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Thème:
Promotion: 2016/2017
Résumé
Résumé
L'efficacité de les deux régulateurs proposés est vérifiée par des résultats
expérimentaux.
ملخص
.خالل انسنٌاث األخْزة تعزف انطاقاث انًتدذدة إقباال كبْزا ًخاصت انطاقت انفٌطٌضٌئْت
انذراست انًقذيت فِ ىذه انًذكزة تكًن فِ تصًْى ً تصنْع يطبز خافض نهتٌتز داخم نظاو فٌطٌضٌئِ يتحكى فْو
( انذُ ّقٌوPID) ِ االًنَ بانًتحكى انتناسبِ انتفاضهِ انتكايه،عبز انًتحكى انذقْق اردًّنٌ بطزّقتْن يختهفتْن
أيا انثانْت فتتى بٌاسطت،بانسْطزة عهَ تٌتز يخزج انًطبز حسب قًْت انًزخع انًحذدة يسبقا ين طزف انًستخذو
.) انذُ ّضًن تتبع اننقطت انقصٌٍ نالستطاعت انخاصت بانهٌحت انشًسْتP&O) MPPT انًنظى
.PID ِ انًتحكى انتناسبِ انتفاضهِ انتكايه،MPPT ينظى، يطبزخافض نهتٌتز،ِ فٌطٌضٌئ: الكلمات المفتاحية
Tout d'abord nous remercions le bon dieu puissant pour la
bonne santé, la volonté et la patience qu'il nous a donnée tout
au long de notre étude, et nos voudrions en premier lieu remercier
nos parents.
MAHMOUDI Abdelkader
Je dédie ce modeste travail
A toute ma famille
GOAR Nourredine
Table des matières
Introduction générale…………………………………………………………..………1
I.1. Introduction…………………………………………………………………………3
I.14. Conclusion………………………………………………………………………...23
II.6. Conclusion............................................................................................................... 42
III.1. Introduction……………………………………………………………………..43
III.2. Simulation des hacheurs………………………………………….………………43
III.3. Caractérisation du module PV……………………………………..……………..46
III.3.1.Simulation de caractérisation du module PV…………………………………47
Table des matières
IV.1. Introduction………………………………………………………………………60
IV.2. Matériel utilisé………………………………………………...………………..60
IV.2.1. Le microcontrôleur……………………………………...……………………60
IV.2.2. Le panneau solaire……………………………………………………………62
IV.2.3. Convertisseur Buck…………………………………………………………..63
IV.2.4. Capteur de courant…………………………………………………..………..64
IV.2.5. Capteur de tension……………………………………………………..……..64
IV.2.6. Régulateurs de tension…………………………………………………..……64
IV.2.7. Driver de MOSFET………………………………………….……………….65
IV.3. Réalisation d'un convertisseur Buck………………………..…………………….65
IV.3.1. Réalisation du circuit imprimé…………………………………………….…66
IV.3.2. Réalisation d'un convertisseur Buck avec commande PID de la sortie………66
IV.3.2.1. L'idée de l'algorithme (Iterative Feedback Tuning)……………………...67
IV.3.2.2. Implantation du système de commande PID dans l’Arduino……………67
IV.3.2.4. Résultats expérimentaux du montage…………………………………….68
IV.3.2.5. Comparaison entre les résultats du simulation et réalisation…………….70
IV.3.3. Réalisation d'un convertisseur Buck avec commande MPPT………………..70
IV.3.3.1. Implantation du système de commande dans l’Arduino…………………71
IV.3.3.2. Résultats expérimentaux du montage…………………………………….71
IV.3.3.3. Comparaison entre les résultats du simulation et réalisation…………….73
IV.4. Conclusion………………………………………………………………………..73
Conclusion générale…………...………………………………………………………74
Liste des figures
Tableau IV.1: Résultat d'essai le régulateur PID avec Vref =12 v et R=50Ω…..….……68
Tableau IV.2: Résultat d'essai le régulateur PID avec Vref =12 v et R=100Ω……….…69
Tableau IV.3. Comparaison des résultats entre le simulation et la réalisation du système
PID…………………………………………………………...…………………………70
Tableau IV.4: Résultat d'essai d'un commande P&O avec R=10Ω……….…..……….72
Tableau IV.5: Résultat d'essai d'un commande P&O avec R=20Ω……….…………...72
Tableau IV.6. Comparaison des résultats entre simulation et réalisation du MPPT...…73
Liste des abréviations
AM : Masse d’Air.
Voc : Tension de circuit ouvert [V].
Isc : Courant de court-circuit [A].
Io : Courant de saturation de la diode [A].
n : Facteur de non idéalité de la jonction de la diode.
K : Constante de Boltzmann.
T : Température effective de la cellule [°K].
DC : Rapport cyclique.
MLI : Modulation de Largeur d’Impulsion.
Iop : Courant Optimal.
Vop : Tension Optimale.
PID : Proportionnel Intégral Dérivé.
PPM : Point de Puissance Maximale.
MPPT : Maximum Power Point Tracking.
P&O : Perturbation et Observation.
IncCond : Incrementation de Conductance.
Liste des abréviations
: Permittivité du vide.
Epaisseur du diélectrique .
N : Nombre de spires.
Introduction générale
Introduction générale
D’autant plus que la demande ne cesse de croître et dès à présent à être supérieure
à l’offre, se traduisant par exemple par une forte fluctuation du prix mondial du pétrole.
1
Introduction générale
2
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Chapitre I
I.1. Introduction
L’énergie solaire photovoltaïque désigne l’énergie récupérée et transformée directement
en électricité à partir de la lumière du soleil par des panneaux photovoltaïques. Elle
résulte de la conversion directe dans un semi-conducteur d’un photon en électron.
L’énergie solaire photovoltaïque est une source d’énergie non polluante est disponible
en abondance sur toute la surface terrestre, et malgré une atténuation importante
lorsqu'elle traverse l'atmosphère, la quantité qui reste est encore assez importante
quandelle arrive au sol. On peut ainsi compter sur 1000W/m² crête dans les zones
tempérées et jusqu'à1400 W/m² lorsque l'atmosphère est faiblement polluée.
- 1839 : Antoine Becquerel publie un mémoire sur les effets électriques produits
sous l'influence des rayons solaires relatif à une expérience menée par son fils
Edmond avec une pile constituée par des électrodes de platine et de cuivre oxydé
plongeant dans une solution électrolytique acide. Cette pile est capable de
fournir un courant.
- 1877 : W. G. Adams et R. E. Day découvrent l'effet photovoltaïque du sélénium,
et C. Fritts met au point le premier panneau photovoltaïque à base de cellules au
sélénium.
- 1905 : Albert Einstein publie un article sur l'effet photoélectrique, ce pour quoi il
obtient un prix Nobel en 1921.
- 1954 : D. M. Chapin, C. S. Fuller et G. L. Pearson, deux ingénieurs des Bell
Telephone Laboratories (États-Unis), annoncent la mise au point d'une cellule
dont le rendement de conversion énergétique atteint 6 %, marquant ainsi
véritablement la naissance de l'électricité photovoltaïque.
2
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
- L'éclairement ou irradiance est défini comme une puissance reçue par une
surface. Il s'exprime en W/m2(watt par mètre carré). Le S.I. (système
international d’unités) recommande d’utiliser le symbole E.
- L'irradiation ou rayonnement est l'énergie reçue par une surface . Elle s'exprime
en J m-2(joule par mètre carré). L'ISES (International Solar Energy Society)
recommande le symbole H. D'autres unités plus courantes sont le Wh/m2 (watt-
heure par mètre carré) bien que ce dernier ne doive pas être utilisé puisque
n'appartenant pas au système international d'unités(SI) [1].
a) Durée d’insolation
Les durées d'insolation sont mesurées avec des héliographes dont le seuil est de 120
W/m. Attention à ne pas confondre le nombre d’heures d’ensoleillement et le nombre
d’heures équivalent plein soleil, dérivé de l’irradiation globale annuelle mesurée dans le
plan horizontal [2].
3
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
b) Fraction solaire
C'est le paramètre représentatif des conditions de nébulosité du ciel. La nébulosité est le
rapport entre la surface du ciel couverte par les nuages et la surface totale du ciel au-
dessus du territoire correspondant. Cette notion n’étant que descriptive, on la relie à la
fraction d'insolation qui est une grandeur mesurable dès qu'on connaît les durées
d'insolation enregistrées par l'héliographe et qui s'en déduit par le rapport s = S/S0 avec
S = durée d'insolation mesurée et S0 durée maximale d'insolation [2].
c) Spectre du rayonnement
Le spectre solaire est la distribution spectrale en fonction de la longueur d’onde ou de la
fréquence voir la figure suivant l’énergie de chaque photon est reliée à la fréquence υ ou
à la longueur d’onde λ par la formule suivante :
E = h.υ = h.c/λ………………………………………………………………………….……( I.1 )
h : est la constante de Planck.
C : étant la vitesse de propagation.
Le spectre du rayonnement extraterrestre correspond environ à l’émission d’un corps
noir porté à 5800° K. Une courbe standard, compilée selon les données recueillies par
les satellites, est désignée sous le nom de AM0. Sa distribution en énergie est répartie en
[4] :
- Ultraviolet UV 0.20 < l < 0.38 mm 6.4%
- Visible 0.38 < l < 0.78 mm 48.0%
- Infrarouge IR 0.78 < l < 10 mm 45.6%
4
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
d) Rayonnement solaire
La chaleur produite lors de la fusion thermonucléaire de l'hydrogène au cœur du soleil
traverse les différentes couches de ce dernier jusqu'à sa surface (photosphère) pour y
être libéré sous forme de rayonnement solaire ou de flux de particules. Donc la chaleur
du soleil est convertie, à sa surface, en lumière se présentant sous forme de particule
qu'on appelle photons. Ce flux de photons forme des ondes électromagnétiques qui se
propagent sans perte d'énergie dans toutes les directions de l'espace, et notamment vers
la terre.
Le rayonnement émi par le soleil est composé d'un ensemble d'ondes
électromagnétiques allant depuis les rayons cosmiques, particule animées d'une vitesse
et d'une énergie extrêmement élevées et s'étendant jusqu'aux ondes radio et aux rayons
gamma , en passant par la lumière visible [3].
Le rayonnement solaire se devise en deux parties:
- Rayonnement global
Le rayonnement global est la somme de tous les rayonnements reçus (rayonnement
direct , diffus et albédo).
- Rayonnement réfléchi
C’est la partie inutile des rayonnements solaires qu'il diffue par les obstacles
atmosphériques.
5
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Superficie (%) 4 10 86
6
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
7
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Les matériaux semi-conducteurs sont des corps dont la résistivité est intermédiaire entre
celle des conducteurs et celle des isolants.
Les quatre électrons de valence du silicium permettent de former quatre liaisons
covalentes avec un atome voisin.
Dans ce cas, tous les électrons sont utilisés et aucun n’est disponible pour créer un
courant électrique[8].
8
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Les cellules monocristallines et polycristallines sont les plus répandues mais leur
fragilité oblige à les protéger par des plaques de verre, ce qui accroît d'autant plus le
poids du panneau solaire. Le matériau de base est le silicium qui est très
abondant, cependant la qualité nécessaire pour réaliser les cellules doit être d'une
très grande pureté et son coût intervient de façon importante dans le coût total de
l'installation. La pénurie actuelle de silicium de qualité, a créé une tension sur le
marché et une augmentation du prix des cellules.
01
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
00
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Cellules PV
Silicium Composites
Monocristallin Polycristallin
Plusieurs cellules sont reliées entre elles et forment un panneau solaire(ou module)
photovoltaïque. Plusieurs modules qui sont regroupés dans une centrale solaire
photovoltaïque sont appelés champ photovoltaïque. Le terme photovoltaïque peut
désigner soit le phénomène physique - l'effet photovoltaïque - ou la technologie
associée.
Figure I.8. une cellule (a), un module (b) et un panneau photovoltaïque (c).
01
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Les modules peuvent également être connectés en série et en parallèle pour construire le
champ photovoltaïque afin d’augmenter la tension et l’intensité d’utilisation. Toutefois,
il importe de prendre quelques précautions car l’existence de cellules moins efficaces ou
l’occlusion d’une ou plusieurs cellules (dues à de l’ombrage, de la poussière,….etc.)
peuvent endommager les cellules de façon permanente [12].
02
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
03
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Figure I.12. câblage série / parallèle de modules photovoltaïques avec leurs diodes de
protection.
04
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
I=Icc–I0[ ]- ……………………………………….……….............…...(I.2)
05
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
Avec :
Pm = Im. Vm, est la puissance maximale.
Ce rendement est souvent mesuré dans les conditions standard, « STC » (Standard Test
Conditions) condition d’essai standard, c’est-à-dire sous l’ensoleillement de 1000W/m2,
à la température de 250Co et sous un spectre AM1,5 (air mass: masse d’air en français).
Ce dernier d’écrit l’angle d’incidence et le trajet parcouru par le rayonnement incident
du soleil.[7]
06
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
FF = = ……………………………………………………………………….(I.4)
Par contre, la tension est relativement peu dégradée. On en déduit donc que la cellule
peut fournir une tension correcte, même à faible éclairage.
07
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
L’orientation des modules doit être plein sud d'une manière idéale. Toutefois, il faut
tenir compte des deux paramètres suivants dans le cadre du choix d'une orientation :
- les masques environnants.
- l'orientation du site.
Dans le cas où le site présente des masques importants à l'est (végétation, bâtiments,
etc.), il est peut-être préférable d'orienter plus à l'ouest le champ photovoltaïque plutôt
que de le placer plein sud. La production sera alors plus importante l'après-midi sans
pour autant défavoriser le matin (qui n'est pas ensoleillé du fait des masques) [14].
L’objectif est de produire le plus d’énergie sur l’année. La production est maximale
lorsque les rayons du soleil sont perpendiculaires au module. L’incidence du
rayonnement sur les modules photovoltaïques varie de manière importante entre l’été et
l’hiver. D’autre part, la durée d’ensoleillement est elle aussi très variable entre l’été et
l’hiver à tel point que chaque mois d’hiver représente moins de 5 % de la production
totale. Il faut donc rechercher quelle est l’inclinaison qui permettra de produire le plus
d’énergie sur l’année. Celle-ci dépend de la latitude du lieu et aussi de l’orientation des
capteurs [14].
08
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
I.11.3. Régulateur
Les systèmes de régulation de charge sont des éléments d’un système photovoltaïque
qui ont pour but de contrôler la charge et la décharge d’une batterie afin d’en maximiser
la durée de vie. Son rôle principal est de réduire le courant lorsque la batterie est
11
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
10
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
I.13.1. Aventages
I.13.2. Inconvénients
11
Chapitre I Généralités sur les systèmes photovoltaïques
I.14. Conclusion
Dans ce chapitre nous avons présenté la production directe d’électricité à partir d’une
irradiation solaire en commençant par la définition de l’effet PV, en passant par la
composition, la protection et l’installation des GPV. Différentes structures et
applications des systèmes PV ont été exposées.
12
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
Chapitre II
II-1. Introduction
Un GPV présente des caractéristiques I-V non linéaires qui admettent un seul point
de fonctionnement optimal dans les conditions homogènes d’éclairement et de
température. Une adaptation d'impédance s’impose et cela peut se faire par un
couplage direct d'une charge adaptée ou en insérant entre le GPV et la charge électrique
un dispositif électronique.
Ce dispositif n’est autre qu’un convertisseur statique muni d’une commande de
poursuite du PPM.
Dans le but de concevoir une interface de puissance plus performante, une étude
détaillée est faite sur les convertisseurs statiques DC-DC non isolés en mode de
conduction continu.
La conception d’un étage d’adaptation muni d’un algorithme MPPT permet d’optimiser
la conversion énergétique et de relier aisément un GPV à sa charge.
Dans ce chapitre, on s’intéresse à l’étude du convertisseur DC/DC type Buck comme
étage de conversion d'énergie, on présentera quelques techniques MPPT existantes qui
permettent de faire fonctionner le GPV à sa puissance maximale.
46
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
Comme le montre la figure (II.2). Un GPV peut être connecté directement à trois
types de charges:
- une charge de type source de tension continue.
- une charge de type source de courant continu.
- une charge purement résistive.
47
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
Figure II.3. Connexion d’un GPV à une charge à travers un étage d’adaptation.
48
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
une tension continue en une autre tension continue de plus faible valeur, Ce type de
convertisseur est utilisé pour des applications que l'on peut classer en deux catégories :
Les applications visant à obtenir une tension continue fixe (et parfois régulée) à
partir d'un générateur de tension continue supérieure.
Les applications permettant d'obtenir une tension réglable mais toujours
inférieure à celle présente à l'entrée [17].
i i
ic
= E – V……………………………………………………………….…………………..(II.1)
……………………………………………………………….…………………..(II.2
= – V………………………………………………………………….…………………..(II.3)
……………………………………………………………….…………………..(II.4)
En comparant les deux situations on peut obtenir un seul modèle unifie qui est :
49
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
= uE– v……………………………………………………………….…………………..(II.5)
……………………………………………………………….…………………..(II.6)
= – v……………………………………………………………….………………..(II.7)
……………………………………………………………….…………………..(II.8)
En utilisant la normalisation :
√ ; τ= = R√ ………………………………………..(II.9)
√
………………………………………………………………...……….(II.10)
……………………………………………………………….……………..(II.11)
a) Le transistor MOSFET
Le MOSFET de faible puissance (Metal Oxyde Semi-conductor Field Effect
Transistor). La figure (II.6.a) donne la représentation symbolique usuelle. La connexion
partant de la borne reliée au substrat (buck) B se termine par une flèche indiquant le
sens passant des deux jonctions substrat - source et substrat - drain.
4:
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
(a) (b)
b) Le condensateur
Les condensateurs que nous rencontrons dans les alimentations à découpage remplissent
deux rôles distincts : ils servent d’énergie lors des variations de commande ou de
charge, et ils servent également de condensateur de découpage ou filtrage vis-à-vis du
fonctionnement en haute fréquence de l’alimentation. Ce sont les condensateurs
chimique dits à faible résistance série qui présentent des valeurs de capacité
importantes, tout en présentant une excellente tenue en fréquence. Le condensateur se
caractérise par des grandeurs physiques qui définissent ses domaines d’application. La
capacité d’un condensateur est égale au rapport de la charge électrique Q emmagasinée
à la tension V appliquée entre ses armatures.
C(F) = Q(C)/V (V) ……………………………………………………………….………..(II.12)
4;
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
Dans le cas simplifié d’un condensateur dont la surface S des armatures en regard est
Plane, l’expression de la capacité est :
……………………………………………………………….………………..(II.13)
Avec :
: Permittivité du vide.
c) L’ inductance
Le rôle d'une inductance est de stocker une énergie électrique sous forme
magnétique, puis de la restituer. On peut naturellement réaliser des bobinages à air.
Mais, l'utilisation de circuits magnétiques tels que présentés après permet :
1. de diminuer l'encombrement, avec la même valeur de l'inductance.
2. de confiner le flux magnétique dans un espace restreint et ainsi de limiter les
rayonnements parasites.
Les inductances sont utilisées essentiellement dans des applications de filtrage, de
conversion d'énergie (alimentations à découpage...), et d'interrupteurs magnétique
(inductances saturables). Le schéma électrique équivalent d 'une inductance simple L est
le suivant :
où Rs représente la résistance série du fil bobiné et Cp les capacités parasites inter spires.
53
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
d) La diode Schottky
La diode Schottky présente deux avantages par rapport aux diodes classiques :
- Caractéristique électrique : tension de blocage de 600 V .
- Tension de seuil plus faible (Vs = 0,3V).
- Les diodes Schottky ont des temps de recouvrement inverse très courts (tr de 0,15
à 0.35μs)
Applications de la diode Schottky
Les diodes Schottky sont utilisées en basse tension dans les circuits nécessitant une
grande vitesse de commutation, par exemple dans les montages hacheurs à haute
fréquence que l’on rencontre dans les alimentations à découpage [18].
53
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
= E……………………………………………………………….………………….…..(II.15)
………………………………………………………….……………………….…..(II.16)
= E – V……………………………………………………………….……………..(II.17)
………………………………………….…………………….…………...(II.18)
En comparant les deux situations on peut obtenir un seul modèle unifie qui est :
= E– (1-u)v……………………………………………………………….……….…..(II.19)
……………………………………………………………….…...…..(II.20)
En utilisant la normalisation :
√ ; τ= = R√ …………………………………….…..(II.21)
√
………………………………………………………………..…..(II.22)
………………………………………………………………..…..(II.23)
54
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
possède pas de borne reliée à la masse, compliquant ainsi sa commande [17]. La figure
(II.12) présente le schéma de principe du convertisseur Buck-Boost.
= E……………………………………………………………….………………….…..(II.23)
……………………………………………………………….……………....…..(II.24)
= V……………………………………………………………….……………..…..(II.25)
……………………………………………………………….……...…..(II.26)
= (1 u)v+ uE……………………………………………………………….……..…..(II.27)
………………………………………………………………….…..(II.28)
55
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
En utilisant la normalisation :
√ ; τ= = R√ …………………………………….…..(II.29)
√
………………………………………….………………….…..(II.30)
………………………………………………………….….…..(II.31)
Fonction no2
du procédé
Régulateur PID
Correcteur Fonction no1
PID du procédé
56
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
a) Action proportionnelle
L’action proportionnelle est réglée, au choix du fabricant, soit par :
…………………………………………..………..(II.32)
…………………………………………………..(II.33)
b) Action intégrale
L’action intégrale est réglée, au choix du fabricant, soit par :
∫ ∫ ……………………………...(II.34)
La fonction de transfert :
……………………………………………...(II.35)
c) Action dérivée
L’action dérivée est réglée par la constante de temps d’action dérivée, notée Td,
exprimée en seconde, pour cette action il existe deux possibilité des équations :
……………………………………………….…..(II.36)
La fonction de transfert :
………………………………….……..(II.37)
57
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
…………………………………….…..……..(II.38)
58
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
II.5.1. Principe
Pour que le système photovoltaïque fonctionne à des points de puissance maximums de
leurs caractéristiques, il existe des lois de commande spécifiques qui répondent à ce
besoin.
Cette commande est nommée dans la littérature « Recherche du Point de Puissance
Maximum » ou « Maximum Power Point Tracking » en Anglais (MPPT). Le principe
de ces commandes est de chercher le point de puissance maximale (PPM) en gardant
une bonne adaptation entre le générateur et sa charge pour assurer le transfert de la
puissance maximale.
La figure (II.15) représente une chaîne de conversion photovoltaïque élémentaire
associée à une commande MPPT. La commande MPPT est associée à un convertisseur
statique permettant de faire une adaptation entre le GPV et la charge de telle sorte que la
puissance générée correspond à sa valeur maximale et qu’elle soit transférée
directement à la charge.[11].
59
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
5:
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
P(K)=V(K)* I(K)
ΔV = V(K)-V(K-1)
ΔP = P(K)-P(K-1)
ΔP> 0
ΔV< 0 ΔV> 0
V(K) = V(K-1)
P(K)=P(K-1)
ΔP=PPVn – PPVn-1……………………………………………………………………..……..(II.40)
5;
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
plus, et pour des variations brusques des conditions climatiques ou/et de la charge, cette
méthode présente parfois des erreurs d’interprétation dans la direction qu’il faut suivre
pour atteindre le PPM [11].
…………………………………………………………………………………..…..(II.41)
…………………………………………………………………………….……..(II.41)
……………..………..(II.42)
le PPM.
Si , le point de fonctionnement est à
gauche du PPM,
63
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
ΔI = I(K)-I(K-1)
ΔV = V(K)-V(K-1)
ΔV= 0
ΔI= 0
ΔI> 0
I(K) = I(K-1)
V(K) =V(K-1)
du PPM car il est difficile de remplir la condition , ce qui fait que le système
reste toujours en train de la chercher. L’algorithme IncCond est plus complexe que celui
du P&O, ce qui engendre un temps d’exécution plus long [11].
63
Chapitre II Contrôle et commande du convertisseur
Remarques et interprétations
Après cette étude, on peut dire que l’avantage d’utilises la méthode P&O est sa
simplicité et la facilité d’implémenter son algorithme.
II.6. Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons mis en évidence les différents types du connexion
GPV-charge.
Dans un second lieu, nous avons présenté les convertisseurs DC/DC les plus utilisés
comme étage d’adaptation (Buck, Boost et Buck-Boost) et détaillé le rôle de chaque
composant dans le convertisseur Buck qui est utilisé dans notre projet.
64
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Chapitre III
III.1. Introduction
Le but de ce chapitre est d'étudier la modélisation et la simulation d’un système
photovoltaïque adapté à un hacheur dévolteur « Buck» avec une régulationPID et une
commande MPPT numérique « perturbation et observation ».
Toutes les opérations de simulation sont réalisées par le logiciel MATLAB R2013a.
34
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Remarques et interprétations
La tension de sortie du hacheur buck est présenté la figure (III.2).
A partir de ces résultats, on remarque que le circuit effectué correctement son rôle
car la tension de sortie est inferieure à celle de l’entrée.
33
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Remarques et interprétations
La tension de sortie du hacheur Boost est présenté la figure (III.4).
A partir de ces résultats, on remarque que le circuit effectué correctement son rôle
car la tension de sortie est superieure à celle de l’entrée.
34
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Remarques et interprétations
La tension de sortie du hacheur Buck-Boost est présentée par la figure (III.6).
A partir de ces résultats on remarque que le circuit effectué correctement son
rôle car la tension de sortie est égale à celle de l’entrée.
35
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Grandeurs Valeur
- Eclairement standard, E. 1000 W/m2
- Température standard, T. 25 oC
- Puissance crête maximale, Pm. 40 W
- Tension optimale, Vopt. 22.2V
- Courant optimale, Iopt. 1.8 A
- Tension de circuit ouvert, Vco. 23 V
- Courant de court-circuit, Isc. 2A
40
2 30
puissance
Courant
20
10
0 0
0 5 10 15 20 25
Tension
36
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Remarque
En réalité l'influence de l'éclairement ne change pas beaucoup dans la valeur de
la tension et puisque nous imposons une capacité Cin =100nf à l'entrée du
convertisseur la variation de ce dernier aura une influence sur la valeur de la
tension PV.
37
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Résultats de simulation
La figure suivante illustre la variation de l'éclairement pour les deux cas R=50Ω
et R=100Ω
pid_ida_mcha/Signal Builder : Group 1
Eclairement variable
600
500
400
300
200
100
0
0 0.05 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4
Time (sec)
38
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
- Pour R=100Ω
45
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Remarques et interprétations
D’après ces résultats, nous remarquons que dans les deux essais la tension de la
charge suit parfaitement la valeur de référence imposée et que la stratégie de
commande PID est mise en évidence par l'atténuation de la perturbation due aux
changement de L'éclairement En effet, dans le premier cas (R=50 Ω), lorsqu’on
change l'éclairement de 400 à 600W/m 2 on constate un pic de tension à cause de
l'augmentation brusque de l'éclairement imposée. Cela est due à l'action dérivée du
régulateur mais en raison de l'effet proportionnel et intégrale la tension de sortie
rattrape la consigne rapidement (Vch= Vref=12 v) avec des ondulations négligeables.
On remarque que le rapport cyclique suit les changement de l'entrée de telle sorte
que la tension de sortie sera maintenue stable.
45
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
45
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
10 2 20 40
44
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Figure III.17. Schéma bloc de la simulation d'un système PV avec la commande MPPT.
43
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Pour montrer bien l'efficacité de la commande MPPT sur la puissance maximale, nous
avons simulé le système avec différents éclairements et une température fixe T=25°C,
et cette simulation est appliquée en deux mode sans et avec MPPT les résultats obtenus
sont les suivantes :
1200
1000
800
600
400
200
0
0 0.05 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4
Time (sec)
44
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
1000 2 20 40
45
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
46
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Les courants
47
Chapitre III Simulation d'un système PV avec PID et MPPT
Remarques et interprétations
Il apparaît qu’avec différents niveaux de l'éclairement, les grandeurs électriques
(puissances, tensions et courants) se stabilisent autour des valeurs précises.
Après un régime transitoire à chaque PPM de durée 2 ms, la commande MPPT fait
osciller le point de fonctionnement autour du point du PPM.
Pour un éclairement maximale E=1000 W/m2 La puissance fournie par le générateur
PV se stabilise autour de 40W et celle fournie à la charge autour de 36 W, à la sortie
du panneau, la tension et le courant se stabilisent respectivement autour de 22.8V et
1.75A.
Au niveau de la charge, la tension et le courant se stabilisent respectivement autour
de 19.8 V et 1.81 A.
A travers les figures (III.22, III.23, III.24) obtenus nous avons montrés que le
convertisseur DC-DC et la commande MPPT effectuent correctement leurs rôles.
III.6.Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons simulé trois convertisseurs (Buck, boost,buck-boost) puis
les caractéristiques de notre module PV par la suite nous avons simulé un régulateur
PID de la tension de sortie, dont la tension reste constante quelque soit les variations
(variation des niveaux de l'éclairement et de charge).
Dans un second lieu, nous avons simulé la commande MPPT pour maximiser la
puissance de la chaine photovoltaïque en utilisant la commande MPPT.
48
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Chapitre IV
IV.1. Introduction
Dans les chapitres précédents, nous avons développé les étapes nécessaires pour aboutir
à notre objectif et faciliter la réalisation de notre dispositif électronique « régulateur
solaire à base de microcontrôleur pour le contrôle de la puissance maximale et la
régulation de la tension de sortie ».
IV.2.1. Le microcontrôleur
IV.2.1.1. Définition
La carte Arduino UNO est un microcontrôleur ATmega328 programmable permettant
de faire fonctionner des composants (moteur, LED…). Elle possède des «ports»
permettant par exemple de se connecter à un ordinateur ou de s’alimenter.
La carte Arduino UNO est la pièce maîtresse de tout circuit électronique pour les
débutants.
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
02
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Remarque
Le dimensionnement des valeurs des composants ce trouve dans l’annexe 6.
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
transistor par exemple), mais il peut aussi être de type "intégré" et contenir tout ce qu'il
faut dans un seul et même boitier [23].
La série des « 78XX » (7805, 7809, 7812, etc.) sont des régulateurs de tension positive,
Les deux derniers chiffres représentent la tension de sortie (dans notre circuit nous
allons utilisés deux régulateurs, de 5v et 12v ).
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
00
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Convertisseur DC/DC
La charge
BUCK
Capteur
de tension
Signal de
consigne
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Tableau IV.1. Résultat d'essai le régulateur PID avec Vref =12 v et R=50Ω.
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Tableau IV.2. Résultat d'essai le régulateur PID avec Vref =12 v et R=100Ω.
Remarques et interprétations
Nous avons réglé le potentiomètre pour obtenir à la sortie une tension de 12v,
puis on a alimenté le circuit par la tension du panneau qui est de l’ordre de 14 à
18v, alors la tension aux bornes de la charge est environ de 12v, par la suite et
afin de tester la stabilité de notre système en variant l’éclairement de 200 à 400
puis 600 W/m2, et en change aussi la charge de 50 à 100 Ω, on remarque que la
tension de sortie reste presque constante, est voilà c’est le principe de la
régulation PID.
06
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
R= 50Ω R=100Ω
Lorsqu'on connecte un panneau solaire de 40 watts prévu pour une utilisation en 12V,
le GPV produit souvent une tension supérieure à celle de la tension souhaitée. On
constate que les résultats expérimentaux sont proches de celle obtenus par simulation
du chapitre précédent. Cette dernière impose sa tension. avec un régulateur PID.
66
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Convertisseur DC/DC
La charge
BUCK
Capteur de Capteur du
tension courant
DC=84 DC=90
(a) (b)
Figure IV.14. Le signal d’attaque.
66
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Notre objectif est de changer l’éclairement ainsi que la recherche du PPM pour chaque
éclairement.
Les valeurs des tensions, courants, puissances et du rapport cyclique restent variés
autour des valeurs représentent sur les tableaux suivantes :
Eclairement (W/m2) Vpv(V) Ipv (A) Ppv(W) Vch(V) Ich (A) Pch(W) DC %
Eclairement (W/m2) Vpv(V) Ipv (A) Ppv(W) Vch(V) Ich (A) Pch(W) DC %
Remarques et interprétations
Les résultats sont en bon accord à ceux optimaux déduits par l’analyse optimale des
grandeurs électriques du module photovoltaïque. En conséquence, le système
photovoltaïque réalisé oscille bien autour du point de puissance maximale. Afin
d’assurer un bon fonctionnement du système réalisé et d’estimer les pertes de
puissances fournies par le module photovoltaïque, nous avons caractérisé le système
réalisé sur des variations de l'éclairement Il apparaît d'après les tableaux :
62
Chapitre IV Réalisation d’un convertisseur DC-DC et résultats expérimentaux
Mesures Simulation
IV.4. Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons réalisé un convertisseur Buck puis proposé un système de
contrôle qui consiste à utiliser un régulateur PID de tension délivrée par le système
photovoltaïque avec application à une charge et un éclairement variable.
Dans un second lieu, nous avons commencé par réaliser une commande MPPT pour
maximiser la puissance de la chaine photovoltaïque.
66
Conclusion générale
Conclusion générale
Dans un premier temps, nous avons donné un aperçu général sur l’énergie solaire
photovoltaïque. Puis nous avons présenté la trajectoire apparente du soleil, une
description du systèmes PV, de la cellule PV, du générateur photovoltaïque et ses
performances .
Nous avons étudié, dans un deuxième temps, quelques types de convertisseurs DC-DC,
utilisés dans les systèmes photovoltaïques comme le Buck , Boost et Buck-Boost. Puis
nous avons présenté la régulation PID, les algorithmes MPPT, comme l’algorithme
de la méthode de perturbation et observation (P&O) et incrémentation conductance
(IncCond) et comparaison entre les deux algorithmes.
Ensuite, Nous avons simulé en MATLAB r2013a trois convertisseurs DC-DC pour
montrer leurs rôles puis tracer la caractéristique I-V et P-V de notre module PV, par
la suite nous avons contrôler en boucle fermée le convertisseur Buck par un régulateur
PID pour fixer la tension de sortie quelque soit les perturbations (variation de
l'éclairement, variation de la charge…etc), à la fin du chapitre, trois nous avons simulé
le fonctionnement du module en couplage direct et en mode d'optimisation de puissance
par une commande MPPT (P&O), pour différents niveaux d'éclairement .
Finalement, nous avons réalisés et tester le convertisseur associé avec une carte
Arduino dans laquelle nous avons implanter deux algorithmes : un algorithme pour le
réglage PID de la sortie et l'autre pour l'optimisation de la puissance maximale (MPPT).
47
Conclusion générale
47
Références bibliographiques.
Références bibliographiques
[3]. https://fr.scribd.com/doc/124139564/Cours-GI-Gisement-Solaire.
[4]. F. Zouache, « Etude de la concentration solaire sur les performances des systèmes
photovoltaïque », mémoire de magister de l’université de Constantine 2009.
[10].http://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/solaire-
photovoltaique.
[14]. https://www.landes.fr/files/cg40/environnement/Guide-PV.
[15]. http://www.explorateurs-energie.com/index.php/les-energies/solaire.
[16]. N. Abouchabana, « Etude d’une nouvelle topologie buck-boost appliquée à un
MPPT », Mémoire de Magistère, Ecole Nationale Polytechnique, Alger,2009.
[17]. https://fr.wikipedia.org.
[18]. M .Touaref , « Etude et simulation d’un convertisseur AC/DC type BUCK
(Abaisseur de tension) », thèse master en génie électrique université de Biskra, juin
2014.
[19]. S. Chikha, «Optimisation de la puissance dans les systèmes photovoltaïques»,
Mémoire de Magistère, université de OEB, 2011/2012.
[20]. H. Abbes, H. Abid, K. Loukil, A. Toumi, M. Abid, « Etude comparative de cinq
algorithmes de commande MPPT pour un système photovoltaïque », université de Sfax,
Tunisie, 2013.
[21]. M.S. Amamra « Optimisation de la production d’un générateur Photovoltaïque »,
thèse master université de Ouargla 2015.
[22]. P. Prouvost« Instrumentation et régulation», 2eme édition, Dunod, Paris
2010/2015.
[23]. https://www.sonelec-musique.com/electronique_theorie_reg_tension.html.
Annexes
Annexes
#include <Wire.h>
#include <PWM.h>
void setup(){
Serial.begin(9600);
//initialize all timers except for 0, to save time keeping functions
InitTimersSafe();
AmpsIn = voltage/0.185;
vIn =(analogRead(A0)*5.0)/1023.0;
VoltageIn =(vIn/(r2/(r1+r2)));
// calculate power
PowerIn = AmpsIn*VoltageIn;
// calculate error
dp = PowerIn-PowerIn_old;
dv = VoltageIn-VoltageIn_old;
if (dp> 0) {
if (dv>0)
dc = dc + 2;
else
dc = dc - 2;
}
else if (dp< 0)
{
if (dv>0)
dc = dc - 2;
Annexes
else
dc = dc + 2;
}
// set dutycycle
pwmWrite(9, dc*2.55);
delay(500);
if (dc>95)
{ dc=95; }
Serial.print("Vpv=");
Serial.print(VoltageIn);
Serial.print(",");
Serial.print("Ipv=");
Serial.print(AmpsIn);
Serial.print(",");
Serial.print("dc=");
Serial.print(dc);
PowerIn_old = PowerIn;
VoltageIn_old = VoltageIn;
// Tuning parameters
float Kp=0; //Initial Proportional Gain
float Ki=10; //Initial Integral Gain
float Kd=0; //Initial Differential Gain
double Setpoint, Input, Output; //These are just variables for storing values
PID myPID(&Input, &Output, &Setpoint, Kp, Ki, Kd, DIRECT); // This sets up our PDID Loop
//Input is our feedback V0
//Output is our u(t)
//Setpoint is our SP
constintsampleRate = 1; // Variable that determines how fast our PID loop runs
// Communication setup
Annexes
const long serialPing = 500; //This determines how often we ping our loop
// Serial pingback interval in milliseconds
unsigned long now = 0; //This variable is used to keep track of time
// placehodler for current timestamp
unsigned long lastMessage = 0; //This keeps track of when our loop last spoke to serial
// last message timestamp.
void setup(){
OutputLevel = analogRead(V0); //Read output voltage
Input = map(OutputLevel, 0, 1024, 0, 255); //Change read scale to analog out scale
Setpoint = map(analogRead(pot), 0, 1024, 0, 255); //get our setpoint from our pot
Serial.begin(9600); //Start a serial session
myPID.SetMode(AUTOMATIC); //Turn on the PID loop
myPID.SetSampleTime(sampleRate); //Sets the sample rate
Serial.println("Begin"); // Hello World!
lastMessage = millis(); // timestamp
}
void loop(){
Setpoint = map(analogRead(pot), 0, 1024, 0, 255); //Read our setpoint
OutputLevel = analogRead(V0); //Get V0
Input = map(OutputLevel, 0, 1024, 0, 255); //Map it to the right scale
myPID.Compute(); //Run the PID loop
analogWrite(PWM, Output); //Write out the output from the PID loop to Buck converter
now = millis(); //Keep track of time
if(now - lastMessage>serialPing) { //If its been long enough give us some info on serial
// this should execute less frequently
// send a message back to the mother ship
Serial.print("Setpoint = ");
float vref =((analogRead(pot)*25.0/5.0)/255)+1.4;
Serial.print(vref);
Serial.print(" Input = ");
Serial.print(Input);
vIn =(analogRead(V0)*5.0)/255.0;
float vout =(vIn/(r2/(r1+r2)));
Serial.print(" Output = ");//Output
Serial.print(vout);
Serial.print("\n");
if (Serial.available() > 0) { //If we sent the program a command deal with it
for (int x = 0; x < 4; x++) {
switch (x) {
case 0:
Annexes
Kp = Serial.parseFloat();
break;
case 1:
Ki = Serial.parseFloat();
break;
case 2:
Kd = Serial.parseFloat();
break;
case 3:
for (int y = Serial.available(); y == 0; y--) {
Serial.read(); //Clear out any residual junk
}
break;
}
}
Serial.print(" Kp,Ki,Kd = ");
Serial.print(Kp);
Serial.print(",");
Serial.print(Ki);
Serial.print(",");
Serial.println(Kd); //Let us know what we just received
myPID.SetTunings(Kp, Ki, Kd); //Set the PID gain constants and start running
}
lastMessage = now;
//update the time stamp. } }
Annexes
DC = Vch / Vin
Avec
DC = rapport cyclique (Duty cycle)
Vin= tension d'entrée
Vch= tension de sortie (au borne de la charge)
Pour obtient le minimum de l'inductance il faut appliqué le maximum de fréquence,
L’équation que nous avons besoin est :
(1−𝐷𝐶)𝑅 (1−0.5)20
𝐿𝑚𝑖𝑛 = = = 1.25*10-4H
2𝐹𝑠 2∗40000
Avec
DC = rapport cyclique (Duty cycle).
R = Resistance de charge.
Fs = fréquence de Mosfet.
En pratique l'inductance est supérieur Lmin, pour calculé la propre inductance de circuit
on utilise
𝑉𝑐ℎ(1 − 𝐷𝐶)
𝐿= = 160. 10−6 𝐻
𝑑(𝐼𝐿)𝐹𝑠
Avec
L = Inductance
Vin = tension d'entrée
DC = rapport cyclique
d(iL) = Changement de courant de l'inductance
Fs = Fréquence de Mosfet
La valeur de la capacité est déterminé par :
(1 − 𝐷𝐶) (0.5)
𝐶= 𝑑𝑉𝑐 ℎ
= 𝑑𝑉𝑐 ℎ
= 1.29. 10−5
8𝐿 𝐹𝑠 2 8 160 ∗ 10−6 (1.6 ∗ 109 )
!𝑉𝑐ℎ !𝑉𝑐ℎ
En pratique on utilise C=220 µF, car il est la valeur la plus proche disponible au laboratoire.
Annexes
Avec
C = Condensateur
DC = Rapport cyclique
dVch/Vch = ondulation de tension de sortie.
Fs = Fréquence de Mosfet.