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Que tu soit pas entrain d’agonir.

III) Géopolitique :

La géopolitique s’intéresse également aux territoires mais d’un point de vue des rivalités et des tensions concernant ces territoires, elle s’intéresse en particulier aux
acteurs à l’origine des tensions et des rivalités (États, entreprises, groupes politiques et des association). Elle permet donc de comprendre le monde notamment en
mobilisant différentes disciplines comme l’histoire, la géographie, le droit, l’économie et toutes les sciences sociale…
Donc en croisant toutes ces disciplines, elle permet de comprendre les tensions, les rivalités et les stratégies des acteurs

IV) Les sciences politiques :

le mot politique à trois significations :

- Le politique désigne l’organisation des sociétés humaines en thermes de pouvoirs.

- La politique désigne la conquête et l’exercice du pouvoir.

- Les politiques désignent des actions menées dans un état par un gouvernement. On parle ainsi de politique économique, de politique sociale ou des politiques culturelles.

THÈME 1 : La démocratie.

Qui ? → grecs, peuple,

Quand ? → Antiquité,

Quoi ? → Régime politique,

Comment ? → Vote, représentant, partage des pouvoirs

Où ? → Nord, UE,

Pourquoi ? → Égalité, libertés,

« La démocratie, ce n’est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité. »

Chapitre 1 – La démocratie, les démocraties :

Quelles caractéristiques aujourd’hui ?

Démocratie : (grec dêmokratia)

Système politique, forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple.


État ayant ce type de gouvernement.

Introduction :

D’un point de vue étymologique, la démocratie signifie gouverne par le peuple. Démocratie : désigne à la fois un système politique, une forme de gouverne dans lequel.
Toutefois, de nombreux acteurs (Aristote, Tocqueville, Lincoln...) se sont penchés sur a définition à donner à la démocratie en apportant ainsi des éclairages variés.
Cette réflexion sur la notion de « démocratie » à donné ainsi naissance à plusieurs type de démocratie en fonction du degré de participation du peuple à l’exercice du
pouvoir.
Penser la démocratie reviens donc a poser les questions suivantes :
- Qu’est ce que ma démocratie ? Quelles en sont les principales caractéristiques
- Qu’est ce qui différencie la démocratie directe de la démocratie représentative ?
- Quels sont les avantages et les inconvénients de ces deux fonctionnement de le démocratie ? La démocratie directe est-elle une réponse aux inconvénients de la
démocratie représentative ? Quel est l’impact des variables lourdes sur le comportement électoral ou bien sur la prise de décisions ?

Il y a quatre types de démocraties que l’on distingue grâce à l’indice démocratique (indice sur 10) :

Les démocraties pleines qui ont un indice supérieurs à 8.

Les démocraties imparfaites qui on un indice entre 6 et 8.

Les régimes hybrides qui ont un indice entre 4 et 6.

Les régimes autoritaires qui ont un indice inférieur à 4.

La méthode de calcul de l’indice de démocratie :

Comme l’indique le classement précédent, on mesure 5 types de données :

➢ Processus électoraux et pluralisme.


➢ Fonctionnement du gouverne.
➢ Participation à la politique.
➢ Culture politique démocratique.
➢ Libertés civiles.

La démocratie repose sur des principes fondamentaux :

Les libertés fondamentales, égalité fondamentale, interdiction de toute discrimination, liberté d’expression, d’opinion, de conscience, de croyance, l’alternance politique, le
pluralisme et la séparation des pouvoirs.

• Démocratie représentative : régime dans lequel le pouvoir est attribué par le peuple à des représentants qui l’exercent en son nom.
• Démocratie directe : exercice directe de la souveraineté par le peuple.
• La démocratie participative.

CONCLUSION Ière partie :

La démocratie ainsi définie s’oppose en tous point avec un régime autoritaire.


Thème 1 : fondement et fragilités.

1 La famille et ses évolutions en France (XXème et XXIème siècles).


2 Le chômage et la précarité en France.
3 Les fake news ou infox.
4 Les discours complotistes.
5 Le cyberharcèlement.
6 Les femmes, victimes de violences sexistes et sexuelles en France.
7 Les inégalités dans le monde du travail en France.
8 La défiance vis à vis de la représentation politique en France.
9 Le régime des retraites en France.
10 L’entre-soi et la montée du communautarisme en France.
11 Le numérique entre repli sur soi et nouveau lien social dans le monde.

Thème 1 : présenter 2 3 fn : Trump et fn = menace pour vivre ensemble

Les caractéristiques d’un régime autoritaire :

1) Pluralisme politique limité.

Dans ce cadre, le pouvoir des gouvernants ne peut être remis en cause par des alternances politiques régulières. Quand il existe, le pluralisme est très limité. Certains
régimes organisent ainsi des élections truquées ou mettre en place un système de parti unique, comme l’Espagne franquiste.

2) Des libertés restreintes.

Une minorité au pouvoir qui contrôle la vie politique et qui n’hésite pas à user de la force. Le contrôle de la vie politique signifie la mainmise des structures de l’état, la
censure des médias ainsi que la surveillance de la population.

3) L’autoritarisme populaire.

Pas de légitimité populaire pour « le bien du peuple » cherchant à moderniser un pays pour améliorer le sort du peuple (comme Frédéric II de Prusse). Le Bonapartisme de
Napoléon Bonaparte en 1799 est incarné par un leader charismatique prenant le pouvoir par la force et s’appuyant sur le peuple par des plébiscites. Un plébiscite est une
forme de référendum consistant à faire confirmer par le peuple une décision prise par le pouvoir exécutif.

Régime démocratique Régime autoritaire

Les élections sont un principe fondamental en Dans les régimes autoritaires, il n’y a pas d’élections
démocratie. Elles permettent l’élection de ou elles sont truquées (fraude électorale). Une
représentants issus de la majorité qui exécute le minorité représente la majorité. Il n’y a pas
pouvoir au nom du peuple. d’alternance politique.
Représentation.
Elles garantissent l’alternance politique. Différents
modes de scrutins existent. Elles se font au suffrage
universel et plus le suffrage est ouvert plus le régime
est démocratique.

Les démocraties peuvent revêtir la forme d’une Les régimes là aussi peuvent être monarchiques
république ou d’une monarchie. Il y a une transparence (monarchie absolue) ou république (république de Corée
Pratique des instances ayant le pouvoir. des pratiques politiques des élus mais également des du nord).
fonctionnaires : les lois, les budgets, les salaires sont Aucune transparence dans les pratiques politiques est
publiés. impossible.

Séparation des pouvoirs.

Les démocraties garantissent le respect des libertés Les régimes autoritaires ne garantissent pas ces
fondamentales individuelles (expression, conscience) et libertés. Les syndicats, les associassions, etc … ne sont
collectives (droit de manifester, syndicales, droit de pas autorisés, les manifestations sont réprimées. Il n’y
Les libertés.
grève)… a pas de liberté d’expression ni de conscience : on
observe la censure, la traque des opposants …

Le peuple est acteur, il est responsable des actions Le peuple est sujet. Il obéit et se désintéresse
Perception de la pratique démocratique par le peuple. qu’il prends et doit en assumer les conséquences. Il souvent de la vie politique. Il est déresponsabilisé.
obéit aux règles qu’il s’est choisi. Il n’y a pas de société civile.
La société civile est très riche. C’est l’ensemble des
acteurs, des associations, des mouvements non
gouvernementaux animés par les citoyens d’un pays.

Conclusion chapitre 1 :

La démocratie contemporaine repose sur un certain nombre de principes, élaborés au cours des siècles, rappelés en 1948 dans la déclaration universelle des droits de
l’homme et du citoyen.

Ces principes sont : la liberté des individus, la tenue des élections libres, la séparation des pouvoirs, le multipartisme, le suffrage universel.
Il n’existe pas qu’un modèle de démocratie mais plusieurs.
La démocratie n’est pas un synonyme de république, de nombreuse républiques sont des monarchies.
Depuis la seconde guerre mondiale la démocratie a fait des progrès sensibles à travers le monde grâce à la mobilisation des citoyens d’un état.
Cependant la démocratie est fragilisée par des pratiques autoritaires : Corée du nord (dictature), la Chine, l’Arabie saoudite (une monarchie absolue), le Maroc (une
monarchie autoritaire), des PMA africains.
La démocratie est un principe à défendre.

La démocratie :

I) Des principes.
II) Des expériences.
III) Des remises en cause.
Les démocraties : comparaison étude de cas entre la France, les états unis et la Corée du sud.

Consigne : pour chaque cas, présenter et expliquer :

1/ Le régime politique.
2/La constitution.
3/ L’organisation.
4/ Le chef d’état.
5/ Les institutions représentatives.
6/ Le pluralisme politique.
7/ Les modes de participation du peuple au pouvoir.
8/ La garantie des libertés fondamentales.
République de Corée :
Ce n’est un pays démocratique que depuis 1987 qui était une dictature de 1961 jusqu’en 1979 avec à sa tête Park Chung-hee. Ensuite sa fille Park Geun-hye prends lui
succède. Sa première constitution est signée en 1948 en même temps que la création de la Corée du sud, elle en aura ensuite une deuxième signée en 1988 qui est toujours
d’actualité.

Régime présidentiel
Chef de l’État : M. YOON Suk-yeol, Président de la République (depuis le 10 mai 2022).
Chef du Gouvernement : M. HAN Duck-soo, Premier ministre.
YOON Suk-yeol, membre du parti conservateur, a été élu Président de la République de Corée au suffrage universel direct le 9 mars 2022 (pour un mandat de 5 ans non
renouvelable) et formellement investi le 10 mai.

Le pouvoir judiciaire

Les institutions représentatives sont entre autres, la cour suprême, les tribunaux, les districts et une assemblée nationale. Le président de la cour suprême est nommé par
le président avec l’accord de l’assemblée nationale, les autres juges de la cours suprême sont nommés par le président sous recommandation du président de la cour, leur
manda est de 6 ans. Ils détiennent le pouvoir judiciaire.
Le pouvoir exécutif appartient au président qui est le chef de l’état et qui le représente vis à vis des étrangers.

Pour la participation du peuple au pouvoir réside dans les élections et dans les référendums. Le peuple est acteur, il participe à de nombreuses manifestations on retiens
notamment celle pour la destitution de, fille de l’ancien dictateur de Corée Park Chung-hee le 10 mars 2017. Un article de la constitution permet au président de soumettre
un referendum national concernant des questions politiques importantes.

• Parti Minju, parti libéral fondé en 2014 sous le nom de "Nouvelle alliance politique pour la démocratie"

• Pouvoir au peuple, parti conservateur de 103 députés issu de la fusion en 2020 de plusieurs petits partis.

• Parti de la Justice, parti social-démocrate fondé en 2012, 6 députés.

• Parti du peuple, trois députés. Parti centriste fondé en 2020.

• Parti démocrate ouvert, trois députés. Parti de centre-gauche issu d'une

scission de 2020 du Parti Minju.

Étude de cas comparée : France, États unis et Corée du sud.

A) La France.

Le régime officiel est la Vème république mise en place par la constitution de 1958. Il s’agit d’un régime semi-présidentiel dont le chef de l’état est le président de la
république.

Le pouvoir exécutif appartient au président et au gouvernement, le pouvoir législatif est détenu par le parlement et les magistrats exercent le pouvoir judiciaire.

Les institutions représentatives sont l’assemblée nationale et le sénat. La participation des citoyens se fait soit par le suffrage direct soit par le referendum.

Le pluralisme des partis politiques est reconnu par l’article 4 de la constitution de 1958 ainsi que les libertés fondamentales comme « les expressions pluralistes des
opinions ».

B) Les États unis :

Le régime est une république présidentielle fédérale mis en place par le Bill of Rights en 1971. Le chef de l’état est le président élu pour 4 ans qui détient le pouvoir
exécutif. Le congrès possède le pouvoir législatif et la cours suprême contrôle le pouvoir judiciaire.

Les institutions sont le congrès regroupant le sénat et la chambre des représentants élus par les citoyens américains. L’alternance politique se fait entre le parti démocrate
et le parti républicain.

Enfin les libertés fondamentales sont garanties par le premier amendement, en particulier le liberté d’expression et de la presse.

C) La Corée du sud :

Le régime est une république démocratique mis en place par la constitution de 1988. Le chef de l’État est le président qui détient le pouvoir exécutif alors que l’Assemblée
nationale possède le pouvoir législatif.

Les citoyens participent au pouvoir grâce au suffrage universel, direct et au referendum.

La constitution garanti les libertés fondamentales comme la liberté de conscience, de religion et les libertés d’expression.
Exposés :

1) Le choix d’un territoire : Chypre, l’Espagne, la Grèce, l’Italie, l’Irlande, ou les Corée…
2) Les limites ou les frontières de l’empire romain.
3) La conférence de Berlin (1885).
4) Les frontières et la colonisation en Afrique au XIX ème siècle.
5) Le mur de Berlin ou le « rideau de fer ».
6) L’Allemagne après 1945.
7) La frontière Germano-Polonaise (1939-1990).
8) Les frontières en Europe après 1991.
9) L’éclatement de la Yougoslavie en 1991.
10) Les frontières maritimes : le droit de la mer.
11) L’Arctique.
12) L’espace Schengen.
13) L’évolution des frontières de l’union Européenne.
14) Les frontières de la Guyane française.

Thème 2 : Les frontières.

La frontière est une limite séparant deux zones. Elle représente souvent une rupture franche entre deux espaces et deux modes d’organisation de l’espace. La Muraille de
chine dont la construction a débuté au VIIIème siècle av J.C. achevée par les empereurs Ming aux XVème et XVIème siècle ap J.C. est une des premières construction
militaire devenue une frontière politique.
L’origine du mot frontière provient d’un terme militaire : le front, qui désigne une ligne fluctuante évoluant en fonction des rapport de forces en présence. A partir du
XVIIème siècle, la frontière devient progressivement une ligne bornée, séparant deux états. Elle prends alors un sens politique lors de la construction des états-nations et
s’appuie alors sur le concept de frontière naturelle, revêtir différentes formes, elle peut être linéaire, ouverte ou fermée et contestée. C’est à la fin du XIXème siècle
qu’une géographie des frontières se constitue. Elle est portée en Allemagne par Friedrich Ratzel, en France par Jacques Ancel et en Angleterre par Halford J. Mackinder.
Deux conceptions s’opposent alors : la première, portée par les penseurs français, définit la frontière comme une institution politique pouvant ou non s’appuyer sur un
élément naturel (montagne, fleuve…). La conception allemande se fonde, quand à elle, sur le lien entre peuple et espace, une frontière « ethnicisé ». La frontière est, pour
ces géographes, vivante et mouvante dans le temps. A partir des années 1970, l’étude de la frontière est envisagée comme permettant d’étudier les sociétés. C’est à dire
mettre en perspective la frontière comme une discontinuité politique entre deux états et observer les conditions d’approbation de cette frontière par les populations
locales. Les frontières sont aujourd’hui envisagées non plus seulement comme des lignes, mais des zones plutôt floues, qui sont à analyser en fonction des sociétés qui y
habitent et les pratiquent. On assiste aujourd’hui à la persistance des vieux conflits de frontières mais inversement à leurs résolutions bilatérales et internationales. La
mondialisation et la globalisation encouragent un effacement des frontières. Cependant on assiste à une réaffirmation des frontières. De même l’importance des conflits
maritimes représentent à eux seuls 50 % des conflits frontaliers.

Comment aujourd’hui les frontières marquent elle inégalement les divisions politiques du monde actuel ? Les frontières sont elle des lignes de fermeture ou des espaces
d’échange.

1 – Des frontières de plus en plus nombreuses.


2 – Des frontières plus ou moins marquées.
3 – Frontières te ouverture : affirmation d’espaces transfrontaliers.

Composition HGGSP :
Introduction :

Tout d’abord, la démocratie est un système politique, forme de gouvernement, dans lequel les citoyens sont égaux, ont des libertés et s’exprime par le vote. La
souveraineté émane donc du peuple. Elle est inventée dans l’antiquité et à persévéré à travers les âges malgré de nombreuses remises en cause.

Nous nous demanderons en quoi ‘la démocratie a t elle eu des principes, des expériences et des remises en cause de l’antiquité jusqu’à aujourd’hui.

Une démocratie se doit de remplir plusieurs critères pour être considérée en tant que tel. Certains de ces principes sont d’ailleurs utilisés pour mesurer leur
niveau dans l’indice démocratique. Tout d’abord, le pluralisme politique est nécessaire au bon fonctionnement d’une démocratie car elle assure au peuple une multitude de
représentants, cela évite qu’un parti unique prenne le pouvoir. Ensuite il y a l’alternance politique qui assure que le pouvoir ne restera pas aux mains d’un seul représentant
trop longtemps. Pour cela, on délimite la durée des mandas, comme en France ou le manda du président est de cinq ans. Pour ne pas avoir un seul représentant ayant tous les
pouvoirs comme dans une monarchie absolue ou un régime autoritaire, il est nécessaire de séparer les pouvoirs dans plusieurs instances représentatives.

Afin de préserver la démocratie, il faut que le peuple participe à la vie politique. Pour ce faire, le suffrage universel direct et le référendum servent au peuple pour élire
son ou ses représentants, voter certaines lois ou les modifier.
La démocratie assure ua peuple les libertés fondamentales, l’égalité fondamentale, l’interdiction de toute discrimination, la liberté d’expression, d’opinion, de conscience e
de croyance. Toutes ses libertés fondamentales sont protégées par la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) proclamée et adoptée le 26 août
1789. Pour assurer tous ces principes, le peuple à le droit et le devoir d’accéder à la culture politique et démocratique afin de pouvoir exercer son pouvoir comme il se doit.

I – Des frontières de plus en plus nombreuses :


1 – Les différents types et formes de frontières :
a – Les différents types de frontières :

- La frontière politique :
Une frontière est avant tout une limite entre deux états. La frontière politique consiste en une séparation entre 2 territoires (2 souverainetés de plein exercice). La
frontière est une discontinuité spatiale souvent représentée par une ligne. Dans ce sens, la frontière a une dimension plus politique et est traduite en anglais par border ou
boundary.
Le terme de frontière peu aussi s’étendre à de divisions inter-étatique avec des découpages administratifs. C’est le cas par exemple des pays fédéraux comme les États-
Unis. En France, la limite administrative entre deux départements ou deux régions, ne peut pas être considérée comme une frontière dans la mesure où elle ne marque pas
une rupture dans l’occupation spatiale, sauf parfois dans le territoire mental des habitants. Il faut alors parler dans ce cas de frontières invisibles.

- La frontière maritime :
Est définie quand à elle par la loi dite des 200 milles qui limite la zone d’activité exclusive au pays riverain en 1982 par la conférence de Montego Bay qui fixe le droit de la
mer. Les états doivent prouver que leurs fonds marins, appelés plateau continental, se prolongent afin de pouvoir agrandir leurs territoires maritimes. Ne pas oublier les
frontières aériennes.

- La frontière économique :
La frontière peut également être économique. C’est le cas pour des pays qui se regroupent dans des associations régionales à vocation économique, comme les pays membres
de l’UE, de l’ALENA.

- La frontière linguistique, culturelle :


La frontière peut également être linguistique et culturelle : ici la limite n’est pas administrative, mais il s’agit plutôt d’un espace frontalier étendu. Dans ce sens, la
frontières est a une dimension culturelle et sociale et est exprimée par l’anglais frontier.

B – Les différentes formes de frontières : fermées, ouvertes, frontières coupures ou courtes.


Quelles sont les idées fausses au sujet des frontières ?
Les frontières naturelles n’existent pas, elles sont forcément artificielles.
Les frontières ne sont pas imposées au hasard et ne sont pas toujours contestées. Les frontières ne sont pas les causes des différents entre les pays.
Seulement 15 % des frontières sont physiques.
Quelles sont les idées incontournables à connaître sur les frontières ?
Les frontières sont consolidées et même si il y a des différents, ce qui est existant ne change pas. Même en cas de différents les frontières restent les mêmes. Il n’y a plus
de nouvelles frontières.
Quelles sont les perspectives sur la situation des frontières ?
La frontières est une dyade, une frontière terrestre commune à deux états. Selon les modalités de son tracé, une frontière peut être qualifiée de conventionnelle ou
d’arbitraire. Arbitraire, lorsque les délimitations sont décidées de manière exogène, sans consulter les populations ni les états. C’est ce qui s’est passé lors du partage des
territoires africains entre la France et la Grande Bretagne au début du siècle. Mais il est aussi vrai que les peuples de frontières ont rarement été consulté même en
Europe où mois de 2 % de la longueur des frontières tracées au XXème siècle sont le fruit d’un plébiscite.
On parle de frontière conventionnelle produite par les sociétés humaines en fonction la nature du support de son tracé. Elle sera alors selon le cas, qualifiée de naturelle ou
d’’artificielle. On distingue les supports naturels des supports géométriques et enfin des discontinuités de la géographie humaine. Les hommes ont donc utilisé les cours
d’eau et les reliefs pour délimiter leur territoire. Les hommes décident de faire correspondre leur frontière avec des éléments naturels.

En réalité la frontière n’a rien de naturel, ni géographique, ni ethnique, ni même national, c’est une construction historique. Mais toutes les frontières ne sont pas données
une fois pour toutes et expriment souvent un rapport de force. Elle peuvent être contestées.

2) La frontière politique est liée à l’émergence de l’état nation :

Thème 3 : étudier les divisions politiques du monde : les frontières.

La frontière étatique renvoie à la ligne de partage entre des territoires d’états souverains qu’ils reconnaissent entre eux comme délimitation légitime. Le concept de
frontière est lié à l’émergence des états modernes en Europe occidentale et à la notion de souveraineté. La souveraineté est liée au pouvoir légitime de l’état et s’incarne
donc dans le territoire délimité.

L’invention de la frontière linéaire est apparue en Europe à l’époque moderne pour démarquer la souveraineté des différents États, est indissociable de la production de
cartes. C’est parce que les souverains Européens ont pu disposer de cartes relativement précises qu’ils ont pu tracer des lignes matérialisant leurs rapports de force.

La conception linéaire de la frontière étatique, c’est à dire le fait qu’elle puisse être représentée par un tracé linéaire sur une carte, qui correspond à un bornage
systématique sur le terrain, est en fait plus récent et ne remonte pas au-delà du XVIIIe siècle.

3) Des frontières nouvelles apparues depuis 1991.

II – des frontières plus ou moins marquées :

1) un effacement des frontières avec la mondialisation et la globalisation.

2) Une réaffirmation des frontières pour ce protéger de certains flux.

III – Frontières et ouvertures : affirmation d’espaces transfrontaliers.

1) des espaces transfrontaliers sont des interfaces.

Conclusion :
les frontières perçues comme une question marginale pendant des décennies, elles sont depuis les années 1990 une question centrale des relations internationales. Elles sont
des institutions établies par des décisions politiques et régies par des textes juridiques. La frontière a été et demeure une institution politique de base puis un moyen de
contrôle sur les personnes, les biens, les marchandises qui circulent, ensuite devenue un marqueur de d’identité.
Les frontières relient et divisent, elles se font mobiles, s’individualisent aussi, laissant circuler librement dans certains et retenant d’autres. Qu’elles s’ouvrent ou se
ferment, elles font l’objet de politiques républiques spécifiques car elle constituent un véritables enjeu. Elle fabriquent du territoire autour d’elles. Les barrières, les
bornes, les contrôles de police, les instruments du droit international public n’ont d’existence qu’au sein du discours associé aux relations du pouvoir.
Depuis 1945, la création de frontières a connu une forte accélération.

Thème 3 : étudier les divisions politiques du monde : Les frontières.

Depuis 1945, la création de frontières a connu une forte acceleration.


Malgré le ralentissement du mouvement, le début du XXIe siècle a encore vu apparaître des nouvelles frontières. Les frontières actuelles sont plus ou moins marquées, soit
visibles avec l’exemple de la frontière-mur ou bien invisible, exemple le Sahara, les frontières maritimes. D’autres formes de frontières se développent avec les aéroports
internationaux devenus les premières portes d’entrée des territoires liées à l’explosion du trafic aérien international. Avec la mondialisation et la globalisation la question
de l’effacement des frontières devient pertinente. En dépit des associassions économiques régionales et des accords internationaux qui tentent de les dépasser on assiste
bien à une réaffirmation de frontières associée au renforcement de la souveraineté étatique. La définition des frontières entre états reste un enjeu géographique majeur,
un rapport de force pacifié ou source de conflits.

Exposé sur le puissances :


- L’empire Ottoman.
- La Russie depuis 1991.
- La chine.
- L’empire Mongol. Purement militaire.

Exemples :
mur de Berlin : Dans la nuit du 12 août 1961, les autorités est-allemandes érigent un mur fortifié de 45 km fait de béton et de barbelés pour empêcher les
citoyens de la RDA de fuir vers Berlin-Ouest et au-delà. C'est l'un des moments clés de la guerre froide qui incarne aussi un apaisement des tensions entre les deux
blocs.

Empire Romain : Le limes rhénan marque la frontière de l'Empire romain et de la Germanie. Entre le Rhin et le Danube, au IIe siècle, il prend la forme d'une ligne
fortifiée, matérialisée sur 550 km par une palissade en bois ou un mur de pierre.

Diserte HGGSP :

Introduction :
Titre : Les frontières dans le monde : Entre héritage historique et enjeux contemporains

Introduction

Les frontières ont joué un rôle important dans l'histoire de l'humanité, délimitant des territoires, séparant des peuples et souvent façonnant les destinées des nations. Ces
lignes tracées sur les cartes peuvent être de différentes nature et de différentes formes. Elles sont le reflet de l'évolution des sociétés, des conflits et des échanges.
Cependant, à l'heure de la mondialisation, les frontières demeurent des éléments cruciaux de la géopolitique mondiale, suscitant des enjeux divers et complexes de nos
jours.
Nous nous demanderons en quoi l'évolution des frontières à travers l'histoire mettent en lumière les enjeux contemporains qui les entourent.

Introduction.

I. Les frontières historiques : Entre héritage et fractures.

II. Les frontières de nos jours : défis et enjeux.

Conclusion.

Les frontières ont émergé au fil des siècles en réponse à des facteurs historiques, culturels, politiques et géographiques. L'antiquité voit naître des frontières qui sont le
résultat des conquêtes territoriales et des traités. L'évolution des empires, des dynasties et des royaumes a donné naissance à des lignes séparatrices souvent arbitraires,
mais représentatives des pouvoirs en place. Il existe plusieurs types de frontière : elle peut être politique, maritime, économique, ou linguistique est culturelle.

Les frontières historiques sont souvent le fruit de conflits armés, de guerres territoriales et de rivalités entre nations. Les traités de paix et les négociations ont tracé
des limites, établissant ainsi des séparations. Ces héritages historiques peuvent nourrir des tensions durables entre nations.

Le mur de Berlin est un bon exemple de frontière historique. Construit dans le nuit du 12 août 1961 le mur de Berlin est une frontière fermée et fortifiée de 45 km fait de
béton et de barbelés. Il sert à empêcher les citoyens de la RDA de fuir vers Berlin-ouest et au-delà. C'est l'un des moments clés de la guerre froide. Il sera détruit le 9
Novembre 1989 par des civils et des militaires faisant partie des autorités est-allemandes.

On peut aussi parler du limes rhénan marque la frontière de l'Empire romain et de la Germanie. Entre le Rhin et le Danube, au IIe siècle, il prend la forme d'une ligne
fortifiée, matérialisée sur 550 km par une palissade en bois ou un mur de pierre.

II. Les enjeux modernes liés aux frontières

Dans un monde globalisé, les États cherchent à préserver leur souveraineté et leur identité à travers le contrôle de leurs frontières. Les mouvements nationalistes peuvent
être alimentés par la volonté de maintenir des frontières fortes, symbolisant la préservation d'une identité culturelle ou politique.

De nos jours les frontières ne changent plus. Même lors de conflits ou de tensions, elles restent les mêmes que lorsqu’elle avaient été établies.

Les frontières deviennent des éléments clés dans les débats sur la sécurité nationale, en particulier en ce qui concerne la gestion des flux migratoires. La question de
l'immigration soulève des enjeux politiques, sociaux et économiques, et les frontières deviennent des zones de tension où se jouent des politiques migratoires souvent
controversées.

La mondialisation a engendré une interdépendance croissante entre les nations. Cependant, les frontières demeurent des instruments de régulation économique et
commerciale. Les conflits liés au contrôle des ressources naturelles et des voies de commerce mettent en évidence l’importance du maintien des frontières d’un pays.

Enfin, le monde actuel à déjà été découpé par les frontières terrestres. Ce sont maintenant les frontières maritimes qui intéressent les puissances. Les ZEE par exemple
peuvent profiter à un pays en raison de ses ressources halieutiques comme les poissons, les nappes de pétrole ou encore les minerais. On peut parler de la Russie notamment
qui, avec la fonte des glaces, voit de nouvelles routes maritimes, des routes de commerce, se dessiner sur son territoire marin. Le pays pourra non seulement profiter de
cette route mais pourra également taxé les bateaux étrangers voulant l’emprunter.

Pour conclure nous pouvons dire que les frontières, reflets de l'histoire et des conflits passés, demeurent des éléments centraux dans les enjeux contemporains. Entre
quête de souveraineté, contrôle des flux migratoires, interdépendance mondiale et frontières maritimes, les frontières continuent d'influencer la géopolitique mondiale.
Comprendre leur évolution historique permet de mieux saisir les défis actuels et les perspectives d'avenir dans un monde en perpétuelle transformation.

Tout d’abord, une frontière peut être de différents types : elle peut être politique, maritime, économique, ou linguistique est culturelle.

I. Les frontières historiques :


Thème III : Les puissances.

Le terme de puissance est synonyme de pouvoir. Ce pouvoir vient d’abord des États mais aussi d’autres acteurs comme actuellement de plus en plus les firmes
transnationales (FTN). C’est à dire une firme présente dans au moins 5 pays. La puissance désigne la capacité de ses acteurs à agir sur d’autres acteurs, d’influencer un
système, d’atteindre des objectifs, de défendre ses intérêts et de maintenir sa domination. Donc la capacité d’une puissance est de faire, de faire faire quelque chose,
d’empêcher de faire quelque chose et de refuser de faire. La puissance des états repose historiquement sur l’importance de son territoire, de la population,de l’économie et
des armées. On distingue donc d’abord un hard power c’est à dire la puissance dure pour désigner les moyens politiques, militaires et économiques permettant aux états qui
l’ont de s’imposer y compris par la force. Il existe aussi un soft power pour désigner une puissance douce permettant à un état d’imposer ses normes, sa culture, et ses
idées. Ces deux formes de puissances ne s’opposent pas et leur combinaison forme le smart power pour désigner une puissance « intelligente » permettant à un état de
varier ses stratégies en combinant à la fois des éléments de hard power et de soft power.
Problématique : Qu’est ce qu’une puissance ?
Axes de l’éval :
1 : Définir ce qu’est une puissance.
2 : Donner des exemples.
L’empire Romain :
- Hard power : grande puissance militaire.
- Soft power : culture internationale.
Un empire bien protégé = frontières. Bien organisé = réseau de voies romaines, voies maritimes et ports. Un empire prospère = commerce fructifiant (blé, épices, vins, soie),
grande économie.
L’empire Romain impose sa langue : le Latin, dans les territoires conquis et donc a une forme de soft power. Cependant le Grec perdure dans la partie est de l’empire en tant
que langue de culture. Enfin, des langues régionales continuent d’exister dans l’empire comme le basque.

I. Essor, apogée et mort d’une puissance : l’Empire Ottoman.

A l’origine : Osman 1er et la dynastie des Osmalis.

Le portrait n’est pas d’époque, bien entendu. Osman 1er est le fondateur de la dynastie Ottomane vers 1300. Il n’est alors que le vassal du sultan des turcs seldjoukides, et
pour eux il combat les Byzantins, héritiers de l’empire romain d’Orient.

Conquise en 1326, la ville de Bursa va devenir la capitale d’un petit émirat, mais qui va profiter de la faiblesse à la fois de Byzantins et des turcs seldjoukides (sous pression
des mongols) pour agrandit son territoire.

Vidéo : la prise de Constantinople (1453).

1054 = point de départ du schisme d’orient entre les orthodoxes et le pape. 29 mai 1453 prise de Constantinople.

L’empire Ottoman, à son apogée, comprends le proche orient, l’Afrique du nord et enfin une partie de l’Europe centrale et orientale jusqu’à Viennes. Y

A partir du XVIIIème siècle, le déclin de la « sublime porte ».

Le déclin se traduit par la perte des territoires de l’Afrique du nord, le Maghreb, mais aussi en Europe avec la Grèce, pour ne conserver que le moyen orient.

La première guerre mondiale porte le coup final à l’empire ottoman.

II. Renaissance d’une puissance : la Russie de 1991 à nos jours.

Comment la Russie a-t-elle su faire preuve de résilience après l’éclatement de l’URSS et a pu revenir dans le jeu international à partir des années 2000.

Les années 1990 pour la Russie sont la décennie noire en raison de difficultés économiques majeures comme une croissance négative à deux chiffres du PIB entraînant une
division quasiment par deux du PIB par habitant en même pas 10 ans.

Une Russie impuissante :

« Le premier président de la Russie post-soviétique (Boris Eltsine) laisse derrière lui une économie exsangue, une société éclatée et paupérisé, une puissance défaite et
humiliée sur la scène mondiale. Ce pays détient cependant des richesses en hydrocarbure et des potentialités de ressemblance que l’on sous-estime. Le capitalisme a bien
pris racine et de grands groupes industriels financiers se sont aguerris »

J.M. Chauvier, Le Monde Diplomatique du 24 avril 2007.

I) IInd république
a) Politiques
b) Sociale

II) II nd empire
a) Politique et répression
b) Libéral

Intervention SOS méditerranée :

Créée en 2016, elle est aussi Allemande, Italienne et Suisse et secoure des personnes en mer. Son but est de sauver, protéger les migrants et de témoigner de leurs
souffrances et difficultés. Ils partent sur des embarcation précaires et risquent leur vie, on compte 22 400 morts depuis 2014. C’est une association de sauvetage en mer
mais elle ne s’occupe pas de leur intégration (papiers, logements…)ce sont d’autres associations comme la CIMADE qui les aident au quotidien. C’est une ONG. Ils s’occupent
aussi de soigner les personnes malades. Après leur sauvetage les migrants peuvent avoir le droit à l’asile et peuvent alors se déplacer librement dans l’espace Schengen ou
alors, s’il n’y ont pas droit, ils sont renvoyés dans leurs pays. Avant de débarquer dans un port, ils ont besoin de l’accord de ce pays, cela peut prendre jusqu’à plusieurs
semaines. Les pays ne sont globalement pas favorables à l’accueil des migrants comme l’Italie qui à sous traité des centres en Albanie pour pouvoir s’en ‘’débarrasser’’. Les
bateaux marchands peuvent récupérer les migrants et appeler l’association. Ou encore une association nommée pilote volontaire qui survole la méditerranée et qui peut
également prévenir si ils trouvent des bateaux de migrants. La méditerranée centrale est la route migratoire la plus dangereuse du monde. 2200 personnes sont mortes
noyées en 2023.

L’Ukraine et la Russie de 1991 à 2022

b. La révolution orange
c. Des velléités de rapprochement entre l’UE et l’OTAN.

II) L’Ukraine, un État démantelé par la Russie et les pro-russes (2013 – 2014).

A. Un contexte particulièrement tendu en Ukraine.


B. L’annexion de la Crimée ukrainienne par la Russie.
C. Le déclenchement de la guerre dans les Donbass.

III) Entre l’Ukraine et la Russie, une fausse illusion de paix.

A. Des rencontres au “ format Normandie ” depuis 2014.


B. Les protocoles de Minsk signés en 2014 et en 2015.
C. Les violations des cessez-le-feu et la fin des accords.

IIII) L’Ukraine, un état envahi, attaqué par la Russie (2021-2022).

A. Une nouvelle montée des tensions russo-ukrainiennes.


B. Une opération militaire spéciale lancée par la Russie.
C. Le soutient occidental à l’Ukraine contre l’invasion Russe.

Inclusion et perspectives :
1991-2013.
Après son indépendance, l’Ukraine tente de se libérer de la tutelle de la Russie, sans y parvenir totalement.

Conclusion :
La volonté d’émancipation de l’Ukraine vis-à-vis de la Russie et sa volonté de rapprochement avec les occidentaux n’est pas accepté par Vladimir Poutine, qui perçoit
l’élargissement de l’OTAN et de l’UE en Europe de l’est ( sur des pays anciennement communistes ou sur d’anciennes républiques soviétiques) comme une menace et une
limitation de sa sphère d’influence en Europe de l’est.

II les formes indirectes de la puissances.

Par quels moyens les états mettent leur influence au service de leur puissance.

L’enjeu de la langue et de la diplomatie culturelle : 274 millions de francophones dans le monde en 2014. Créé en 2011, l’Institut français est l’opérateur de l’action culturelle
extérieure de la France. Placée sous la tutelle du ministère des affaires étrangères, il est chargé de porter une ambition renouvelée pour notre diplomatie d’influence, et de
contribuer au rayonnement de la France à l’étranger, par le réseau de ses 98 instituts.

C’est grâce au dynamisme démographique de l’Afrique que la francophonie est l’espace linguistique en plus forte croissance. L’Afrique a fourni plus de 80 % de cette
croissance. Il faut donc avoir une conception ouverte de la francophonie en prenant acte que « le français est désormais plus parlé hors de France que dans le territoire
national », indique-t-on à l’Élysée.

Les instituts Confucius dans le monde, 2011.

Les géants numériques, reflet des forces des puissances ou acteurs indépendants.

La maîtrise des voies de communication : les voies Chinoises.

IV° La puissance étasunienne aujourd’hui.

Quels sont les lieux et les formes de la puissance des états unis, quels sont les points d’appui et quels sont les contestations de cette puissance.

Thème 4 : S’informer, un regard critique sur les sources et modes de communication.

Introduction :

Depuis de XIX ème siècle, un certain nombre de progrès techniques ont placés l’information au cœur des sociétés démocratiques. En effet, les médias ainsi que les supports
de communication sont nombreux ce qui permet aux citoyens d’avoir accès à une information riche, dense et variée. S’informer est donc essentiel dans une société
démocratique et constitue une pratique sociale et politique ce qui pose de véritables enjeux pour les démocraties.

Problématique :

Qu’est ce qu’une information et comment s’informe-t-on aujourd’hui ?

I) L’information.

• Elle doit intéresser public.


• Elle doit être factuelle.
• Elle doit être vérifiée.

II) La source.

La source primaire est un élément de première main : un témoin, une image, une vidéo.

Actuellement, les sources d’information explosent en particulier depuis internet, venu concurrencer les médias traditionnels. L’information est beaucoup plus accessible et
également plus rapide. Les réseaux sociaux se sont développés depuis le XXI ème siècle et sont devenus des outils et des sources d’information ou les citoyens peuvent
devenir à leur tour des journalistes.
Cet accès instantané à l’information est aussi re,du possible par l’internet mobile et la révolution des smartphones.

Chapitre 2 : Les grandes révolutions techniques et informatiques de l’information.

PB : Comment les innovations techniques ont-elles de l’invention de l’imprimerie à celle d’internet transformé l’information et ses modes de production, de diffusion et de
consommation dans les sociétés occidentales.

2ème république, politiquement ç a marche mais socialement ça marche pas et 2nd empire

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