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INTRODUCTION GENERALE
Introduction
Introduction
L’analyse systémique fournie une modélisation de l’organisation
échangeant et transformant des flux.
Pour réduire la complexité de modélisation de l’entreprise en un seul
tenant, on découpe l’entreprise en domaines d’activité (Vente, Stock,
Achat, Comptabilité, Gestion du personnel)
Introduction
L’analyse systémique fournie une modélisation de l’organisation
échangeant et transformant des flux.
Pour réduire la complexité de modélisation de l’entreprise en un seul
tenant, on découpe l’entreprise en domaines d’activité (Vente, Stock,
Achat, Comptabilité, Gestion du personnel)
Introduction
L’analyse systémique fournie une modélisation de l’organisation
échangeant et transformant des flux.
Pour réduire la complexité de modélisation de l’entreprise en un seul
tenant, on découpe l’entreprise en domaines d’activité (Vente, Stock,
Achat, Comptabilité, Gestion du personnel)
Concepts du modèle
▶ le domaine d’étude
▶ l’acteur
▶ le flux
Le domaine
Le domaine
Le domaine
Le domaine : Exemples
Domaines fonctionnels
crédits, titres, épargne, ressources humaines, comptabilité, scolarité, ...
Faible couplage entre les domaines fonctionnels:
L’interaction entre le domaine crédit et le domaine comptabilité est
limité aux seuls mouvements financiers.
Domaines d’étude:
instruction d’un prêt, remboursement anticipé ...
L’acteur
L’acteur représente une unité active intervenant dans le fonctionnement
d’un système opérant. Un acteur ”fait quelque chose”, il est actif. un
acteur peut:
▶ être stimulé par des flux
▶ transformer des flux
▶ renvoyer des flux
un acteur peut être :
▶ Un acteur externe ou partenaire : eprésente tout élément extérieur à
l’organisation et échangeant des flux avec le domaine d’étude
il peut être :
▶ une personne physique (client, fournisseur, ...)
▶ une personne morale (la Banque, services étatiques...)
▶ une machine extérieure (service vidéotext par exemple)
▶ Un acteur interne peut être une personne physique ou morale
appartenant au système, capable d’échanger des informations avec
les autres acteurs ou partenaires
MUNGUAGANZE BWIRACHIZA Christian METHODES D’ANALYSE INFORMATIQUE (MAI): MERISE
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD)
LE MODELE LOGIQUE DES DONNÉES (MLD)
LE MODELE PHYSIQUE DES DONNÉES (MPD)
L’activité
Les flux
Les flux
Représentation
n ne garde que les flux en entrée et en sortie.
Le Modèle de Contexte
Location vélo
Graphe qui modélise les flux en termes de site (le où?) et de poste de
travail (le qui?)
Montre les flux d’informations entre partenaires, sites et acteurs internes
pour un domaine donné ou une activité donnée
Éléments du modèle:
▶ Les acteurs internes/les activités
▶ Les partenaires ou acteur externe
▶ Les sites: lieu géographique dans lequel un epartie de l’activité est
faite.
▶ Les messages qui circulent entres eux : devis, devis signé, bon de
commande, facteur...
Graphe qui modélise les flux en termes de site (le où?) et de poste de
travail (le qui?)
Montre les flux d’informations entre partenaires, sites et acteurs internes
pour un domaine donné ou une activité donnée
Éléments du modèle:
▶ Les acteurs internes/les activités
▶ Les partenaires ou acteur externe
▶ Les sites: lieu géographique dans lequel un epartie de l’activité est
faite.
▶ Les messages qui circulent entres eux : devis, devis signé, bon de
commande, facteur...
Objectifs
Objectifs
L’acteur
▶ Un acteur est une personne morale ou physique capable d’émettre
ou de recevoir des informations.
▶ Dans le MCT, seuls les acteurs externes sont modélisés ; d’une
part parce qu’on ne cherche qu’à formaliser les traitements
découlant d’interactions avec l’environnement et que d’autre part,
on ne cherche pas à connaı̂tre les acteurs internes qui réalisent les
traitements en question.
▶ Remarque : pour certains Ateliers de Génie Logiciel (AGL), la notion
d’acteur est implicite : ils n’apparaissent donc pas graphiquement
dans les différents modèles de traitements produits.
Les évènements
on distingue les événements externes (Ext) et les événements internes
(Int) :
▶ les événements déclencheurs externes sont des événements émis
par un acteur externe. Par exemple le dépôt d’un dossier de
pré-inscription est un événement externe déclenché par un futur
bachelier souhaitant intégrer la faculté
▶ les événements internes sont des événements qui surviennent
lorsqu’une opération se termine. Ce peut être par exemple
l’acceptation de la pré-inscription après vérification du contenu du
dossier.
Les évènements
Occurrences d’événements
▶ L’occurrence d’un événement correspond à la réalisation effective
d’un événement.
L’opération
▶ La réponse à l’arrivée d’un événement est le déclenchement d’un
ensemble de traitements appelé opération.
Le traitement d’enregistrement d’une pré-inscription est une
opération déclenchée lors du dépôt de dossier de pré-inscription
L’opération
▶ Ces actions élémentaires portent sur des occurrences d’entités ou
d’associations du modèle conceptuel des données et peuvent
appartenir à l’un des quatre types suivants :
▶ insertion
▶ la modification
▶ l’effacement (suppression)
▶ recherche
▶ La logique d’enchaı̂nement des actions élémentaires n’est pas
toujours séquentielle et peut faire intervenir des structures
alternatives (Si ... Alors... Sinon) ou itératives (Tant que ...,
Répéter..., Pour...).
La règle d’émission
Si la plupart des règles d’émission sont basées sur une structure
alternative et donne donc lieu à une seule occurrence d’événement
interne, certaines peuvent intégrer une structure itérative de type ”Pour
– Tout” afin de produire n occurrences d’un événement interne.
La règle d’émission
Si la plupart des règles d’émission sont basées sur une structure
alternative et donne donc lieu à une seule occurrence d’événement
interne, certaines peuvent intégrer une structure itérative de type ”Pour
– Tout” afin de produire n occurrences d’un événement interne.
La synchronisation
La synchronisation agit au niveau des évènements avec des
opérateurs logiques : et, ou, non.
Une action peut agir sur plusieurs occurrences d’une même entité, dans
ce cas on exprimera cette action itérative par la lettre N.
Exemple:
Présentation du MCT analytiques
Objectifs
Il complète la description conceptuelle des traitements en intégrant tout
ce qui est d’ordre organisationnel dans le domaine étudié.
Concepts
Le Modèle Organisationnel des Traitements est basé sur trois concepts
principaux :
1. L’événement,
2. La phase ou procédure,
3. Le résultat.
Il existe plusieurs représentations ou formalismes du Modèle
Organisationnel des Traitements en voici un exemple :
Le MOT: Exemple
Introduction
TPE N° 2 :
Définition
On dit que la dépendance fonctionnelle A → B est directe s’il n’existe
aucun attribut C tel que l’on puisse avoir A → C et C → B. En d’autres
termes, cela signifie que la dépendance fonctionnelle entre A et B ne peut
pas être obtenue par transitivité.
exemple :
NumClasse → NumElève
NumEleve → NomElève
NumClasse → NomElève
Résolution du cas
Numcli → Nom
Numcli → Prénom ...
Rappel
Les dépendances fonctionnelles ne concernent que les données non
déduites. C’est pour cela que n’apparaissent pas les données concernant
le total par ligne et le total global de la facture qui sont des informations
déduites par calcul.
Introduction au MCD
Les propriétés
Les propriétés sont les informations de base du système d’information.
C’est une donnée élémentaire, également appelée ”Attribut”, qui sert à
caractériser les entités et les associations.
Les propriétés
Les propriétés sont les informations de base du système d’information.
C’est une donnée élémentaire, également appelée ”Attribut”, qui sert à
caractériser les entités et les associations.
Les propriétés
Les propriétés sont les informations de base du système d’information.
C’est une donnée élémentaire, également appelée ”Attribut”, qui sert à
caractériser les entités et les associations.
Chaque propriété doit figurer une seule fois sur le modèle conceptuel
(principe de non- redondance). Il faut éviter l’emploi de synonymes et de
polysémies (mot présentant plusieurs sens) pour les attributs. Les mots
réservés sont à proscrire.
MUNGUAGANZE BWIRACHIZA Christian METHODES D’ANALYSE INFORMATIQUE (MAI): MERISE
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD) Des données aux dépendances fonctionnelles
LE MODELE LOGIQUE DES DONNÉES (MLD) LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD)
LE MODELE PHYSIQUE DES DONNÉES (MPD)
L’identifiant
Une de ces propriétés a un rôle bien précis, c’est l’identifiant nommé
aussi la clé.
L’identifiant permet de connaı̂tre de façon sûre et unique l’ensemble des
propriétés qui participent à l’entité. Par exemple, le fait de connaı̂tre la
ville d’un client permet-il de connaı̂tre son nom ? La réponse est non.
L’identifiant
Une de ces propriétés a un rôle bien précis, c’est l’identifiant nommé
aussi la clé.
L’identifiant permet de connaı̂tre de façon sûre et unique l’ensemble des
propriétés qui participent à l’entité. Par exemple, le fait de connaı̂tre la
ville d’un client permet-il de connaı̂tre son nom ? La réponse est non.
Il faut donc trouver, ou inventer, une propriété qui lorsque sa valeur est
connue permet la connaissance de l’ensemble des valeurs qui s’y
rattachent de façon formelle.
Au niveau du formalisme, l’identifiant est souligné. Voici le schéma
modifié de l’entité Clients.
Les cardinalités:
Les cardinalités expriment le nombre de fois ou l’occurrence d’une entité
participe aux occurrences de la relation (association).
C’est un couple de valeurs (minimum, maximum) indiqué à l’extrémité de
chaque lien d’une association. Il caractérise la nature de l’association en
fonction des occurrences des entités concernées.
Les cardinalités:
Les cardinalités:
Il faut que nous nous posions les mêmes questions pour l’article :
▶ Combien de fois au minimum un article peut-il être commandé par
un client ?
▶ Combien de fois au maximum un article peut-il être commandé par
un client ?
MUNGUAGANZE BWIRACHIZA Christian METHODES D’ANALYSE INFORMATIQUE (MAI): MERISE
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD) Des données aux dépendances fonctionnelles
LE MODELE LOGIQUE DES DONNÉES (MLD) LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD)
LE MODELE PHYSIQUE DES DONNÉES (MPD)
Les cardinalités:
Pour le minimum, nous pouvons l’interpréter de la façon suivante :
A-t-on des articles qui ne peuvent jamais être commandés ? Si nous
répondons oui dans ce cas la cardinalité minimale est 0.
Les cardinalités:
Pour le minimum, nous pouvons l’interpréter de la façon suivante :
A-t-on des articles qui ne peuvent jamais être commandés ? Si nous
répondons oui dans ce cas la cardinalité minimale est 0.
Pour le maximum :
A-t-on des articles qui peuvent être commandés plusieurs fois ? Nous
pouvons espérer que oui, dans ce cas la cardinalité maximale sera n.
Voici le schéma finalisé :
Remarque
Si le maximum est connu, il faut inscrire sa valeur. Par exemple, si dans
les règles de gestion le client n’a le droit de commander qu’un maximum
de 3 articles en tout et pour tout, dans ce cas là les cardinalités
s’exprimeront de cette façon : 1,3.
Attention
Tout est question d’interprétation. Au sein d’une équipe de
développement, il peut y avoir des divergences de point de vue. Pour les
cardinalités, il faut être le plus logique possible, se référer aux règles de
gestion édictées par le commanditaire de l’application et se rappeler la
maxime suivante : ”Qui peut le plus peut le moins”.
Une relation réflexive est une relation d’une entité sur elle-même.
Par exemple, on désire modéliser le fait qu’un employé peut diriger
d’autres employés.
MCD : Exercice
Dans ce cas l’entité forte est l’entité Mères et l’entité faible est l’entité
Enfants.
MUNGUAGANZE BWIRACHIZA Christian METHODES D’ANALYSE INFORMATIQUE (MAI): MERISE
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD) Des données aux dépendances fonctionnelles
LE MODELE LOGIQUE DES DONNÉES (MLD) LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD)
LE MODELE PHYSIQUE DES DONNÉES (MPD)
Nous pouvons lire qu’une salle peut contenir zéro ou plusieurs ordinateurs
et qu’un ordinateur existe dans une et une seule salle. Dans le cas d’une
association binaire comme celle-ci, une contrainte d’intégrité
fonctionnelle existe à partir du moment ou une cardinalité de type
1,1 existe.MUNGUAGANZE BWIRACHIZA Christian METHODES D’ANALYSE INFORMATIQUE (MAI): MERISE
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD) Des données aux dépendances fonctionnelles
LE MODELE LOGIQUE DES DONNÉES (MLD) LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNÉES (MCD)
LE MODELE PHYSIQUE DES DONNÉES (MPD)
Exemple
MCD
NB
La conception du MCD est l’une des phases les plus importantes, il est
évident qu’il faut y passer du temps. Il faut savoir aussi que plus vous
pratiquerez les modèles conceptuels plus vous serez à l’aise.
N’hésitez pas à faire et refaire les exercices dans le livre de Michel Diviné
intitulé ”MERISE:Soixante affaires classées” pour vous perfectionner.
Introduction au MLD
Le Modèle Logique des Données (MLD) est la suite normale du processus
Merise.
Son but est de nous rapprocher au plus près du modèle physique. Pour
cela, nous partons du Modèle Conceptuel des Données et nous lui
enlevons les relations, mais pas n’importe comment, il faut en effet
respecter certaines règles. Voici la procédure à suivre.
1. Cas des cardinalités (0, n), (1,1) ou (1,n), (0,1)
Exemple
Introduction au MLD
Exemple concret
Béatrice BAPTISTE a trois enfants : Amandine, Cédric, Sylvain. Patricia
AUGUY a deux enfants : Mathilde et Lucie. Sandrine BAPTISTE a
quatre enfants : Ophélie, Olivia, Lucie et Tom.
Autre exemple :
Un ou plusieurs étudiants inscrits dans un ou plusieurs cours.
D’où l’importance de savoir analyser les énoncés pour retenir les données
essentielles, comprendre les règles de gestion, produire le dictionnaire de
données ainsi que le graphe des dépendances fonctionnelles ainsi que le
modèle conceptuel de données suivant les énoncés de chaque cas
sous-étude.
Introduction