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INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE

Félix Houphouët Boigny

SOMMAIR
E
REMERCIEME
NTS

AVANT PROPOS

INTRODUCTION…………………..5
PREMIERE PARTIE : ETUDE HYDROLOGIQUE…………6

I-/ PROFIL EN LONG ET PROFILS EN TRAVER…………………………


7

I-1 / PROFIL EN LONG DE LA RUE PRINCIPALE…………………………7

I-1-1 /Description du tracé……………………………………………7

I-1-2 / Construction du profil en long…………………………8 I-2 /


PROFILS EN TRAVERS DE la RUE PRES DES ILOTS 17-18 ET C’ELLE DE LA
RUE PRES DES ILOT 5-6-7-8………………………………………………8

I-2-1 / description du tracé……………………………………9

I-2-2 / construction des différents profils en travers…….10

II-/ POSITIONNEMENT DES OUVRAGES DE


FRANCHISSEMENT……….10

III-/ DELIMITATION DES BASSINS VERSANTS……………………..


……11

III-1 / Méthodologie pour la délimitation des bassins versants..11

III-2 / Détermination de la surface et des autres paramètres des bassins versants


élémentaires…………………………………………11

III-3 /sens d’écoulement des eaux…………………………………...13

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IV/ APPLICATION DE LA LOI DE GUMBEL…………………………..…


14
IV-1 / Détermination de la hauteur de pluie correspondant aux périodes de retour par la
courbe de GUMBEL……………………17

IV-2 / Détermination de la hauteur de pluie correspondant aux périodes de retour par


la méthode analytique…………….17

V -/ CALCUL DE DEBITS DE NOS DIFFERENTS BASSINS VERSANTS

V-1/ Calcul des débits de crue de fréquence décennale……..19

V-2 / calcul des débits de crue du projet (T=20 ans) …………21

DEUXIEME PARTIE : ETUDE HYDROLOGIQUE…………………..22

I-/ CHOIX DU TYPE D’OUVRAGES DE FRANCHISSSEMENT


…………23
I-1/ Présentation des ouvrages………...................................…23

I-2/ Dimensionnement des ouvrages de franchissement……..23

I-2.1/ Méthodes de calcul……………………………….23

i-2-2 /dimensionnement des canaux primaires…………29

II-/ VERIFICATION DES CONDITIONS D’AUTO CURAGE……………30

CONCLUSION…………………………………………..32

ANNEXE………………………………………………33

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REMERCIEMEN
TS

Cet exercice ne saura être abordé, sans pour autant remercier toutes les
personnes qui, de près ou de loin, ont contribué à la mise en œuvre de ce travail.
Recevez par ces mots l’expression de notre profonde gratitude.
Nous adressons de façons particulières nos remerciements :
A Monsieur GNAN KOUASSI ROMEO ;
A la Direction de l’ESTP qui a permis que ce BET ait lieu.
Nous ne saurions terminer sans adresser notre infinie gratitude à nos
différents ainés de la TS HE3 et de la TS RT3 qui n’ont pas hésité a nous
éclairer dans nos moments de confusions.

AVANT-PROPOS

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Crée par le décret n° 96-678 pris au cours du conseil des Ministres du 04


septembre 1996, l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët Boigny
(INP-HB) de Yamoussoukro regroupe en son sein, six (06) grandes écoles dont
l’Ecole Supérieure des Travaux Publics (ESTP) qui comprend deux (02) cycles
de formation :
 Le cycle Ingénieur de Conception pour la formation des cadres
supérieurs ;
 Le cycle Technicien Supérieur pour la formation des cadres moyens
supérieurs en Bâtiment et Urbanisme, en Equipement (Route, Transport,
Hydraulique et Environnement) et Sciences Géographiques.
Elle s’est fixée pour objectif de donner une formation complète à ses
étudiants, c’est ainsi que dans son programme de formation d’une durée de trois
(03) ans, l’ESTP renforce les cours théoriques par différents Bureau d’Etude
Technique (BET) au sein de l’école. C’est ainsi que dès la deuxième année de
formation des Techniciens Supérieurs, elle organise des Bureaux d’Etude
Technique de cinq (05) semaines.
A l’issue de ce BET les étudiants doivent obligatoirement fournir un rapport
sous la direction du professeur en charge du BET. C’est dans cette optique que
nous avons constitué un BET ayant pour objectif : de dimensionner des
ouvrages de franchissement dans un quartier de la ville d’abgoville.

INTRODUCTION
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A chaque épisode pluvieuse un peu plus intense les unes que les autres,
nous constatons dans certains endroits du monde entier des inondations, les
destructions de nos biens et souvent même la mort des habitants des dites zones.
Partant de cette observation nous pouvons dire que l’établissement d’un système
d’évacuation des eaux parait un élément indispensable dans les projets
d’urbanisation. Ainsi pour palier à cette défaillance, principalement en Côte
d’Ivoire dans la localité d’abgoville, une étude du plan de drainage a été
soumise à notre bureau d’études techniques. Nous ferons tout au long de notre
étude des analyses en fonction des données et de la configuration de la zone afin
de proposer un plan d’assainissement, d’évacuation appropriée des eaux et des
ouvrages de moindre coût. Ainsi pour étayer notre réflexion, notre démarche
consistera à :

 Délimiter les bassins versants principaux ;


 Indiquer le sens d’écoulement des eaux ;
 Tracer le réseau de collecteurs ;
 Tracer les profils en long des collecteurs et faire le choix du type de
réseau ;
 Déterminer les tronçons de collecteurs ;
 Déterminer les sous-bassins relatifs à chaque tronçon ;
 Calculer les débits d’eaux pluviales dans chaque collecteur ;
 Dimensionner les collecteurs
 Dimensionner un ouvrage de franchissement.
 Déterminer l’hydrogramme des crues.
 Déterminer le relief du projet et la courbe IDF

Première partie :
Etude hydrologique
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I-/ PROFIL EN LONG ET PROFILS EN TRAVERS


I-1 / Profil en long de la rue principale

Le profil en long est une projection orthogonale effectuée en suivant l’axe du


tracé en plan. C’est aussi une succession de droites dont on connait les pentes ou
les rampes et certains points obligés pour fixer leur position c’est à dire les
points hauts et les points bas de notre tracé routier.

I-1-1 /Description du tracé

Pour le tracé de notre profil, nous avons déterminé en plus des abscisses, les
altitudes des points caractéristiques. On appelle points caractéristiques les points
d’intersection des courbes de niveau, les cours d’eau avec le tracé routier.
 Pour déterminer les altitudes des points d’intersection des cours
d’eau et la route, nous avons procédé par interpolation, dont le
principe est :

 Les abscisses seront déterminées en affectant notre

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Échelle à la distance mesurée sur le plan. L’origine de l’axe des abscisses est
prise au point P0 et nous avons choisi de faire la tabulation à chaque 150 m sur le
tronçon de la route. Ainsi nous avons obtenu le tableau suivant :

POINTS Cotes en mètre Abscisses cumulé en


mètre

P0 398.39 00

P1 402.42 150

P2 401.04 300

P3 398.24 450

P4 392.81 600

P5 385.43 750

P6 - 900
Tableau récapitulatif des points du profil en long

La longueur totale du tronçon est de 900 m soit 18 cm sur le dessin.

I-1-2 / Construction du profil en long

(Voir papier millimétré n°1 en annexe)

I-2 / Profils en travers des rues près des ilots 17-18 et c’elle de
la rue près des ilots 5-6-7-8

Les profils en travers (sections transversales perpendiculaires à l’axe du projet)


permettent de calculer les paramètres suivants :
• la position des points théoriques d’entrée en terre des terrassements ;

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• l’assiette du projet et son emprise sur le terrain naturel ;


• les cubatures (volumes de déblais et de remblais).

I-2-1 / description du tracé


Pour le tracé des différents profils en travers, nous avons procédé
par le calcul de la cote de l’axe des différentes voies, avant de
positionner les points théoriques d’entrée en terre des
terrassements en tenant compte des devers de la route considérée
comme un profil en toit en agglomération, donc une route de deux
(02) fois une voie de 13 m d’emprise comportant une bordure
haute à fil d’eau franchissable servant à drainer latéralement l’eau
de ruissellement. Le calcul des cotes de l’axe de ces routes nous a
donné le tableau suivant ;

Rues Largeur Largeu Types de Cotes Devers


de la r du bordures de de la
demi- trottoi l’axe demi-
chaussé r chaussé
e e

Près des 3 m 2m Bordure 402.91


lots 6, 7,10 haute a fil m
et11 d’eau 3%
(dispensair franchissab
e) le

Près des 3m 2m Bordure 399.71


lots 18 et haute a fil m
17 d’eau 3%
franchissab

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le

I-2-2 / construction des différents profils en travers


(Voir papiers millimétrés n°2 et 3)

II-/ POSITIONNEMENT DES OUVRAGES DE FRANCHISSEMENT


L’eau s’écoulant généralement de façon gravitaire, c'est-à-dire du point le point
le plus haut vers le point le plus bas, nos ouvrages seront positionnés au niveau
des points d’intersection entre le tracé routier et le cours d’eau principal. Ainsi,
étant donné que nous sommes en présence d’une zone urbanisée, donc nous
jugeons important de placer des bordures hautes a fil d’eau (collecteur tertiaires)
latéralement a toute les rues perpendiculaires aux courbe de niveaux. Ensuite
Nous avons choisi des caniveaux de section rectangulaire qui longeront les voix
secondaires et primaires. L’évacuation des eaux pluviales aux exutoires des
différents bassins versants se fera à partir des buses en béton si nous avons des
débits inférieur à 10 m3/s (Qp<10m3/s).

Ces dispositions nous permettrons de poser des ouvrages d’évacuations


primaires aux points P0 et au point P5.

(Voir papier millimétré n°1)

Nous avons :

Points Distances Abscisses Altitudes


mesurées sur le (Km) (m)
plan (Cm)
1 1,40 1,00 343,45
2 2,50 1,79 340,00
3 5,80 4,14 320,00
4 8,00 5,71 322,99
5 11,30 8,07 315,44

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6 16,10 11,50 346,25

III-/ DELIMITATION DES BASSINS VERSANTS


Le bassin versant en une section droite d’un cour d’eau est défini comme la
totalité de la surface topographique drainée par ce cours d’eau et ses affluents à
l’amont de cette section.il est entièrement caractérisé par son exutoire à partir
duquel nous pouvons le délimiter.

III-1 / Méthodologie pour la délimitation des bassins versants

Les Bassins Versants sont délimités à partir de la carte topographique


comportant des courbes de niveaux et des points côtés. La délimitation se fait de
la manière suivante :
 Designer l’exutoire par rapport auquel se fait la délimitation du
bassin versant (ouvrages de franchissement)
 Repérer le réseau hydrographique (cours d’eau principal et
affluents) dont l’écoulement passe en ce point.
 Relier les points hauts par rapport à l’exutoire puis les courbes de
niveaux de ces points hauts ;
 Joindre la ligne de crête à l’exutoire par une perpendiculaire aux
courbes de niveau appelé la ligne de plus grande pente.

Toutes les surfaces comprises entre ces lignes se referment en un point appelé
exutoire. Ainsi nous avons délimité cinq (05) bassins versants élémentaires.

III-2 / Détermination de la surface et des autres paramètres des


bassins versants.

 Les surfaces des bassins élémentaires

Les surfaces de nos bassins versants ont été déterminées à l’aide d’un papier
millimétré et d’un papier calque selon la méthode suivante :
 Reproduire le bassin versant sur le papier calque
 Poser le papier calque sur le papier millimétré
 Compter les petits carreaux inclus dans le périmètre de notre bassin
versant

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 Déterminer la surface du bassin versant sachant qu’un petit carreau est


égal à 1mm² en tenant compte de l’échelle (1/5000). (Voir papier
calque)

 Les périmètres

Les différents périmètres ont étés obtenus en parcourant tous le périmètre du


bassin versant en question avec un fil, ensuite on déplie le fil sur une traceuse
graduée et on mesure sa longueur qui correspondra au périmètre recherché. Ce
processus est répété pour tous les cinq bassins élémentaires.

 Le coefficient de graveluis

Le coefficient de GRAVELUIS est calculé à partir de la formule suivante 


P P
K G= =0,28 Avec S, la surface du bassin versant en m2 et P son
2 √ πS √S
périmètre en m.
 Longueur des rectangles équivalents

Le rectangle équivalent est le rectangle ayant la même surface et le même


périmètre que notre bassin versant. Sa longueur est déduite de la formule :
P+ √ P2−16∗S
L=
4
Avec P le périmètre et S la surface.
 Pente moyenne des bassins élémentaires
∆H
I=
Longueur du thalweg

Avec ∆ H = Hmax – Hmin


∆ H En m et Longueur du thalweg en km donc I en m/km ou en %.
Pour déterminer les différentes pentes, nous avons tracé les thalwegs des
bassins élémentaires, puis mesurer leur longueur respective. Ensuite nous
avons cherché les cotes des points extrêmes par interpolation des cotes
(début du thalweg et cote de l’exutoire). Cote du début thalweg = Hmax et
cote de l’exutoire = Hmin

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Bassin Hmax en m Hmin en m Longueur du Pente en


élémentaire thalweg en km %
BV1 410 395 0.65 2.3
BV2 416.17 396.74 0.9 2.2
BV3 405 391.5 0.425 3.2
BV4 400 382.5 0.415 4.2
BV5 397.42 380.37 0.45 3.8

Les résultats des différents paramètres obtenus sont consignés dans le


tableau suivant :

Bassin
versants
élémentaires BV1 BV2 BV3 BV4 BV5

Superficie 15.4125 13.24 11.725 15.2075 15.6825


en hectare

Périmètre 2.125 2.025 1.6 1.675 1.7


en km

Coefficient 1.52 1.57 1.36 1.2 1.11


de graveluis

Pente en % 2.3 2.2 3.2 4.2 3.8

Longueur
du rectangle
équivalent 0.88916 0.86176 0.62572 0.571315 0.57827
en km

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Pente
moyenne du
bassin 2.3% 2.2% 3.1% 4.2% 3.8%
versant

Tableau récapitulatif des différents paramètres des bassins élémentaires.

III-3 /sens d’écoulement des eaux

Cette étape de notre travail consistera à préciser la direction et le sens de


l’écoulement d’une particule d’eau qui tombe sur la surface d’un bassin versant.
En effet, cet écoulement se fait gravitairement c’est-à-dire des hautes altitudes
vers les zones de basses altitudes et perpendiculairement aux courbes de
niveaux. Le sens d’écoulement des eaux ne doit pas rencontrer les lignes de
crête et sera matérialisé par des flèches sur le plan topographique. (Voir le plan
de délimitation en annexe).

IV/ APPLICATION DE LA LOI DE GUMBEL

 Méthodologie de construction de la courbe de Gumbel

 Classer par ordre croissant les pluies annuelles maximales, puis on


calcule pour chacune d’elle Fi= (i-0,5) /n, avec n le nombre total de
l’échantillon ;
 On reporte sur un graphique de GUMBEL correspondant à la formule
−u

Fui=e−e , chacun des couples (Fui, Pi), fait sur EXCEL ;


 On calcule les coefficients a et b et on trace la droite d’équation y=ax+b
avec y la pluie et x la loi de répartition. Cette droite correspond à la loi
ajustée sur laquelle on peut extrapoler ;
 Avec les deuxièmes données

X −X 0
On a U = avec : x l’échantillon de pluie correspondant
S
x0 la moyenne de l’échantillon
s l’écart-type

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Cette méthodologie nous permet d’aboutir sur le tableau suivant :

i année pluie en F(i) hazen F(i) weibul


mm u F(x)
1 1963 88 0,01282051 0,025 -1,41781641 0,01611352
2 1964 88 0,03846154 0,04878049 -1,41781641 0,01611352
3 1979 93 0,06410256 0,07142857 -1,27530394 0,02788157
4 1971 99 0,08974359 0,09302326 -1,10428897 0,048944
5 1976 99 0,11538462 0,11363636 -1,10428897 0,048944
6 1977 100 0,14102564 0,13333333 -1,07578647 0,05327446
7 1965 102 0,16666667 0,15217391 -1,01878148 0,06267343
8 2000 102 0,19230769 0,17021277 -1,01878148 0,06267343
9 1984 101 0,21794872 0,1875 -1,04728398 0,05785009
10 1986 104 0,24358974 0,20408163 -0,96177649 0,07306979
11 1972 106 0,26923077 0,22 -0,9047715 0,0844693
12 1982 114 0,29487179 0,23529412 -0,67675155 0,13980928
13 1992 115 0,32051282 0,25 -0,64824905 0,14775648
14 1969 116 0,34615385 0,26415094 -0,61974656 0,15591302
15 1985 117 0,37179487 0,27777778 -0,59124406 0,16427161
16 1994 124 0,3974359 0,29090909 -0,3917266 0,22774399
17 2001 124 0,42307692 0,30357143 -0,3917266 0,22774399
18 1983 126 0,44871795 0,31578947 -0,33472161 0,24720156
19 1975 127 0,47435897 0,32758621 -0,30621911 0,25710264
20 1978 128 0,5 0,33898305 -0,27771662 0,26710537
21 1996 132 0,52564103 0,35 -0,16370664 0,30793433
22 1989 136 0,55128205 0,36065574 -0,04969666 0,34960468
23 1990 142 0,57692308 0,37096774 0,12131831 0,41240394
24 1970 143 0,6025641 0,38095238 0,14982081 0,42279738
25 1999 145 0,62820513 0,390625 0,2068258 0,44345396
26 1998 148 0,65384615 0,4 0,29233328 0,4740134
27 1973 157 0,67948718 0,40909091 0,54885574 0,56123792
28 1993 162 0,70512821 0,41791045 0,69136821 0,60599092
29 1974 167 0,73076923 0,42647059 0,83388068 0,64767879
30 1967 174 0,75641026 0,43478261 1,03339815 0,70061563
31 1966 180 0,78205128 0,44285714 1,20441312 0,74091606
32 1995 181 0,80769231 0,45070423 1,23291561 0,74718564
33 1991 182 0,83333333 0,45833333 1,26141811 0,75332988
34 1980 184 0,85897436 0,46575342 1,3184231 0,7652468
35 1981 185 0,88461538 0,47297297 1,34692559 0,7710219
36 1997 190 0,91025641 0,48 1,48943807 0,79811759
37Bet de drainage
1968 groupe194
1 2015-2016
0,93589744 ts 0,48684211
rt2 1,60344805 0,81774758Page 14
38 1987 198 0,96153846 0,49350649 1,71745803 0,83566964
39 1988 199 0,98717949 0,5 1,74596052 0,8398959
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Ce tableau nous permet d’avoir, avec une période de retour de 25 ans,


une fréquence de non dépassement égale à 1-1/T = 1- 1/25 = 0.96.
Le tableau précédant nous procure les deux graphiques suivant ;

courbe de la hauteur de pluie en fonction de la frequence :


P=f(F)

250

200

150

100

50

0
0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9

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droite de la hateur de pluie en fonction de la variable


rediute: P=f(U)
250

200

150

100

50

0
-2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5 1 1.5 2

IV-1 / Détermination de la hauteur de pluie correspondant aux


périodes de retour de 1 ans, 5 ans et 10 ans par la courbe de
GUMBEL.

Pour une fréquence de non dépassement on a :

1
F=1−
T

Et

u=−ln (−ln ( F U ) )
i

 Pour T=2 ans


 F=0,5 u= 0,37
 On reporte cette abscisse sur le graphique et on lit l’ordonnée
correspondante sur la droite, qui est la pluie recherchée.

On a P= 150 mm

 Pour T = 5 ans, F = 0.8 ce qui nous donne U = 1.5 et une hauteur de pluie
P = 190 mm
 Pour T = 10 ans, F = 0.9 d’où U = 2.25 et P = 220 mm

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IV-2 / Détermination de la hauteur de pluie correspondant aux périodes de


retour par la méthode analytique.

On a
X =us+ X 0

Avec s= 35.084648 et x0= 137.74359. Donc :

X =35.084648u +137.74359

 Pour T= 2 ans
F= 0,5 u = 0,37
X= 35.084648 ×0,37+137.74359

X= 150.6 mm d’où P2 =150.6mm

 Pour T=5 ans

F= 0,8 u=1,50

X =35.084648× 1,50+137.74359

X=190.37 mm d’où P5=190.37mm

 Pour T=10 ans

F=0,9 u=2,25

X =35.084648× 2,25+137.74359

X= 216.698 mm d’où P10=216.698 mm

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On voit que la valeur des deux méthodes coïncide parfaitement donc la


LOI de GUMBEL peut être appliquée sur cette série.

Pluie à T=2 ans Pluie à T=5 ans Pluie à T=10 ans


Méthodes
(mm) (mm) (mm)

Graphique de
150 190 220
Gumbel

Analytique 150.6 190.37 216.698

Valeurs retenues 150 190 216

Figure 5 : Tableau récapitulatif des pluies pour les périodes de retour correspondant

V -/ CALCUL DES DEBITS DE NOS DIFFERENTS BASSINS


VERSANTS.
Pour un bon dimensionnement des ouvrages hydrauliques, il est important de
connaitre les débits arrivant à chaque exutoire.
Le calcul de débit se fera pour chacun des bassins versant suivant la superficie.
pour le calcul de ces débits nous avons opter pour la méthode rationnelle ;

La formule utilisée est :


Q=0,278C i A

Avec Q : débit de pointe en m3/s


C : coefficient de ruissellement
I : intensité des adverses en mm/h
A : superficie du BV en Km2
Pour le calcul des différents débits, nous allons calculer les débits décennaux
avant d’aboutir aux débits du projet de temps de retour égale à 20 ans.

V-1/ Calcul des débits de crue de fréquence décennale

 Intensité i

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Pour la détermination de l’intensité de l’adverse, nous avons choisi d’utiliser la


formule de Montana ; i=a tcb
 Les paramètres a et b

Les paramétré a et b sont donnés par un tableau (voir annexe) en fonction de la


Région et du temps de retour T

Dans le cas présent T=10 ans et agboville est dans la région II


Donc a=570 et b=-0,48

 Le temps de concentration tc

Pour le calcul du temps de concentration nous avons choisis la formule de


Passini  car elle minimise le temps de concentration, donc maximise le débit or
nous voulons être dans la sécurité optimale donc nous la choisissons.

tc = 64.8* (L*A)1/3 / (I)1/2

Avec A la surface du bassin en km2 et L, la longueur du rectangle équivalent en


km et I la pente moyenne du bassin versant en %. Donc tc sera en minute.

Par application de la formule de passini nous avons le tableau suivant :

Bassin versant Temps de Intensité des


concentration en adverses en
minute mm/h

BV1 22.029 129.1925

BV2 14.7571 156.5865

BV3 14.9225 155.7510

BV4 14.0043 160.5718

BV5 14.9434 155.6464

 Le coefficient de ruissellement C

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Pour la détermination du coefficient de ruissellement, nous avons utilisés le


tableau des coefficients de ruissellement dans la méthode rationnelle (figure 30
du document intitulé hydraulique routière par Nguyen vann Tuu). Etant donné
que nous somme a Agboville dans une zone urbanisée, donc un sol pratiquement
imperméable (chaussée, route) nous avons choisi C = 0.95 comme indiqué au
tableau de la figure 30 dudit document.

 Calcul des débits décennaux

Q = 0.278 * C * i * A.
Le calcul des différents débits de nos bassins élémentaires nous a permis de
renseigner le tableau suivant ;

Bassin versant Débit décennaux Méthode utilisée Intensité des


en m3/s adverses en
mm/h

BV1 5,2587 rationnelle 129,1925

BV 2 5,4753 rationnelle 156,5865

BV 3 4,5957 rationnelle 155,7510

BV 4 6,449 rationnelle 160,5718

BV 5 6,4465 rationnelle 155,6464

V-2 / calcul des débits de crue du projet (T=20 ans)

Pour le calcul du débit de projet de temps de retour égale a 20 ans, on multiplie


les différents débits décennaux par un coefficient de 1,2 selon l’abaque de
répartition de la cote d’ivoire.

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Bassins élémentaires Débits décennaux en Débit du projet en m3/s

m3 /s

1 5.2587 6.314

2 5.4753 6.5704

3 4.5957 5.5148

4 6.4490 7.7388

5 6.4465 7.7358

DEUXIEME PARTIE :
ETUDE
HYDRAULIQUE

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I-/ CHOIX DU TYPE D’OUVRAGES DE FRANCHISSSEMENT

I-1/ Présentation des ouvrages

Un ouvrage de franchissement est une construction (pont, tranchée, tunnel, buse,


dalot…) nécessaire à l'établissement d'une voie en ce sens où il permet aux eaux
de ruissellement de franchir la route sans toutefois causer de grands désastres.

Pour ce fait, nous positionnerons des ouvrages de franchissement dans le cas de


notre tronçon de route au niveau de nos différents exutoires. Le choix des
différents ouvrages hydrauliques se fait en fonction du débit (si débit inferieur a
10 m3 /s alors on utilise des buses, sinon ont utilisé des dalots) évacuer et des
couts de ses ouvrages. Dans notre cas ici, tous nos débits sont inférieurs à
10 m3 / s donc on utilisera des buses

I-2/ Dimensionnement des ouvrages des buses

I-2.1/ Méthodes de calcul

Les buses seront utilisées aux différents exutoires afin de pouvoir


acheminés l’eau dans la nature. Les buses seront dimensionnées de sorte que
l’écoulement à sa sortie soit libre (c’est-à-dire dénoyée). Le dimensionnement
hydraulique de ces ouvrages a été effectué suivant la méthode du BCEOM
développée dans le document « hydraulique Routière du Ministère Français de
la coopération ». Ce principe de dimensionnement est basé sur l’utilisation
d’abaques et de paramètres adimensionnels.

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N.B : on doit s’assurer que la vitesse V obtenue après calcul doit être
inférieure ou égale à la vitesse V max fixée plus haut. Dans le cas contraire on
reprend le dimensionnement en considérant cette fois un nouveau débit
décennal Q10 qui est égal à la moitié du débit décennale précédent. Au
maximum nous devons nous limiter à 3 buses accolées en n’oubliant pas que
V ≤V max

Exemple de calcul : Cas du Bassin 1

 Détermination du diamètre

Qp = 6.3104 m3 /s donc
3
Q p < 10 m / S
Il faut dimensionner une buse Vmax= 3 m /s

π∗D ²
Q=V*S avec S= 4

Donc

D= 4∗Q
V ∗π
= √ 4∗6. .3104
3∗π

D = 1.64 m

Le diamètre normalisé est supérieur à 1.2m donc le type de buse à prendre en


compte est une buse circulaire métallique (K=37).

Dn

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Figure 8: coupe transversale d’une buse

 Calcul de la pente critique


Q
QC*=
√ g∗(
D
2
)
6.3104
QC*=

5
1.64
9.81∗( )
2
Q c=2.225 m3 /s
*

L’abaque de la figure 79 donne Ic*= 2.2 %


g∗Ic∗¿
¿
Ic= K 2∗ D 31
2 ( )
9.81∗2.2
Ic= 372∗ 1.64 13
2 ( )
Ic = 0.0168

 Calcul de la vitesse
Q
Qv = K∗( D )(8 /3) Ic
*

2
4.34
Qv*=
37∗(1.64 /2) √ 0.0168
(8 /3 )

Qv*=2.23377 m3/s
L’abaque 83 nous donne V*=0.75 m/s
D 23
V =K*√ I * 2 *V* ( )
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V =37*√ 0.0168*(1.64/2)^(2/3)*0.75
V=3,151 m/s .
la vitesse est supérieure à la vitesse maximale V max=3m/s.
Donc il faut mettre une batterie de buse.

Soit q=Q/2 =6.3104/2

q=3.1552 m3/s

Donc
√ V ∗π √
D= 4∗q = 4∗3.1552
3∗π

D = 1.157m donc pour faciliter la mise en œuvre nous choisirons


D = 1.2 m
3.1552
QC =
√ Qc*=1.3 m3 /s
*
1.2
9.81∗( )
2
La figure 79 nous donne Ic*=1.92

9.81∗1.92

2( )
Ic= 372∗ 1.2 13 Ic=0.0163

3.1552
Qv*= Qv*=2.608 m3/s
37∗(1.2/ 2)(8/ 3) √ 0.0163

La figure 83 nous donne V*=0.8

V =37*√ 0.0163*(1.2/2)^(2/3)*0.8

V= 2.69 m/s < vmax = 3 m/s


Donc la condition sur la vitesse maximale est respectée. Nous répétons le
processus pour les autres bassins versants élémentaires d’où nous avons le
tableau suivant ;

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BV 1 BV 2 BV 3 BV4 BV5

Dimensi 1er cas 2ie cas 1er cas 2ie cas 1er cas 2ie cas 1er cas 2eme 1er cas 2eme
onnemen cas cas
t

Qp(m3/s) 6.3104 3.1552 6.5704 3.2852 5.5148 2.574 7.7388 3.8694 7.7358 3.8679

D (m) 1.64 1.16 1.67 1.18 1,53 1,08 1.81 1.25 1.81 1.28

Dn (m) 1,64 1,2 1.67 1.2 1,53 1,1 1.81 1.25 1.85 1.3

R (m) 0,82 0,6 0.835 0.6 0.765 0,55 0.905 0.625 0.925 0.65

K 37 37 37 37 37 37 37

g(N/Kg) 9,81 9.81 9,81 9.81 9.81 9.81 9.81

QIC* 2.225 1.3 2.3 1.354 2.01 1,2 2.6 1.54 2.568 1.53

IC* en % 2.2 1.92 2.3 1.95 2.2 1.9 2.54 2.1 2.52 2.12

IC en % 1.68 1.63 1.75 1.66 1.72 0.4643 1.88 1.76 1.853 1.75

Q V* 2,23377 2.608 2.17 2.69 1,84 2.85 1.99 2.67 1.891 1.55

Dimensi 1er cas 2ie cas 1er cas 2ie cas 1er cas 2ie cas 1er cas 2eme 1er cas 2eme

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onnemen cas cas


t

BV1 Bv1 BV2 Bv2 BV3 Bv3 BV4 Bv4 BV5 Bv5

V* 0,75 0,8 0.77 0.8 0.78 0.81 0.72 0.79 0.72 0.7

V(m/s) 3.151 2,69 3.34 2.71 3,166 2.59 3.4175 2.83 3.44 2.57

Vmax(m/s) 3,00 3,00 3,00 3 3

Interprét NON OK NON OK NON OK NON OUI NON OUI


ation

CONNC Batterie de 2 Batterie de 2 Batterie de 2 Batteri D=1.25 Batterie


LUSION buses (D= 1,2m) buses (D=1.2m) buses (D = 1,4 e de m de buse
m) buses D=
1.3m

N.B : Pour chaque BV ; on débute le dimensionnement avec le premier cas avant d’arriver au second. ‘’NON’’ indique qu’il
a lieu de redimensionner.

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I-2-2 /Dimensionnement des canaux primaires

Pour le dimensionnement des canaux primaires, nous avons opté pour les
canaux de section trapézoïdale, car en plus d’être résistance, ils sont faciles à
entretenir.
Nous avons tenu compte de la vitesse d’écoulement des eaux dans les canaux
qui doit être normalement inférieure à 4 m/s, de la pente du terrain et du débit
de transit, du coefficient de rugosité du béton Ks=70.
Le dimensionnement consistera à déterminer les paramètres du canal à
chaque tronçon.

Figure 9: coupe transversale du canal

La détermination de y, tirant d’eau se fait à l’aide de la formule suivante :

( )
2 3
3 8
2 ×Q
y= 1 Avec : Q le débit aux
1,83× K S × I 2 exutoires ;
KS coefficient de
rugosité ;
I la pente.

La détermination de la largeur au plafond se fait à l’aide de la formule


suivante :

b= ( Q−4 × y 2
4× y )

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La détermination de la largeur au miroir se fait à l’aide de la formule suivante :

B=b +2× m× y

Avec : m le fruit des berges ; m=1.

Apres application des formule ci-dessus ,On obtient le tableau suivant :

bassin Tirant d’eau y Largeur en b en m Section


en m gueule (B en normalisée
m) standard

Bv1 0.78 2.8 1.24 130x70

BV2 0.8 2.85 1.25 130x90

BV3 0.697 2.67 1.27 130x70

BV4 0.75 3.33 1.83 200x80

BV5 0.49 4.43 3.45 350x55


Tableau récapitulatif des canaux primaire trapézoïdales.

II-/ VERIFICATION DES CONDITIONS D’AUTO CURAGE

Après le dimensionnement des ouvrages de franchissement (buses), il convient


de calculer la vitesse moyenne d’écoulement de l’eau dans ceux-ci afin de
vérifier si ces vitesses restent suffisantes pour éviter les dépôts des particules
solides à l’intérieur de l’ouvrage. Les vitesses minimales à respecter suivant le
diamètre des matériaux solides susceptibles de se déposer dans l’ouvrage sont
Diamètres des matériaux Vitesses minimales les
suivants :
Sable fin (<0,05 mm) 0,40 à 0,50 m/s
Graviers fins (< 5 mm) 0,50 à 0,70 m/s
Gros graviers (<0,05 mm) 0,70 à 0,90 m/s
Cailloux (15mm à 30 mm) 1,00 à 1,20 m/s
Gros cailloux
Bet de drainage (30
groupe 100 1,50
1 à 2015-2016 à 1,80 m/s
ts rt2 Page 31

mm)
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 Méthodologie
Pour la vérification d’auto curage, nous devons calculer les vitesses
d’écoulement des eaux dans nos différents ouvrages de franchissement lorsque
nos débits de projet sont divisés par 10. (C’est à dire qu’on reprend les calculs
précédents en utilisant le 1/10 de Qp). Le tableau suivant présente les différents
résultats.

bassin Qp en m3/s Qp / 10 en m3/s


BV1 6.3104 0.630
BV2 6.5704 0.657
BV3 5.5148 0.515
BV4 7.7388 0.774
BV5 7.7358 0.774

Ainsi nous retenons que nos ouvrages de franchissement (buses) ont été bien
dimensionnés car en comparaison avec le tableau indiquant Les vitesses
minimales à respecter suivant le diamètre des matériaux solides susceptibles
de se déposer dans les ouvrages, seul les Gros cailloux (30 à 100 mm) sont
susceptibles un tant soit peu de constituer un frein à l’écoulement des eaux.

CONCLUSION

Au terme de notre BET, nous nous sommes rendu compte de la grande


importance du réseau de drainage dans l’établissement du plan directeur d’une
ville. Car l’eau étant le premier ennemi de la route, la seule manière de lui

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résister est de prévoir un bon réseau de drainage pouvant empêcher de causer


des dégâts au cours de son ruissellement.
Ce fût pour nous une immense joie d’avoir conçu le réseau de drainage d’un
quartier de la ville AGBOVILLE à l’issu duquel nous devenons des techniciens
supérieurs aguerris, conscients de ce que nous aurons à affronter dans la vie
professionnelle.

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ANNEX
E

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