Citations 

: Thème le monde.

Maurice Merleau-Ponty : « Ce monde qui avait l'air d'être sans moi, de m'envelopper et de me dépasser,
c'est moi qui le fais être ».
La Bible, Genèse 1 :1-2 : « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. La terre n’était que chaos et
vide. Il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme et l’Esprit de Dieu planait au-dessus de l’eau. »
La Bible : « Le jour où il a appelé son Fils unique à faire l'homme à leur image et selon leur
ressemblance, Dieu le Père a béni ses enfants en disant : « Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre,
et l'assujettissez ; et dominez ».
William Shakespeare : « En ce monde, faire le mal est souvent regardé comme louable ; faire le bien
passe pour folie ».
Descartes : L’humain va « se rendre maitre et possesseur de la nature ».
Hannah Arendt : «Nul ne peut être citoyen du monde comme il est citoyen de son pays ».
Jean-Paul Sartre : "L’Homme est l'être dont l'apparition fait qu'un monde existe"
Albert Camus : «Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait
pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le
monde se défasse ».
Albert Einstein : « Ce qui est incompréhensible est que le monde soit compréhensible ».
Frederick Hegel : « Rien de grand ne s’est accompli dans le monde sans désirs ».
René Descartes : « Changer nos désirs plutôt que l’ordre du monde ».
Blaise Pascal : « Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout
à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout, infiniment éloigné de comprendre les extrêmes ».
Molière : « Il n’est rien qui puisse arrêter l’impétuosité de mes désirs : je me sens un cœur à aimer toute
la terre ; et comme Alexandre, je souhaiterais qu’il y eût d’autres mondes, pour y pouvoir étendre mes
conquêtes amoureuses ».
Cicéron : « L'homme ne doit point borner ses vues ni son zèle au seul avantage du pays où il a reçu le
jour ; il doit se regarder comme un citoyen du monde entier qui, dans ce sens, ne fait qu'une seule ville ».
Arthur Schopenhauer : « Le monde est ma représentation ».
William Shakespeare : « Le monde entier est un théâtre, Et tous, hommes et femmes, n'en sont que les
acteurs. Et notre vie durant nous jouons plusieurs rôles ».
Arthur Schopenhauer : « Il faut savoir se convaincre que le monde n'est là qu'à l'état de connaissance et
du même coup dépendant du sujet connaissant que chacun est pour lui-même. L'être des choses est
identique à sa prise de connaissance ».
Rousseau : «plus l'homme est resté près de sa condition naturelle, plus la différence de ses facultés à ses
désirs est petite, et moins par conséquent il est éloigné d'être heureux... Le monde réel a ses bornes, le
monde imaginaire est infini ; ne pouvant élargir l'un, rétrécissons l'autre ; car c'est de leur seule différence
que naissent toutes les peines qui nous rendent vraiment malheureux. »
Rousseau : « Le pays des chimères est en ce monde le seul digne d'être habité, et tel est le néant des
choses humaines, qu'hors l'Etre existant par lui-même il n'y a rien de beau que ce qui n'est pas ».
Voltaire : « Il est bien doux pour mon cœur très immonde ... Tout sert au luxe, aux plaisirs de ce
monde. ... Le paradis terrestre est où je suis ».
Albert Camus : « L'ordre du monde est un mythe crée par les hommes pour donner un sens à leur
existence ».
Karl Popper : « Notre compréhension du monde elle-même modifie les caractéristiques de ce monde
mouvant. ... Même les théories fausses changent le monde, bien que les théories correctes puissent, en
général, avoir une influence plus durable. Tout cela revient à dire que le déterminisme est tout
simplement faux ».
Blaise Pascal : « Qui ne voit pas la vanité du monde est bien vain lui-même ».
Rousseau : « Rousseau, « Tout est bien sortant des mains de l’Auteur des choses, tout dégénère entre les
mains de l’homme ».
Albert Einstein : « dans l’effort que nous faisons pour comprendre le monde, nous ressemblons quelque
peu à l’homme qui essaie de comprendre le mécanisme d’une montre fermée. Il voit le cadran et les
aiguilles en mouvement, il entend le tic-tac, mais il n’a aucun moyen d’ouvrir le boîtier ». 
Claude Lévi-Strauss : « Le monde a commencé sans l'homme et s'achèvera sans lui ».
Edward Sapir : « La vérité est que le « monde réel » est dans une large mesure édifié inconsciemment
sur les habitudes de langage du groupe ».
Holderlin : « L’homme habite le monde en poète ».
Merleau-Ponty : « Si pour le savant le monde doit être disponible, grâce à l’artiste il devient habitable ».
Morgan Freeman : « Le monde est notre maison ».
M. Dufrenne : « le monde sans l’homme n’est pas encore le monde » et il précisait que « non que le
monde attende l’homme pour être réel, mais il l’attend pour percevoir son sens de monde. »
Plutarque: « Je ne suis ni grec, ni athénien, je suis citoyen du monde ».
Michel De Montaigne : « Notre monde vient d’en trouver un autre ».
Michel de Montaigne : « Le monde est une branloire pérenne ».  
Victor Hugo : « Avoir pour patrie le monde, et pour nation l’humanité ».
Isaac Newton : «Cet admirable arrangement du soleil, des planètes et des comètes, ne peut être que
l'ouvrage d'un être tout-puissant et intelligent ».
Galilée : « «La philosophie est écrite dans cet immense livre qui se tient toujours ouvert devant nos yeux,
je veux dire l'Univers, mais on ne peut le comprendre si l'on ne s'applique d'abord à en comprendre la
langue et à connaître les caractères avec lesquels il est écrit ».
Voltaire : « mon but dans ce domaine est de montrer que la machine céleste ne doit pas être comparée à
un organisme divin, mais plutôt à un mouvement d'horlogerie ».
Jacques Merleau Ponty « connaître l'Univers, c'est d'abord mesurer des grandeurs et mettre ces mesures
en rapport les unes avec les autres par des relations mathématiques propres à les recevoir ».
Blaise Pascal : « Je vois ces effroyables espaces de l'univers qui m'enferment, et je me trouve attaché à un
coin de cette vaste étendue ».
Malbranche : « Le monde présent est un ouvrage négligé. C'est la demeure des pécheurs, il fallait que le
désordre s'y rencontrât ».
Albert Camus : «Ce monde en lui-même n'est pas raisonnable, c'est tout ce qu'on peut en dire ».
Leibniz : «"J'appelle monde (en parlant de tous les mondes possibles) toute la suite et toute la collection
de toutes les choses existantes, afin qu'on ne dise point que plusieurs mondes pouvaient exister en
différents temps et en différents lieux ; car il faudrait les compter tous ensemble pour un monde, ou si
vous voulez pour un univers."
Blaise Pascal : «Que l’homme étant revenu à soi considère ce qu’il est au prix de ce qui est, qu’il se
regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature. Et que, de ce petit cachot où il se trouve logé,
j’entends l’univers, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes et soi-même, son juste prix.
Qu’est-ce qu’un homme, dans l’infini ? « Un néant dans un « tout ».
Spinoza : «Nous sommes une partie de la Nature entière, dont nous suivons l'ordre »
D’Holbach : « L'homme est l'ouvrage de la nature, il existe dans la nature, il est soumis à ses lois, il ne
peut s'en affranchir, il ne peut même par la pensée en sortir ».
Molière : «Et parfois il me prend des mouvements soudains - De fuir dans un désert l'approche des
humains ».
Baudelaire : « Enfin, mon âme fait explosion et sagement elle me crie : " N'importe où ! n'importe où !
pourvu que ce soit hors de ce monde ! ».
Leibniz : « être dans le meilleur des mondes possibles ».
René Barjavel : « Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page. Le monde est
un beau livre, mais il sert peu à qui ne le sait lire ».
Madame De Staël : « Le monde ressemble plus à un poème qu’à une machine ».