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25 995 TONNES DE BANANE EXPORTÉES PAR LE CAMEROUN AU MOIS DE JANVIER 2016, EN BAISSE DE 371 TONNES (INVESTIRAUCAMEROUN.COM)
WINNERS OF THE TOTAL CAMEROON COMPETITION "STARTUPPER OF THE YEAR 2016" WILL BE KNOWN ON 15 MARCH (BUSINESSINCAMEROON.COM)
GE HAS A CRAZY NEW PLAN TO HARVEST CO2 FROM THE ATMOSPHERE AND USE IT TO STORE SOLAR ENERGY (YAHOO NEWS)
L’ETAT PAIE UNE DETTE DE 2,5 MILLIARDS FCFA DUE AUX MULTIPLICATEURS DE SEMENCES DE MAÏS
(INVESTIRAUCAMEROUN.COM)
Le ministère camerounais de l'Agriculture a annoncé au début de cette semaine,
le début des paiements d'une dette de 2,5 milliards de francs Cfa due à 148
multiplicateurs de semences de maïs depuis les campagnes agricoles 2013 et
2014. Selon l'inspecteur général de ce département ministériel, Rabelais Yan-
kam, les arriérés dus aux multiplicateurs réclamant moins de 10 millions de
francs Cfa à l'Etat seront payés d'un coup avant la fin de la semaine courante,
tandis que les arriérés à partir de 10 millions de francs Cfa seront payés en trois
tranches, de manière à être totalement liquidés avant la fin du premier se-
mestre 2016. Selon le ministère de l'Agriculture, cette dette due aux multiplica-
teurs des semences de maïs ayant dûment signé une convention de partenariat
avec le gouvernement camerounais, est la conséquence de la défaillance d'un des trois pourvoyeurs des finance-
ments pour la réalisation des campagnes semencières sus-mentionnées, lequel n'avait pas intégré dans ses docu-
ments financiers le payement des prestations au cours des années 2013 et 2014. Le payement de ces arriérés atten-
dus par les multiplicateurs de semences depuis bientôt 3 ans, devrait permettre de redynamiser la production des
semences certifiées de maïs sur le territoire national. Ce qui pourrait induire une hausse de la production nationale
de cette céréale au cours de la campagne agricole 2016.
25 995 TONNES DE BANANE EXPORTÉES PAR LE CAMEROUN AU MOIS DE JANVIER 2016, EN BAISSE DE 371 TONNES
(INVESTIRAUCAMEROUN.COM)
Selon les statistiques que vient de rendre publiques l'Association
bananière du Cameroun (Assobacam), les producteurs de la ba-
nane dessert en activité sur le territoire camerounais ont exporté
25 995 tonnes sur les marchés extérieurs au cours du mois de jan-
vier 2016. En janvier 2015, ce sont 26 366 tonnes de bananes qui
avaient été exportées sur la même période. L'on observe donc une
baisse des exportations de 371 tonnes au premier mois de l'année
2016, par rapport à l'année dernière. A l'analyse, cette contre-
performance est imputable à la baisse de régime de la PHP, filiale
de la compagnie fruitière de Marseille qui domine le marché ca-
merounais depuis des années, et dont les exportations ont chuté
de 388 tonnes (passant de 14 978 en janvier 2015 à 14 590 en jan-
vier 2016), soit plus de l'équivalent du volume de la baisse globale
observée en janvier 2016. Courbe descendante également pour
les exportations de Boh Plantations, en baisse de 144 tonnes sur la
période considérée. Dans le même temps, la CDC, entreprise pu-
blique et 2ème producteur national de banane dessert, a vu le volume de ses exportations de janvier 2016 croître de
164 tonnes, passant de 10 299 tonnes en janvier 2015 à 10 460 tonnes au cours du premier mois de l'année 2016.
WINNERS OF THE TOTAL CAMEROON COMPETITION "STARTUPPER OF THE YEAR 2016" WILL BE KNOWN ON 15 MARCH (BUSINESSINCAMEROON.COM)
If there’s one “resource” the planet has too much of, it’s carbon dioxide.
One of the primary components to the greenhouse gases thought to be
responsible for climate change, CO2 has long been the bane of our envi-
ronment’s health. But now, GE (General Electtric) thinks it may have
found a way to repurpose this gas into a useful energy source — harves-
ting CO2 to actually create new solar batteries. It’s the ultimate 180 on
carbon dioxide’s harmful effects, and while scientists have long captured
and stored CO2 emissions, it’s been unclear as to how best to utilize
these massive reserves. That is, until now. Effectively, GE hopes to use
the CO2 as an enormous battery whose chief purpose would be to store
solar energy. Although the sun is a great source of energy, it’s rather un-
dependable — after all, the sun has to be out in order for us to capture
its rays. “That’s the grand challenge,” Stephen Sanborn, senior engineer at GE Global Research said in a statement.
“We need to make renewable energy available to the grid when it is needed.” And that’ll happen with the help of the
significant CO2 reserves scientists have been storing for ages. The process would work in two stages — first, solar
energy would be captured and kept in a liquid of molten salt. Then, extra energy from the power grid would cool CO2
into dry ice. When power is needed, the salt would turn the dry ice CO2 into what is known as a “supercritical” fluid,
which is matter that does not have specific liquid or gas phases. The supercritical fluid would in turn flow into a CO2
turbine called a sunrotor, whereupon energy would be disseminated as needed.