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Plan de St Gall => plan monastère idéal, montre comment les moines se représentent.

Lors du concile d'Aix-la-Chapelle => établissement de ce plan vers 816-817.

Abbé??

Sur le plan les espaces sont dessinés et il y a des indications écrites pour donner des indications sur
comment les orienter,...

Sur le plan on devine que l'église fait 100m de long avec deux absides opposées une à l'Est, l'autre à
l'Ouest ce qui est typiquement
2 tours de chaque coté de l'atrium avec des chapellois dédiés aux archanges typiquement
carolingien.
Au centre autel de la sainte-croix en imitation du sépulcre de Jérusalem.
A l'entrée occidentale on a les fonds baptismaux => évolution du baptistère que l'on ne construit
plus à l'extérieur mais dans l'église à l'époque carolingienne. Une partie est dédié aux laïques pour
suivre la messe.
Église abbatiale au centre et assemblage de cercle concentriques => 1er = église et cloître autour de
celui-ci on trouve les pièces ppales, bâtiments réservé à la vie monastique pour la vie des moines
avec la pièce du Chapitre, au-dessus le dortoir, le réfectoire et la cuisine, et à l'Ouest le cellier =>
c'est le cœur du monastère. A l'Ouest du cloître on trouve bâtiments d'accueil des pèlerins et pauvres
et tout ce qui concerne la f° de portier du cloître. Au Nord de l'église on trouve lieux d'accueil des
hôtes du monastère, plus aisés. On trouve aussi l'école pour les enfants laïques des alentours. Plus à
l'Est on trouve les bâtiments destinés à l'évêque, on lui prévoit un passage reliant sa demeure à
l'église. A l'Est on dispose tous ce qui relève de l'infirmerie et de l'accueil des novices. Ces espaces
sont dissociés mais il sont organisés autour d'une chapelle avec 2 « mini-cloîtres » de chaque cotés
avec tous les bâtiments nécessaires => réfectoire, cuisines, dortoirs,...
On a les les résidences des médecins et les jardins de plantes médicinales, un lieu réservé à la
pratique de la saignée. Dans le prolongement de l'infirmerie on trouve le cimetière qui est un lieu
très important car sous la règle de St Benoît on prie beaucoup pour les défunts.
Au Sud on trouve tous ce qui concerne les activités monastiques et de stockage avec des granges
pour le blé, les moulins, greniers, parcs à animaux, vergers,...

Ce plan montre comment on se représentait le monastère idéal. On voit bien que le monastère est un
milieu fermé.

Cluny II (Bourgogne) => on retrouve des éléments de Saint-Gall dans son organisation avec l'église
abbatiale qui s'ouvre sur le cloître avec autour la salle capitulaire et le dortoir, le réfectoire, la
cuisine et le cellier. Plus loin on trouve les bâtiments d'accueil des hôtes et des pèlerins et pauvres.
A l'Est on retrouve les éléments de l'infirmerie, le noviciat est situé derrière le réfectoire. On
retrouve bien l'organisation globale du monsatère idéal du 9e s.

Archéologie funéraire du MA.

Biblio
- Auduc-le-Bagousse Armelle, Inhumations et édifices religieux au MA...
- '', Inhumations de prestige ou prestige de l'inhumation ?
- Alexandre-Bidon Danièle, … , A réveiller les morts.....
- Crubézy Éric, Lorans Elisabeth, Masset Claude....., l'archéologie funéraire....
- Galinné Henri,..., Archéologie du cimetière chrétien
- Lauwers

Archéologie funéraire => étude de la relation monde des morts et monde des vivants. Les tombes
attire attention à cause de notre rapport à la mort. Attire très tot archéologues car contient bcp
mobilier parfois prestigieux etcontemporain du défunts. Tombe donne idée culture d'une société.
Source investigation fondamentale pour comprendre passé.
Archéologue peut espérer comprendre les gestes de l'inhumation pour comprendre rapport entre les
deux mondes.
Intéret des historiens et archéologues fr pour mort au MA assez rédcente apparaît par publications et
études des images. Cet intérêt a considérablement évolué et surtout pour MA depuis débuts
archéologie. Ces 1ers archéologues très attachés à établire chronologie des tombes grâce au
mobilier. Époque naissance des nations aide àlégitimer ces nations différentes. Assez récent comme
études des sites habitat, développement archéologie urbaine a permis dév des fouilles de cimetières
paroissiaux associé à un type d'habitat.
Le pb fouilles cimetières paroissiaux impliq très long travail de recherces car on esaie de
comprendre des espaces utilisés pendant près de 10 siècles donc fouilles tre compliquées.
Aujourd'hui on a beaucoup de documantation sur cimetières
On peut comparer donées archéologiques avec histoire et HA. On essaie de comprendre comment
se sont créés cimetières comment rassembler autour églises et comment se sont rassembler autour
les villages. Allers et retours

1/ Mondes des vvants et morts et relation topographique entretenues entre ces deux mondes.

Durant 1er s deu MA o voit évolution


entre 4e et 11-12e s on passe phase exclusion des morts à leur insertion au sein de cimetière le plus
souvent habités. La règle stricte s'était séparation entre les deux monde, règles partculières =>
enfants enterrés dans habitats. Inhumations dans habiatta très rare se répand au MA avec le
christianisme.

a) insertion des morts dans espaces des vivants du 4e au 11e s.

Au 1er temps chrétiens christianisme phénomène ents qui touche campagne petit à pati donc on a pas
modifié vite les règles => isoleme,t des morts à l'extérieur des habitats reste ègle. Inhumations en
plein champs à la périphérie des villes. Au 3-4e s quand on construit des enceintes autour des villes
on n'intègre pas les morts dedans toujours extéieur de la ville.
Qd christianisme toléré en 313 avec édit de Milan choses commencent à changer => dans
suburbium on voit se développer basiliques funéraires avec des nécropoles qui apparaissent autour.
2 schémas ppx entre 4 et 6e s => basilique suburbaine pt succéder à mausolée antique qui abrite
relique, donc édiffié sur site nécropole pré existante autour du mausolée. Ou fondation de basilique
funéraires sur sites qui n'avaient jusqu'alors pas de f° funéraires = fondations ex nihilo (à partir de
rien). En général plus éloignés du cœur de l'habitat, de la cité antique. Comme à Lyon.
Dans tous les cas ces fondtions de basilique ont permi développement de nécropoles parfois très
étendues. Car on vaut être enterré au plus près des saints. Cela a conduit au développement des
inhumations ad sanctos (auprès des saints). Cette fondation d'églises funéraires a aussi touché les
campagnes comme à St-Denis qui était en campagne au MA.
U départ initiative privé puis rassemble petit à petit communauté familiale autour de ces édifces.
Parfois entorse à la spartion du monde des morts et des vivants avec les églises dont le cœur
accueielle des tombes mais ce n'est cas le plus général au ht MA.

En milieu rural on possède résultats nbses fouilles d'habittast ruraux du ht MA qui ont remis en
cause le schéma estimé jusqu'àalors qui disait qu'n passé directement de l'inhumation en plein
champs aux cometières paléochrétiens (7e s). De nbx sites révélent présence de tombes dans habitat.
Ex village de Serris. Passage sans transition apparement.
Alors que dans autres sites transitions entre apparition lieu de culte et cimatière. Nécropoles autour
de bâtiments abandonés.
Comme à Rigny.
Resserement progressif autour église et à partie 9e s rassemble morts autour église. Période antérieur
tant qu'on a pas lié morts à église on a du mal à comprendre rapports topographique entre morts et
vivants.
Luel-Viel (Hérault) avec une nécropole de la fin de l'antiquité associé à un haitat éloigné de 50m
environ, assez éloignée. Abandonnée pour 2 autres sites = Les Horts pendant 2 s (6-7) et plus tard
on
Antiquité tardive on sépare bien, ht MA on se rapporche de l'ancienne cité antique puis 9e on se
rapporoche de l'église et le village est construit autour.

En milieu urbain. Rapprochement morts et vivants commence plus tot mais fusion plus tardive.
Lorsq basilique funéraires plus dessevies par des clercs de la cathédrale mais par des communautés
d'habitants et qui inhume autour. Les clercs sont d'ébord inhumés hors les murs. Dans un 1er temps
les sites funéraires antiques autour basilique funéraires qui ont perduré et progressivement nouveau
ttut de monsastères ou prieurés qui a permis développement cimetières autour. Ère funéraire qui
ressemble à cimetière paroissial et ap fondations d'espaces ex nihilo pour nv quartiers qui se
développent autour des villes avec cimetières autour vers 10-11e s.
Dans la ville se développent autour cathédrale.
Comme à Rouen. Utilisé pendant 1s avec 238 tombes et 330 individus avec adultes et enfants
comme cimetière paroissial.
Première à avoir ihnumtions de perosnnages imortants dans cathédrale avec les 1er ducs de
Normandie.
A Toulouse 2 édifices accueillent des sépultures avec la cathédrale St Étienne et monastère St
Sernin qui ont un contrat pour savoir qui ils accuaillent avec les évêques pour la cathédrale et les
comtes pour le monastère.

On parle de cimetière paroissial au 9 et surtout 10e s.

Petit à petit les vivants se sont rapporchés des morts et maintenant comment

A partir 10e s gde majorité des défunts est inhumé dans cimetière paroissial qui entoure église ds
milieu ruarl et urbain. Le paroxysme est atteint quand on commence à habiter des les cimetières.
Courchamps.

Ou bien village neuf, écclesiaux, né de la présence d'une église et autour espace du cimrtière divisé
en parcelles où on a construit des habitations, consruite de façon circuaire autour de l'église. Ce sui
a attirer les populations dans les cimetières c'est le droit d'asile car ils sont alors protégés et ont donc
commencé à y habiter. Nbx cas dans le SO.
On trouve beaucoup d'éléments de stockage avec des silos, des fours, des espaces domestiques,...
Vilarnau. On a créé une église et un cimetière au 9e s et qui attire des habitations au 10e s. Sert de
lieu de stockage des grains avec des silos crusés dans le sol. Il a aussi une fonction de place avec le
marché, la foire, parcage des animaux, le puit du village,...
à partir du MA central la règle est d'être enterré dans cimetière paroissial mais on peut être inhumé
dans un cimetière rattaché à une communauté religieuse comme dan sles monastères lais moyennat
finance plus importante. Certains morts sont exclus du cimetière et enterrée à l'extérieur de la ville
car terre consacrée par l'évêque => les lépreux sont enterrés autour des maladreries, les suicidés et
les juifs dont on connaît encore très mal l'organistaion de leu cimetière.
A l’époque moderne on rapproche au maximum les morts de l'église mais plus dedans puis on les
rejette hors de la ville et on transfère les morts à la périphérie des villes comme à l'ANtiquité au 18e
s.

2/ Comment s'organisent les tombes ?

Les nécropoles du ht MA occupent des espaces anciennement à f° funéraires comme des tumuli
(tumulus). On les réutilisent pour leur qualité de repérage topographique.
Cette pratique est bien connu par archéologie omme avec des villas romaines autour desquelles on
enterrent les défunts. Ou autour d'ancien temple antique qui se transforme alors en chapelle puis en
église.
Archéologie permet aussi mieux définir comment on a pu délimiter espaces funéraire => ou
palissades, ou fossés. Fermés par talus pou haies mais archéologie ne permet pas de retrouver des
traces. Du coup iconographie aide.
Au 10e s on les ferme complètement suite au développement de la consécration des églises et
cimetière.

Environ 60 pas de diamètre soit 10 à 20 m.

….........................

Concernant le marquage des tombes on a surtout des informations grâce à l'iconographie du MA et


peu grâce à l'archéologie.

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