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Nom de famille (naissance) : BEAUVIR

(Suivi s’il y a lieu, du nom d’usage)


Prénom(s) : Aelig
N° candidat : 02304860840 N° d’inscription : 001
(11 caractères) (les numéros figurent sur la convocation.) (3 caractères)
Né(e) le : 07 / 03 / 2006

Concours / Examen : Baccalauréat


Epreuve : Épreuve anticiper Matière : Français
Session : 2023

Denis Diderot, homme de l’Encyclopédie et critique d’art, se rend au Salon de 1767. En effet, de 1759
à 1781, il rend compte de l’exposition de peinture de Paris. Il commente donc un tableau d’Hubert
Robert, nommé « Grande Galerie Antique ». Il exprime les sentiments que provoque sa
contemplation. Pour expliquer ce texte, je vais analyser la pensée de Diderot et la synthétiser pour
arrivé à un résultat pouvant répondre à cette question :
De quoi Diderot fait-il part dans sa pensée, et pourquoi cela bouleverse la pensée du XVIIème siècle?

Pour commencer, je souhaite commencer par l’explication de Diderot sur la fébrilité de l’homme.
Premièrement, il fait part du temps du monde. Ce qui est très vieux, et qui donc montre l’échéance
vitale humaine. Basiquement, il prend conscience de sa fébrilité en regardant aux objets aux alentour.
Ces dits objets sont très vieux, autant que le monde, de son point de vie, donc infini. Diderot fait
figure de cela en annonçant le temps de son point de vue. « Je marche entre deux éternités » : Pour
lui, le monde et son entourage a duré une éternité, car il ne les à vu ni naître, ni mourir. Son
énumération d’objets prend su sens car il les comparent avec sa vie, au point de les personnifiés. Il
voit ses entités banales comme au dessus de lui hiérarchiquement. « Qu’est-ce que mon existence
éphémère, en comparaison de celle de ce rocher qui s’affaisse, de ce... »
Il prend conscience de sa mortalité en prenant conscience de l’immortalité du monde. Il se compare
même à ne serais-ce qu’un marbre de tombeaux. « Je vois le marbre des tombeaux tomber en
poussière ; et je ne veux pas mourir ! » Pour lui, sa vie est aussi fragile qu’elle peux s’arrêter en un
moment. Encore une fois, il défie sa mortalité pour prendre conscience de sa vie et de son
éphémérité. Il en prend pitié de tissu de fibres et de chair car celui si à une vie plus longue qu’une
humain. Il décrit ensuite une catastrophe s’abattant sur le monde, que seul lui arrive à esquive et a
l’embraser.
Tout cela pour que Diderot explique au lecteur une vision que seul peux décrypter au travers des
esquisses du tableau. Il arrive a dé-hiérarchiser l’Homme, ce qui, à cette époque, est quelque chose
que peu de personnes veulent faire , et arrive à faire. Mais malgré son esprit fort, il ne peux
s’empêcher de vouloir vivre. « Mon existence éphémère ; Je ne veux pas mourir ! J’envie un faible
tissu de fibres et chair ». Sa faiblesse humaine, son esprit, est humilié. Et donc , il ne relativise plus
avec le monde qui l’entoure. Tout s’anéantit, tout périt, tout passe.

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Pour continuer, je souhaite exprimer ce que je pense être les sentiments de la fin de Diderot.
Donc, Deuxièmement, Diderot analyse ses sentiments par rapport à son existence. « Si le lieu d’une
ruine est périlleux, je frémit. Si je m’y promets le secret et la sécurité, je suis plus libre. » C’est avec
ceci qu’il fait par de son inquiétude. Si un endroit doit être sûre, alors il doit être sans liberté. Nous
pouvons penser que Diderot à comparé la ruine au monde. Il pense donc que si le monde est
périlleux, il à peur, ce qui est un comportement normal, mais que si l’homme venait à la sécurisé,
alors rien ne serais de même nature. Il est dit après qu’il appelle un ami, au masculin, puis qu’il viens
à regreter une autre amie, au féminin cette fois. Nous pouvons pensez à ce qu’il voulait appeler un
ami, mais qu’il soit mort, et qu’il regrette l’humanité more. Ensuite, il interprète le monde sans
homme , où lui et son ami jouiront. Sans trouble, témoins, importuns ou jaloux. Par la suite, il rend
compte de sa distance avec la société morte. Il dit sonder son cœur pour le rassurer. Il est seul, et
essaye de trouver des points positif à cette solitude infini.
Il trouve du réconfort de sentiments tendre. « Si mon âme est prévenue d’un sentiment tendre, je m’y
livrerai sans gêne. » Cela indique que Diderot veux trouver des points forts à cette humanité morte. Il
est seul, et cela pour longtemps. Il veux arrive à passer au-delà de cette étape et enfin pouvoir
apprécier. Mais cela est sans espoir.
Enfin, Diderot se dit dans un asile désert. Il est seul depuis longtemps. Aucune communication, espoir
ou même de sentiments. Il dit s’être rompu avec tous les embarras de la vie. Il n’est plus d’esprit.
Tout ce qui le rendait humain n’est plus. La solitude est même personnifiée au point qu’elle est la seul
personne qui peux entendre Diderot, mais non l’écouter. Tout ce qu’il peux faire, c’est de verser des
larmes. Sans honte, et sans contrainte.

Le flot d’idée de Diderot est non semblable à n’importe quel autre. Le tableau d’Hubert Robert est lui
aussi sans commun, mais dès lors que Diderot décrit lui-ci, c’est comme si un autre monde venait à
s’ouvrir. Un monde où l’humain serait complètement effacé. Diderot à fait quelque chose d’incroyable
en supprimant la supériorité que les humains avait instaurer avec le passage du temps. À l’époque, la
pensée de l’homme supérieur était largement dispersé , mais avec une description de la sorte qui
remet l’état d’humain éphémère l’Homme, Diderot arrive à faire une description non seulement
inventive, mais aussi lourdement controversé.

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