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Brouillon :

Pour le début car sa serai bien :

Denis Diderot, homme de l’Encyclopédie et critique d’art, se rend au Salon de 1767.


En effet, de 1759 à 1781, il rend compte de l’exposition de peinture de Paris. Il
commente donc un tableau d’Hubert Robert, nommé « Grande Galerie antique ». Il
exprime ses sentiments que provoque sa contemplation. Pour faire par ce texte, je
vais analyser la pensée de Diderot et la synthétiser, pour arriver à un résultat pouvant
répondre à cette question :

De quoi Diderot fait-il part dans sa pensée , et pourquoi cela bouleverse la pensée du
XVIIème siècle ?

Okok, pas mal

Axe I : La fébrilité de l’homme selon Diderot.


Premièrement, il fait part du temps du monde. Ce monde qui est si vieux, et qui donc
montre l’échéance vitale humaine. Basiquement, il prend conscience de sa fébrilité
en regardant aux objets alentour. Ces dit objets sont très vieux, autant que la terre est
dites infinie. Diderot fait figure de cela en annonçant le temps de son point de vue
« Je marche entre deux éternités ». Pour lui, la terre et son entourage a duré une
éternité, car il ne les à vu ni naître, ni mourir. Son énumération d’objets prend du
sens car il l’a compare avec sa vie, au point de personnifié ses entités. Il voit ses
entités banales comme au dessus de lui hiérarchiquement. « Qu’est-ce que mon
existence éphémère, en comparaison de celle de ce rocher qui s’affaire, de ce... »

Il prend conscience de sa mortalité en prenant conscience de l’immortalité de la terre.


Il se compare même à ne serais-ce qu’un marbre de tombeaux. « Je vois le marbre
des tombeaux tomber en poussière ; et je ne veux pas mourir ! » Pour lui, sa vie est
aussi fragile qu’elle peux s’arrêter en un moment. Encore une fois, il défie sa
mortalité pour prendre conscience de sa vie , et de son éphémérité. Il en ai qu’il
prend pitié de tissu de fibres et de chair, car celui si à une vie plus longue qu’un
humain. Il décrit ensuite une catastrophe s’abattant sur le monde, que seul lui arrive à
esquiver et a embraser.

Tout cela pour que Diderot explique au lecteur une vision que seul lui à pu décrypter
au travers les esquisses du tableau. Au travers de ce tableau , il arrive à dé-
hiérarchiser l’homme , ce qui, a cette époque, est quelque chose que peux de
personnes arrive a faire. Mais malgré sont esprit fort, il ne peux s’empêcher que de
vouloir vivre. « Mon existence éphémère;Je ne veux pas mourir ! J’envie un faible
tissu fibres et de chair. » Sa faiblesse humaine , son esprit, est humilié, et donc, il ne
relativise plus avec le monde qui l’entoure. Tout s’anéantit, Tout périt, tout passe.

Ok pa mal

Axe II : Les sentiments de la fin.

Deuxièmement, Diderot analyse ses sentiments par rapport a son existence. « Si le lieu
d’une ruine est périlleux, je frémit. Si je m’y promets le secret et la sécurité, j esuis plus
libre. » C’est avec ceci qu’il fait pas de son inquiétude. Si quelque chose veux être sûre,
alors il doit être sans liberté. Nous pouvons penser que Diderot a comparé la ruine au
monde. Il pense donc que si le monde est périlleux, il a peur, ce qui est un comportement
normal, mais que si l’homme venait a la sécuriser, alors rien ne serais de même nature. Il est
dit après qu’il appelle un ami, au masculin, puis qu’il viens regretté une autre amie, au
féminin , cette fois. Nous pouvons pensez à ce qu’il voulait appeler un ami, mais qu’il soit
mort, et qu’il regrette l’humanité morte. Ensuite, il interpréte le monde sans autre homme,
où lui et son ami jouiront. Sans trouble, témoins, importuns ou jaloux. Par la suite, il rend
compte de sa distance avec la société morte. Il dit sonder son cœur pour le rassurer. Avec
l’Homme effacé, il est loin de tout habitant, crimes, erreurs, dénonciation et autres. Il est
seul, et trouve des points positif à cette solitude infini.

Il trouve du réconfort de sentiments tendre. « Si mon âme est prévenue d’un sentiment
tendre, je m’y livrerai sans gêne. » Cela indique que Diderot veux trouve des points forts a
cette humanité morte. Il est seul, et cela, pour longtemps. Il veux arriver a passer au-delà de
cette étape, et enfin apprécier. Mais cela est sans espoir.

Enfin, Diderot se dit dans un asile désert. Il est seul depuis longtemps. Aucune
communication, espoir où même de sentiments. Il dit s’être rompu avec tous les embarras de
la vie. Il n’est plus sain D’esprit. Tout ce qui le rendait humain n’est plus. La solitude est elle
même personnifier au point qu’elle est la seul personne qui peux l’entendre, mais non
l’écouter. Tout ce qu’il peux faire, c’est verser des larmes. Sans honte, et sans contrainte.

Plus que la conclusion

Le flot d’idée de Diderot est non semblables a n’importe quel autre. Le tableau d’Hubert
Robert est lui aussi sans commun, mais lorsque Diderot décrit lui-ci , c’est comme si un
autre monde venait à s’ouvrir. Un monde où l’humain serait complétement effacé. Diderot a
fait quelque chose d’incroyable en supprimant la supériorité que les humains avait instaurer
avec le passage du temps. A l’époque, la pensée de l’Homme supérieur à tout était largement
dispérsé, mais avec une description de la sorte qui remet l’état d’humain éphémère a
l’Homme, Diderot arrive a faire une description non seulement inventive, mais aussi
contreversé.

VOULA
sa le fait tlm pas
bon nsm je retape

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