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LA MORT ET SON PHÉNOMÈNES
LA MORT: UNE
OPERATION
MATHEMATIQUE
La Vie est Energie déterminée et
déterminante. De la naissance
jusqu’à la mort, différents types
d’énergie coulent dans
l’organisme humain. Le seul type
d’énergie auquel l’organisme
humain ne peut résister, c’est le
Rayon de la Mort. Ce rayon a un
voltage électrique très élevé.
L’organisme humain ne peut
résister à un tel voltage.
CE QUI RESTE
Évidemment, au Panthéon vont trois choses:
1ª. Le corps de chair et l’os, qui est décomposé entre la tombe.
2ª. Le Corps Vital, ou le « Corps Bio-Plastique » (comme ils l’appellent ce les russes), qui flotte
près du cadavre et est décomposé peu à peu, comme le corps physique est aussi décomposé. Nous
savons très bien, que chaque sept ans il change totalement le corps physique, et ne reste pas aucun
ancien atome dans ce corps. Cependant, le Corps Vital ne change pas. Dans ce corps est tellement
contenus tous les atomes l'enfance, l'adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse et la
décrépitée.
3ª. La Personnalité humaine. La Personnalité n'est pas le Corps Physique, la Personnalité est
énergétique; il ne peut pas être vu avec les yeux physiques, mais existe. Quand on vient au monde,
on ne porte pas de Personnalité. Celle-ci se forme avec l'exemple des pères, ce qu’on apprend dans
l'école, avec les expériences de la vie, etc. En réalité, la Personnalité se forme pendant les sept
premières années de l'enfance et il est renforcé avec le temps et avec les expériences.
La Personnalité est fille de son temps, naît en son temps et meurt en son temps ; il n'existe
aucun demain pour la personnalité du mort. Après le décès du corps physique, la Personnalité est
dans la tombe, mais sort quand quelqu'un porte des fleurs, quand une certaine douloureuse visite,
marche par le phantéon et retourne à sa tombe. La Personnalité humaine est perceptible pour ceux
« clairvoyants » ; toute personne qui a peu de extra-perception, pourra voir comme la « ex-
personnalité » se désagrège lentement dans le cimetière.
Je vais vous raconpter, par rapport à ceci, un fait inhabituel. Par là, dans une festivité, une
certaine dame se distinguait par son immense joie, parce qu'elle soulignait évidemment entre tous les
hôtes par son caractère jovial et par sa beauté physique. Beaucoup de jeunes ont dansé avec elle
jusqu'aux trois heures du matin, heure celle-ci dans laquelle la dame a manifesté avoir beaucoup de
froid; un de ses admirateurs lui a prêté un veston, absorbe , pour qu'elle soit abrité. Donc, comme un
chevalier accompli, il a été offert pour l'accompagner jusqu'à sa maison. La dame n'a pas décliné une
telle attention chevaleresque et est sortie, donc, de la salle de festin.
Dans automobile rapide, la dame accompagnée par le jeune qui lui offrirait sa compagnie et par
des autre hommes amicaux de ce dernier, est arrivée jusqu'à la porte de sa maison. Le personnel de
compagnie a été écarté de la dame sus-mentionnée tandis que celle-ci a pénétré dans sa demeure.
Au jour suivant, le chevalier propriétaire de l'article d'habiller prêtée à la dame, avec ses amis, a
touché à la porte de cette demeure avec le but évident de récupérer l'article. Une vieille a ouvert la
porte qu'elle demanderait: « Qu'est-ce que souhaitez-vous, messieurs? » « Nous venons - il a dit un
des jeunes par un veston que j'ai hier soir prêtée à la Mademoiselle madmoiselle de de tel ». « Oh! -
a dit la vieille, Si vous voulez cet article d'habiller devez y aller la chercher dans le panthéon vous la
trouverez sur la tombe de ma petite-fille; elle a été la dame qu'avec Vous a dansée hier soir; il y a de
nombreuses années il est mort. »
Les jeunes alarmés se sont certainement adressés au panthéon, ont cherché la tombe de la
dame et ils l'ont trouvé, et sur ce dernier ils ont trouvé le veston.
Vous voyez, mes amis, un cas extraordinaire de matérialisation. Réellement, à les incrédules, à
les sceptiques, il paraîtra comme question d'histoires pour petits enfants, mais ne paraîtra pas la
même chose à auquel qui a éprouvé cette réalité terrible. Parce qu'une chose est de considérer sur
quelque chose dans ce que n'est pas crue, et une autre est de l'éprouver dans sa peau lui-même.
Or,: qu'est-ce qui a été ce qui est devenu visible et tangible, pour ces jeunes homes? Qu'est-ce
qui a été ce qu'il a dansé avec ceux-ci, au milieu de la fête? Donc, réellement l'Ex-Personnalité. Cela
a l'habitude, parfois, de devenir visible et tangible. La Personnalité est énergétique, reste dans le
sépulcre, mais parfois il sort de lui et même lui donne le luxe de marché par de divers lieux.
CE QUI CONTINUE
Or, pas tout va au panthéon; il y a quelque chose qui continue, Je me réfère aux « Valeurs », tant
les positifs comme les négatifs, les « Mois » bons et les « Mois » mauvais.
Je vous ai déjà expliqué que dans toute personne, il y a beaucoup de personnes, c'est-à-dire,
beaucoup « Mois». Une chose est « J’envie » et une autre « Je n'envie pas »; une chose est
« J’aime » et une autre est «Je n'aime pas » ; une chose est « Je hais » et autre chose est « Je ne
hais pas ». Tous ces défauts nous font comprendre que « Je » n'existe pas en manière simplement
individuelle; « je » est un tas d'« Mois » chacun avec son esprit propre, sa volonté propre et son
sentiment propre. Cela que nous disons déjà est pleinement démontré; l'épreuve vous avez, dans
celui qui personne n'est le même, ni même par une demi-heure
Conclusion : le décès en lui-même est une soustraction de fractions ; terminée l'opération
mathématique, la seule chose qu'ils restent sont ceux-là « Valeurs », c'est-à-dire, une certaine somme
des mois des diables qui personnifient nos défauts psychologiques.
L'Éternité les avale, les dévore. Dans la Lumière Astrale nos valeurs s'attirent et repoussent
conformément aux lois d'Imantación Universal. Ces valeurs heurtent parfois entre oui, ou simplement
s'attirent ou repoussent.
Par conséquent, cela qui continue après le décès, n'est pas donc quelque chose très beau. Cela
qui n'est pas détruit avec le corps physique, n'est pas plus qu'un tas de diables, d'ensembles
psychiques, de défauts; l’unique décent ce qui existe dans le fonds de tous ces organismes
troglodytes qui constituent l'Ego, elle est l'Essence, la Conscience, le Budhata…
Le décès est le retour au point original de départ. Si un homme ne travaille pas sa vie propre, et il
n'essaye pas de la modifier, évidemment il perd le temps misérablement, parce qu'un homme n'est
pas plus que cela, ce qu'est sa vie. Nous devons travailler notre vie propre pour faire de d'elle une
oeuvre de maître. La vie est comme un film, quand termine nous portons le film pour l'Éternité, dans
l'Éternité nous revivons notre vie propre qu'il vient de passer.
Pendant les premiers jours de mort, le défunt a l'habitude de voir la maison où il est mort et
même il habite dans elle. S'il est mort par exemple, de quatre-vingts ans d'âge, il continue de vivre
avec ses petits-fils, étant établi sur la table, etc.. L'Ego sera parfaitement convaincu qui est encore vif
et il n'y a rien dans la vie qui réussit à le convaincre dans le cas contraire. Pour l'Ego rien n'a
malheureusement changé...
Il voit la vie comme toujours, convenu par exemple, devant la table de salle à manger il
demandera ses aliments habitués. Évidemment, ils ne lui verront pas leurs douloureux, mais le
subconscient de ses parents, répondra. Ce subconscient mettra dans la table les aliments indiqués. Il
est évident qu'il ne va pas mettre les aliments physiques parce que cela serait impossible, mais s'il
met des manières mentales très semblables à celles des aliments que le défunt habituerait à
consommer.
Il Peut voir une veillée funèbre celui le mort, il supposerait jamais que cette veillée funèbre ait
quelque chose voir avec lui, plutôt pense qu'une telle veillée funèbre correspond à quelqu'un qui est
mort, à une autre personne, plus jamais il ne croire qu'il lui correspond. Il se sent tellement vivant que
ni il soupçonne éloignément son décès.
S'il sort à la rue, il verra celle-ci tellement absolument égale que rien pourrait lui faire penser qu'il
a arrivé quelque chose. S'il va à une église il verra là le prêtre en disant messe, il assistera au rite et
très tranquille il sortira de l'église parfaitement convaincu qu'il est vivant, rien pourrait lui faire penser
qui’l a mort. Encore plus, si quelqu'un lui faisait affirmation très grande, il souriait sceptique, incrédule,
il n'accepterait pas l'affirmation qui lui est dite
habillé avec des combinaisons funéraires. Il est clair que cette figure tellement sinistre seulement
l’assume quand ils travaillent; hors de leur travail ils assument de belles figures, ou d'enfants, ou de
dames ou de personnes vénérables. Les Anges de la mort ne sont jamais mauvais ou pervers. Ils
travaillent toujours en accord avec la Grande Loi; chaque quel naît dans son heure et meurt
précisement en son temps.
Dans la vie pratique, le policier habille son uniforme, le médecin son battez blanche, le juge son
toge, le prêtre son habitude religieuse, etc. Les vêtements funéraires et la figure squelettique des
Anges de la Mort, ils épouvantent ceux qui n'ont pas encore réveillé la Conscience
Les Anges de la mort sont, en eux-même, des hommes parfaits. Elle est très amère, la perte d'un
être cher et il paraîtrait comme si les Anges de la Mort étaient trop cruels, mais ils le ne sont pas
réellement, même s'il semble incroyable. Les Anges de la Mort ils travaillent conformément à la Loi,
avec une sagesse suprême et beaucoup d'amour et charité. Cela nous pouvons clairement le
comprendre seulement quand nous nous identifions à eux dans les Mondes Internes.
Les symboles funéraires des Anges de la mort sont la faucille qui fauche des vies, le crâne du
décès, l'horloge de sable, la chouette, etc.
Les Anges de la mort sont échelonnés sous forme de hiérarchies. Entre eux il y a des degrés et
degrés, échelles et échelles, etc.
Les Anges de la mort ont ses temples dans le Monde Astral, aussi ont ses échelles, palais et
bibliothèques. Là, dans l'immensité du grand Océan de la vie, il existe un palais funéraire où a son
unité d'habitation un des Génies principaux de la mort. Sa face est comme celui d'une pucelle
ineffable et son corps comme celui d'un homme terrible.
Cet Être admirable est un « Androgyne divin »; sous leur direction travaillent des milliers des
Anges de la mort. Dans leur bibliothèque il existent des milliers de volumes où sont écrits les noms et
les données karmiques de de tous ceux-là qui doivent mourir, chaque quel à son jour et à son heure,
en accord avec la Loi du Destin (Karma). La science de la mort est terriblement divine…
LE LIVRE TIBETAIN DES MORTS dit: « Endors-toi dans un évanouissement pendant les
derniers trois jours et demi. Aussitôt que tu te remettras de cet évanouissement, tu auras la pensée.
Que s'est-il passé?, à ce moment-là, tout le Samsara (l'Univers phénoménal) sera en révolution »
Le Livre tibétain des Morts assure que tous les hommes tombent au moment de la mort, dans
une espèce d'évanouissement qui dure trois jours et demi.
Max Heindel, Rudolph Steiner et une foule d'autres auteurs soutiennent que durant ces trois jours
et demi l'Ego désincarné voit passer toute sa vie sous forme d'images rétrospectives.
Au moment de la mort et durant les trois jours et demi qui suivent la mort, notre conscience et
notre jugement interne sont libérés par la décharge électronique. C'est alors que nous voyons se
dérouler toute notre vie de manière rétrospective. La décharge est si forte que l'homme tombe ensuite
dans un état de coma et de rêves incohérents. Seuls ceux qui possèdent ce qu'on appelle une Ame
peuvent résister à la décharge électronique sans perdre la conscience. (Si nous avons employé dans
une forme générique le terme "d'Âme" il est pour que les gens nous comprennent. Réellement l'être
humain n'a pas encore de «Âme« ce qu'il a est un embryon appelé Conscience, Essence, avec les
possibilités latentes dans elle pour qu'il germe, grandisse et il finisse par devenir l'Âme authentique).
Passés les trois jours et demi, l'Essence entre dans un état de conscience de type lunaire. Au
moment de la mort, nous revivons notre vie de façon rétrospective, sous l'effet de la décharge
électronique, mais d'une manière très rapide et terrible. (Plusieurs sont ceux qui ont raconté ce
premier jugement ou l'examen rétrospectif rapide que l'Essence vit devant un danger imminent de
perdre le corps physique).
Ensuite, comme nous avons dit, il va passer celui-là défunt par un second jugement ou une
rétrospection. Il doit revivre dans le Monde Astral toute l'existence qu'il vient de passer, mais la revit
dans une manière tellement naturelle et à travers le temps, que le défunt identifié avec cette dernière,
vraiment savoure chacune des âges de la vie qui a terminé.
S'il était de quatre-vingt années, par exemple, pour un temps caressera à ses petits-fils, dans son
connue table, en couchant dans son lit traditionnel, etc. Mais au fur et à mesure qu'il passe le temps,
il s'adapte se à d'autres circonstances de son existence propre ; bientôt il sentira en vivant l'âge des
soixante-dix-neuf années ou des soixante-dix-sept, ou des soixante, etc., etc. ; et s'il a vécu dans une
autre maison à l'âge des soixante années, il sera vu en vivant dans cette une autre maison et dira la
même chose qu'il a dit et jusqu'à son aspect psychologique il assumera l'aspect qu'il avait quand il
était de soixante années, et s'il a vécu à l'âge des cinquante années dans une autre ville, à cet âge il
Lune. Je ne veux pas dire qu'il n'y ait pas d'autres couleurs, en effet il les y a, mais la couleur de base,
fondamentale, est ce qui est le bleue intense, comme celui d'une nuit profonde, lumineuse, brisée.
Ceux qui vivent dans cette région ils sont heureux dans le sens le plus transcendantal que le mot,
mais tout prix à long terme est épuisé, toute récompense a une limite et arrive le moment,
évidemment, où l'Essence qui est entrée dans le Monde Causal doit retourner, retourner et descendre
inévitablement pour être récemment mise dans l'Ego, dans Moi de la psychologie expérimentale.
Postérieurement, cette classe d'Essences vient imprégner l'oeuf fécondé pour former un nouveau
corps physique, ils sont réincorporés dans nouveau corps physique, ils retournent au monde. Un autre
est le chemin qui attend à auxquels qui descendent aux Mondes Infier. Il s'agit de gens qui ont déjà
accompli leur temps, son cycle de manifestation ou qui ont été trop pervers. De tels gens involutionent
indubitablement dans les viscères de la terre
QUESTIONS ET RÉPONSES
“Par bizarre qui paraît à beaucoup de personnes, il y a dans les cimetières des salons de magie noire
dans le plan astral”. “Ces salons lugubres aspirent toute la pourriture du cimetière, et les mages noirs
de ces salons utilisent pour ses intentions infernales, tous les éléments horribles du cimetière”.
“Il existent dans l'atmosphère astrale des cimetières, beaucoup de vampires astraux qui se nourrissent
des émanations cadavériques et des pourritures; ces vampires sont utilisés par les mages noirs pour
causer des dommages à ses ennemis haïs”. “Comme la terre inspire et expele comme nous, les
cimetières constituent de grands foyers d'infection pour les grandes villes. Des cimetières les grandes
pestes sont sorties, des cimetières, ils sont sortis, le typhus et la variole et la toute espèce épidémies”.
“La terre de cimetière inspire de l'oxygène et expele des épidémies. Déjà les hommes de science ont
vérifié que la terre inspire et expele, et par conséquent ces nos affirmations sont sévèrement
scientifiques; l'heure a approcheté de que les autorités publiques de l'hygiène et de la salubrité
établissent des fours de crémation au lieu des cimetières ”.
P. Il y a quelques années, mon père venait de mourir et nous étions en train de le veiller,
quelques personnes et moi. Ces personnes étaient avec moi lorsque je me suis endormie un
moment; tout à coup, j'ai vu mon père entrer dans la pièce où nous le veillions. Il a mis les
mains dans ses poches de pantalon et m'a demandé qui était mort, qui était étendu là. J'ai
pensé alors que c'était mon père qui venait de mourir, et qu'il était là à me parler!
Pourriez-vous me dire à quoi est dû ce phénomène?
R. Il est indispensable de comprendre tout d'abord que les gens ne se préoccupent jamais de leur
vie d'éveiller leur conscience; en réalité, toutes les personnes de l'agrégat social ont la conscience
profondément endormie. Il est évident qu'après la mort, l'animal intellectuel qu'on appelle faussement
« homme » continue de vivre dans ses rêves; si on disait à n'importe quel désincarné qu'il est mort, il
ne le croirait sûrement pas.
On voit que les désincarnés pensent toujours être en vie, et ils ne trouvent donc rien d'étrange à
mourir. Ils continuent de voir le même soleil, les mêmes nuages, les mêmes oiseaux qui prennent leur
envol des mêmes branches...
Après le "grand saut", ceux qu'on nomme morts continuent à déambuler dans les rues de la ville
ou dans les quartiers de la banlieue où ils sont décédés. Ils continuent normalement leur travail
quotidien, ils s'assoient à table dans leur propre maison, et ils se paient même le luxe de coucher
dans leur lit, sans penser une seconde qu'ils sont passés "dans l'autre monde" ; ils se sentent bien
vivants, ici et maintenant.
Dans ces conditions, lorsqu'ils voient leur corps dans le cercueil, ils présument qu'il s'agit de
quelqu'un d'autre, ils ne se doutent pas le moins du monde qu'il s'agit de leur propre véhicule
physique décédé ; ceci est la crue réalité des faits, et c'est pourquoi ils ne s'étonnent pas du tout de
cette expérience intime qu'ils ont vécue.
P. Pourquoi les enfants peuvent-ils voir un désincarné et les adultes non ? Mon fils le plus
jeune a vu mon père récemment décédé, et il a parlé avec lui.
R. Au nom de la vérité, nous devons être clair et soulever certaines notions. Il n'est pas superflu
de dire que tous les enfants sont clairvoyants. Il nous a été dit qu'avant que la fontanelle se referme et
que le crâne du nouveau-né durcisse, ce dernier a le pouvoir de voir le suprasensible, ce qui ne fait
pas partie du monde physique, ce qui est invisible aux adultes.
Si les êtres humains reconquéraient l'innocence dans leur esprit et dans leur cœur, ils
recouvreraient sans aucun doute la divine clairvoyance, cette faculté de voir l'occulte, le mystérieux,
l'inconnu.
P. Quand nous mourons, ne courons-nous pas le danger de nous perdre, ou de perdre nos
proches?
R. Mais qu'est-ce que cela veut dire, Madame, "nous perdre" nous-mêmes? Quand cesserez-
vous d'avoir peur - quelqu'un peut-il se perdre dans sa propre maison? J'ai été suffisamment clair là-
dessus: durant les premiers jours, nous continuons à vivre dans la maison même où nous sommes
morts, plusieurs témoignages le confirment.
A la mort, nous nous retrouvons avec les chers défunts qui nous ont précédé, c'est-à-dire avec
nos parents et amis.
P. Pourquoi, toutes les fois que je rêve de mes parents défunts et que je parle avec eux,
m'affirment-ils qu'ils ne sont pas morts mais en parfaite santé?
R. Avant tout, je veux que vous compreniez le processus des rêves. Le rêve est une "petite mort".
Durant les heures où notre corps repose endormi dans notre lit, notre âme se promène sans lui, visite
différents endroits, prend contact avec les morts et parle même avec eux.
Il est évident que les morts ne croient jamais être morts, parce que jamais durant leur vie ils ne se
sont souciés d'éveiller leur conscience. Ils se pensent toujours vivants; vous comprendrez à présent
pourquoi les êtres décédés qui vous sont chers vous font de telles affirmations.
P.- Pourquoi les fervents de spiritisme ont-ils une prédilection particulière pour appeler ou
invoquer les défunts ?
R. Bon. Ils la tiennent de leurs maîtres: Allan Kardec, Léon Denis et bien d'autres. Le malheur est
que ces auteurs n'ont pas investigué à fond le cœur de la question.
Avant tout, vous devez savoir que tout être humain a en lui un "je", un ego", un "moi-même".
N'allez pas penser que ce "je" est le meilleur. Etudiez plutôt le Livre des Morts des anciens Egyptiens,
et vous comprendrez ce que je vous dis maintenant.
Avez-vous lu Faust, de Goethe? Si vous connaissiez ce qu'est Méphistophélès, vous me
donneriez raison, son caractère ténébreux est indiscutable: Méphistophélès, c'est l'Ego, le Je, le Moi-
même.
Ce qui entre dans le corps du médium spirite, c'est le Moi du défunt, Ahriman, Méphistophélès.
Ce Moi personnifie évidemment tous nos défauts psychologiques, toutes nos erreurs.
L'Etre du défunt ne se manifeste jamais dans une séance de spiritisme. Distinguez l'Etre d'avec le
Moi: celui qui accourt à ces séances est Satan, le Moi-même. Comprenez bien la loi d'action et de
conséquence: celui qui prête son corps, sa matière aux Moi des morts, à Méphistophélès, à Satan,
devra dans sa prochaine vie souffrir d'épilepsie.
P.- Il y a longtemps, une tante me contait qu'à l'époque où elle tenait une épicerie, par un
soir pluvieux, un homme bien mystérieux arriva. Elle ne voyait pas son visage: il portait un
chapeau à bord très large et un pardessus noir aux larges revers montés. L'homme lui
demanda de lui rendre le service de garder pour lui un petit coffre, parce qu'il ne se rendait pas
directement chez lui et qu'il pleuvait; il viendrait le reprendre le lendemain matin. Ma tante prit
le coffre et le rangea sur ses étagères. Lorsque l'inconnu sortit, elle s'aperçut qu'on ne voyait
pas ses pieds; en un instant il disparut comme une ombre dans la nuit. Elle sentit aussitôt un
frisson la traverser, et elle eut le pressentiment que tout ce qui venait de se passer n' était pas
normal.
Le jour suivant, elle en parla à d'autres personnes. Un an et demi plus tard, l'homme n'était
toujours pas venu reprendre son coffre, et les personnes auxquelles ma tante en avait parlé lui
conseillèrent de l'ouvrir, puisqu'il pouvait s'agir d'un défunt. C'est ce qu'ils firent, et ils
s'aperçurent en ouvrant le coffre qu'il contenait effectivement les ossements d'un mort, mais
aussi, dans le fond, une quantité appréciable de pièces d'or. Mais ma tante, dans l'état nerveux
où elle se trouvait, décida de faire cadeau du coffre à quelqu'un d'autre: elle ne voulait rien
savoir de plus sur cette affaire.
Auriez-vous, Maître, l'amabilité de nous expliquer ce fait?
R. Bien sûr. Le personnage si étrangement vêtu qui s'est présenté à cet endroit était sûrement un
désincarné, le fantôme d'un défunt. Il est très clair que ce fantôme a laissé pour un instant la
dimension inconnue pour entrer dans ce monde physique à trois dimensions.
Le fantôme a donné le coffre à la personne dont vous parlez. Malheureusement, la femme n'a
pas pu comprendre le fait en lui-même et, saisie de peur, elle a donné à d'autres ce qui lui était
destiné à elle. Voyez ce que la peur entraîne : avec une bonne fortune comme celle-là, elle aurait pu
améliorer sa situation, mais malheureusement elle n'a pas su profiter de la chance qui se présentait.
Il est intéressant de comprendre qu'un fantôme comme celui-là, en plus de se matérialiser dans
le monde visible, puisse faire un geste physique comme celui de remettre le coffre, de l'endroit où il se
trouvait, entre les mains de la dame. Ce genre de matérialisation est vraiment sensationnel.
P. On ne doit donc pas laisser passer des chances comme celle-là quand elles se
présentent, même quand on en a peur?
R. La peur est quelque chose d'exécrable. Les nations s 'arment par peur, se lancent en guerre
par peur, les hommes portent un pistolet à la ceinture par peur, ils assassinent par peur - et pourquoi
avoir peur? Nous devons tous mourir tôt ou tard. Le mieux qu'aurait pu faire la femme de votre récit
aurait été d'aller porter les os au cimetière et de profiter de l'argent en faisant des oeuvres de charité
et en en tirant elle-même profit
P. Dans le village où nous vivions, il y avait un petit vieillard qui me contait tous les
événements étranges qui s'étaient passés dans les alentours.
Une fois, il me raconta le cas d'un paysan qui était entré en dispute contre un des gardes-
pêche de l'endroit. Cette dispute tourna en bataille à coups de machette; le garde-pêche en
mourut, et le paysan le cacha parmi les roseaux de la rivière.
Peu de temps après, les voisins vinrent à savoir que tous les jours, le paysan, selon ce
qu'il disait dans la nuit, était emporté par le mort. Certains arrivèrent à l'entendre dialoguer
avec le défunt: il implorait sa pitié et son pardon pour le meurtre commis. Les voisins
décidèrent de l'interroger sur ce crime: il confessa qu'il s'agissait du garde-pêche disparu et
leur indiqua qu'ils le trouveraient, entre les roseaux de cet endroit. En effet, ils le trouvèrent
quelque temps plus tard, en état de putréfaction. Par la suite, le paysan demanda à ce qu'on
dise des messes, et le mort cessa pour de bon de le tourmenter.
Est-il possible que l'histoire se soit déroulée de cette façon, Maître?
R. Ce récit est extraordinaire, mon bon ami. Je crois fermement que l'ex- personnalité du mort a
pu se rendre visible et tangible à certains endroits avant sa dissolution finale.
Je me permets de répéter maintenant que ce n'est pas l'âme ni l'esprit des défunts qui se rend
visible ou se manifeste de quelque manière dans le monde physique, mais plutôt leur ex-personnalité
; celle-ci, étant de nature quasi-physique, peut se manifester dans ce monde à trois dimensions,
spécialement dans les premiers jours suivant le décès. C'est ainsi que nous devons comprendre ce
récit. Il est clair que les prières et les rituels ont pu éloigner le fantôme vengeur.
Il n'y a pas de doute que le sang a un pouvoir magnétique très spécial.
Goethe a dit avec raison : "C'est un fluide très particulier."
Frédéric Nietzsche, l'auteur d'Ainsi parlait Zarathoustra, a dit : "Ecris avec du sang, et tu
apprendras que le sang est esprit."
Il existe un lien entre l'assassin et sa victime, à cause du sang. Par l'effusion de ce fluide vital,
grâce à cet agent, la victime peut se rendre visible, et même tangible, à son assassin.
Dans le monde oriental, il existe certaines sectes de magie noire où on invoque les défunts. Les
fanatiques dansent de façon de plus en plus frénétique, en se blessant mutuellement avec des
poignards ; il est évident qu'on y verse du sang, et que par le biais de cet agent fluidique, les démons
invoqués se matérialisent de façon bien visible et tangible dans le monde physique. Il est clair que de
tels sorciers danseurs sont des candidats assurés pour l'abîme et la deuxième mort.
J'ai connu des cas tout à fait extraordinaires de matérialisation. Il y a quelques années, lorsque le
Maître Gargha Kuichines (Julio Medina) était en terre mexicaine, nous fûmes témoins d'un cas
vraiment insolite. Nous marchions tous deux sur l'avenue du Cinq Mai, lorsqu'au coin d'une rue nous
vîmes un ami diplômé, dont je ne mentionnerai pas le nom, qui se vouait à la pratique du hatha-yoga.
Nous nous approchâmes de lui, et personnellement je le saluai très poliment en lui serrant la
main, puisque nous étions amis. Nous parlâmes tous trois sur ce coin ; les gens, pour ne pas se
heurter contre le diplômé, faisaient un petit détour. Nous nous quittâmes ; le diplômé continua sur
l'avenue en question, en direction de l'Allée Centrale. Chose étrange, il portait un chapeau blanc à
ruban noir, ce qui ne manqua pas d'attirer notre attention, étant donné qu'il n'avait jamais porté de
chapeau de sa vie.
J'expliquai à Julia Medina que je ne lui avais pas présenté mon ami parce que cet homme se
vouait au hatha-yoga et que je considérais qu'il ne pourrait y avoir aucune affinité entre eux. Je lui
expliquai que ce diplômé occupait une position de juge, et qu'il avait déjà étudié la Gnose avec nous.
Puis nous continuâmes notre chemin.
Quelques jours plus tard, je me trouvai avec mon ami Salas Linares dans le village de Santiago
de Tepalcatlalpan, et je lui contai ce qui était arrivé. Grande fut ma surprise quand mon ami me fit
savoir que le diplômé en question, que j'avais rencontré sur l'avenue du Cinq Mai, était mort depuis
déjà plusieurs jours.
Je l'incitai par la suite à m'expliquer ce fait. "Tu as rencontré un mort, me dit Alexandre. Tu as
parlé avec un défunt." Au moment où cela se produisit, le jour de cette rencontre, cet homme avait été
tué dans un accident automobile à l'extérieur de la ville de Mexico, dans le Nord du pays.
Comme vous le voyez, il s'agit ici d'une autre matérialisation, et je crois que c'est l'ex-personnalité
de ce défunt qui réellement s'est rendue visible et tangible en plein cœur de la journée, devant tout le
monde et à la lumière du soleil.
P.Ne pouviez-vous pas, Maître, distinguer en lui donnant la main si cette personne était
vivante ou morte?
R. Je tiens à vous dire que l'ex-personnalité d'un mort ressemble tellement à la personne
physique qui vivait qu'on ne remarque franchement aucune différence entre les vivants et les morts.
Tout ce que j'ai effectivement senti d'un peu étrange était la froideur de cette main, un froid de
tombeau, c'est clair, un froid de cadavre. Aussi, l'homme parlait d'un ton un peu mortuaire, et je
pressentais quelque chose à propos de la mort, je le sentais comme mort, et je ne me trompais pas.
Quand je souligne l'idée que c'est l'ex-personnalité des défunts qui se rend visible et tangible, je
n'exclus pas la possibilité que les désincarnés eux-mêmes puissent aussi en certaines occasions se
matérialiser dans ce monde à trois dimensions, en l'absence totale de l'ex- personnalité funéraire
P. Une certaine dame de mes amies me conta un jour que lorsque son père mourut, sa
sœur se trouvait dans la ville de Los Angeles, en Californie, et qu'elle revint auprès de son
père trop tard pour le voir: il était déjà enterré.
A partir de ce jour, sa sœur se coucha toutes les nuits dans la chambre de son père, lui
demandant qu'il se matérialise afin qu'elle puisse le voir.
Une nuit, elle était couchée et elle vit une main se poser sur un des meubles de la
chambre. Elle poussa un cri de frayeur tandis qu'une voix lui disait : "N'aie pas peur, Marie,
c'est moi, ton père, qui voulais voir si tu pourrais supporter de me voir en entier ; mais comme
je vois que ce n'est pas le cas, je m'en vais, et je te prie de cesser de m'appeler, et de me
laisser en paix."
Maître, pourriez-vous m'expliquer si c'est l'âme ou l'ex-personnalité du défunt qui s'est
rendue visible et tangible?
R. La question de cette dame me paraît certainement très intéressante. Je tiens à vous dire, mes
amis, que l'ex-personnalité des défunts vit normalement dans le tombeau. Toutefois, il arrive qu'elle
s'échappe de la fosse pour se rendre visible quelque part, ou simplement pour visiter quelqu'un.
Il est indubitable que dans le cas de votre récit, ce n'est pas à proprement parler l'ex-personnalité
du défunt qui s'est rendue en partie visible et tangible, mais plutôt le fantôme du défunt, son âme.
C'est ce qu'indiquent le discernement dont il fait preuve, ses paroles, sa prudence, etc.
P. - Maître, Vous nous avez dites qu'il n'y a aucun demain pour la personnalité du mort et
que le Corps Etérico se désagrège peu à peu. Il veuille savoir si la personnalité dure plus que
le Corps Physique dans la désintégration.
R. - la question qui sort de l'auditoire mo'a paru intéressante, et avec le plus grand plaisir je me
dépêche la répondre. Indiscutablement, la ex- personnalité est d'une plus grande durée que le fonds
vital éliminé. Je veux avec ceci affirmer que le Corps Vital est décomposé comme le Physique se
désagrège dans la tombe. La personnalité est différente. Étant donné que se fortifie à travers le
temps avec les différentes expériences de la vie, évidemment, il se dure plus; c'est une note
énergétique plus ferme, il résiste généralement pendant de nombreuses années.
Il n'est pas exagéré en aucune façon affirmer que la personnalité écartée peut survivre par des
siècles complets; il s'avère curieux de considérer à plusieurs personnalités écartées en charlant entre
eux. Je parle maintenant quelque chose qui à Vous peut paraître étonne; j'ai pu compter jusqu'à 10
personnalités écartées correspondant à un même propriétaire ; c'est-à-dire, à 10 retours d'un même
Ego. Je les ai vu en échange d'avis subjectifs, réunis entre eux, par affinité psychique. Toutefois, je
veux clarifier un peu plus ceci pour éviter des confusions; j'ai dit qu'on ne naît pas avec la
personnalité, qui doit la former, celle que ceci est possible pendant les 7 premières années de
l'enfance ; j'ai aussi affirmé que dans le moment du décès une telle personnalité va au panthéon et
que parfois marche dans ce dernier, ou il se dissimule entre son tombe. Vous pensez maintenant pour
un moment un Ego qu'après chaque retour il s'échappe du Corps Physique. Il est clair qu'il laisse
après de d'elle à la personnalité. Si nous réunissons par exemple 10 vies d'un même Ego, nous
aurons 10 personnalités différentes, et celles-ci peuvent se réunir par affinité pour bavarder dans les
panthéons et faire de l'échange d'avis subjectifs.
Indubitablemente, de telles ex-personnalités sont affaiblies peu à peu, ils s'éteignent
extraordinairement jusqu'à se désagréger finalement radicalement. Cependant, la mémoire de telles
personnalités continue dans le Monde Causal, entre les Archives Akashiques de la Nature. Dans des
moments où je parle avec Vous ici ce soir, moi vient à la mémoire un ancienne existence que j'ai eue
comme militer pendant l'époque de la renaissance en la vieille Europe. Dans tout moment, tandis que
je travaillais dans le Monde des Causes Naturelles comme Homme Causal, me cela s'est produit sortir
parmi les Archives Secrètes, dans cette Région, la mémoire d'une telle ex-personnalité. Le résultat a
certainement été extraordinaire: j'ai alors vu à ce militaire habillé avec l'uniforme de l'époque où il a
vécu ; brandiant son épée, m'a violentement attaquée ; il ne m'a pas été difficile de le conjurer pour le
garder récemment entre les archives. Ceci signifie que dans le Monde des Causes Naturelles, toute
mémoire est vive, a réalité, et ceci est quelque chose qui peut surprendre à beaucoup d'étudiants
esoteristes et ocultistes
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L’Institute Culturel Quetzalcoatl d’Anthropologie Psyché-Analytique.
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GLOSSAIRE:
Ahrimán. - Selon l'ancienne theogonie persane, c'est la représentation de nos milliers de défauts
psychologiques.
Akashiques. - Archives de la nature. Où on trouve tout ce qui est arrivé dans le monde et en outre les
différents stocks de chacun de de nous.
Androgyne. - Qui possède les deux polarités masculin-féminines.
Antakarana. - Cordon énergétique qui unit le corps physique au corps astral. Il peut être étendu
jusqu'à l'infini. Personne ne peut couper un tel cordon, mais les êtres supérieurs en son temps précis.
Budhata. – S’appele ainsi à l'Essence, au pourcentage de valeurs supérieures de l'être humain.
Hamistikan. - Région astrale.
Hata-Yoga. - Yoga spécialisé dans des positions.
Faucille. - Outil pour couper des plantes Indostanes. - Naturel de l'Inde
Ineffables. - Supérieur, divin.
Loi D’Aimantation Universelle. - Loi qui se réfère à auquel dans tout il existe une alimentation
réciproque.
Lingam Sarira. - Nom sánscrito du corps Vital, deuxièmement corps de l'être humain, celui qui
garantit la vie du corps physique, appelé aura, corps bioplastiqaue, mumia, etc.
Mephistofeles. - Dans l'oeuvre de Faust de Goethe, est la représentation de de nos défauts
psychologiques.
Samsara. - Sanscrite. – Roue de naissances et décès, nous accordent 108 chances pour la auto
realisation
Thesophistes. - Organisation fondée par la maître Helena Petronila Blavatki, auteur d'Isis sans voile,
Doctrine Secrète, etc.
Questionnaire:
Envoie les réponses de ce petit questionnaire de 4 questions à francais@samaelgnosis.net pour
qu'ainsi nous ayons le plaisir de vous envoyer la leçon suivante.
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NOTE : La leçon suivante doit t’arriver le Dimanche après de recevoir vos réponses. En horaire du Mexique.
Nous ne laissons pas ni un seul et mail sans répondre, ainsi qui s'il ne t'arrive pas est qu'elle a été trompé, celui
qui nous as envoyées ou celui que nous t'envoyons, par cela suggérons aux étudiants de Gnosis, qui par faveur
nous renvoient les courriers si ne leur arrive pas la réponse dans les jours indiqués.