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PRISE EN CHARGE
DES PATIENTS DIABÉTIQUES
DE TYPE 2
1
L’HBA1C
2
Le contrôle glycémique se dégrade
avec le temps
9
Traitement conventionnel
8
HbA1c (%)
Traitement intensif
7
6,2% (limite sup. de la normale)
6
0
0 3 6 9 12 15
Années de randomisation
UKPDS(1)
60
2
40
Intolérance Glycémie Glycémie
en Post-prandiale
20 à jeun
glucose altérée élevée
0
-12 -10 -8 -6 -2 0 2 6 10 14
Années
4
Adapté de l ’UKPDS. Group. Diabetes 1995; 44 : 1249-1258.
Les différents traitements du
DT2
5
Les stratégies
thérapeutiques
doivent être de plus en plus
intensives avec le temps
Monothérapie orale
Bithérapie orale
Multi-injections d’insuline
La diététique
Dès le diagnostic du risque de diabète
L’autosurveillance glycémique
Dès que c’est utile au patient
L’insuline
Dès que l’HbA1c dépasse à 2 reprises 8% malgré une posologie
maximale d’hypoglycémiants oraux en l’absence de prise
de poids récente
Vrai Faux
9
L’ incidence des complications est
liée à l’équilibre du diabète
120
100
80
E/1000PA 60
40
20
0
5 6 7 8 9 10 11
HbA1c
Augmentation de l’incidence des complications liées au diabète, quelles qu’elles soient, exprimée en
événements par 1000 patients-années (E/1000 PA), en fonction de l’HbA1c
10
Vrai Faux
Objectif thérapeutique et HbA1c
12
(1) Recommandations de l’ANAES. Sept.2000. Diabetes Metab 2000; 26, suppl. 5.
(2) Recommandations de L’ADA. Diabetes Care 2003; 26, suppl. 1.
État des lieux de la prise en charge du
DT2 en France : objectif non atteint
Vrai Faux
14
Cette modification est indispensable
si l’HbA1c dépasse 8% à 2 reprises
Vrai Faux
15
L’association sulfamides + metformine
à doses maximales tolérées définit le
traitement hypoglycémiant oral
maximal
Vrai Faux
16
2/3 des patients dont l’HbA1c dépasse
2 ADO à 2 ADO à
Régime Insuline +/-
1 ADO posologie posologie
seul ADO
non optimale optimale
Vrai Faux
18
Les leçons de l’UKPDS
(1) Turner R.C. et coll. (UKPDS 49). JAMA 1999; 281, 21: 2005-201.
19 (2) Wright A. et coll. (UKPDS 57). Diabetes Care 2002; 25, 2: 330-336.
Après 15 ans de diabète, la cause la
plus probable du déséquilibre
glycémique est un mauvais suivi
du régime
Vrai Faux
20
L’efficacité des règles hygiéno-
diététiques dépend de l’ancienneté
du diabète
22
Il existe une corrélation positive entre
la motivation des médecins et les
résultats glycémiques
des patients
Vrai Faux
23
Qualité du contrôle glycémique en fonction
des objectifs des médecins pour la glycémie
à jeun
7,8
7,8 ± 1,8
7,6
7,4 7,5 ± 1,6
7
7 ± 1,6
6,8
6,6
6,4
<1,10 g/l 1,10-1,20 g/l 1,20-1,40 g/l >1,40 g/l
p=0,0001
Vrai Faux
25
Questionnaire sur la prise en charge
Vrai Faux
27
Fréquence et horaire des
auto-contrôles / propositions
Sous ADO
ASG à jeun et avant le dîner 2 à 3 fois par semaine
Les glycémies post prandiales (2h après le début d’un repas)
peuvent être intéressantes
En cas de discordance entre l’HbA1c et les glycémies
pré-prandiales : HbA1c >7% et glycémies pré-prandiales
comprises entre 0,7 et 1,30 g/l
A titre éducatif : pour évaluer le caractère plus ou moins
hyperglycémiant de tel ou tel aliment
30
Recommandations de l’ANAES. Sept.2000. Diabetes Metab 2000; 26, suppl. 5.
Maîtriser l’insulinothérapie
en une injection par jour
31
L’instauration d’un traitement par
insuline en ambulatoire est aussi
efficace et sûre qu’en hospitalisation
Vrai Faux
32
L’insulinothérapie en ambulatoire
chez les DT2 est aussi efficace
et
sûre qu’en hospitalisation
Instauration d’une insulinothérapie (2 NPH) dans
2 groupes de patients DT2
Groupe ambulatoire 70 patients, HbA1c 10,3%
Groupe hospitalisation 70 patients, HbA1c 10,4%
Contrôle glycémique équivalent à 12 mois
(-2% d’HbA1c)
Incidence similaire des hypoglycémies sévères
IMC identique
Coût
Groupe ambulatoire 127€ par patient,
Groupe hospitalisation de 5 jours 1 278€ par patient
33
Muller U.A. et coll. Diabetes Metab 1998; 24: 251-255.
Plus le déséquilibre du diabète est
important, meilleure est la réponse au
traitement par insuline, plus grand est
le risque de prise de poids
Vrai Faux
34
Prise de poids sous insuline
Vrai Faux
36
Insuline à 1 injection par jour
et contrôle glycémique
L’insuline permet de contrôler l’HbA1c,
seule ou en association au traitement oral,
en cas d’échec des sulfamides hypoglycémiants.
HbA1c %
10
0 3 6 9 12 mois
Insuline au coucher + metformine
Insuline au coucher + glibenclamide
Insuline au coucher + metformine + glibenclamide
Insuline matin et au coucher
37
Yki-Jarvinen et coll. Ann. Intern. Med. 1999 ; 130 : 389-396.
Les hypoglycémies sous association
insuline-hypoglycémiants oraux sont
plus graves que sous
hypoglycémiants oraux seuls
Vrai Faux
38
Hypoglycémies sous insuline dans le
diabète de type 2
40
insuline N.C. Labo Flacon Cartouche stylo
Vrai Faux
42
LANTUS® : pharmacocinétique
6
Taux d’utilisation du
5
glucose (mg/kg/h)
4 NPH
3
2
LANTUS®
1
0
0 10 20 30
Temps (h) Après l’injection SC
Fin de la période d’observation
L’effet hypoglycémiant de Lantus® en sous-cutané, apparaît plus lentement
que celui de l'insuline NPH humaine,
Un profil régulier, sans pic, permettant de réduire les hypoglycémies
nocturnes,
La durée d’action (24 h) permet une seule injection par jour.
43
Bolli G.B. Lancet 2000; 356 : 443-445.
L’insuline glargine comparée aux
insulines intermédiaires (NPH)
augmente le taux de patients
répondeurs et réduit le risque
d’hypoglycémie nocturne
Vrai Faux
44
LANTUS® : un ratio efficacité / tolérance
important dans le diabète de type 2
Inclusion
Fin d’étude
10 8,6 8,6
HbA1c (%)
8 6,96 6,97
6
4
2
0
Lantus® NPH
45 Riddle M et coll. Abstract n° 150. 38th Annual Meeting of the EASD, Budapest, September 1-5 th, 2002. Diabetologia 2002;
suppl. 43.
LANTUS® : un ratio efficacité / tolérance
important dans le diabète de type 2
25% 33 %
27 %
0
NPH Lantus®
Etude ouverte, parallèle, randomisée, multicentrique, réalisée durant 24 semaines chez 756
patients diabétiques de type 2 mal controlés par antidiabétiques oraux.
46 Riddle M et coll. Abstract n° 150. 38th Annual Meeting of the EASD, Budapest, September 1-5 th, 2002.
Diabetologia 2002; suppl. 43.
LANTUS® : un ratio efficacité / tolérance
important dans le diabète de type 2
Hypoglycémies nocturnes
40%
1000 réduction
886
d’événements
Nombre
500
532
0
p < 0,002 NPH Lantus®
Etude ouverte, parallèle, randomisée, multicentrique, réalisée durant 24 semaines chez 756
patients diabétiques de type 2 mal controlés par antidiabétiques oraux.
47
Riddle M et coll. Abstract n° 150. 38th Annual Meeting of the EASD, Budapest, September 1-5 th, 2002.
Diabetologia 2002; suppl. 43.
L’insuline glargine libéralise les
horaires d’ injection
48
(1) AFSSAPS. Avis de la commission de la Transparence. Janvier 2003.
LANTUS® : une seule injection à
horaire choisi
p=0,002
p=0,046
58% 54%
50 44%
40
30
20
10
0
Lantus® matin Lantus® soir NPH soir
Etude ouverte, parallèle, randomisée, multicentrique, réalisée durant 24 semaines chez 695
patients diabétiques de type 2 mal controlés par antidiabétiques oraux. Patients traités par
Lantus® ou NPH en complément du glimépiride 3 mg (1)
Lantus® doit être administré une fois par jour à n’importe quel
moment de la journée mais au même moment chaque jour(2).
(1) Fritsche A et coll. Abstract n° 149. 38th Annual Meeting of the EASD, Budapest, September 1-5 th, 2002.
49 Diabetologia 2002; suppl. 43.
(2) AFSSAPS. Avis de la commission de la Transparence. Janvier 2003.
LANTUS® : les points forts
51
Exemple d ’ordonnance
Dr STROPIASANU
Médecine générale
25 Bd Paoli M. Francescu MELE
20200 BASTIA
Le 15/10/2005
Dr STROPIASANU
Médecine générale
25 Bd Paoli M. Francescu MELE
20200 BASTIA
Le 15/10/2005
5/ COTON 1 paquet
Dr STROPIASANU
Médecine générale
25 Bd Paoli M. Francescu MELE
20200 BASTIA
Le 15/10/2005
55
Suivi
DISPONIBILITE ++
56
m i di
p r ès
J 2 a
ID E
r n° 7
ie
Atel
Modalités de l’injection de
l’insuline
57
Lieux d’injection et longueur d’aiguille
Lieu :
L’abdomen, à distance du nombril et des flancs,
ou les cuisses
Longueur d’aiguille :
Les aiguilles de 8 mm sont recommandées
58
Technique
MODALITES D’ADAPTATION
DES DOSES D‘INSULINE
ET
D’ANTI DIABETIQUES ORAUX
60
Adaptation de la dose
61
Les patients doivent être éduqués à
adapter eux-mêmes leurs doses
d’insuline en fonction des résultats
de leurs glycémies à jeun
Vrai Faux
62
Le plus souvent, lorsqu’on prescrit
une injection d’insuline par jour,
on poursuit le traitement par
hypoglycémiants oraux
à la même dose
Vrai Faux
63
Traitement par insuline et poursuite
des hypoglycémiants oraux
64
Yki-Jarvinen H. Diabetes Care 2001; 24, 4 : 758-767.
FIN
65