Un soir je m’étais égaré dans une forêt, à quelque distance de la cataracte de Niagara; bientôt je vis le jour s’éteindre autour de moi, et je goûtai dans toute sa solitude le beau spectacle d’une nuit dans les déserts du Nouveau-Monde.
Un soir je m’étais égaré dans une forêt, à quelque distance de la cataracte de Niagara; bientôt je vis le jour s’éteindre autour de moi, et je goûtai dans toute sa solitude le beau spectacle d’une nuit dans les déserts du Nouveau-Monde.
Un soir je m’étais égaré dans une forêt, à quelque distance de la cataracte de Niagara; bientôt je vis le jour s’éteindre autour de moi, et je goûtai dans toute sa solitude le beau spectacle d’une nuit dans les déserts du Nouveau-Monde.
Un soir je mtais gar dans une fort, quelque distance de la
cataracte de Niagara; bientt je vis le jour steindre autour de moi, et je gotai dans toute sa solitude le beau spectacle dune nuit dans les dserts du Nouveau-Monde. Une heure aprs le coucher du soleil, la lune se montra au-dessus des arbres, lhorizon oppos. Une brise embaume, que cette reine des nuits amenait de lorient avec elle, semblait la prcder dans les forts comme sa frache haleine. Lastre solitaire monta peu peu dans le ciel: tantt il suivait paisiblement sa course azure ; tantt il reposait sur des groupes de nues qui ressemblaient la cime de hautes montagnes couronnes de neige. Ces nues, ployant et dployant leurs voiles, se droulaient en zones diaphanes de satin blanc, se dispersaient en lgers flocons dcume, ou formaient dans les cieux des bancs dune ouate blouissante, si doux lil, quon croyait ressentir leur mollesse et leur lasticit(). Chateaubriand, Gnie du Christianisme 1 Releveztous les lments qui identifient ce texte comme un texte descriptif en prcisant leur nature.
Aprs avoir raccroch, Joanie navait
toujours pas dargent pour se dplacer. Elle alla voir un chauffeur de taxi et lui demanda combien a lui coterait pour se rendre destination. Le chauffeur lui chargeait 50 Euros et elle devait les payer en avance, car il avait lhabitude de se faire avoir. Joanie retourna lintrieur et on pouvait lire dans son visage le dsespoir, sachant que laroport fermait dans quelques minutes. Le gardien de scurit qui lavait observe depuis les deux dernires heures se dirigea vers elle. Il lui dit quil ne savait pas pourquoi il faisait a, mais quil avait limpression de pouvoir lui faire confiance. Il lui donna 100 Euros et lui dit quil allait travailler tous les soirs de cette semaine. Joanie tait tellement contente quelle sauta dans ses bras. Elle remercia Dieu de lui avoir envoy ce bon samaritain.
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2 Releveztous les lments qui identifient ce texte comme un
texte narratif en prcisant leur nature.Ons'assure aujourd'hui par le dveloppement des techniques de communication qu'une re nouvelle est ne o l'homme va enfin sortir de son isolement et,dit-on, triompher des obstacles qui jugulaient sa parole : courrier lectronique, "chat" () sur Internet, prolifration des chanes de tlvision, que de moyens offerts aujourd'hui notre dsir lgitime d'ouverture l'autre ! () Ne rvons pas trop: cette re nouvelle, si elle bouscule en effet notre univers, ne russit gure qu' substituer une communication indirecte etdsincarneaux vrais rapports humains qui, l'vidence, ne peuvent se passer de la prsence charnelle de l'autre. Caron ne communique bien qu'avec des mots. Si la plupart des grands mdias s'adressent nous, c'est dans unemassed'imagesconfuseset de slogans publicitaires qui ne peuvent que nous guider notre insu vers des buts plus ou moinsdouteux. Etque penser d'une apothose de la communication qui permet aux gens de dialoguer jusqu' l'autre bout de la plante alors qu'ils n'ont pas encore adress un mot leur voisin de palier? 3 Releveztous les lments qui identifient ce texte comme un texte argumentatif en prcisant leur nature.