Apres avoir eu une bonne formation theorique et plusieurs stage
pratique durant 3ANS d’études on a constaté une controverse sur la
pose de la sonde nasogastrique entre les differnts services et entre le staff medicales et paramedicale
Suite à une discussion avec les infirmiers du services et nos
enseignants nous avons pu constater que le sujet de la pose de la sonde nasogastrique nous amène à ce questionner : - - - quels sont les obstacles des infirmiers devant la pose d’une sonde nasogastrique ? Les sondes nasogastriques sont courrament utilisé dans les hapitaux et les etablissements de soins pour diverses indications médicalestherapeutique ou diagnostique. La sonde naso-gastrique est une technique qui consiste à introduire une sonde spécifiquement par le nez jusqu'à l'Estomac
Dans un article publié en 3septembre 2016 par Pauline Bart-Rommé
a, Delphine Cabelguenne a, Corinne Béal b, Véronique Chambost c, Teddy Novais a, Bénédicte Bertoni-Talin a, Cécile Chambrier d, Didier Barnoud e L’étude a pour but de déterminer et hiérarchiser les critères techniques de choix d’une sonde nasogastrique (SNG) pour la nutrition entérale. Un groupe de travail était mis en place comprenant un cadre de santé, un médecin spécialisé en nutrition artificielle et deux pharmaciens. Les différents critères techniques des SNG étaient répertoriés, analysés puis hiérarchisés selon les données de la littérature, les fiches techniques des fournisseurs et le retour d’expérience des soignants. La SNG idéale pourrait être en polyuréthane, pré-lubrifiée et comporter un lest de poids suffisant pour la maintenir en place tout en restant bien tolérée par le patient à la pose. Pour limiter l’obstruction, le groupe retenait que la configuration optimale des orifices distaux serait de type « multiples perforations ». La dénomination et la taille devraient être lisibles, et la longueur et les graduations devraient être renseignées sur la sonde. Ces éléments semblaient essentiels pour la pose et le contrôle du bon positionnement. L’identification en proximal permettrait d’optimiser le relais de la prise en charge du patient d’une équipe à l’autre. Enfin, un étiquetage clair et précis semblerait constituer une aide pour les soignants dans le choix de la SNG. Le constat était également fait de l’hétérogénéité des informations techniques et de la diversité des références proposées. La multidisciplinarité du groupe de travail a permis de confronter les points de vue et d’optimiser le choix technique afin de répondre aux besoins en termes de pose et d’utilisation par le personnel soignant dans un objectif de sécurité thérapeutique pour le patient. Évaluer la performance de trois tests différents dans leurs capacités à prédire le positionnement intragastrique de la sonde nasogastrique (SNG). Une étude en France publié en janvier 2018 en vue de l’obtention du diplôme de fin d’étude Au sein des services de neurologie, les soignants prennent en charge des patients victimes d'un AVC, qui entraînent parfois la pose d'une sonde nasogastrique. Chaque service possède ses propres pratiques. Celles-ci sont parfois différentes d'un service à un autre. Le but de ce mémoire est de faire un état des lieux sur les similitudes et les divergences entre les pratiques, en ce qui concerne la pose et le maintien de la sonde, au sein de différents services de neurologie en France. Le travail de recherche s'est articulé autour d'un recueil de données à l'aide de questionnaires, envoyés aux neurologues, aux infirmiers et aux orthophonistes exerçant au sein d'un service de neurologie. Les résultats démontrent des similitudes entre les pratiques mais avec des formes protocolaires différentes en ce qui concerne l'évaluation des troubles de la déglutition. Les résultats nous apprennent également l'existence de divergences entre les pratiques sur la mise en place et le délai de maintien de la sonde. Cependant, les professionnels s'accordent sur la présence de complications (physiques et/ou morales) dues à cette sonde. Cette étude a également permis de mettre en avant de nombreuses interrogations au sujet de la sonde nasogastrique. Pour tenter de pallier ces interrogations autour de la sonde nasogastrique, une réflexion entre professionnels peut être envisagée
En juin 2005 Une Étude prospective d'observation en réanimationa
était faite par . P. Seguin a, V. Le Bouquin a, D. Aguillon a, A. Maurice a, B. Laviolle b, Y. Mallédant a – Tous les patients pour lesquels la pose d'une SNG était retenue étaient inclus. Une fois la SNG posée, trois tests étaient successivement réalisés : l'aspiration de liquide digestif, le pH et l'insufflation d'air avec auscultation épigastrique. La faisabilité et les résultats obtenus pour chaque test étaient notés et comparés à ceux du cliché thoracique (CT), examen de référence. Le CT permettait de caractériser les complications et de les classer comme majeures ou mineures. – Un total de 419 poses de SNG (202 sondes double courant et 217 sondes d'alimentation entérale) était analysé chez 280 patients. Les malpositions représentaient 10 % des insertions (majeures, n = 11 et mineures, n = 31). L'aspiration gastrique et la mesure du pH du liquide aspiré étaient peu sensibles (respectivement 77 et 49 %) et peu spécifique (respectivement 38 et 74 %). L'insufflation était sensible (96 %) mais peu spécifique (17 %). L'association des trois tests n'améliorait pas leurs performances. Deux complications graves étaient uniquement décelées par le CT (sonde intrapleurale et un pneumothorax). Aucun des tests évalués, pris isolement ou en association, n'était suffisamment fiable pour se substituer au contrôle radiologique. La présence de complications, rares mais potentiellement graves non détectées par ces tests renforce cette opinion.
Les sondes d'alimentation entérale les plus fréquemment utilisées sont
les sondes nasogastriques. Cependant, les sondes naso-entérales, nasoduodénales et surtout nasojéjunales, ont des indications de plus en plus fréquentes. Leur efficacité est maintenant bien démontrée dans deux situations : la réanimation postopératoire ou post-traumatique et les pancréatites aiguës. Une troisième indication potentielle est le remplacement d'une sonde nasogastrique par une sonde nasojéjunale en cas de pneumopathies d'inhalation répétées. En effet, les pneumopathies d'inhalation chez le malade alimenté par sonde nasogastrique peuvent avoir deux origines : l'inhalation des sécrétions oropharyngées et le reflux gastro-œsophagien. C'est uniquement dans ce dernier cas que la sonde nasojéjunale a un intérêt mais la mise en évidence du reflux gastro-œsophagien est difficile. Son incidence est très variable selon les études. Son origine est multifactorielle. Pour le choix de la sonde, le matériau choisi peut être le polyuréthane ou le silicone. La pose de la sonde d'alimentation doit être effectuée en position assise ou semi-assise. La pose de la sonde nasogastrique est un acte infirmier effectué sur prescription médicale, la pose de la sonde nasojéjunale est un acte médical effectué sous endoscopie (sauf pour la sonde Bengmark à extrémité enroulée). Le contrôle de la bonne position de la sonde nasogastrique doit idéalement être effectué radiologiquement, mais il est difficile à réaliser en pratique et la méthode d'auscultation est la plus fréquemment utilisée. En conclusion, les progrès techniques de la nutrition entérale ont rendu sa pratique plus simple et moins risquée et ses indications de plus en plus importantes par rapport à celles de la nutrition parentérale.
En Algérie SID Chahrazed et HACHEMI Yasmine Imene ont
effectué une étude de mémoire fin d’etude en vue de l’obtention de diplôme de docteur en pharamcie s'inscrit dans le cadre d'un programme de bonne pratique du support nutritionnel chez les patients dénutris.
Leurs démarche consiste en une mise au point des stratégies
d'assistance nutritionnelle pour la mise en place d'une méthodologie adaptée à l'état nutritionnel du patient, sur la base d’une évaluation adéquate de l'état nutritionnel, de critères validés de définition de la dénutrition et d’une technique d'alimentation entérale couramment appliquée. L'aspect pratique de leurs étude a porté sur l’observation de la mise en œuvre de support nutritionnel pour les patients hospitalisés au sein du service d’oncologie du CAC de Blida; à cet effet, les différentes étapes de la nutrition entérale ont été suivies
(pose de sonde, emploi des solutions nutritives, médication entérale et
En France à la faculté de medecine de Nancy2011 lors d’une
thése doctoral faite par Cecile BECHARD une etude a était faite sur l’alimentation enterale et ils ont conclue que Le recours à la nutrition entérale à domicile est en constante augmentation. Cette croissance semble en lien d’une part avec le vieillissement de la population et d’autre part avec le développement de l’hospitalisation à domicile. Elle nécessite une prise en charge pluridisciplinaire et une coordination entre la ville et l’hôpital avec un rôle important du médecin traitant. Selon notre étude, les médecins généralistes jugent la coordination avec les différents services hospitaliers ainsi que les informations sur la nutrition entérale des patients satisfaisantes. Ils se sentent concernés par la nutrition malgré la faible activité que cela représente dans leur pratique quotidienne. Cependant, ils ne se jugent pas assez formés dans ce domaine et plus particulièrement en ce qui concerne la nutrition entérale. Ainsi la réalisation de l’évaluation nutritionnelle de leurs patients, des prescriptions et la gestion des complications de ce type de nutrition artificielle semble complexe pour les médecins généralistes. Les résultats de l’enquête mettent en avant la nécessité d’améliorer la formation initiale et continue des médecins dans ce domaine. D’autres facteurs semblent expliquer la difficulté des médecins traitants dans la prise en charge nutritionnelle de leurs patients. Le caractère chronophage du suivi des patients en nutrition entérale à domicile s’oppose au manque de temps des médecins généralistes notamment dans les zones de faible démographie médicale. L’absence de prise en charge par la sécurité sociale des consultations auprès des diététiciens libéraux limite leur accès alors qu’elles pourraient permettre de compléter et d’améliorer le suivi des patients. La nutrition est un déterminant majeur de l’état de santé de la population. Il est établi que l’alimentation et l’état nutritionnel participent de façon essentielle au développement de nombreuses maladies répandues dans les pays industrialisés : les maladies cardiovasculaires, le diabète, l’obésité, l’ostéoporose et les tumeurs malignes. De ce fait, une formation renforcée et plus complète sur la nutrition pourrait leur permettre d’améliorer la prévention, le dépistage et le traitement de la dénutrition mais également de ces maladies avec une répercussion sur l’état de santé de la population.