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Maurice 

Leblanc

Arsène Lupin,
le bouchon de cristal
A1

CLE
International
Maurice Leblanc
(1864­1941)
Né à Rouen en 1864, Maurice Leblanc fréquente Guy de 
Maupassant et Gustave Flaubert. Journaliste, il écrit quelques 
romans et des pièces de théâtre.
Puis le directeur du magazine Je sais tout lui demande 
d’imaginer un héros d’aventures policières, à la manière de 
Sherlock Holmes.
En 1905, Maurice Leblanc crée le personnage d’Arsène Lupin. 
De nombreuses publications, des adaptations pour le cinéma et 
le théâtre font le succès de ce personnage pendant plus d’un 
siècle.
Quelques titres :
Arsène Lupin, gentleman cambrioleur (1907) ; Arsène Lupin 
contre Herlock Sholmes (1908) ; Les huit coups de l’horloge 
(1923) ; Victor de la brigade mondaine (1934).
Maurice Leblanc meurt en 1941.
Le bouchon de cristal est un roman policier, paru en 1912.
Quel secret cache le bouchon de cristal ? Pourquoi des hommes 
et des femmes veulent retrouver ce mystérieux objet ? Arsène 
Lupin mène l’enquête, mais il n’est pas le seul...
Complice d’un cambriolage, Arsène Lupin va­t­il échapper à la 
police ? Va­t­il comprendre le mystère du bouchon de cristal ?
1
Deux hommes arrêtés par la police

Il fait nuit. On aperçoit quelques étoiles entre les nuages. 
Arsène Lupin attend deux complices, Gilbert et Vaucheray, 
devant une grande maison près de Paris. Le propriétaire est un 
homme politique très riche, il n’est pas là ce soir. Une situation 
idéale pour un cambriolage....
Arsène Lupin n’est pas certain de ces informations, il dit :
— Un changement est toujours possible. Nous avons une heure,
pas plus. À ma demande, Grognard et Le Ballu surveillent 
l’entrée de la maison. Ils attendent dans une barque.
Gilbert a une clé. Ils entrent avec facilité, mais aussitôt on 
entend : « Au secours ! ». C’est Léonard. L’employé de maison est 
là.
Arsène Lupin choisit les objets les plus chers. Vaucheray et 
Gilbert emportent les meubles.
« Au secours... au secours ! » Arsène Lupin entend à nouveau 
Léonard, et puis « BANG ! ». Que se passe­t­il ?
Quand Arsène Lupin descend l’escalier, il voit Gilbert et 
Vaucheray à côté de Léonard. L’employé de maison est mort.
Arsène Lupin dit :
— Mais vous êtes fous ! Je ne veux pas de sang ! Vous savez 
bien... Qui est le coupable ?
Vaucheray répond:
— C’est moi... Mais...
Il n’a pas le temps de préciser, on entend : « Police ! Police ! ».

Gilbert tient un petit objet dans sa main. Avant l’arrivée de la 
police, Arsène Lupin prend l’objet et le met dans sa poche.
Un policier demande:
— Et l’employé de maison? Où est­il ?
— Je ne sais pas. Je viens d’arriver, répond Arsène Lupin.
La police arrête Gilbert et Vaucheray. Un homme dit :
— L’employé de maison... Il est là, à côté... Il est mort.
Il y a beaucoup de bruit. On parle de ce qui vient d’arriver. 
Arsène Lupin offre des cigarettes à un groupe de policiers et il 
sort de la maison. Il part tranquillement, avec Grognard et Le 
Ballu, sur la barque chargée d’objets volés.
Quand la police réalise la disparition du troisième homme, il 
est trop tard. Elle comprend que l’inconnu est complice des deux 
hommes arrêtés. Peu de temps après, on retrouve une carte 
signée « Arsène Lupin »... C’est donc lui !
2
Un objet mystérieux
Arsène Lupin prend un taxi pour aller dans un appartement 
secret. Il ne veut pas dire à ses complices où il habite en ce 
moment. Quand il arrive chez lui, Arsène Lupin met les mains 
dans ses poches. Il trouve l’objet de Gilbert. Qu’est­ce que c’est ? 
Un bouchon de cristal ? Pourquoi Gilbert s’intéresse à cet objet ?
Il est très tard et Arsène Lupin est fatigué. Il pose le bouchon 
de cristal sur la cheminée et il va se coucher.
Il dort mal : il rêve de Gilbert et Vaucheray. Il imagine les deux
hommes en prison. Arsène Lupin a peur de la peine de mort, il 
doit les aider.
Le lendemain matin, il décide d’observer à nouveau le bouchon 
de cristal.
Qui est le mystérieux visiteur ? Gilbert est le seul à connaître 
cet appartement secret. Mais Gilbert est en prison... Arsène 
Lupin observe la porte d’entrée. La clé est toujours à l’intérieur. 
Cette visite est vraiment étrange : pourquoi le bouchon de cristal
est­il si important ?
Arsène Lupin réfléchit. Il décide de retrouver le premier 
propriétaire du bouchon de cristal : Daubrecq. Pendant l’hiver, le
député habite dans un hôtel particulier à Paris, près de l’avenue 
Victor Hugo.
Déguisé en vieil homme, Arsène Lupin, observe les entrées et 
les sorties de l’hôtel. Très vite, il voit d’autres hommes qui 
observent aussi Daubrecq.
Un soir, Arsène Lupin voit le célèbre député Prasville. 
Plusieurs hommes entrent avec lui dans l’hôtel particulier. 
Arsène Lupin les suit.
Peu de temps après, Daubrecq arrive dans son bureau. Arsène 
Lupin ne bouge pas. Il observe le député qui va s’asseoir et qui 
écrit. Puis l’homme se lève, il va en direction d’Arsène Lupin et il
dit :
— Bonsoir ! Je sais que vous êtes là. Sortez !
Arsène Lupin est devant Daubrecq, il n’a pas le temps de dire 
un mot. Daubrecq continue :
— Vous êtes de la police ? Alors portez ce message à Prasville.
Ouf ! Le député croit qu’il est de la police. Arsène Lupin ne 
reste pas plus longtemps. Quand il est dans la rue, il lit le 
message :
Cher Prasville,
Aujourd’hui encore, tu pars les mains vides... Tu ne sais pas 
chercher ! Si j’arrive avant ton départ, la prochaine fois, je te tue
Daubrecq
C’est étrange. Daubrecq sait que Prasville vient chez lui 
pendant son absence. Mais que cherche­t­il ? Un document 
secret?
Un peu plus tard, Arsène Lupin arrive dans son appartement. 
Son employé de maison, lui dit :
— Monsieur, une dame vous attend dans le salon.
— Ah bon ? Personne ne sait que j’habite ici.
Mais quand il va dans le salon, il n’y a personne. « Disparue! La
fenêtre est ouverte. C’est étrange... »
— Ah ! Autre chose : il y a une lettre sur votre bureau... une 
lettre pour Monsieur de Beaumont.
« Monsieur de Beaumont: c’est le faux nom que je porte quand 
Gilbert m’écrit ! Il cherche à me parler, c’est sûr. »
Quand il regarde son bureau, la lettre n’est plus là. « Disparue 
aussi ! C’est donc cette femme. Elle doit connaître Gilbert... Mais
qui est­elle ? Que veut­elle ? »
Arsène Lupin décide de retourner chez Daubrecq. Mais 
comment faire ? Il demande à Victoire, une très bonne amie, de 
se présenter chez le député, car l’homme politique cherche une 
employée.
Victoire est maintenant employée de maison chez Daubrecq. 
Arsène Lupin peut observer ce qui se passe dans l’hôtel. Le 
député reçoit des visites, souvent la nuit. Des hommes 
importants lui donnent de l’argent. Cela ne semble pas très 
honnête !
Un soir, il aperçoit un enfant dans le bureau vide du député. Le
petit visiteur cherche quelque chose avec insistance.
Un peu plus tard, Clarisse, la mère de l’enfant vient chercher 
son fils.
Clarisse continue :
— Mon fils est en prison. L’employé de maison est mort... Ce 
n’est pas Gilbert... Il est innocent.
Mais quelle relation il y a entre Gilbert, le bouchon de cristal, 
Clarisse et Daubrecq ?
3
La disparition de Daubrecq
L’enfant dort maintenant. Arsène Lupin veut parler avec 
Clarisse. Il lui dit :
— Je vais sauver Gilbert, mais je dois savoir certaines choses...
— Mon mari est mort il y a trois ans...
— Votre mari ?
— Victorien Mergy, le député.
Arsène Lupin se souvient de cette mort, très commentée dans 
les journaux. Il demande :
— Connaît­on la raison de sa mort ?
— Le nom de mon mari est sur la liste des 27...
— Les 27 hommes politiques accusés dans le scandale du Canal
des Deux­Mers ?
— Oui, mais son nom est là par erreur.
— Mais comment est­ce possible ?
— Daubrecq a fait faire un bouchon spécial. La liste des 27 est 
sur un papier très fin, à l’intérieur du bouchon.
Arsène Lupin pense que c’est le bouchon de cristal que Gilbert a
volé. Ce même bouchon disparu chez lui. Clarisse confirme :
 — Oui, c’est vrai. J’ai cet objet maintenant. Mais ce n’est pas le
bon bouchon de cristal... Il n’y a rien dedans.
— Mais pourquoi chercher cette liste des 27 ?
— Au début, pour l’honneur de mon mari...
— Et maintenant ?
— Daubrecq garde la liste des 27 comme un trésor. Il utilise 
cette liste pour avoir de l’argent des hommes politiques. Il 
échange son silence contre beaucoup d’argent.
— Et si vous trouvez cette liste ?
— Je pense que Daubrecq a le pouvoir de libérer Gilbert. Je sais
que mon fils est innocent !
— Donc, la liste en échange de la liberté de Gilbert...
Le lendemain, les journaux annoncent le jugement de Gilbert et
Vaucheray. Arsène Lupin va assister à la fin du procès.

Vaucheray :
— Oui, nous sommes coupables tous les deux... Arsène Lupin va
nous sauver, tous les deux.
Gilbert parle avec beaucoup d’émotion :
— Je suis coupable de certaines choses... Mais je n’ai pas tué... 
Je ne veux pas mourir !
À ce moment, on entend dans le public :
— Ne t’inquiète pas, le patron est là !
C’est l’agitation générale. Qui vient de parler ? Arsène Lupin 
est­il ici ? « C’est lui ! » crient plusieurs personnes. La police 
arrête un homme dans le public.
— C’est donc toi, Arsène Lupin ! dit un policier.
— Non, répond l’homme. Je m’appelle Philippe Banel. Un 
inconnu m’a donné cent francs pour dire cette phrase...
Arsène Lupin est de retour chez lui. Que faire ? Ses deux amis 
condamnés à mort ! Il doit trouver la liste des 27. Il doit obliger 
Daubrecq à parler. Très rapidement. Grognard et Le Ballu vont 
kidnapper le député. Il va parler!
Peu de temps après, Arsène Lupin demande à ses complices :
— Tout est prêt ?
Mais ils répondent :
— Il y a du nouveau : Daubrecq a disparu, kidnappé par 
d’autres !
Clarisse décide de rencontrer le député Prasville. Son nom est 
aussi sur la liste des 27. Arsène Lupin accompagne Clarisse qui 
le présente ainsi :
— Monsieur Nicole, professeur de mon fils Jacques. Il m’aide 
beaucoup. Il connaît l’existence du bouchon de cristal.
Prasville connaît bien Clarisse Mergy. Il accepte de donner des 
informations sur la disparition de Daubrecq :
— Vers six heures, quatre hommes entrent chez Daubrecq. Peu 
de temps après, ils repartent avec lui dans une automobile...
Qui peut kidnapper Daubrecq ? C’est un homme qui cherche 
aussi le bouchon de cristal. Après une longue discussion, tous les
trois pensent au marquis d’Albufex.
Clarisse est très inquiète :
— Le marquis d’Albufex va certainement détruire la liste des 
27... la liste qui peut sauver Gilbert ! Nous avons 55 jours, c’est 
peu.
Arsène promet de retrouver le marquis. Il promet de retrouver 
Daubrecq.
Une semaine après, Lupin prend le train à la gare du Nord. 
Dans ce train, il y a aussi le marquis d’Albufex. Un peu plus 
tard...
Arsène Lupin retrouve ses complices, arrivés quelques heures 
après lui :
— Je sais où est Daubrecq. Des hommes vont l’interroger cette 
nuit. Je dois y aller.
Grognard répond :
— Mais c’est impossible ! Des hommes sont devant la porte. 
Vous ne pouvez pas entrer...
— Il y a une fenêtre, en haut de la tour. Je pense que Daubrecq 
est là...
— Cette fenêtre n’est pas accessible ! dit Le Ballu. Vous avez vu
la hauteur, 50 mètres... C’est impossible.
— Rien n’est impossible pour Arsène Lupin. Je vais escalader. 
Je vais entendre Daubrecq. Je vais savoir où est la liste des 27...
Arsène Lupin n’entend pas la réponse de Daubrecq, mais il 
entend le marquis d’Albufex qui dit :
— Dans un paquet de tabac, sur son bureau !
Il est très tard. Les hommes sortent. Daubrecq est seul, 
prisonnier, toujours attaché. Arsène Lupin attend un long 
moment, puis il entre par la fenêtre.
Daubrecq le voit :
— Ah... Mais...
— Chut ! dit Lupin. Venez. Il y a une barque, en bas... Si vous 
pouvez descendre avec moi.
— Mais comment ?
— J’ai une corde.
La descente est difficile. Daubrecq est très fatigué, il veut 
descendre avant Lupin.
Mais arrivé en bas, le député se retourne. Il donne un coup de 
couteau dans le dos d’Arsène.
4
La peine de mort
Daubrecq part dans la nuit, libre et heureux d’être le plus fort. 
Plus fort que le marquis et ses hommes, plus fort qu’Arsène 
Lupin !
Quand Arsène Lupin ouvre les yeux, il est dans une chambre à 
côté de Clarisse et de ses complices Le Ballu et Grognard.
— Mais, que se passe­t­il ?
— Vous êtes blessé... Le couteau dans le dos... dit Clarisse.
— Il y a combien de temps que je suis ici ?
— Plus de quinze jours. Aujourd’hui, vous allez mieux.
— Et Gilbert et Vaucheray ?
— Dans une semaine, c’est l’exécution.
— Non, ce n’est pas possible. Nous devons faire quelque chose ! 
Où est Daubrecq ?
— Je ne sais pas. Mais la police a arrêté le marquis d’Albufex.
— Et le bouchon de cristal ?
— C’est Daubrecq qui l’a.
Quelques jours après, le député Daubrecq va à Nice. Clarisse 
Mergy prend le train à la gare de Lyon, elle veut le suivre.
Une fois à Nice, elle loue une chambre dans le même hôtel que 
lui. C’est la chambre d’à côté. Elle observe les entrées et les 
sorties de son voisin.
Un matin, elle entre dans la chambre du député. Elle cherche le
bouchon de cristal, dans les sacs de voyages, dans la salle de 
bains, dans tous les meubles... mais rien.
Elle entend :
— Je peux t’aider ?
C’est Daubrecq, il est là, derrière elle.
— Je viens de recevoir cette information. Elle t’intéresse, je 
pense.
Clarisse lit :
— L’exécution a lieu mardi. Mardi ! Ce n’est pas vrai. Dans 
deux jours.
— Oui, dans deux jours. Écoute­moi Clarisse.
— Ne me parlez pas ainsi...
— Tu n’as pas le choix. Je peux sauver ton fils, à condition...
— À quelle condition ?
— À condition que tu deviennes ma femme.
La porte de la chambre s’ouvre.
— Bon maintenant, le bouchon de cristal.
— Il n’est pas là, répond Clarisse.
— Et dans ce paquet de tabac ?
Arsène Lupin ouvre le paquet. Au milieu du tabac, il voit le 
bouchon de cristal.
— Le bouchon de cristal ! Le vrai ! Vite, regardez à l’intérieur.
Dans le silence, ils ouvrent le bouchon et découvre un papier 
très fin... la liste des 27 !
— J’espère de tout cœur que cette liste va sauver Gilbert ! dit 
Clarisse. Nous avons moins de 48 heures avant l’exécution.
— Nous partons ce soir à Paris. Voilà deux billets de train 
réservés par Daubrecq : un pour Clarisse, un pour moi. Grognard
et le Ballu, prenez la voiture. Enfermez bien notre député dans 
la malle.
Pendant que Clarisse Mergy se prépare, Arsène Lupin prend 
10000 francs dans les poches de Daubrecq : « Ça peut être utile, 
pour le voyage ! »
Les journaux annoncent l’exécution de Gilbert et Vaucheray, 
mardi matin, à la prison.
Clarisse Mergy et Arsène Lupin arrivent le lundi matin à Paris.
Ils demandent à voir Prasville. Le rendez­vous est à 17 heures. 
C’est tard ! Quand Clarisse et Arsène (sous les apparences de 
monsieur Nicole) arrivent dans le bureau du député, Prasville 
demande :
— Vous avez la liste ?
— Oui.
— Donnez.
Prasville prend la liste pour la regarder près de la fenêtre :
— Mais cette liste est fausse !
Clarisse est désespérée. Dans quelques heures, c’est l’exécution 
de son fils. À partir de minuit, il y a des policiers dans toutes les 
rues autour de la prison.
Le mardi matin, on vient chercher les deux condamnés à mort.
— Vaucheray, nous venons...
— Oui, je sais. Léonard est mort, donc je dois mourir aussi.
— Gilbert, c’est l’heure...
— Non, je ne veux pas mourir. Je suis innocent !
Les deux hommes sont maintenant dans la cour de la prison. 
C’est bientôt l’exécution de Vaucheray. Mais il se passe quelque 
chose d’incroyable.
Vaucheray est mort. Les autorités stoppent l’exécution de 
Gilbert. Il est reconduit en prison. Des policiers se dirigent vers 
la maison d’où sont venus les coups de revolver. Ils mettent 
beaucoup de temps à entrer. L’inconnu part par les toits. Le 
préfet de police dit à Prasville :
— C’est Arsène Lupin ! Lui seul est capable de cela !
Le lendemain, Arsène Lupin déguisé en monsieur Nicole se 
présente au bureau de Prasville.
— J’ai la liste authentique.
— Daubrecq vous l’a donnée ?
— Non, je l’ai prise... dans l’œil gauche de Daubrecq.
— Son œil ?
— Un œil de verre ! Dedans...
C’est ainsi qu’Arsène Lupin réussit à sauver Gilbert. Un mois 
après, l’ex­condamné à mort sort de prison. Il est condamné aux 
travaux forcés sur l’île de Ré...

FIN

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