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Diode

électroluminescente
semi-conducteur

Une diode électroluminescente (abrégé en DEL


en français, ou LED, de l'anglais : light-emitting
diode) est un dispositif opto-électronique fait de
matériau semi-conducteur, capable d'émettre de
la lumière lorsqu'il est parcouru par un courant
électrique. Une diode électroluminescente ne
laisse passer le courant électrique que dans un
seul sens et produit un rayonnement
monochromatique ou polychromatique non
cohérent par conversion d'énergie électrique
lorsqu'un courant la traverse.
Diodes de différentes couleurs.

Symbole de la diode
électroluminescente.

Les premières LED commercialisées dès les


années 1960 ont produit de la lumière
infrarouge, rouge, puis verte et jaune[1],[2]. Leur
usage commercial restait limité à des
applications de télécommande et d'indications
lumineuses. L'arrivée de la LED bleue puis
blanche, associée aux progrès techniques et
d'assemblage, a permis aux lampes d'émettre
dans une bande de longueurs d'onde plus large,
correspondant au spectre visible, et même au-
delà[3]. De nombreux appareils sont aujourd'hui
munis de LED composites (trois LED réunies en
un composant : rouge, vert et bleu) permettant
d'afficher de très nombreuses couleurs.

En raison de nombreux avantages, les lampes


LED remplacent d'autres types de lampes[4].
Elles sont aussi utilisées dans la construction
des écrans : pour le rétroéclairage des écrans à
cristaux liquides ou comme source
d'illumination principale dans les écrans à OLED,
ces dernières étant des LED où le semi-
conducteur est un composé organique.

Histoire

La première émission de lumière par un semi-


conducteur date de 1907 et est découverte par
Henry Round, ingénieur chez Marconi. En 1927,
le russe Oleg Lossev dépose le premier brevet
de ce qui sera appelé plus tard une diode
électroluminescente, mais les applications
peinent à émerger, le carbure de silicium alors
utilisé comme semi-conducteur ayant de piètres
propriétés électroluminescentes.

La découverte de l'émission infrarouge à basse


température de l'arséniure de gallium et d'autres
semi-conducteurs III-V par Rubin Braunstein en
1955 à la RCA à Princeton permet d'envisager
de prometteurs développements[5]. Nick
Holonyak Jr. et S. Bevacqua créent la première
LED rouge en 1962. Durant quelques années, les
chercheurs se limitent à quelques couleurs
telles que le rouge (1962), le jaune, le vert et
plus tard le bleu (1972)[2],[6].

Dans les années 1990, les recherches, entre


autres, de Shuji Nakamura et Takashi Mukai de
Nichia, dans la technologie des semi-
conducteurs InGaN permettent la création de
LED bleues de forte luminosité, ensuite
adaptées en LED blanches, par adjonction d'un
luminophore jaune[7]. Cette avancée permet de
nouvelles applications majeures telles que
l'éclairage et le rétroéclairage des écrans de
téléviseurs et des écrans à cristaux liquides. Le
7 octobre 2014, Shuji Nakamura, Isamu Akasaki
et Hiroshi Amano reçoivent le prix Nobel de
physique pour leurs travaux sur les LED
bleues[8].

Économie

Le développement de la technologie des LED


suit une loi analogue à la loi de Moore, appelée
loi de Haitz , du nom de Roland Haitz d'Agilent
(en)

Technologies, et qui prévoit que les


performances des LED doublent tous les trois
ans, pour des prix divisés par dix tous les dix
ans[9].
L'intérêt des lampes à LED en matière de
consommation électrique, de durée de vie et de
sécurité électrique s'est rapidement confirmé
pour l'automobile (dans l'habitacle et pour les
phares et clignotants, où les LED se montrent
plus performantes que les sources xénon ou
halogène), l'éclairage urbain, l'éclairage
d'infrastructures, les usages dans la marine et
l'aéronautique. Cet intérêt a, au début des
années 2000, dopé le marché, qui a dépassé en
2010 le seuil des dix milliards de dollars
américains (USD), soutenu par une croissance
annuelle globale de 13,6 % de 2001 à 2012, et
devrait atteindre 14,8 milliards USD avant la fin
2015[10]. Dans ce marché, la part de l'éclairage
augmente régulièrement de 2008 à 2014 et
devrait se stabiliser en 2018, alors que la part du
rétro-éclairage devrait décroître dès 2014 en
raison d'évolutions techniques[10].
La part destinée à l'automobile semble dans les
années 2010-2015 stable (environ 10 % du
marché global) et pourrait le rester jusqu'à
2020[10]. Les LED ont d'abord équipé des
véhicules de luxe (Audi, Mercedes) puis de
moyenne gamme (Seat Léon, Volkswagen Polo
en 2014).

En 2016, les principaux fabricants sur ce marché


sont Nichia et Toyoda Gosei au Japon,
notamment pour les LED GaN de « forte »
puissance (plus de 1 watt), Philips Lumileds
Lighting Company et OSRAM Opto
Semiconductors GmbH en Europe, Cree et
General Electric aux États-Unis. Samsung
Electronics et Seoul Semiconductor (en)

produisent des LED pour l'automobile.

Mécanisme d'émission
La recombinaison d'un électron et d'un trou
d'électron dans un semi-conducteur conduit à
l'émission d'un photon. En effet, la transition
d'un électron entre la bande de conduction et la
bande de valence peut se faire avec la
conservation du vecteur d'onde . Elle est alors
radiative (émissive) c'est-à-dire accompagnée
de l'émission d'un photon. Dans une transition
émissive, l'énergie du photon créé est donnée
par la différence des niveaux d'énergie avant (Ei)
et après (Ef) la transition :

(eV)

Une diode électroluminescente est une jonction


P-N qui doit être polarisée en sens direct
lorsqu'on veut émettre de la lumière. Le
potentiel imposé aux bornes doit être supérieur
à celui imposé par la jonction P-N. La plupart
des recombinaisons sont radiatives. La face
émettrice de la LED est la zone P car c'est la
plus radiative[11].

Gros-plan d'une diode électroluminescente rouge-


vert-bleu à 4 pôles.

Fonctionnement d'une LED.

Techniques de fabrication
La longueur d'onde du rayonnement émis
dépend de la largeur de la « bande interdite » et
donc du matériau utilisé. Toutes les valeurs du
spectre lumineux peuvent être atteintes avec les
matériaux actuels. L'infrarouge est obtenu grâce
à l'arséniure de gallium (GaAs) dopé au silicium
(Si) ou au zinc (Zn). Les fabricants proposent de
nombreux types de diodes aux propriétés
différentes. Les diodes à l'arséniure de gallium
sont les plus économiques et les plus utilisées.
Les diodes à l'arséniure de gallium-aluminium
(AlGaAs) offrent une plus grande puissance de
sortie mais nécessitent une tension directe plus
élevée et ont une longueur d'onde plus courte (<
950 nm, ce qui correspond au maximum de
sensibilité des détecteurs au silicium) ; elles
présentent une bonne linéarité jusqu'à 1,5 A.
Enfin, les diodes à double hétérojonction (DH)
AlGaAs offrent les avantages des deux
techniques précédentes (faible tension directe)
avec des temps de commutation très courts
(durée nécessaire pour qu'un courant croisse de
10 % à 90 % de sa valeur finale ou pour décroître
de 90 % à 10 %), permettant des débits de
données très élevés dans les transmissions de
données numériques par fibres optiques. Les
temps de commutation dépendent de la
capacité de la jonction dans la diode.

Efficacité lumineuse

Un ours éclairé par des diodes


électroluminescentes.

L'efficacité lumineuse varie selon le type de


diodes, de 20 à 100 lm/W, et atteint en
laboratoire 200 lm/W[12]. Une grande disparité
de performances existe selon la couleur
(température de couleur pour le blanc), la
puissance ou encore la marque. Les diodes
bleues n'excèdent pas 30 lm/W alors que les
vertes ont une efficacité lumineuse atteignant
100 lm/W[13].

La limite théorique d'une source qui


transformerait intégralement toute l'énergie
électrique en lumière visible est de 683 lm/W[14],
mais il faudrait qu'elle possède un spectre
monochromatique de longueur d'onde 555 nm.
L'efficacité lumineuse théorique d'une LED
blanche est de l'ordre de 250 lm/W[15]. Ce chiffre
est inférieur à 683 lm/W du fait que le maximum
de sensibilité de l'œil se situe vers 555 nm.

L'efficacité lumineuse des LED blanches de


dernière génération est supérieure à celle des
lampes à incandescence mais aussi à celle des
lampes fluocompactes ou encore de certains
modèles de lampes à décharge. Le spectre de la
lumière émise est presque intégralement
contenu dans le domaine du visible (les
longueurs d'onde sont comprises entre 400 nm
et 700 nm). Contrairement aux lampes à
incandescence et aux lampes à décharge, les
diodes électroluminescentes n'émettent
quasiment pas d'infrarouge, sauf celles
fabriquées spécifiquement dans ce but.

L'efficacité lumineuse dépend de la conception


de la LED. Pour sortir du dispositif (semi-
conducteur puis enveloppe externe en époxy),
les photons doivent traverser (sans être
absorbés) le semi-conducteur, de la jonction
jusqu'à la surface, puis traverser la surface du
semi-conducteur sans subir de réflexion et,
notamment, ne pas subir la réflexion totale
interne qui représente la grosse majorité des
cas. Une fois arrivé dans l'enveloppe externe en
résine époxy (quelquefois teintée pour des
raisons pratiques et non pour des raisons
optiques), la lumière traverse les interfaces vers
l'air à incidence proche de la normale ainsi que
le permet la forme de dôme avec un diamètre
bien plus grand que la puce (3 à 5 mm au lieu de
300 µm). Dans les diodes électroluminescentes
de dernière génération, notamment pour
l'éclairage, ce dôme plastique fait l'objet d'une
attention particulière car les puces sont plutôt
millimétriques dans ce cas et le diagramme
d'émission doit être de bonne qualité. À l'inverse,
pour des gadgets, on trouve des LED quasiment
sans dômes.

Effet Auger

Aux fortes intensités, l'efficacité lumineuse des


LED chute au cours de leur vie. Il a été suspecté
en 2007-2008[16],[17], mieux compris en 2010-
2011[18],[19] puis confirmé début 2013 que cette
diminution est attribuable à un « effet Auger »
qui dissipe une partie de l'énergie sous forme de
chaleur[20],[21]. Des projets de recherche visent à
limiter ou contrôler cet effet[22].

Caractéristiques techniques

Forme

Lampe à LED de 1 W.

Ce composant peut être encapsulé dans divers


boîtiers destinés à canaliser le flux de lumière
émis de façon précise : cylindrique à bout
arrondi en 3, 5, 8 et 10 mm de diamètre,
cylindrique à bout plat, ou de forme plate (LED
SMD[23]), rectangulaire, sur support coudé, en
technologie traversante ou à monter en surface
(Composant monté en surface, CMS).

Les LED de puissance ont des formes plus


homogènes : la Luxeon 1 W ci-contre est assez
représentative. Ces types de LED sont
également disponibles en version « multicœur »,
« multipuces », ou « multichips » en anglais, dont
la partie émissive est composée de plusieurs
puces semi-conductrices.

L'enveloppe transparente, ou « capot », est


généralement en résine époxy, parfois colorée
ou recouverte de colorant.

Luminosité

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L'intensité lumineuse des diodes


électroluminescentes basse puissance est
assez faible, mais suffisante pour la
signalisation sur tableau ou appareils, voire en
montage de multiples unités dans les feux de
circulation (feux tricolores, passages piétons).
Les bleues sont également suffisamment
puissantes pour signaliser les bords de route, la
nuit, aux abords des villes. Les LED de
puissance sont aussi utilisées dans la
signalisation maritime comme sur les bouées
permanentes. Deux de ces diodes sont situées
l'une par-dessus l’autre et suffisent à un
éclairement important et visible par les bateaux
de nuit.
Lampes à diode électroluminescente.

Des LED de forte puissance ont vu le jour au


début des années 2000. Dans la première
décennie du xxie siècle, des rendements
lumineux d'environ 130 lumens/watt sont ainsi
atteints. Par comparaison, les ampoules à
filament de tungstène de 60 W atteignent un
rendement lumineux d'environ 15 lumens/watt
et le rendement lumineux maximum théorique
étant de 683 lumen par Watt (découlant de la
définition de la candela et du lumen).

Les LED sont, dès 2014, suffisamment


puissantes pour servir d'éclairage principal dans
le secteur de l'automobile. Employées d'abord
pour les feux de position, stop, clignotants ou de
recul, celles-ci remplaceront certainement, à
terme, toutes les lampes à incandescence.

Couleurs

La couleur de la lumière d'une diode


électroluminescente peut être produite de
différentes manières[24],[25] :

couleur due à la nature du semi-conducteur


(capot transparent) : la longueur d'onde émise
correspond directement au gap du matériau
utilisé ;
coloration modifiée par le capot de la diode
(émission bleue ou UV + revêtement à base
de luminophores) ;
coloration par plusieurs émissions de
longueur d'onde différentes (diodes
électroluminescentes polychromatiques).
Elles permettent notamment de proposer une
vaste gamme de couleurs[26].

Voici quelques colorations en fonction du semi-


conducteur utilisé :

Longueur d'onde
Couleur Tension de seuil (V) [réf. nécessaire] Semi-conducteur utilisé
(nm)

Infrarouge λ > 760 ΔV < 1,63 arséniure d'aluminium-gallium (AlGaAs)

arséniure d'aluminium-gallium (AlGaAs)


Rouge 610 < λ < 760 1,63 < ΔV < 2,03
phospho-arséniure de gallium (GaAsP)

Orange 590 < λ < 610 2,03 < ΔV < 2,10 phospho-arséniure de gallium (GaAsP)

Jaune 570 < λ < 590 2,10 < ΔV < 2,18 phospho-arséniure de gallium (GaAsP)

nitrure de gallium (GaN)


Vert 500 < λ < 570 2,18 < ΔV < 2,48
phosphure de gallium (GaP)

séléniure de zinc (ZnSe)


Bleu 450 < λ < 500 2,48 < ΔV < 2,76 nitrure de gallium-indium (InGaN)
carbure de silicium (SiC)

Violet 400 < λ < 450 2,76 < ΔV < 3,1

diamant (C)
Ultraviolet λ < 400 ΔV > 3,1 nitrure d'aluminium (AlN)
nitrure d'aluminium-gallium (AlGaN)

Blanc Chaude à froide ΔV = 3,5

On peut remarquer dans le tableau ci-dessus


qu'en multipliant la longueur d'onde λ par la
tension de seuil de la diode, on obtient chaque
fois une valeur proche de 1240. Cette valeur est
à rapprocher de l'énergie d'un photon exprimée
en électronvolt.

En exprimant la longueur d'onde en nanomètre


(nm) et la tension de seuil en volt, on a :

proche de

Pour le blanc, on ne parle pas de longueur


d'onde mais de température de couleur
proximale. Celle des diodes
électroluminescentes est assez variable en
fonction du modèle.

Modules communs
Flux Index radiateur Effic
Dimensions Puissance Intensité Angle
lumineux couleur (mini
Module (oui /
(mm x mm) (Watt) (Candela) (degrés)
(Lumen) (Ra) non) (lm

8520 8.5 x 2.0 0.5 & 1 55-60 80

7020 7.0 x 2.0 0.5 & 1 40-55 75-85

7014 7.0 x 1.4 0.5 & 1 35-50 70-80

5736 5.7 x 3.6 0.5 40-55 80 15-18 120 non

5733 5.7 x 3.3 0.5 35-50 80 15-18 120 non

5730 5.7 x 3.0 0.5 30-45 75 15-18 120 non

5630 5.6 x 3.0 0.5 30-45 70 18.4 120 non

5060 5.0 x 6.0 0.2 26 non

5050 5.0 x 5.0 0.2 24 non

4014 4.0 x 1.4 0.2 22-32 75-85

3535 3.5 x 3.5 0.5 35-42 75-80

3528 3.5 x 2.8 0.06-0.08 4-8 60-70 3 120 non

3258 3.2 x 5.8

3030 3.0 x 3.0 0.9 110-120

3020 3.0 x 2.0 0.06 5.4 2.5 120 non

3014 3.0 x 1.4 0.1 9-12 75-85 2.1-3.5 120 oui

2835 2.8 x 3.5 0.2 14-25 75-85 8.4-9.1 120 oui

1206 1.2 x 0.6 3-6 55-60

1104 1.1 x 0.4

(Sources : Вікіпедія, chap. SMD LED Module)

Câblage et alimentation électrique

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Comme toutes les diodes, les diodes


électroluminescentes sont polarisées, elles
présentent un « sens passant » et un « sens
bloquant ». Dans le sens bloquant, la tension
d'avalanche est plus faible que sur une diode
dite de redressement. Dans le sens passant, on
trouve un effet de seuil et un courant nominal à
ne pas dépasser : on raccorde le pôle « - » à la
cathode « - » et donc le pôle « + » à l'anode
« + »[27]. Les diodes à dôme basse puissance
ont généralement trois détrompeurs : la cathode
est plus courte, l'électrode à l'intérieur du dôme
est plus grosse et le bord extérieur du dôme est
plat. Inversement, l'anode est plus longue,
l'électrode à l'intérieur du dôme est plus petite et
le bord extérieur du dôme est arrondi (cf.
illustration).

Gros-plan d'une diode électroluminescente.

L'anode et la cathode d'une LED. Les signes


indiquent la polarisation (courant conventionnel)
lorsque la diode est utilisée en sens direct.

Sur tous les modèles et pour toutes les


puissances, il est indispensable de ne pas
dépasser l'intensité admissible (typiquement :
10 à 30 mA pour une LED de faible puissance et
de l'ordre de 350 à 1 000 mA pour une LED de
forte puissance). On intercale pour cette raison
un circuit limiteur de courant, souvent une
résistance en série pour les faibles puissances.
Les données du fabricant permettent de calculer
la résistance en fonction de cette intensité
désirée I, de Valim la tension d'alimentation, de
VLED la tension directe de la LED et du nombre n
de LED en série (loi d'Ohm : R = (Valim - n × VLED)
/ I). On peut regrouper plusieurs diodes dans un
schéma série ou série-parallèle : les tensions
directes s'additionnant en mode série ; ce qui
permet de diminuer la résistance en série et
donc d'augmenter le rendement du dispositif. Le
courant maximal admissible est multiplié par le
nombre de diodes en parallèle.
Une méthode peu dispendieuse en énergie et
adaptée aux plus forte puissances consiste à
utiliser un circuit de régulation du courant
construit sur des principes analogues à ceux
mis en œuvre dans les alimentations électriques
à découpage. Cette méthode est employée pour
les lampes LED d'éclairage, le circuit est intégré
dans les culots des lampes.

Pour conserver leurs caractéristiques


colorimétriques (température de couleur
proximale, IRC…), il est primordial d'apporter un
soin particulier à l'alimentation électrique des
LED[28].

Points forts et faiblesses

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Article connexe : Points forts et faiblesses des


lampes électroluminescentes.

Avantages

Petite taille : on peut par exemple construire


des LED de la taille d'un pixel (ce qui ouvre la
possibilité d'utiliser des diodes pour
construire des écrans de haute résolution).
Facilité de montage sur un circuit imprimé,
traditionnel ou composant monté en surface
(CMS).
Consommation inférieure aux lampes à
incandescence et du même ordre de grandeur
que les tubes fluorescents.
Excellente résistance mécanique (chocs,
écrasement, vibrations).
Taille beaucoup plus réduite que les lampes
classiques, ce qui offre la possibilité de
réaliser des sources de lumière très
ponctuelles, de faible à très faible
consommation électrique (quelques dizaines
de milliwatts) et avec un bon rendement. En
assemblant plusieurs LED, on peut réaliser
des éclairages avec des formes novatrices.
Durée de vie (20 000 à 50 000 heures environ)
beaucoup plus longue qu'une lampe à
incandescence (1 000 heures) ou qu'une
lampe halogène (2 000 heures), mais du
même ordre de grandeur que les lampes
fluorescentes (5 000 à 70 000 heures). Les
lampes puissantes voient leur durée de vie
limitée, mais pouvant néanmoins atteindre
10 000, voire 15 000 heures selon le type
d'utilisation qui en est fait[29]
[source insuffisante],[30].

Fonctionnement en très basse tension (TBT),


gage de sécurité et de facilité de transport.
Pour les campeurs, des lampes de poche à
LED peuvent être actionnées par une simple
dynamo à main (« lampe à manivelle ») de
mouvement lent.
En matière de sécurité, par rapport aux
systèmes lumineux classiques, l'inertie
lumineuse est quasiment nulle. Elles
s'allument et s'éteignent en un temps très
court, ce qui permet l'utilisation en
transmission de signaux à courte distance
(optocoupleurs) ou longue (fibres optiques).
Les LED atteignent immédiatement leur
intensité lumineuse nominale.
Les LED classiques de 5 mm ne chauffent
presque pas. Pour les montages de puissance
supérieure à 1 W, il faut prévoir une
dissipation de la chaleur, faute de quoi la
diode sera fortement endommagée, voire
détruite du fait de l'échauffement. En effet,
une diode électroluminescente convertit
environ 20 % de l'énergie électrique en
lumière, le reste étant dégagé sous forme de
chaleur.
Les LED RVB (rouge-vert-bleu) permettent des
mises en valeur colorées avec des possibilités
de variations sans limite.
Inconvénients

Spectre du rayonnement émis par une


lampe à LED blanche.

L'indice de rendu de couleur (IRC) s'est


amélioré depuis 2010. Les LED dites blanches
sont généralement des LED bleues ou
émettant dans l'UV, dont une partie de la
lumière produite est transformée par
fluorescence en lumière jaune au moyen d'un
luminophore qui est souvent un grenat
d'yttrium et d'aluminium dopé par des ions de
terres rares tels que le cérium trivalent Ce3+
(d'autres matériaux luminescents pouvant
être utilisés pour produire un blanc plus
chaud)[31],[32] : le spectre est moins régulier
que celui d'une lampe halogène. Plus
rarement, le blanc est obtenu au moyen de
trois diodes de couleurs différentes.
Les LED, comme tout composant
électronique, ont des limites maximales de
température de fonctionnement, de même
que certains composants passifs constitutifs
de leur circuit d'alimentation (comme les
condensateurs chimiques qui s'échauffent en
fonction du courant efficace), ce qui
conditionne en partie la durée de vie des
lampes à LED. La dissipation thermique des
composants des ampoules à LED est un
facteur limitant leur montée en puissance,
notamment en assemblages multipuces[33].
Les recherches portent sur des moyens de
limiter la température et de mieux dissiper la
chaleur des LED de puissance (par exemple
pour des lampadaires ou phares
automobiles)[33],[34].
Selon le constructeur Philips, l'efficacité
lumineuse de certaines LED baisse
rapidement (comme pour la plupart des
technologies lumineuses) pour ne plus
produire en fin de vie que 20 % de la quantité
de lumière initiale, mais pour les LED les plus
performantes du marché, la quantité de
lumière produite en fin de vie serait encore
d'au moins 70 %[note 1]. La température
accélère la baisse de l'efficacité lumineuse.
Philips précise que la couleur peut varier sur
certaines LED blanches et tirer sur le vert en
vieillissant[35].

Perspectives

En octobre 2016, le Laboratoire d'électronique et


de technologie de l'information (LETI) du CEA et
son voisin, l'Institut des nanosciences et
cryogénie (INAC), mettent au point une diode
électroluminescente quatre fois moins chère à
produire et produisant trois fois plus de
lumière[36],[37],[38].

Utilisations

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Différents types de LED.

Costume LED.

Familles

Il existe plusieurs manières de classer les


diodes semi-électroluminescentes :

Classement selon la puissance

La première est un classement par puissance :


les diodes électroluminescentes de faible
puissance < 1 W. Ce sont les plus connues du
grand public car elles sont présentes dans
notre quotidien depuis des années. Ce sont
elles qui jouent le rôle de voyant lumineux sur
les appareils électroménagers par exemple ;
les LED de forte puissance > 2 W. Elles sont
en plein essor dans les années 2010 et leurs
applications sont de plus en plus connues du
grand public : flash de téléphones portables,
éclairage domestique, éclairage de spectacle,
lampe de poche ou frontales… Le principe de
fonctionnement est identique. Certaines
différences significatives existent entre les
deux familles, consacrées chacune à un
champ d'application spécifique.

Classement selon le spectre d'émission


Une autre manière de les classer est de
considérer la répartition de l'énergie dans la
gamme de longueur d'onde couvrant le visible
(longueurs d'onde de l'ordre de 380 à 780 nm)
ou l'invisible (principalement l'infrarouge). La
raison de la distinction réside dans le fait que
certaines diodes peuvent servir à éclairer :

les chromatiques : l'énergie est concentrée


sur une plage étroite de longueur d'onde (20 à
40 nm). Ces sources ont un spectre
quasiment monochromatique ;
les blanches : l'énergie est répartie dans le
visible sur toute la gamme de longueurs
d'onde (380 à 780 nm environ) ;
les infrarouges : l'énergie est émise hors du
spectre de la lumière visible (au-delà de
700 nm de longueur d'onde). Elles sont
utilisées pour transmettre des signaux de
télécommandes ou pour de la télémesure
exploités par exemple dans la détection de
position des consoles de jeux telles que la Wii,
ou servir d'éclairage pour les caméras
infrarouge, etc.

Autres classements

D'autres classements sont possibles, par


exemple selon le caractère monopuce ou
multipuce, la durée de vie, la consommation
d'énergie ou encore la robustesse en cas de
sollicitations sous contraintes (comme pour
certains matériels industriels, militaires,
spatiaux…).

Diodes électroluminescentes ordinaires

Éclairage
éteinte

allumée

Ampoule LED

Signalisation routière, éclairage de voitures,


motos, camions ou de bicyclettes.
Signalisation ferroviaire.
Éclairage invisible pour caméras de
surveillance (dans l'infrarouge).
Luminaires et éclairage public (plus
récemment), avec par exemple Los Angeles,
première métropole qui a remplacé ses
140 000 ampoules d'éclairage urbain par des
diodes électroluminescentes de 2009 à 2014,
ce qui devrait réduire de l'équivalent de
40 500 tonnes de carbone les émissions
annuelles de cette ville (soit l'équivalent des
émissions de 6 700 voitures)[39]. Après le
remboursement de l'investissement, la ville
pense aussi diminuer ses charges d'éclairage
en économisant annuellement 10 millions de
dollars[39].

Affichage

Un hub Ethernet à 4 ports, équipé de


deux LED vertes sur chacune des
quatre prises RJ-45, sur la gauche une
LED verte de mise sous tension et
une LED jaune d'indication de
collision

Diodes vertes et rouges


allumées dans un switch
modulaire professionnel
Cabletron SmartSwitch 6000
(2000).
Signalisation d'état d'appareils divers (lampes
témoins en face avant ou sur le circuit,
tableaux de bord de voitures, équipements de
sécurité).
Affichage alphabétique ou numérique
d'appareils de mesure, de calculatrices,
d'horloges.
Affichages de niveaux de mesures (niveaux de
cuves, VU-mètres).
Affichage statique ou dynamique de
messages (journaux lumineux).

Source de lumière quasi monochromatique

Photocoupleur.
Transmission de signaux par fibre optiques.
Télécommandes (LED infrarouges).
Cellules photoélectriques (LED infrarouges).
Faisceau laser pour les appareils de mesure.
Faisceau laser pour la lecture et la gravure
des CD et DVD.
Luminothérapie contre l'acné.
Photobiomodulation par LED

Diodes électroluminescentes blanches

L'amélioration du rendement des LED permet de


les employer en remplacement de lampes à
incandescence ou fluorescence, à condition de
les monter en nombre suffisant :

LED noyées dans le bitume pour la


matérialisation des pistes la nuit ou par temps
de brouillard ;
signalisation portative individuelle (piéton,
cycliste) ;
éclairages de sécurité ;
éclairage de courte portée portatif ;
feux de signalisation automobile ou
motocycliste (clignotant, veilleuses, feux de
position) ;
signalisation ferroviaire (feu blanc, feu blanc
clignotant et œilleton notamment, sur le
réseau ferré national) ;
éclairage stroboscopique ;
lampes de poche à piles ou accumulateur à
génératrice de recharge incorporé ;
lampes de balisage des jardins alimentées
par panneaux solaires photovoltaïques.

En 2006, le groupe américain Graffiti Research


Lab a lancé le mouvement Led throwies (« lancer
de LED ») qui consiste à égayer les lieux publics
en ajoutant de la couleur sur des surfaces
magnétiques. Pour ceci, on combine une LED,
une pile au lithium et un aimant, et on lance
l'ensemble sur une surface magnétique[40].
Les LED sont utilisées pour réaliser des écrans
vidéo de très grande taille (plateaux TV salon
dans des grands halls, stade…).

Le rétroéclairage de l'écran par des diodes


électroluminescentes permet de fabriquer des
écrans plus fins, plus lumineux, ayant une
étendue colorimétrique plus importante et plus
économes que son prédécesseur ACL à
rétroéclairage par tube fluorescent (technologie
CCFL)[41].

Essor des LED

En 2007, Audi et Lexus bénéficient de


dérogations de la Commission européenne pour
commercialiser des modèles munis de feux
avant à LED. En 2009, la Ferrari 458 Italia innove
elle aussi avec des phares à LED. En 2020, la
majorité des automobiles avec un niveau
d'équipement élevé bénéficient de feux de route
à LED désormais bien plus performants que les
éclairages à lampe à incandescence halogène.

Plusieurs villes remplacent leur éclairage public


par des LED dans le but de diminuer leur facture
d'électricité et la pollution lumineuse du ciel
(éclairage dirigé vers le bas). Le recours aux LED
est aussi courant dans les feux tricolores.
L'exemple de Grenoble est le plus souvent cité :
la ville a réalisé son retour sur investissement en
trois ans seulement. En effet, les LED
permettent des économies d'énergie, mais ce
sont surtout les coûts de maintenance qui
baissent, du fait de leur robustesse.

En 2010, La Régie autonome des transports


parisiens (RATP) expérimente l'éclairage des
espaces du métro parisien, notamment à la
station Censier-Daubenton première station de
métro entièrement éclairée par cette
technologie. En 2012 estimant le produit mature
la RATP décide de modifier la totalité de son
éclairage vers la technologie LED. C'est plus de
250 000 luminaires qui seront modifiés, faisant
ainsi du métro parisien le premier réseau de
transport en commun d'envergure à adopter le
« tout LED »[42]. Le remplacement des éclairages
est finalisé en 2016[43].

Santé

Article connexe : Inconvénients des lampes


électroluminescentes.
Spectres de lampes 1) sodium haute
pression et 2) LED testées selon leur
caractère plus ou moins attractif sur
les insectes[44] (l'étude a montré que
le spectre lumineux de la LED était
beaucoup plus attractif pour les
insectes[44]).

La méthode la plus rentable économiquement


pour fabriquer des LED consiste à combiner une
diode émettant une longueur d'onde courte
(dans le bleu) avec un luminophore jaune pour
produire de la lumière blanche ; La lumière bleue
est particulièrement connue pour perturber
l'horloge circadienne[45],[46].

Sur cette question, en France, l'Agence nationale


de sécurité sanitaire de l'alimentation, de
l'environnement et du travail (ANSES)
recommande de ne plus commercialiser auprès
du grand public que les LED ne présentant pas
de risque lié à la lumière bleue, ainsi qu'une
mise à jour de la norme franco-européenne
NF EN 62 471[47],[48],[49].

Environnement

Le bilan environnemental des diodes


électroluminescentes est discuté, car leur
développement considérable pourrait
augmenter les tensions sur le marché de
certaines ressources non renouvelables (terres
rares ou métaux précieux) et parce que la
conversion des éclairages urbains aux LED
semble souvent susciter une augmentation de
l'illumination globale du ciel nocturne, et donc
de la pollution lumineuse, visible depuis
l'espace[50].
En contrepartie, les LED ont un fort potentiel
d'économies d'énergie, si leur utilisation est
raisonnée pour éviter le risque d'effet
rebond [réf. souhaitée].

Effets sur la faune

Des préoccupations concernent également


l'impact sanitaire de lampes mal utilisées. Ainsi,
selon une étude publiée en 2014 dans la revue
Ecological Applications, alors que l'éclairage
nocturne municipal et industriel a déjà changé la
répartition des différentes espèces d'invertébrés
autour des sources lumineuses[51] et semble
contribuer à la régression ou la disparition de
nombreuses espèces de papillons[52], l'éclairage
public tend à utiliser à grande échelle les diodes
électroluminescentes[44]. La question de
l'impact des spectres lumineux des lampes
prend donc de l'importance[53]. Ces spectres
lumineux ont récemment beaucoup changé, et
ils changeront encore avec le développement
des LED[54]. Or, il apparaît que le spectre
lumineux émis par les LED mises sur le marché
dans les années 2000-2014 attire les papillons
de nuit et certains autres insectes plus que la
lumière jaune des ampoules à vapeur de
sodium, en raison d'une sensibilité élevée de ces
invertébrés nocturnes aux parts vert-bleue et UV
du spectre. Des pièges lumineux à insectes
volants équipés de LED capturent 48 % plus
d'insectes que les mêmes pièges utilisant des
lampes à vapeur de sodium, avec un effet
également lié à la température de l'air (les
invertébrés sont des animaux à sang froid,
naturellement plus actifs quand la température
s'élève). Lors de cette étude, plus de
20 000 insectes ont été capturés et identifiés :
les espèces les plus fréquemment piégées
étaient des papillons et des mouches[44].

Ces lampes sont froides et ne brûlent pas les


insectes comme pouvaient le faire des lampes
halogènes, mais le caractère très attractif des
LED pour de nombreux invertébrés peut leur être
fatal ; leur vol est perturbé et, dans la zone
d'attraction, ils sont mis en situation de « piège
écologique », car largement surexposés à des
prédateurs de type araignées et chauve-souris,
avec de possibles effets écologiques plus
globaux si ces lampes étaient utilisées à grande
échelle (perturbation des réseaux trophiques et
possible renforcement des infestations de
certaines cultures ou sylvicultures par des
« ravageurs phytosanitaires » attirés par ces
lampes, tels que le Bombyx disparate, qui est
source de dégâts importants depuis qu'il a été
introduit aux États-Unis et qui se montre très
attiré par la lumière[55] (les auteurs pointent les
ports où un éclairage LED pourrait directement
attirer des ravageurs ou des espèces exotiques
envahissantes accidentellement apportées par
des bateaux[44]). Ces espèces anormalement
favorisées pourraient à leur tour mettre en péril
des espèces natives rares ou menacées[56].

L'étude de 2014 n'a pas pu conclure que


manipuler la température de la couleur des LED
diminuait leur impact, mais les auteurs estiment
qu'utiliser des filtres ou une combinaison de LED
rouges, vertes, et bleues pourrait peut-être
diminuer cette attraction fatale, au prix d'une
consommation électrique et d'énergie grise[44]
ou de terres rares accrue. Ils concluent qu'il
existe un besoin urgent de recherche
collaborative entre écologues et ingénieurs de la
lumière pour minimiser les conséquences
potentiellement négatives des développements
futurs de la technologie LED[44]. En amont,
l'écoconception des LED pourrait faciliter le
recyclage des lampes usagées et, en aval, le ré-
usage de LED d'objets désuets ou en fin de vie.
De même, des systèmes intelligents
d'asservissement de l'éclairage aux besoins
réels sont possibles : lampes équipées de filtres
limitant les émissions dans le bleu-vert et le
proche-UV, mieux bafflées, c'est-à-dire
produisant moins de halo et moins
éblouissantes, ne s'allumant qu'à l'intensité
nécessaire et uniquement quand on en a besoin,
via un processus d'éclairage intelligent
comportant la détection de présence et de
luminosité ambiante, si possible intégré dans un
smart grid ou un système écodomotique plus
global. En 2014, quatre villes dont Bordeaux,
Riga en Lettonie, Piaseczno en Pologne et
Aveiro au Portugal testent ce type de solution
dans le cadre du programme européen
« LITES »[57] (à l'installation, ces systèmes sont
60 % plus chers, mais ce surcoût doit être
rapidement récupéré par les économies
d'électricité et l'amélioration de la qualité de
l'environnement nocturne).

Article détaillé : Pollution lumineuse.

Notes et références

Notes

1. La législation [Où ?] impose aux fabricants


d'indiquer la puissance lumineuse de leurs
ampoules LED au bout de 6 000 heures
d'utilisation.

Références

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cordis.europa.eu/project/rcn/191804_en.ht
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Annexes

Bibliographie

Frank Wohlrabe, Guide pratique de l’infrarouge :


télécommande, télémétrie, tachymétrie,
Publitronic, 29 mai 2002 (ISBN 2866611284).
Libero Zuppiroli et Daniel Schlaepfer, Lumières
du futur, Presses polytechniques et
universitaires romandes, 2011
(ISBN 9782880749422).

Articles connexes

Diode électroluminescente organique


Lampe électroluminescente
Boîte quantique (« quantum dot » ou QD pour
les anglophones)
État solide (électronique)
Plan lumière

Liens externes

Notices dans des dictionnaires ou


encyclopédies généralistes : Britannica (http
s://www.britannica.com/technology/LED) [ar
chive] · Store norske leksikon (https://snl.no/ly
sdiode) [archive]
Notices d'autorité :
GND (http://d-nb.info/gnd/4125154-4) ·
Japon (https://id.ndl.go.jp/auth/ndlna/01033269)
· Tchéquie (http://aut.nkp.cz/ph116356)
(en) [vidéo] [vidéo] Fonctionnement du diode
électroluminiscente (https://www.youtube.co
m/watch?v=4y7p9R2No-4) [archive] sur
YouTube
Portail d'information sur les LED et l'éclairage
(http://www.led-fr.net) [archive]
fiches techniques de LED (http://www.datashe
etcatalog.net/) [archive] (rechercher sous le
nom de « solid state lamps »)
Fabrication d'une LED Diodes
électroluminescentes LED pour l'éclairage -
Panorama et tendances technologiques (htt
p://www.techniques-ingenieur.fr/base-docum
entaire/electronique-photonique-th13/innovati
ons-electronique-et-tic-ti358/diodes-electrolu
minescentes-led-pour-l-eclairage-
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