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Sujets de bac : Géométrie dans l’espace – 1

On considère un cube  d’arête 1. Le nombre


désigne un réel strictement positif.
Sujet n°1 : La Réunion – juin 2003

On considère le point de la demi-droite  défini par     


.

1) Déterminer le volume du tétraèdre  en fonction de
.
2) Soit  le barycentre du système de points pondérés :  ;
 , ; 1 , ; 1 
a. Exprimer 
 en fonction de   et de  .
   
b. Calculer  .  et  .  puis en déduire l’égalité    0.
 . 
c. Démontrer l’égalité   .    0.
d. Démontrer que  est l’orthocentre du triangle  .
3) Démontrer les égalités   . 
  0 et   . 
  0. Qu’en déduit-on pour la droite  ?

a. Montrer que le triangle  est isocèle et que son aire est égale à  unité d’aire.
4)
√  

b. Déterminer le réel
tel que l’aire du triangle  soit égale à 1 unité d’aire. Déterminer la
distance  dans ce cas.

Dans l’espace muni du repère orthonormal direct !; "; #; $ %, nous considérons les points 0; 6; 0 , 0; 0; 8 et
Sujet n°2 : Polynésie – septembre 1998

4; 0; 8 .

a. Réaliser la figure comportant les points définis dans l’exercice (unité graphique 1 )*)
1)

• Les droites  et ! sont orthogonales


b. Démontrer que :

• Les droites ! et ! sont orthogonales


• La droite  est orthogonale au plan !
c. Déterminer le volume en )*+ du tétraèdre !
d. Démontrer que les quatre points !, ,  et  se trouvent sur une sphère dont vous déterminerez le

2) A tout réel $ de l’intervalle ouvert ,0; 8 , est associé le point 0; 0; $ .


centre et le rayon.

Le plan Π qui contient et est orthogonal à ! rencontre les droites ! ,  ,  respectivement en ., / et
0.
a. Déterminer la nature du quadrilatère ./0.
b. La droite / est-elle orthogonale à la droite ! ? Pour quelle valeur de $ la droite  / est-
elle orthogonale à  ?
c. Déterminer / en fonction de $. Pour quelle valeur de $ la distance / est-elle minimale ?
Dans l’espace, muni d’un repère orthonormal !; "; #; $ %, on donne trois points :
Sujet n°3 : extrait de Liban – mai 2011

1; 2; 21 ; 23; 22; 3 et 0; 22; 23

a. Démontrer que les points ,  et  ne sont pas alignés.


1)

b. Démontrer que le vecteur 62; 21; 1 est un vecteur normal au plan  .
2) Soit / le plan dont une équation cartésienne est 7 8 9 2 : 8 2  0.
Démontrer que les plans  et / sont perpendiculaires.
3) On appelle  le barycentre des points pondérés ; 1 , ; 21 et ; 2 .
a. Démontrer que le point  a pour coordonnées 2; 0; 25 .
b. Démontrer que la droite  est orthogonale au plan / .
c. Déterminer les coordonnées du point , intersection du plan / avec la droite  .
4) Démontrer que l’ensemble < des points de l’espace tels que =   2   =  12 est une sphère
 8 2 

5) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de l’intersection du plan / et de la sphère < .


dont on déterminera les éléments caractéristiques.

L’espace est muni d’un repère orthonormal !; "; #; $ %.


Sujet n°4 : France – septembre 2005

22
1) On considère le plan > passant par le point 1; 22; 1 et de vecteur normal 6 ? 1 @ et le plan A
5
d’équation cartésienne 7 8 29 2 7  0.
a. Démontrer que > et A sont perpendiculaires.
b. Démontrer que l’intersection des plans > et A est la droite Δ passant par le point 21; 4; 21 et de
2
vecteur directeur D
 ?21@.
1
c. Soit 5; 22; 21 . Calculer la distance de  au plan > puis la distance de  au plan A.
d. Déterminer la distance du point  à la droite Δ.

a. Soit, pour tout nombre réel E, le point F de coordonnées 1 8 2E; 3 2 E; E . Déterminer en fonction
2)

de E la longueur  . On note GE cette longueur. On définit ainsi une fonction G de H dans H.
b. Etudier les variations de la fonction G sur H ; préciser son minimum.
c. Interpréter géométriquement la valeur de ce minimum.

 est le cube d’arête 1 représenté ci-dessous.


Sujet n°5 : Centres étrangers – juin 2006

 ; 
L’espace est rapporté au repère orthonormal ;   ; 
 %.

1) Démontrer que le triangle  est équilatéral.


Partie A. Un triangle et son centre de gravité.

2) Soit I le centre de gravité du triangle .


a. Calculer les coordonnées de I.
b. Démontrer que I    
 . Que peut-on en déduire pour les points , I, ?
+
3) Prouver que I est le projeté orthogonal de  sur le plan  .

Pour tout nombre réel $, on définit deux points J et .J , ainsi qu’un plan /J de la façon suivante :
Partie B. Une droite particulière

J  $
• J est le point de la droite  tel que   ;
• /J est le plan passant par J et parallèle au plan  ;
•.J est le point d’intersection du plan /J et de la droite  .
1) Identifier /K ; K et .K en utilisant des points déjà définis. Calculer la distance K .K
2) Calcul des coordonnées de .J .
L L L L L

a. Calculer les coordonnées de J dans le repère ;  ; 


 ; 
 %.
b. Déterminer une équation du plan /J dans ce repère.
c. En déduire que le point .J a pour coordonnées 1; 3$ 2 1; 0 .
3) Pour quelles valeurs de $ la droite  J .J est-elle orthogonale â la fois aux droites  et  ?
4) Pour quelles valeurs de $ la distance J .J est-elle minimale ?
5) Tracer sur la figure donnée en annexe, la section du cube par le plan /K . Tracer la droite M K .K N sur la
  
même figure.

L’espace  est rapporté au repère orthonormal !; "; #; $ %.


Sujet n°6 : extrait d’Asie –juin 2003

Les points ,  et  ont pour coordonnées respectives : 3; 22; 2 ; 6; 1; 5 et 6; 22; 21 .

1) Montrer que le triangle  est un triangle rectangle.


Partie A

2) Soit / le plan d’équation cartésienne 7 8 9 8 : 2 3  0.


Montrer que / est orthogonal à la droite  et passe par le point .
3) Soit /O le plan orthogonal à la droite  et passant par . Déterminer une équation cartésienne de /O.
1) Soit  le point de coordonnées 0; 4; 21 .
Partie B

Montrer que la droite  est perpendiculaire au plan  .


2) Calculer le volume du tétraèdre .
P a pour mesure Q radian.
3) Montrer que l’angle géométrique 
R

a. Calculer l’aire du triangle .


4)

b. En déduire la distance du point  au plan  .


Correction sujets de bac : Géométrie dans l’espace – 1

1) S  + TUVW X 
DEYDZ  + T[\] X 
 
Sujet n°1 : La Réunion – juin 2003

Or  est un triangle rectangle isocèle en  avec     1 donc T[\]    unité d’aire.
X 

De plus,    X  (car
^ 0) donc   .
 

Finalement S 

_

a.
 8 2 ` 0 donc le barycentre  existe.
2)

Par définition :
 
 8   8  . Or :
  0

 
 8   8   a
 
  0  8   % 8 
 8 
 8   a 
 8 2 
  0   2
 
 2  

 1
 
a  
 8  


82

82


 1
 1
b.

 .    
 .  8
 
 .  
 
 8  %.   8 
 .  

 8 2
 8 2
 8 2
 8 2
Or  est orthogonale au plan  donc à toute droite de ce plan donc en particulier à  donc   .    0
De même,  .    0. Finalement :



 1  1
  
 .   
 X M N  

82

82


82

 1
 1
 
 .    
 .  8    
 .    
 .   8 
 8   %. 


82
82
82
 8 2
Or  est orthogonale au plan  donc à toute droite de ce plan et en particulier à  donc    0.
 . 
De même,  . 
  0. Finalement :
1 1
  
 .     

82

82
1 1
  . 
  
 .   8   %    8 
 .    2
 .   8 
 .    2
 .  8   0

82
82



 1
c. On utilise la même méthode qu’à la question précédente :
 
  8
 


82

82


On en déduit que   .     


 8 %. 
  8    .       

 

       
et 
 .       .   8    8   %. 
     


       
   
D’où  .    .  8 %  2   8    0   

d. D’après la question b, les droites  et   sont orthogonales. Or elles appartiennent au même
plan  car  est un barycentre des trois point ,  et donc elles sont perpendiculaires ce qui montre que
 est la hauteur issue de  dans le triangle  .
De même, d’après la question ),  et  sont perpendiculaires et donc  est la hauteur issue de  dans le
triangle  .
 est donc à l’intersection de deux hauteurs du triangle  c’est donc l’orthocentre de  .
3)   . 
    8   %.     . 
 8   . 
  0 8 0  0
Car  est orthogonale à  donc à  .
De même,   . 
    . 
 8   . 
  0
On en déduit que  est orthogonale à   et à   qui sont deux droites sécantes du plan  .
On en déduit que  est orthogonale à  . C’est donc la hauteur issue de  dans le tétraèdre  .

a. Dans le triangle  rectangle en , à l’aide du théorème de Pythagore, on obtient :


4)

1
 8 1
    8    1 8  



De même, dans le triangle  rectangle en , on obtient      8    
  
On en déduit que    et donc  est isocèle en .
De plus,     8   1 8 1  2 (on utilise le théorème de Pythagore dans  rectangle en ).
Pour calculer l’aire du triangle  , nous pouvons calculer la hauteur b :
 
 8 1 2 2
 8 2 2

 8 2
 8 2
b 8 M N    ou encore b  2   d'où b  k
2
 4 2
 2
 2


b X  1
 8 2 1
 8 2 √
 8 2
T\]l   k X √2  k  car
^ 0
2 2 2
 2
 2

b. T\]l  1 a  1 a √
 8 2  2
a
 8 2  4
 car tout est positif
√  


2 2
a
  a
k
3 3

Dans ce cas, S   X T\]l et donc   ou encore     n 


      + √_
+ + _     R
n
L

Sujet n°2 : Polynésie – septembre 1998


1)

4 0
a.

 . 
b.    ?0@ . ? 6 @  0 donc  et  sont orthogonales.
0 28
24 0

!. !   ? 0 @ . ?6@  0 donc ! et ! sont orthogonales.
28 0
4 0

 . !  ?0@ . ?6@  0 donc  et ! sont orthogonales. Donc  est orthogonales à deux droites
0 0
sécantes de ! (en effet   et !
 ne sont pas colinéaires) donc  est orthogonal au plan ! .
 est donc la hauteur issue de  du tétraèdre !.
1 1 ! X ! 2
c.
So[\p   X To[\  X 4 X  X 6 X 8  32 )*+
3 3 2 3
d. Soit le centre de la sphère à laquelle appartient les points !, ,  et .
Comme !   , on a que appartient au plan médiateur de !, qui a pour équation 9  3 (plan parallèle à
7!: . De plus, appartient aussi au plan médiateur de !, qui a pour équation :  4.
Pour finir appartient au plan médiateur de !, qui a pour équation 7 8 2: 2 10  0.
On trouve donc 7  10 2 2:  2. Finalement 2; 3; 4 .
On vérifie   √2 8 3 8 4  √29 ;   √2 8 3 8 4  √29 ;   √2 8 3 8 4  √29
Et !  √29. Donc !, ,  et  appartiennent à une sphère de centre 2; 3; 4 et de rayon √29.

0
2)


a. 0; 0; $ . Déterminons une équation de Π : ! ?0@ est normal à Π donc une équation de Π est
8
8: 8 r  0. Or s Π donc 8$ 8 r  0 et r  28$. Une équation de Π est donc 8: 2 8$  0 ou encore :  $.
7E
Coordonnées de . : ! : t 9  0 u E s H donc 2E  $ et . v ; 0; $w
J

:  2E
7  4 8 4E
Coordonnées de / :  : t 9  26E u donc 8 8 8E  $ et E  y 2 1 d’où / v ; 6 2 R ; $w
J J +J

:  8 8 8E
70
Coordonnées de 0 :  : t 9  26E u donc E  y 2 1 d’où 0 v0; 6 2 R ; $w
J +J

:  8 8 8E
J J


. z0{ ; 0/

 z { donc ces vecteurs sont égaux et ./0 est un parallélogramme.

0
0 0
J
 0
b. 
/ . !   | +J } . ?0@  0 donc / est orthogonale à ! .
62 R
8
0
$
€ 2 ƒ 4 9$ 72

/ .    0 a 3$ . ? 26 @  0 a 2$ 2 36 8 0a$
6 2 ‚ 2 13
4 8
~ 0 
Pour $  les droites / et  sont également orthogonales.
„
+
J  +J 
c. /  nv w 8 v6 2 w n 8 36 2 9$ 8 n 2 9$ 8 36
J …J  +J 
 R R _ _

Donc /  2 9$ 8 36.
+J 
_
La distance / est minimale quand / est minimal car une longueur est positive.
Or / est un polynôme du second degré qui est minimal pour $  KL  9 X  .
… _ „
X X+ +
Donc la longueur / est minimale quand  / et  sont orthogonale.

Sujet n°3 : extrait de Liban – mai 2011

24 21
1)

a.   ?24@ Ces vecteurs ne sont clairement pas colinéaires (même ordonnée mais pas la
 ?24@ et 
4 22
même abscisse) donc ,  et  ne sont pas alignés.
 . 6  24 X 2 8 24 X 21 8 4 X 1  28 8 4 8 4  0 donc 
2)   et 6 sont orthogonaux.
 . 6  21 X 2 8 24 X 21 8 22 X 1  22 8 4 2 2  0 donc 
  et 6 sont orthogonaux.
Comme 6 est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires de  alors 6 est normal à  .
1
3) D  ? 1 @ est normal à /
21
. 6  1 X 2 8 1 X 21 8 21  2 2 1 2 1  0 donc D
D  et 6 sont orthogonaux et comme D  est normal à / et
que 6 est normal à  alors / et  sont orthogonaux.
4) On appelle  le barycentre des points pondérés ; 1 , ; 21 et ; 2 .
a. 7‡    2 ; 9‡   0 et :‡   25 donc 2; 0; 25
ˆ‰ Šˆ‹ ˆŒ + ŠR ŠŠ+Š_
Š   
2
b. 
 ? 2 @ donc 
  2D  et donc 
 est normal à / ce qui montre que  et / sont
22

720E
orthogonaux.

c.  s  donc il existe un réel E tel que   donc t 9 8 2  E u et les coordonnées de  sont
  E
: 8 3  2E
E; E 2 2; 2E 2 3 . Comme  s / , on a aussi : 7 8 9 2 : 8 2  0 et donc
E 8 E 2 2 2 2E 2 3 8 2  0 a 3E  23 a E  21 donc 21; 23; 22
5) Comme  est le barycentre de ; 1 , ; 21 et ; 2 , on a 
 2    2 
 8 2   d’où
 2 
=   =  12 a =2 
 8 2   =  12 a   6
< est donc une sphère de centre  et de rayon 6.
6) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de l’intersection du plan / et de la sphère < .
L’intersection d’une sphère et d’un plan est un cercle ou l’ensemble vide.
r ; / %    3√3 et comme cette distance est inférieure au rayon de la sphère, l’intersection
|| …
  Š  √+
de / et < est un cercle. Le centre de ce cercle est le point  qui est le projeté orthogonal de  sur / .
Pour calculer le rayon du cercle, on utilise le théorème de Pythagore dans le triangle  où est un point du
cercle.  est rectangle en  et   r ; / %  3√3 ;   6 car appartient à l’intersection de / et <
donc en particulier, c’est un point de la sphère.

On a donc   8      ou encore      2    6 2 3√3%  36 2 27  9 d’où
=√9 = 3 Le rayon du cercle est donc 3.

Sujet n°4 : France – septembre 2005


1)
1
a. A a pour équation cartésienne 7 8 29 2 7 = 0 donc 
6 ?2@ est un vecteur normal à A.
0
6. 6
 = 22 X 1 8 1 X 2 8 5 X 0 = 0 donc 6 et 
6 sont orthogonaux et les plans > et A sont perpendiculaires.
b. Déterminons l’équation cartésienne du plan >. Comme 6 est un vecteur normal à >, une équation
est de la forme 227 8 9 8 5: 8 r = 0. Or  s > donc 22 X 1 8 1 X 22 8 5 X 1 8 r = 0 soit r = 21.
Une équation de > est donc 227 8 9 8 5: 2 1 = 0.
227 8 9 8 5: 2 1 = 0u 227 2 29 8 9 8 5: 2 1 = 0u 59 8 5: 2 15 = 0u
7; 9; : s > ‘ A a ’ a’ a’
7 8 29 2 7 = 0 7 = 7 2 29 7 = 7 2 29
: =329 u
a’ donc, en posant 9 = 2E, on trouve 7 = 7 8 2E et : = 3 8 E. Une représentation paramétrique de
7 = 7 2 29
7 = 7 8 2E 2
la droite d’intersection de > et A est donc t 9 = 2E u E s H . Donc le vecteur D  ?21@ est un vecteur directeur
: =38E 1
7 = 7 2 8 = 21
de Δ qui de plus passe par  car, pour E = 24, on trouve t 9=4 u .
: = 3 2 4 = 21
|ŠXŠ XŠ Š| y y√+ +√+
c. r; > = = = =
Š    √+ + 

|5 8 2 X 22 2 7| 6 6√5
r; A = = =
√1 8 2 √5 5
d. On note  le projeté orthogonal de  sur > et I le projeté orthogonal de  sur Δ. Comme > et A
sont perpendiculaires, le triangle I est rectangle en  donc I  =   8 I  or I est la distance de  à Δ, 
est la distance de  au plan > et I est égale à la distance de  au plan A. D’où :
 
3√30 6√5 9 X 30 36 X 5 54 8 36
I = “

” 8“ ” = 8 = = 18 et donc I = √18 = 3√2
5 5 25 25 5
2)
2E 2 4
 ? 5 2 E @ donc  = 2E 2 4  8 5 2 E  8 E 8 1  = √6E  2 24E 8 42
a. On considère 
E81
b. On considère la fonction G: E • √6E  2 24E 8 42 définie sur H car le discriminant de
6E  2 24E 8 42 est strictement négatif donc ce polynôme est strictement du signe de
= 6.
G est la composée d’une fonction polynôme dérivable sur H et strictement positive et de la fonction racine carrée
FŠR _FŠ
qui est dérivable sur ,0; 8∞ donc G est dérivable sur H et G — 7 = =
√_F  ŠRFR √_F  ŠRFR
Donc GO est du signe de 6E 2 12 car son dénominateur est strictement positif donc :
E 2∞ 2 8∞
Signe de G 7
—
2 0 8

Variations de G

G admet donc un minimum en 2 et G2 = √18 = 3√2


c. On trouve  minimal quand E = 2 donc pour le point F 5; 1; 2 or ce point appartient à la droite
7 8 2E = 5 E = 21
Δ car t 2E = 1 a tE = 21u . Donc  représente le projeté orthogonal de  sur Δ.
u
38E = 2 E = 21
Sujet n°5 : Centres étrangers – juin 2006

1) Dans le repère ; ; 


 ; 
 %, on a 0; 0; 0 ; 1; 0; 0 ; 0; 1; 0 et 0; 0; 1 .
Partie A

  √1 8 1 8 0  √2   √1 8 0 8 1  √2   √0 8 1 8 1  √2
 a trois côtés de même longueur donc c’est un triangle équilatéral.

a. I est l’isobarycentre de ,  et  donc


2)

7\ 8 7] 8 7™ 1 1 1 1 1 1
7˜   ; 9˜  ; :˜  donc I M ; ; N
3 3 3 3 3 3 3
 v ;  ; w et  a pour coordonnées 1; 1; 1 donc 
b. I  1; 1; 1 et on a bien I
   

+ + + +

On en déduit que les vecteurs I  et 


 sont colinéaires et donc que les points , I et  sont alignés.
3) Comme I appartient au plan  , pour démontrer que I est le projeté orthogonal de  sur  , il suffit
 est un vecteur normal au plan  et pour cela, montrer que I
de vérifier que I  est orthogonal à deux vecteurs
non colinéaires de  .
 

€ƒ 21 €ƒ 21
+ +
 . 
I    . 
 +‚ . ? 1 @  2+ 8+ 8 0  0 I   +‚ . ? 0 @  2+ 8 0 8+  0
   

 0  1
~ + ~+
Donc I est bien le projeté orthogonal de  sur  .

1) K est défini par   or I


K     

 donc K  I ; /K est donc le plan passant par I et parallèle au

Partie B

L + L + L L

plan  or I s  donc /K   ; .K est l’intersection du plan  et de la droite  . Il est bien
L L

évident que ce point d’intersection est le point  donc .K  


L

2  1 + 1  6 √6
k
 .  I  M2 N 8 M N 8 M N  k 
+ + 3 3 3 9 3

7J  $
2)

a. J est définie par   donc t9J  $ u d’où J $; $; $


J  $
:J  $
b. /J est le plan passant par J et parallèle au plan  donc un vecteur normal à  est
également un vecteur normal à /J . Or d’après la première partie I et donc  est une droite perpendiculaire à
1
 ?1@ est un vecteur normal à /J donc une équation est alors de la forme 7 8 9 8 : 8 r  0.
 donc 
1
Or J s /J donc $ 8 $ 8 $ 8 r  0 donc r  23$ et une équation de /J est 7 8 9 8 : 2 3$  0
c. .J est l’intersection de /J et de  donc .J a des coordonnées de la forme 7; 9; 3$ 2 7 2 9 et
comme .J appartient à  , les vecteurs   et 
.J sont colinéaires.
0 721 7210
 ?1@ et 
Or  .J ? 9 @ donc il existe un réel E tel que 
.J  E et donc t 9E u
0 3$ 2 7 2 9 3$ 2 7 2 9  0
71
t 9E u On en déduit :  3$ 2 7 2 9  3$ 2 1 2 3$ 2 1  0
9  3$ 2 1
Les coordonnées de .J sont donc : 1; 3$ 2 1; 0
3)  J .J orthogonale à  et 
1

. . 
  0 $
ua› $ 2 1 8 $ 2 3$ 8 1 8 $  0 uaœ 2u
aš J J

. . 
  0 $ 2 3$ 8 1  0 1
J J $
2
Donc si $  alors  et  sont orthogonales à  J .J .


4) J .J  $ 2 1  8 22$ 8 1  8 $   √4$  2 6$ 8 2
Comme J .J est positif et que la fonction racine carré est strictement croissante sur 0; 8∞ , J .J est minimale
quand J .J est minimale donc quand 4$  2 6$ 8 2 est minimale. Or ceci se produit pour $  2   y  R
U _ +

Donc J .J est minimal pour $  R


+

5) K est le milieu de , ; .K est le milieu de ,


 
On sait que .K appartient au plan /K . De plus  et /K sont parallèles donc les intersections de ces deux plans
  
avec un troisième plan sont des droites parallèles. Ceci nous permet de tracer l’intersection de /K avec la face 

car on trace la parallèle à  passant par .K . Et ainsi de suite, on trace des segments qui joignent le milieu

d’arêtes et qui sont parallèles soit à  , soit à  , soit à  .
On obtient un hexagone régulier.

Sujet n°6 : extrait d’Asie – juin 2003

3 3
Partie A

 
1)  ?3@ ;  ? 0 @ et  . 
  3 X 3 8 3 X 0 8 3 X 23  9 8 0 2 9  0
3 23
 
Donc  et  sont orthogonaux et  est un triangle rectangle en .
1
2) 6 ?1@ est un vecteur normal à . On remarque que    36 donc 6 et 
 sont colinéaires et donc 
 est un
1
vecteur normal à /.
De plus : 3 2 2 8 2 2 3  0 donc  s /. / est donc bien le plan normal à  passant par .
3
3)   ? 0 @ est un vecteur normal à /O car  est orthogonale à /O donc une équation cartésienne de /O est
23
37 2 3: 8 r  0. De plus  appartient à /O donc 3 X 3 2 3 X 2 8 r  0 d’où r  23.
Une équation cartésienne de /O est donc 37 2 3: 2 3  0 ou encore 7 2 : 2 1  0

23
Partie B

1)   ? 6 @ donc 
 . 
  23 X 3 8 6 X 3 2 3 X 3  29 8 18 2 9  0
23
 . 
Et    23 X 3 8 0 2 3 X 23  29 8 9  0 donc   est orthogonal à deux vecteurs non colinéaires du
plan  donc  est perpendiculaire au plan  .
2)  représente donc une hauteur du tétraèdre  et la base correspondante est le triangle rectangle
.
1 1  X  1
S  T[\p X   X X   X  X  X 
3 3 2 6
Or   √3 8 3 8 3  √27  3√3 ;   √3 8 0 8 3  √18  3√2 et   √3 8 6 8 3  3√6 donc
1
S  3√3 X 3√2 X 3√6%  27
6
6 6
 ?23@ et 
3)   ?26@ donc    36 8 18 8 0  54
. 
6 0
  ; 
Or .    X  X cos  P %  9 X 6√2 X cos 
 %  √36 8 9 8 36 X √36 8 36 8 0 X cos  P%
P % = R = √ et donc 
Donc cos  P = Q radian.
R  √ R
4)
a. On note  le projeté orthogonal de  sur  . Alors le triangle  est un triangle rectangle en 
P = Q radian donc  = sin vQw X  = √ X 9.
avec 
R R 
 X  1 9√2
T\]p = = X X 6√2 = 27
2 2 2
b. Dans le tétraèdre , on peut considérer la hauteur issue de  et la base  et alors :
 +
S = X T\p] X r ;  % d’où r ;  % = 27 X = 3 .
+ „

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