Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Eau
Les ouvrages hydrauliques
Remarques:
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Jaugeages différentiels
Exemple:
Chapitre I : Hydrologie
Jaugeages différentiels
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Exemple loi de Gumbel
L’objectif de cet méthode est d’estimer les débits de pointes (débits maximaux) correspondants à
un certain temps de retour, c’est-à-dire à une certaine probabilité d’apparition donnée.
L'analyse fréquentielle d'une longue série de débits maximaux permet d’estimer le temps
de retour d'une valeur particulière. Cette prédiction repose sur la définition et la mise en
œuvre d’un modèle fréquentiel qui est une équation décrivant (modélisant) le
comportement statistique d’un processus. Ces modèles décrivent la probabilité
d’apparition d’un événement de valeur donnée. C’est du choix du modèle fréquentiel (et
plus particulièrement de son type) que dépendra la validité des résultats de l’analyse
fréquentielle.
Un modèle fréquentiel très souvent utilisé pour décrire le comportement statistique des
valeurs extrêmes est la distribution statistique de Gumbel (loi double exponentielle ou loi
de Gumbel). La fonction de répartition de la loi de Gumbel F(x) s’exprime de la manière
suivante :
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Exemple loi de Gumbel
En conséquence, dès lors que les points de la série à ajuster peuvent être reportés dans un
système d’axes x - u il est possible d’ajuster une droite qui passe le mieux par ces points et d’en
déduire les deux paramètres a et b de la loi. Il existe différentes méthodes d’ajustement :
méthode graphique (ajustement à l’œil ou à l’aide d’une régression statistique), méthode des
moments ect.
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Exemple loi de Gumbel
Etape 5 : Ajustement d’une relation linaire de type aux couples (ui, xi) (figure 1) et en déduire les deux
paramètres a et b). Avec un ajustement de type graphique (à l’œil), on a alors une estimation des
paramètres a et b : a = 25.5et b = 7.98
Etape 6 : Utilisation du modèle statistique pour estimer des débits de pointe de différents temps de retour T.
Par exemple pour T=100 ans, on suit les étapes suivantes :
*Calcul de la fréquence de non-dépassement d’après la relation (6) : F =0.99
*Calcul de la variable réduite de Gumbel correspondante d’après la relation (4): u= 4.60:
*Calcul du quantile correspondant d’après la relation linéaire (avec a et b fournis par l’étape 5 précédente ) :
Q100 = 25.5+4.60 . 7.98 = 62.2 m3/s
On a de même pour les autres temps de retour :
Q5=37.5 m3/s
Q20 =49.2 m3/s
Q50=56.6 m3/s
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Exemple loi de Gumbel
La méthode des moments consiste à égaler les moments des échantillons avec les moments
théoriques de la loi . Par la méthode des moments les paramètres a et b sont calculés d’après
les formules :
Chapitre I : Hydrologie
Analyse des crues
Chapitre I : Hydrologie
Chapitre I : Hydrologie
Exemple Logiciel : Hyfran Plus
Remarque :
Il est indispensable de procéder à un curage du cours d’eau au voisinage des seuils aménagé
passage d’une crue et notamment vis-à-vis des produits charriés (gravats, troncs d’arbres.)
Chapitre I : Hydrologie
Entretien et aménagement des cours d'eau
Chapitre I : Hydrologie
Entretien et aménagement des cours d'eau
Chapitre I : Hydrologie
Entretien et aménagement des cours d'eau
Chapitre I : Hydrologie
La modélisation hydrogéologique
I) Introduction :
La modélisation des phénomènes hydrologiques (débits de crue, d’étiage, transformation débit-pluie) est un outil
de plus en plus indispensable et notamment si on tient compte de la faible taille des séries hydrométriques ou tout
simplement leur absence. Les résultats sont également et de plus en plus couplées à des images satellites de bassins
versants pour le suivi, la description ainsi que la prévision de certains paramètres. L’objectif final d’une étude
par modèle est la prévision de phénomènes ou paramètres hydrologiques (inondations par exemple) ainsi que le
dimensionnement d’ouvrages hydrauliques (débits de projets pour ponts, barrages...)
- un modèle numérique de terrain (MNT) : données, levés topographiques, profils et ce après avoir délimité le ou
les tronçons d’étude
- un modèle hydrodynamique pour la simulation des phénomènes étudiés en décrivant des paramètres
hydrauliques tels que, niveau d’eau, débit, vitesse, côte amont, côte aval.
Le domaine étudié doit faire l’objet d’un maillage afin de faciliter l’entrée des données ainsi que la compréhension
des résultats affichés par le modèle. (Phase de discrétisation spatiale des données).
Il existe actuellement plusieurs logiciels qui sont adaptés aux objectifs demandés et problèmes posés, les
résultas doivent être exploités avec prudence compte tenu des différentes approximations retenues dans le
modèle hydrodynamique.
Chapitre I : Hydrologie
La modélisation hydrogéologique
I) Définitions générales :
1) Nappe ou aquifère :
Une formation aquifère est caractérisée par un toit et un mur. Le toit est le sommet
de la formation, tandis que le mur est la base.
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
2) Notion de porosité :
Pour qu’une roche puisse renfermer de l’eau, il faut qu’elle soit poreuse. Les pores sont des vides au sein d’une
roche et qui sont comblés par l’eau. Selon la nature des espaces vides, on distingue
deux types de porosités :
Les interstices sont des espaces vides crées par l’adjonction de plusieurs particules solides compactes,
c’est le cas par exemple d’un terrain constitué de graviers ou de sables plus ou moins grossiers. L’importance
ou le volume des interstices dépend du volume des particules : si les éléments sont, les interstices sont
importants (cas des graviers).si les particules sont petites, les interstices le sont également (cas des sables
fins).
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
L’infiltration ou l’injection dans le sol des eaux traitées ou non polluées peut offrir une
alternative au rejet vers le milieu superficiel. D’une part, on limite les débits pluviaux
vers les exutoires et d’autre part, on peut envisager la réalimentation des nappes
souterraines, mais seule une étude hydrogéologique du sol peut déterminer si cette
hypothèse est justifiée.
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
T apparaît comme étant le débit de la nappe par unité de gradient hydraulique et par unité de
longueur sur toute l’épaisseur de la nappe.
T renseigne sur la productivité de la nappe. Tant que T est élevée, tant que le débit soutiré
est grand. T s’exprime en m2/s.
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
7.3) diffusivité :
C’est le rapport T/S, plus ce rapport augmente, plus l’influence du pompage se fait sentir. On parle alors
d’aquifère nerveux.
La composition chimique d’une eau souterraine est étroitement liée à la nature de la roche magasin ainsi que
du lessivage des roches traversées. Une eau qui lessive un gisement de sel sera forcément une eau saumâtre,
une eau circulant dans une formation calcaire sera forcément chargée en CaCO3
(carbonate de calcium). On parle ainsi de faciès chimique de l’eau qu’on représente par un
diagramme de schoeller-Berkallof.
Il existe une relation empirique entre la conductivité électrique de l’eau et le résidu sec à savoir : R.S (mg/l) =
C (us/cm) x 0,7
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les eaux souterraines
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes piézométriques
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes piézométriques
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes piézométriques
2) Relation nappe rivière :
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes piézométriques
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes piézométriques
4) Configuration des conditions aux limites hydrodynamiques :
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes piézométriques
L’équation de Theis est principalement utilisée pour l’interprétation des essais de pompage.
Chapitre II : Hydrogéologie
Hydraulique souterraine
Chapitre II : Hydrogéologie
Hydraulique souterraine
Il faut que la pompe soit munie d’un flexible de refoulement d’au moins 50 m, en effet pour
éviter tout recyclage et ré infiltration de l’eau, il faut refouler l’eau plus loin et de préférence vers l’aval
hydraulique pour rejoindre un cours d’eau naturel on artificiel s’ils existent.
Il faut installer un tube piézométrique entre les éléments de la pompe et le tubage du forage .Ceci
permettra le suivi de l’évolution piézométrique dans une zone loin de toute agitation de l’eau due au
pompage.
Il faut installer des cuves bien étalonnées pour les mesures de débit. Ces cuves doivent être en
rapport avec le débit à mesurer .En effet pour des débits de 50 1/s, il n’est pas permis de
jauger avec une cuve de 10 litres. remarquons au passage que certaines pompes disposent de
compteurs pour mesures directes du débit.
Chapitre II : Hydrogéologie
Hydraulique souterraine
C’est une constante de l’essai, les variations de ce paramètre ne doivent pas dépasser 5% sinon l’essai
est ininterprétable, en effet toute méthode d’interprétation part du principe que Q est constant
au cours de l’essai .Comme il a été dit précédemment, on peut mesurer Q soit à l’aide de cuves
étalonnées, soit à l’aide de compteurs.
Les mesures de niveau sont faites au fur et à mesure du pompage moyennant un pas de temps
croissant. Il y a un imprimé spécial dans lequel on reporte les mesures ou rabattement.
(Rabattement = niveau instantané ou niveau dynamique – niveau statique).
Les mesures se font à l’aide d’une sonde : c’est une toile en plastique graduée, il y a une ampoule
qui fonctionne grâce à des piles : des que le bout de la sonde touche l’eau, la lampe s’allume, on lit
directement la valeur du niveau d’eau. Il existe des sondes de 50 m .100 m.
Remarques : Pour une bonne interprétation de l’essai de pompage, la durée de l’essai doit être la
plus longue possible : minimum de 24 heures. On peut faire des essais de 48 heures, 72 heures, 15
jours continus.
Chapitre II : Hydrogéologie
Hydraulique souterraine
Chapitre II : Hydrogéologie
Hydraulique souterraine
Chapitre II : Hydrogéologie
Interprétation des essais de pompage
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes thématiques des ressources en eau
Chapitre II : Hydrogéologie
Les cartes thématiques des ressources en eau
Chapitre II : Hydrogéologie
La modélisation hydrogéologique
Chapitre II : Hydrogéologie
La modélisation hydrogéologique