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A - Diabète sucré
B - Maladie de Cushing
C - Hyperthyroïdie
D - Hypothyroïdie
E - Acromégalie
A - Cétose diabétique
B - Acidocétose diabétique
C - Coma hyperosmolaire
D - Acidose lactique
E - Alcalose métabolique
B - Apport de potassium
C - Insulinothérapie
D - Réhydratation
E - Antibiothérapie
A. Diabète de type 1
B. Diabète de type 2
C. Diabète MODY
D. Diabète pancréatique
A. Âge
B. Vitiligo
C. Syndrome cardinal
D. Acidocétose inaugurale
A. Anti-GAD
B. Anti-thyroperoxydase
C. Anti IA-2
D. Anti-muscle lisse
E. Anti-Znt8
A. Hémoglobine glyquée
B. TSH us
C. Peptide C
D. Insulinémie
E. Cortisolémie
10. Quels organes peuvent être la cible de la microangiopathie ?
A. L'œil
B. Le rein
C. Les nerfs
D. Le foie
E. Le cœur
A. L'œil
B. Le cœur
D. Les muscles
E. Le pancréas
A. Le bilan hépatique
B. La créatininémie
C. La microalbuminurie
D. Le taux de prothrombine
E. Le fond d'œil
A. Maladie de Crohn
B. Lymphome digestif
C. Prise cachée de laxatifs
D. Maladie cœliaque
14. Il s’agit d’une maladie cœliaque : quels éléments parmi les suivants vont
devoir être supprimés de son alimentation ?
A. Le blé
B. Le maïs
C. Le seigle
D. Le riz
E. L'avoine
15. Quelles autres maladies auto-immunes peuvent être associées et doivent être
recherchées chez ce patient ?
A. Thyroïdite de Hashimoto
B. Maladie de Basedow
C. Maladie d'Addison
D. Sclérodermie
Réponses
En savoir plus
1. Il fallait répondre A et C.
B. Faux, la maladie de Cushing entraîne une prise de poids.
D. Inacceptable, car l’hypothyroïdie entraîne une prise de poids, mais pas
d’hyperphagie.
E. Faux, l’acromégalie n’entraîne ni asthénie ni amaigrissement.
2. Il fallait répondre D.
A. Faux, l’hypertension artérielle n’est pas un signe de gravité.
B. Faux, l’hypertension artérielle n’est pas un signe de gravité.
C. Faux, l’hypertension artérielle n’est pas un signe de gravité.
E. Faux, l’hypertension artérielle n’est pas un signe de gravité.
3. Il fallait répondre B.
A. Faux, la cétose diabétique correspond à la présence de cétones sans acidose
(HCO3 supérieurs à 15 mM)
C. Faux, car il n’y pas d’hyperosmolarité.
D. Faux, l’acidose n’est pas d’origine lactique dans ce cas (présence de cétones).
E. Inacceptable, car il s’agit d’une acidose ici (le pH est bas).
Commentaire global: Dans l’acidocétose diabétique, l’acidose est souvent très profonde
avec une réserve alcaline effondrée. La kaliémie normale correspond en fait déjà à un
déficit en potassium, qui risque de se majorer si on apporte de l’insuline sans
potassium.
4. Il fallait répondre A, B, C et D.
A. Juste, c’est indispensable en cas d’acidocétose.
B. Juste, l’apport en potassium doit être précoce et important.
C. Juste, cette insulinothérapie doit être administrée à la seringue électrique,
habituellement 0,1 unité/h/10 kg de poids corporel.
D. Juste, la réhydratation doit être massive dans les 24 premières heures.
E. Faux, le traitement antibiotique ne se fera qu’en cas d’infection avérée, et encore, il
n’est pas systématique.
5. Il fallait répondre A.
B. Faux, le diabète de type 2 survient en règle générale après 45 ans, dans un contexte
de surpoids.
C. Faux, le patient n’a pas d’antécédent familial évocateur de ce type de diabète.
D. Faux, le diabète pancréatique ne provoque en général pas de cétose.
E. Faux, il n’y a pas d’argument dans l’observation pour un hypercorticisme.
Commentaire global: Le diabète de type 1 représente environ 10 % des diabètes
sucrés, le diabète de type 2 en représente 90 %, les autres formes sont beaucoup plus
rares.
6. Il fallait répondre A, B, C, D et E.
7. Il fallait répondre A, C, D et E.
A. Indispensable, car le patient ne doit jamais l’arrêter, même s’il est jeune ou s’il doit
subir une intervention chirurgicale +++ : l’insuline lente est l’insuline « pour vivre ».
B. Faux, si le patient ne mange pas de glucides, il n’a pas besoin d’injecter de l’insuline
rapide (l’insuline « pour manger »).
C. Indispensable, il s’agit d’une consigne de sécurité primordiale.
D. Juste, il faut resucrer avec 15 g de glucides (trois morceaux de sucre).
E. Juste, cette mesure nécessite l’éducation de l’entourage.
8. Il fallait répondre A, C et E.
A. Juste, ce sont les autoanticorps les plus fréquemment présents dans le diabète de
type 1.
B. Faux, ce sont les (auto)anticorps de la thyroïdite.
C. Juste, ils sont plus rarements présents mais plus spécifiques que les anti-GAD.
D. Faux, ce sont les (auto)anticorps de l’hépatite autoimmune.
E. Juste, il s’agit des autoanitcorps les plus récemments découverts.
9. Il fallait répondre A.
A. Indispensable, car c’est sur ce paramètre que se base la surveillance.
C. Faux, le peptide C est le reflet de l’insulinosécrétion endogène mais en aucun cas un
signe de l’équilibre du diabète.
D. Faux, il n’y a aucun intérêt de doser l’insulinémie chez un patient sous insuline.
Commentaire global: L’hémoglobine glyquée est le reflet de l’équilibre glycémique des
trois derniers mois. L’objectif est d’avoir une hémoglobine glyquée inférieure à 7 %.