00 - Métrologie

 Appareils de mesure et de contrôle Inclinaison d’un plan
 Association d’un élément géométrique

Localisation d’un plan
 Battements circulaire et total axiaux  Localisation d’un cylindre
 Battements circulaire et total radiaux
 Maximum de matière
 Capabilité des moyens de mesurage
 Circularité (défaut de forme d’un cercle)  Parallélisme d’un plan
 Coaxialité et concentricité  Perpendicularité d’un plan
 Cylindricité (défaut de forme d’un cylindre)  Planéité (défaut de forme d’un plan)
 Diamètre d’un cylindre  Rectitude d’une droite

 Diamètre d’un cylindre (exigence de l’enveloppe)  Référence spécifiée
 Distance entre plans  Référence simulée
 Décodage par tableau d’analyse
 Symétrie d’un plan
 Eléments tolérancés
 Enveloppe (exigence de l’enveloppe)  Tolérances géométriques
 Étalonnage  Tolérance projetée
 Erreurs de mesurage
 Vocabulaire et définitions
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Appareils de mesure et de contrôle
Pied à coulisse
Jauge de profondeur
Micromètre
Colonne de mesure
Rugosimètre
Projecteur de profil
Comparateur
Cales étalon
Divers (règle sinus, équerre,…)
MMT
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Pied à coulisse
Pied à coulisse à pointes
Pied à coulisse mécanique à vernier au 1/50 ème
Il est à noter qu’il existe de nombreux

pieds à coulisse spécifiques:
-- à becs longs,
-- à becs décalés,
-- pour gorges intérieures,
Pied à coulisse numérique -- pour épaisseur de tubes,
-- …
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Jauge de profondeur
Jauge de profondeur numérique
Jauge micrométrique
Micromètre
Fonction
Utilisation
Capabilité
Support de micromètre
Micromètre mécanique 0-25 mm
Capabilité
Information
Micromètre numérique 25-50 mm
Micromètre Micromètre d’intérieur
à rallonges
Micromètre mécanique
Micromètre d’intérieur 3 touches

Micromètre d’intérieur
à becs de mesure
Colonne de mesure
Une colonne permet de connaître la distance d’un bi-point
vertical. Elle sera utilisée pour déterminer des distances entre
plans, des diamètres, des entraxes,….
Exemple : détermination
d’un entraxe
Équipements associés
Plot d’étalonnage
Palpeur électronique
Palpeurs
Rugosimètre
Rugosimètre électronique d’atelier
Plaquette de référence pour l’étalonnage Palpeur diamant
Projecteurs de profil
Appareils optiques qui permettent
de mesurer et contrôler :
-- des profils – filetages,
- clés,
- pignons,
-…
-- des faces - pièces frappées ,
- rugosité,
-…
Comparateurs
Mécanique
Numérique
D’intérieur
Support mobile
Comparateurs
Exemple: mesurage d’épaisseur
d’une plaque
De profondeur
Pour gorges intérieures Pour gorges extérieures

Cales étalons
Utilisées pour l’étalonnage
Jeux de cales // en acier d’un comparateur
Jeux de cales // en céramique Utilisées pour l’orientation d’une règle sinus
Outillages divers
Équerre à combinaisons multiples Rapporteur

D’angles
Règle SINUS
Hypoténuse = 5 pouces
Hypoténuse = 100 mm
Machine à Mesurer Tridimensionnelle
Tolérances géométriques
GENERALITES
Eléments tolérancés
Zones de tolérance orientation
Eléments de référence
Forme
Position
Battement
Généralités
Les tolérances géométrique limitent l’écart de l’élément réel par rapport à :
-- sa forme,
-- son orientation,
-- sa position (sans tenir compte de sa dimension).
Une tolérance géométrique comporte :

-- des éléments tolérancés,
-- des zones de tolérances,
-- une référence spécifiée ou un système de référence spécifié.
Elles s’exprime par un cadre de tolérance à 2, 3, 4 ou 5 cases 1 2 3 4 5
-- 1 symbole de la tolérance (forme, orientation, position ou battement),

-- 2 dimension de la zone de tolérance,
-- 3 référence spécifié,
-- 3,4 et 5 système de référence spécifié.
Tolérance de forme < Tolérance d’orientation < Tolérance de position
Les éléments tolérancés- sont des éléments réels, ponctuels, linéiques ou surfaciques. L’élément (ou les
éléments) sera déclaré conforme s’il se trouve à l’intérieur de la zone de tolérance (ou des zones de
tolérance).
Les références spécifiées -sont des éléments idéaux, ponctuels, linéiques ou plans extraits de la surface réelle
(voir Association d’un élément géométrique)
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Eléments tolérancés (exemples) Groupe d’éléments tolérancés unique, extrait
d’une surface réelle nominalement
cylindrique
Axes réels
Elément tolérancé unique, extrait d’une
surface réelle nominalement plane
Elément tolérancé unique, construit, surface Elément tolérancé unique, extrait, lignes non
médiane réelle nominalement plane idéales nominalement circulaires
Zones de tolérance
Les zones de tolérance sont des espace de nature volumique ou surfacique limités respectivement par un ou
plusieurs éléments géométriques idéaux de nature surfacique ou linéique.
La zone de tolérance est qualifiée de :

-- Unique, si elle est appliquée à un seul élément tolérancé,
-- Composée, si elle est appliquée à un groupe d’éléments tolérancés.
La zone de tolérance peut être modifiée par une exigence :

-- de l’Enveloppe E L’enveloppe de forme parfaite au maximum de matière ne doit pas être
dépassée. Cette exigence est un moyen de limiter les écarts de forme .
-- du Maximum de matière M Cette exigence qui permet d’augmenter la tolérance

d’orientation ou de position, se traduit par la mise en place d’une
relation entre la dimension d’un élément et son orientation ou sa
position.
Maxi matière M
Enveloppe E
Orientation ou
Forme Dimension position
-- de tolérance Projetée P Cette exigence permet d’étendre l’élément tolérancé en

dehors des limites de l’élément matériel.
Chaque zone de tolérance est caractérisée par une dimension linéaire dont la valeur est appelée tolérance.
Zones de tolérance - Unique
tf
2 plans parallèles distants de tf, non contraints en

situation (vrai pour toutes les tolérances de forme).
Ø tp
C B
Cylindre de Ø tp, dont l’axe est contraint coaxial à

la droite de référence C-B
Zones de tolérance - Composée
Zone de tolérance composée de deux zones simples

Ø tp
A
20 12,5
Volume limité pour chaque zone par un cylindre de Ø tp, et

contraint en situation par les références A (axe de la zone
perpendiculaire) et B (12.50). La situation des zones est
établie par une dimension de référence 20.
Zones de tolérance - Projetée
Ø tp
Axe réel rectiligne 20
à l’extérieur du cylindre
tolérancé B
A
25 30
Volume limité par un cylindre de Ø tp et de longueur

20 mm (située à partir du plan supérieur) , et contraint
en situation par les références A (axe de la zone
perpendiculaire) C (25) et B (30).
L’axe réel est rectiligne, mais son mode de construction n’est défini par la norme – généralement le critère de
construction retenu est: « cylindre tangent du coté libre de la matière qui minimise le plus grand des écarts »
Zones de tolérance – Maximum de matière
Ø tp
A
Ecart de perpendicularité
0,06
0,05
Volume limité par un cylindre de Ø T dont l’axe est Accroissement de pièces
0,04
contraint à être perpendiculaire à A.
0,03 bonnes avec le maxi matière
-- Si l’élément tolérancé est dans son état maximal de
matière T = tp 0,02
-- Si l’élément tolérancé est dans son état minimum de 0,01
Ø arbre
matière T = tp + td (tolérance dimensionnelle) 0
Exemple 25 25,04
Zones de tolérance – Maximum de matière
Ø 0.020
A
Si Ø 25,04 écart maxi de perpendicularité 0.02
Si Ø 25,03 écart maxi de perpendicularité 0.03
….. Ecart de perpendicularité
Si Ø 25,00 écart maxi de perpendicularité 0.06 0,06
0,05
0,04
0,03
0,02
0,01
0 Ø arbre
25 25,04
Eléments de référence
La référence spécifiée est un élément idéal de type :
-- POINT
-- DROITE
-- PLAN
Ces points, droites ou plan sont les éléments de situation de lignes ou de surfaces idéales associées aux
éléments de référence (centre d’un cercle, axe d’un cylindre, …) ou des éléments résultant d’une construction
géométrique.
L’opération d’association d’un élément idéal à un élément réel extrait se défini par un critère. Actuellement,
le critère retenu est « tangent du coté libre de la matière qui minimise le plus grand des écarts ».
(voir Association d’un élément géométrique).
La référence spécifiée est qualifiée de : Commune, si elle résulte d’une

Simple, si elle résulte d’une association d’un seul association de plusieurs éléments idéaux.
élément idéal à un seul élément de référence
Le système de références spécifiées est une suite ordonnée de 2 ou 3 éléments idéaux.

Eléments de référence - Simple
Référence spécifiée de type plan Elément de référence
Référence spécifiée A associée à

l’élément de référence
Référence spécifiée, plan médian de 2 plans
Référence spécifiée B
Eléments de référence - Commune
Référence spécifiée commune, axe de 2 cylindres coaxiaux
Référence spécifiée C-B
La référence spécifiée est le résultat de

l’association de 2 cylindres aux éléments de
référence. Les 2 cylindres ont le même axe.
Référence spécifiée de type plan,

par un groupe d’éléments tolérancés
Référence spécifiée D
La référence spécifiée est le résultat de l’association de 2
cylindres aux éléments de référence. Les 2 cylindres sont
contraints à avoir leurs axes parallèles et distants de 20 .
Eléments de référence – Système de références
Système de références spécifiées constitué d’un plan et d’une droite perpendiculaire
Référence secondaire B
Référence primaire A
Influence de l’ordre d’inscription dans le cadre de la tolérance
Référence primaire B
Référence secondaire A
Références simulées
Les références spécifiées sont des éléments théoriques définis par la norme (critère :
« tangent du coté libre de la matière qui minimise le plus grand des écarts »), mais ne sont pas matèrialisables
simplement.
Les vérifications seront donc faites à partir de références simulées, qui sont la
matérialisation des références spécifiées. Le travail du contrôleur sera de matérialiser des références
simulées proches des références spécifiées, ceci afin de limiter les erreurs de mesurage.
Jouer l’animation
-- les défauts géométriques des références simulées devront être négligeables par rapport aux
tolérances spécifiées.
-- Les références simulées seront établies matériellement (marbre de contrôle) ou théorique (MMT
« critère des moindres carrés »).
Références simulées
Les références spécifiées sont des éléments théoriques définis par la norme (critère :
« tangent du coté libre de la matière qui minimise le plus grand des écarts »), mais ne sont pas matèrialisables
simplement.
Les vérifications seront donc faites à partir de références simulées, qui sont la
matérialisation des références spécifiées. Le travail du contrôleur sera de matérialiser des références
simulées proches des références spécifiées, ceci afin de limiter les erreurs de mesurage.
Référence spécifiée Elément de référence
Marbre
Référence simulée
Erreur d’orientation de la référence simulée
-- les défauts géométriques des références simulées devront être négligeables par rapport aux
tolérances spécifiées.
-- Les références simulées seront établies matériellement (marbre de contrôle) ou théorique (MMT
« critère des moindres carrés »).
Décodage de spécifications par tableau d’analyse
Coaxialité et Battement total radial
Coaxialité par tableau d’analyse
Analyse d'une spécification par zone de tolérance
Symbole de la Eléments non idéaux
spécification
Eléments idéaux
SKIN modèle
Type de la spécification Forme
Posit ion Eléme nt(s) Elé ment(s) Référence (s)

Coaxialité Bat tement
_____________________________ Tolérancé (s) de Référe nce Spé cifiée (s)
Zone de tolérance
Orient ation
Conditions de conformité Unique Unique Simple Simple Contraintes

L’élément tolérancé doit se
______________________________________ Groupe Multiples Système Composée Orientation et/ou position par
situer dans la zone de
_______________________________________ Commune rapport à la référence spécifiée
tolérance
Schéma
extrait du dessin de définition
T
T
Droite A
Droite A
Ligne réputée Surface A Droite A axe Volume
rectiligne, axe nominalement du cylindre limité par un Axe T de la zone de
réel d’une cylindrique associé à la cylindre d’axe tolérance contraint
surface surface A – T et de Ø confondu avec la
nominalement critère Ø maxi 0,06 mm droite A
cylindrique
Battement total radial par tableau d’analyse
Analyse d'une spécification par zone de tolérance
Symbole de la Eléments non idéaux
spécification
Eléments idéaux
SKIN modèle
Type de la spécification Forme
Posit ion Eléme nt(s) Elé ment(s) Référence (s)

Battement radial Bat tement
_____________________________ Tolérancé (s) de Référe nce Spé cifiée (s)
Zone de tolérance
total Orient ation
Conditions de conformité Unique Unique Simple Simple Contraintes

L’élément tolérancé doit se
______________________________________ Groupe Multiples Système Composée Orientation et/ou position par
situer dans la zone de
_______________________________________ Commune rapport à la référence spécifiée
tolérance
Schéma
extrait du dessin de définition
T
T
Droite A
Droite A
Ligne réputée Surface A Droite A axe Volume
rectiligne, axe nominalement du cylindre limité par 2 Axe T de la zone de
réel d’une cylindrique associé à la cylindres tolérance contraint
surface surface A – d’axe confondu avec la
nominalement critère Ø maxi commun T et droite A
cylindrique de différence
de rayons de
Ø 0,06 mm
Forme
FORME
Caractéristiques de la zone de tolérance
Types Désignation Elément tolérancé
situation intrinsèque
Elément linéique nominalement Ø d'un cylindre
Rectitude Aucune
rectiligne Distance entre 2 droites
Elément linéique nominalement Distance entre 2 cercles

Circularité Aucune
circulaire concentriques
Forme d'une ligne

Elément linéique Aucune Distance entre 2 lignes
quelconque
Elément surfacique
Planéité Aucune Distance entre 2 plans paralléles
nominalement plan
Elément surfacique Distance entre 2 cylindres

Cylindricité Aucune
nominalement cylindrique coaxiaux
Forme d'une surface

Elément surfacique Aucune Distance entre 2 surfaces
quelconque
Orientation
ORIENTATION
Parallélisme
Ø d'un cylindre
Elément linéique nominalement Distance entre 2 droites
Perpendicularité rectiligne Distance entre 2 plans
--- ---
avec une référence spécifiée
Inclinaison Angle
Orientation ligne surface Distance entre 2 lignes ou 2

Elément linéique
quelconque surfaces
---
Orientation d'une surface avec une référence ou un
Elément surfacique
quelconque système de références
Position
POSITION
Ponctuel
Angle Distance entre 2 droites
Symétrie Linéique nominalement rectiligne
Distance ou 2 plans
Surfacique nominalement plan
Avec une référence
Concentricité Ponctuel Distance Ø d'un cercle spécifiée
Coaxialité Linéique nominalement rectiligne Distance Ø d'un cylindre
Ponctuel
Linéique nominalement rectiligne
Localisation Surfacique nominalement plan
Ø d'un cercle ou d'un cylindre
Orientation d'une ligne Angle
Elément linéique Distance entre 2 droites
surface quelconque Distance
Distance entre 2 plans
Orientation d'une surface

Elément surfacique
quelconque
Battement
Battement
Elément linéique appartenant

Battement circulaire nominalement à un plan, un
AXIAL – RADIAL Distance entre 2 lignes
cylindre ou à un cône
Angle Distance entre 2 surfaces
Distance ---
Elément surfacique avec une référence spécifiée
Battement total nominalement plan, cylindrique
AXIAL – RADIAL ou cônique
Elément associé
L’élément associé à l’image d’un réel est un élément géométrique idéal (plan, cylindre,…)
tangent du coté libre de matière et minimisant le plus grand des écarts (autre critère : moindres carré
généralement utilisé par les logiciels de MMT).
Les éléments associés peuvent être utilisés seuls ou en commun (pour définir un système de
référence spécifié).
Nota : en pratique, ces éléments sont difficilement matérialisables, le défaut de forme du réel
sera donc considéré négligeable.
Exemple : Elément associé à l’image d’une droite
Elément associé d2
d1
de
Matière d2>d1>de
Matière Arbre Alésage

Elément associé Elément associé
cylindre minimal cylindre maximal
contenant le réel inscrit dans le réel
(battement angulaire (battement angulaire
minimal) Matière
minimal)

Capabilité des moyens de mesurage
Un des critères de choix de l’ appareil de mesure est l’indice de capabilité (Cmc) -
capacité d'un moyen de mesurage à vérifier de façon fiable une dimension définie par un
intervalle de tolérance.
Moyen de mesurage : association d’un appareil, d’un opérateur, d’une pièce et de
son environnement.
On défini cet indice par le rapport suivant :

IT
Cmc = _________________
Intervalle de Tolérance Dispersion observée
IT : intervalle de tolérance de la spécification
Dispersion observée : 6
 (sigma) écart type des valeurs obtenues lors du

linf lsup
Dispersion observée mesurage (voir feuille de calcul page suivante)
Il a été démontré, que si cet indice de capabilité calculé est supérieur ou égal à 10, le niveau de
confiance est excellent, et l’erreur engendrée est négligeable. Dans la pratique, lorsque le Cmc est
supérieur à 5 on considère que le niveau de confiance est convenable : le moyen de mesurage est
déclaré capable.
Capabilité des moyens de mesurage
Pour raison de simplification, la procédure définie par la norme a été
Feuille de calcul modifiée. Un seul opérateur mesurera 30 fois la même dimension
d’un indice de (zone à repérer sur la pièce), en prenant les précautions d’usage liées
à l’utilisation de l’appareil de mesure – étalonnage, température, …
capabilité Cmc
Histogramme théorique
Limite inférieure de tolérance
Limite supérieure de tolérance

Saisie des relevés
Histogramme réel
Informations sur la mesure

-- forme de la surface,
-- limite de tolérance,
-- situation,
-- ….
Calcul du Cmc et l’IT

minimal mesurable dans les
mêmes conditions
Film de suivi des mesures
Diamètre d’un cylindre
Écriture de la spécification Étalonnage du micromètre
Comparer la valeur affichée par le micromètre d’alésage, lors du
mesurage d’un cylindre étalon de dimension connue.
Contrôle
-- Réaliser n mesures (n dépendant de l’étendue de l’alésage)
-- L’alésage est déclaré conforme, si les valeurs relevées sont situées dans
l’intervalle de tolérance.
Décodage de la spécification
Les dimensions di extraites du réel
doivent se situer dans l’intervalle de
tolérance
40.000  di  40.062

Diamètre d’un cylindre (exigence de l’enveloppe)
Comparer la valeur affichée par le micromètre d’alésage, lors du
mesurage d’un cylindre étalon de dimension connue
Contrôle
A - Réaliser n mesures (n dépendant de l’étendue de l’alésage)
B - Faire pénétrer dans l’alésage, un cylindre de diamètre 40.000

(enveloppe) et de longueur supérieure à celle de l’alésage contrôlé,
A. Les dimensions di extraites du réel -- L’alésage est déclaré conforme:
doivent se situer dans l’intervalle - si les valeurs relevées sont situées dans l’intervalle de tolérance.
de tolérance. - si le cylindre enveloppe a pu rentrer complètement dans l’alésage.
B. Une enveloppe cylindrique parfaite
au minimum de matière (40.000)
ne doit pas être dépassée
40.000  di  40.062 A
B Sommaire - Page suivante - Page précédente - Dernière page affichée

Distance entre plans
Comparer la valeur affichée par l’appareil de mesure, lors du
mesurage d’un étalon de dimension connue
Contrôle
-- Réaliser n mesures (n dépendant de l’étendue de l’alésage)
-- La distance entre les plans est déclarée conforme, si les valeurs

relevées sont situées dans l’intervalle de tolérance.
Les dimensions di extraites du réel
doivent se situer dans l’intervalle de
tolérance
39.850  di  40.150

Parallélisme d’un plan
Écriture de la spécification Étalonnage du poste de contrôle
Pour le contrôle d’un parallélisme, il n’y pas d’opération d’étalonnage –
seul l’orientation de la surface est considérée.
Contrôle
- Poser la surface de référence B

sur le marbre.
Décodage de la spécification - Mettre le palpeur en contact avec Comparateur
l’élément tolérancé. maintenu par un
Les points extraits du réel doivent
support
être situés dans la zone de tolérance - Palper l’ensemble de la surface et
relever la valeur des positions
? extrêmes de la grande aiguille.
- L’élément est déclaré conforme,
si différence d’altitude entre les
valeurs maxi et mini est inférieure
La zone de tolérance est // à B ou égale à 0,20 mm
Référence B Marbre

Perpendicularité d’un plan
Pour le contrôle d’une perpendicularité, il n’y pas d’opération d’étalonnage
– seul l’orientation de la surface est considérée.
Contrôle
- Poser la surface de référence C sur le marbre.
- Mettre le palpeur en contact avec la surface tolérancée.
- Palper l’ensemble de la surface et relever la valeur des positions
Décodage de la spécification extrêmes de la grande aiguille.
Les points extraits du réel doivent - L’élément est déclaré conforme, si la différence d’altitude entre les
être situés dans la zone de tolérance valeurs maxi et mini est inférieure ou égale à 0,15 mm
Remarques importantes:
Marbre
- Le déplacement du comparateur
La zone de doit être parfaitement
tolérance est ┴ à C perpendiculaire au marbre –
difficile à obtenir avec des
?
moyens conventionnels.
- Généralement le
défaut de forme
sera négligé
Référence C
devant le défaut
d’orientation (voir
page suivante).
Perpendicularité d’un plan
Étalonnage du poste de contrôle Contrôle
Positionner le palpeur à l’extrémité
- Poser la surface de référence C sur le marbre.
supérieure de l’élément tolérance
- Mettre le palpeur en contact avec la surface tolérancée.
- Palper l’ensemble de la génératrice, et relever la valeur des positions
extrêmes de la grande aiguille.
- L’élément est déclaré conforme: ? valeur maxi et mini de même signe
? valeur maxi et mini de
signe différent
Marbre d’équerrage
Régler le 0 comparateur au point de rebroussement,

lors du déplacement du cylindre étalon

Inclinaison d’un plan
Pour le contrôle d’une inclinaison, il n’y pas d’opération d’étalonnage –
seul l’orientation de la surface est considérée.
Contrôle
- Poser la surface de référence D Comparateur
sur la règle sinus maintenu par un
support
- Mettre le palpeur en contact avec
la surface tolérancée.
Décodage de la spécification - Palper l’ensemble de la surface
et, relever la valeur des positions
être situés dans la zone de tolérance
La zone de tolérance
si différence d’altitude entre les
est inclinée de 20° par
rapport à D valeurs maxi et mini est inférieure
ou égale à 0,20 mm
? Empilage de cales =
Entraxe 100 x Sinus de l’angle spécifié
Référence D
Coaxialité
Écriture de la spécification Préparation du poste de contrôle
Comparateur maintenu par un support
Pièce en appui sur la surface de référence A
Vé de contrôle
Marbre
Nota: les défauts de forme de l’élément tolérancé
et de la référence A sont considérés négligeables.
Décodage de la spécification Contrôle

être situés dans la zone de tolérance - Poser la surface de référence B
sur le vé de contrôle
Référence spécifiée B - Mettre le palpeur en contact avec
- Palper l’ensemble de la surface
? - L’élément est déclaré conforme,
si la différence d’altitude entre les
Élément tolérancé
Localisation d’un plan
Comparateur installé sur un
Comparateur
support et réglé à 0 maintenu par un
Index maxi à +0,10 support
Index mini à –0,10
Étalon de 40,000 mm
Marbre de contrôle
Contrôle
Les points extraits du réel doivent - Poser la surface de référence A sur
être situés dans la zone de tolérance le marbre.
- Mettre le palpeur en contact avec la
surface tolérancée.
- Palper l’ensemble de la surface.
? - L’élément est déclaré conforme, si la
grande aiguille est restée
entre les 2 index.
Référence A

Localisation d’un cylindre
Écriture de la spécification Contrôle réalisé avec une MMT
être situés dans la zone de tolérance
Référence spécifiée B
PL1 référence simulée associée à A
Élément tolérancé CE2 cercle associé à B
CY3 cylindre tolérancé (défaut de forme négligé)
PL4 plan limite supérieur de l’élément tolérancé
PT4 projection du centre de CE2
DR5 droite perpendiculaire à PL1 et passant par PT4
? PT5 PT6 positions limites de l’élément tolérancé
DIS6 Distances entre la référence simulée B et les
Référence spécifiée A DIS7 positions extrêmes de l’élément spécifié
Symétrie
Écriture de la spécification Contrôle réalisé avec une colonne de mesure
Restrictions :
-- les défauts de forme des différents éléments sont
considérés négligeables.
-- les éléments de référence, et les plans constituants
l’élément tolérancé sont supposés perpendiculaires à la base
de la pièce.
L’élément tolérancé doit être situé
dans la zone de tolérance
Élément tolérancé
Référence spécifiée A
Symétrie
Direction de mesure
Jouer l’animation

Symétrie
Direction de mesure
1 - Palper l’élément supérieur de référence
4 - Palper le plan supérieur de

l’élément tolérancé
3 - Construire un point médian - Point de référence
Afficher le défaut  0,05/2
6 - Construire un point médian
5 - Palper le plan inférieur de

l’élément tolérancé
2 - Palper l’élément inférieur de référence
Cette procédure doit être réalisée aux 2

extrémités de l’élément tolérancé.
Battement circulaire axial Porte-pièce modulaire de contrôle
Écriture de la spécification
Liaison pivot par centreur expansible

Contrôle
- Installer l’alésage de
Décodage de la spécification référence B dans le centreur
expansible.
Référence spécifiée B - Mettre le palpeur en contact
? avec l’élément tolérancé.
- Palper l’ensemble de la
surface, et relever la valeur des
positions extrêmes de la grande
aiguille.
- L’élément est déclaré
0.04 conforme, si la différence entre
?
les valeurs maxi et mini est
inférieure ou égale à 0.04 mm Sommaire - Page suivante - Page précédente - Dernière page affichée
Battement total axial Porte-pièce modulaire de contrôle
Écriture de la spécification
Liaison pivot par centreur expansible

Contrôle
- Installer l’alésage de référence B dans le centreur expansible.
- Mettre le palpeur en contact
avec l’élément tolérancé.
- Palper l’ensemble de la
surface, et relever la valeur des
Référence spécifiée B ? positions extrêmes de la grande
aiguille.
conforme, si la différence entre
inférieure ou égale à 0.06 mm
Nota: le déplacement vertical du
0.05 ? comparateur doit être perpendiculaire
à la référence spécifiée.
Battement circulaire radial
Écriture de la spécification Porte-pièce modulaire
de contrôle Liaison pivot par
centreur
expansible
Contrôle
Décodage de la spécification - Installer l’alésage de référence

B dans le centreur expansible.
L’élément tolérancé doit être situé
dans la zone de tolérance - Mettre le palpeur en contact avec
l’élément tolérancé.
- Palper l’ensemble de la surface,
? et relever la valeur des positions
si la différence entre les valeurs
maxi et mini est inférieure ou
égale à 0.06 mm
?

Battement total radial
Écriture de la spécification Porte-pièce modulaire
de contrôle Liaison pivot par
centreur
expansible
Contrôle
- Installer l’alésage de référence B dans le centreur expansible.

- Mettre le palpeur en contact
Décodage de la spécification avec l’élément tolérancé.
L’élément tolérancé doit être situé - Palper l’ensemble de la
dans la zone de tolérance surface, et relever la valeur des
positions extrêmes de la grande
aiguille.
?
conforme, si la différence entre
inférieure ou égale à 0.04 mm
Nota: le déplacement horizontal du
comparateur doit être parallèle à la
?
référence spécifiée.
Planéité
L’orientation de l’élément géométrique
associé se fait par la mise à niveau des
points extrêmes de l’élément tolérancé.
Surface tolérancée
Vérin de mise à niveau réglé avec

le comparateur
Marbre
Les points extraits du réel doivent être
situés dans la zone de tolérance Contrôle
- Mettre le palpeur en contact avec

df extrêmes de la grande aiguille.
Élément geométrique associé
L’élément geométrique associé est tracé du si la différence d’altitude entre les
coté libre de la matière, et orienté de façon à valeurs maxi et mini est inférieure
minimiser le défaut de forme. ou égale à 0,005 mm
df défaut de forme = distance du point le
plus éloigné depuis l’élément associé. Sommaire – Sous menu - Page suivante - Page précédente - Dernière page affichée
Rectitude
L’orientation de l’élément géométrique
associé se fait par la mise à niveau des
points extrêmes de l’élément tolérancé.
Surface tolérancée
Vérin de mise à niveau réglé avec

le comparateur
Marbre
Décodage de la spécification Contrôle

situés dans la zone de tolérance - Mettre le palpeur en contact avec
df si la différence d’altitude entre les
df défaut de forme = distance du point le
plus éloigné depuis l’élément associé.
Circularité
Écriture de la spécification Contrôle
Le contrôle des défauts de circularité étant très difficile à mettre
en œuvre avec des moyens conventionnels, il ne sera pas abordé
dans cette présentation.
Pour déterminer un défaut de circularité, on utilisera une machine
à mesurer tridimensionnelle, néanmoins il sera important de
connaître la méthode de calcul utilisée.
situés dans la zone de tolérance
L’ Élément geométrique associé est tracé du coté libre de la matière, et

correspond au plus grand cercle inscrit dans la section observée.
df défaut de forme = distance du point le plus éloigné depuis l’élément

associé.
Cylindricité
Écriture de la spécification Contrôle
Le contrôle des défauts de cylindricité étant très difficile à mettre
en œuvre avec des moyens conventionnels, il ne sera pas abordé
dans cette présentation.
Pour déterminer un défaut de cylindricité, on utilisera une
machine à mesurer tridimensionnelle, néanmoins il sera important
de connaître la méthode de calcul utilisée.
situés dans la zone de tolérance
L’ Élément geométrique associé est tracé du coté libre de la matière, et

correspond au plus grand cylindre inscrit.
df défaut de forme = distance du point le plus éloigné depuis l’élément

associé.
Vocabulaire et définitions NF X 07-001
La métrologie a pour but de mesurer, vérifier ou comparer les pièces pour s'assurer que les
conditions fonctionnelles ont été respectées.

La métrologie met donc en oeuvre tous les moyens mécaniques, optiques ou électriques
capables d'assurer un contrôle sûr. Ces appareils, si précis soient-ils, comportent toujours une
incertitude qui doit être faible devant la précision souhaitée sur la lecture (voir capabilité des moyens
de mesurage).
QUALITÉS MÉTROLOGIQUES des INSTRUMENTS de MESURAGE
Étendue de mesurage. C'est l'étendue des valeurs de la grandeur à mesurer pour

lesquelles les indications d'un instrument ne doivent pas être entachées d'une erreur supérieure à
l'erreur maximale tolérée.
Justesse d'un instrument de mesurage. Qualité qui caractérise l'aptitude d'un instrument à
donner des indications égales à la valeur vraie de la grandeur mesurée.
Fidélité d'un instrument de mesurage. Qualité qui caractérise l'aptitude d'un instrument de
mesurage à donner pour une même valeur de la grandeur mesurée, des indications concordant entre
elles.
Vocabulaire et définitions NF X 07-001
QUALITÉS MÉTROLOGIQUES des INSTRUMENTS de MESURAGE (suite)
Constance d'un instrument. Qualité qui caractérise l'aptitude d'un instrument à

conserver des qualités métrologiques constantes en fonction du temps.
Temps de réponse d'un instrument. Temps qui s'écoule après une variation brusque de la
grandeur à mesurer jusqu'à ce que l'instrument donne une indication qui ne diffère pas de l'indication
définitive.
Précision d'un instrument. Qualité qui caractérise l'aptitude d'un instrument de

mesurage à donner des indications proches de la valeur vraie de la grandeur mesurée. La précision est
une qualité globale de l'instrument.
Dérive. Déplacement lent et progressif du zéro ou, plus

généralement, de l'indication au cours du temps.
ETALONNAGE des INSTRUMENTS de MESURAGE
Étalonnage, ensemble des opérations ayant pour but de déterminer les valeurs des erreurs
d'un instrument de mesure, et éventuellement d'autres caractéristiques métrologiques.
Erreurs de mesurage
ORIGINES et CAUSES des ERREURS
L'Instrument. Le principe même de la mesure est à l'origine d'une erreur

instrumentale ainsi que:
-- les graduations (erreur d'interpolation),
-- les jeux des axes (usure) , articulations…,
-- les défauts de forme,
-- la déformation des contacts (fonction des efforts de serrage),
-- les frottements.
Le manipulateur. La lecture, la mesure peuvent être faussées par la maladresse du

manipulateur :
-- mauvaise lecture (erreur de lecture, erreur de parallaxe, erreur d'interpolation ... ),
-- mauvaise manipulation (mauvaise mise en place, mauvais étalonnage ... ).
Le milieu ambiant. C'est essentiellement la température du milieu ambiant qui influe

sur la mesure.
D'une façon générale, les températures de l’appareil et de la pièce à mesurer devront
être la température d'étalonnage (en général 20°C).
La pièce à mesurer. La pièce à mesurer devra être préparée en vue du contrôle

(dégraissage, ébavurage ... ).
Erreurs de mesurage
ERREURS des RÉSULTATS de MESURAGE
Erreur systématique. Erreur qui, lors de plusieurs mesurages effectués dans

les mêmes conditions, de la même valeur, d'une même grandeur, reste constante en valeur absolue et
en signe.

Erreur fortuite (erreur aléatoire). Erreur qui varie d'une façon imprévisible en valeur
absolue et en signe.

Erreur parasite (erreur aléatoire). Erreur souvent grossière qui résulte d'une exécution
incorrecte du mesurage (lecture fausse, mauvais emploi...

Erreur absolue. Différence algébrique entre le résultat du mesurage et la
valeur de comparaison .
Défaut de PLANEITE
Défaut de COAXIALITE
Défaut de PARALLELISME
Défaut de PERPENDICULARITE
Pour valider ce moyen de contrôle, le défaut de forme de l’élément tolérancé doit

être considéré négligeable.
ETALONNAGE – Jauge de profondeur
BATTEMENT
CALIBRE à COULISSE
MICROMETRE
COLONNE de MESURE

00 - Métrologie

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 Appareils de mesure et de contrôle Inclinaison d’un plan

 Association d’un élément géométrique

 Diamètre d’un cylindre  Rectitude d’une droite

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Il est à noter qu’il existe de nombreux

Jauge de profondeur numérique

Micromètre mécanique 0-25 mm

Micromètre numérique 25-50 mm

Micromètre d’intérieur 3 touches

Rugosimètre électronique d’atelier

Plaquette de référence pour l’étalonnage Palpeur diamant

Pour gorges intérieures Pour gorges extérieures

Jeux de cales // en céramique Utilisées pour l’orientation d’une règle sinus

Équerre à combinaisons multiples Rapporteur

Une tolérance géométrique comporte :

Elles s’exprime par un cadre de tolérance à 2, 3, 4 ou 5 cases 1 2 3 4 5

-- 1 symbole de la tolérance (forme, orientation, position ou battement),

Tolérance de forme < Tolérance d’orientation < Tolérance de position

La zone de tolérance est qualifiée de :

La zone de tolérance peut être modifiée par une exigence :

-- du Maximum de matière M Cette exigence qui permet d’augmenter la tolérance

-- de tolérance Projetée P Cette exigence permet d’étendre l’élément tolérancé en

2 plans parallèles distants de tf, non contraints en

Cylindre de Ø tp, dont l’axe est contraint coaxial à

Zone de tolérance composée de deux zones simples

Volume limité pour chaque zone par un cylindre de Ø tp, et

Volume limité par un cylindre de Ø tp et de longueur

La référence spécifiée est qualifiée de : Commune, si elle résulte d’une

Le système de références spécifiées est une suite ordonnée de 2 ou 3 éléments idéaux.

Référence spécifiée de type plan Elément de référence

Référence spécifiée A associée à

Référence spécifiée, plan médian de 2 plans

La référence spécifiée est le résultat de

Référence spécifiée de type plan,

Influence de l’ordre d’inscription dans le cadre de la tolérance

Référence spécifiée Elément de référence

Posit ion Eléme nt(s) Elé ment(s) Référence (s)

Conditions de conformité Unique Unique Simple Simple Contraintes

Posit ion Eléme nt(s) Elé ment(s) Référence (s)

total Orient ation

Conditions de conformité Unique Unique Simple Simple Contraintes

Elément linéique nominalement Distance entre 2 cercles

Forme d'une ligne

Elément surfacique Distance entre 2 cylindres

Forme d'une surface

Orientation ligne surface Distance entre 2 lignes ou 2

Coaxialité Linéique nominalement rectiligne Distance Ø d'un cylindre

Orientation d'une surface

Elément linéique appartenant

Exemple : Elément associé à l’image d’une droite

Matière Arbre Alésage

Sommaire - Page suivante - Page précédente - Dernière page affichée

On défini cet indice par le rapport suivant :

IT : intervalle de tolérance de la spécification

 (sigma) écart type des valeurs obtenues lors du

Limite inférieure de tolérance

Limite supérieure de tolérance

Informations sur la mesure

Calcul du Cmc et l’IT

-- Réaliser n mesures (n dépendant de l’étendue de l’alésage)

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A - Réaliser n mesures (n dépendant de l’étendue de l’alésage)

B - Faire pénétrer dans l’alésage, un cylindre de diamètre 40.000