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Cette expression apparait au Veme sicèle avant J.C demos= peuple cratie = commander
donc un régime où l'Etat est commandé par le peuple. L'article 2 de la constitution de 1958
reprends un formule qu'on doit à LINCOLN qui exprime cette idée : "le principe de la
démocratie française est démoratie du peuple, par le peuple, pour le peuple". Cette idée qui est
développée à l'article 3 alinéa 1 de la Constitution dispose que la souverraineté appartient au
peuple qu'il exerce par ses représentants. L'alternance au pouvoir est le propre de la
démocratie, l'alternance n'est pas nécessairement systématique. La démocratie libéral repose
sur 2 fondements centrales : d'une part le respect des droits et libertés de l'H tel qu'il figure
dans les constitutions des Etats et résulte des textes internationaux ( tel que la convention
européenne des droits de l'H) et l'autre pillier c'est la souverraineté du peuple.
Pendant longtemps, en occident, on a considéré que l'originie du pouvoir était divine. C'est
ce qui a fondé la monarchie de droit divin. La philosophie des lumières qui émerge au
17/18eme, va reconnaitre un autre fondement du pouvoir = la volonté des Hommes. D'où
les théories contractuelles de l'Etat. Les philosophes s'opposent sur la manière dont le
pouvoir doit être exercer.
Elles fournissent un cadre conceptuelle des régimes politiques bien qu'elles soit dépassées.
Défendu par l'école démocratque représenté par JJ ROUSSEAU qui défend un conception
démocratique du pouvoir à travers "Du contrat social" 1962.
Pour Rousseau, chaque H dans l'Etat de nature possédait une parcelle de souveraineté, avec
une liberté de tout ce qui le concerne. Mais pour protéger leur droit les H se sont associé,
par un contrat qui a donné naissance à un corps politique qui est le peuple souverain. Une
souveraineté collective composé de toute les partielles de souveraineté, on parle de théorie
atomistique de la souveraineté. Il s'agit d'un peuple concret, vivant composé de citoyen,
3 caractères :
-la volonté général est inaliénable, pour lui, l'autorité peut se trasnmettre, se délégué en
revanche la volonté ne le peut pas. Au sens où ne peut pas vouloir à la place d'un autre.
Nulle de peut vouloir à la place du peuple, savoir ce qu'il veut. Autrement dit la volonté
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général ne peut être représenté. Un peuple qui ne vote pas lui même les lois cessent d'être
souverain.
-La volonté général est indivisible, le vote de la loi doit être le fait de tous ou tout du moins
du plus grand nombre, cela implique le suffrage universelle le plus large possible. Sinon une
classe, celle des votant domineraient. Ajoutant un point essentiel : chaque individu était
déteneur d'une part de souveraineté dans l'Etat de nature donc chaque individu à un droit
au suffrage.
-La volonté général est infaillible, au sens où elle ne peut se tromper, mauvaise car cette loi
est adopté par tous et appliqué à tous.
Chez lui, idéalement, le meilleur sytème est la démocratie direct, un sytème dans lequel toute
loi est adopté par le peuple. Il admet qu'il puisse exister des intermédiaires entre le peuple et
le législatifs mais à des conditions très strict. Ces intermédiaires (=comissaire) ont pour le
seul rôle de préparer le tavail législatifs et leur mandat est impératifs càd ils n'ont aucune
liberté dans ce travail de rédaction, ils doivent se conformer riguoureusement au directive
donnée par le peuple et ils peuvent être révoqué par le peuple.
En revanche le peuple peut être représenté dans l'exercice du pouvoir exécutifs, car c'est une
fonction limité par définition; à l'éxécution des lois
Mais il admet que ce mode de gouvernement est très difficilement réalisable, il évoque les
raisons : les citoyens se désinteressent des affaires publiques, le climat ne le permet pas, pas
d'esclaves.
Dont les figures emblématiques sont Sieyès et Montesquieu, défendu par l'école libéral.
Sieyès explique que la réunion d'indivu sur un territoire donne naissance à un corps : la
nation. La nation est considéré comme une entité abstraite. Elle nait de la réunion des
individus mais elle en est nait distincte, personne abstraite qui détient seul la souveraineté.
Les individus ne disposant d'aucune parcelle de souveraineté individuelle. La nation est
quelque chose qui les dépasse car ce sont les vivants, les morts, et les générations à venir. La
nation est la seul détentrice de la souveraineté.
La nation étant une personne abstraite, elle a besoin de représentant pour exprimer sa
volonté. On met en place un système représentative dans lequel les lois sont adoptés par les
représentant de la nation. On retrouve l'idée que tout les citoyens ne sont pas suffisament
éclairé pour conduire les affaires publiques. Dans cette logique l'essentiel est de parvenir à
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choisir les meilleurs représentants possibles. L'élection est retenu comme procédé parce
qu'elle apparait comme le mode le plus efficace. Personne n'a un droit de participer à
l'élection, la participation à une élection n'est qu'une fonction donnée à un individu. C'est la
théorie de l'électorat fonction.
Montesquieu est d'accord avec l'idée qu'il faut faire élire les représentants dans de petite
circonscription électorale, car les électeurs pourront connaitre les candidats et choisir le
meilleur. A partir du moment où ils sont élu, les représentants représentent collectivitement
la nation et non pas leur électeurs.
Dans le système représentatifs ce n'est pas le peuple qui adopte directement les lois ce sont
les représentants qui sont choisit à travers un suffrage plus ou moins ouvert. Le sytème
représentative, est née en Angleterre, a été défendu en France par Montesquieu. Ce système
a été théorié fin 18eme s par Sieyes et mis en oeuvre au lendemain de la révolution
française. Comment ce sytème s'est-t-il progressivement démocratisé ? Au point de parler de
démocratie représentative.
Deux périodes très distinctes : Les premières années de la Révolution française et assez
largement ouvert. Le suffrage est largement ouvert au nom de la souveraineté national mais
sous réserve de certaines conditions. Ceux qui remplissent les conditions sont les citoyens
actifs (selon Sieyes) et les autres ce sont les citoyens passifs (=femme, personne avec un lien
de dépendance vis a vis d'une autre, domestique, enfant). Le droit de vote est accrodé au H
de 25 au moins qui paient le cens, un impôt. Le cens était relativement bas, et permettant la
participation d'un grand nb H, sous la constitution de 1791 le cens est équivalent à 3 journée
de travail. Il est encore plus bas dans la constitution de 1795 celle qui établit le directoire, il
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suffit de payer une contribution quelqu'on que pour pouvoir d'exercer le droit de vote (5 M
d'H).
Le rôle des citoyens actifs étaient très limités, ceux qui peuvent voter élise de grand électeur
qui vont choisir les députés. Et pour être grand électeur il faut être propriétaire immobilier
ou louer un bien d'une certaines valeurs. Cette restriction est liée à l'idée que tout les
individus ne sont pas suffisament instruit pour choisir les députés et pour accéder à la
gestion des affaires. On considère qu'on en peut pas abandonner les affaires publiques à
ceux qui ne possèdent rien et donc ne risque rien en gouvernant.
Il y a une autre période de suffrage censitaire, très restraint avec la restauration (1814), avec
une charte. La monarchie de juillet se met en place en 1830, c'est une monarchie
constitutionnel. Le cens est considérablement augmenté. On a plus que 240 000 électeurs.
Le suffrage universelle est maintenu sous le Consulat, établit par une constitution en 1799, il
est maintenu aussi sous le 1er empire en 1804. Mais le sytème d'élection en vigueur ne
permet pas au citoyen de choisir librement et directement leur représentant. C'est un sytème
d'élection à 3 degré en fin de parcours c'est le Sénat qui choisit les représentants sur une lite
national.
La II Rep restaura le suffrage universelle masculin mais pour une durée très courte, car elle
n'a existé que 3 ans. En 1848 fin de la monarchie. La II république va être emporté par le
coup d'Etat du 2 décembre 1851 par le Président Louis Napoléon Bonarparte (neveu)pour
rétablir le 2nd empire qui durera jusqu'en 1870. Mais là encore les conditions de son exercice
ne sont pas démorcraitque, sa pratique est privé de toute signification démocratique = liste
de candidat sont influencé voir établis par l'empire. On choisit par les candidats que le
pouvoir choisit.
Par la suite le sytème représentative c'est peu à peu démocratisé pour parvenir à la
démocraie représentative..
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Il s'est réalisé de 3 manières : une extension du bénéficiaires du droit de suffrage, une
exention de l'élection au suffrage universelle direct, et enfin par le dvpt de procédé de
démorcratie direct.
Le suffrage universelle masculin s'installe durablement est revet enfin une réeelle porté
démocratique avec la III République qui commence en 1870. Le pouvoir en palce ne va plus
cherché à influencer les électeurs, il n'est plus conditionné par les choix du pouvoir en place.
Des réformes vont pouvoir vont permettre l'extension du pouvoir : le droit de vote des
femmes le 21 avril 1944 par une ordonnance de De Gaulles, une extension considérable,
l'évolution suivante par une loi du 5 juillet 1974 c'est l'abaissement à 18 ans de la majorité
électorale (V Giscard d'Estaing), droit de vote et d'éligibilité reconnu au citoyen de l'UE
résident en France pour les élections municipals et européenne. C'est un droit reconnu par le
traité de Masstricht 1992-> révision en France pour cela.
Le suffrage tend vers l'universalité mais il n'y a jamais de suffrage universelle, il y a toujours
des catégories qui y sont exclus. Une extension pensé ouverture des élections muicipales à
16ans ou pour les étrangers résidant en France non citoyen de l'Union à l'élection municipal.
Pendant longtemps seul les députés étaient élu au suffrage universelle direct, mais exepction
du président sous la II rep. La seconde réforme importante en la matière c'est lrévision
constitutionnelle de 1962 qui a instauré l'élection du P de la Rep au suffrage universellle
direct. Plus récemment une extension de cette modalité d'élection = conseiller
communautaire = membre des assemblés libérantes des EPCI (établissement publique
coopération intercommunal). Dans les communes de plus de 1000 habitants ils sont élus au
suffrage universelle direct et ne sont plus choisit par les conseillers municipaux, 2010.
Réforme attendu car ces établissements exerce des compétences relativement large.
De référundums ont été organisé relativement tôt en France, les constitutions ont été adopté
par référundum, mais dépourvu de contexte démocratique. Pratiqué emplement sous le 1er
et 2nd empire mais ils ont connu un usage dévoyé. Les référundums sont en réalité des
plébicites (= oppération qui consiste à fondé la léfitimité des gouvernants). Il ne s'agit pas
tant de se prononcer sur un texte que de donner sa confiance à celui qui pose la question.
Les réponses étaient généralement à 90% 'oui'. L'amalgame entre référundum et plébicite a
conduit les républicains a rejeter le référundum, car il pense qu'il sert à manipuler le peuple.
Il exclut sous la III Rep. Mais il sera réintroduit avec la constitution de 1946 mais cantonné au
domaine constitutionnel. Avec la V rep que le référundum se dévellopera au moins pendant
un temps.
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Conclusion : Le sytème représentaitve s'est démocratisé pour aboutir à une démocratie
représentative en France. Dans la mesure où le peuple exerce assez rarement directement le
pouvoir de manière ordinaire il en délégue l'exercice à des représentants. Les électeurs
doivent pouvoir exercer le droit de vote librement et éclairé. De manière général le pouvoir
pol doit s'abstenir de tout pression sur les médias, les citoyens, les parties. Il nécessite le
pluralisme pol, des médias. Il faut que la compétition se déroule librement dans des
conditions d'égalité entre les parties.
Le citoyen est au coeur de cette démocratie, il est en la figure de proue, ce qui impose la
citoyenneté politique, son contenu.
I) La citoyenneté politique
Elle entretient, historiquement, un lien très étroit avec la nationalité. Au point qu'elles
peuvent être condondu. Mais elle ne se confonde pas dans la mesure où tout les nationaux
ne sont pas forcément citoyen. (ex: -18 ans, personne non inscrite sur les listes électorales)
C'est une constante : la condition de nationalité est requise pour atteindre la citoyenneté.
Sauf pour la consitution de 1793, qui était très universaliste qui ouvrait très largement la
citoyenneté au étrangers résidant en France (article 4).
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de 1958 : la souverraineté est détenu par le peuple [français], donc la conséquence c'est
l'exclusion des étrangers de la citoyenneté politique. C'est en considération de la
souverraineté française qu'il faut lire l'article 3 alinéa 4 qui prévoit "que ce sont électeurs tout
les nationaux français majeurs des deux sexes jouissant de leur droit civil et politique. Il se
posait la question de savoir si il fallait lire la question en excluant les non nationaux ? Car si
ils n'excluent pas les non nationaux alors pas besoin de révision. Donc le droit de vote a été
ouvert au non nationaux au élections municipals et européenne pour les citoyens
européeens. Mais ces élections ne mettent pas en jeu l'exercice de la souveraineté national,
ce qui est le cas des élections législative, présidentielle.
Article 3 aliné 4, il faut être majeur (18 ans depuis 5 juillet 1974). Il ne faut pas être privé de
ses droits civils (= droits qui sont attaché à la personnalité juridique, le droit de passer un
contrat, droit d'ester en justice (agir), d'hériter, de créer une entreprise, exercer autorité
parental, ect.....). Certaines personnes, majeurs, placé sous tutelle sont privé de l'exercice de
leur droit civil. Il ne faut pas avoir été privé de leur droit politique (= participer au élections
aussi bien en électur que comme candidat au élections qui mette en jeu la souveraineté
national). Certaines condamnations pénal peuvent être accompagné d'une privation des
droits politiques.
Résumé : La citoyenneté politique est ouverte à tout les nationaux et seulement à eux, qui
participe directement ou indirectement à l'exercice de la souveraineté national. La
citoyenneté doit être distinguer des autres formes de citoyeneté qui s'exprime dans les
différents domaines des individus qui sont ouverte au non nationaux
Le référundum se définit comme un procédé par lequel les citoyens sont appelé à répondre
par oui ou non à une question. Il doit être distingué de la consultation, la différence c'est
qu'à la fin du référundum les citoyens qont amené à donner une décision, tandis que dans
une consultation ils sont amené à émettre un avis qui ne lie pas juridiquement celui qui le
reçoit.
Il est possible d'utiliser le référundum afin d'adopter une loi ordinaire d'une loi organique.
C'est une novation de la V Rep sur le point de l'adoption des lois ordinaires, avant il y avit
suelement la possibilité sur les lois organiques.
A) Les procédures
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Le mécanisme de l'article 11 est issu de 2 approches différentes, il y eu l'approche de René
Capitant (éminent juriste, conseiller de CDG) pour lequel l'article 11 était un moyen de
rendre au peuple sa souveraineté confisquer par le parlement. Pour Michel Debré ( 1er
ministre de CDG, éminent juriste, garde des sceaux sous la IV Rep, papa de Jean Louis c'est
dire ), le référundum est un moyen pour le PdeRep de briser l'hégémonie parlementaire en
faisaint appel au peuple, en cas d'opposition entre le gouvernement et le parlement. Cela
vient des problèmes de la IV Rep, les gouvernements étant souvent renversé par la
parlement.
In fine, c'est la seconde approche qui l'a emporté au vue de ce qui s'est passé... La procédure
et le champs d'application de l'article11 ont été modfié 2 fois la loi consitotuinnel de 95 et
de 2008. Ces modifications ont étendu les possibilités de référundum. En pratique elles n'ont
ét suivit d'aucun effet.
Depuis 1958 on a ouvert les possibilités de référundum mais la pratique suit l'effet inverse, le
nombre de référundum diminue !
Les procédures de l'article 11 : 2 procédure au seins de l'article 11 (l'une depuis 2008) il faut
donc distinguer les référundums portant sur les projets de loi (texte du gouvernement) de
ceux venant de proposition de loi( parlementaires).
-L'initiative : Une proposition de référundum sur un projet de loi peut être fait par le
gouvernement ou conjointement par les 2 assemblés.
Une proposition de référundum n'est possible que durant la durée des sessions
parlemantaire, cela n'a d'intérêt que pour le gouvenement (éviter qu'une iniative soit prise
sans que le parlement puisse prendre position). Depuis 1995; lorsque la proposition de
référundum émane du gouvernement ce dernier fait devant chaque assemblé, une
déclaration suivit d'un débat qui vise à faire connaitre les positions mais il n'y a pas de vote.
La décision de d'organiser le référundum provient du PdeLa Rep "le PdeREp sur propositions
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[...] peut soumettre au référundum tout projets de loi [...]". C'est lui qui décide de
l'opportunité du référundum, 'est un pouvoir discrétionnaire, il donne suite ou non, qu'on
qualifie de propre (pouvoir les plus importants qui ne nécessite aucune signature des
ministres concerné) du PdelaRep sous la Veme car cette désion n'a pas a être contresigné.
C'est donc lui qui décide de libellé (formulation de la question). La Veme rep la pratique a
fait du référundum de l'article 11 un instrument de gouvernement au main du PdeRep,
l'aspect démocratique ne prime pas.
Mis en oeuvre par une loi organique du 6 décembre 2006 et elle est en vigueur depuis le 1 er
janvier 2015.
Elle est encore aujourd'hui parfois confondu avec le référundum d'initiative populaire
(procéure permettant au citoyen de déclencher un référundum par le biais d'une pétition)
qui n'a rien à voir.
Au début des années 90, il y eu une tentative d'instaurer un référundum d'intiative populaire,
mais il n'a pas aboutit mais à des conditions très restrictives car il fallait réunir 1/5 du corps
électoral en signautre = 8M d'électeurs. En 2007, le comité Balladur reprend l'expression
référundum d'initiative populaire mais ce qu'il propose n'a rien à voir, c'est de là que vient la
confusion. Il s'inspire d'un comité antérieur Vedel, qui datait de 1992, c'est un référundum
d'iniative minoritaire/partagé/parlementaire. Le dispositif proposé à l'époque peut être
décortiqué en 5 points :
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qui nécessite une 2 eme lecture, si la discussion de la proposition de loi n'est pas inscrit à
l'ordre du jour mais il y n'y aura pas de référundum.
Les possibilités d'enterrer une proposition de loi sont nombreuse pour ne pas la soumettre à
référundum.
Conclusion : le dispositif créer en 2008 est contre perfomant au sens il y a fort peu de chance
qu'un référundum soit organisé de cette manière, il est paradoxal, ambigu. Deux choses se
désine éviter que le référundum deviennent une arme contre le parlement, éviter d'une
action du peuple contre sa représentation national. On va nettement au delà quand on
permet que l'examen de la prop empêche le réferundum, cela témoigne d'une méfiance
historique de la classe politique à l'égard du référundum, durant longtemps le référundum à
été tenu en grande méfiance utilisé surtout par les empereurs comme plébicite, vision d'un
risque de manipulation du peuple, ou porte ouverte à une peuple liberticide. Donc en
quelque sort faite pour ne pas être utilisé. Méfiance vu dans l'adoption tardive de la loi
organique traitant de l'application de la révision de 2008. Il faut faire évoluer le dispositifs
français, cette nouvelle procédure, en excluant tout modifcation possible de la prop de loi
lors de son examen par les assemblés. Ensuite il faut prévoir que si la prop n'est pas adopté
par les assemblés : il y a référundum et en même temps prévoir la possibilité pour le
gouvernement de proposer un contre projet sur lequel les citoyens se prononcerait en même
temps que sur la proposition de loi, ainsi le peuple se prononcerait sur la proposition qu'il
préfère. Il est bien sur enviseageable d'aller plus loin du mécanisme et d'instaurer en France
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un référundum d'initiative populaire. Il y a 2 questions à se poser : Nombre de signature
exigé ? Doit on permettre un référundum sur n'importe qu'elle sujet ?
L'expression "tout projet de loi " doit avoir une lecture restrictive donc au sens de seul loi
orgnique et ordinaire. Néanmoins la révision doit être faite par article 89.
Il y a des limites à son champs d'application matériel par révision de 2008 et .... .
Ceux qui demeurent depuis 1958 : l'organisation de l'Etat à l'exclusion des dispositions contit
texte visé loi ordinaire et loi organique, l'autorisation de ratifié un traité qui aurait des
incidences sur les institutions politiques ( 2005, 1992) ect. Ils n'ont pas bougé.
Le champs d'application dde l'article 11 à été une dernière élargie en 2008 : réformes
ouverte à la politique environnemental de la nation. Chacun à la droit de concurrour et être
informé sur l'élaboration des politiques environnemental.
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conclusion : Doit-t-on élargir le champs d'application à tout les sujets ? Pour que cela soit
possible il faut que le peuple soit prêt à accepter la décision majoritaire.
Les 4 référundums organisé par CDG possèdent des caractérisque commune. Le discours est
toujours le même :: il s'agit de se prononcer pour ou contre sa politique, ou pour ou contre
lui. Quelque soit la Q précise qui peut apparaitre comme un prétexte. Et il annonce qu'il
démissionera en cas de réponse négative, mais avec comme chantage "après moi le chaos".
C'est précisement le caractères plébicitaire du référundum gaullien. C'est la réponse à un H
qui est donné et pas à une question posé. Le "non" de ce référundum de 69 et la démission
de CDG n'a pas manqué de pesé sur l'usage du référundum.
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4 référundum :
-celui de 1972 : 60.7% de participation le oui l'emporte avec 67.7%. Il visait à donner au
PdeRep l'autorisation de ratifié les traités d'adhésion de la Grande Bretage, de l'Irlande ,la
Norvège, et du Danemark. Le sujet n'intéresse pas vraiment les français et le président ne
met pas son mandat en jeu. Il ne s'implique pas dans la campagne. L'adhésion se fera sauf
pour un Etat : la Norvège qui refuse finalement d'entrée dans l'UE.
-1988 : sur le statut de la Nouvelle Calédonie, 37% de participation, oui à 80%. Le sujet
n'intéresse pas du tout les français. Le président ne met pas son mandat en jeu, il n'en a pas
eu l'iniative qui vient du 1er minsitre de l'époque : M.Rocard.
-1992 : autorisation du PdeRep de ratifié le traité Maastricht. L'enjeu est très important, si un
traité très importante, construction de grande ampleur pour l'UE : avec l'euro. F. Mitterand a
tenté au début de la campagne une forme d'appropriation de la question, pour redoré sa
popularité déclinante, mais il ne pas sa place en jeu. C'est un contexte particulier de pro et
de contre européen et non de gauche droit. Paticipation à 69.7%, "oui" à 51%.
-2005 : participation 69.7% et le "non" l'emporte à 54.7% de "non", les français n'autorisent à
ratifié le traité établissement un constitution pour l'europe. L'enjeu est important, il s'agit de
préparer et de faciliter le fonctionnement de l'UE avec l'arrivé prochaine de 12 nouveaux
Etats dans l'UE. Ce ne sont que des réformes institutionnelle. La compagne référundaire a été
très intance dans ses débats. Il y a une mobilisation massive autour de la Q. Mais le niveau
du débat est resté très médiocre. La participation est assez bonne, le résultat est net "non".
Les motivations du "non" sont très varié mais 2 on été décisive : rejet du lébréralisme
économique qu'aurait incarné le traité. Secondement : la volonté des français de sanctionné
le pouvoir en place : Chirac et Raffarin. Le pb c'est que les 2 raisons n'ont rien à voir avec le
traité. Le libéralisme éco n'a rien à voir avec le traité : le libéralisme économique s'est déjà la
situation économique de l'UE, cela date de 1957. Le traité est mort née, ce traité n'a pas être
ratifié. Et ce traité à été remplacer par le traité Lisbonne entrée en vigueur en 2009. Ce traité
est un traité de remplacement : on a repris tout ce qui était de nouveau dans le traité de
2005. C'est un vrai fracture entre l'électorat et la classe politique. Or ce qui est nouveau c'est
le fonctionnement des institutions or la majeur partie du rejet ne provient de pase ça. Il y a
avait 4 parties dans le traité : 1 partie neuve : les institutions ( le débat n'est pas porté la
dessus), 2 : charte des droits fondamentaux de l'UE (pose pas débat tt le monde est okay) 3 :
reprise des traités éco précédents, 4 : dipositions final et transitoire du traités : les modalités
en somme.
Ces référundums sont différents de ceux qui ont eu lieu sous CDB :
-1er différence : la participation est en général plus faible, elle oscille en fonction de
l'importance des questions.
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-2eme différence : ce n'est plus considéré comme un moyen de légitimisation par les
Présidents. Au contraire ils se méfient du procédé, et aucun n'a remis son mandat en jeu,
c'est l'héritage de la défaite de 1969 et de 2005. Cette méfiance est généralisé à l'encontre
du référundum.
-3eme différence : les Présidents demeurents toujours concerné par le résultat d'un
référundum. Au sens, où le résultat les impactes : sur le popularité, leur légitimité. Lorsque le
référundum porte sur un projet de loi, c'est le seul qui décide d'organiser un référundum. Et
donc c'est à lui que répondent les français. Donc il est impacté en rapport de confiance. Or
en ce qui concerne les propositions de loi, le référundum est inité par des parlementaires
plutôt en opposition auquel s'associe les citoyens. Donc les français sont ammené à se
prononcer en fonction de la Q mais aussi pour une part se prononcé en fonction de leur
voloné de sanctionné ou non le pouvoir en place. Si la dimension plébicitaire est écarté, mais
une certaines personnalisation de la réponse est sans doute innévitable.
Tout cela explique que le référundum se raréfie depuis CDG, soit 4 référundum sous CDG,
puis 4 référundum entre 69 et 2017.
CF COURS AVANT
Loi ordinaire permettant au PdeRep de ratifié les traités d'adhésion d'un Etat à l'UE. Introduit
en 2005 dans la constitution puis modifié en 2008. En 2005, cet article nouveau oblige un
référundum pour autorisé la ratification d'un traité d'adhésion. Ce n'est pas annodin, en
pleine campagne référundaire, il y a un risque d'amalgamme entre l'adhésion de la Turique à
l'UE et le traité. Et donc la classe politique française décide de tordre le coup à ce risque et
pour cela elle décide d'inscrire l'article 88-5 à la constitution. Le référundum intervient trop
tard, à l'issu d'un long processus de négociation entre un Etat candidat et les Etats mebres
de l'UE. Les négociations peuvent prendre des années voir des décennies, car parfois un Etat
doit entreprendre des réformes de son droit. Certaines candidats doivent réformer leur droit
en profondeur c'est le cas de la Turiquie, candidat depuis 1987. Les négociations ont été
ouverte en 2005. A la fin du processus il y a un traité d'adhésion qui a été signé et c'est
ensuite qu'intervient la ratification du traité, et donc en France cela passerait par un
référundum. Le problème que cela peut posé, c'est le "non" à l'issu d'un long procédé. Cela
créerait des tensions politiques forte avec cette Etat. Car il suffit d'un "non" pour que l'Etat
ne deviennent pas membre. Avant le référundum était obligatoire. Il faut attendre 2008, pour
voir une solution se présenté. Donc, on a jouté, la possibilité pour les assemblés de l'éviter si
elle le décide chacune de leur côté à la majorité des 3/5, alors dans ce cas c'est la procédure
du Congrès qui est pratiqué.
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Selon l'article 3, le peuple exerce également sa souverraineté par la voie de ses
représentants. Il l'exerce principalement par ce moyen. La volonté des électeurs peuvent être
plus ou moins bien correctement traduit au moment de l'élection, en fonction des modes de
scrutin. Ces modes de scrutin peuvent avoir un effet déformant sur la volonté des électeurs.
En France, les modes de scrutins dépendent du législateurs. Sauf pour l'élection du PdeRep.
C'est à souligner, car il peut y avoir une tentation de modifier la loi électoral à leur profit par
la majorité. C'est arrivé la 1er fois en 1985 : vote du scrutin proportionnelle en remplacement
du scrutin majoritaire à 2 tours pour amortir les effets de la défaite prévisible au législative
de 1986. Un gouvernement de droite à souhaité égalment modifié la loi électoral, avec
Raffarin, mais ils n'ont pas réussi. Ils ont tenté de modifier le scurtin électoral régional afin de
dévaforisé les petits parties politiques.
On distingue généralement 2 modes de scrutin, qui poursuive des finalités différentes. Et qui
sont pour autant nécessaire à la démocratie.
-Le scrutin majoriataire, son objectifs c'est la stabilité politique qui est une condition de
l'éfficatité en politique. Les gouvernements ont besoin de majorité de soutien stable, et
durable. Si il n'y a pas d'efficatité politique, alors le système s'effondre. La 4eme Rep est
morte de ces causes.
-Le scrutin est soit uninominal soit plurinominal. Lorsque qu'il y a plusieurs siège à poursvoir
soit les candidatures sont isolé ou font l'objet de liste. C'est pour cela qu'on parle de scrutin
de liste. La repésentation proportionnelle est toujours un scrutin de liste. Les listes de
candidats sont dites bloqués en général, lorsqu'elle doivent comporter de candidat que de
siège à pourvoir et lorsque les électeurs ne peuvent pas y toucher. Lorsque les listes ne sont
pas bloqué c'est que les électeurs peuvent pratiqué le panachage. De même les électeurs
peuvent être amené à modifier l'orde des candidats sur les listes.
-Il y aussi une disctinction à faire entre les électeurs inscrits et les suffrages exprimé (= voies
des électeurs qui prennent part à une élection moins les votes nulles et les votes blancs). L.66
du code électeurs : précision de ce qui est un bulletin nulle. Jusqu'en 2014, les blancs
n'étaient pas séparé des nulles. Alors que les blancs expriment un message politique clair :
rejet de l'offre politique. Mais on ne les comtabilise pas dans les suffrages exprimés, ce qui
minore leur poids politique. Mais si on les compte, la majorité est plus difficle à atteindre.
15
A) Le scrutin majoriaitre uninominal à 1 tours
C'est le mode de scrutin en vigueur dans les pays anglosaxons. Il suppose des petites
circonscriptions électorals, dans la quelle sont élu les citoyens qui obtiennent le plus de voix.
Celui qui arrive à tête de la circonspcriton gagne.
1) Avantage :
-Le mode de disignation des députés, donc chacun peut mesurer ça. Donc la simplicité
-Le partie qui est majoritaire dans le pays, dispose en général d'une majorité absolue des
sièges. Et donc à lui seul il peut former un gouvernement. Il est rare que les parties se
désolarise et entraine la chute du gouvernement. C'est la raison pour laquel il y a eu une
grande stabilité politique au RU. Le constat général il admet des exeptions. Ex : 2010 le partie
des conservateurs étaient suivi de prêt par les travaillistes donc pas de majorité absolue. Le
Brexit intervient puis la dissolution de la chambre des communes, à nouveau le partie
conservateur est en tête mais il n'a pas la majorité absolue mais il trouve un accord avec les
unionistes d'Irlande du Nord. Et Theresa Mai a put former un nouveau gouvernement.
2) Inconvénients
De toute évidence son inconvénient, c'est qu'il sacrifie la justice électoral en sur représentant
les grands politiques et sous représenté les petits partis politiques. Les petits patis n'ont que
très peu de chance de gagner dans les circonscriptions où ils sont minoritaires. C'est un
mode de scrutin brutal en raison de son effet mécanique. Effet accentué par le
comportement même d'une partie des électeurs que l'on caractérise à travers le vote utile,
soit le fait de ne pas voter pour le candidat qui est le plus proche politiquement de lui mais
de voter pour le candidat qui en est le moins éloigné et qui a des chances de gagner.
16
Les britanniques ont lâché du leste, et avec l'arrivé des travaillistes, le scrutin proportionnelle
a remplacé le scrutin majoritaire à un tour pour certain cas : assemblé de province, députés
européen.
C'est celui qui appliqué sous la Veme sauf en 1985 pour les législatives. Il y a 577 siège à
pourvoi à l'assemblé national dans 577 circonscriptions. Est élu au premier tour celui qui
obtient la majorité absolue des suffrages exprimés de 25% du nombre des électeurs inscrits.
Si il n'y a pas de vainceur au 1er tour alors il y a bollatage, organisé au dimanche suivant.
Pour accéder au 2eme tour il faut avoir obtenu les vois de 12.5% des inscrits au moins au
pemier tour. C'est beaucoup ! Mais parfois on peut avoir 3 candidats. Ca élimine les petits
parties. Plus l'abstention est forte plus il est difficile d'obtenir la majorité.
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-Le scrution majoritaire à 2 tours à contribué à la stabilité gouvernemental en France. Ce que
ne connaissait pas les Rep précédentes à l'idée du la IV Rep. Depuis 1962, les majorités
parlemantaires émerge immédiatement des urnes, des élections législative, des majorités
durable dans la mesure sont composant sont unis par un lien d'interdépendance électoral.
Les parties d'une alliance qui gagne les élections législatives gagnent un gouvernment et ces
parties forment une majorité parlementaire/ de gouvernement. Ils sont unis car ils ont besoin
les un des autres pour pouvoir gagner les prochaines élections, ou tout du moins avoir un
maximum de siège. Et si certains se désolidarise, et provoque la chute du gouvernement, car
il n'a plus de majorité. Et un majorité peut même le renverser. Il y a des risques de rétentions
au élections législative suivantes.
2) Inconvénient
Il a pour effet de surreprésenter les grands parties et sous représente certains petit partis.
Soit les petits parties d'une alliance on beaucoup de difficulté d'accéder au 2nd tour, les
accords de désistement ne leur profite pas. L'autre chose, certains petit partie politique ne
peuvent conclure d'alliance électoral et se retrouve sous représenter au regard de son poids
électoral.
Les sièges des parties sont réparties en focntion du nombre de voie. Elle suppose des lites
électoral. Lors des législatives en 1985, soumis à un scrutin majoritaire à deux tours. La
circonscription électoral était le départment, on parle de représentation proportionelle
approché. L'autre hypothèse un circonscrption électoral unique : la France. Ce qui a été le cas
pour les députés européens. Ce qui fait c'est qu'il y aura des listes avec le nombre de
candidat élevé : 90. Cela pose un pb : la connaissance des candidats, il est impossible de tous
les connaitres.
Avantages :
-La représentation proportionnelle assure la justice électoral, même si la jsuice électoral n'est
pas possible. Souvent un seuil minimal est instauré pour bénéficer de de la répartition des
sigèes.
-La diversité des sensibiliés politique est représenter, ce qui peut donner le sentiment au
électeur qu'ils sont représentés, ce qui peut les réconcilier la politique.
-Cette diversité enrichie le débat parlementaire. Mais il faut faire attention à une trop grande
diversité
Incnvénient :
-La grande taille des circonscription et le nombre élevé de candidat par liste peut entrainer
l'anonymat des candidatures et la dépersonnalisation du scrution. Ce liend de proximité peut
être difficile sur des lsites de 100 candidats. On peut passez sur un contre effet, et les
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électeurs pourrait ne pas se sentir représenter à défaut de les connaitres. On peut limiter cela
en incluant la possibilité de pannachage.
-L'élection est maitrisé par les état mejeur des parties politique lorsque les lises sont bloqués.
Ce sont les parties politique qui élaborent et fixent l'ordre des candidats sur la liste.
Finalement, l'électeur est dépossédé et ce sont les parties qui font les élections. Pour casser
cette main mise, il faudrait autorisé le vote préfénrentiel donc la possibilité de changer
l'ordre des candidats.
-Le risque avec la représentation proportionnel c'est qu'aucune volonté politique se dégage
des élections. Il y a un risque d'émitemment des voix entre un grand nombre de partie
politique et qu'un grand nombre de partie politique soit représenter au sein de la chambre
basse. Et qu'il faille constituer des majorités de coalitions. Au sein de l'assemblé concerné, les
partie négocie pour s'associer afin de former un majorité. Cela se distingue, car avec le
scrutin majoritaire les accords ont lieu avant les élections, donc les électeurs ne sont pas pris
en défaut. Tandis, que dans le scrutin proportionelle, c'est le lendemain des élections que
tout se décide. Ce qui peut remettre les programmes proposé en cause.
Jusqu'en 1999, le régionales se faisait de cette manière. Une nuance importante est à noter :
il n'y a aucune fatalité de l'instabilité, elle n'est pas inéluctable. dans certains pays, ce mode
de scutin ne conduit pas à ceci. En Autriche, c'est le mode utilisé, et il n'y a que peu
d'émiétement. En Suisse et en Allemagne, les majorités parlemantaires sont durables et les
gouvernement tiennent. Un mode de scrution n'induit pas d'effet mécanique. Dans ces pays
là, il y a une culture politique du consensus, du compromis. Ce sont des sociétés politiques
fondamental consensuelle et pas conflictuelle.
En France, les partie pénalisé par le scrutin majoritaire, demande l'instauration du mode de
scrutin proportionelle. Le comité Balladur proposait un scrutin proportionnelle compensé.
Sarkosy avait exprimé que si un consensus politique pouvait se faire, il y serait favorable. La
comission Jospin, en 2012, dans un rapport avait également proposé quelque chose de
comparable. Et dernièrement, Macron a repris l'idée et a indiquer dans son disocur du 2
juillet 2017 devant la congrès qu'une dose de proportionnelle serait introduite pour les
élections législative.
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Combiner : dans une seul et unique circoncription scrutin majoritaire plus proporitionelle.
Juxtaposition : une circonscription prop et une autre majoritaire
A) La combinaison
C'est ce qu'on appelle les sytème mixtes, certains sièges sont attribué au scrutin majoritaire
d'autre à la proportionnelle. Ils peuvent combiner les avantages du mode de scrution mais il
n'y a pas de miracle, cela n'éradique pas les inconvénients. Il n'y aurait pas de justice électral
absolue. La combinaison choisit : elle est soit dominé par le côté majoritaire ou
proportionnaliste.
-Les élections dans les communes de 1000 habitants et plus. Un scrutin majoritaire à deux
tours accompagné d'une dose de proportionel. Il était applicable avant 1982, dans les
communes de plus de 3500 habitants. Il a été mise en oeuvre lors du renouvèlement général
de 2014. L'objectif était d'à la fois le pluralisme pol mais aussi d'étendre les règles applicable
au matière de parité. ( les règles relative à la parité peuvent être joué seulement qaund il y a
des listes de candidat). La liste qui obtient la majorité absolue obtient la moitié des sièges a
pourvoi au sein du conseil municipal, c'est ce qu'on apelle la prime majoritaire. L'autre moitié
des sièges est répartie entre toute les listes y compris la liste majoritaire à la proportionnelle.
Si aucun des liste n'obitient la majorité alors 2nd tour et si toujours pas de majorité c'est la
liste en tête qui obtient la majorité à pourvoir. Et le reste est répartie à la proportionnelle.
Seul les listes qui ont 10% des suffrages exprimé sont autorisé à se maintenri au 2eme tour.
Cela permet la représentation de l'opposition politique dans ses communes.
-Les élections régionals sont égalment concerné par un système mixte, c'est un système
comparable à celui qui s'applique dans les communes d'au moins 1000 habitant depuis
1999. Même sytème mais avec une différence importante qui tient à la hauteur de la prime
majoritaire. La prime qu'empoche la liste qui arrive en tête que ce soit au 1er tour ou au
2eme tour n'est pas la moitié des sièges mais seulement le 1/4. Et le reste sont resparti entre
tout les listes ayant obtenu au moins 5% des suffrages exprimé à la proportionnel. Pour
accéder au second tour il faut avoir obtenu 10% des suffrages exprimé au 1er tour. Il assure
une plus grande diversité politique au sein des conseils régionaux, on peut dire que c'est un
suffrage mixte à dominante proportionnalisté. Il permet une meilleur représentation des
petits parti politique.
C'est pour les élections sénatorial. 348 sénateur, c'est l'effectif maximal dont 326 élus dans
les départements de métropole et d'outre mer. Les autres représentent les français à
l'étranger. Il faut précisier égalment que depuis 2003, le mandat des sénaterus à été réduit à
6 ans, la conséquence est que le Sénat est renouvelé par moitié tout les 3 ans. L'âge de
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l'égilibilité est passé à 30 ans, et a été abisser par une loi organique de 2011 à 24 ans. Le
rapport Jospin de 2012 proposait d'ailleurs de baisser l'âge de l'éligibilité à 18 ans. Ce
rapport est une sorte de diagnostiv médicale, on y parle de rénovation de la vie politique et
de déhontologie. Le Sénat assure une fonction particulière de représentation, qui le
distingue de l'assemblée national. Selon l'article 24 de la Consti, le Sénat assure la
représentation des CT de la République. C'est une autre manière de représenter le peuple
français à travers ses territoires. Et explique un mode de désignation particulier.
Le collège électoral sénatorial : le département est la circoncrpition dans laquel sont élu les
sénateurs. Les sénateurs dans chaque département sont élu par de grand électeur (électeur
sénatoriaux) au suffrage universelle indirect. On trouve dans ce collège électoral : les
députés du département, les sénateurs du département, les conseillers régionaux élu dans le
cadre du département et des délégués des conseil municipaux des dépatements. Le collège
sénatorial dans son ensemble s'est 162 000 grands électeurs. La massse des délégués des
conseils municipaux est grande : 96%. Le mode de scrution mis en oeuvre n'est pas le même
selon les départements. Certains applique le scrutin majoritaire à deux tour ou proportionelle
(ceux qui élisent au moins 3 sénateurs). Aujourd'hui ce sont 73% des 348 sénateurs qui sont
élu à la proportionelle. C'est ce qui a permis d'augmenter le nombre de sénatrice au sein du
sénat. Dans les autres départements c'est un scrutin majoritaire à 2 tours.
Cette assemblé exerce des pouvoirs importants puisqu'elle à l'initiative des lois, elle participe
à leur adoption et à possède un pouvoir important en matière de révision. Et elle souvent
considérer comme trop peu représentative des opinions politiques des français. Il y a en fait,
un double déséquilibre de représentation au sein du collège éléctoral sénatorial entre les
représentants des catégories de CT : au bénéfice net des communes et au détriment des
départements et des régions. Il y a ensuite un second déséquilibre entre les communes au
profit des petites communes qui sont sociologiquement plutôt conservatrice (droite) et il y a
de fait un avantage pour la france conservatrice. La conséquence concrète qu'à part en 2011-
2014, le Sénat a toujours été de droite majoritairement. Il y a un déséquilbre car il y a un
sytème de répartition des délégués qui avantage les petites communes qui fait qu'elle
possèdent plus de représentant que les grandes communes. C'est un vrai débat qui revient
de manière récurente. De nombreuses proposition ont été soulévé, 2 types de propositions
avancés :
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vote des représentants des grands électeurs représentant ls granes communes, les
départemnts, les régions de manière de renforcer leur poids ce qui évite d'avoir à chercher
des représentants en dehors des régions,dép... L'idée s'est de faire en sorte, que les
repésentant qui vienne des régiosn et des dép pèent pour 30%. C'est intéressant dans la
mesure où cela permet d'éviter de trouver des représentants en dehors des conseils et qui
évite la révision constitutionnel.
-L'autre manière est plus radical puisqu'elle consiste en un changement radical du mode de
désignation. Certains propose un suffrage direct au scrutin proportionnel. Afin de donner
une assemblé législatif représentant les français dans leur sensibilité politique. Cela pourrait
poser pb ca le Sénat pourrait ne pas suivre la majorité parlemantaire. Mais cela ne pose pas
pb au niveau de la loi. Car il y a un mécanisme permettant de donner raison à l'assemblé
national. Néanmoins, le Sénat pourrait se revendiquer plus légitime et demander plus de
pouvoir.
La Veme République vit une crise démocratique. Les signes de cet élement sont nombreux
avec une importance variable. 43% de participation au législative.
-Les votes sanctions : ce sont des votes qui permettent au citoyen de sanctionné le pouvoir
en place. Les citoyens peuvent se saisir d'un grand nombre d'occasion pour sanctionné le
pouvoir en place. Emblématique de cela : les élections législatives c'est une alternance
systématique, une sanction systématique. Depuis 1981, il y a une sorte de sanction
mécanique. Il se saisise des occasions même si le sujet n'a rien a voir. Celle qui ont un réelle
impacte ce sont les législatives. Mais des élections locals ne permettent pas de retirer du
pouvoir au pouvoir.
-L'abstention est en hausse, la tendance lourde tend à sa progression. Pour toute les
élections sauf pour les présidentielles qui y résistent. Les élections mobilisent fortement les
citoyens car l'enjeu est important. En 2007, au 1er tour et au 2nd environ 84% de
participation. En 2012 plutôt 80%. Et en 2017, 1er tour : 2nd tour : 74.6%. Une baisse de près
de 10 point de %. Ce qui peut s'expliquer par l'offre politique considère comme presque
pareil. La déradation de la participation au législative est plus forte. Année 60-70 20%
d'abstention, dans les années 80-90 30%, depuis 2002 l'absention progresse : 2002
abstention 35.6, 2007 : 40%, 2012 : 45%, 2017 : 51.% au 1er tour, 57.4% 2nd tour. 10% des
votants on glissé un bulletin blanc ou nulle au 2nd tour. Depuis 2002, on peut expliquer la
hausse de l'abstention qui tient à la concomitence de l'élection présidentiel et législative, afin
d'éviter les cohabitations. N'empêche certains électeurs considérent qu'après élection
présidentielle les jeux sont fait et donc plus d'enjeu à aller voter. On peut mettre à part 2017,
l'année 2016 a été une année lourde électoralement. Il y a eu 2 tours pour les primaires, puis
2 tour présidentielle. Le climat politique "pourri" délétaire, par l'affaire Fillion qui explique le
rejet d'un certains nombre d'électeur.
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-Autre indice : la progression élevé des votes blancs par lequel les gens signifient qu'aucun
candidat ne leur convient. Vote blanc 8.5% des suffrages exprimé au 2nd tour de 2017.
-Le rejet des parties de gouvenement( gauche/droite) qui s'est manifesté lors des élections
de 2017. C'est une première, les candidats de ces parties politiques ont été éliminé au 1er
tour de l'élection de 2017. Fillion et Hamon sont sortie. Au second tour on retrouve un partie
nouveau En marche et l'autre candidat est d'un partie qui se présente comme contre
système : le FN. Ce rejet s'est répercuté au législative de 2017, les socialistes connaissent un
effondrement historique plus que 30 sièges, et la droite recule qui avait 194 en 2012 passe à
112 sièges.
-Les sondages bien qu'à prendre avec précaution, révèle de la part des français une défiance
à l'égard du fonctionnement de la démocratie sous la Veme.
L'Etat de crise jusqu'à un certains point est l'Etat normal de la démocratie. Il y a toujours une
part forte plus ou moins importante de mécontentement. La démocratie est un sytème dans
lequel les individus expriments librement leur insatisfaction, des individus dont les
comportements ne sont pas toujours rationnelle. Il y a donc nécessairement un Etat de crise.
C'est sain car cela veut dire que le système est bien libéral et permet à tout le monde
d'exprimer un mécontentement. Il y a parfois des contradictions forte entre les privés et les
intérêts général. Les raisons de la crise de la démocraie sont nombreuses, multiples on peut
en identifier principalement deux :
-La crise de la Politique : en ce sens que les individus ne croient plus que la Politique peut
changer leur quotidien. Il y a un désenchantement à l'égard de la politique. 2 crises
importantes sont passé par là : une crise des idéologie et des Etats. La crise des idéologie elle
nait au lendemain de la chute des républiques soviétiques en 1991. C'est un moment
historique, déterminant car jusque là le monde se résume en un affrontement idéologique
forte et absolutisme chacune à leur manière le capitalisme face au collectivisme chacun est
munis de l'arme atomique. Les générations ont été politisé, la division droite/ gauche était
plus marqué, les gens sont plus idéologiquement imprégné et croit d'avantage que la
politique est le moyen de changer le monde. Lorsque l'un des modèles s'effondre, ce qui a
structuré le monde va s'effilocher. La mondialisation peut laisser penser que les Etats sont
dépassés par la situation.
-La crise des rapport entre gouverner et gouvernant : Elle résulte à la fois de la défiance de
certains citoyens à l'égard des responsables politiques et du sentiment d'une confiscation du
pouvoir par les élites politiques.
Il y a une mise en cause de l'honnêté des hommes politiques et la mise en cause de leur
parole donnée (= promesse électoral non tenues). Les réactions se font surtout face à la
classe politique national.
23
A) Des responsables politiques honnêtes ?
A partir de la fin des années 80 et années 90 ont éclaté en France un certains nombre de
scandale concernant le financement illégale des parties politiqiues. Pourquoi ce moment ?
Ces affaires éclates car la justice commence à s'intéresser à ce genre de question. Avant il y
avait une sorte d'immunité avant et fin des années 80, les magistrats votn s'autoriser à
enquêter à donner suite. Et finalement les affaires éclatent. Ce qui produit un effet de loupe
pervers tout à fait classique. Les citoyens français vont penser que les responsables
politiques sont de plus en plus corrompus. Alors que c'est le contraire qui se passe, car les
enquêtes et les condamnations vont permettre d'assainnir les pratiques, en dissuadant. Le
problème c'est que la confusion s'opère souvent dans les esprits entre financement illégale
de partie politique et enrichissement personnel. L'argent est collecté illégalement pour faire
fonctionner le parti, c'est en matière de marché public que se constate les illégalités, l'effet
chantage entre une persone public à direction du marché privé. (ex: une entrepirise privé fait
un don au partie en échange d'un service rendu). Sur la totalité des affaires jugés il y a eu
des enrichissements personnels càd de corruption, mais ils sont de loin minoritaires. Il faut
noter qu'il n'existait pas de système de financement politique des parties.
L'assinissment à été réalisé par une loi de 1988 et d'autre texte qui ont suivit, lesquels
organise un financement public des parties et des campagnes électorals. Mais la croyance de
corruption des H politiques est déjà enracinné et alimenté par les affaires.
3 illustrations :
-L'affaire Cahuzac qui était ministre du budjet sous Hollande lorsque l'affaire éclate et le
conduit à la démission en 2013. En effet une information judiciaire est ouverte contre lui
pour blanchissement d'argent et fraude fiscal. Cahuzac aurait des comptes non déclaré à
l'étranger. Le ministre du budjet est chargé de lutter contre la fraude fiscal. Devant
l'assemblée national et il leur dit qu'il n'a pas de compte bancaire à l'étranger. Mais pas de
pot, les faits le rattrape et va devoir reconnaitre publiquement ses comptes. Il ment, il essaie,
il se débat mais c'est peine perdu. C'est là la césure entre le peuple et les politques. Il y a eu
des réactions à la suite de cette affaire : une commission d'enquête parlementaire à été crée
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pour voir les éventuelles disfonctionnement de l'Etat. La question est ce que l'Etat n'a pas
retardé ou tenter d'étouffer l'affaire ? La réponse est "non". L'aute conséquence c'est qu'une
haute autorité pour la transparence de la vie publique a été crée par une loi du 11 octobre
2013. Elle contrôle d'une part la véracité des déclarations de patrimoins faite en début et en
fin de mandat, et d'autre part l'existence de conflit d'intérêt de tout les responsables
politiques nationaux (=ministres, parlementaire), et européenne, les principaux responsbales
des éxécutifs locaux, les collaborateurs des cabinets ministériels, ect... Les situations d'intérêt
privé sont les fonctions qui ne permettent pas d'exercer en toute objectivité une fonction
politique.
-L'affaire Fillion qui a illustré le fossé qui peut exister entre les politiques et les électeurs et
qui contribue au rejet de la classe politique. Cette affaire a éclater en janvier 2017 réveé par
le Canard enchainé et pollué toute la campagne présidentiel. Au point qu'il deenait
impossible que le fond a été occulté. Il s'agit de soupçon sérieu d'emploi fictif, d'une
rémunération pour des services qui n'ont pas été réalisé, qui concerne son épouse
Pénéloppe qui a été son attaché parlementaire. F. Fillion a fini par être mis en examen en
mars 2017, mais il a quand même maintenu sa candidature et a entrainé son partie vers la
défaite. L'affaire est toujours en cours. L'affaire a alimenté la défiance et la croyance en une
malhonnêté de la classe politique. D'autant plus que Fillion était censé incarné une rectitude
moral. Fillion a une certaines incompréhension envers les électeurs, que les temps ont
changé.
Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. Les hommes politiques promessent bcp
pour se faire élire mais ne tiennent pas leur parole ?
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§2) Un pouvoir confisqué ?
A) La question de la représentativité des élus
Elle renvoie à l'idée de bonne représentation à la fois sur le plan politiques et sociologiques
1) La question de la représentation ds différetes sensibilité politiques
Certains électeurs ne se sentent pas représenté faute d'élu qui porte leur idée au sein des
institutions nationals. C'est le scrutin majoritaire à deux tours qui joue là dessous. Il est
également mis en cause le mode de désignation des sénateurs qui produit une sur-
représentation des communes rurales et qui conduit à une majorité de droit sauf l'expetion
de 3 ans. La loi de 2013 étend le mode de scrutin applicable a permis de faire évoluer la
pluralité politique
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-31 janvier 2017, impose une obligation de parité pour les éxécutifs des régions et
communes d'au moins 3500 habitant. Pour les élections départementales, titulaire et
suppléant doivent être de sexe différent.
Renforcement des pénalités financières pour les parties qui ne respectent pas leur obligation
de parité, maintenant 75% de retenu de l'écart constaté. Il faut tendre au 100% ca les parties
qui ont les moyens ne jouent pas le jeu.
-Plusieurs lois de 2013, celle du 17 mai tout d'abord qui modifie le mode de désignation des
conseillers départementaux. Désormais dans chaque canton on élu 2 conseillers, scrutin
majoritaire à 2 tour binomial. Et la loi impose au partie de présenté 2 candidats de sexe
opposé. Par ailleurs cette loi étendu le mode de désignation des représentats des communes
de 3500 habitant au commune de 1000 habitant.
Et le 2 aout 2013 qui a étendu la représentation proportionnelle au département élisant 3
sénateurs.
Les effets des différentes lois sont globalement contrasté. Certains sont notables : la
présence des femmes a progressé de manière remarquable dans les assemblés locales ( elles
sont depuis 2015 47.8% des conseileurs régionaux), 50% au niveau des départements.
Depuis les miniciaples de 2014 40.3% de femme. Mais cela ne doit pas masquer l'écart qui
existe sur les fonctions éxécutives. Il n'y a que 3 présidentes de régions sur 13, seul 13% de
maire femme. Du côtés des assemblés parlementaire, au Sénat il y a eu une progression
continue sensible de la parité : passage de 10.9% en 2001, à 31.6% en 2017. A l'assemblée
national une même évolution peut être constaté avec un bond en 2017 : 10,9% en 1997, en
2012 on arrive à 26.5% et un bond en 2017 avec 39% de femme à l'assemblé national. Cette
évolution classe au 17eme rang sur 190 débutés au sein de la chambre basse du parlement.
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confisqué par une classe, cette situation interroge aussi sur la capacité à remplir les différents
mandats cumulé. Il existe un régime juridique de limitation du cumul des mandats. Pour
l'essentiel elles sont une loi organique et ordinaire de 30 décembre 1995 et une loi
organique et ordinaire du 5 avril 2000.
Le régime s'est durci avec le temps, aujourd'hui certains réclement l'instauration du mandat
unique au moins pour les parlementaires. C'est un débat d'opinion. Pour jusifier le cumul,
l'idée qu'avoir une fonction local permettrait au parlementaire de conserver un lien avec le
terrain. Mais un parlementaire est avant tout dans sa circonscription. Il faudrait également le
nombre de mandat cumulable de manière consécutive. Et donc limité le nombre de mandat
cumulable dans le temps. Le PdeRep s'y est engagé devant le Congrès en 2017. Mais
toujours pas de précision.
Pour les Sénateurs, on peut admettre le cumul des mandats, dans la mesure où le Sénat
assure le représentation des collectivités terrorials, et donc on peut envisager qu'il puisse
avoir un mandat local. Surtout qu'il est interdit l"accès à l'éxécutif local.
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Il s'agit de donner une place plus active et en phase avec la décision. Il s'agirait de penser
une possibilité de référundum d'initiative populaire. Et faire en sorte que les citoyens soit
d'avantage appelé à ratifier les révisions constitutionnels. Il y a eu un semblant de progrès en
2008, avec une nouvelle procédure référundaire qui associe parlementaire et citoyen pour
déclencher un référundum. Mais il est peu probable qu'il y ait un référundum déclenché de
cette manière. Et aussi la question de signature exigé pour le déclencher, pour éviter qu'il
soit trop haut ou trop bas. L'autre question peut on permettre un référundum sur toute
question ?
L'autre piste, c'est la démocratie électronique. Certains expériences sont réguliérement
mené, elles permettent d'associer les citoyens à l'élaboration des décisions, voir de la loi. Il y
a eu le Grenelles de l'envrionnement, de la bioéthique. Il s'agit de mettre un pojet de loi en
ligne, avec des documents pour l'expliquer, et les internautes sont invités à faire de l'opinion.
Ce n'est qu'une manière de prendre connaissance de l'opinion d'une partie de la société.
Mais le législateurs reste libre du texte et il est le seul à le voter. Mais il y a des limittes à ce
type d'éxpérience :
-Le support ulitisé à savoir la maitrise de l'outil informatique, tout les français ne sont pas
équipé ou apte à l'utiliser.
-Qui participe à ce genre de chose ? Les plus avertis, ceux qui ont les connaissances, ceux qui
sont concerné par le texte.
L'électronique peut être au service de la démocratie d'une autre manière : on peut permettre
le vote électronique, mais à distance au moyen d'internet. Mais le débat est grand : peut on
permettre le vote à usage politique par internet ? Est-ce que cela créerait un lien de manière
démocratique ?
Certains proposent de créer, d'instaurer un droit de révocation des élus en cours de mandat,
et de ne pas obligé les électeurs à sanctionner les élus au moment du vote. Ca existe au USA
dans certains Etats (ex: Californie)...
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