La violence

La violence est une action par laquelle la personne tente

d'établir un rapport de force avec une autre personne. La violence ne

donne pas d'importance aux besoins et aux émotions de l'autre. La

personne utilisant des comportements violents force l'autre à agir contre

son gré sans respecter ses droits. Pour nous, la violence n'est pas une

caractéristique de l'individu, mais plutôt un moyen utilisé pour atteindre

ses but. Voilà pourquoi nous parlons d'un individu utilisant des

comportements violents et non d'une personne violente.

 Les causes de violence

Violence domestique : elle prend la forme de passages à tabac douloureux ou de

critiques constantes, de dénigrement et de réprimande, ainsi que de l'absence

d'expressions de louange ou d'encouragement, en plus d'attribuer au fils ce qu'il

ne peut pas supporter ou de le forcer à réaliser ce que les parents On considère

également que la consommation d'alcool ou d'alcool par les parents ou l'un d'eux

est l'une des causes de la violence domestique, et les chercheurs ont considéré

cette cause comme l'une des causes les plus importantes de la violence. Parce

que l’éducation joue un rôle majeur dans la formation du caractère des

générations. Sentiment d'infériorité : des sentiments d'infériorité peuvent se

former à la suite d'une mauvaise éducation et d'un mauvais traitement à la

maison ou à l'école. Par conséquent, il faut faire attention à ne pas blesser les

sentiments de l’élève ou à ne pas lui faire se sentir inférieur. Car cela le poussera

à se venger d’une manière ou d’une autre. Les médias, notamment visuels :

l’accoutumance des gens aux scènes de violence et de sang, tout en glorifiant

les héros de ces scènes, conduit à la consolidation du concept d’héroïsme d’une

manière liée aux coups et à la violence.

 Contre les femmes

Les violences contre les femmes englobent l'ensemble des

comportements violents, majoritairement perpétrés par des hommes,
individuels ou collectifs, dirigés contre les femmes1. Ces violences
incluent les mariages forcés, grossesses forcées ou avortements
forcés, mutilations génitales, lapidations, défigurations à l'acide et
autres crimes d’honneur, esclavages, agressions sexuelles et violences
conjugales, violences médicales, viols d’épuration ethnique, trafic de
femmes, esclavage sexuel, privations traditionnelles ou politiquement
tolérées des droits et libertés humains fondamentaux dans la condition
féminine.

Outre les trafics criminels et les violences propres à certaines sociétés,

l'alcoolisme, la toxicomanie sont des facteurs causaux importants des
violences contre les femmes, en particulier de violences conjugales2,3.

Ce sont surtout les associations caritatives et associations

humanitaires qui se mobilisent aujourd’hui en faveur de la
reconnaissance et de la protection des victimes de persécutions
spécifiques aux femmes4
 Contre les enfants

La violence contre les enfants ne connaît pas de frontières liées à la

culture, la classe, l’éducation, les revenus ou l’origine ethnique. Elle

sévit même dans les institutions conçues pour les prendre en charge et

les protéger, dans les écoles, en ligne, mais aussi à la maison. La plupart

des filles et des garçons exposés à la violence vivent dans l’isolement, la

solitude et la peur, et ne savent pas vers qui se tourner pour obtenir de

l’aide, surtout lorsque les actes sont commis par une personne proche et

dont ils dépendent pour leur protection et leur bien-être. Les enfants les

plus jeunes sont particulièrement exposés à la violence, car ils sont

moins à même de s’exprimer et de demander de l’aide, et les dommages

causés à leur développement peuvent être irréversibles. Le sexe, le

handicap, la pauvreté ou l’origine nationale ou ethnique sont quelques-

uns des facteurs de risque qui peuvent exposer les enfants à un risque

élevé de violence.
 Contre dans les stades

Les stades semblent se transformer en creusets de violence ou pire, en

cimetières pour les passionnés. Certains spécialistes prédisent que les
phénomènes de violence iront en s'amplifiant si des mesures ne sont pas
prises dans l'immédiat. Il est donc nécessaire de se pencher sur les
facteurs qui pourraient être tenus comme responsables de cette escalade.
La violence dans les stades est un comportement agressif qui a pour but
de nuire à autrui physiquement ou verbalement. Les écriteaux racistes et
xénophobes intimident et fragilisent la sphère psychologique.
L'agression physique est une manifestation plus matérielle. Elle
s'exprime sous forme de bousculade, de jet d'objets sur le terrain,
d'attaque à l'arme blanche ou de riposte de la police et elle a comme
objectif la domination par coercition. Ainsi, les panthéons du football
moderne se font théâtre de la brutalité humaine à l'état pur et offrent au
monde entier une mise en scène d'un mal qui prend ses racines dans la
société. Dans les gradins des pelouses s'extériorise, avec toute sa force
de frappe, une souffrance collective qui ne peut se dire autrement
qu'avec de la violence.
 Sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont aujourd’hui incontournables de par leur

capacité à mettre les gens en relations. Ils permettent de mettre les

distances en berne et de faciliter les échanges. Ces plateformes

interactives ont donné l’opportunité de se découvrir, de lier des amitiés

et de partager des idées. La découverte des réseaux sociaux fut donc un

grand espoir pour les hommes de divers horizons de sympathiser et de

mieux se connaître. Mais cette engouement pour les réseaux sociaux va

prendre un coup du fait de la violent qui y a fait son apparition. Des

internautes de peu de foi se servent de ces canaux pour diffuser la haine.

Avides de sensations, ceux-ci n’hésitent pas à porter sur la toile des

propos injurieux, des vidéos où des photos qui ne tiennent compte

d’aucune déontologie. Notre réflexion autour de la violence sur les

réseaux sociaux nous a permis de mettre en exergue les motivations des

acteurs de cette violence

 au milieu scolaire

La violence en milieu scolaire est un problème de grande ampleur dont

les conséquences sont préjudiciables aux enfants, mais aussi à
l’ensemble de la société. La violence subie par les enfants affecte leurs
apprentissages, leur santé physique et mentale, leur personnalité et leur
avenir1.

Cette violence peut prendre des formes physiques et psychologiques

(abus, châtiments corporels, agressions verbales, violences sexuelles), et
provenir de plusieurs acteurs du milieu scolaire (enseignant, élève, etc.),
mais aussi de la famille ou encore du contexte social de l'enfant. Les
causes des violences dans le cadre scolaire sont donc multiples, comme
les normes de genre et les normes sociales ainsi que des facteurs
structurels et contextuels plus généraux comme l’inégalité des revenus,
les privations, la marginalisation et les conflits. Ces dernières sont
susceptibles de perturber plus ou moins fortement le développement et
l'épanouissement de l'enfant. On dénombre 246 millions d’enfants et
d’adolescents qui seraient victimes de violence scolaire
 Les méfaits de violence

Blessures physiques telles que contusions, contusions, brûlures, fractures

et perte de dents. Symptômes physiques tels que maux de tête

chroniques, troubles digestifs, troubles cardiovasculaires et douleurs

menstruelles sévères. Symptômes psychologiques tels que dépression,

anxiété ou idées suicidaires. Impact négatif sur les comportements liés à

la santé, tels que la consommation d'alcool, la toxicomanie ou l'abus de

drogues.
 Les types de violence

 la violence psychologique

 le harcèlement

 la violence physique

 la violence sexuelle, y compris le viol

 les mariages forcés

 les mutilations génitales féminines

 l’avortement et la stérilisation forcés

 le harcèlement sexuel

 l’aide ou la complicité et la tentative (dans la commission des

infractions établies)

 la justification inacceptable des infractions pénales, y compris les

crimes commis au nom du prétendu « honneur »