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Parcelles mécanisées
Critères agronomiques
Fiche clefs
Fiche 1
Fiche 2
Fiche 3
Fiche 4
Fiche 5
Bibliographie
Pente Eléments fins dominants Faible présence d'éléments fins La localisation et la dimension de la
Faible pierrosité Forte pierrosité bande sont à raisonner en fonction
Sol nu Couverture végétale ou mulch des ruissellements à maîtriser. On doit
Supérieure à 15 % 30 m 50 m viser un optimum de 12 mètres de
Comprise bande enherbée pour 100 mètres de
entre 10 et 15 % 40 m 60 m vigne en une ou plusieurs fois (3X4 m,
2X6 m) en respectant les écartements
Inférieure à 10 % 50 m 80 m
maxima entre deux bandes décrits
dans le tableau 1.
Ce raisonnement sera beaucoup plus
Tableau 1: Ecartement maxi- de terre, d'insectes, dans certaines pertinent s'il a pour cadre un coteau
mum entre deux bandes situations une faune sauvage (passe- ou mieux un bassin versant.
enherbées (extrait du contrat reaux, perdrix …). Les bandes compre-
de lutte concertée contre l'éro- nant des espèces à fleurs (lin, Dans l'objectif "diversité biologique"
sion dans le Rhône) achillée-millefeuille…) hébergent de l'ensemble des bords de parcelles
nombreux arthropodes (principale- peut être enherbé.
ment des homoptères, diptères et
hyménoptères).
Faut-il semer ?
Si la zone est déjà correctement cou-
Enrichir le paysage verte par la végétation spontanée il
Les bandes enherbées, technique- n’est pas utile de tenter un semis.
ment utiles et efficaces, marquent Dans le cas contraire, deux possibili-
également le paysage. tés :
• attendre et favoriser la flore naturel-
A la fois maîtrisées et "naturelles", le en stoppant tout désherbage
elles sont aisément perçues comme - avantages : couvert souvent diversi-
l'expression d'une agriculture parte- fié, adaptation au milieu, coût réduit.
naire de la nature. - Inconvénients possibles : installa-
tion lente, densité plus faible, entre-
tien plus exigeant,
L'installation des bandes • semer
enherbées - avantages : rapidité d'installation,
densité élevée.
- Inconvénients possibles: limitation
1 - Où localiser les bandes de la diversité biologique, agressivi-
enherbées (cf. graphique 1) té pour le milieu, coût plus élevé.
Faut-il fertiliser
le couvert végétal ?
Uniquement en cas de sol très peu fer-
tile, il convient de fertiliser (75 uni-
tés/ha de phosphore et de potassium)
avant le semis. Apporter ensuite au
printemps 60 unités d'azote/ha.
Prévoir éventuellement, selon la vigueur,
une fumure annuelle d'entretien essen-
Charroi enherbé tiellement azotée(20 à 30 unités).
L'objectif est de maintenir un couvert
vigoureux et dense pour éviter la
Actuellement, nous conseillons donc formation de rigoles.
principalement :
Comment entretenir
- si le sol est plutôt "maigre", naturel-
lement peu enherbé: le Ray-Grass
les bandes enherbées ?
anglais qui possède d'excellentes Pour une maîtrise des espèces non
facultés d'installation. Ses principaux désirées mais aussi pour des raisons
inconvénients sont sa pérennité limi- esthétiques, 1 à 3 fauchages par an
tée (environ 5 ans) ainsi que sa faible pourront être réalisés. La conservation
vigueur estivale. de zones fleuries puis de graines est
favorable à la diversité biologique.
- si les conditions sont plus favorables Les parties frontales des bandes
à l'installation du couvert : la Fétuque enherbées reculent à cause de la
élevée, tout en sachant que sa levée rétention des particules de terre. Il
est plus difficile. convient périodiquement de prévenir
le dépérissement de la bande et de
gérer ces volumes d'éléments érodés
Comment préparer le sol ? par un travail du sol. Un nouveau
Le sol doit être propre (sans adventi- semis de l'amont du couvert végétal,
ces), préparé par un travail superficiel éventuellement un sur-semis de l'en-
sans mottes. Attention aux reliquats- semble, peut permettre de conserver
de désherbants de pré-levée qui peu- une bande enherbée efficace contre le
vent être présents dans les sols ! ruissellement.
Il faut également veiller à utiliser des
Afin de palier à l’apparition de rigoles systèmes anti-gouttes ou des stop-
sur le passage des roues, on peut gouttes et des buses anti-dérive si on
réhausser cette zone. désherbe à côté de la bande.
3
1 2
3
2 4
2 en bordure de celles-ci
Semis
Dose de semis : 5 g/m2 de graines
soit des doses de 30 à 50 kg/ha per-
mettent d'atteindre un bon compro-
mis entre une bonne couverture du sol
(évitant ainsi le développement de
mauvaises herbes) et une limitation
des coûts. La dose généralement utili-
sée se situe à 40 kg/ha :
• Ray grass anglais et paturin des
prés : 30 à 40 kg/ha
• Fétuque rouge : 40 à 50 kg/ha.
La surface semée atteindra au maxi-
mum 50% de la surface totale afin de
limiter les phénomènes de concurren-
ce hydrique. En cas de vignes plus
sensibles à la sécheresse, il peut-être
envisagé de n’enherber qu’un rang sur
deux.
Quelques aspects pratiques sont à
Enherbement de l’interligne prendre en compte pour réaliser un Techniques de semis : le semis peut
enherbement permanent issu de être réalisé soit en ligne, soit à
semis : la volée. Les semoirs type espaces
verts permettent d'assurer un semis
- choix des espèces : Fiche 3 correct.
- implantation du couvert végétal Le semis est suivi systématiquement
- préparation du sol d'un roulage de la zone semée, afin
- semis d'obtenir le meilleur contact terre-
- fertilisation semences. Ce tassement est important
- coût pour obtenir une bonne levée de ces
- gestion du couvert végétal semences de faible surface.
Désherbage
Sur la partie non engazonnée et au
pourtour de la bande enherbée (afin
de limiter son expansion), un désher-
bage est généralement nécessaire. La
quantité d’herbicide apportée sera
localisée sous le rang et limitée à 2/3
d’un apport normal. On peut retenir les
mêmes programmes que sur les vignes
Enherbement (automne) en non culture. Si l’on n’a pas de
dispositif de protection du gazon, il est
absolument nécessaire de désherber
par temps calme pour éviter toute déri-
ve. De même, il parait essentiel d’être
Bases de calcul
Herbicide de postlevée à dose norma-
le, coût moyen 51,92 €/ha
Temps de travail estimé à 3 h/ha (avec
cache, 2 rangs)
Gobelets enherbés Passage d'un enjambeur 55 à 65 CV,
équipé de cuves : 31 €/h avec main
équipé de système anti-gouttes et de d'œuvre (source barème entraide
buses anti-dérive, ceci afin d’éviter les FRCUMA 2002)
pollutions diffuses et de favoriser une Main d'œuvre : 10,67 €/h (source
meilleure protection de l’applicateur. barème entraide FRCUMA 2002)
En cas de sécheresse importante on Soit un coût de passage d'herbicide
peut envisager de limiter temporaire- de 31 €/h
ment la largeur de la bande avec des Soit un coût de passage d'une machi-
défanants. ne de 44 €/h
Sur jeune gazon, il peut arriver que
l'on soit confronté à des levées de
mauvaises herbes. Dans ce cas de
Coût de la mise en place
figure, une tonte rapide (à 7-8 cm de amorti sur 7-8 ans : Tableau 1
hauteur) quelques semaines après le
semis peut être intéressante. Coût de l’entretien annuel :
Tableau 2
Objet Détail Coût moyen /ha en €
Préparation du sol 4 heures X 44 € 176,00 Coût total annuel : Tableau 3
Semis manuel 5 heures X 10,67 € 53,35
Semences 40 kg X 6,1 € 244,00
Total 473,35 Cas particulier ;
Coût total annuel pour pérennité de l'enherbement de 7- 8 ans 59,17
l'enherbement
temporaire :
Tableau 1 : Coût de la mise en place d'un enherbement
Le semis se fera de fin août à octobre
pour l'orge et le seigle (à la dose de
Objet Détail Coût 160 à 200 kg/ha) et d'avril à mai pour
moyen/ha en € l'orge de printemps.
Deux applications d’ENM 6 heures X 31 € 186,00 La préparation du sol et le semis s'o-
Herbicide de postlevée 50 % de la surface maximum 25,96 pèrent de la même façon que pour
l'enherbement permanent.
Tontes 2 passages X 2 heures X 44 € 244,00
L'entretien de l'herbe se fera de façon
Total entretien annuel 387,96 différente en fonction de la date du
semis :
Pour l'enherbement réalisé à l'automne,
Tableau 2 : Coût de l’entretien annuel d’un enherbement
sa destruction s'effectuera au moment
Objet Détail Coût moyen /ha en € du débourrement de la vigne pour dimi-
nuer les risques de gel printanier.
Coût total annuel pour pérennité de l’enherbement de 7-8 ans 59,17 Pour l'enherbement semé au prin-
Total entretien annuel 387,96 temps, sa destruction interviendra fin
Total général annuel 447,13 juin, début juillet pour éviter les phé-
nomènes de concurrence pendant la
période estivale.
Tableau 3 : Coût total annuel d’un enherbement
Critères de choix :
- vitesse d'installation (une bonne
implantation)
- vitesse de pousse (réduite)
- résistance à l'arrachement et au tas-
sement (une résistance aux passages
répétés du matériel)
- pérennité
- comportement hivernal et estival
- capacité à couvrir le sol (avoir une
bonne couverture du sol)
- agressivité et concurrence exercée
sur la vigne. Elles doivent être les plus
faibles possibles, tant au niveau de la
concurrence azotée que de la concur-
rence pour l'eau, selon la parcelle et
les objectifs.
Si on a déterminé que l'enherbement
Paturin des prés des vignes est possible, il convient Caractéristiques
ensuite de choisir l'espèce ou la varié-
té la mieux adaptée aux conditions de
des espèces :
la parcelle. Le choix des espèces peut Au sein des espèces, des différences
se faire selon les différents critères variétales existent : la résistance aux
suivants : maladies, la vitesse de pousse, la
quelques années.
Dans la plupart des situations, les
espèces les plus dynamiques des
mélanges prendront le dessus sur les
autres espèces (ex : ray-grass anglais
sur le paturin des prés). Voilà pour-
quoi nous prendrons la précaution de
ne préconiser des mélanges qu'au
delà de 20 % d'argile. Dans la cas de
sols sensibles aux situations de stress
on ne dépassera pas les 20 % de ray-
gras anglais dans le mélange.
En dessous de 20 % d'argile nous pré-
conisons l'utilisation de paturin des
près ou de fétuque ovine (éventuelle-
ment des légumineuses) pure.
L'état sanitaire
La diminution de vigueur améliore le
microclimat des grappes. Ainsi l'en-
herbement s'accompagne d'une amé-
lioration de l'état sanitaire de la ven-
dange, en particulier vis-à-vis du
développement de la pourriture grise.
L’enherbement permet Le système aérien Dans certaines situations, une aug-
de réduire la pression
La vigueur : mentation des populations d'acariens
du botrytis
jaunes (Tetranychus urticae) a été
Face à la concurrence hydrique voire observée sur des parcelles enherbées.
azotée, la vigne réagit : L'existence de plantes hôtes (liseron,
- En ralentissant prématurément sa pissenlit, mouron, prêle….) explique-
croissance : car les fonctions métabo- rait cette tendance.
liques liées à celles-ci (croissance cel- Dans l'essai de Châtillon en 2001,
lulaire et synthèse protéique) sont les après onze années d'enherbement,
premières à être affectées bien avant nous n'avons pas observé de différen-
l'activité photosynthétique et l'accu- ce significative sur les populations de
mulation des sucres. typhlodromes entre les trois enherbe-
- En réduisant sa surface foliaire : ments et la non-culture.
cette diminution s'explique principa-
lement par un moindre développe- Effets sur la vendange
ment des entre cœurs par rapport à la
non culture. Le feuillage présente de
et le vin
plus grandes discontinuités sur le L'effet sur les caractéristiques des
plan de palissage. moûts est proportionnel à la réduction
de vigueur.
L'importance
de la production Les effets sur la vendange
Comme la vigueur, la production est Richesse en sucres
influencée, mais de façon moins forte.
Cette réduction est d'autant plus Elle est généralement améliorée par
significative que la réduction de l'enherbement permanent par rapport à
vigueur est importante (Essai enher- la non-culture. Lorsque les différences
bement Châtillon - CDB). de rendement deviennent réellement
Cette baisse de production s'explique marquées, l’effet est plus significatif.
principalement par une réduction du
poids des grappes et dans une très Acidité totale – Acides orga-
faible mesure par une diminution du niques – pH - Potassium
nombre de grappes/cep.
L'acidité des moûts issus de vignes
La nutrition minérale enherbées est équivalente ou inférieu-
L’effet sur la nutrition minérale est re à celle de vignes en non culture. Les
indiscutable. Il a été mesuré dans l’es- teneurs en acide malique et acide tar-
sai enherbement de Chatillon par ana- trique sont assez proches.
les effets sont les plus significatifs. En importants que l'enherbement est
effet le lot fétuque rouge + urée développé. Dès le printemps et en
obtient des notes identiques au lot début d'été, il doit être maintenu court
non culture et supérieurs au lot par des coupes régulières.
fétuque rouge sans apport d'urée.
Choix des espèces et variétés
Mesures correctrices de
Certaines graminées présentent une
la concurrence en eau et croissance lente et limitée. C'est le cas
en azote des fétuques rouges ou ovines et du
paturin des prés. Certaines variétés
Certaines mesures permettent de gazonnantes de ray-grass anglais per-
réduire la consommation d'eau et d'a- mettent aussi de réduire ces concur-
zote. Quelques unes sont prises en rences. Parmi toutes ces espèces le
compte dans les critères d'implanta- paturin des prés est le moins concur-
tion d'un enherbement. rentiel.
Pour limiter la concurrence azotée, on
peut faire appel à des légumineuses
(trèfle flanc, trèfle souterrain…..). La
solution la plus judicieuse est d'alter-
ner dans l'espace la répartition de ces
espèces avec par exemple, un inter-
rang de légumineuses et un interrang
de graminées.
Mesures curatives
concernant la concurrence
azotée.
Comme nous l'avons précisé, la
concurrence azotée se traduit par des
teneurs faibles des moûts en azote
En limitant la largeur de la (azote ammoniacal, acides aminés).
bande enherbée, on limite la Postérieurement à cet état, on peut
Limitation de la surface
concurrence envisager des apports correctifs d’a-
enherbée zote ammoniacal dans les moûts,
• Dans le temps : en pratiquant l'en- mais on peut aussi agir préventive-
herbement temporaire, ce qui peut ment lors de la campagne suivante en
être le cas pendant quelques années agissant sur le sol ou la vigne :
sur des jeunes plantations avant - Au sol : il s'agit d’effectuer des
d'installer un enherbement perma- apports d’azote minéral (ammonitra-
nent. tes) uniquement sur la ligne des ceps,
à la dose de 50/60 unités/ha en début
• Dans l'espace : en réduisant la lar- de croissance de la vigne.
geur de la bande enherbée ou le nom- - Sur la vigne : l'apport d'azote en
bre d'interrangs enherbés (1 rang sur application foliaire permet de limiter
2, uniquement dans les interrangs de les quantités apportées. Les engrais
passage des tracteurs). concentrés en azote minéral soluble
comme l'urée*(46 % d'azote), peu-
vent être utilisés. Quinze à vingt uni-
Limitation des besoins tés d'azote peuvent être apportées en
hydriques trois ou quatre applications. Elles per-
mettent de réduire significativement
Les besoins hydriques du couvert her- la déficience.
bacé sont liés à son évapotranspira- * (à utiliser à 2 % sur la base de
tion. Ces besoins sont d'autant plus 500/600 l d'eau).
Désherbage chimique
anti-dérive à injection d’air à celles avec
du rang de vigne chambre de décompression. Ces buses
Comment désherber sous le rang : peuvent être utilisées sans cache.
Il parait important de bien choisir Pression de travail 2 à 3 bars. Ces buses
avant tout le type de buses à utiliser existent en version excentrée.
dans le cadre de son désherbage : - Buses miroirs : sensibilité à la dérive
- Buses à fente (jet pinceaux) : angle moindre que buses à fente à condition
de diffusion entre 80 et 110 °, sensibi- de ne pas dépasser 2 bars de pres-
lité à la dérive, toutefois il existe dés- sion. Ces buses émettent de grosses
ormais des buses à fente «anti-déri- gouttes et il y a une mauvaise réparti-
ve». Pression de travail : 2 à 4 bars tion du produit sur le sol
pour les buses à fente traditionnelles, - Buses ou disque à pulvérisation cen-
pas de traitement à plus de 2 bars de trifuge : la bouillie est injectée à basse
pression. pression sur un disque tournant à
- Buses à fente anti-dérive : ces buses grande vitesse, entraîné par un
à jets plats limitent fortement les moteur électrique. La taille des gout-
embruns tout en assurant une bonne tes est fonction du débit de l’appareil
répartition du produit et un bon pou- et de la vitesse de rotation du disque.
voir de couverture. Préférer les buses Le volume/ha est déterminé à partir
du débit et de la vitesse d’avance-
ment.
Ce principe est adapté uniquement au
désherbage avec des produits de
postlevée.
Pour les buses à pression (fente, anti-
dérive, miroir), l’équipement doit
disposer d’un manomètre adéquat
(manomètre de 0 à 20 bars à échelle
dilatée de 1 à 5 bars) et d’un régula-
teur de pression permettant de tra-
vailler à partir de 1 bar.
Nous conseillons lorsque c’est possi-
ble d’utiliser des systèmes à deux
buses (Cf. schéma 1) afin d’assurer
une meilleure répartition du produit.
Un système de T inversé ou de Y inver-
sé sur le châssis de l’enjambeur ou du
vigneron avec des buses à pinceau
(80°) ou à jet plat excentré sur ce sup-
Rampe désherbage port semble être une solution intéres-
sur tracteur enjambeur sante (Cf. schéma 1).
Cependant, il est également intéres-
sant d’utiliser des buses centrifuges
qui assurent elles aussi une très
bonne répartition du produit au sol.
Buses à pinceaux ou à
Support en forme de T
jet plat excentré
inversé fixé sur le châssis
Possibilité de mettre
des caches
Schéma 1 :
Désherbage sous le rang
par le biais de tracteur
enjambeur ou
de tracteur interligne
Constructeurs Caractéristiques
Tableau 2 :
Désherbage chimique Intercep de Boisselet Système d’effacement hydraulique
sur le rang de vigne
Reflex de Belhomme Intercep avec effacement hydraulique
Avec ou sans palpeurs
Rotacep Intercep avec effacement hydraulique
Decalex de souslikoff Intercep
Sécurité non stop, moins de risque de couper
les ceps
Travail en faible profondeur
Tableau 3 : Tournesol de Pellenc Travail superficiel autour du cep de vigne
Entretien mécanique sans dommages
du rang de vigne Vitesse de trvail élevée 5 à 6 km/h
La Tassée Beaujolaise
- L’herbement permanent des vignobles (mars 1991 - N° 5/90). J. Carsoulle
- Effets de différentes techniques culturales sur la physiologie de la vigne et la qualité
de ses produits (septembre - octobre 1992 - N° 3). J. Carsoulle
- Essai d’entretien des sols (août 1994 - N°3). J. Carsoulle
- Enherbement permanent et nutrition azotée (février 1995 - N° 5).
- Caractéristiques de quelques espèces de graminées et légumineuses pour
l’engazonnement du vignoble (août 1995 - N° 3). J. Carsoulle
- Limitation d’un stress azoté en situation d’herbement permanent,
par un apport foliaire d’urée - synthèse de 4 ans d’essais (juin 2000 - N° 117). J. Carsoulle
- Entretien des sols viticoles (décembre 2000 - N° 119). J. Carsoulle
- Enherbement permanent (aspects pratiques) (février 2001 - N° 120). J. Carsoulle
- Dix ans de contrat de lutte contre l’érosion (juin 2001 - N° 122). J. Carsoulle
- Enherbement de la vigne : conséquences œnologiques d’un apport d’urée
à la véraison (juin 2001 - N° 122). J. Carsoulle
- Les bandes enherbées et l’enherbement des charrois (août 2001 - N° 123). P. Hardy
- Enherbement des charrois (décembre 2001 - N° 124).
- Entretien des sols viticoles (décembre 2001 - N° 124).
- «Entretien des sols» action de groupes (février 2002 - N° 125). JH. Soumireu
- Une application de la charte érosion : le développement de l’herbement
du vignoble (juin 2002 - N° 127). J. Carsoulle
L’enherbement permanent du vignoble / Influence sur la production viticole (J. Carsoulle - CDB
- Groupe Columa Vigne de l’ANPP, Reims 1996).