœux perpétuels, ils étaient « mort
au monde », il étaient juridiquement morts → 1801)
→ On en conclu finalement, que perso j disparaît avc la mort du corps. Cpt problème de preuve et
de def.
-Def : Qq la mort pour les vivants ? ( EMI : expr de mort imminente) Du pt de vue civil : aucune
def de la mort, → problème ? Pour enterrer qlq. Au MA, pr être sur, on attendait les premiers signes
de putrifact°. Au début du 20ème s, le cinéma est inventé, et à chq fois que policier s'approche d'un
corps, approche d'un miroir pour vérifier qu'il y a de la condensation. Cpt, arrêt respiratoire, pas tt le
tps synonyme de mort. Dc approche de la mort révisée en fonct° des connaissances scientifiques.
• La première : résulte d'une circulaire, du 24 avril 1968, qui def la mort comme l'arrêt
cardio-respiratoire. Cette circulaire n'a cpt vécu que 3 jours. Car, le 27 avril 1968, un
chirurgien fr, réalise la première greffe du cœur. Du pt de vu juridique, arrêt cpt de la
circulaire, car il vivait finalement avc le cœur d'un autre, son cœur s'est donc bien arrêté.
ArtR12311 : mort ordinaire, si pers présente un arrêt cardiaque et un arrêt respiratoire persistant.
Mais il faut en + l'absence totale de conscience et d'activité motrice spontanée. Egalement, une
abolit° de ts les réflexes, du tronc cérébral. Et enfin, l'absence totale de ventilat° spontannée.
• La deuxième : art R12322 du Code de la santé pub. Pq une deuxième ? Elle s'adresse aux
pers qui sont maintenues artificiellement dn vie. Pr les besoins d'un prélèvement d'organe
d'un tissu ou de cellules. Dans cette hypothèse, celui qui est relié à un circulateur et un
respirateur est tj vivant. Son corps vivant mais pas lui ?
Si pers assistée par une machine, sa mort suppose la mise en évidence du caractère irréversible de la
destruct° encéphalique. Celui qui est relié à la machine est mort si son cerveau est mort. Les cellules
cérébrales dvt alors être détruites.
Le texte ajoute alors deux considérat° qui relèvent de la preuve :
-2 électroencéphalogrammes dont le tracé doit être nul et au bout de 4h pour une durée
d'enregistrement de 30 mn.
-La réalisat° d'une angiographie objectivant l'arrêt de la respirat° encéphalique.
–> C'est dc la def de la mort

REMARQUE : Ap la mort ?
L'ap mort relève du mystère. Cpt pour le droit, il y aplrs élmts :
-Marcel Plagniol «  les morts ne sont plus des personnes, ils ne sont plus rien ».  Formule celèbre
mais critiquée, car elle est à la fois exacte et fausse. Car qd « mort + personne » → raison ca rmort
entraîne disparit° de la personnalité j, et c'est pq existe + que sa sucess° partagée entre ses héritiers.
Cpt « ils ne sont plus rien », n'est pa stt à fait vrai, car lq pers à rendu son dernier soupir, qd
juridiquement mort, il reste un corps et des souvenirs, et droit continue de protéger corps et
mémoire du mort.
-D'une part protect° du corps : infract° pénale qui protège le corps des défunts → la violat° de
sépulture. La-dessus il y a des particularités : d'une aprt dans l'ancien Cc, la violat° de sépulture
était une violat° d'habitude, et également la violat° de sépulture, suppsée que corps ai reçu une
sépulture → lacune de repress° face à ctns actes de nécrophilie.
La cour de Cassat° : jeune h dont fiancée décède, il va demander à pouvoir se recueuillir, mais lq
infirmière pénètre dans la salle, il est entrain d'avoir un relat° sexuelle avc la personne → cpt vioalt°
sépulture, car corps recouvert d'un draps.
-Protect° dans le d civil et administratif → arrêt du conseil d'état : 2 juillet 1993, Milhaud dalloz 94
p 74. M Milhaud est décédé dans un hopital, et au mmt du décès service d' lhopital avertir famille,
cpt proches ne peuvent venir jusqu'à un ctn délais dc demande des proches d'un délais, qlq jours
après on présente corps du défunt, cpt proches veulent l'inhumer mais avc d'autres vêtements. Mais
lq déshabille défunt, ils voient des traces qui n'ont aucun rapport avc la maladie dt il est décédé. Ils
vont alors demander des explicat° et vont découvrir que monsieur M était maintenu artificiellement
envie, mais pour le b d'expériences scientifiques. Et dc proches d à l'hôpital, des dommages et
intérêts. Mais pour prouver dommage et intérêts → faute. Dc conseil d'état dis que faute est
l'atteinte à la dignité du défunt = principe fondamentale du respect de la pers hum continue de
s'imposer au médecin ap la mort de son patient ajoutant que ce principe interdit qu'une pers en état
de mort cérébral soit maintenu artificiellement en vie pour les b d'expériences scientifiques, a moins
d'un consentement expresse de l’intéresse ou de ses proches.
-Il reste également des souvenirs : il existe tt une série d'infract° qui punissent les outrages, les
diffamations, les atteintes à la mémoire des morts → loi de 1881 sur la lib de la presse.
-Il reste parfois une volonté → la vlté de l'individu peut produire ses effets apr sa mort: testament
( acte juridique par lq on organise la repartit° de ses b ap le décés).
Art 3 : loi du 15 novembre 1887, institut la liberté des funérailles → ts les vvnts pvt de leur vivant
organiser leur funéraille.
→ limitat° de la volonté cpt → Ordre public.
→ Tt tentative d'immortalité est vs ordre pub : car on considère que le renouvellement des générat°
est une nécessité pr qu'un état se dvlp, à la survie du gp social.

Section 2 : L'incertitude de la personnalité juridique


Dans cts situat° on ne sait pas si indv est encore vivant ou s'il est déjà décédé, car la seule
certitude que l'on a de la mort d'une pers est de l'avoir vu morte → Raison pour lq on veillait sur les
morts.
-Une incertitude peut survenir lq on pas retrouvé le corps.

I. L'absence
a) Definition
-Donnée part art 112 du Cc, lq pers a cessé de paraître au lieu de son domicile ou de sa résidence
sans que l'on en ai eu de nouvelles.
-Cpt, si deux indices → pas forcément mort. Son décès ne dvt probable que si situat° s'installe dans
la durée.
-L'absence doit être distinguée de deux notions voisines :
la non présence → l'absence dans le langage courant. Mais finalement, il n'est pas la ou on est
censé le trouver.
La disparit° → on ne le voit, + de nouvelles, il a disparu dans des circonstances qui le mettaient en
danger.

b)La situat° juridique de l'absent


Cette situat° est organanisée en deux phases
• La présempt° de survie : la présempt° d'absence
-Qd comment-elle ?
Elle commence à partir des dernières nouvelles. Mais à ce mmt, rien ne permet de considérer idv
comme décédé.
-Elle dure cbm de tps ?
Code de 1804 → peur de le considérer comme mort alors que encore vivant. La présempt° durée
dnc 100 ans, à compter des dernières nouvelles.
Régime de l'absence réformé en 1977 ( par J CARBONNIER) durée de présempt° de survie → 10
ans ou 20 ans.
-Qu'est ce qu'il se passe ?
Il est présumé vivant mais il n'est pas la → Il reste à la tête de son patrimoine, mais pq pas la, il ne
peut pas l'administrer → art 113 et suiv, on élit un représentant qui va agir à sa place, le juge
choisit représentant → juge des tutelles ( juge unique qui appar au tribu d'instance, il est alors
chargé de la protect° des personnes incapables). L'art 113 dis également ql sont les pouv de ce
représentant ? Le texte nous dis donc que ce représentant à le pouv d'administrer le patrimoine de
l'absent.
REMARQUE : distinct° des actes conservatoires, des actes d'administrat° et des actes de
disposit°.
Acte conversatoire : acte patrimonialement le moins grave, car il vise a conserver ou une ch ou un
d ( Ex : hypothèque, une sureté, une garantie de paiement, mais pr que hypothèque soit valable elle
doit être inscrite sur un registre qu'on appel conservat° de l'hypothèque) Il n'appauvrit pas le
patrimoine.
Acte d'administrat° : Acte de gest°, mais juridiquement c'est celui qui vise à faire fructifier le
patrimoine sans risque d'appauvrissement et d'en diminuer la valeur. ( ex : dans patrimoine de
l'absent, appartement, on va alors le louer)
Acte de disposit° : il entraîne la sorti d'un b ou du d du patrimoine → risque d'appauvrissement.
( ex : une donat°, qui est un acte à titre gratuit, c'est un appauvrissement pur et dur du patrimoine,
mais vente aussi acte de dispo° car si on vent immeuble, il es sorti du patrimoine, m si prix contre-
parti, rien ne dis que le prix va être payé, et m si prix payé, rien ne nous dit que prix corrp à la
valeur de l'immeuble)
Pq les classe-t-on comme ça ? Car acte de dispo est bcp + contrôlé.
Cette classificat° n'est cpt pas tlm étanche, car ctn actes d'admi° graves, son considérés comme
des actes de disposit°( ex : le bail ( contrat de locat° sur un imm) pr une durée sup à 9 ans → acte
d'admi° mais assimilé à acte de dispo° car bail durée de + de 9 ans entraîne pour le preneur un droit
de renouvellement, fnmt à l'expirat° du bail, le proprio ne peut reprendre les lieux que ds ctns cas,
limitativement prévu par la loi du 6 juillet1989 → la reprise pour vendre, habiter, ou inéxécut° du
locataire de ses obligat°) Mais, également ctns actes de dispos° sont assimilés à des actes
d'administrat°, cela concerne un cas : la gest° d'un portefeuille de valeur mobilière.

• La présempt° de décés

II. Le cas de la disparit°

L’état des personnes est l’ensemble des élements de d privé qui caractérise la pers dans son
existence juridique, et dans sa situat° familiale.
Cpt problème : on considère que relève de l’état des personne : le nom, l’âge, le sexe, le lien de
filiation et la situation matrimoniale, mais il existe d’autres éléments ou il existe un débat :
-Le prénom : trad on considère que c’est un elmt de l’état des personnes, ajd cpt on peut facilement
changer de prénom.
-le domicile : on considérait avant que le domicile était un elmt de l’état mais aujourd’hui, nous
sommes dans une société post-industrielle et les déplacements de personne sont bcp + fréquents.
- La nationalité, on considérait que c’était un des elmt qui permettaient d’identifier la pers,ajd c’est
un myn d’identifier la nationalité d’un idv  lien entre idv et état.

Inversement, il y a ctns éléments dont on se demande s’ils ne vont pas rentrer dans l’état des
personnes :
-La profess° : cela doit être un élmt de l’état normalement, ce n’est pas le droit positif, puisqu’on
peut changer de profess°.
-La relig° : ctns auteurs pensent que c’est un elmt par Lq on déf la personne
 cpt laïcité

Probléme : quels sont les principaux caractères de l’état des pers : hab 3 :
a) L’imprescriptibilité
 l’état des pers ne s’acquière pas mais ne ce perd pas non plus, par l’écoulement du tps.
Cpt, conséquences, si je m’attribue un nom que je n’ai pas, un nom à particule, je ne vais pas
pouvoir invoquer une prescription.
Cpt, ce principe est en recul  en matière de nom -> La cour de cassat° admet que l’usage prolongé
d’un nom peut faire acquérir un d sur ce nom. Elle exige un usage sur plusieurs générat°.
 L’article 321 du Cc, est un texte relatif aux actions qui concernent la filiation, les act° de f° se
prescrivent par 10 ans  pour éviter que lien de filialion puisse être contester, instabilité. La filiat°
est un elmt de l’état, donc on admet un mécanisque de prescript° extinctive.

b) L’indivisibilité
  On ne peut pas faire de coupure dans l’état, pour les psy, on a tous plusieurs personnalités,
plusieurs facettes, mais pour le d, seulement une, car perso juridique est le reflet de notre existence,
et l’état est la manière dt on traduit la perso j ( nom, filiat°.) On a dc forcémeent un seul état 
indivible.
Ainsi, une même pers ne peut pas avoir deux états opp simultanément. (On ne peut pas être à la foi
enfant légitime et enfant naturel)

c) L’indisponibilité de l’état des personnes

1) Le principe

L’individu ne peut pas disposer de son état, on peut pas le vendre. Cpt l’indisponibilité  autre idv
ne peut pas lui-m sans aucun contrôle étatique, ne peut pas lui-m décider de changer son état.
Ex : Le nom, peut faire l’objet d’un chgmnt, mais il faut impérativement une décis° de justice –
l’état échape au pouvoir de volonté
Ex : quand on décide de se marier  tj un contrôle de l’autorité pub

On se demande cpt si le principe de disponibilié existe tj : le contensieux s’est dvlp avc le
transexualisme :
-Quel est le problème ?
D’abord, un problème médical  ajd définit comme un «  trouble de l’identité sexuelle qui se
traduit par la conviction d’une personne d’appartenir au sexe opposée »  cpt un problème de def,
quand garçon, quand fille ? Ce sont donc les médecins qui ont travaillé sur la def  priviligient ajd
l’express° d’identité sexuelle, qui se def par trois elmts :
-L’anatomie
-Génétique
-psycho-social
 Lq ces trois élements sont en harmonie, on peut def le sexe de la pers. Il y a cpt un trouble de
l’identité : lq absence d’harmonie entre les 2 premiers et le dernier. L’académie def alors le
transexualisme comme un syndrome ensemble de symptomes
mais que font alors les médecins ?
-On va alors essayer de rééduquer le sexe psychologique, remettre l’ensemble en harmonie. Cpt, les
médecins expliquent alors que ctns situations ou cela ne fonctionnent pas, car la convict°
d’appartenir à l’autre sexe est trop importante. Cette convict° tellmt impt  évolut° spontannée de
l’anatomie ( la voix change, organe sexuel régresse) Lq dans cette situation là, si les médecins
n’interviennent pas, pourcentage très élevé de suicide ou d’auto-mutilation, alors les médecins
acceptent la réalisation d’opérat° de convers° sexuelle, cette opérat° comporte cpt que sur
l’anatomie mais pas sur la génétique.
Il dvt aussi un problème sur le plan j : car transexuel qui a obtenu operat° de convers° d convert°
de son acte de naissance, et un chgmt de prénom, cela est-il donc possible ? avec le principe
d’indisponibilité ?
-Les solutions ?
-Une étape marquée par le libéralisme  Cour de cassat° du 3 et 31 mars DALLOZ p 445
La cour de cassat° distinguait que lq operat° de convers° sexuelle avait été réalisée pq une évolut°
spontanée de l’anatomie, elle admet donc l’autorisat° de changer de prénom  car n’avait pas
choisi de changer d’état, c’était une évolut° sans volonté. Cpt, lq opérat° réalisée en l’absence
d’évolut° spontanée de l’anatomie  impossible.
La doctrine a ris l’hab de parler de vrai trans et de faux trans
- l’idée de la sévérité  Elle résulte de 4 arrêts: 21 mai 1990 DALLOZ 91 p 169. Dans les 4
arrêts  trans vrais « Même lq est médicalement reconnu, le transexualisme ne peut s’annalyser
comme un véritable chgmt de sexe, le transexuel, bien qu’ayant perdu ctns caractères de son sexe
d’origine, n’ayant pas pour autant acquis les caractères du sexe opposé » On ne peut donc plus
rectifier le chgmt de prénom et rectificat° de l’acte de naissance. Ce qui est décisif au mmt de la
declarat° est anatomique.
-La censure : résulte d’une décis° de la CEDH du 25 mars 1992. Cpt, des problèmes :
-pq CEDH ? La CEDH peut être saisi qu’apres extinct° des voies de recours , celui qui va la saisir
est un des trans dt la demande va ête rejeté en 1990, cpt ce trans est un trans vrai
-Le rôle de la CEDH : il faut alors montrer que la posit° du trans est contraire aux conventions du
CEDH. Cette arrête Botela  On a considéré que le refus de rectifier portait atteinte a art 8 de la
convention droit au respect de la vie privée, car qd il devait présenter son num de sécu sociale,
cela l’obligeait à dévoiler un elmt de sa vie privée, car la personne en face peut alors savoir qu’il a
subit une opérat°  séxualité relève de la vie privée.
-L’étape du revirement : Il résulte de pls arrêts du 11 dec 1992, 18 mai 1993 n° 21992  La
jurisprudence abondonne sa jurisprudence du 21 mai 1990 et revient à sa jurisprudence 3 et 31
mars 1987  Mais y a-t-il réellement un progrè du droit ?
ce virement nous expose encore à une condamnat° par la cours  dans son arrêt du 25 mars, la
cour Européenne  ne pas restifier acte de naissance est violat° de l’art 8, elle ne se demande pas si
violat° du principe de disponibilité, cpt si faux trans  il va alors être condamner.
NOUVEAU ARTICLE 61-5 ET SUIV CODE CIVIL MODIFICATION

REMARQUE :
-dps la loi « pour une justice du 21 ème s »  prévoit que la rectificat° de l’acte de naissance ne cas
de trans, sera de la compétence de l’officier de l’état civil. Cpt, cmt savoir si vrai ou faux trans ?
-Problème : quels sont les effets du trans sur le mariage ? la doctrine a proposé trois pistes :
Nullité du mariage, qui n’est cpt + utilisable dpuis la loi du « mariage pour tous »
 La piste de la caducité  Sanctionne la disparit° d’une condit° de validité d’un contrat, au mmt
de son exécution ( ex :le bail : pour que bail puisse existe  immeuble, cpt immeuble détruit, donc
bail ne peut plus s’exécuter). Cpt diff de sexe + condit° de validité dps 2013.
 La divorce : cpt plusieurs types de divorce : consentement mutuel. Arrêt de la cour d’appel de
Nîmes et p124 : Caen : prononce de divorce pour faute, cpt la faute serait finalement le
transsexualisme, qui a été jugé cpt authentique, et donc admis par la justice. Le trans également
considéré comme une maladie.

Arrête Cours d’appel de Paris du 25 mai 1990 : une photographie prise lrs d’une manife° dans une
très gd avenue de paris, or un ctn nbre de visage sont parfaitement reconnaissable, cpt qlqs mois
après on rentre dans une période électorale et un parti pol utilise cette photo dans son tract électoral
 réutilisat° de cette image à des fins de propagande pol. 

Jurisprudence apporte qlq précisions :


-Pr les enfants mineurs, l’autorisat° doit être donné par les titulaires de l’autorité parentale.
-En cas de décès de la pers, autorisat° est donnée par ses héritiers.  François Mitterrand  Photo
prise à l’enterrement publiée dans la presse TGI de Paris 13 janvier 1997 p255
-La jurisprudence décide que l’autorisation est spéciale  elle ‘nest valable que pour l’usage pour
lq elle a été donné.  Autorisat° donnée pour la prise de vue, ne vaut pas autorisat° pour la
publicat°, diffus°…
Ex : Artiste du spectacle a donné interview à un journal, cpt photographie prise, diffusée par un
autre journal –> interdit car spécialisat°.

2) Exceptions :
 La notion de lieu de public
-L’image est captée dans un lieu public  un lieu public est librement accessible à tous, et lq on se
trouve dans un lieu public, on accepte par avance d’y être vu, y compris par un objectif.
Cpt problème : Qu’est-ce qu’il faut entendre par « lieu public » ?
-On considère que sont des lieux publics, les voies de circulation en g ( rue, avenue..) (: Jugement
trib civ Yvetot 2 mars 1932 : Il s’agit d’une carte postale, qui représente une scène de la vie
agricole, c’est donc sur un chemin départemental, sur lq on voit des animaux, avec une charrette avc
un paysan. Le paysan, fait alors un procès à l’éditeur de carte postale  Trib déclare qu’autorisation
car voie de comm) les stades, les piscines publiques, les sites historiques C’est cpt lq accès est
payant lq faut acquitter un d d’entrée (  Arrête de la cour d’appel de Paris du 24 mars 1965 n°
14305 :une carte postale qui représente la tour de Pise, mais on voit un gp de touriste qui admire la
tour, et certains sont en maillot et l’une de ses touristes, assigne alors l’éditeur, la CA de paris
décide que c’est un lieu pub.
-Lieu privé : l’intérieur des hab (arrêt de la 1 ch civ du 10 septembre 2014 pourvoi n° 1322612 
photo d’une perso sur son balcon  les balcons sont en surfont de la voie pub  cour rejette
argument, car balcon sur son lieu privé) les jardins, les voies privées de circulation, les piscines
privées, l’intérieur des véhicules.

 Exception de l’exception
Principe : on ne peut capter l’image d’une pers sans autorisat°, sauf dans un lieu public, cpt il faut
reveni au principe  autorisat° rdvt nécessaire car bien qu’elle soit prise dans un lieu pub, la
photographie a été réalisée en cadrant uniquement sur un pett gp de perso ou une pers  Cour de
cassat° déclare que autorisat° est désormais nécéssaire  trib de paris 3 mai 1989 DALLOZ 1999
228 : match de football qui donne lieu à une couverture médiatique impt, au cours de ce match un
joueur accroche un joueur de l’équipe adversaire, qui se retrouve dénudé, alors la couverture du
journal va montrer cette photo  l’Équipe va alors argumenter en disant qu’il s’agit d’un Lieu
public, ainsi qu’une deuxième except° : le d du public à l’info  Cpt, cour va considérer que aucun
intérêt dans l’info du pub.
 le droit du pub à l’information :La participat° à la vie pol, ou l’implicat° d’un idv dans un evmt
d’actualité entraîne toujours une couverture médiatique  donc pas besoin d’autorisat°. Cpt cour de
cassat° : Plsrs précis° 
-Pr les pers pub, leur autorisat° n’est présumé que dans le cadre de leur activité pub

-Les pers pub peuvent révoquer cette autorisat° tacite dans une communauté de presse, ou une prise
de posit° pub.
 Arrêt de la cour d’appel de paris 7 juin 1988 DALLOZ 1988 P 224  Actrice de film
pornographique qui a décidé d’arrêter d’exercer son activité, et par son agent elle publie un
communiqué de presse : elle donne à sa carrière une nouv orientat° et qu’elle souhaite interdire
toute captat° de son image futur mais aussi de rediffus° des images passées. Une revue porno publie
alors des images.
-précis° concernent les pers engagées dans un evnt d’actualité  jurisprudence décide que captat°
de leur image possible sans autorisat° mais, seulement dans la limite de ce qui est nécessaire à
l’informat° du pub.
Ex : attentat du 11 Septembre 2001

REMARQUE : TGI de Paris 20 septembre 2016, concerne Jean Pierre Trevers, suspecté d’avoir
assassiné deux jeunes femmes. 2 signes  carte bleue ne borne plus, et téléphone ne marche plus.
Corps retrouvé dans le puit de la ferme je JPT. Il va cpt s’échapper et partir en cavale durant une
20taine de jours. Des journalistes vont alors le retrouver avt les gendarmes et vont prendre des
photo de l’H. Cpt qd gendarme le retrouve, h pendu. Des proches de JPT ont assigné le journal LE
FIGARO pour avoir diffuser des images sans son autorisat°. Trib de paris  info du pub.
-Image captée pour des raisons d’ordre publique  commis° d’infract° pénale le + svt.
Ex : Arrêt de la cour de cassat° 7 mai 1996, automobiliste flashé par un radar, avt par l’avant, on
cherchait alors à identifier l’auteur de l’infract°. Lq radar par arrière, on cherche une plaque
d’immatriculation. Pr échapper à la condamnat° : Il dit alors que pas d autorisat°,  on peut
invoquer lieu pub car voie de circulat°, cpt voiture lieu privé. Donc cour de cassat° considère que
lieu privé oui, mais captat° pour des raisons d’ordre public.
Ex : TGI de Marseille 23 mars 1995  H placé en garde à vu car accusé de participer à plusieurs
infract° pénale, on prend alors des photos  il invoque droit à l’image  rejet
Ex : Arrêt cour de cassat° 16 mars 1994 n° 22547  Paul Touviers, ancien chef d’une milice qui
a été poursuivi pr avoir participer à des déportat° de pers  renvoyer dvt cour d’assise des
Yvelines, cpt une loi du11 juillet1985, « loi relative à la C° d’archive audiovisuelle de la justice »
elle permet d’enregistrer des procès avc un intérêt historique.  Donc bien intérêts historiques, dc
président des assises décide enregistrement, cpt T invoque son d à l’image  Cour de cassat° rejette
sa d.

REMARQUE :
-En jurisprudence se pose le problème de l’image des biens  peut-on admettre que l’on ne peut
pas prendre en photo les biens d’autrui ? L’image des biens est alors libre si elle ne porte pas
atteinte à la vie privée d’autrui.
Il existe alors une protect° pénale de l’image  art 226-1 prévoit une peine de un an
d’emprisonnement et 45000 euros d’amende à l’encontre de la pers qui aurait capter publier
transmise, l’image d’une pers dans un lieu privé sans son consentement.
 ajout de l’art 226-1-1 sur le revenge porn 

3) Le droit à l’honneur
-TGI de Paris 14 avril 1972 JCP 7517261 affaire Monerville  député du sénateur de la Guyane,
les adversaires de la C° est de dire qu’on déséquilibre les pouvoirs. Cpt ap C° de 1958  Sénat
majorité de centre-gauche et donc élect° du pres Gaston Monerville, qui est resté pres du sénat pdt
une 20 taine d’année, cpt pas m couleur que le pres de la rep. Egalement rivalité perso entre le GDG
détestait Monerville. Un journaliste, va écrire un livre, publié de manière anonyme, dans lq il
soutient que Gaston Monerville a participé à l’organisat° de plsrs attentants vs Général de Gaulle.
Trib a donc condamné éditeur., au motif que tt pers peut agir en défense de son honneur, il devait
donc obtenir une autorisat° préalable.

4) Le droit à la voix
-la voix est l’image sonore de la pers. La jurisprudence applique en matière de loi, celle qu’elle
applique en matière de droit à l’image
 Arrêt 11 juillet 1977 affaire Léon Zitrone, journaliste, qui va s’intéresser + particulièrement aux
courses de chevaux, puis il est le commentateur officiel des mariages princiers.. Car il a une voix
très particulière. Affaire qui concerne agence de publicité, pub destinée à être diffusée à la TV, idée
d’utiliser la voix de LZ, cpt si d d’autorisat° il peut alors refuser, ou accepter mais en d de
rémunérat°. Ils inventent un stratagème. Donc : trib considère que voix hm est un attribu de la perso
et que toute pers, est en d d’interdire que l’on utilise ou que l’on imite sa voix dans des condit°
susceptibles de lui causer un préjudice.
 Remarque : 226-1 punit des mêmes peines le fait d’enregistrer ou de transmettre les paroles
prononcées par une pers sans son consentement.

II. La sanction des atteintes au droit de la PJ


(voir infra car on applique les mêmes sanctions qu’en cas d’atteinte à la vie privée)
Section 2 : Les droits au respect de la vie privée
-Création jurisprudentielle
-Art 9 du Cc loi du 17 juillet 1970 al 1 « chacun à droit au respet de sa vie privée » et al 2 « 

I. Notion de vie privée


A) L’identité et l’adresse
-Arrête de la CA de paris 15 mai 1970 p 466 « Affaire jean ferrat  » Hebdomadaire qui avait
publié un art sur l’identité véritable de JF, l’adresse de sa résidence principale, secondaire et tous
ces numéros de téléphone.  la CA de paris atteinte à la vie privée = lib de la presse et le d du
public à l’info ne serait justifier des atteintes au d de chcn à la paix et à la tranquillité.
-Arrêt du TGI de Grande Instance de paris  journal qui publié l’adresse d’un magistrat anti-
terroriste.
-Arrêt de la Cour de cassat° du 19 mars 1991 DALLOZ p 568  faits : créancier et un débiteur
voudrait faire saisir ses biens. Mais débiteur à déménagé. Le créancier s’adresse à l’employeur et
demande alors de lui communiquer adresse du débiteur  salarié engage procès vs son employeur
pour violation de l’art 9. Cour de cassat° dis alors que pas d’atteinte à la vie privée.

B) La nudité
-Ctns arrêts considèrent que reprod° image d’une personne dénudée  considérée comme une
atteinte à l’image et à l’intimité de la vie privée.

C) La santé
-cour de cassat° 9 juillet 1980 DALLOZ 81 « Affaire Jacques Brel »  photo de JB très faible, très
amaigris. La cour de Paris considère que atteinte à la vie privée car art donnait des détails sur sa
maladie. Elle relève aussi que JB devait rester très discret sur sa maladie.

D) La vie sentimentale
-Les fiançailles
La révélation des fiançailles, la jurisprudence relève de la vie privée
TGI de paris du 2 juin 1976 DALLOZ p  la vie sentimentale présente un caractère strictement
privé. L’article 9 du Code c interdit de porter à la connaissance du public, les liaisons véritables ou
imaginaires d’une personne.
-Mariage
Problème  acte j public  célébration à la mairie. La jurisprudence consièdre que la révélat° d’un
projet de mariage peut constituer une atteinte à la vie privée mais pas la révélation du mariage après
avoir été célébré.
-La révélation de la maternité ou de la grossesse
La maternité : fait j pub  donne lieu à un acte d’état civil
La grossesse : au-delà d’un ctn stade de gestation  cela se voit. Révélation d’une grossesse
atteinte à la vie privée, si tout début d’une gestation.
Arrêt de la CA de paris 26 février1981, DALLOZ p 181
-L’adultère
Problème : loi du 11 juillet 1975 a réformé le divorce : l’adultère était une infraction pénale, un
délit  de dfflté de preuve (apportée par service de gendarmerie…). Cette loi a dépénalisé adultère,
cela reste une faute civile.
Mais double problème de preuve : celui voulant établir adultère doit la démontrer, mais cette preuve
porte atteinte à la vie privée, ou même l’inviolabilité du domicile. Atteinte à la vie privée de qui ?
-pour résoudre fltté de preuve : principe de la de cour de cass1 ch civ. 6 février 1979 JPP 1980 N°
1990 :
 Constate que constat d’adultère peut être réalisé par huissier de justice, mais doit avoir été
autorisé par président TGI statuant par loi d’ordonnance sur requête.
Ordonnance sur requête et ordonnance de référé  Elles ont en cmmn d’être des procédures
d’urgence, mais diff : ordonnance de référé est contradictoire : adversaire est informé…
L’ordonnance sur requête est une procédure d’urgence non contradictoire.
 CA de Lyon 2juillet 1991 Dalloz 91 p 252 : f a fait constater adultère de son mari, et a obtenue
autorisat° du TGI… Mais une fois rapport du TGI de justice  photocopie et l’a envoyé au mari de
la maîtresse de son mari. La maîtresse agit vs l’épouse pour atteinte à la vie privée, mais pas du tout
de constat par ordonnance  Pres du TGI permet réalisation du constat mais pas sa diffusion.
 Arrêt de la CA de Paris 5 mars 1990  artiste de cinéma qui écrit un ouvrage
autobiographique ou elle raconte cmb elle a été meurtrie pas infidélités de son mari.  assigne pour
atteinte à la vie privée  pour CA violat° de l’article 9.

 Lq le constat autorisé par pres du TGI… Le constat réalise alors une atteinte licite à la vie privée
et à l’inviolabilité de la vie privée.

E) La correspondance
Est-elle protégée par art 9 du Cc ?
-Il y a des correspondances officielles : destinées a être publiées.
-La correspondance ordinaire : principe de secret : infract° pénale correspondante : art 226-15 du
CP.  Punit violation de correspondance.
Mais sur plan civil, peut-on considérer que c un elmt de la vie privée ?
 Arrêt de Cour de cass ch. Soc. 2 octobre 2001 pourvoi n° 99-42942 « Arrêt Nikon »
Licenciement d’un salarié de la société Nikon, car dans le contrat de W, figuré une clause que
salarié avait signé qui prévoyait que le salarié se voyait remettre un ordinateur, une connexion inter
et adresse e-mail, ces élmts à but exclu pro. Il était aussi écrit que Nikon interdisait usage de ces
elmts à instru perso. Il a alors utilsé ces elmts pour aller sur site porno  usage pas prévu par le
contrat de W. Donc, pas respect de la clause dans son contrat de W. Mais argumentaire  pour
prouver cette faute, la société a pénétré la boite e-mail du salarié sans l’autorisation. Il dit alors
qu’on ne peut pas en rapporter la p, car rentrer dans boite e-mail sans autorisation  Ccass : attendu
que que le salarié à droit m au tps et au lieu du W au respect de l’intimité de sa vie privée et celle-ci
implique en particulier le secret des correspondances. Donc société Nikon  faute.
Arrêt illustre alors confus° entre vie privée et vie publique.
 la correspondance protégée par secret de la vie privée.

F) La fortune
La fortune relève-t-elle de l’article 9 ?
Ccasse a tranché par un arrêt 1 ch civ 28 mai 1991 DALLOZ 92 p 213 : Attendu que le respect
dû à la vie privée de chcn n’est pas atteint par la publicat° d’ordre patrimonial, comportant aucune
allusion à la vie et à la personnalité de l’intéressé.

REMARQUE : Art 9 al 2 du Cc : On voit une distinction entre les atteintes à la vie privée et l’alinéa
2 qui énumère les sanctions que juges peut énoncer en cas d’atteinte à la vie privée.
Doctrine : quelle différence ? Ajd, + b de cette distinction  al 2 prévoyait que atteintes à l’intimité
de la vie privée pouvaient être sanctionné en référé, sauf qu’ajd Cde cass s’appuie sur art 808 du
Code de procédure civile, qui permet de saisir le juge des référés pour faire cesser un trouble
manifestement illicite.

II. La sanction des atteintes à la vie privée. (S’appliquent au d de la personnalité)


-On peut demander des sanctions en référé. Parmi ces sanctions :
- sanctions réparatrices : pour réparer préjudices qui s’est déjà réalisés  exécution par
équivalent : dommage et intérêts.
-Sanctions préventives : permettre au juge de faire cesses l’atteinte à la vie privée  art 9 al 2 du
Cc  Il cite le séquestre : confiscation/ la saisit (exemplaires saisis sont détruit) / ou autre
( suppression des passages litigieux/ l’insertion du dispositif de la décision de condamnation : le
juge peut décider que le dispositif sera publié dans plrs journaux ( journaux resp de l’atteinte, ou
d’autres journaux aux choix de la victime)

TITRE 2 pas au programme

TITRE 2 : L’individualisation des personnes physiques


L’individualisation : l’identification, distinguer une personne de ces semblables. L’identification des
perso est une nécéssité absolue de la vie j.
Ex : les contrats, qui ont deux parties, qui vont créer d et obligat° mais si on ne peut pas identifier
les parties, le contrat ne peut s’exécuter.
Ex : L’accident, qui fait naître pour le responsable l’ob° d’indemniser. Si pas de responsables 
personne pour indemniser

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