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Be 111335
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On appelle matériel de chantier tout outil manuel, mécanique ou matériel servant à la mise en
œuvre des matériaux en vue de la réalisation d’un ouvrage. Le matériel de chantier peut se
classer en quatre grandes familles.
Le matériel de terrassement ;
Le matériel de bétonnage ;
Le matériel de coffrage ;
Le matériel de manutention.
2.1.1.1. Définition
Le terrassement est l‘art de modifier la disposition d'un terrain, il s’agit en fait de toute opération
dont le but est la modification du relief d'un terrain soit par enlèvement terres (déblayage) ou
par apport des terres (Remblayage).
La solution à adopter est l’exécution des fouilles avec parois en pente « talus » tel que la pente
des talus soit inférieure à l'angle de frottement interne du sol considéré encore appelé « angle
de talus naturel ››. La pente de talus varie selon qu’il s’agisse d’un déblai ou d'un remblai.
Au cas où il est difficile de donner aux talus l’inclinaison recommandée par manque d’espace,
l'on procède au blindage des fouilles par étalement.
On distingue :
Les outils manuels de terrassement qui sont utilisés dans le cas des travaux de
terrassement de moindre importance. On cite entre autres les pelles ;
Les pics et pioches : permettent d’ameublir le sol en vue d’éventuels déblais.
Les pelles : elles ont deux formes les pelles carrées ou pelles bèches permettent
de dresser les surfaces tandis que les pelles rondes; ou pelles terrassières servent
au transvasement des terres ou à leur transport sur les courtes distances (Jets de
pelle).
Les brouettes doseuses : Elles comportent une cuve dont la capacité varie entre
50 et 60 litres, montée sur deux supports et deux leviers.
Les engins mécaniques de terrassement utilisés dans le cas des travaux de grande
envergure.
En fonction de leur domaine d'intervention, les engins mécaniques de terrassement sont classes
en quatre grandes familles :
Les engins de surface sont des tracteurs montés sur pneus ou sur chenilles comportant une lame
disposée suivant l’activité à entreprendre. Leur domaine se limite à la surface des terrains ou à
une profondeur très faible. On distingue :
Le bulldozer ou Bouteur
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La niveleuse ou Grader
Le scarificateur ou Ripper
La pelleteuse chargeuse
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Elle est équipée d’un godet qui lui permet de charger les
terres meubles dans les camions ou de les transporter sur
de courtes distances (300 maximum) à l’intérieur d’un
chantier
Le tractopelle
la décapeuse ou scarper
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Les engins de fouilles sont utilisés pour l’exécution des rigoles ou tranchées, des fouilles en
puits et des fouilles en excavation en chargeant éventuellement les terres extraites dans les
camions. Ils sont essentiellement constitués de la pelle mécanique ou tractopelle.
La pelle mécanique
Elle équipé d’un bras comportant un dispositif permettant d’excaver la terre. Le modèle
d’équipement permet de classifier le type de pelle et l’on distingue :
Dans ce cas, le châssis motorisé de la pelle se trouve dans la fouille en excavation et elle attaque
les parois verticales dans le sens ascendant vers l’avant.
Le châssis motorisé de la pelle se trouve en surface et elle attaque les parois verticales par un
mouvement rétro ascendant
Le dispositif de creusage comporte deux bras en forme de pinces qui se renferment pour
emporter les terres meubles
La benne dans ce cas est actionnée à l’aide des câbles ou chaînes en acier.
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Catégories Zone désignation opération observation
d’action
Outils Surfaces Pics et pioches Ameublir le sol en vue
manuels d’éventuel déblais
Pelles carrées Dressage des surfaces
Pelle rondes Transvasement de Transport sur
terres courte distance
(jets de pelle)
Brouettes doseuses Transport des terres à
l’intérieure d’un
chantier
Engins Fouille Bulldozer (Bouteur) Défonçage des sols Lame fixe
mécaniques rocheux et très perpendiculaire
compacte, défrichage à l’axe de la
et nettoyage des marche
Tilt Dozer terrains naturels, servir Lame
de poussée à la s’inclinant par
décapeuse rapport à la
verticale
Angle Dozer Lame
s’inclinant par
rapport à l’axe
de la marche
Niveleuse (Grader) Egalisation des
surfaces et réglage des
talus
Scarificateur Ameublissement des Peut être équipé
(Ripper) terres compactes d’un godet
Pelleteuse chargeuse Manutention,
(godet) chargement des terres
sur camions et
transports sur des
distances <300m
tractopelle Chargement des terres
Décapeuse (scraper) Excavation des terres Elle effectue en
(épaisseurs 25 à 30m), une opération
chargement, transport l’extraction, le
des terres excavées, chargement, le
chargement et étalages transport et
des terres l’épandage des
terres
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Fouille Pelle en bute Attaque des parois Le châssis
verticales par moteur est situé
mouvement ascendant dans la fouille
de la pelle
Pelle en retro Attaque des parois Le châssis
caveuse verticales et exécution moteur est situé
des tranchées en surface
Benne preneuse Ramassage des terres Comporte deux
meubles godets
travaillant en
pinces
Dragueline Excavation des Le godet est
terrains marécageux actionné à l’aide
des câbles
tractopelle Exécution des fouilles
en tranchée (rigoles)
transport Dumper Transport des terres Déchargement
l’intérieur d’un par basculement
chantier vers l’avant
Dump trucks Transport des terres Grande capacité
sur longues distances (20 m3)
compact Rouleau vibrant Compactage par A pieds de
age vibration mouton ou
mixte
A pneus multiples Compactage par
pression (sols argileux
sableux)
Rouleaux mixtes Compactage par
vibration et par
pression
Compacteur à pieds Compactage par
de mouton pression (sol argileux
sableux)
Tout sol en place après son excavation devient ameubli et augmente de volume : c’est le
phénomène de foisonnement. De même, lorsqu’on effectue un remblai, il demande à être
compacté pour qu’il n’y pas d’excédent : c’est le phénomène de tassement. Il est nécessaire de
tenir compte de ces deux facteurs lors du calcul des volumes de terres.
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Soit le volume de la fouille, le volume des déblais et = coefficient de foisonnement :
= ×
Soit le volume de la fouille à remblayer, le volume des terres nécessaire pour effectuer
le remblai, est le tassement exprimé en pourcentage.
= ( − %) ⟹ =
( − %)
Exemple : pour un foisonnement exprimé à 25% , le volume des déblais se calcul comme suit :
= + (25% × )
25
= + × = + 0.25 = (1 + 0.25) = 1.25
100
= 1.25
Les camions utilisés pour le transport des terres ont un fonctionnement cyclique, pour une
bonne gestion de ces équipements, il est nécessaire de maitriser le cycle de chaque engin afin
de savoir le nombre d’engins à utiliser de façon rationnelle.
Pour une utilisation rationnelle, l’on est tenue de prendre en considération les facteurs
économiques et les contraintes techniques.
Les contraintes techniques sont définies par l'ensemble des mesures à prendre pour le respect
des lois de l’Organisation Scientifique du Travail (O.S.T) et des règles de l’art.
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Le cycle d'un camion
Les éléments constituant le cycle d`un camion sont Le chargement, le voyage en charge, le
déchargement et le voyage à vide.
La durée d'un cycle est égale à la somme des temps de chargement, temps mis à l’aller, temps
de déchargement et temps mis au retour.
TD = Temps de déchargement
= + + +
Elle consiste à gérer les camions de façon à éviter les pertes de temps inutiles cette gestion
permet d'optimiser le rendement des engins. Il est question que le camion fonctionne en continu,
pour cela le nombre de camions à utiliser sera fonction des deux paramètres que sont la durée
du cycle et le temps de chargement d'un camion.
N.B. : Au cas où la valeur de NC trouvée comporte une partie décimale, il est conseillé de
l'arrondir soit à l'entier naturel directement inférieur soit à l'entier directement supérieur. Le
choix de l'arrondi sera motivé par la solution la plus raisonnable tant sur le plan économique
que technique.
Exemple: Le temps de chargement d'un camion vaut 5 mn, sa vitesse à vide est égale à 60
Km/h, sa vitesse en charge vaut 30 Km/h, le temps de déchargement est de 1 mn et le trajet
entre la décharge et le chantier vaut 20 Km.
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Si l’on retient 14 camions, chaque camion marquera un temps de pause égal à 4mn et la pelle
travaillera sans arrêt. En retenant 13 camions, les camions fonctionneront sans arrêt et la pelle
marquera un temps de pause de 1 mn.
La solution quotidienne la plus rationnelle est celle de 13 camions car elle permet au conducteur
du chargeur de respirer pendant 1mn après avoir chargé 13 camions.
Elle est un élément déterminant pour le rendement journalier des engins. Les éléments
déterminants dans ce cas sont la durée journalière du travail et la durée du cycle ce qui permet
de trouver le nombre de voyage que peut effectuer un camion par jour. il est judicieux d’étudier
chaque camion à part et le et le nombre de voyage par camion sera obtenu en divisant la durée
journalière de travail par la durée du cycle d’un camion
Le calcul du nombre de voyage par camion devra tenir compte des camions qui ont précédé le
camion considéré au chargement, ce qui réduit considérablement le temps de travail qui leur est
alloué par jour.
−[ × ( − 1)]
=
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2.1.4.2. Etude sur exemple
On obtient 7 voyages pour les 4 premiers camions et 6 voyages pour les 9 dernier soit un volume
de terre total VT= [(7 4) + (6 × 9)]5 m3 = 492 m3
La fabrication
Le transport
La mise en œuvre
La fabrication des bétons peut être manuelle ou mécanique selon l’importance des travaux,
Le matériel dans ce cas est essentiellement composé des brouettes manuelles servant au dosage
des granulats, des pelles utilisées pour malaxage des matériaux constitutifs et des eaux
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La fabrication mécanique des bétons est assurée par des bétonnières de formes diverses et on
distingue :
Les bétonnières sont caractérisées par leur puissance qui est fonction de la capacité et la vitesse
de rotation de la benne.
Le malaxage est une opération mécanique qui consiste à mettre en mouvement les différents
constituants d’un béton de façon à obtenir un mélange homogène. Il s’ensuit une diminution de
volume apparent initial des matériaux.
Exemple : 1m3 de béton courant est composé de 0.8 m3 de gravier + 0.4m3de sable + 50kg de
ciment + 350 kg de ciment + 180 litres d’eau.
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V = volume initial (volume des matériaux avant malaxage)
V = V − (C % × V ) = V (100 − C %) V = V (100 − C %)
N.B. : Dans le cas des travaux de très grande importance, le volume de béton est très élevé; Le
béton est fabriqué dans une centrale á béton et livré sur chantier
Le béton doit être transporté lorsqu’il n’est pas fabriqué à proximité de son lieu de mise en
œuvre. Si la distance n’est pas importante (pas de risque de mise en œuvre prématurée). Le
transport peut être assuré par les Dumpers
N.B. : il est courant que le transport du béton provoque une diminution du volume initial. Il
faudra par conséquent prendre en considération lors des calculs coefficient de tassement dû au
voyage.
V = V (100 − C %)
La vibration est une opération mécanique qui consiste à imprimer des secousses au béton frais
mis en place, dans le but d’éliminer les vides interstitiels et d`obtenir un béton plus compact.
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Le matériel de vibration est fonction du type de vibration. On distingue :
La vibration externe :
La vibration superficielle :
Elle consiste à vibrer les surfaces du béton frais. Elle est t’assurer par la dame vibrante et la
règle vibrante.
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La vibration des bétons entraine une diminution du volume de béton mis dans le coffrage,
V = V (100 − C %)
C’est l`ensemble des moyens matériels qui facilitent la mise en œuvre des ouvrages. Ils sont
constitués par les échafaudages, les échelles et les engins de levage.
2.4.1.1. Définitions :
Les échafaudages sont des ouvrages provisoires comportant des aires horizontales qui
permettent aux ouvriers de travailler en toute sécurité à des hauteurs variables. Tout en ayant à
leur cote le matériel et les matériaux nécessaires.
Semelles
Il s’agit des pièces de bois (madriers) qui servent d'appui au sol à la base de l’échafaudage
Ecoperche
Encore appelés échasse, les écoperches sont des montant verticaux destinée à supporter les
planches horizontales.
Patin
Il s’agit du scellement fixent au sol les pieds de l’écoperche.
Moise ou longrine
Ce sont des traverses reliant horizontalement les échasses
Boulins ou traverse
Ce sont des traverses fixées horizontalement aux écoperches et parfois au mur portant les
planchers.
Planchers
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Les planchers sont des plates formes horizontales en planches ou en madriers, supportant les
charges pour ensuite les transmettre aux échasses par l’intermédiaire des boulins.
Plinthes
Ce sont des planches dont la largeur varie de 15 à 25 cm, remontées généralement du plancher
pour empêcher les chutes de matériaux ou d’outillage
Garde – corps
C’est un dispositif de sécurité constitué des pièces de bois de section minimale 40 cm², il est
fixé à une hauteur variant de 0,45 m et 1 m du plancher et empêche la chute des ouvriers.
Auvent
Ce sont des parois obliques destinées à recueillir les matériaux et matériels qui pourraient
chuter.
Croix de St-André
Il s’agit des croisillons fixés sur les échasses en forme de croix, renforcent la stabilité de
l’échafaudage en rendant l'ensemble indéformable.
Contreventements
Ensemble des pièces de bois (ou métalliques, assurant la stabilité de
Eléments d’attaches
C’est l’ensemble des éléments utilises pour les diverses attaches et ligatures, il s’agit des
cordages, des chaines d’échafaudage et des câbles d’acier.
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Les échafaudages horizontaux.
Les échafaudages verticaux.
Les échafaudages en bascule ou porte-à-faux.
Les échafaudages volants.
Echafaudages horizontaux
Ils sont de faible hauteur, généralement constitués d'un seul plancher el sans écoperches. Ce
sont en réalité des plates - formes construites dans le but de travailler à une hauteur convenable
à l'intérieur d'un local.
Ils sont composés de plusieurs planchers superposés et sont soit à deux rangs soit à un rang
d’écoperches. S'ils sont à un rang d'écoperches. Les boulins sont scellés au mur. Ils permettent
de travailler à des hauteurs importantes et sont généralement utilisés pour les travaux de
construction de murs ou de ravalement de façades. Pour leur bonne exploitation les règles
suivantes doivent être observées :
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Distance entre échasses : D ≤ 2m
Distance entre boulins : D ≤ 1.33 m (pour les madriers, D ≤ 3m)
Hauteur entre planchers : 1.75m ≤ D ≤ 2m
Hauteur minimales des plinthes : H ≥ 0.15m
Garde-corps obligatoires pour toute hauteur supérieure à 2 m
Auvent obligatoire dans le cas (voies publiques, immeubles voisins, travaux sur
bâtiment en service…)
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Les échafaudages en bascule
Ce sont des échafaudages montés en porte-à-faux sur une façade de l’ouvrage. On fait appel à
cette technique dans les cas suivant :
Les travaux à entreprendre sont situés uniquement à une certaine hauteur et l’on
veut éviter d’édifier un échafaudage dont la majeure partie serait utilisée.
Il n’y a pas la possibilité de prendre appui sur le sol (ouvrage dans l’eau,
immeubles voisions ou passages divers)
L’échafaudage en Bascule est un ouvrage très délicat aussi, sa réalisation et son utilisation
appellent à une grande prudence. Par conséquent, les précautions suivantes sont en prendre :
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Les échafaudages volants :
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Ils sont utilisés pour la manutention et le levage dans les chantiers de construction et sont
essentiellement composes des grues.
On distingue :
Elles sont caractérisées par un mât vertical composé d’éléments tubulaires télescopiques
triangulés permettant d’augmenter la hauteur de la grue elles peuvent être à base fixe (ancrée
au sol ou a le structure haubanée) ou mobile (montée sur une voie de roulement parallèle à la
construction). Les principales parties d’une grue à tour sont les suivants :
Une plateforme ;
Un lest de base ;
Un pylône ou mât vertical ;
Une flèche abritant le chemin de roulement du chariot de levage ;
Une contre flèche supportant le contre poids d'équilibrage ;
Le mécanisme de levage, de distribution, d'orientation, de translation et de sécurité
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Les grues de montage à câbles :
Montées sur chenilles ou sur camions, elles se caractérisent par leur mat ou flèche inclinée Le
montage sur camion est le plus fréquent car il offre plus de possibilités de déplacement dans le
chantier et d’un chantier à l’autre. Les grues de montages à câbles ont une capacité de 350
tonnes.
Un camion porteur dont le nombre d'essieux varie de deux à six, équipé de stabilisateurs
à vérin hydraulique ;
Une flèche principale pouvant aller au-delà de 150 m de longueur ;
une fléchette permettant d'augmenter la hauteur de levage
D’une capacité plus faible que les grues à câbles, elles offrent l’avantage grâce à un système
hydraulique de régler la flèche à la longueur désirée en très peu de temps. Elles peuvent
atteindre 55 tonnes de capacité pour une longueur de flèche de plus de 30 mètres.
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