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Femmes battues, Halte à la violence conjugale !

Le 08 mars est la journée mondiale de la femme. Étonnante célébration ! Un jour par an pour appréhender la
situation de la moitié (un peu plus même) de l’humanité. Même si elle occupe un poste de haute responsabilité,
la femme continue à subir le pire des abus : la violence conjugale.
Avez-vous déjà vu une femme qui se tord de douleur sous les coups de pieds de son mari ? Un crime vieux
comme le monde, l’un des moins connus parce que longtemps occulté par le poids des traditions et des préjugés
mais aussi et surtout masqué par le silence des victimes et l’indifférence des autres. Là où il devrait y avoir de
l’indignation, nous ne voyons que la négation et l’acceptation du problème.
En aucun cas le comportement d’une femme ne saurait justifier ni provoquer la violence. En effet, aucune
femme ne mérite d’être battue, bousculée ou brutalisée de quelque manière que ce soit.
Rappelons que la principale cause de décès ou d’invalidité d’une femme entre 16 et 44 ans, avant le cancer et
les accidents de la route, reste la violence conjugale.
De plus, les femmes ne sont pas masochistes et ne tirent nullement plaisir de la douleur physique et des
menaces.
Les actes de violence contre les femmes sont souvent considérés comme un ordre naturel relatif aux
prérogatives masculines. Toutefois, un homme qui castagne sa femme met toute la famille en péril. Selon Mme
Charlotte Bunch(coordinatrice de la campagne mondiale en faveur des droits fondamentaux des femmes) des
millions d’enfants vivent en danger entre un père violent et une mère souffre-douleur.
Il reste donc à espérer que viendra un jour où les femmes battues ne seront plus résignées et où la violence
conjugale ne sera plus une fatalité.
D’après Deborah Sinclair.
In « guide de formation pour les conseillers sociaux ».

Femmes battues, Halte à la violence conjugale !

Le 08 mars est la journée mondiale de la femme. Étonnante célébration ! Un jour par an pour appréhender
la situation de la moitié (un peu plus même) de l’humanité. Même si elle occupe un poste de haute
responsabilité, la femme continue à subir le pire des abus : la violence conjugale.
Avez-vous déjà vu une femme qui se tord de douleur sous les coups de pieds de son mari ? Un crime vieux
comme le monde, l’un des moins connus parce que longtemps occulté par le poids des traditions et des préjugés
mais aussi et surtout masqué par le silence des victimes et l’indifférence des autres. Là où il devrait y avoir de
l’indignation, nous ne voyons que la négation et l’acceptation du problème.
En aucun cas le comportement d’une femme ne saurait justifier ni provoquer la violence. En effet, aucune
femme ne mérite d’être battue, bousculée ou brutalisée de quelque manière que ce soit.
Rappelons que la principale cause de décès ou d’invalidité d’une femme entre 16 et 44 ans, avant le cancer et
les accidents de la route, reste la violence conjugale.
De plus, les femmes ne sont pas masochistes et ne tirent nullement plaisir de la douleur physique et des
menaces.
Les actes de violence contre les femmes sont souvent considérés comme un ordre naturel relatif aux
prérogatives masculines. Toutefois, un homme qui castagne sa femme met toute la famille en péril. Selon Mme
Charlotte Bunch(coordinatrice de la campagne mondiale en faveur des droits fondamentaux des femmes) des
millions d’enfants vivent en danger entre un père violent et une mère souffre-douleur.
Il reste donc à espérer que viendra un jour où les femmes battues ne seront plus résignées et où la violence
conjugale ne sera plus une fatalité.
D’après Deborah Sinclair.
In « guide de formation pour les conseillers sociaux ».

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