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ACCORD-CADRE DE TRAVAUX
Marché n° 2024-0001
Personne habilitée à donner les renseignements relatifs aux nantissements et cessions de créances :
Madame la Directrice des finances et des achats publics
Comptable assignataire des paiements : Madame la Trésorière du Service de Gestion Comptable d’Ivry-sur-
Seine
Il s’agit d’un accord cadre mono-attributaire qui s'exécute au fur et à mesure de l'émission de bons de
commande.
Les prestations feront l’objet de l’émission de bons de commandes pour toutes les opérations.
2. Développement durable
Les conditions d'exécution des prestations comportent des éléments à caractère environnemental.
La Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge étant particulièrement sensible à l’aspect environnemental des
supports employés dans l’exécution des prestations du marché, le titulaire doit se conformer au minimum
aux stipulations environnementales suivantes :
• L’aspect du chantier ;
• La réduction des émissions sonores ;
• La gestion des déchets du chantier ;
• Les rejets temporaires d’eaux de chantier ;
• La pollution de l’air et du sol.
Lors de la remise des offres, chaque candidat décrira les mesures environnementales et le programme qu’il
se propose d’adopter pour l’exécution de ce marché.
3. Pièces contractuelles
Les pièces contractuelles de l'accord-cadre sont les suivantes et, en cas de contradiction entre leurs
stipulations, prévalent dans cet ordre de priorité :
4. Intervenants
4.1. Désignation de l'acheteur
Nom de l'organisme : la Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge (RESO)
Les prestations sont soumises à des mesures de sécurité conformément à l'article 5.3 du CCAG-Travaux.
Le titulaire doit informer ses sous-traitants des obligations de confidentialité et/ou des mesures de sécurité.
Si le titulaire considère qu'une instruction constitue une violation du règlement européen ou du droit de
l'Union ou du droit des États membres relatif à la protection des données, il en informe immédiatement
l'acheteur. En outre, si le titulaire est tenu de procéder à un transfert de données vers un pays tiers ou à
une organisation internationale, il doit informer l'acheteur avant le traitement, sauf si le droit concerné
interdit une telle information pour des motifs importants d'intérêt public.
Le sous-traitant ultérieur est tenu de respecter les obligations du présent contrat pour le compte et selon
les instructions de l'acheteur. Il appartient au titulaire de s'assurer que celui-ci présente les mêmes
garanties suffisantes quant à la mise en œuvre de mesures techniques et organisationnelles appropriées.
Le titulaire demeure pleinement responsable devant l'acheteur de l'exécution par le sous-traitant ultérieur
de ses obligations.
Lorsque les personnes concernées exercent auprès du titulaire des demandes d'exercice de leurs droits, le
titulaire doit adresser ces demandes dès réception par courrier électronique à :
dporegieseau@grandorlyseinebievre.fr
Cette notification est accompagnée de toute documentation utile afin de permettre à l'acheteur, si
nécessaire, de notifier cette violation à l'autorité de contrôle compétente.
Si, et dans la mesure où il n'est pas possible de fournir toutes ces informations en même temps, les
informations peuvent être communiquées de manière échelonnée sans retard indu.
Après accord de l'acheteur, le titulaire communique, au nom et pour le compte l'acheteur, la violation de
données à caractère personnel à la personne concernée dans les meilleurs délais, lorsque cette violation
est susceptible d'engendrer un risque élevé pour les droits et libertés d'une personne physique.
La communication à la personne concernée décrit, en des termes clairs et simples, la nature de la violation
de données à caractère personnel et contient au moins les mêmes éléments que la notification ci-dessus.
6.2.5. Aide du titulaire dans le cadre du respect par l'acheteur de ses obligations
Le titulaire aide l'acheteur pour la réalisation d'analyses d'impact relative à la protection des données ainsi
que pour la réalisation de la consultation préalable de l'autorité de contrôle.
- Le nom et les coordonnées du responsable de traitement pour le compte duquel il agit, des éventuels
autres prestataires et, le cas échéant, du délégué à la protection des données,
- Les catégories de traitements effectués pour le compte de l'acheteur,
- Le cas échéant, les transferts de données à caractère personnel vers un pays tiers ou à une organisation
internationale, y compris l'identification de ce pays tiers ou de cette organisation internationale et les
documents attestant de l'existence de garanties appropriées le cas échéant,
- Une description générale des mesures de sécurité techniques et organisationnelles, y compris entre
autres, selon les besoins :
- La pseudonymisation et le chiffrement des données à caractère personnel ;
- Des moyens permettant de garantir la confidentialité, l'intégrité, la disponibilité et la résilience
constantes des systèmes et des services de traitement ;
- Des moyens permettant de rétablir la disponibilité des données à caractère personnel et l'accès à celles-
ci dans des délais appropriés en cas d'incident physique ou technique ;
- Une procédure visant à tester, à analyser et à évaluer régulièrement l'efficacité des mesures techniques
et organisationnelles pour assurer la sécurité du traitement.
6.2.11. Documentation
Le titulaire met à la disposition de l'acheteur, la documentation nécessaire pour démontrer le respect de
toutes ses obligations et pour permettre la réalisation d'audits, y compris des inspections, par l'acheteur ou
un autre auditeur qu'il a mandaté, et contribuer à ces audits.
Une prolongation du délai d'exécution peut être accordée par l’entité adjudicatrice dans les conditions de
l'article 18.2 du CCAG-Travaux.
7.2. Reconduction
L'accord-cadre est reconduit tacitement chaque année jusqu'à son terme. Le nombre de périodes de
reconduction est fixé à 3. La durée de chaque période de reconduction est de 1 an. La durée maximale du
contrat, toutes périodes confondues, est de 4 ans.
La reconduction est considérée comme acceptée si aucune décision écrite contraire n'est prise par l’entité
adjudicatrice au moins 3 mois avant la fin de la durée de validité de l'accord-cadre. Le titulaire ne peut pas
refuser la reconduction.
En vue de l’application éventuelle de l’article 19 du CCAG Travaux, les délais d’exécution des travaux
seront prolongés d’un nombre égal à celui pendant lequel un au moins des phénomènes naturels dépassera
les intensités et durées limites, constatées à la station météorologique la plus proche, après déduction du
nombre de jours d’intempéries prévisibles mentionnés.
La demande du titulaire devra être présentée à la Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge avant l'expiration
du délai contractuel et avant l'expiration de la période de circonstances exceptionnelles et la justifiera au
regard des difficultés rencontrées.
8. Prix
8.1. Contenu et caractère des prix
Les prix sont réputés comprendre toutes les dépenses résultant de l'exécution des travaux, y compris les
frais généraux, impôts et taxes, et assurer au titulaire une marge pour risques et bénéfice. Toutefois, les
prix sont indiqués dans le marché hors taxe à la valeur ajoutée (TVA).
A l'exception des seules sujétions mentionnées dans le marché comme n'étant pas couvertes par les prix,
ceux-ci sont réputés tenir compte de toutes les sujétions d'exécution des travaux qui sont normalement
prévisibles dans les conditions de temps et de lieu où s'exécutent ces travaux, que ces sujétions résultent
notamment :
• De l'utilisation du domaine public et du fonctionnement des services publics ;
• De phénomènes naturels ;
• De la présence de canalisations, conduites et câbles de toute nature, ainsi que des chantiers
nécessaires au déplacement ou à la transformation de ces installations ;
• Des coûts résultant de l'élimination des déchets de chantier ;
• De la réalisation simultanée d'autres ouvrages.
Les prix sont réputés avoir été établis en considérant qu'aucune prestation n'est à fournir par le maître de
l'ouvrage.
Le titulaire ne pourra donc se prévaloir sous aucun prétexte et dans aucun cas, à une allocation ou
indemnité, ni à aucun supplément ou remboursement en dehors des prix fixés pour les ouvrages de toute
espèce, attendu que ces prix ont été déterminés en conséquence et comprennent tous les frais que le
maître de l’ouvrage entend allouer pour l’exécution parfaite des ouvrages, conformément aux règles de
l’art.
Les prix tiennent compte des dépenses liées aux mesures particulières concernant la sécurité et la
protection de la santé, de la notification du marché à l'expiration du délai de garantie de parfait
achèvement.
Les prix sont révisés annuellement pour les prestations à bons de commandes (prix unitaires) par application
d'un coefficient Cn donné par la formule :
Le mois " n " retenu pour la révision est le mois de réalisation des prestations.
La révision définitive des prix interviendra sur le premier acompte suivant la publication de la valeur finale
de l'index correspondant. Aucune variation provisoire ne sera effectuée.
L'index de référence, publié(s) au Moniteur des Travaux Publics ou par l'INSEE, est l'index TP10a « Index
Travaux Publics - Canalisations, assainissement et adduction d’eau avec fourniture de tuyaux - Base 2010 ».
En cas d’urgence, la commande des prestations pourra se faire sur simple appel téléphonique. Dans ce cas,
l’appel vaut bon de commande et celui-ci sera confirmé par un bon de commande papier (fax, mail ou
courrier).
Le titulaire du présent marché disposera d’un délai maximum de 72 heures à compter de la demande du
maître d’ouvrage pour remettre un devis estimatif des travaux envisagés.
Le devis reprendra de façon détaillée les prix du bordereau affectés des quantités estimées et les montants
éventuels des révisions de prix aux dates d’échéance.
Les bons de commande sont émis au fur et à mesure de l’apparition des besoins de l’entité adjudicatrice.
Les bons de commande sont notifiés au titulaire dans les conditions suivantes. Les notifications par voie
électronique sont possibles et seront adressées au titulaire à une adresse électronique sécurisée et valide,
qu’il aura pris soin de communiquer au représentant de l’entité adjudicatrice avant le démarrage de
l’exécution des prestations. Il appartient au titulaire de veiller au bon fonctionnement du dispositif de
réception des courriels et d’en assurer la relève régulière.
Aucun frais supplémentaire ne pourra être exigé par le titulaire au titre de la mise en œuvre de ce moyen
de communication.
9. Garanties Financières
Aucune clause de garantie financière ne sera appliquée.
10. Avance
L'option retenue pour le calcul de l'avance est l'option B du CCAG - Travaux.
Le montant de l'avance est fixé à 15,0 % du montant du bon de commande si la durée de son exécution est
inférieure ou égale à douze mois ; si cette durée est supérieure à douze mois, l'avance est égale à 15,0 %
d'une somme égale à douze fois le montant du bon de commande divisé par cette durée exprimée en mois.
Le remboursement de l'avance commence lorsque le montant des prestations exécutées par le titulaire
atteint ou dépasse 65,0 % du montant du bon de commande. Il doit être terminé lorsque ledit montant
atteint 80,0 %.
Ce remboursement s'effectue par précompte sur les sommes dues ultérieurement au titulaire à titre
d'acompte ou de solde.
Le montant de cette avance, ses modalités de versement et de remboursement sont identiques à ceux
énoncés ci-avant pour le titulaire du marché. Ce montant ne peut pas être modifié par avenant.
Le remboursement de l’avance commence lorsque le montant des prestations exécutées, qui figure dans
un décompte mensuel, atteint 65 % du montant de la commande.
Le remboursement doit être terminé lorsque ce pourcentage atteint 80 %. Le remboursement s’effectue
par précompte sur les sommes dues ultérieurement au titulaire à titre d’acomptes ou de solde.
En cas de groupement d'opérateurs économiques, la part de l'avance est rapportée au montant des
prestations individualisées par membre, et le taux de l'avance est déterminé au regard de la taille
d'entreprise de chacun des membres. A défaut, l'avance est versée sur le compte du groupement ou du
mandataire qui aura la charge de la répartir entre les membres du groupement.
Une avance peut être versée, sur leur demande, aux sous-traitants bénéficiaires du paiement direct suivant
les mêmes dispositions que celles applicables au titulaire de l'accord-cadre, avec les particularités
détaillées aux articles R. 2191-6, R. 2193-10 et R. 2193-17 à R. 2193-21 du Code de la commande publique.
Les demandes de paiement seront transmises par voie dématérialisée, via Chorus Pro.
La solution technique mutualisée et gratuite aux entreprises, aux collectivités locales et établissements
publics mise en place par les services de l'Etat, intitulée Chorus Pro, permet le dépôt, la réception, la
transmission des factures électroniques et leur suivi, elle est mise gratuitement à la disposition des
fournisseurs.
La transmission des factures via cette solution est obligatoire pour les grandes entreprises, les personnes
publiques et les entreprises de taille intermédiaire.
N° SIRET Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge : 923 719 496 00013
Outre les mentions légales, les factures électroniques transmises par le titulaire et le(s) sous-traitant(s)
admis au paiement direct comportent les mentions suivantes :
1. La date d'émission de la facture ;
2. La désignation de l'émetteur et du destinataire de la facture ;
3. Le numéro unique basé sur une séquence chronologique et continue établie par l'émetteur de la
facture, la numérotation pouvant être établie dans ces conditions sur une ou plusieurs séries ;
4. En cas de contrat exécuté au moyen de bons de commande, le numéro du bon de commande ou,
dans les autres cas, le numéro de l'engagement généré par le système d'information financière et
comptable de l'entité publique ;
5. Le code d'identification du service en charge du paiement ;
6. La date de livraison des fournitures ou d'exécution des services ou des travaux ;
7. La quantité et la dénomination précise des produits livrés, des prestations et travaux réalisés ;
8. Le prix unitaire hors taxes des produits livrés, des prestations et travaux réalisés ou, lorsqu'il y a
lieu, leur prix forfaitaire ;
9. Le montant total hors taxes et le montant de la taxe à payer, ainsi que la répartition de ces montants
par taux de taxe sur la valeur ajoutée, ou, le cas échéant, le bénéfice d'une exonération ;
10. Le cas échéant, les modalités particulières de règlement ;
11. Le cas échéant, les renseignements relatifs aux déductions ou versements complémentaires.
Elles comportent également le numéro d'identité de l'émetteur (ou à défaut, son identifiant) et celui du
destinataire de la facture.
Le dépôt, la transmission et la réception des factures électroniques sont effectués exclusivement sur le
portail de facturation Chorus Pro. Lorsqu'une facture est transmise en dehors de ce portail, la personne
publique peut la rejeter après avoir rappelé cette obligation à l'émetteur et l'avoir invité à s'y conformer.
La date de réception d'une demande de paiement transmise par voie électronique correspond à la date de
notification du message électronique informant l'acheteur de la mise à disposition de la facture sur le portail
de facturation (ou, le cas échéant, à la date d'horodatage de la facture par le système d'information
budgétaire et comptable de l'Etat pour une facture transmise par échange de données informatisé).
En cas de retard de paiement, le titulaire a droit au versement d'intérêts moratoires, ainsi qu'à une
indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement d'un montant de 40 €. Le taux des intérêts moratoires est
égal au taux d'intérêt appliqué par la Banque centrale européenne à ses opérations principales de
refinancement les plus récentes, en vigueur au premier jour du semestre de l'année civile au cours duquel
les intérêts moratoires ont commencé à courir, majoré de huit points de pourcentage.
En cas de cotraitance, si le titulaire qui a conclu le contrat de sous-traitance n'est pas le mandataire du
groupement, ce dernier doit également valider la demande de paiement.
11.5. Approvisionnements
Par dérogation à l'article 10.4 du CCAG-Travaux, il n'est pas prévu le versement d'acompte sur
approvisionnement.
La notification d'une décision, observation ou information faisant courir un délai peut être effectuée par le
biais du profil d'acheteur, conformément aux dispositions de l'article 3.1 du CCAG-Travaux.
12.1. Intervenants
Si le titulaire est établi dans un autre pays de la Communauté européenne sans avoir d’établissement en
France, il facture ses prestations hors TVA et a droit à ce que l’administration lui communique un numéro
d’identification fiscal.
Si le titulaire entend recourir aux services d’un sous-traitant étranger, la demande de sous-traitance doit
comprendre, outre les pièces prévues aux articles R2193-1 et suivants du code de la commande publique,
une déclaration du sous-traitant, comportant son identité et son adresse ainsi rédigée :
« J’accepte que le droit français soit le seul applicable et les tribunaux français seuls compétents pour
l’exécution en sous-traitance du marché n° ………… du …………. ayant pour objet ……………… ».
Sauf accord intervenu entre le Maître d’ouvrage et le titulaire sur des dispositions différentes, les
vérifications de qualité sont assurées par le Maître d’ouvrage.
Le CCTP précise quels matériaux, produits et composants de construction feront l'objet de vérifications ou
de surveillance de la fabrication, dans les usines, magasins et carrières du titulaire ou des sous-traitants et
fournisseurs, ainsi que les modalités correspondantes.
Le Maître d’ouvrage peut décider de faire exécuter des essais et vérifications en sus de ceux définis par le
marché :
• s'ils sont effectués par le titulaire, ils seront rémunérés par application d'un prix de bordereau ou
fixé conformément à l'article 13 du CCAG travaux,
• s'ils sont effectués par un tiers, ils seront rémunérés par le maître de l'ouvrage.
Le titulaire devra dresser un programme d'exécution accompagné du projet des installations de chantier et
des ouvrages provisoires, prévu à l'article 28.2 du CCAG-Travaux et le soumettre au visa soit de la Régie
des Eaux de la Seine et de l’Orge soit au Maître d'œuvre 10 jours au plus tard après la notification du bon
de commande.
A la demande du maitre d’ouvrage et préalablement à tout démarrage de chantier, il est procédé aux
opérations énoncées ci-après :
des locaux pour le personnel et de leurs accès à partir de l'entrée du chantier, leur desserte par les
réseaux d'eau, d'électricité et d'assainissement et leurs dates de réalisation) ;
• Achèvement par le titulaire des plans d'exécution des ouvrages, notes de calcul et études de détail dans
les conditions prévues à l'article 29.2 du CCAG travaux et à l'article 6.12 ci-après ;
• Établissement par le titulaire, dans les conditions prévues à l'article 28.2 du CCAG travaux, du plan
d'assurance qualité du chantier décrivant les dispositions relatives à la gestion de la qualité ;
• Établissement d'un plan particulier de sécurité et de protection de la santé après inspection commune
organisée par le coordonnateur SPS le cas échéant. Cette obligation est applicable à chaque
entrepreneur (cotraitant et sous-traitant) ;
Le titulaire est réputé avoir intégré dans son offre l’intégralité des dépenses afférentes aux installations
de chantier.
Le titulaire ne manquera pas, dans le projet des installations de chantier, de faire apparaître sur plan la
situation des locaux pour le personnel et de leurs accès à partir de l'entrée du chantier, leur desserte par
les réseaux d'eau, d'électricité et d'assainissement et leurs dates de réalisation ; ces dates devront être
telles que les conditions d'hébergement et d'hygiène sur le chantier soient toujours adaptées aux effectifs.
Ces locaux regrouperont des vestiaires, des lavabos, des douches, des sanitaires et des lieux de restauration
dont les normes seront au moins égales en nombre et en qualité à celles des règlements et des conventions
collectives en vigueur. Ils devront bénéficier de l'éclairage naturel et du chauffage.
Les accès aux locaux du personnel devront être assurés depuis l'entrée du chantier dans des conditions
satisfaisantes, en particulier du point de vue de la sécurité.
Le titulaire doit apposer, aux endroits qui lui seront indiqués, Deux (2) panneaux conformes à la charte
graphique du maître de l’ouvrage. Les dimensions de ces panneaux seront d’une taille maximum de : 3.00 m
x 2.00 m (h*l) ou 1.50m X 1.00m et placés à l’extrémité du tronçon. Les panneaux de chantier devront
respecter les prescriptions de la charte graphique. Ils seront réalisés par le titulaire et à ses frais.
Le bon à tirer sera fourni par la Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge.
En complément, le maître d’ouvrage pourra fournir des panneaux d’information de « proximité » que le
titulaire devra mettre en place et maintenir en état pendant toute la durée du chantier.
Toutefois, le titulaire reste "producteur" de ses déchets en ce qui concerne les emballages des produits qu'il
met en œuvre et les chutes résultant de ses interventions. Le titulaire doit se conformer à la réglementation
en vigueur quant à la collecte, au transport, au stockage et à l'évacuation de ses déchets. Il est également
de sa responsabilité de fournir les éléments de leur traçabilité.
Un procès-verbal des opérations préalables à la réception (PV des OPR) sera établi contradictoirement entre
le maître d’œuvre, le titulaire et le représentant du maître de l’ouvrage, à l’issue des travaux.
Au vu des opérations préalables à la réception et des remarques du maître d’œuvre, le maître de l’ouvrage
décide si la réception est ou non prononcée ou si elle est prononcée avec réserves. La date d’effet de la
réception partielle est la date du constat d’achèvement de travaux.
La réception ne peut être prononcée qu’au vu du constat de levée de toutes les non-conformités
environnementales.
Par dérogation à l’article 40 du CCAG Travaux, le titulaire devra remettre au plus tard le jour du constat
d’achèvement des travaux de la phase considérée les plans de récolement.
Le titulaire devra remettre au plus tard sous 1 mois après le jour du constat d’achèvement des travaux de
la dernière phase :
Un exemplaire du dossier des ouvrages exécutés est remis au coordonnateur SPS pour assurer la cohérence
avec le Dossier d'Intervention Ultérieure sur les Ouvrages (DIUO).
En cas de retard dans la remise des plans et autres documents à fournir après exécution par les titulaires,
une pénalité égale à 500,00 € par jour de retard est appliquée sur les sommes dues aux titulaires.
Dans ce cas, il notifie au titulaire les travaux que celui-ci doit réaliser avant de procéder à la formulation
d’une nouvelle demande de réception des ouvrages.
Le titulaire avise l’entité adjudicatrice et le maître d'œuvre de la date à laquelle ses travaux sont ou seront
considérés comme achevés ; le maître d'œuvre ou la maitrise d’ouvrage aura alors à charge de provoquer
les opérations de réception.
La clôture de chaque bon de commande a lieu à l'achèvement de l'ensemble des travaux le concernant dans
les conditions de l'article 41 du CCAG-Travaux.
13. Droit de propriété industrielle et intellectuelle
Conformément à l'article 48 du CCAG-Travaux, les résultats réalisés dans le cadre de l'accord-cadre font
l'objet d'une cession à titre non exclusif au profit de l’entité adjudicatrice. Par conséquent, le titulaire
peut utiliser les résultats pour ses propres besoins, y compris commercialement.
Toutefois, les résultats ayant pour objet d'identifier l’entité adjudicatrice, de promouvoir ses produits ou
services et ceux qui ne peuvent pas être réutilisés en raison de leur confidentialité sont cédés à titre
exclusif.
Conformément à l’article 42.3 du CCAG Travaux, la durée de garantie des travaux court à compter de la
date d’effet de leur réception partielle.
Pendant cette durée, le titulaire est tenu à une obligation, dite "obligation de parfait achèvement", dans
les conditions précisées aux articles 44.1 et 44.2 du CCAG Travaux.
En outre, le titulaire s'engage à effectuer, dans un délai d'un (1) jour ouvrable à compter de la demande
du maître d’œuvre, les interventions nécessaires au bon fonctionnement des prestations ou ouvrages
exécutés.
D'autre part, sans préjudice de ce qui précède, la responsabilité du titulaire, après réception des travaux,
est régie par l'application des principes inscrits aux articles 1792 et 2270 du code civil (garanties biennales
et décennales selon l'ouvrage).
L'entreprise titulaire du présent marché, devra réaliser une action d'insertion qui permette l'accès ou le
retour à l'emploi de personnes rencontrant des difficultés sociales ou professionnelles particulières.
• Les personnes prises en charge dans le dispositif IAE (Insertion par l’Activité Économique : AI, ETTI,
EI, ACI, régies de quartier) ;
• Les personnes prises en charge dans des dispositifs particuliers, notamment les Etablissements
Publics d’Insertion de la Défense (EPIDE) et les Ecoles de la deuxième Chance (E2C) ;
• Les personnes en parcours d’insertion au sein des groupements d’employeurs pour l’insertion et la
qualification (GEIQ) ;
• Les personnes sous-main de justice ;
• Les Demandeurs d’Emploi senior (de plus de 50 ans) éloignés de l’emploi ;
• Les habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville éloignés de l’emploi ;
• Les personnes rencontrant des difficultés particulières sur proposition motivée de Pôle emploi, des
maisons de l’emploi, des plans locaux pour l’insertion et l’emploi (PLIE), des missions locales, de
Cap emploi ou des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) et du chargé de
mission clauses de l’EPT Grand-Orly Seine Bièvre.
Le public visé par les clauses d’insertion doit donc non seulement rencontrer des freins d’accès à l’emploi
et correspondre à au moins un des critères d’éligibilité mentionné ci-dessus.
Les bénéficiaires de l’action d’insertion devront être demandeurs d’emploi, inscrits ou non au Pôle Emploi.
L’éligibilité des publics doit être établie préalablement à leur mise à l’emploi et à la réalisation des heures
d’insertion et également validée en amont par le facilitateur référent. Il pourra être demandé à cet effet
tout documents utiles attestant de l’éligibilité du public.
Une fois le montant financier du marché fixé suite à l’attribution, l’objectif d’insertion sera déterminé et
traduit en heures à réaliser, selon le calcul suivant :
(Montant du marché * taux moyen de part de main d’œuvre dans le bâtiment * taux
d’insertion) / coût moyen d’heure de main d’œuvre dans le bâtiment
Les données suivantes seront reconnues comme partagées et acceptées par les entreprises de travaux et
le donneur d’ordre :
• Dans les travaux de construction, la part de main d’œuvre varie selon les lots, il est donc appliqué
un taux moyen de 35 % de part de main d’œuvre sur le montant total du marché de travaux (*)
Le nombre d’heures d’insertion à réaliser pour ce marché sera donc calculé de la manière suivante :
L’Entreprise titulaire s’engage également à faire respecter cet engagement par ses sous-traitants éventuels.
Elle devra donc à ce titre faire figurer l’obligation minimum de 5% d’insertion dans les contrats de sous-
traitance, comme condition d’exécution du marché de sous-traitance.
L’Entreprise titulaire dans ce cas fera parvenir à cet effet les coordonnées du ou des sous-traitant(s) au
service de la Commande publique de la Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge.
La pérennisation des contrats étant l’objectif essentiel induit par les clauses d’insertion, la question de
l’embauche à l’issue ou au démarrage du contrat sera systématiquement posée.
La forme d’insertion pourra être modifiée en cours d’exécution du marché au gré du titulaire à la condition
expresse que l’effort relatif à l’insertion par l’activité économique mentionné dans l’acte d’engagement
soit respecté et uniquement avec l’agrément de l’entité adjudicatrice.
Dans les 15 jours qui suivent la notification du marché, le titulaire devra prendre contact avec le chargé
de mission clause d’insertion de l’Etablissement Public Territorial Grand-Orly Seine Bièvre.
Cette prise de contact permettra de définir quelles sont les modalités retenues par le titulaire pour la mise
en œuvre de cette clause sociale.
La forme d’insertion pourra être modifiée en cours d’exécution du marché au gré du titulaire à la condition
expresse que le taux d’effort ou le nombre minimum d’heures relatif à l’insertion par l’activité économique
mentionné dans l’acte d’engagement soit respecté et uniquement avec l’agrément de l’entité
adjudicatrice.
Les candidats ne sont pas autorisés à formuler de réserve dans leur offre sur la clause obligatoire d’insertion
par l’activité économique. Une offre qui ne satisferait pas à cette condition d’exécution sera déclarée
irrégulière au motif de non-respect du cahier des charges.
Les postes de travail à destination des publics prioritaires doivent contribuer à améliorer leur qualification
et leur employabilité. L’entreprise proposera aux personnes accueillies un encadrement adapté pendant
toute la durée de leur contrat, par exemple en nommant un tuteur référent.
Concrètement, une réunion de mise au point de l’engagement d’insertion devra se tenir dans les 15 jours
suivant l’attribution du présent marché entre l’entreprise titulaire, le référent facilitateur, l’EPT Grand-
Orly Seine Bièvre et la Régie des Eaux de la Seine et de l’Orge, afin que les trois parties finalisent ensemble
dans le cadre exposé ci-avant, les modalités concrètes de mise en œuvre de la clause de promotion de
l’insertion et de l’emploi. La présence du responsable des ressources humaines de l’entreprise titulaire
sans être obligatoire sera appréciée.
Les offres d’emploi liées à l’exécution de la clause d’insertion doivent obligatoirement être déposées
auprès du facilitateur désigné. L’entreprise aura recours en priorité aux structures d’insertion et au service
public de l’emploi à l’échelon local, en relation avec le facilitateur référent.
Le facilitateur proposera en amont du démarrage de l’action d’insertion des candidats éligibles à la mesure
d’insertion. Aucune candidature ne sera validée, sans l’aval en amont du facilitateur référent.
L’entreprise conserve l’entière responsabilité des personnes recrutées, dans le respect des objectifs prévus
au présent article.
Si le licenciement d’une personne embauchée au titre de l’insertion intervient avant la fin du chantier,
l’entreprise doit tout mettre en œuvre pour procéder à son remplacement dans les conditions initiales et
donc, en lien avec le facilitateur référent.
De manière générale, l’entreprise titulaire devra entretenir un contact régulier avec le facilitateur référent
et les services du Maître d’ouvrage pour le suivi des personnes et des embauches et leur fournir tous
renseignements utiles.
A cette fin, l’entreprise titulaire désignera un correspondant opérationnel pour le suivi des actions
d’insertion. Ces questions pourront faire l’objet de points à l’ordre du jour des réunions de chantier.
À cet effet, il produit sur demande tous les renseignements utiles (date d’embauche, nombre d’heures
réalisées, type de contrat, poste occupé, encadrement technique, accompagnement socioprofessionnel,
formation…) propres à permettre le contrôle régulier de l’exécution de la clause et son évaluation.
Il sera procédé, par tous moyens, au contrôle de l'exécution de l'action d'insertion pour laquelle le titulaire
s'est engagé.
À la demande du Maître d'œuvre ou du Maître d'ouvrage, l’entreprise transmettra, pour son compte comme
pour les Entreprises de travail temporaire auxquelles elle aurait recours et pour ses sous-traitants, un bilan
mensuel du nombre d’heures totales réalisées et du nombre d’heures effectuées par les publics, ainsi que,
la nature des contrats signés, du contenu des actions d’accompagnement, d’orientation professionnelle et
de formation réalisées.
De plus, dans le cas de recrutements directs l’entreprise devra fournir les attestations nécessaires pour le
suivi des heures. Dans le cas du recours à une structure d’insertion, l’entreprise titulaire devra fournir les
éléments justifiant de son embauche et du volume d’heures effectuées.
En tout état de cause l’entreprise titulaire doit, sous huitaine, informer le maître d’ouvrage par courrier
recommandé avec AR, si elle rencontre des difficultés pour respecter son engagement.
Dans ce cas, le facilitateur référent étudiera avec l’entreprise, les moyens à mettre en œuvre pour parvenir
aux objectifs.
Ces justificatifs devront dans tous les cas être fournis à l'appui du décompte général définitif.
À l'issue de la prestation, l'entreprise titulaire du marché s'engage à étudier toutes les possibilités
d'embauches ultérieures des personnes en insertion formées au sein de l’entreprise.
En cas de manquement grave du titulaire à son engagement d'insertion, le maître d'ouvrage peut procéder
à la résiliation du marché.
Si l’entreprise titulaire ne respecte pas son engagement d’insertion, elle encourt, sans mise en demeure
préalable, une pénalité financière prévue à l’article 16.14 du présent CCAP.
Si une partie des prestations est sous-traitée, le titulaire du présent marché s’engage à faire respecter
l’engagement d’insertion par l’activité économique par son sous-traitant. En tant qu’entreprise principale,
il reste responsable globalement de l’exécution du présent marché.
16. Pénalités
16.1. Pénalités de retard
Lorsque le délai contractuel d'exécution ou de livraison est dépassé, par le fait du titulaire, celui-ci encourt,
par jour de retard, une pénalité fixée à 500,00 €.
Par dérogation à l'article 19.2.1 du CCAG-Travaux, il n'est prévu aucune exonération à l'application des
pénalités de retard.
Conformément aux stipulations de l'article 19.2.2 du CCAG-Travaux, le montant total des pénalités de
retard est plafonné à 10,0 % du montant du marché, de la tranche ou du bon de commande.
Les pénalités de retard sont appliquées sans mise en demeure préalable du titulaire.
Le montant de cette pénalité ne pourra toutefois pas excéder le montant des amendes prévues à titre de
sanction pénale par le Code du travail en matière de travail dissimulé.
Toutefois et plus précisément, pour un défaut de balisage ou de nettoyage, le titulaire du marché encourt
une pénalité de 500€ par constat et une plus-value de 500€ par jour calendaire sera appliquée pour tout
retard afin de remédier au défaut constaté.
Les raccordements aux extrémités des tronçons renouvelés seront réalisés dans les conditions suivantes :
Chaque étape donnera lieu à un constat contradictoire entre les parties, mentionnant explicitement les
heures et conditions de mise à disposition.
Par ailleurs, en cas d’anomalie constatée sur le(s) raccordement(s) qui nécessiterai(en)t un nouvel arrêt
d’eau, il sera appliqué au titulaire une pénalité de 500 € par arrêt d’eau.
16.6. Pénalités liées au retard dans la remise de documents prévus par le marché
En cas de retard dans la remise des documents prévus par le marché (documents d’exécution, documents
du dossier des ouvrages exécutés, dont les plans de récolement), il est fait application d'une pénalité d'un
montant forfaitaire de 500 euros par jour calendaire de retard et par document. La retenue est opérée du
simple fait de la constatation du retard.
En cas de fourniture de documents dont la qualité ne permet pas la poursuite du déroulement des études,
ceux-ci seront considérés comme non fournis et les pénalités seront appliquées en conséquence.
• Les retards dans la remise de renseignements et de documents à 150,00 € par jour calendaire de
retard,
• Les manquements ou retards dans l’application sur le chantier de dispositions demandées par le
coordonnateur de sécurité à 500,00 € par jour calendaire de retard,
• Les manquements aux règles de sécurité, sur simple constat du maître d’œuvre ou du coordonnateur
de sécurité, à 150,00 € par manquement sans limitation du nombre dans la journée,
• Le retard aux réunions auxquelles le titulaire est convoqué à 100,00 € par réunion,
• L’absence aux réunions auxquelles le titulaire est convoqué à 500,00 € par absence.
Le décompte final de ces pénalités sera remis par le coordonnateur sécurité au maître d’œuvre, à qui il
appartiendra d’établir les pénalités éventuelles sur les situations de travaux des entreprises concernées.
Le montant du marché est celui qui résulte du montant initial éventuellement modifié par avenants.
Ces pénalités sont opérées sur les derniers décomptes mensuels. Elles sont appliquées sans mise en demeure
préalable.
En cas de défaut caractérisé de transmission des bilans mensuels et du bilan final, l’entreprise subira, après
mise en demeure préalable d’une durée librement fixée par le maître d’ouvrage, une pénalité de 150 euros
HT par jour de retard.
17. Assurances
Conformément aux dispositions de l'article 8 du CCAG-Travaux, tout titulaire (mandataire et cotraitants
inclus) doit justifier, dans un délai de 15 jours à compter de la notification du contrat et avant tout
commencement d'exécution, qu'il est titulaire des contrats d'assurances, au moyen d'une attestation
établissant l'étendue de la responsabilité garantie.
En cas de résiliation de l'accord-cadre pour motif d'intérêt général par l’entité adjudicatrice, le titulaire
ne percevra aucune indemnisation.
En cas d'inexactitude des documents et renseignements mentionnés aux articles R. 2143-3 et R. 2143-6 à
R. 2143-10 du Code de la commande publique, ou de refus de produire les pièces prévues aux articles R.
1263-12, D. 8222-5 ou D. 8222-7 ou D. 8254-2 à D. 8254-5 du Code du travail conformément à l'article R.
2143-8 du Code de la commande publique, le contrat sera résilié aux torts du titulaire.
L’entité adjudicatrice renonce à la possibilité de faire exécuter par un tiers les prestations aux frais et
risques du titulaire.
L’entité adjudicatrice adresse à l'administrateur ou au liquidateur une mise en demeure lui demandant s'il
entend exiger l'exécution de l'accord-cadre. En cas de redressement judiciaire, cette mise en demeure est
adressée au titulaire dans le cas d'une procédure simplifiée sans administrateur si, en application de l'article
L627-2 du Code de commerce, le juge commissaire a expressément autorisé celui-ci à exercer la faculté
ouverte à l'article L622-13 du Code de commerce.
En cas de réponse négative ou de l'absence de réponse dans le délai d'un mois à compter de l'envoi de la
mise en demeure, la résiliation de l'accord-cadre est prononcée. Ce délai d'un mois peut être prolongé ou
raccourci si, avant l'expiration dudit délai, le juge commissaire a accordé à l'administrateur ou au
liquidateur une prolongation, ou lui a imparti un délai plus court.
Tous les documents, inscriptions sur matériel, correspondances, demandes de paiement ou modes d'emploi
doivent être entièrement rédigés en langue française ou accompagnés d'une traduction en français,
certifiée conforme à l'original par un traducteur assermenté.
20. Dérogations
• L'article 6.2 du CCAP déroge à l'article 18.1.1 du CCAG - Travaux
• L'article 7.2 du CCAP déroge à l'article 9.4.4 du CCAG - Travaux
• L'article 10.1 du CCAP déroge al.4 de l'article 12.4.2 du CCAG - Travaux
• L'article 11.6.3 du CCAP déroge à l'article 40 du CCAG - Travaux
• L'article 13 du CCAP déroge à l'article 44.1 du CCAG - Travaux
• L'article 14.1 du CCAP déroge à l'article 19.2 du CCAG - Travaux
• L'article 14.1 du CCAP déroge à l'article 19.2.1 du CCAG - Travaux
• L'article 14.1 du CCAP déroge à l'article 19.2.4 du CCAG - Travaux
• L'article 16.1 du CCAP déroge à l'article 50.4 du CCAG - Travaux
• L'article 16.1 du CCAP déroge à l'article 41.6 du CCAG – Travaux