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LE DROIT SUBJECTIFS

On va s'intéresser au prérogtive accordé au sujet de droit.

TITRE 1 : Les titulaires de droit subjectifs les sujets de droits


Les sujets de droits sont les personnes au sens de juridiques. C'est un droit capable de jouir
de droit et d'obligation, un être dôté de la personnalité juridique. Il y a des personnes
physiques et des personnes morals.

CHAPITRE 1 : L'EXISTENCE DES PERSONNES JURIDIQUES

I) L'existences des personnes physiques

La personne phisique apparait avec la naissance et disparait avec la mort. Avec une situation
intermédiaire où on ne sait pas si la personne est en vie ou pas.

§1) La naissance

A) La naissance par l'accouchement

La naissance corresponds elle à son apparition in utero ou à à l'accouchement. La cours


européenne des droits de l'H dans un arrêt du 8 juillet 2004, à décidé que cela dépendant de
chaque Etat. Le droit français estime que la naissance à lieu au jour de l'accouchement, avant
accouchement il n'y a pas de personnalité juridique. Mais à la condition que l'enfant naisse
vivant et viable. Plusieurs conséquences :

-L'interruption volontaire de grossese n'est pas juridiquement un acte enlevant la vie à un


enfant car pas de personnalité juridique avant l'accouchement.

-Le fait de provoquer la mort d'un foetus in utero, n'est pas considéré comme homcide :
arrêt Ccass ass plénière le 22 juin 2001.

B) La naissance avant l'accouchement

Exeption traditionnelle qui n'est pas prévu par la loi mais par un adage "infans conceptus "=
un enfant simplement conçu peut être assimilé à un enfant née à chaque fois que cela est
dans son intêret. Cette règle on la retrouve dans certaines dipositions du code civil : en
matière de succession 725 du CC, l'hypothèse est qu'une personne décède que l'un de ses
potentiels hériters est encore dans le ventre de la maman, alors si on applique la
personnalité juridique, la 3eme enfant n'hériterait pas. D'où l'application de l'adage lui
permet d'avoir la qualité lorsqu'un héritage est ouverte pendant la grosseses mais pour cela
l'enfant devra naitre vivant et viable. Il y a alors une crétation de fiction juridique car on
consièdre l'enfant née, il va y avoir une rétroactivité de la personnalité juridique.

C) La déclaration de naissance
Il faut impérativement que dans les 3 jours de l'accouchement l'enfant soit déclaré à l'Etat
civil par le père ou à défaut par le personnel médical.

Si il décède avant les 3 jours, il devra quand même être déclarer. Lorsque l'enfant ne nait pas
vivant ou viable dans ce cas là il n'y aura aucune déclration de naissance à faire, il faudra
fournir à l'Etat civil un acte de naissance sans vie. Désormais il est quand même possible
d'inscrire l'enfant de l'inscrire dans le livret de famille, ( mais de personnalité juridique).

§2) La mort

R71-1-7-1

Elle doit être déclaré à l'état civil et prend la forme d'un acte de décès

§3) La disparition

1) L'absence

Lorsqu'une personne n'est présente ni à son domicile, ni à sa résidence et qu'elle ne donne


plus aucune nouvelle.Danc cette situtation il y a 2 possibilité : Le juge des tutelles peut être
saisit afin de faire une présemption d'absence et de déclarer un représentant de l'absent. Si
l'absent revient tout s'arrête. Or si la situation dure plus de 10 après le jugement, dans ce cas
le tribunal de grande instance il pourra donner un jugement de déclaration d'absence. Les
effets de ce jugement sont plus iùmportant et traité à l'article 128 du CC et l'absent est
considéré comme mort et s'en suit les conséquences : ouverture d'une sucession et
dissolution du mariage. Si la personne réaparait, il pourra demander à ce que les effets du
jugement d'absence soit interrompu en revanche, la disparition de ces effets ne pourra être
rétroactive. Donc cela signigie pour la dissolution du mariage, qu'il restera dissout. Pour tout
les biens liquidés, on revient pas dessus. Donc la personne ne

2) La disparition

La personne est absente et en plus cette personne avan de disparaitre était exposé à un
danger précis de mort, mais son corps n'a pas été retrouvé. Dans ce cas on retrouve le
régime au art 88 et suivant du CC. Cela permet de déclarer " le disparu a été exposé à des
circonstances de nature à mettre en danger sa vie et son corps n'a pas été retrouvé". Le
jugement fera acte de décès. Si la personne revient, c'est la même chose que pour l'absence.

CHAPITRE 2 : L'individualisation des personnes physiques

§1) Le nom

A) Le prénom

Tout persone doit avoir au minimum un prénom. Le père généralemnt se présente à l'Etat
civil et donne les prénoms. Si l'officier d'Etat civil estime que c'est contraire à l'intérêt de
l'enfant ou au droit des tiers de protéger leur droit de nom de famille. En cela il doit en
référer au procureur de la République, et alors le Procureur si il estime qu'il y a un risque
pour l'enfant il va saisir le juge au affaire familiale, qui décidera ou non de la supression du
prénom. Si les parents refusent, le juge décide du prénom.

En principe le prénom est immuable sauf dérogation. Il est possible de demander un


changement de prénom devant le juge au affaire famillaile mais il faut justifier d'un intérêt
légitime.

B) Le nom de famille/ le nom patronimique

art 311-1 et suivant du CC.

Le nom de famille est obligatoire. En principe c'est le nom des parents sauf pour les enfants
qui naissent sous X. En cela quel nom va-t-on à l'enfant ? Dans ce cas c'est l'offier d'Etat civil
qui choisit le prénom et le nom, le dernier des 3 prénoms constituera son nom. Dans une
hypothèse plus classique, les parents peuvent choisir le nom de famille que portera l'enfant,
soit celui du père, mère, ou pére-mère ou mère-père. Chaque parents doit donner un seul de
ses noms de famille. Si c'est une fraterie dans ce cas là, lhoix opérer pour le 1er qui
s'appliquera. Si lrd parents ne décident pas, le nom de famille sera donner par le nom de
famille de filiation qui sera connu en 1er. Si c'est en même c'est le nom du père qui va être
donner.

L'effet juridique du nom de famille il est obligatoire, on peut en revanche prendre un nom
d'usage. Le nom est immuable comme le prénom, sauf article 61 du CC donc intérêt plus que
légitime. Il faut qu'un décret intervienne. Ensuite le nom est indisponnible, on ne peut le
céder à quelqu'un d'autre.

§2) Le sexe

A) La détermination du sexe

La mention du sexe féminin ou masculin doit obligatoirement figuré sur la déclaration de


naissance. En revanche il y a une difficulté qui peut survenir, il y a eu une malformation,
l'enfant est à la fois fille et garçon. Les parents avec avis des médecins doivent trancher, et
que l'adolescent évolue vers le sexe inverse. Il faut donc demander une rectification à l'Etat
civil.

B) Le changement de sexe

Dans ce cas, il n'y a pas eu pb de détermination du sexe. Mais avec le temps un décalage se
fait entre son sexe psychologique et son sexe physiologique. Ce décalage va être considéré
comme une pathologie et va conduire la personne à changer son sexe physiologique.
L'aboutissement va être le changement de son prénom. Dans un premier temps la Ccass
était hostile à ses demandes de changements de sexe, elle refusait de faire coincider le sexe
avec la mention à l'Etat civil. 1er argument : principe de l'insdisponibilité de l'état des
personnes, donc l'impossibilité pour la personne de disposer de certains éléments. Donc
l'argument était que l'Etat civil se basait que sur le sexe physique à la naissance. Cette
position là du droit français a été sanctionné par la cours européenne des droits de l'H dans
l'arrête Botella le 25 mars 1992 . La condamnation portait sur l'atteindre à la vie privé, art 8
de la convention Eur des droits de l'H. Tout personne a le droit au respect de sa vie privé. La
France a donc opérer un revirement de jurisprudence en 1992 et par la suite d'autre arrêt ont
confirmé le revirement en 2012 et 2013. Depuis 25 aans, il est donc possible à certaines
conditions strice d'obtenir la modification du sexe à l'Etat civil :

-Syndrome du transexualisme : le demandeur doit avoir le sentiment profond d'appartenir au


sexe opposé, et qu'il soit démontré par de experts.

-Rapprochement irréversible du sexe.

-Un comportement social conforme au sexe auquel il estime appartenir.

TITRE 2 : TYPHOLOGIE DES DROITS SUBJECTIFS

I) Les droits extra patrimoniaux

Tout les droits ne sont pas subjectifs, certains sont de pure interdiction. Il faut distinguer les
droits extra patrimoniaux : pas suseptible d'être évaluer en argent car il permettre le respect
de D moral, ils ne peuvent être transmis à autrui, imprescritptible, ils sont attaché à la
persnne et ne sont pas transmis au héritier; ex : respect de la vie privé, le droit au respect de
l'intégrité physique sauf si intérêt général : possibilité de forcer la personne à relever ses
empreinte digital. En revanche impossible de faire se soumetrre un personne à des examens
sanguins. Il interdit de vendre des élèments de son corps. Une femme ne peut pas accepter
de pratiquer la GPA. Le droit à l'image, le droit à l'honneur, droits familliaux

II) Les droits patrimoniaux

Droit susceptible d'une évalutation pécunière.

§1) Le patrimoine

On peut le défénir comme l'ensemble des biens et rapport de droit (comprenant dette et
créance)appréciable en argent d'une même personne. On dit que c'est une universalité de
droit, càd un ensemble d'élèment d'actif et de passif qui sont indissociablement lié.
L'ensemble existe par lui même, il ne se réduit pas à ce qui le compose.

Le patrimoine est une sorte d'envellope avec tout sorte de contenu : tout les biens dont nous
sommes propriétaire,les dettes et créances. Donc le côté actif et passif. Tout les créances
sont de l'actif. En recanche si on a un dette c'est du passif. Il faut savoir que dans le
patrimoine l'actif répond du passif, càd que les créanciers d'une personne peuvent se faire
payer sur l'actif. Donc par exemple, saisit des biens si refus de paiement. On doit a deux
auteurs : AUBRY et RAU. Ils ont mis en évidence 4 principes important sur le patrimoine :
-Seul les personnes juridiques ont un patrimoine,

-Toute personne à un patrimoine depuis que nous sommes née vivant et viable.

-Chaque personne n'a qu'un seul patrimoine, une seule envellope indivisible.

-Le patrimoine est inséparable de la personne, personne ne peut le transmettre tant qu'elle
est vivante. On ne peut se séparer que des élèments entre vivants.

§2) Les différentes catégorie de droit patrimoniaux

A) Les droits réels

Ce sont les droits qui portent sur les choses. Article 544 du CC " le droit de jouir et de
disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on en fasse pas un usage
prohibé par les lois et les réglements". Ce droit de proprieté comprends 3 composantes :

-Usus : le droit d'user de la chose

-Fructus : le droit de percevoir les fruits de la choses

-Abusus : le droit de disposer de la chose.

Ex: propriétaire d'une maison, le droit d'habiter dedans = usus, frutus : droit de louer,
l'abusus = droit de vente, démolition.

B) Les droits personnels

Ou droit de créance càd les rapports de droits en vertu desquels une personne, le créancier,
peut exiger d'une autre personne, le débiteur, qu'elle fasse, donne, ou s'abstienne de faire
quelque chose. Il y a 3 éléments constittufi

-Le sujet actif, celui qui a droit de réclamer quelque chose = le créancier

-Le sujet passif, celui qui doit quelque chose = débiteur

-Chaque droit personnelle à un objet : la chose ou la prestation.

Le droit réelle met en face à une personne et un chose, le droit personnels met en face 2
personnes.

Ex : le droit de non concurrence, contrat de bail = contrat sinalgmatique (au moins 2 droit
personnelle)

C) Les droits intellectuelles

Ce sont des droits de propriétés incorporelles, porte sur le produit d'une activité intellectuel.

ex: le droit d'auteur(70ans après la mort), brevet (5 ans renouvelable pendant 25 ans).
TITRE 3 : LES SOURCES DU DROITS SUBJECTIFS

Le contrat rentre dans la catégorie des actes juridiques. Certains droit subjectif vont naitre de
la volonté du débiteur et du créancier, ceux qui naissent des actes juridiques. En revanche
naisse de situation au travers desquelle il n'y avait pas volonté de crée un droit subjectifs,
ceux qui naissent des faits juridiques.

1) L'acte juridique

On peut le défénir comme une manifestation de volonté destiné à produire des effets de
droits et que le droit a habilité à produire de tel effets.

Ex: le contrat, le testament, c'est le souhait des personnes qui fait naitre des droits.

2) Le fait juridique

Situation à laquelle le droit objectif attache des effets de droits indépendamment de la


volonté de la personne impliqué.

ex: décès d'une personne, casse d'un objet.

Si la personne ne veut pas s'éxécuter, elle peut aller devant un juge est demander
l'éxécution. Mais pour que notre droit soit reconnu, il faut prouver le droit que l'on invoque.
Attention : ce n'est pas parcr qu'un droit existe qu'on peut le prouver, et si on ne peut pas le
prouver alors ce sera comme si il n'existait pas. Ce n'est pas établir la vérité que de prouver,
c'est convaincre le juge. La Q de la preuve va concerner tout les branches du Droit. On
s'intéressera au règle de preuve en matière civil, et la matière a été réformer récemment par
une ordonnance 'portant réforme des droits des contrats, du régime général et de la preuve
des obligations" en février 2016.

Cette ordonnance à créer un titre dédiés au droit de la preuve des obligations. Ce nouveau
titre ce sont les articles 1353 et suivant du CC. Qui traite du droit général de la preuve. Il faut
ajouter d'autre trouver dans le C de procédure civil au article 132 à 322 : droit processuel
relatif à la preuve. Lorsqu'on aborde la Q de la preuve, 3 questions se posent :

-Qui doit prouver ? Q de la charge de la preuve, sur qui pèse la charge, est-ce tel ersonne qui
doit prouvé ou celle-ci ?

-Que doit-on prouver ? Objet de la preuve

-Comment peut on prouver ? Q des modes de preuve.

I) La charge de la preuve

Désigne le fait de devoir apporté la preuve le premier. Déterminé sur qui pèse la charge la
preuve permet d'identifier la partie qui devra prouver le fait alléguer. Dans le cas par
exemple, d'un droit personnelle est ce au créancier ou au débiteur de prouver ? Une fois que
la première partie à réussi de prouver la chose, alors c'est à la seconde partie de prouver
quelque chose, et ainsi de suite... Jusqu'à ce que l'une des parties ne puisse plus prouver.
Mais si le premier n'a jamais réussi à prouver, la procédure s'arrête là.

§1) La répartition de la charge de la preuve

Article 1353 du CC, et art 9 du CPC " il incombre à chaque partie de prouver conformément à
la loi les faits nécessaire au succès de sa prétention". Donc la charge repose sur le
demandeur.

L'article 1353, était avant l'aticle 1315 du CC, il comporte 2 alinéas :

-"celui qui réclame l'éxécution d'une obligation doit la prouver". Cela signifie que c'est le
demandeur qui doit prouver, c'est sur lui que pèse la charge de la preuve.

-"Réciproquement, celui qui se prétend libérer doit justifier le paiement ou le fait qui a
produit l'extinction de son obligation". Une fois que le demandeur à prouver l'existence de
l'obligation, le défandeur doit prouver qu'il s'est éxécuter ou sinon qu'il n'avait pas à
s'éxécuter.

§2) Le renversement de la charge de la preuve

C'est lorsqu'on transfert à l'autre parie la charge de prouver. 2 façons pour qu'il y ait
renversment

-Etablissement de la preuve, (le jeu de ping pong)

-Par le biais des présemptions : mode de preuve, peuvent avoir une incidence sur la charge
de la preuve. C'est une conséquence que la loi ou la juge tire d'un fait connu à un fait
inconnu. Les conséquences que la loi ou le juge tire càd 2 catégories de présemptions : par
la loi= présemptions légales établit par la loi, quand tiré par le juge= présemptions du fait de
l'H. On va chercher à prouver un fait inconnu en prouvant un fait connu. On va prouver
indirectement. Donc grâce à la présemption le démandeur en bénéficiant, échappe au fait de
prouver. Le législateur recours à des présemptions quand il est difficile d'établir la vérité. Le
plus souvent ces présemptions consacre les situations les plus vraisemblables.

Ex: Article 321 du CC : présemption de paternité= l'enfant qui a été conçu ou qui est née
pendant le mariage a pour père le mari.

II) L'objet de la preuve

On peut avoir à prouver des faits juridiques ou le droit

§1) La preuve des faits

Celui qui souhaite prouver l'existence d'un droit subjectifs va devoir prouver les faits. Les faits
peuvent être l'existence d'un contrat. On est pas limité à la preuve des faits par rapport aux
actes juridiques.

Les faits qui doivent être prouvé sont ceux qui sont pertinnent, et uniquement ceux qui sont
contestable. Il arrive que la preuve du fait soit difficile à rapporter voir quasiment impossible
à rapporter. Dans ce cas lorsque la preuve est difficile à rapporter, on va prouver le fait par
des faits voisins, soit par des présemptions du fait de l'H.

ex: la vitesse d'une voiture si il y a accident.

§2) La preuve du droit

C'est donc prouver la règle de droit. En principe la preuve a pour objet uniquement les faits
et pas la règle de droit. 2 précisions : 1) "Nulle n'est censé ignorer la loi", c'est au juge de
connaitre le droit mais en réalite. Certes les parties n'ont pas à prouver la règle de droit mais
elles ont l'obligation de l'invoquer. Il ne sufft donc pas au partie de se plaindre mais elle
souvent fondé juridiquement leur demande. Cependant de manière exeptionelle le juge peut
appliquer d'office une règle de droit, alors même que les parties ne l'aurait pas invoqué. 2) Il
existait deux expcetions à cette règle, mais il en existe plus qu'une seul : 1er: une personne
lorsqu'elle invoque un usage ou une coutume elle doit en rapporter la preuve. Elle peut être
prouvé par tout moyen, généralement le moyen utilisé en demandant la délivrance d'un
parère (=certificat délivré par un organisme pro ou par un commerçant notable qui atteste
de l'existence de la coutume ou de l'usage. La seconde exeption (celle qui a disparut) était
que l'on devait prouver la règle de droit lorsqu'elle était étrangère. Désormais, disparut car la
Ccass estime que le juge doit connaitre le droit étranger. En DI il y a des règle de conflit et
donc c'est le juge compétent qui tranche le lithige. Donc il faut distinguer le juge compétent
de la règle compétente. (ex: un juge français peut être amené à appliquer un droit étranger).

III) Les modes de preuves

Il existe une grande variété de mode de preuve : écrit, serment, aveu, témoignage. La
question va être de savoir si le mode de preuve est recevable, pourra être admis par le juge.
Une fois que le mode de preuve est recevable, il faudra déterminé la force probante de ce
mode de preuve. Cette force dépend du système : preuve moral s'oppose preuve légal.

Le sytème de la preuve moral on l'appelle également le mode de la preuve libre qui signifie
tout simplement que les parties vont pouvoir prouvé librement, donc n'importe qu'elle mode
de preuve. Autrement dit tout les modes de preuves seront admissibles. Une fois que tout
est recevable se sera au juge de déterminé la force de chaque mode de preuve. Et il sera
libre, de déterminé la force des preuves donné par chaque partie.

Le sytème de la preuve légale, la loi encadre la recevabilité et la force probante des moyens
de preuves. Le juge pourra alors décidé que tel mode de preuve n'est pas recevable, si un
mode de preuve n'est pas prévu par la loi. Si le mode de preuve est recevable, le juge devra
en déterminé la force probante qui parfois sera déterminé par la loi elle même. C'est à dire
que la loi prévoiera que si tel mode de preuve est utilisé, il suffit ou devra être complété.

En Droit français, le système dépend de la matière. Par exemple en droit pénal le sytème
utilisé est celui de la preuve moral, tout les modes de preuves sont accepté et c'est au juge
de trancher avec son intime conviction. Mais certains principes prévals. En matière
commercial, le mode de preuve est libre, car on estime qu'il faut que ça aille vite. En
revanche en matière civil, le système est mixte car en réalité le système dépendra de l'objet
de la preuve. Lorsque les parties cherchent à rapporter la preuve d'un fait juridique le
système de preuve sera alors le mode de preuve moral. Or pour les actes juridiques c'est le
système de la preuve légale. Pour les faits juridiques c'est logique puisqu'il s'agit d'un fait,
involontaire en général. En revanche un acte juridique plusieurs personnes ont décidé de
crée des effets juridiques, c'est volontairment qu'on s'oblige à qq chose.

§1) Les caractères communs aux différents modes de preuve.

Il y a 2 règle importante :

A) L'altérité de la preuve

La jurisprudence de la Ccass affirmait que nulle ne peut se constituer de preuve à lui même.
Cette règle qui était affirmé pendant longtemps par la jurisprudence a été consacré par une
loi présente à l'article 1363 du CC par une ordonnance de février 2016 : "nulle ne peut se
constitué de titre à soit même". Il n'est pas possible de produire un mode de preuve que l'on
aurait crée soit même. C'est logique, car il serait facile d'aller devant le juge d'invoquer une
prétemption, et de produire une preuve que l'on aurait fabriqué soit même. En pratique, il
est cependant faux d'affirmer que les documentes qui émanent de celui qui l'invoque n'ont
aucune valeur. (ex: Si on veut prouver l'envoi d'une lettre à quelqu'un, cet E prouver l'envoi
de cette lettre par un listing d'envoi de courrier). Pour comprendre dans quel cas se serait
recevable, il faut plutôt considéré que souvent le mode de preuve va quand même être jugé
recevable mais que sa force probante ne sera généralement pas absolue, il faudra prouvé
avec un autre mode preuve.

B) La loyauté de la preuve

La jurisprudence considère avec une grande fermeté qu'un mode de preuve n'est pas
recevable lorsqu'il a été obtenu déloyalement. Ce principe est affirmé car on estime déloyal
qu'une personne se fasse justice à soit même, qu'il essaie de piéger quelqu'un. La Ccass a été
amené à se prononcer sur une preuve par sms, c'est autorisé car la personne sait que se sms
est enrigistré dans le téléphone de l'autre. Ce n'est pas pareil qu'au téléphone.

Ex: Affaire où l'employeur avait filmé ou enregistrer le salarié en train de voler, mais le salarié
avait été filmé à son insult. Ex 2 : sur une adresse mail pro marqué "privé" à l'objet si
l'employeur l'ouvre c'est une violation de al vie privé, ne peut peut être utilisé.

§2) La preuve en droit civil

Article 1358 pose le principe de liberté de la preuve sauf disposition légale contraire. Pour les
faits juridiques il n'y a pas d'exeption mais dans certains cas elle se fait par écrit.

A) La preuve par écrit

On l'appelle également la preuve litéral.

1) Le domaine de l'exigence d'un écrit

Il faut étudier le principe et les expetions


a) Le principe : un contrat d'un montant supérieur à 1500

Article 1359 du CC "tout contrat dont le montant exédant une certaines forme doit être
établit par écrit" soit sous saing privé soit un acte notarié. Elle a été fixé par un décret de
2004 à un montant de 1500 euro. Si le montant du contrat est de plus de 1500 euro il doit
être conclut sous forme écrite sinon on ne pourra prouvé le contrat. En revanche pour les
contrats de 1500 ou moins, ces contrats n'auront pas forcément à être prouvé par écrit mais
par tout moyen. Etant précisé que pour ses contrats égal ou inférieur à 1500, si l'une des
parties prouvent le contrat par écrit il ne sera possible de prouver contre l'écrit que par un
autre écrit-> 1359 alinéa 3. Pour les contrats supérieur à 1500 euro sans écrit, il n'est pas
impossible de les prouver, 1361 "certains mode de preuve peuvent être utilsié en toute
hyposthèse". Ce sont l'aveu judiciaire, le serment décisoire, et le commençement de preuve
par écrit visé à l'aticl e1362 du CC qui définit " tout écrit qui, émanent de celui qui conteste
un acte, ou de celui qui le représente, rend vraisemblable ce qui est alléguer". Lorsqu'on veut
prouver un acte juridique et qu'on ne dispose pas d'un écrit ne remplissant pas les
conditions légal, dans ce cas là il est possible que cet écrit vaille commençement de preuve
par écrit si 3 coditions sont remplie : l'acte doit être écrit, il faut qu'il émane de celui à qui on
l'oppose, rendre vraisemblable le fait allégué. Mais il devra être complété par d'autre mode
de preuve. Mais en l'absence d'écrit, il est fréquent que les parties tentent d'invoquer les
exeptions admis par la loi.

b) Les exceptions au principe.

Elle concerne uniquement les actes sup à 1500

-Impossibilité matériel de se préconstituer un écrit : 1360 alinéa 1 du CC, lorsque la personne


était dans l'impossibilité matérial (=analphabète, manque de temps dû à l'urgence) ou
moral(=contrat familiaux, amicaux, conjugaux, quand il est insultant d'écrire un écrit) de se
procurer une preuve par écrit, elle pourra prouver par tout moyen.

-Article 1360, hypothèse où il est d'usage de ne pas établir d'écrit.

-La perte de l'orignal par force majeur, artcile 1360 alinéa 1, le titre a été détruit ou perdu à
cause de force majeur. Le cas de force majeur est un événement imprévisible, inempêchable,
indépendant de notre volonté. Ex: Incendie.

-La copie fiable, artcile 1379, hypothès d'une copie "est présumé fiable jusqu'à preuve du
contraire toute copie résultant d'une reproduction à l'identique de la forme et du contenue
de l'acte et dont l'intégrité est garanti dans le temps". Ex: photo, photocopie, scan. Cette
copie avant l'ordonnance de 2016, ne pouvait être utilisé que lorsque l'orignal avait été
perdu. Désormais la copie peut être utilisé pour prouvé mais si l'original subsite dans ce cas
là le juge peut exigé que vous rapportier l'original. L'article 1379 dit que la copie a la même
force probante que l'original sauf si elle est contesté par l'autre partie.

2) Les exigences tenant au contenu de l'écrit


Cet écrit est défini à l'article 1365 du CC définit "l'écrit consiste en une suite de lettre, de
caractère, de chiffre, ou de autre signe ou symbole, dôté d'une signification intelligible,
quelque soit leur support". Ainsi l'écrit peut peut être un papier, un écrit électronique et
signé électroniquement. Au regard du droit de la preuve, l'écrit qu'il soit papier ou élec ont la
même force probante. Ce qui résulte de l'article 1366 du CC, on distingue 2 types d'écrit :

-l'acte authentique définti à l'atticle 1369 du CC reçu par un officier publique et rédiger par
lui même. L'acte authentique est rédigé en 1 seul exemplaire : la minute. Le notaire va
concerver l'original et ne va délivré au partie que des copies de l'acte, on les appelles les
expéditions ou les copies authentique.

-On l'oppose à l'acte sous signature privé ou seing privé, les parties rédigent l'acte ensemble
ou à distance. Lorsque l'écrit est sous signature écrit il y a des conditions : 1) la règle du
double original, càd que le contrat doit être signé en autant d'exemplaire qu'il y a de parti au
contrat 1375 du CC. Et dans le contrat il doit être précisé le nombre d'exemplaire originaux.
Si la règle n'est pas respecté et surtout la mention fait en double n'est pas dans le contrat,
l'écrit ne valera uniquement commencement de preuve par écrit. Sauf si il y a eu un
commencement d'éxucution du contrat, l'écrit vaudra écrit. (ex: le locataire à payé son loyer
après avoir signé contrat, pendant 2 mois, il y a eu un commencement d'éxécution).
L'éxécution prouve le conrant en somme. 2) Pour certains contrat, la loi exige une mention
manuscrite lorsqu'il comprend l'obligation de paiement d'une somme d'argent et que le
contrat ne comporte une obligation que pour une seule des partie dans ce cas 1376 du CC
impose que l'écrit comporte une mention manuscrite de la somme qui devra être payé en
lettre et en chiffre. Si pas de mention manuscrite alors commencement de preuve par écrit.
(ex : cautionnement location d'un appertement les parents se porte caution, il s'engage à
payer le loyer si l'enfant ne paie pas le loyer.)

3) La portée de l'exigence de l'écrit

En principe, lorsqu'on prouve par écrit en principe pas besoin d'une preuve supplémentaire.
Mais il pourrait arriver que l'autre partie nous contredise. C'est donc la question de la force
probante de notre écrit. Il faut distinguer l'acte authentique ou saing privé. Pour l'acte
autentique la force probante est très élevè "il vaut jusqu'à inscrption de faux" art 1371. Pour
que l'autre partie conteste, il faut qu'elle attente une action en justice pour prouver que
l'acte est un faux ou que le notaire a menti. Précision : ce qui vaut jusqu'à inscription de faux
c'est ce que notre notaire à put attester, en revanche ce que le notaire ne relate pas, dans ce
cas là vaut comme écrit sous saing privé.

L'acte sous seing privé art 1372 du CC. pose sa froce probante Lorsqu'on produit un acte
sous seing privé cet acte va faire foi si l'autre partie ne le conteste pas. En revanche l'autre
parti pourrait contester l'originie du contrat. Donc l'écrit vaudra écrit tant que l'autre parti
n'aura pas contester, l'orignie de l'acte contesté il y a procédure, si contenu de l'acte
contesté il faut que l'autre prouve par un écrit.

B) Les preuves non littéral


D'autre mode de preuve sont recevable. Soit ils sont recevable à titre accesoire comme le
témoignage(=déposition en justice par une personne qui atteste des faits dont elle a eu
personnellement connaissance), les présomptions du faits de l'H : preuve d'un fait inconnu
prouvé par d'autre fait qui rende vraisemblable le fait inconnu.

-L'aveu : reconnaissance par une personne d'un fait qui est de nature à produire contre elle
des effets défavorable. Les preuves accesoires sont utilisé lorsqu'il est fait exeption à la règle
de l'écrit ou commencenment de preuve par écrit. Deux types d'aveu : extra judiciare : en
dehors du procès dans le cadre duquel il est utilisé ou en dehours de tout procès. Si l'aveu
est écrit il pourra valoir soit écrit soit commencement de preuve par écrit. En revanche si cet
aveu est oral, dans ce cas là il sera prouvé par témoin alors il vaudra témoignage puisqu'il
sera rapporté par un témoin. En revanche l'aveu judiciaire c'est celui qui intervient à
l'occasion d'un procès, c'est la reine des preuves.

-Le Serment est l'affirmation solennelle de la véracité d'un fait qu'on allègue. C'est le
contraire de l'aveu. Le serment est l'attestion que tel personne à fait ça. C'est un mode de
preuve uniquement si il est défféré (demandé) càd si l'une des parties demandent à l'autre
parti de prêté serment ou si le juge demande de prêter serment. On dit que le serment est
supplétif càd qu'il ne peut que compléter une autre preuve. Le but c'est que le juge soit
confirmé dans sa convcition, c'est le juge qui décidera de sa force probante. Lorsque c'est
l'autre partie à l'adversaire de prêter serment, on dit qu'il sera décisoire, il aura une force
probante absolue. Trois hypothèse : l'une des parties demande à l'autre partie de prêter
serment elle le fait et elle gagne son procès, ou elle refuse de prêter serment et la partie qui
l'a demandé gagne son procès, soit elle retourne la demande.

Or d'autre mode de preuve vont être recevable alors qu'un écrit est exigé: l'aveu judiciare, le
serment décisioire.

§3) La preuve en droit commercial

Le principe est celui de la liberté de la preuve. Ce système vaut à l'égard des commerçants
càd que sa vaut entre commerçant mais aussi pour les actes mxtes (commerçant et non
commerçant). Si le commerçant veut prouver contre un non commerçant application du
droit civil. Et il faut chercher à prouver un acte de commerce là peut importe le montant on
pourra prouver par tout moyen.

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