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cours 1 année
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SysML
1. SysML : Qu’est-ce ?
1. :
SysML est un langage de modélisation pour l’Ingénierie Système. Il prend en charge la
spécification, l’analyse, la conception, la vérification et la validation des systèmes qui
comprennent le matériel, les logiciels, les données, le personnel, les procédures et les
installations:
Langage SysML
Diagrammes Diagramme
Comportemen transversal Diagrammes
-taux Cross- structurels
Behavior Cutting Structure
Diagrams Diagram Diagrams
Le Sys-Reeduc est destiné à aider à la rééducation des membres inférieurs chez les patients
ayant été victime d’un accident.
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Prof : SEGGAOUI LHOUSSINE SCIENCES INDUSRIELLES
Le système doit répondre (entre autres) aux exigences précisées dans les tableaux suivants :
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Dans la pratique, les acteurs principaux sont placés sur la gauche du diagramme et les
acteurs secondaires sur la droite.
Pour affiner le diagramme de cas d’utilisation, SysML définit trois types de relations
standardisées entre cas d’utilisation :
• Une relation d’inclusion, formalisée par le mot-clé include «include» : le cas
d’utilisation de base en incorpore explicitement un autre, de façon obligatoire.
• Une relation d’extension, formalisée par le mot-clé extend «extend» : le cas d’utilisation
de base en incorpore implicitement un autre, de façon optionnelle, à un endroit spécifié
indirectement dans celui qui procède à l’extension (appelé extension point).
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• 4.
La:contenance : Permet de décomposer une exigence composite en
plusieurs exigences unitaires, plus faciles ensuite à tracer vis-à-vis du système.
• le raffinement «refine» : Permet d’ajouter de la précision, par exemple des données
quantitatives.
• Satisfaire «Satisfy» : Permet de faire le lien entre un système ou un block est l’exigence
auquel il répond.
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Les blocs peuvent être caractérisés par des propriétés : il en existe de plusieurs sortes mais
les plus significatives sont :
- La propriété de type value qui permet d’exprimer une caractéristique quantifiable : pour
un moteur par exemple, son couple, sa vitesse de rotation ou sa puissance nominale.
- La propriété de type part qui permet de représenter ce qui compose le bloc. Elle est
équivalente à un lien de composition (simple trait).
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
« Block »
Sys-Reeduc
Parts
-Carte de
commande
-Capteur
d’effort
La représentation graphique des ports est un carré placé sur le contour du bloc :
- Les ports de flux indiquent les échanges de matière, d’énergie et d’information (MEI)
entre blocs : ce type de port contient une flèche dont le sens (entrante, sortante ou
bidirectionnelle) indique celui du flux.
- Les ports standards indiquent la logique de commande et les interfaces d’un bloc : ce
type de port ne contient pas d’indication particulière.
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
2. La chaîne d’énergie:
14.
Contribue
15. à la réalisation de la fonction de service globale, en agissant sur la (Ou les)
matière(s) d’œuvre.
8. :
Elle est souvent la partie du système qui utilise une très grande quantité de l’énergie totale
consommée.
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
L'énergie issue de la chaîne d’information est faible. Elle n'est pas suffisante pour être
utilisable directement par les actionneurs.
La fonction d’un préactionneur est de distribuer une énergie importante en la modulant le cas
échéant, sous l'action d'une énergie de commande (ordre) plus faible.
Le transmetteur adapte l’énergie en provenance de l’actionneur pour la donner l’effecteur.
L’effecteur est le dernier élément de la chaîne d’énergie, il agit directement sur la matière
d’œuvre (pince, convoyeur, ventouse, etc.).
3. La chaîne d’information:
16.
17. notamment :
Permet
9. :
– d’acquérir des informations : sur l’état d’un produit ou de l’un des constituants de la chaîne
d’énergie, issues d’interfaces Homme/Machine, élaborées par d’autres chaînes
d’information ;
– de les coder si nécessaire ;
– de traiter ces informations ;
– de communiquer : les ordres à la chaîne d’énergie, les messages destinés aux interfaces
Homme/Machine, les messages à d’autres chaînes d’information.
Pour acquérir une grandeur physique (force, température, etc.) ou une consigne, les
constituants utilisés sont des capteurs. Ils restituent une image de la grandeur physique
mesurée sous une sous forme logique, numérique ou analogique exploitable par l’unité de
traitement.
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
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L’énergie pneumatique est couramment utilisée dans la partie opérative d'un système
automatisé ; la source de cette énergie est l’air comprimé. La production de l'énergie
pneumatique (air comprimé) peut être résumée en 3 phases principales : la compression,
stockage et distribution de l'air comprimé.
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2. Principe physique:
11. :
La force mécanique produite par l’énergie pneumatique est liée à la pression par la relation
:
Le pascal étant trop petit pour les pressions utilisées dans l’industrie, on utilise souvent le bar
:
Les circuits hydrauliques présentent deux avantages fondamentaux par rapport aux circuits
pneumatiques :
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- L’incompressibilité de l’huile donc des pressions très élevés et par conséquent des
efforts trop importants.
- La grande raideur de la transmission donc des asservissements performants en vitesse
et en effort.
- Mais il a bien sur des inconvénients :
- On ne peut pas accumuler de l’huile sous pression, les pompes doivent fournir un
débit continu correspondant au besoin du système.
- Pour profiter l’incompressibilité de l’huile, il faut qu’elle ne contienne aucune trace
de gaz.
- L’huile doit être récupérée, il faut un circuit de retour.
- L’étanchéité est difficile à assurer.
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Distributeur 3/2
- En position repos, l’orifice d’alimentation du vérin est relié à l’orifice d’échappement
: la tige est maintenue donc rentrée ;
- En position travail, provoquée par un ordre de la PC, l’orifice d’alimentation du vérin
est mis en liaison avec la source d’air comprimé. Par conséquent, la tige sort.
Distributeur 5/2
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Distributeur 4/2
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Cy
qv
n=
Cy
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Cinématique de solide
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
complète
T R
x 0 1
y 0 0
Pivot z 0 0
1 d'axe ( A, x )
→
T R
x 1 0
y 0 0
Glissière z 0 0
1 d'axe ( A, x )
→
T R
Hélicoïdale x 1 1
→
d'axe ( A, x ) y 0 0
z 0 0
1 Rq : la translation
et la rotation
sont
conjuguées
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
T R
x 1 1
y 0 0
Pivot glissant z 0 0
2 d'axe ( A, x )
→
T R
x 0 0
Sphérique à y 0 1
2 doigt z 0 1
T R
x 0 1
y 1 0
Appui plan de
z 1 0
normale
3 →
( A, x )
T R
Linéaire x 0 1
rectiligne de y 1 1
normale z 1 0
4 →
( A, x ) et de
→
direction y
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
T R
x 1 1
y 0 1
Linéaire z 0 1
annulaire
4 →
d'axe ( A, x )
T R
x 0 1
y 1 1
Ponctuelle z 1 1
de normale
5 →
( A, x )
Le torseur cinématique d’un solide S par rapport à un repère R au point A s’écrit sous
la forme :
dOA
La vitesse du point A est déterminer par la relation : V ( A S / R ) = Avec :
dt R
- O est l’origine du repère R ( Ou n’importe quel point fixe du repère R).Et on dérive
par rapport à R.
dU (t ) dU (t )
- Relation utile de dérivation : = + ( R 2 / R1) U (t ) : relation de
dt R 2 dt R1
changement du repère de dérivation (relation très important)
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( S / R)
V (S / R) = Avec V (B S / R) = V (A S / R) + BA ( S / R)
V (B S / R ) B Relation du champ de moments
Formule de Varignon
Relation de changment du point
V (A S / R0 ) = V (A S / R1 ) + V (A R1 / R0 )
Les deux relations peuvent être
exprimées avec la somme de deux
(S / R0 ) = (S / R1 ) + ( R1 / R0 ) torseurs
( S / R0 ) ( S / R1 ) ( R1 / R0 )
V (S / R0 ) = = +
V ( A S / R0 ) A V ( A S / R1 ) A V ( A R1 / R0 ) A
V (S / R1) V (R1 / R0 )
5. Torseur cinématique des liaisons :
Schématisation normalisée
Nom de la Torseur
ddl Dans
liaison Dans le plan cinématique
l'espace
Liaison
encastrement
0 ou liaison
complète
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Pivot
1 d'axe ( A, x )
→
Glissière
1 d'axe ( A, x )
→
Hélicoïdale
→
d'axe ( A, x )
1 Rq : la translation
et la rotation
sont
conjuguées
Pivot glissant
2 d'axe ( A, x )
→
Sphérique à
2 doigt
Rotule ou
3 sphérique de
centre A
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Appui plan de
normale
3 →
( A, x )
Linéaire
rectiligne de
normale
4 →
( A, x ) et de
→
direction y
Linéaire
annulaire
4 →
d'axe ( A, x )
Ponctuelle
de normale
5 →
( A, x )
6. Vecteur accélération :
d 2 OA dV ( A S / R )
( A S / R) = 2
=
dt R dt R
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Attention : pour déterminer un vecteur accélération, on ne peut pas dériver si le point n’est
fixe dans S.
V (I S1 / S0 )
Ce vecteur est contenu dans le plan tangent commun au deux solides contenant le point I.
8. Engrenages :
Rapport de réduction d’un train d’engrenages à axes fixes :
Exemple :
4 2 Z .Z Z .Z
k= = ( −1) 1 3 = 1 3
1 Z 2 .Z 4 Z 2 .Z 4
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Il s’agit d’une mise en série d’un engrenage à contact extérieur (train 1) et d’un autre
à contact intérieur.
4 2 Z .Z Z
k= = ( −1) 1 2 = 1 Le rôle de la roue est de garder le sens
1 Z 2 .Z 3 Z3 de rotation
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
1 : planétaire entrée
2 : planètaire sortie
4 : porte satellite
2 : satellite
3 − 4 1 Z .Z Z
k= = ( −1) 1 2 = - 1
1 − 4 Z 2 .Z 3 Z3
La Loi entrée-sortie (loi E/S) d’un mécanisme est ensemble des relations entre ses
paramètres de sortie et celle d’entrée.
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
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Statique de solide
Lois de coulomb :
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Modélisation globale :
R(1 → 2)
T =
(1→ 2)
M A (1 → 2) A
Lois de coulomb :
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
R( → )
T( → ) = = 0
M A ( → ) A
Schématisation normalisée
Nom de la Torseur d’action
ddl Dans
liaison Dans le plan mécanique
l'espace
Liaison
encastrement
0 ou liaison
complète
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Pivot
1 d'axe ( A, x )
→
Glissière
1 d'axe ( A, x )
→
Hélicoïdale
→
d'axe ( A, x )
1 Rq : la translation
et la rotation
sont
conjuguées
Pivot glissant
2 d'axe ( A, x )
→
Sphérique à
2 doigt
Rotule ou
3 sphérique de
centre A
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
Appui plan de
normale
3 →
( A, x )
Linéaire
rectiligne de
normale
4 →
( A, x ) et de
→
direction y
Linéaire
annulaire
4 →
d'axe ( A, x )
Ponctuelle
de normale
5 →
( A, x )
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1. Liaison équivalente :
Liaisons en parallèle :
L = liaison équivalente = liaison qui autorise le même mouvement et qui transmet la même
action mécanique
▪ Torseur de la liaison équivalente :
- Cinématique V (2 /1) Léq = V (2 /1) L1 = V (2 /1) L 2 = ..... = V (2 /1) Ln
- Statique T(1 → 2) Léq = T(1 → 2) L1 + T(1 → 2) L 2 + ...... + T(1 → 2) Ln
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CPGE TSI SCIENCES INDUSRIELLES SI
2. Mobilité et hyperstatisme :
Graphe de structure:
Formule statique :
Formule Cinématique :
Avec :
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