CONFORT AÉRAULIQUE

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 Ventilation

•Ventilation hygiénique dite

sanitaire
•Ventilation de confort
•Ventilation de refroidissement

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 Confort aéraulique
• Nécessité de l’aération :
le but de l’aération est d’assurer un environnement
intérieur confortable, maintenant les occupants en
bonne santé. Un air sans cesse renouvelé à l’intérieur
des bâtiments est nécessaire, non seulement pour
assurer l’apport d’oxygène indispensable à la vie mais
surtout pour éliminer au fur et a mesure les différents
polluants générés dans le bâtiment et qui rendent
l’atmosphère malodorante et toxique.
En l’absence d’aération, l’oxygène est la dernière chose
qui manque. Les occupants seront d’abord
incommodés en premier lieu par une concentration
trop élevé en polluants divers, dont notamment les
odeurs la vapeur d’eau et la chaleur.

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 Confort aéraulique
La qualité de l’air intérieur est influencée
principalement par :
• L’environnement extérieur
• Les matériaux de construction :
revêtements, installations techniques, …
• L’occupation du bâtiment : respiration,
entretien, …
• Le mobilier et les appareils électroménagers

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 Effet de l’aération
L’aération a une influence sur au moins quatre
domaines de la physique du bâtiment :
• La qualité de l’air et en conséquence la santé
des occupants
• La déperdition de chaleur, donc la
consommation d’énergie
• Les problèmes d’humidité, donc la durabilité
du bâtiment
• Le confort thermique notamment les
courants d’air.

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Le confort respiratoire.

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La composition de l’air et les
besoins physiologiques.

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 Source de pollution extérieure
•Monoxyde de carbone CO
•Dioxyde de carbone gaz
carbonique CO2
•Dioxyde de souffre SO2
•Dioxyde d’azote NO2 (
SMOG)

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 Le SMOG

Vues de Pékin un jour après la pluie (à gauche) et un jour ensoleillé avec le smog (à
droite).

Smog à Kuala Lumpur en 2005 Smog à New York en 1978.

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Monoxyde de carbone

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Source de pollution intérieure

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 Humidité
•La vapeur d’eau n’est pas un polluant en
soi mais l’humidité relative va jouer un
rôle aggravant dans la qualité de l’air. En
effet, plus l’air est sec, plus les irritations
respiratoires seront favorisées et au
contraire, plus l’air est humide, plus le
développement des allergènes,
moisissures et acariens sera favorisé

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 Conditions générales pour une
bonne qualité de l’air
•Limiter l’intensité des sources polluantes
•Contrôler les débits d’air , ce qui nécessite
une enveloppe de bâtiment étanche à l’air
•Contrôler le parcours de l’air en éliminant
les polluants près des sources et en
apportant de l’air neuf là ou il est le plus
utile.

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 Gestion des sources de polluants
Il convient de :
• Ne pas introduire les sources polluantes dans
les bâtiments
• D’éliminer les polluants résiduels prés des
sources
• D’aérer fortement pendant et immédiatement
après toute activité polluante
• D’aérer de manière contrôlée pour maintenir
les polluants inévitables au-dessous de la
limite acceptable.

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 Contrôler des débits
• Le contrôle peut être manuel, par l’ouverture
des fenêtres et des grilles de ventilation ou
l’enclenchement de ventilateur.
• Il peut être piloté par une horloge, dans le cas
où la demande a un horaire fixe connu
comme dans les bureaux ou les écoles.
• Il peut être contrôlé par des capteurs de
polluants, qui règlent le débit de manière à
maintenir la concentration de ce polluant
juste en dessous d’une valeur de consigne
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 Contrôler des débits
CO2
La ventilation des locaux à pollution non spécifique (
provoquée seulement par l’homme ) peut être pilotée
par le contrôle des paramètres suivants :
• l’humidité ambiante
• la concentration en gaz carbonique
• les odeurs, ou concentrations en composés organiques
volatiles.

Fanger a mis en relation la

mesure de l’intensité des
odeurs et le pourcentage de
mécontents. Il s’est avéré que
le pourcentage de
mécontents coïncidait bien
avec la teneur en gaz
carbonique

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Gestion des fuites.

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Prises d’air

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 Les taux de renouvellement d’air
Il existe une relation entre le débit
d’air frais et le pourcentage
prévisible de personnes insatisfaites
(PPD) par la qualité de l’air ambiant.
Le graphe ci-après donne ce
pourcentage en fonction du volume
d’air de ventilation en m /h et par
occupant.

Une concentration de CO maximale de 0,15 % (ou 1 500 ppm) en volume correspond à un

renouvellement d’air de 20 m³/h par personne, soit un pourcentage prévisible d’insatisfaits de
près de 25 %. Les normes internationales suggèrent de n’admettre que 20 % maximum de
personnes insatisfaites, ce qui correspond à un renouvellement d’air de 30 m³/h par personne.
Dans des locaux à usage particulier, ces valeurs de référence peuvent être différentes : par
exemple dans une chambre d’hôpital, pour limiter les risques de contamination, il faut prendre
un renouvellement d’air de 50 m³/h par personne. Par ailleurs, lorsqu’il est permis de fumer, il
faut au minimum doubler les taux de renouvellement d’air proposés.

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Renouvellement d’air

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 VMC

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FIN