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fTITRE 3 : LA SOUVERAINETE DU PEUPLE

Cette expression apparait au Veme sicèle avant J.C demos= peuple cratie = commander
donc un régime où l'Etat est commandé par le peuple. L'article 2 de la constitution de 1958
reprends un formule qu'on doit à LINCOLN qui exprime cette idée : "le principe de la
démocratie française est démoratie du peuple, par le peuple, pour le peuple". Cette idée qui est
développée à l'article 3 alinéa 1 de la Constitution dispose que la souverraineté appartient au
peuple qu'il exerce par ses représentants. L'alternance au pouvoir est le propre de la
démocratie, l'alternance n'est pas nécessairement systématique. La démocratie libéral repose
sur 2 fondements centrales : d'une part le respect des droits et libertés de l'H tel qu'il figure
dans les constitutions des Etats et résulte des textes internationaux ( tel que la convention
européenne des droits de l'H) et l'autre pillier c'est la souverraineté du peuple.

Pendant longtemps, en occident, on a considéré que l'originie du pouvoir était divine. C'est
ce qui a fondé la monarchie de droit divin. La philosophie des lumières qui émerge au
17/18eme, va reconnaitre un autre fondement du pouvoir = la volonté des Hommes. D'où
les théories contractuelles de l'Etat. Les philosophes s'opposent sur la manière dont le
pouvoir doit être exercer.

Chapitre 1 : les théories de la souveraineté au 18eme siècle

Elles fournissent un cadre conceptuelle des régimes politiques bien qu'elles soit dépassées.

I) La théorie de la souveraineté populaire

Défendu par l'école démocratque représenté par JJ ROUSSEAU qui défend un conception
démocratique du pouvoir à travers "Du contrat social" 1962.

§1) Le titulaire de la souveraineté

Pour Rousseau, chaque H dans l'Etat de nature possédait une parcelle de souveraineté, avec
une liberté de tout ce qui le concerne. Mais pour protéger leur droit les H se sont associé,
par un contrat qui a donné naissance à un corps politique qui est le peuple souverain. Une
souveraineté collective composé de toute les partielles de souveraineté, on parle de théorie
atomistique de la souveraineté. Il s'agit d'un peuple concret, vivant composé de citoyen,

§2) Les caractères de la souveraineté

C'est la volonté général pour Rousseau, pour lui c'est la loi.

3 caractères :

-la volonté général est inaliénable, pour lui, l'autorité peut se trasnmettre, se délégué en
revanche la volonté ne le peut pas. Au sens où ne peut pas vouloir à la place d'un autre.
Nulle de peut vouloir à la place du peuple, savoir ce qu'il veut. Autrement dit la volonté

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général ne peut être représenté. Un peuple qui ne vote pas lui même les lois cessent d'être
souverain.

-La volonté général est indivisible, le vote de la loi doit être le fait de tous ou tout du moins
du plus grand nombre, cela implique le suffrage universelle le plus large possible. Sinon une
classe, celle des votant domineraient. Ajoutant un point essentiel : chaque individu était
déteneur d'une part de souveraineté dans l'Etat de nature donc chaque individu à un droit
au suffrage.

-La volonté général est infaillible, au sens où elle ne peut se tromper, mauvaise car cette loi
est adopté par tous et appliqué à tous.

§3) Les modes d'exercices de la souveraineté à envisager

Chez lui, idéalement, le meilleur sytème est la démocratie direct, un sytème dans lequel toute
loi est adopté par le peuple. Il admet qu'il puisse exister des intermédiaires entre le peuple et
le législatifs mais à des conditions très strict. Ces intermédiaires (=comissaire) ont pour le
seul rôle de préparer le tavail législatifs et leur mandat est impératifs càd ils n'ont aucune
liberté dans ce travail de rédaction, ils doivent se conformer riguoureusement au directive
donnée par le peuple et ils peuvent être révoqué par le peuple.

En revanche le peuple peut être représenté dans l'exercice du pouvoir exécutifs, car c'est une
fonction limité par définition; à l'éxécution des lois

Mais il admet que ce mode de gouvernement est très difficilement réalisable, il évoque les
raisons : les citoyens se désinteressent des affaires publiques, le climat ne le permet pas, pas
d'esclaves.

II) La théorie de la souveraineté national

Dont les figures emblématiques sont Sieyès et Montesquieu, défendu par l'école libéral.

§1) Le titulaire de la souveraineté : la nation souveraine

Sieyès explique que la réunion d'indivu sur un territoire donne naissance à un corps : la
nation. La nation est considéré comme une entité abstraite. Elle nait de la réunion des
individus mais elle en est nait distincte, personne abstraite qui détient seul la souveraineté.
Les individus ne disposant d'aucune parcelle de souveraineté individuelle. La nation est
quelque chose qui les dépasse car ce sont les vivants, les morts, et les générations à venir. La
nation est la seul détentrice de la souveraineté.

§2) Le mode d'exercice de la souveraineté

La nation étant une personne abstraite, elle a besoin de représentant pour exprimer sa
volonté. On met en place un système représentative dans lequel les lois sont adoptés par les
représentant de la nation. On retrouve l'idée que tout les citoyens ne sont pas suffisament
éclairé pour conduire les affaires publiques. Dans cette logique l'essentiel est de parvenir à

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choisir les meilleurs représentants possibles. L'élection est retenu comme procédé parce
qu'elle apparait comme le mode le plus efficace. Personne n'a un droit de participer à
l'élection, la participation à une élection n'est qu'une fonction donnée à un individu. C'est la
théorie de l'électorat fonction.

§3) Le mandat des représentants

Montesquieu est d'accord avec l'idée qu'il faut faire élire les représentants dans de petite
circonscription électorale, car les électeurs pourront connaitre les candidats et choisir le
meilleur. A partir du moment où ils sont élu, les représentants représentent collectivitement
la nation et non pas leur électeurs.

2 conséquences de cette idée : 1) les représentants ne doivent recevoir aucune consigne de


leur électeur pour prononcer dans tel ou tel sens mais concourrir librement à l'expression de
la volonté général, le mandat est représentatif par opposition au mandat impératif qui est
prohibé. 2) Les électeurs ne peuvent être révoqué les représentants en cours de mandat, une
seule sanction serait envisageable c'est la non réélection en fin de mandat. Encore faut-til
que le mandat soit renouvelable. En théorie il n'est censé y avoir qu'un mandat pour éviter
de subir des pressions provenant des électeurs.

Chapitre 2 : Du système représentatifs à la démocratie représentatives

Dans le système représentatifs ce n'est pas le peuple qui adopte directement les lois ce sont
les représentants qui sont choisit à travers un suffrage plus ou moins ouvert. Le sytème
représentative, est née en Angleterre, a été défendu en France par Montesquieu. Ce système
a été théorié fin 18eme s par Sieyes et mis en oeuvre au lendemain de la révolution
française. Comment ce sytème s'est-t-il progressivement démocratisé ? Au point de parler de
démocratie représentative.

I) Le sytème représentatif et le suffrage

Deux types de suffrages ont été pratiqué : censitaire, universelle.

§1) Le suffrage sensitaire

Deux périodes très distinctes : Les premières années de la Révolution française et assez
largement ouvert. Le suffrage est largement ouvert au nom de la souveraineté national mais
sous réserve de certaines conditions. Ceux qui remplissent les conditions sont les citoyens
actifs (selon Sieyes) et les autres ce sont les citoyens passifs (=femme, personne avec un lien
de dépendance vis a vis d'une autre, domestique, enfant). Le droit de vote est accrodé au H
de 25 au moins qui paient le cens, un impôt. Le cens était relativement bas, et permettant la
participation d'un grand nb H, sous la constitution de 1791 le cens est équivalent à 3 journée
de travail. Il est encore plus bas dans la constitution de 1795 celle qui établit le directoire, il

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suffit de payer une contribution quelqu'on que pour pouvoir d'exercer le droit de vote (5 M
d'H).

Le rôle des citoyens actifs étaient très limités, ceux qui peuvent voter élise de grand électeur
qui vont choisir les députés. Et pour être grand électeur il faut être propriétaire immobilier
ou louer un bien d'une certaines valeurs. Cette restriction est liée à l'idée que tout les
individus ne sont pas suffisament instruit pour choisir les députés et pour accéder à la
gestion des affaires. On considère qu'on en peut pas abandonner les affaires publiques à
ceux qui ne possèdent rien et donc ne risque rien en gouvernant.

Il y a une autre période de suffrage censitaire, très restraint avec la restauration (1814), avec
une charte. La monarchie de juillet se met en place en 1830, c'est une monarchie
constitutionnel. Le cens est considérablement augmenté. On a plus que 240 000 électeurs.

§2) Le suffrage universelle

Pratiqué aussi sous la révolution. Première concécration du suffrage universelle (masculin) a


lieu avec un décret du 11 aout 1792, H à partir de 21ans. C'est ainsi qu'est élu la convention.
La difficulté c'est que l'exercice du suffrage ne se réalise pas dans des conditions réellement
démocratique, car elles ont lieu à main levé, contexte tendu, aucun secret. L'abstention est
massive : 90%. Le suffrage est également consacré par la constitution du 24 juin 1793:
montagnarde. Mais elle ne sera jamais mis en oeuvre pour cause de situation exeptionnelle,
la terreur est proclamé par le gouvernement, ce qui entrainera la perte de ce nouveau
régime.

Le suffrage universelle est maintenu sous le Consulat, établit par une constitution en 1799, il
est maintenu aussi sous le 1er empire en 1804. Mais le sytème d'élection en vigueur ne
permet pas au citoyen de choisir librement et directement leur représentant. C'est un sytème
d'élection à 3 degré en fin de parcours c'est le Sénat qui choisit les représentants sur une lite
national.

La II Rep restaura le suffrage universelle masculin mais pour une durée très courte, car elle
n'a existé que 3 ans. En 1848 fin de la monarchie. La II république va être emporté par le
coup d'Etat du 2 décembre 1851 par le Président Louis Napoléon Bonarparte (neveu)pour
rétablir le 2nd empire qui durera jusqu'en 1870. Mais là encore les conditions de son exercice
ne sont pas démorcraitque, sa pratique est privé de toute signification démocratique = liste
de candidat sont influencé voir établis par l'empire. On choisit par les candidats que le
pouvoir choisit.

Par la suite le sytème représentative c'est peu à peu démocratisé pour parvenir à la
démocraie représentative..

II) La marche vers la démocratie représentative

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Il s'est réalisé de 3 manières : une extension du bénéficiaires du droit de suffrage, une
exention de l'élection au suffrage universelle direct, et enfin par le dvpt de procédé de
démorcratie direct.

§1) L'universalisation du suffrage

Le suffrage universelle masculin s'installe durablement est revet enfin une réeelle porté
démocratique avec la III République qui commence en 1870. Le pouvoir en palce ne va plus
cherché à influencer les électeurs, il n'est plus conditionné par les choix du pouvoir en place.
Des réformes vont pouvoir vont permettre l'extension du pouvoir : le droit de vote des
femmes le 21 avril 1944 par une ordonnance de De Gaulles, une extension considérable,
l'évolution suivante par une loi du 5 juillet 1974 c'est l'abaissement à 18 ans de la majorité
électorale (V Giscard d'Estaing), droit de vote et d'éligibilité reconnu au citoyen de l'UE
résident en France pour les élections municipals et européenne. C'est un droit reconnu par le
traité de Masstricht 1992-> révision en France pour cela.

Le suffrage tend vers l'universalité mais il n'y a jamais de suffrage universelle, il y a toujours
des catégories qui y sont exclus. Une extension pensé ouverture des élections muicipales à
16ans ou pour les étrangers résidant en France non citoyen de l'Union à l'élection municipal.

§2) L'extension du procédé au suffrage universelle direct

Pendant longtemps seul les députés étaient élu au suffrage universelle direct, mais exepction
du président sous la II rep. La seconde réforme importante en la matière c'est lrévision
constitutionnelle de 1962 qui a instauré l'élection du P de la Rep au suffrage universellle
direct. Plus récemment une extension de cette modalité d'élection = conseiller
communautaire = membre des assemblés libérantes des EPCI (établissement publique
coopération intercommunal). Dans les communes de plus de 1000 habitants ils sont élus au
suffrage universelle direct et ne sont plus choisit par les conseillers municipaux, 2010.
Réforme attendu car ces établissements exerce des compétences relativement large.

§3) L'introduction de procédé de démocratique direct (=référundum)

De référundums ont été organisé relativement tôt en France, les constitutions ont été adopté
par référundum, mais dépourvu de contexte démocratique. Pratiqué emplement sous le 1er
et 2nd empire mais ils ont connu un usage dévoyé. Les référundums sont en réalité des
plébicites (= oppération qui consiste à fondé la léfitimité des gouvernants). Il ne s'agit pas
tant de se prononcer sur un texte que de donner sa confiance à celui qui pose la question.
Les réponses étaient généralement à 90% 'oui'. L'amalgame entre référundum et plébicite a
conduit les républicains a rejeter le référundum, car il pense qu'il sert à manipuler le peuple.
Il exclut sous la III Rep. Mais il sera réintroduit avec la constitution de 1946 mais cantonné au
domaine constitutionnel. Avec la V rep que le référundum se dévellopera au moins pendant
un temps.

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Conclusion : Le sytème représentaitve s'est démocratisé pour aboutir à une démocratie
représentative en France. Dans la mesure où le peuple exerce assez rarement directement le
pouvoir de manière ordinaire il en délégue l'exercice à des représentants. Les électeurs
doivent pouvoir exercer le droit de vote librement et éclairé. De manière général le pouvoir
pol doit s'abstenir de tout pression sur les médias, les citoyens, les parties. Il nécessite le
pluralisme pol, des médias. Il faut que la compétition se déroule librement dans des
conditions d'égalité entre les parties.

Chapitre 3 : La Veme Republique : une démocratie représentative.

Le citoyen est au coeur de cette démocratie, il est en la figure de proue, ce qui impose la
citoyenneté politique, son contenu.

La Veme République est-t-elle suffisament démocratique ?

I) La citoyenneté politique

§1) La notion de citoyenneté politique

Le therme se retrouve dans de nb expressions : citoyenneté à l'entrepirse, dans le quartier, à


l'école. Mais flou sur le therme. La prolifération des expressions dilue la définiton de la
citoyenneté.

Le mot citoyen a pourtant un sens rigoureux soit la capactité de participer à l'expression de


la souveraineté. Il faut admettre qu'il y ait différentes formes de citoyenneté et que la
défintion vu serait la citoyenneté politique (= droit de vote et d'éligibilité lors des élections).

§2) Les conditions de la citoyenneté politique

Elle entretient, historiquement, un lien très étroit avec la nationalité. Au point qu'elles
peuvent être condondu. Mais elle ne se confonde pas dans la mesure où tout les nationaux
ne sont pas forcément citoyen. (ex: -18 ans, personne non inscrite sur les listes électorales)

A)La condition de nationalité

C'est une constante : la condition de nationalité est requise pour atteindre la citoyenneté.
Sauf pour la consitution de 1793, qui était très universaliste qui ouvrait très largement la
citoyenneté au étrangers résidant en France (article 4).

La condition de nationalité est une conséquence logique de l'indentité du titulaire de la


souverraineté consacré par l'ordre constitutionnel. Selon l'article 3 aliné 1er de la constitution

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de 1958 : la souverraineté est détenu par le peuple [français], donc la conséquence c'est
l'exclusion des étrangers de la citoyenneté politique. C'est en considération de la
souverraineté française qu'il faut lire l'article 3 alinéa 4 qui prévoit "que ce sont électeurs tout
les nationaux français majeurs des deux sexes jouissant de leur droit civil et politique. Il se
posait la question de savoir si il fallait lire la question en excluant les non nationaux ? Car si
ils n'excluent pas les non nationaux alors pas besoin de révision. Donc le droit de vote a été
ouvert au non nationaux au élections municipals et européenne pour les citoyens
européeens. Mais ces élections ne mettent pas en jeu l'exercice de la souveraineté national,
ce qui est le cas des élections législative, présidentielle.

B) Les autres conditions de la citoyenneté

Article 3 aliné 4, il faut être majeur (18 ans depuis 5 juillet 1974). Il ne faut pas être privé de
ses droits civils (= droits qui sont attaché à la personnalité juridique, le droit de passer un
contrat, droit d'ester en justice (agir), d'hériter, de créer une entreprise, exercer autorité
parental, ect.....). Certaines personnes, majeurs, placé sous tutelle sont privé de l'exercice de
leur droit civil. Il ne faut pas avoir été privé de leur droit politique (= participer au élections
aussi bien en électur que comme candidat au élections qui mette en jeu la souveraineté
national). Certaines condamnations pénal peuvent être accompagné d'une privation des
droits politiques.

Résumé : La citoyenneté politique est ouverte à tout les nationaux et seulement à eux, qui
participe directement ou indirectement à l'exercice de la souveraineté national. La
citoyenneté doit être distinguer des autres formes de citoyeneté qui s'exprime dans les
différents domaines des individus qui sont ouverte au non nationaux

II) Les procédés de démocratie direct : les référundums

Le référundum se définit comme un procédé par lequel les citoyens sont appelé à répondre
par oui ou non à une question. Il doit être distingué de la consultation, la différence c'est
qu'à la fin du référundum les citoyens qont amené à donner une décision, tandis que dans
une consultation ils sont amené à émettre un avis qui ne lie pas juridiquement celui qui le
reçoit.

La Veme Rep a dvpt et diversier le référundum national, il existe 3 procédures consacré au


référundum : article 11, article 88-5, article 89.

§1) Le référundum législatifs de l'article 11

Il est possible d'utiliser le référundum afin d'adopter une loi ordinaire d'une loi organique.
C'est une novation de la V Rep sur le point de l'adoption des lois ordinaires, avant il y avit
suelement la possibilité sur les lois organiques.

A) Les procédures

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Le mécanisme de l'article 11 est issu de 2 approches différentes, il y eu l'approche de René
Capitant (éminent juriste, conseiller de CDG) pour lequel l'article 11 était un moyen de
rendre au peuple sa souveraineté confisquer par le parlement. Pour Michel Debré ( 1er
ministre de CDG, éminent juriste, garde des sceaux sous la IV Rep, papa de Jean Louis c'est
dire ), le référundum est un moyen pour le PdeRep de briser l'hégémonie parlementaire en
faisaint appel au peuple, en cas d'opposition entre le gouvernement et le parlement. Cela
vient des problèmes de la IV Rep, les gouvernements étant souvent renversé par la
parlement.

In fine, c'est la seconde approche qui l'a emporté au vue de ce qui s'est passé... La procédure
et le champs d'application de l'article11 ont été modfié 2 fois la loi consitotuinnel de 95 et
de 2008. Ces modifications ont étendu les possibilités de référundum. En pratique elles n'ont
ét suivit d'aucun effet.

Depuis 1958 on a ouvert les possibilités de référundum mais la pratique suit l'effet inverse, le
nombre de référundum diminue !

Les procédures de l'article 11 : 2 procédure au seins de l'article 11 (l'une depuis 2008) il faut
donc distinguer les référundums portant sur les projets de loi (texte du gouvernement) de
ceux venant de proposition de loi( parlementaires).

1) Les référundums portant sur les projets de loi

Article 11 alinéa 1 et 2. Il y a trois étapes à distinguer dans ces procédures :

-L'initiative : Une proposition de référundum sur un projet de loi peut être fait par le
gouvernement ou conjointement par les 2 assemblés.

Quelques remarques : la proposition de référundum des parlemantaires ne peut porter que


sur un texte provenant du gouvernement. Elle ne maitrise le contenue du texte, elle n'est pas
l'auteur. Il n'y en a eu aucune, il y a eu des tentatives du Sénat souvent non suivit par
l'assemblé national. Aucun référundum ne résulte d'une proposition conjointe des 2
assemblés (souvent Sénat à droite...), le parlement n'est pas spontanément conduit à laisser
sa compétence d'adoption de la loi au peuple. Le Président de la République n'a pas
l'initiative mais de fait en situation de primauté présidentiel, il lui suffit de demander au
gouvernement de lui faire une proposition. Sur les 8 référundums tous sont des "iniatives"
du président sauf 1 celui de 1988 qui concernait le statut de la Nouvelle Calédonie, qui était
un vraie proposition du 1er ministre de l'époque (Michel Roquart).

Une proposition de référundum n'est possible que durant la durée des sessions
parlemantaire, cela n'a d'intérêt que pour le gouvenement (éviter qu'une iniative soit prise
sans que le parlement puisse prendre position). Depuis 1995; lorsque la proposition de
référundum émane du gouvernement ce dernier fait devant chaque assemblé, une
déclaration suivit d'un débat qui vise à faire connaitre les positions mais il n'y a pas de vote.
La décision de d'organiser le référundum provient du PdeLa Rep "le PdeREp sur propositions

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[...] peut soumettre au référundum tout projets de loi [...]". C'est lui qui décide de
l'opportunité du référundum, 'est un pouvoir discrétionnaire, il donne suite ou non, qu'on
qualifie de propre (pouvoir les plus importants qui ne nécessite aucune signature des
ministres concerné) du PdelaRep sous la Veme car cette désion n'a pas a être contresigné.
C'est donc lui qui décide de libellé (formulation de la question). La Veme rep la pratique a
fait du référundum de l'article 11 un instrument de gouvernement au main du PdeRep,
l'aspect démocratique ne prime pas.

2) Le référundum portant sur un proposition de loi (2008 article 11 alinéa 3 et suviant)

Mis en oeuvre par une loi organique du 6 décembre 2006 et elle est en vigueur depuis le 1 er
janvier 2015.

Elle est encore aujourd'hui parfois confondu avec le référundum d'initiative populaire
(procéure permettant au citoyen de déclencher un référundum par le biais d'une pétition)
qui n'a rien à voir.

Au début des années 90, il y eu une tentative d'instaurer un référundum d'intiative populaire,
mais il n'a pas aboutit mais à des conditions très restrictives car il fallait réunir 1/5 du corps
électoral en signautre = 8M d'électeurs. En 2007, le comité Balladur reprend l'expression
référundum d'initiative populaire mais ce qu'il propose n'a rien à voir, c'est de là que vient la
confusion. Il s'inspire d'un comité antérieur Vedel, qui datait de 1992, c'est un référundum
d'iniative minoritaire/partagé/parlementaire. Le dispositif proposé à l'époque peut être
décortiqué en 5 points :

- Ce n'est pas un référundum d'initiative populaire, mais un référundum d'iniative


partagé/minoritaire car l'iniative appartient à 1/5 des membres du parlement soutenu par
1/10 des électeurs inscrit sur les listes électorales. Les parlementaires dépose une proposition
de loi et ensuite procède à la collecte des signatures. C'est une démarche qui profite avant
tout à l'opposition qui peut avoir un intérêt, pour gêner la politique en place, sur un sujet qui
pose problème à la majorité en place.

-Les chances d'aboutit à un référundum sont extrêmement étroite pour 2 raisons : 1) Le


nombre élevé de soutien citoyen exigé (environ 4.7 millions). La collecte des signatures se
fait par internet mais cela ne suffit pas. 2) Si les conditions de l'iniative sont satisfaite, il n'y a
pas de référundum dès lors que les assemblés examine les propositions de lois. La
rpoposition de référundum peut être posé comme une invitation au assemblé de se
prononcer dans les 6 mois. Ce qui semble invraisemblable. Surtout si l'opération a été
déclenché par l'opposition politique. Ainsi il semble improbable qu'il laisse l'oposition mettre
en place un politique qui genêrait le pouvoir en place. Examiner par chacune des assemblés
signifie une lecteur devant chaque assemblé, c'est tout le processus législatifs qui se termine
par un vote. A partir de là 2 cas de figure à distinguer : 1) le parlement adopte le texte en
l'état ou avec modification dans ce cas de figure il n'y a pas de référundum. 2) Le texte est
rejeté par l'une des assemblés ou adopté par les assemblés mais avec quelque divergence

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qui nécessite une 2 eme lecture, si la discussion de la proposition de loi n'est pas inscrit à
l'ordre du jour mais il y n'y aura pas de référundum.

Les possibilités d'enterrer une proposition de loi sont nombreuse pour ne pas la soumettre à
référundum.

- L'initiative d'un référundum a été politiquement désarmé. Puisqu'il y a 2 alinéa qui


désamorce ceci : une proposition de référundum ne peut avoir comme objectif d'abroger
une loi entrée en vigueur depuis moins d'1 an, cela pour empêcher l'opposition de nuire à la
politique du gouvernement, empêcher la France d'être ingouvernal. Il y a une seconde
restriciton (alinéa 6) en cas de résultat négatif à un référundum, on ne peut proposer un
nouveau référundum sur le même sujet avant deux ans. On veut éviter une forme de
pression puisse s'exercer sur le peuple par le renouvellement d'une même Q. Mais on voit
qu'à travers ses alinéas on veut alléger le poids politique d'une telle action.

-La proposition de référundum est constitutionnellement contrôler, l'intervention obligatoire


du Cconstit à deux moments : 1) immédiatement après le dépôt de proposition de loi par les
185 parlementaires, intervention pour savoir si la prop est conforme à la constitution avant
d'engager un processus lourd en argent et en temps. Il faut éviter une décision
d'inconstitutionnalité plus tardive qui empêcherait le référundum après la récolte, qui
risquerait de créer une situation d'incompréhension de peuple. 2) Après collecte des
signatures il vérifie leur régularité, il va les compter et procéder à une vérification de la
régularité (pas 2 fois signé, personne qui existe vraiment). Notons que l'intervention du
conseil Constit n'a pas été étendu à l'autre procédure référundaire. Et on a pas prévu une
intervention du Cconstit avant référundum. Donc toujours possibilités de réviser la
constitution par l'article 11.

Conclusion : le dispositif créer en 2008 est contre perfomant au sens il y a fort peu de chance
qu'un référundum soit organisé de cette manière, il est paradoxal, ambigu. Deux choses se
désine éviter que le référundum deviennent une arme contre le parlement, éviter d'une
action du peuple contre sa représentation national. On va nettement au delà quand on
permet que l'examen de la prop empêche le réferundum, cela témoigne d'une méfiance
historique de la classe politique à l'égard du référundum, durant longtemps le référundum à
été tenu en grande méfiance utilisé surtout par les empereurs comme plébicite, vision d'un
risque de manipulation du peuple, ou porte ouverte à une peuple liberticide. Donc en
quelque sort faite pour ne pas être utilisé. Méfiance vu dans l'adoption tardive de la loi
organique traitant de l'application de la révision de 2008. Il faut faire évoluer le dispositifs
français, cette nouvelle procédure, en excluant tout modifcation possible de la prop de loi
lors de son examen par les assemblés. Ensuite il faut prévoir que si la prop n'est pas adopté
par les assemblés : il y a référundum et en même temps prévoir la possibilité pour le
gouvernement de proposer un contre projet sur lequel les citoyens se prononcerait en même
temps que sur la proposition de loi, ainsi le peuple se prononcerait sur la proposition qu'il
préfère. Il est bien sur enviseageable d'aller plus loin du mécanisme et d'instaurer en France

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un référundum d'initiative populaire. Il y a 2 questions à se poser : Nombre de signature
exigé ? Doit on permettre un référundum sur n'importe qu'elle sujet ?

B) Le champs d'application du référundum législatifs

1) La valeur juridique des textes qu'on peut soumettre à référundum

L'expression "tout projet de loi " doit avoir une lecture restrictive donc au sens de seul loi
orgnique et ordinaire. Néanmoins la révision doit être faite par article 89.

2) Les domaines d'applications du référundum

Il y a des limites à son champs d'application matériel par révision de 2008 et .... .

Ceux qui demeurent depuis 1958 : l'organisation de l'Etat à l'exclusion des dispositions contit
texte visé loi ordinaire et loi organique, l'autorisation de ratifié un traité qui aurait des
incidences sur les institutions politiques ( 2005, 1992) ect. Ils n'ont pas bougé.

Il y a eu des tentatves d'élargir le champs : mais 2 échecs : 1984 manifestations pour


défendre l'enseignement libre (privé) , réaction sussisté par une loi Savarri. Le Sénat propose
d'organiser un référundum sur l'enseignement privé mais l'assemblé national répond que ce
n'est pas possible car la Q de l'enseignement privé n'entre pas dans le champs de
référundum. Il y a alors proposition de révision pour élargir le champs d'application de
l'article 11, les sénateurs reculent pas de modification. Renouvelé en 1994 mais nouveau
échec.

En 1995, on supprime un champs d'application : sur les accords de Communauté, car la


Communauté (communauté = organisation politique devant rassemblé l'Etat français et
d'Etat associé (colonie),sorte de système fédéral avec suprématie de la France) n'existe plus
depuis 1960. Mais cette communauté ne va durer que 2 ans. Tout comme suprresion de tout
le titre 13 relatif à la communauté. On ajoute un nouveau champs d'application : réformes
relative à la politique éco ou social de la nation et au service publiques qui y concourent.
Annoncé par J Chirac, il souhait organiser un référundum sur l'éducation national mais il
fallait au préalable pour cela réviser la constitution. Ce nouveau champs d'appliation est très
large et englobe de nb Q touchant à la vie des français. Moulte sujet comme le travail,
éducation national, la police, santé ect... Mais il y a des questions qui restent à exclure : Q
comme peine de mort, l'immigration, pénal, fiscalité... Les sujets les plus sensibles. Mais dans
le second cas de procèdure si possibilité de savoir si le référundum rentre mais dans la
procédure normal le Ccosntit n'intervient pas, le seul qui peut savoir si ça rentre dans le texte
c'est l'initiateur.

Le champs d'application dde l'article 11 à été une dernière élargie en 2008 : réformes
ouverte à la politique environnemental de la nation. Chacun à la droit de concurrour et être
informé sur l'élaboration des politiques environnemental.

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conclusion : Doit-t-on élargir le champs d'application à tout les sujets ? Pour que cela soit
possible il faut que le peuple soit prêt à accepter la décision majoritaire.

C) La pratique du référundum sous la Veme République

Il y a la démocratie de De Gaulle puis l'air post Gaulliens.

1) L'utilisation gaullienne du référundum

Il faut souligner la dimension plébicitaire : en 1961 organisation des pouvoirs publiques en


Algérie et nottament sur le principe d'auto détermination des algériens. 76.5 % de
particpation et le oui est a 75.3%. Le second référundum lié au 1er 1962 : autorisation au
PdeRep a ratifié les accords d'Evyan indépendance de l'Algérie 75.6% de particiaption 90%
de oui. 3eme référundum en 1962 : élection du président au suffrage universele direct : 77.2
participation et 61.7 de oui. Et dernier référundum 1969, entraine la démission de CDG,
81.6% de participation et le "oui" à 46.8% ne l'emporte pas. CDG voulait vérifier qu'il
disposait toujours du soutien du peuple français malgré mai 68, il veut refondre sa légitimité.
Il souhaite un référundum car c'est le procédé le plus direct mais qui ne peut avoir lieu dans
la foulée des évènements de mai 68. A défaut, il décidera de dissoudre l'assemblée national.
Le référum va avoir en avril 1969. Les Français sont appelé à donner un réponse à une
question portant sur 2 sujets différents : création des régions en tant que CT et la rénovation
du Sénat. Ce référundum pose pb de constitutionnalité comme 1962, car la rénovation du
Sénat suppose de modifer la constitution et donc une révision. Les français globalement
pour la régionalisation. En revanche ils sont en désaccord avec la rénovation du Sénat. C'est
un "limogeage", il s'agit d'en modifer la composition du Sénat, et il s'agit de lui retirer ses
pouvoirs législatives et en faire un simple donneur d'avis. Il ne voterait plus les lois et n'aurait
plus l'initiative. Le Sénat gêneait beaucoup De Gaulles à l'époque. Les français étaient attaché
au Sénat car il avait un rôle de chambre de décision. Ils disent d'autant plus facilement "non"
qu'un H d'Etat en mesure de succéder à CDG est apparu, donc il n'y aura pas CDG si il s'en
va, il était perçu comme un sauveur. Les évènements de mai 68 ont fait apparaitre
Pompidou, qui a sut montré ses capacités d'H d'Etat, car c'est lui qui a sut gérer la crise. C'est
lui qui négocie la sortie de crise avec les manifestants. Le résultat c'est le "non" et
immédiatement CDG démissione. Pour lui sa responsabilité pol a été mise en cause, c'est une
manière d'assumer sa responsabilité politique mise en cause par les français.

Les 4 référundums organisé par CDG possèdent des caractérisque commune. Le discours est
toujours le même :: il s'agit de se prononcer pour ou contre sa politique, ou pour ou contre
lui. Quelque soit la Q précise qui peut apparaitre comme un prétexte. Et il annonce qu'il
démissionera en cas de réponse négative, mais avec comme chantage "après moi le chaos".
C'est précisement le caractères plébicitaire du référundum gaullien. C'est la réponse à un H
qui est donné et pas à une question posé. Le "non" de ce référundum de 69 et la démission
de CDG n'a pas manqué de pesé sur l'usage du référundum.

2) La pratique post-gaulienne du référundum

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4 référundum :

-celui de 1972 : 60.7% de participation le oui l'emporte avec 67.7%. Il visait à donner au
PdeRep l'autorisation de ratifié les traités d'adhésion de la Grande Bretage, de l'Irlande ,la
Norvège, et du Danemark. Le sujet n'intéresse pas vraiment les français et le président ne
met pas son mandat en jeu. Il ne s'implique pas dans la campagne. L'adhésion se fera sauf
pour un Etat : la Norvège qui refuse finalement d'entrée dans l'UE.

-1988 : sur le statut de la Nouvelle Calédonie, 37% de participation, oui à 80%. Le sujet
n'intéresse pas du tout les français. Le président ne met pas son mandat en jeu, il n'en a pas
eu l'iniative qui vient du 1er minsitre de l'époque : M.Rocard.

-1992 : autorisation du PdeRep de ratifié le traité Maastricht. L'enjeu est très important, si un
traité très importante, construction de grande ampleur pour l'UE : avec l'euro. F. Mitterand a
tenté au début de la campagne une forme d'appropriation de la question, pour redoré sa
popularité déclinante, mais il ne pas sa place en jeu. C'est un contexte particulier de pro et
de contre européen et non de gauche droit. Paticipation à 69.7%, "oui" à 51%.

-2005 : participation 69.7% et le "non" l'emporte à 54.7% de "non", les français n'autorisent à
ratifié le traité établissement un constitution pour l'europe. L'enjeu est important, il s'agit de
préparer et de faciliter le fonctionnement de l'UE avec l'arrivé prochaine de 12 nouveaux
Etats dans l'UE. Ce ne sont que des réformes institutionnelle. La compagne référundaire a été
très intance dans ses débats. Il y a une mobilisation massive autour de la Q. Mais le niveau
du débat est resté très médiocre. La participation est assez bonne, le résultat est net "non".
Les motivations du "non" sont très varié mais 2 on été décisive : rejet du lébréralisme
économique qu'aurait incarné le traité. Secondement : la volonté des français de sanctionné
le pouvoir en place : Chirac et Raffarin. Le pb c'est que les 2 raisons n'ont rien à voir avec le
traité. Le libéralisme éco n'a rien à voir avec le traité : le libéralisme économique s'est déjà la
situation économique de l'UE, cela date de 1957. Le traité est mort née, ce traité n'a pas être
ratifié. Et ce traité à été remplacer par le traité Lisbonne entrée en vigueur en 2009. Ce traité
est un traité de remplacement : on a repris tout ce qui était de nouveau dans le traité de
2005. C'est un vrai fracture entre l'électorat et la classe politique. Or ce qui est nouveau c'est
le fonctionnement des institutions or la majeur partie du rejet ne provient de pase ça. Il y a
avait 4 parties dans le traité : 1 partie neuve : les institutions ( le débat n'est pas porté la
dessus), 2 : charte des droits fondamentaux de l'UE (pose pas débat tt le monde est okay) 3 :
reprise des traités éco précédents, 4 : dipositions final et transitoire du traités : les modalités
en somme.

Ces référundums sont différents de ceux qui ont eu lieu sous CDB :

-1er différence : la participation est en général plus faible, elle oscille en fonction de
l'importance des questions.

13
-2eme différence : ce n'est plus considéré comme un moyen de légitimisation par les
Présidents. Au contraire ils se méfient du procédé, et aucun n'a remis son mandat en jeu,
c'est l'héritage de la défaite de 1969 et de 2005. Cette méfiance est généralisé à l'encontre
du référundum.

-3eme différence : les Présidents demeurents toujours concerné par le résultat d'un
référundum. Au sens, où le résultat les impactes : sur le popularité, leur légitimité. Lorsque le
référundum porte sur un projet de loi, c'est le seul qui décide d'organiser un référundum. Et
donc c'est à lui que répondent les français. Donc il est impacté en rapport de confiance. Or
en ce qui concerne les propositions de loi, le référundum est inité par des parlementaires
plutôt en opposition auquel s'associe les citoyens. Donc les français sont ammené à se
prononcer en fonction de la Q mais aussi pour une part se prononcé en fonction de leur
voloné de sanctionné ou non le pouvoir en place. Si la dimension plébicitaire est écarté, mais
une certaines personnalisation de la réponse est sans doute innévitable.

Tout cela explique que le référundum se raréfie depuis CDG, soit 4 référundum sous CDG,
puis 4 référundum entre 69 et 2017.

§2) Le référundum par la procédure de l'article 11

CF COURS AVANT

§3) Le référundum législative de l'article 88-5

Loi ordinaire permettant au PdeRep de ratifié les traités d'adhésion d'un Etat à l'UE. Introduit
en 2005 dans la constitution puis modifié en 2008. En 2005, cet article nouveau oblige un
référundum pour autorisé la ratification d'un traité d'adhésion. Ce n'est pas annodin, en
pleine campagne référundaire, il y a un risque d'amalgamme entre l'adhésion de la Turique à
l'UE et le traité. Et donc la classe politique française décide de tordre le coup à ce risque et
pour cela elle décide d'inscrire l'article 88-5 à la constitution. Le référundum intervient trop
tard, à l'issu d'un long processus de négociation entre un Etat candidat et les Etats mebres
de l'UE. Les négociations peuvent prendre des années voir des décennies, car parfois un Etat
doit entreprendre des réformes de son droit. Certaines candidats doivent réformer leur droit
en profondeur c'est le cas de la Turiquie, candidat depuis 1987. Les négociations ont été
ouverte en 2005. A la fin du processus il y a un traité d'adhésion qui a été signé et c'est
ensuite qu'intervient la ratification du traité, et donc en France cela passerait par un
référundum. Le problème que cela peut posé, c'est le "non" à l'issu d'un long procédé. Cela
créerait des tensions politiques forte avec cette Etat. Car il suffit d'un "non" pour que l'Etat
ne deviennent pas membre. Avant le référundum était obligatoire. Il faut attendre 2008, pour
voir une solution se présenté. Donc, on a jouté, la possibilité pour les assemblés de l'éviter si
elle le décide chacune de leur côté à la majorité des 3/5, alors dans ce cas c'est la procédure
du Congrès qui est pratiqué.

III) Les modes de scrutin

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Selon l'article 3, le peuple exerce également sa souverraineté par la voie de ses
représentants. Il l'exerce principalement par ce moyen. La volonté des électeurs peuvent être
plus ou moins bien correctement traduit au moment de l'élection, en fonction des modes de
scrutin. Ces modes de scrutin peuvent avoir un effet déformant sur la volonté des électeurs.
En France, les modes de scrutins dépendent du législateurs. Sauf pour l'élection du PdeRep.
C'est à souligner, car il peut y avoir une tentation de modifier la loi électoral à leur profit par
la majorité. C'est arrivé la 1er fois en 1985 : vote du scrutin proportionnelle en remplacement
du scrutin majoritaire à 2 tours pour amortir les effets de la défaite prévisible au législative
de 1986. Un gouvernement de droite à souhaité égalment modifié la loi électoral, avec
Raffarin, mais ils n'ont pas réussi. Ils ont tenté de modifier le scurtin électoral régional afin de
dévaforisé les petits parties politiques.

On distingue généralement 2 modes de scrutin, qui poursuive des finalités différentes. Et qui
sont pour autant nécessaire à la démocratie.

-Le but de la représentation proportionnelle c'est la justice électoral, l'idée d'équitable


représentation des représentations politiques.

-Le scrutin majoriataire, son objectifs c'est la stabilité politique qui est une condition de
l'éfficatité en politique. Les gouvernements ont besoin de majorité de soutien stable, et
durable. Si il n'y a pas d'efficatité politique, alors le système s'effondre. La 4eme Rep est
morte de ces causes.

Mais parfois ces objectifs sont contradictoires.

§1) Le scrutin majoritaire

-1er précision therminologique : le scrutin peut être à 1 ou plusieurs degrés. Et on


distinguera ici le scrutin direct et indirect.

-Le scrutin est soit uninominal soit plurinominal. Lorsque qu'il y a plusieurs siège à poursvoir
soit les candidatures sont isolé ou font l'objet de liste. C'est pour cela qu'on parle de scrutin
de liste. La repésentation proportionnelle est toujours un scrutin de liste. Les listes de
candidats sont dites bloqués en général, lorsqu'elle doivent comporter de candidat que de
siège à pourvoir et lorsque les électeurs ne peuvent pas y toucher. Lorsque les listes ne sont
pas bloqué c'est que les électeurs peuvent pratiqué le panachage. De même les électeurs
peuvent être amené à modifier l'orde des candidats sur les listes.

-Il y aussi une disctinction à faire entre les électeurs inscrits et les suffrages exprimé (= voies
des électeurs qui prennent part à une élection moins les votes nulles et les votes blancs). L.66
du code électeurs : précision de ce qui est un bulletin nulle. Jusqu'en 2014, les blancs
n'étaient pas séparé des nulles. Alors que les blancs expriment un message politique clair :
rejet de l'offre politique. Mais on ne les comtabilise pas dans les suffrages exprimés, ce qui
minore leur poids politique. Mais si on les compte, la majorité est plus difficle à atteindre.

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A) Le scrutin majoriaitre uninominal à 1 tours

C'est le mode de scrutin en vigueur dans les pays anglosaxons. Il suppose des petites
circonscriptions électorals, dans la quelle sont élu les citoyens qui obtiennent le plus de voix.
Celui qui arrive à tête de la circonspcriton gagne.

1) Avantage :

-Le mode de disignation des députés, donc chacun peut mesurer ça. Donc la simplicité

-Il a surtout l'avantage de permettre la stabilité gouvernemental, condition de l'efficacité en


politique et surtout dans le cadre d'un régime parlementaire. Dans ce cadre, le
gouvernement est politiquement responsable devant le parlement, il est donc constitué à
l'image de la majorité parlemantaire qui peut le renverser. Il faut donc une concordance
politique entre le gouvernement et la majorité des députés durable. Quand le soutien
disparait, le gouvernement tombe. Ce mode de scrutin réduit le nombre de partis politiques
en mesure d'accéder au pouvoir. Ainsi peu de partie sont ammené à gouverner. On constate
alors que deux parties politiques alterne au pouvoir, au RU ce sont les travaillistes et les
conservateurs. C'est ce que appelle le bipartisme " two party system". L'alternance entre ces
parties de gouvernements se réalise en fonction du repport des voies des électeurs flottants :
ceux qui n'ont pas d'attache avec les parties.

-Le partie qui est majoritaire dans le pays, dispose en général d'une majorité absolue des
sièges. Et donc à lui seul il peut former un gouvernement. Il est rare que les parties se
désolarise et entraine la chute du gouvernement. C'est la raison pour laquel il y a eu une
grande stabilité politique au RU. Le constat général il admet des exeptions. Ex : 2010 le partie
des conservateurs étaient suivi de prêt par les travaillistes donc pas de majorité absolue. Le
Brexit intervient puis la dissolution de la chambre des communes, à nouveau le partie
conservateur est en tête mais il n'a pas la majorité absolue mais il trouve un accord avec les
unionistes d'Irlande du Nord. Et Theresa Mai a put former un nouveau gouvernement.

-Les citoyens peuvent véritablement choisir un programme et un chef de gouvernement. Car


c'est le programme du partie vainceur qui sera appliqué et c'est son leader qui deviendra 1er
ministre.

2) Inconvénients

De toute évidence son inconvénient, c'est qu'il sacrifie la justice électoral en sur représentant
les grands politiques et sous représenté les petits partis politiques. Les petits patis n'ont que
très peu de chance de gagner dans les circonscriptions où ils sont minoritaires. C'est un
mode de scrutin brutal en raison de son effet mécanique. Effet accentué par le
comportement même d'une partie des électeurs que l'on caractérise à travers le vote utile,
soit le fait de ne pas voter pour le candidat qui est le plus proche politiquement de lui mais
de voter pour le candidat qui en est le moins éloigné et qui a des chances de gagner.

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Les britanniques ont lâché du leste, et avec l'arrivé des travaillistes, le scrutin proportionnelle
a remplacé le scrutin majoritaire à un tour pour certain cas : assemblé de province, députés
européen.

B) Le scurtion uninominal majoritaire à 2 tours

C'est celui qui appliqué sous la Veme sauf en 1985 pour les législatives. Il y a 577 siège à
pourvoi à l'assemblé national dans 577 circonscriptions. Est élu au premier tour celui qui
obtient la majorité absolue des suffrages exprimés de 25% du nombre des électeurs inscrits.
Si il n'y a pas de vainceur au 1er tour alors il y a bollatage, organisé au dimanche suivant.
Pour accéder au 2eme tour il faut avoir obtenu les vois de 12.5% des inscrits au moins au
pemier tour. C'est beaucoup ! Mais parfois on peut avoir 3 candidats. Ca élimine les petits
parties. Plus l'abstention est forte plus il est difficile d'obtenir la majorité.

Au 2eme si il y a deux candidats, c'est à la majorité. Si il y en 3 il faut obtenir le plus de voies


pour être élu. Mais ce n'est arrivé qu'une fois.

1)Avantages : Sous la Veme Rep

Il a eu principalement 2 effets bénéfiques :

-Le multipartisme et la stabilité gouvernemental dans le sens où il a permis à certains petit


parti politique d'accèder à la représentation parlementaire. 2 raisons : 1er élément : le
comportement du vote utile joue moins au 1er tour car les électeurs savent qu'il y a très
souvent un 2eme tour sauf expetion. Ils peuvent donc voter pour le candidat qui est le plus
proche de leur opinion politique. Il est une photographie politique assez représentative. Les
petits parties politiques on une existence électoral et peuvent avoir des vois et donc une
force électoral et vont pouvoir s'ens servir. Les grands parties vont être obligé d'en tenir
compte. 2nd élément : il conduit à la conclusion d'alliance électoral entre petit et grand
partie. Il y a deux formules possibles : s'entendre pour présenter un candidat commun dans
un grand nombre de circonscription possible et aura plus de chance d'atteindre le 2nd tour.
L'autre formule : les accords de désistement, chacun des parties présnete un candidat au
premier tour et ensuite on regarde celui qui a le plus réussi, et le mieux placé des candidats
se maintiendra seul au second tour. Et tout les parties de l'alliance appeleront à voter pour
lui. Donc l'idée est donc de négocier les circonscriptions. L'objectif étant de gagner le 2nd
tour. Il n'empêche que ce sont ces accords qui permettent au petit parti d'obtenir des sièges
de députés. Ce scrutin a entrainé la bipolarisation de la vie politique sous la Veme rep. Càd
que la vie politique s'est structuré en 2 bloc caractérisé par les accords électoraux et ce
phénomène s'est produit aussi bien à gauche qu'à droite. On entre dans une logique de
trajectoire commune entre les parties de droite et ceux de gauche. Il y a un troisème pole qui
a émerger c'est le FN qui a bouleversé les choses et peut être même un 4eme pôle née en
janvier 2016, majoritaire à l'assemblé national avec le partie en marche.

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-Le scrution majoritaire à 2 tours à contribué à la stabilité gouvernemental en France. Ce que
ne connaissait pas les Rep précédentes à l'idée du la IV Rep. Depuis 1962, les majorités
parlemantaires émerge immédiatement des urnes, des élections législative, des majorités
durable dans la mesure sont composant sont unis par un lien d'interdépendance électoral.
Les parties d'une alliance qui gagne les élections législatives gagnent un gouvernment et ces
parties forment une majorité parlementaire/ de gouvernement. Ils sont unis car ils ont besoin
les un des autres pour pouvoir gagner les prochaines élections, ou tout du moins avoir un
maximum de siège. Et si certains se désolidarise, et provoque la chute du gouvernement, car
il n'a plus de majorité. Et un majorité peut même le renverser. Il y a des risques de rétentions
au élections législative suivantes.

2) Inconvénient

Il a pour effet de surreprésenter les grands parties et sous représente certains petit partis.
Soit les petits parties d'une alliance on beaucoup de difficulté d'accéder au 2nd tour, les
accords de désistement ne leur profite pas. L'autre chose, certains petit partie politique ne
peuvent conclure d'alliance électoral et se retrouve sous représenter au regard de son poids
électoral.

§2) La représentation proportionnelle

Les sièges des parties sont réparties en focntion du nombre de voie. Elle suppose des lites
électoral. Lors des législatives en 1985, soumis à un scrutin majoritaire à deux tours. La
circonscription électoral était le départment, on parle de représentation proportionelle
approché. L'autre hypothèse un circonscrption électoral unique : la France. Ce qui a été le cas
pour les députés européens. Ce qui fait c'est qu'il y aura des listes avec le nombre de
candidat élevé : 90. Cela pose un pb : la connaissance des candidats, il est impossible de tous
les connaitres.

Avantages :

-La représentation proportionnelle assure la justice électoral, même si la jsuice électoral n'est
pas possible. Souvent un seuil minimal est instauré pour bénéficer de de la répartition des
sigèes.

-La diversité des sensibiliés politique est représenter, ce qui peut donner le sentiment au
électeur qu'ils sont représentés, ce qui peut les réconcilier la politique.

-Cette diversité enrichie le débat parlementaire. Mais il faut faire attention à une trop grande
diversité

Incnvénient :

-La grande taille des circonscription et le nombre élevé de candidat par liste peut entrainer
l'anonymat des candidatures et la dépersonnalisation du scrution. Ce liend de proximité peut
être difficile sur des lsites de 100 candidats. On peut passez sur un contre effet, et les

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électeurs pourrait ne pas se sentir représenter à défaut de les connaitres. On peut limiter cela
en incluant la possibilité de pannachage.

-L'élection est maitrisé par les état mejeur des parties politique lorsque les lises sont bloqués.
Ce sont les parties politique qui élaborent et fixent l'ordre des candidats sur la liste.
Finalement, l'électeur est dépossédé et ce sont les parties qui font les élections. Pour casser
cette main mise, il faudrait autorisé le vote préfénrentiel donc la possibilité de changer
l'ordre des candidats.

-Le risque avec la représentation proportionnel c'est qu'aucune volonté politique se dégage
des élections. Il y a un risque d'émitemment des voix entre un grand nombre de partie
politique et qu'un grand nombre de partie politique soit représenter au sein de la chambre
basse. Et qu'il faille constituer des majorités de coalitions. Au sein de l'assemblé concerné, les
partie négocie pour s'associer afin de former un majorité. Cela se distingue, car avec le
scrutin majoritaire les accords ont lieu avant les élections, donc les électeurs ne sont pas pris
en défaut. Tandis, que dans le scrutin proportionelle, c'est le lendemain des élections que
tout se décide. Ce qui peut remettre les programmes proposé en cause.

-Critique la plus fréquente et inconvénient principal : le risque d'instabilité gouvernemental.


Le risque c'est que les majorités soit fragile et non durable et que cela entraine la chute du
gouvernement. Le risque existe parce que les composantes de la majorité parlementaire sont
électoralement indépendante, à l'inverse de la logique du scrutin majoritaire. Les parties pol
ne peuvent compter que sur leur propre force pour gagner des sièges. Il n'y a pas d'alliance
électoral. Donc, lorsque les parties forment une majorité et sorte de cette majorité, il n'y a
aucun risque de représaille de la part des autres parties. A l'image de ce qui se passait sous
la IVeme Rep.

Jusqu'en 1999, le régionales se faisait de cette manière. Une nuance importante est à noter :
il n'y a aucune fatalité de l'instabilité, elle n'est pas inéluctable. dans certains pays, ce mode
de scutin ne conduit pas à ceci. En Autriche, c'est le mode utilisé, et il n'y a que peu
d'émiétement. En Suisse et en Allemagne, les majorités parlemantaires sont durables et les
gouvernement tiennent. Un mode de scrution n'induit pas d'effet mécanique. Dans ces pays
là, il y a une culture politique du consensus, du compromis. Ce sont des sociétés politiques
fondamental consensuelle et pas conflictuelle.

En France, les partie pénalisé par le scrutin majoritaire, demande l'instauration du mode de
scrutin proportionelle. Le comité Balladur proposait un scrutin proportionnelle compensé.
Sarkosy avait exprimé que si un consensus politique pouvait se faire, il y serait favorable. La
comission Jospin, en 2012, dans un rapport avait également proposé quelque chose de
comparable. Et dernièrement, Macron a repris l'idée et a indiquer dans son disocur du 2
juillet 2017 devant la congrès qu'une dose de proportionnelle serait introduite pour les
élections législative.

§3) Combinaison et juxtaposition des modes de scrution

19
Combiner : dans une seul et unique circoncription scrutin majoritaire plus proporitionelle.
Juxtaposition : une circonscription prop et une autre majoritaire

A) La combinaison

C'est ce qu'on appelle les sytème mixtes, certains sièges sont attribué au scrutin majoritaire
d'autre à la proportionnelle. Ils peuvent combiner les avantages du mode de scrution mais il
n'y a pas de miracle, cela n'éradique pas les inconvénients. Il n'y aurait pas de justice électral
absolue. La combinaison choisit : elle est soit dominé par le côté majoritaire ou
proportionnaliste.

En France 2 types d'élections mixte : permettre la stabilité en assurant un certain pluralisme


politique. Ce sont les élections locals qui sont concerné.

-Les élections dans les communes de 1000 habitants et plus. Un scrutin majoritaire à deux
tours accompagné d'une dose de proportionel. Il était applicable avant 1982, dans les
communes de plus de 3500 habitants. Il a été mise en oeuvre lors du renouvèlement général
de 2014. L'objectif était d'à la fois le pluralisme pol mais aussi d'étendre les règles applicable
au matière de parité. ( les règles relative à la parité peuvent être joué seulement qaund il y a
des listes de candidat). La liste qui obtient la majorité absolue obtient la moitié des sièges a
pourvoi au sein du conseil municipal, c'est ce qu'on apelle la prime majoritaire. L'autre moitié
des sièges est répartie entre toute les listes y compris la liste majoritaire à la proportionnelle.
Si aucun des liste n'obitient la majorité alors 2nd tour et si toujours pas de majorité c'est la
liste en tête qui obtient la majorité à pourvoir. Et le reste est répartie à la proportionnelle.
Seul les listes qui ont 10% des suffrages exprimé sont autorisé à se maintenri au 2eme tour.
Cela permet la représentation de l'opposition politique dans ses communes.

-Les élections régionals sont égalment concerné par un système mixte, c'est un système
comparable à celui qui s'applique dans les communes d'au moins 1000 habitant depuis
1999. Même sytème mais avec une différence importante qui tient à la hauteur de la prime
majoritaire. La prime qu'empoche la liste qui arrive en tête que ce soit au 1er tour ou au
2eme tour n'est pas la moitié des sièges mais seulement le 1/4. Et le reste sont resparti entre
tout les listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimé à la proportionnel. Pour
accéder au second tour il faut avoir obtenu 10% des suffrages exprimé au 1er tour. Il assure
une plus grande diversité politique au sein des conseils régionaux, on peut dire que c'est un
suffrage mixte à dominante proportionnalisté. Il permet une meilleur représentation des
petits parti politique.

B) La juxtaposition des modes de scrutin

C'est pour les élections sénatorial. 348 sénateur, c'est l'effectif maximal dont 326 élus dans
les départements de métropole et d'outre mer. Les autres représentent les français à
l'étranger. Il faut précisier égalment que depuis 2003, le mandat des sénaterus à été réduit à
6 ans, la conséquence est que le Sénat est renouvelé par moitié tout les 3 ans. L'âge de

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l'égilibilité est passé à 30 ans, et a été abisser par une loi organique de 2011 à 24 ans. Le
rapport Jospin de 2012 proposait d'ailleurs de baisser l'âge de l'éligibilité à 18 ans. Ce
rapport est une sorte de diagnostiv médicale, on y parle de rénovation de la vie politique et
de déhontologie. Le Sénat assure une fonction particulière de représentation, qui le
distingue de l'assemblée national. Selon l'article 24 de la Consti, le Sénat assure la
représentation des CT de la République. C'est une autre manière de représenter le peuple
français à travers ses territoires. Et explique un mode de désignation particulier.

Le collège électoral sénatorial : le département est la circoncrpition dans laquel sont élu les
sénateurs. Les sénateurs dans chaque département sont élu par de grand électeur (électeur
sénatoriaux) au suffrage universelle indirect. On trouve dans ce collège électoral : les
députés du département, les sénateurs du département, les conseillers régionaux élu dans le
cadre du département et des délégués des conseil municipaux des dépatements. Le collège
sénatorial dans son ensemble s'est 162 000 grands électeurs. La massse des délégués des
conseils municipaux est grande : 96%. Le mode de scrution mis en oeuvre n'est pas le même
selon les départements. Certains applique le scrutin majoritaire à deux tour ou proportionelle
(ceux qui élisent au moins 3 sénateurs). Aujourd'hui ce sont 73% des 348 sénateurs qui sont
élu à la proportionelle. C'est ce qui a permis d'augmenter le nombre de sénatrice au sein du
sénat. Dans les autres départements c'est un scrutin majoritaire à 2 tours.

Se pose la question de la représentativité du Sénat qui est mise en doute ?

Cette assemblé exerce des pouvoirs importants puisqu'elle à l'initiative des lois, elle participe
à leur adoption et à possède un pouvoir important en matière de révision. Et elle souvent
considérer comme trop peu représentative des opinions politiques des français. Il y a en fait,
un double déséquilibre de représentation au sein du collège éléctoral sénatorial entre les
représentants des catégories de CT : au bénéfice net des communes et au détriment des
départements et des régions. Il y a ensuite un second déséquilibre entre les communes au
profit des petites communes qui sont sociologiquement plutôt conservatrice (droite) et il y a
de fait un avantage pour la france conservatrice. La conséquence concrète qu'à part en 2011-
2014, le Sénat a toujours été de droite majoritairement. Il y a un déséquilbre car il y a un
sytème de répartition des délégués qui avantage les petites communes qui fait qu'elle
possèdent plus de représentant que les grandes communes. C'est un vrai débat qui revient
de manière récurente. De nombreuses proposition ont été soulévé, 2 types de propositions
avancés :

-Améliorer le sytème existant, il y a deux manières de faire : 1) compléter l'article 24 de la


constitution pour préciser que le Sénat représente les CT en fonction de leur population ce
qui obligerait le législateur à augmenter le nb d'électeur sénatoriaux pour les grandes
communes, pour les régions... .(Proposition du Comité Balladur). Il aurait fallut augmenter
considérablement le nombre d'électeur. 2) Comission Jospin de 2012 : propose de corriger
principalement le déséquilibr qui existe entre d'un côté les petites communes et d'un autre
côté les régions, les communes grande et les départements. En affectant d'un coefficient le

21
vote des représentants des grands électeurs représentant ls granes communes, les
départemnts, les régions de manière de renforcer leur poids ce qui évite d'avoir à chercher
des représentants en dehors des régions,dép... L'idée s'est de faire en sorte, que les
repésentant qui vienne des régiosn et des dép pèent pour 30%. C'est intéressant dans la
mesure où cela permet d'éviter de trouver des représentants en dehors des conseils et qui
évite la révision constitutionnel.

-L'autre manière est plus radical puisqu'elle consiste en un changement radical du mode de
désignation. Certains propose un suffrage direct au scrutin proportionnel. Afin de donner
une assemblé législatif représentant les français dans leur sensibilité politique. Cela pourrait
poser pb ca le Sénat pourrait ne pas suivre la majorité parlemantaire. Mais cela ne pose pas
pb au niveau de la loi. Car il y a un mécanisme permettant de donner raison à l'assemblé
national. Néanmoins, le Sénat pourrait se revendiquer plus légitime et demander plus de
pouvoir.

IV) Une démocatie représentative perfectible

La Veme République vit une crise démocratique. Les signes de cet élement sont nombreux
avec une importance variable. 43% de participation au législative.

-Les votes sanctions : ce sont des votes qui permettent au citoyen de sanctionné le pouvoir
en place. Les citoyens peuvent se saisir d'un grand nombre d'occasion pour sanctionné le
pouvoir en place. Emblématique de cela : les élections législatives c'est une alternance
systématique, une sanction systématique. Depuis 1981, il y a une sorte de sanction
mécanique. Il se saisise des occasions même si le sujet n'a rien a voir. Celle qui ont un réelle
impacte ce sont les législatives. Mais des élections locals ne permettent pas de retirer du
pouvoir au pouvoir.

-L'abstention est en hausse, la tendance lourde tend à sa progression. Pour toute les
élections sauf pour les présidentielles qui y résistent. Les élections mobilisent fortement les
citoyens car l'enjeu est important. En 2007, au 1er tour et au 2nd environ 84% de
participation. En 2012 plutôt 80%. Et en 2017, 1er tour : 2nd tour : 74.6%. Une baisse de près
de 10 point de %. Ce qui peut s'expliquer par l'offre politique considère comme presque
pareil. La déradation de la participation au législative est plus forte. Année 60-70 20%
d'abstention, dans les années 80-90 30%, depuis 2002 l'absention progresse : 2002
abstention 35.6, 2007 : 40%, 2012 : 45%, 2017 : 51.% au 1er tour, 57.4% 2nd tour. 10% des
votants on glissé un bulletin blanc ou nulle au 2nd tour. Depuis 2002, on peut expliquer la
hausse de l'abstention qui tient à la concomitence de l'élection présidentiel et législative, afin
d'éviter les cohabitations. N'empêche certains électeurs considérent qu'après élection
présidentielle les jeux sont fait et donc plus d'enjeu à aller voter. On peut mettre à part 2017,
l'année 2016 a été une année lourde électoralement. Il y a eu 2 tours pour les primaires, puis
2 tour présidentielle. Le climat politique "pourri" délétaire, par l'affaire Fillion qui explique le
rejet d'un certains nombre d'électeur.

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-Autre indice : la progression élevé des votes blancs par lequel les gens signifient qu'aucun
candidat ne leur convient. Vote blanc 8.5% des suffrages exprimé au 2nd tour de 2017.

-Le rejet des parties de gouvenement( gauche/droite) qui s'est manifesté lors des élections
de 2017. C'est une première, les candidats de ces parties politiques ont été éliminé au 1er
tour de l'élection de 2017. Fillion et Hamon sont sortie. Au second tour on retrouve un partie
nouveau En marche et l'autre candidat est d'un partie qui se présente comme contre
système : le FN. Ce rejet s'est répercuté au législative de 2017, les socialistes connaissent un
effondrement historique plus que 30 sièges, et la droite recule qui avait 194 en 2012 passe à
112 sièges.

-Les sondages bien qu'à prendre avec précaution, révèle de la part des français une défiance
à l'égard du fonctionnement de la démocratie sous la Veme.

L'Etat de crise jusqu'à un certains point est l'Etat normal de la démocratie. Il y a toujours une
part forte plus ou moins importante de mécontentement. La démocratie est un sytème dans
lequel les individus expriments librement leur insatisfaction, des individus dont les
comportements ne sont pas toujours rationnelle. Il y a donc nécessairement un Etat de crise.
C'est sain car cela veut dire que le système est bien libéral et permet à tout le monde
d'exprimer un mécontentement. Il y a parfois des contradictions forte entre les privés et les
intérêts général. Les raisons de la crise de la démocraie sont nombreuses, multiples on peut
en identifier principalement deux :

-La crise de la Politique : en ce sens que les individus ne croient plus que la Politique peut
changer leur quotidien. Il y a un désenchantement à l'égard de la politique. 2 crises
importantes sont passé par là : une crise des idéologie et des Etats. La crise des idéologie elle
nait au lendemain de la chute des républiques soviétiques en 1991. C'est un moment
historique, déterminant car jusque là le monde se résume en un affrontement idéologique
forte et absolutisme chacune à leur manière le capitalisme face au collectivisme chacun est
munis de l'arme atomique. Les générations ont été politisé, la division droite/ gauche était
plus marqué, les gens sont plus idéologiquement imprégné et croit d'avantage que la
politique est le moyen de changer le monde. Lorsque l'un des modèles s'effondre, ce qui a
structuré le monde va s'effilocher. La mondialisation peut laisser penser que les Etats sont
dépassés par la situation.

-La crise des rapport entre gouverner et gouvernant : Elle résulte à la fois de la défiance de
certains citoyens à l'égard des responsables politiques et du sentiment d'une confiscation du
pouvoir par les élites politiques.

§1) Une crise de confiance entre gouverné et gouvernant

Il y a une mise en cause de l'honnêté des hommes politiques et la mise en cause de leur
parole donnée (= promesse électoral non tenues). Les réactions se font surtout face à la
classe politique national.

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A) Des responsables politiques honnêtes ?

A partir de la fin des années 80 et années 90 ont éclaté en France un certains nombre de
scandale concernant le financement illégale des parties politiqiues. Pourquoi ce moment ?
Ces affaires éclates car la justice commence à s'intéresser à ce genre de question. Avant il y
avait une sorte d'immunité avant et fin des années 80, les magistrats votn s'autoriser à
enquêter à donner suite. Et finalement les affaires éclatent. Ce qui produit un effet de loupe
pervers tout à fait classique. Les citoyens français vont penser que les responsables
politiques sont de plus en plus corrompus. Alors que c'est le contraire qui se passe, car les
enquêtes et les condamnations vont permettre d'assainnir les pratiques, en dissuadant. Le
problème c'est que la confusion s'opère souvent dans les esprits entre financement illégale
de partie politique et enrichissement personnel. L'argent est collecté illégalement pour faire
fonctionner le parti, c'est en matière de marché public que se constate les illégalités, l'effet
chantage entre une persone public à direction du marché privé. (ex: une entrepirise privé fait
un don au partie en échange d'un service rendu). Sur la totalité des affaires jugés il y a eu
des enrichissements personnels càd de corruption, mais ils sont de loin minoritaires. Il faut
noter qu'il n'existait pas de système de financement politique des parties.

L'assinissment à été réalisé par une loi de 1988 et d'autre texte qui ont suivit, lesquels
organise un financement public des parties et des campagnes électorals. Mais la croyance de
corruption des H politiques est déjà enracinné et alimenté par les affaires.

3 illustrations :

-Bygmalion : affaire toujours en cours, à conduit à la démission du 1er secrétaire à l'UMP : JF


Coppé. Car il était directeur de campagne de N Sarkosy. Il existe un plafond de dépense lors
de l'élection présidentiel de 22 M d'euro. L'affaire Bygmalion a mis à jour le déplacement
camouflé de ce plafong. La société Bygmalin était une société quia ssurait des prestations de
campagne au profit de Sarkosy. Or la société facturait à l'UMP des prestations qui n'avait rien
à voir avec la campagne présidentiel sur le papier mais qui était complétement fictive. En
réalité, c'était une manière de se faire payer des prestations dans le cadre de campagne
présidentiel sans qu'elle puisse être comptabiliser dans les comptes de campagne. Donc
Coppé à bénéficier d'un non lieu, car il n'était "pas au courant", aujourd'hui 14 personnes ont
été renvoyé devant le tribunal correctionnel en 2017 dont N Sarkosy.

-L'affaire Cahuzac qui était ministre du budjet sous Hollande lorsque l'affaire éclate et le
conduit à la démission en 2013. En effet une information judiciaire est ouverte contre lui
pour blanchissement d'argent et fraude fiscal. Cahuzac aurait des comptes non déclaré à
l'étranger. Le ministre du budjet est chargé de lutter contre la fraude fiscal. Devant
l'assemblée national et il leur dit qu'il n'a pas de compte bancaire à l'étranger. Mais pas de
pot, les faits le rattrape et va devoir reconnaitre publiquement ses comptes. Il ment, il essaie,
il se débat mais c'est peine perdu. C'est là la césure entre le peuple et les politques. Il y a eu
des réactions à la suite de cette affaire : une commission d'enquête parlementaire à été crée

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pour voir les éventuelles disfonctionnement de l'Etat. La question est ce que l'Etat n'a pas
retardé ou tenter d'étouffer l'affaire ? La réponse est "non". L'aute conséquence c'est qu'une
haute autorité pour la transparence de la vie publique a été crée par une loi du 11 octobre
2013. Elle contrôle d'une part la véracité des déclarations de patrimoins faite en début et en
fin de mandat, et d'autre part l'existence de conflit d'intérêt de tout les responsables
politiques nationaux (=ministres, parlementaire), et européenne, les principaux responsbales
des éxécutifs locaux, les collaborateurs des cabinets ministériels, ect... Les situations d'intérêt
privé sont les fonctions qui ne permettent pas d'exercer en toute objectivité une fonction
politique.

-L'affaire Fillion qui a illustré le fossé qui peut exister entre les politiques et les électeurs et
qui contribue au rejet de la classe politique. Cette affaire a éclater en janvier 2017 réveé par
le Canard enchainé et pollué toute la campagne présidentiel. Au point qu'il deenait
impossible que le fond a été occulté. Il s'agit de soupçon sérieu d'emploi fictif, d'une
rémunération pour des services qui n'ont pas été réalisé, qui concerne son épouse
Pénéloppe qui a été son attaché parlementaire. F. Fillion a fini par être mis en examen en
mars 2017, mais il a quand même maintenu sa candidature et a entrainé son partie vers la
défaite. L'affaire est toujours en cours. L'affaire a alimenté la défiance et la croyance en une
malhonnêté de la classe politique. D'autant plus que Fillion était censé incarné une rectitude
moral. Fillion a une certaines incompréhension envers les électeurs, que les temps ont
changé.

B) Les politiques ne respectent pas leur engagement ?

Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. Les hommes politiques promessent bcp
pour se faire élire mais ne tiennent pas leur parole ?

Il y a deux malentendus qui interfère. 1) Il y a une tendance à la sur enchère électoral, et la


responsabilité première est celle des H politiques mais après des électeurs. Mais les électeurs
ne se demandent pas toujours si cela est souhaitable ou réalisble. De la part de Macron on
peut noter une modération, puisqu'il y a eu peu de promesse. Il vaut mieux avertir du
douloureux que du bien fait. 2) Il y a souvent malentendu sur la réalisation d'un programme
politique pourtant il va de soit que tout ne puisse pas être réalisé dans un programme car les
circonstances évoluent. Et ce qui était souhaitable ne l'est plus un certains temps après. Mais
tout de même l'essentiel doit être réalisé. Et inversement des idées n'ont envisagé peuvent
devenir nécessaire. Par ailleurs on peut contaster que les responsables politiques sont
conduit à prendre en considération l'opinion public et ses évolutions. Mais il faut aussi
mettre à distance l'opinion public. Mais tout cela se répercute. Dans la mesure du possible
les responsables politiques essaient de mettre en place leur programme, car ils savent que la
sanction qu'ils encourent est de ne pas être réelu. F.Hollande a anticipé la sanction en ne se
représentant pas pour un second mandat. Si on prend l'exemple de la législature 97-2002, ce
gouvernement a réussi à mettre en oeuvre son programme. Mais ça n'a pas empêché Jospin
que soit évincé du 2nd tour malgré son bilan.

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§2) Un pouvoir confisqué ?
A) La question de la représentativité des élus
Elle renvoie à l'idée de bonne représentation à la fois sur le plan politiques et sociologiques
1) La question de la représentation ds différetes sensibilité politiques
Certains électeurs ne se sentent pas représenté faute d'élu qui porte leur idée au sein des
institutions nationals. C'est le scrutin majoritaire à deux tours qui joue là dessous. Il est
également mis en cause le mode de désignation des sénateurs qui produit une sur-
représentation des communes rurales et qui conduit à une majorité de droit sauf l'expetion
de 3 ans. La loi de 2013 étend le mode de scrutin applicable a permis de faire évoluer la
pluralité politique

2) La question du décalage sociologique entre élu et électeurs


Sur le plan de la représention national il y a un écart. Aussi bien sur le plan des CSP, de l'âge,
de la parité, sur les diplômes.
Le débat est née dans les années 80, de la nécessité par la loi de faciliter l'accès des femmes
au mandat politique. Mais la loi de 1982, avait été censuré sur un article qui prévoyait que les
listes de candidat ne pouvait pas comporter plus de 75% de candidat sur le même sexe. La
thématique a ressurgit avec le tour de la gauche au pouvoir en 1997. Et elle s'est imposé du
constat très net de sous représentation des femmes au sein de la classe politique. Il y a eu
peu de femme ministre : Edith Cresson ministre pendant 1 an. Il faut relevé qu'en France les
femmes ont obtenu le droit de vote très tardivement, tandis que d'en d'autre démocratie ça
fait bien avant pour certains à la fin du 19eme siècle. Et en si peu de temps elles n'ont pas
put prendre toute leur place dans la vie politique, car les appareils pol sont maitrisé par les H
un peu mysogine. Il y a aussi l'idée du partage des tâches au sein des couples. A défaut
d'évolution naturel, la question se posait de savoir si il fallait forcé le barage par la loi. Et en
ce sens il a fallut réviser la constituion le 8 juillet 1999, qui vient ajouter une disposition dans
la constitution selon laquelle la loi favorise l'égal accès des H et femmes au mandat
électoraux et fonction publique, dans l'art 2 de la constitution.

A partir de là différente loi on été adopté :


-6 juin 2000 : La parité au scrutin de liste pour les élections municipales, régionals, les
sénatorials, les européennes.
-Pour les élections législative c'est une sytème d'insitation financière qui constitue a diminué
les aides financières au partie si il ne respecte pas la parité. Pour cela on vérifie que chaque
partie présente autant d'H que de F avec une marge de 2%. Au delà, l'aide publique sera
diminué d'un % équivalent à la moitié de l'écart constaté. Mais plus le partie à l'argent plus il
s'en cogne.

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-31 janvier 2017, impose une obligation de parité pour les éxécutifs des régions et
communes d'au moins 3500 habitant. Pour les élections départementales, titulaire et
suppléant doivent être de sexe différent.
Renforcement des pénalités financières pour les parties qui ne respectent pas leur obligation
de parité, maintenant 75% de retenu de l'écart constaté. Il faut tendre au 100% ca les parties
qui ont les moyens ne jouent pas le jeu.
-Plusieurs lois de 2013, celle du 17 mai tout d'abord qui modifie le mode de désignation des
conseillers départementaux. Désormais dans chaque canton on élu 2 conseillers, scrutin
majoritaire à 2 tour binomial. Et la loi impose au partie de présenté 2 candidats de sexe
opposé. Par ailleurs cette loi étendu le mode de désignation des représentats des communes
de 3500 habitant au commune de 1000 habitant.
Et le 2 aout 2013 qui a étendu la représentation proportionnelle au département élisant 3
sénateurs.

Les effets des différentes lois sont globalement contrasté. Certains sont notables : la
présence des femmes a progressé de manière remarquable dans les assemblés locales ( elles
sont depuis 2015 47.8% des conseileurs régionaux), 50% au niveau des départements.
Depuis les miniciaples de 2014 40.3% de femme. Mais cela ne doit pas masquer l'écart qui
existe sur les fonctions éxécutives. Il n'y a que 3 présidentes de régions sur 13, seul 13% de
maire femme. Du côtés des assemblés parlementaire, au Sénat il y a eu une progression
continue sensible de la parité : passage de 10.9% en 2001, à 31.6% en 2017. A l'assemblée
national une même évolution peut être constaté avec un bond en 2017 : 10,9% en 1997, en
2012 on arrive à 26.5% et un bond en 2017 avec 39% de femme à l'assemblé national. Cette
évolution classe au 17eme rang sur 190 débutés au sein de la chambre basse du parlement.

Il y a d'autre évolution a constaté : l'assemblée national a connu un renouvellement


important avec les élections de 2017. 70% des députés sont nouveaux. La moyenne a baisser
sensiblement on passe de 54 ans à 49 ans. Tout cela résulte de l'iniative de En marche qui a
choisit de présenter pour moitié des femmes dans les circonscriptions et pour moitié des
candidats venant de la société civil (pas ceux qui n'avait pas eu de mandat national). Il y a
toujours un décalage sociologique entre les élus et les électeurs. Et certains électeurs
peuvent se sentir mal représenté, se détourne de la politique. Pour autant la question se
pose d'envisager une classe politique l'exacte représentation sociologique des citoyens ? Est
ce que le fait d'être représenter par quelqu'un de sociologiquement différent de soit ?

B) Le cumul des mandats


Pour un certains nombres d'H nationaux, c'est un métier où on fait carrière. Cette attitude
empêche le renouvélement de la classe politique mais en plus de cela les mêmes cumuls des
mandats nationaux et locaux. Cette situation peut donner le sentiment que le pouvoir est

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confisqué par une classe, cette situation interroge aussi sur la capacité à remplir les différents
mandats cumulé. Il existe un régime juridique de limitation du cumul des mandats. Pour
l'essentiel elles sont une loi organique et ordinaire de 30 décembre 1995 et une loi
organique et ordinaire du 5 avril 2000.

On va différencier le régime qui s'applique au parlemantaire et des élus locaux. Le régime


juridique qui s"applique est d'incompatibilité (différent mandat ne peuvent pas être exercé
en même temps) :
-Les mandats de parlementaire sont imcompatibles entre eux, on ne peut être sénateur et
députés national, on ne peut être parlementaire européen et national .
-Un mandat de parlementaire en peut êtrre compatible qu'avec un autre mandat : conseiller
régional, conseiller départemental, conseiller de Paris, conseiller à l'assemblée de corse,
conseiller municipal dans une commune de moins de 1000 habitants.
-Depuis 2007, imcomptabilité d'un mandat de parlementaire avec une fonction exécutive
local. (ex: imcompatbilité entre vice pré d'un conseil régional/départemental/municipal).
Par ailleurs il existe une série d'autre imcompatibilité entre les fonctions privés et publiques.

Lorsqu'on est un élu local :


-Incompatibilité entre fonction d'un pré d'un conseil régional/départemental/ conseil
éxécutif de Corse et maire d'une commune. Le chef d'un éxécutifs ne peut cumuler les chefs
d'éxcutifs.
-Le cumul est possible entre 2 mandats : conseiller régional, départemental, municipal, Paris,
Corse.
-Pour les élus locaux il existe d'autre incompatibilité qui concerne la fonction d'élu local et
les focntions privés.

Le régime s'est durci avec le temps, aujourd'hui certains réclement l'instauration du mandat
unique au moins pour les parlementaires. C'est un débat d'opinion. Pour jusifier le cumul,
l'idée qu'avoir une fonction local permettrait au parlementaire de conserver un lien avec le
terrain. Mais un parlementaire est avant tout dans sa circonscription. Il faudrait également le
nombre de mandat cumulable de manière consécutive. Et donc limité le nombre de mandat
cumulable dans le temps. Le PdeRep s'y est engagé devant le Congrès en 2017. Mais
toujours pas de précision.
Pour les Sénateurs, on peut admettre le cumul des mandats, dans la mesure où le Sénat
assure le représentation des collectivités terrorials, et donc on peut envisager qu'il puisse
avoir un mandat local. Surtout qu'il est interdit l"accès à l'éxécutif local.

C) Rendre les citoyens d'avantage acteus dans le sytème politique.

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Il s'agit de donner une place plus active et en phase avec la décision. Il s'agirait de penser
une possibilité de référundum d'initiative populaire. Et faire en sorte que les citoyens soit
d'avantage appelé à ratifier les révisions constitutionnels. Il y a eu un semblant de progrès en
2008, avec une nouvelle procédure référundaire qui associe parlementaire et citoyen pour
déclencher un référundum. Mais il est peu probable qu'il y ait un référundum déclenché de
cette manière. Et aussi la question de signature exigé pour le déclencher, pour éviter qu'il
soit trop haut ou trop bas. L'autre question peut on permettre un référundum sur toute
question ?
L'autre piste, c'est la démocratie électronique. Certains expériences sont réguliérement
mené, elles permettent d'associer les citoyens à l'élaboration des décisions, voir de la loi. Il y
a eu le Grenelles de l'envrionnement, de la bioéthique. Il s'agit de mettre un pojet de loi en
ligne, avec des documents pour l'expliquer, et les internautes sont invités à faire de l'opinion.
Ce n'est qu'une manière de prendre connaissance de l'opinion d'une partie de la société.
Mais le législateurs reste libre du texte et il est le seul à le voter. Mais il y a des limittes à ce
type d'éxpérience :
-Le support ulitisé à savoir la maitrise de l'outil informatique, tout les français ne sont pas
équipé ou apte à l'utiliser.
-Qui participe à ce genre de chose ? Les plus avertis, ceux qui ont les connaissances, ceux qui
sont concerné par le texte.
L'électronique peut être au service de la démocratie d'une autre manière : on peut permettre
le vote électronique, mais à distance au moyen d'internet. Mais le débat est grand : peut on
permettre le vote à usage politique par internet ? Est-ce que cela créerait un lien de manière
démocratique ?

Certains proposent de créer, d'instaurer un droit de révocation des élus en cours de mandat,
et de ne pas obligé les électeurs à sanctionner les élus au moment du vote. Ca existe au USA
dans certains Etats (ex: Californie)...

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