Madame, Monsieur,

J’ai eu récemment l’opportunité de parcourir attentivement votre édition datée du 20 juin 2020,
dont un article m’a captivé particulièrement. Il s’agit d’un article publié dans la rubrique
« Planète », dont l’auteur avance que « pour réduire la pollution, le télétravail devrait être
obligatoire dans certaines entreprises publiques et privées. ». Je souhaiterais prendre position et
vous partager mes réflexions.

J’ai le regret de ne pas pouvoir partager entièrement l’affirmation de l’auteur. Tout d’abord, la
réduction de la pollution concerne à nous et à nous tous. Cela dit, même si on adopte globalement
dans notre société civile la nouvelle vague qui est le « télétravail », la pollution risquerait
d’aggraver lors que nous ne respectons pas les règles fondamentales de la protection de
l’environnement.

Ensuite, le télétravail étant un des moyens pour réduire l’effet à sel par le biais de la baisse dans
l’utilisation des moyens de transport, toutefois, il est inéluctable qu’il ne contribuera qu’à une
partie assez futile dans la préservation de l’environnement.

Certes, l’action des entreprises est et sera toujours essentielle pour réduire la pollution. Ces
organisations étant un composant principal de notre société, elles ont la responsabilité d’agir et
impacteront l’environnement à la plus grande échelle. Ainsi, une fois qu’elles commenceraient le
télétravail, nous attendrions quand même un effet positif sur la protection du système écologique.

Pour conclure, je ne partage pas l’avis de l’auteur, parce que le problème de pollution ne se
résoudra pas par seulement les actions des entreprises et que la méthode de télétravail ne
contribuera pas effectivement à la résolution de ce problème. Cependant, sur la voie de la
recherche des solutions, les actions des entreprises seront toujours incontournables.

Je vous remercie pour le temps que vous aurez consacré à la lecture de la présente lettre, et je reste
ouverte pour toute discussion sur ce sujet.

Cordialement,

Charlie Richard