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Présenté par
BELAHOUARI Zakaria
Cycle I5
Année Universitaire: 2019-2020
SOMMAIRE
Résumé……………………………………………………………………………..………. 4
2. Le Système GPS………………………………………………………………………… 8
2.1. Segmentation……………………………………………………………………….. 8
2.1.1. Segment spatiale………………………………………………………………… 8
2.1.2. Segment de contrôle…………………………………………………………………… 8
2.1.3. Segment utilisateur (Services)…………………………………………………….…... 9
2.2. Signaux.......................................................................................................................... 9
2.2.1. Ondes porteuses……………………………………………………………….... 9
2.2.2. Code……………………………………………………………………………… 9
2.2.3. Message de navigation………………………………………………………….. 9
2.3. Référentiels spatio-temporel………………………………………………...…... 9
2.3.1. Système de référence……………………………………………………………. 9
2.3.2. Le temps GPS………………………………………………………………….. 10
3. Système GLONASS……………………………………………………………....…… 10
3.1. Segmentation……………………………………………………………………… 10
3.1.1. Segment spatiale……………………………………………………………….. 10
3.1.2. Segment de contrôle…………………………………………………………………. 11
3.1.3. Segment utilisateur (Services)……………………………………………………….. 11
3.2. Signaux........................................................................................................................ 11
3.2.1. Ondes porteuses……………………………………………………………….. 11
3.2.2. Code…………………………………………………………………………….. 12
3.2.3. Message de navigation………………………………………………………… 12
3.3. Référentiels spatio-temporel…………………………………………………… 12
3.3.1. Système de référence…………………………………………………………... 12
pg. 2
3.3.2. Le temps GLONASS…………………………………………………………... 12
4. Système GALILEO…………………………………………………………….……… 12
4.1. Segmentation............................................................................................................. 13
4.1.1. Segment spatiale……………………………………………………………….. 13
4.1.2. Segment de contrôle………………………………………………………………….. 13
4.1.3. Segment utilisateur (Services)……………………………………………………...... 13
4.2. Signaux……………………………………………………………………………… 14
4.2.1. Ondes porteuses……………………………………………………………….. 14
4.2.2. Code…………………………………………………………………………….. 14
4.2.3. Message de navigation………………………………………………………… 14
4.3. Référentiels spatio-temporel
4.3.1. Système de référence…………………………………………………………... 15
4.3.2. Le temps GALILEO…………………………………………………………... 15
8. Conclusions et Perspectives.......................................................................................... 19
Références………………………………………..………..……………………………... 20
pg. 3
Résumé :
Les GNSS (global navigation satellite system) parmi lesquels le système américain GPS (global
positioning system) ont tous pour principal objectif de donner la position et la vitesse d’un
mobile à tout instant, en tout lieu et dans un référentiel global. Comme tout système basé sur des
satellites, il est structuré en trois composantes qui seront détaillées afin de mieux appréhender les
principes de la géolocalisation : le segment spatial (les satellites), le segment de contrôle (les
stations au sol) et le segment utilisateur (le récepteur mobile). Le calcul du géopositionnement
peut être basé sur deux mesures : soit la mesure du temps qu’ont mis les signaux émis par au
moins quatre satellites pour parcourir la distance les séparant du mobile, soit le décalage de
phase des signaux auquel cas un appareillage très sophistiqué doit lever des ambiguïtés (nombre
des oscillations entre l’émission du signal par le satellite et la réception par le mobile).
Théoriquement doit donner une précision décimétrique et millimétrique mais des sources
d’erreur viennent la parasiter. Pour améliorer la qualité du géopositionnement il existe d’autres
systèmes satellitaires (SBAS - satellite based augmentation system) et également des réseaux de
stations au sol (GBAS - ground based augmentation system) pour transmettre des corrections de
positionnement. Les algorithmes de repositionnement peuvent être utilisés en direct (correction
différentielle en temps réel « DGPS ») ou en différé (post-traitement) pour atteindre une
précision centimétrique à condition d’avoir le matériel approprié.
On appelle GNSS (Global Navigation Satellite System, pour système global de positionnement
par satellite) les systèmes de positionnement basé sur des signaux émis de satellites en orbite
autour de la Terre et fournissant une couverture mondiale. [1]
1.1.1. Objectif
L’objectif de ce système est de donner la géolocalisation d’un mobile ainsi que sa vitesse en
tout lieu du globe et dans un référentiel global, avec une précision d'une dizaine de mètres,
n'importe quand, n'importe où sur la Terre, quelle que soit la météo.
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Le récepteur GNSS utilise la différence de temps entre l’heure de réception et de diffusion du
signal pour déterminer la distance entre le récepteur et le satellite. Le récepteur multiplie le
temps de parcours par la vitesse de la lumière afin de calculer la distance récepteur/satellite.
- Les horloges équipant les récepteurs (présentent une précision de l'ordre de 1 ppm (1. ppm =
partie par million), elles sont moins stables et surtout désynchronisées des horloges équipant les
satellites.
Le deuxième facteur de perturbation est l’ionosphère. Cette couche ionisée par le rayonnement
solaire modifie la vitesse de propagation du signal. La plupart des récepteurs intègrent un
algorithme de correction.
Au final, pour un positionnement absolu par GNSS, 4 inconnues doivent donc être déterminées :
- Une inconnue de temps δtr, permet de synchroniser l’horloge interne du récepteur. [1]
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1.3. Modes de positionnement
Dans le positionnement absolu le récepteur est déterminé de manière directe à partir des
observations et de la position des satellites, dans le même référentiel. C'est le cas du
positionnement standard de chaque GNSS, réalisé en temps réel à l'aide de mesures de code. Il
est utilisé pour la navigation (militaire, automobile, aérienne, pédestre, etc.). Le positionnement
se fait dans le repère de référence associé au GNSS.
Dans le mode relative le point inconnu est déterminé relativement à une station de référence
(station de base) par l’observation simultanée (au même temps) d’où moins quatre satellites.
Le positionnement peut se baser sur des mesures de code ou de phase, pour un temps
d'observation allant de quelques secondes à plusieurs jours. Le calcul est réalisé en temps réel
ou en temps différé, la précision atteinte varie alors du mètre à quelques millimètres en
fonction des choix effectués.
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1.3.3. Méthodes de positionnement GNSS :
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Les systèmes de positionnement avec une couverture régionale :
IRNSS pour l'Inde
QZSS pour le Japon
2. Le Système GPS :
L'histoire de la navigation par satellite commence en 1958 avec le lancement du programme
Transit par l'US Navy. Transit, qui fut opérationnel en 1964, était un système utilisant sept
satellites à basse altitude (1100 km) en orbite polaire. L'utilisateur se positionnait grâce aux
signaux de navigation émis à bord des satellites en calculant leur décalage Doppler.
Malheureusement, un seul satellite était en vue à chaque instant, et l'utilisateur devait attendre
parfois cent minutes avant de pouvoir calculer sa position. Malgré tout, l'idée était très
prometteuse, et le succès de ce programme encouragea le DoD (Department of Defense)
américain à développer un système de localisation beaucoup plus performant, able, précis et de
couverture mondiale. Le nom complet donné à ce système fut : NAVSTAR, (The Global
Positioning System) ; NAVSTAR pour (NAVigation System with Time And Ranging).
L'architecture de base du GPS fut adoptée en 1973 par le DoD, le premier satellite de la
constellation fut lancé en 1978, et le système déclaré opérationnel en 1995. [6]
2.1. Segmentation
La constellation GPS est composée de 32 satellites (dont 31 opérationnels) [4] placés sur
des orbites quasi-circulaires de rayon de l'ordre de 20 200 km et de période légèrement
inférieure à 12 h. Elle permet d'assurer la visibilité de 4 à 8 satellites avec une élévation
supérieure à 15° en tout point du globe. On distingue plusieurs classes de satellites, en
fonction de leur génération (Block IIA, Block IIR, Block IIR(M), Block IIF, GPS III en
test). [4]
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2.1.3. Segment utilisateur (Services) :
Elle regroupe l'ensemble de tous les utilisateurs civils et militaires du système GPS. Les
utilisations principales sont le positionnement absolu ou relatif par le code et/ou par la
phase et la datation précise d'événements. Deux types de services, basés sur des mesures
de code, sont offerts aux utilisateurs :
- Le SPS (Standard Positioning Service) : c'est le service de positionnement qui est
accessible à tout utilisateur disposant d'un récepteur GPS. C'est un service gratuit et
anonyme.
- Le PPS (Precise Positioning Service) : c'est le service de positionnement précis du
GPS; il nécessite d'obtenir des clés de décodage auprès du DoD américain. Il est réservé
aux militaires américains et à leurs alliés. [6]
2.2. Signaux
A l'heure actuelle, chaque satellite GPS émet sur deux fréquences nommées L1 (1 575,42
MHz) et L2 (1 277,60 MHz). Avec la modernisation du système, une nouvelle fréquence
a été mise en place, L5 (1 176,45 MHz). [6]
2.2.2. Code :
Les codes pseudo-aléatoires, de deux types différents : un code civil (le C/A-code), un
code destiné aux militaires (le P(Y)-code). Suite à la modernisation du système, 4 codes
de positionnement sont venus compléter le système (le L2C-code, un nouveau code civil ;
le M-code, un nouveau code militaire et les L5C-code et L1C-code) ; leur mise en place
se fait progressivement depuis les années 2010. [4]
Le message de navigation est codé sur 37 500 bits à 50 bps (Bits par seconde): 12 min
30 s sont donc nécessaires à la réception de la totalité du message. Avec la
modernisation du GPS, des nouveaux messages de navigation sont émis : CNAV est un
message de navigation civil, transmis sur L2 ; MNAV est un message de navigation
réservé aux militaires. Un dernier message, CNAV-2, sera émis sur L1 avec le nouveau
code L1C. Ces messages contiennent des données plus précises que le message de
navigation standard.
L'échelle de temps GPS est une échelle de temps continue, basée sur l'analyse des
données des horloges atomiques situées à l'USNO (US Naval Observatory). Elle est
uniquement utilisée pour des besoins de synchronisation du système. Elle est reliée à
l'échelle de temps international UTC par le temps universel coordonné de l'USNO avec
une précision de 1 μs. [2]
3. Le Système GLONASS
3.1. Segmentation
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orbite initiale. La forte inclinaison des orbites dans la constellation GLONASS était à
l'origine étudiée pour rendre le système plus disponible aux latitudes élevées
Les utilisations principales sont le positionnement absolu ou relatif par le code et/ou par
la phase et la datation précise d'événements. Deux types de services sont offerts aux
utilisateurs Glonass :
3.2. Signaux
Chaque satellite GLONASS émet sur deux fréquences distinctes des signaux composés
d'une onde porteuse (G1 à 1 602,0 MHz et G2 à 1 246,0 MHz). L'émission de signaux sur
une troisième porteuse, G3, est actuellement à l'étude (1 204,704 MHz).
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3.2.2. Code
Deux codes sont actuellement émis par Glonass. Par analogie avec GPS, ils sont nommés
C/A-code et P-code.
L'échelle de temps Glonass est donnée par le centre de synchronisation du système. Il est
maintenu à partir de l'analyse d'un ensemble d'horloges atomiques. Il est relié à l'UTC à
une constante de 3 h près (décalage horaire entre Greenwich et Moscou) avec un écart
inférieur à 1 ms. [2]
4. Système GALILEO
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Galileo débutent fin 2005 grâce aux lancements des satellites précurseurs Giove-A et
Giove-B en décembre 2005 et avril 2008. [8]
Les premiers satellites en configuration opérationnelle (FOC) sont lancés en août 2014.
Au 2 avril 2019, 26 satellites ont été lancés, dont 22 sont opérationnels. L'agence compte
achever sa constellation avec 30 satellites à l'horizon 2020. [3] Les premiers services de
Galileo sont opérationnels depuis le 15 décembre 2016, mais Galileo ne sera pleinement
déployé avant 2022.
4.1. Segmentation
Le segment sol de contrôle est chargé du contrôle des satellites. Il est constitué de :
- Le service libre, OS (Open Service) : en libre accès pour tout possesseur d'un
récepteur compatible Galileo, il fournira des données de positionnement, de navigation et
de datation.
- Le service commercial, CS (Commercial Service) : en échange d'une redevance, il
offrira de nombreux services à valeur ajoutée (garantie du service, intégrité et continuité
des signaux, donnés de navigation métrique).
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- Le service de sûreté de la vie, SoL (Safety-of-Life) : il délivrera un service sécurisé et
intègre pour des applications critiques tels que le transport.
- Le service public réglementé, PRS (Public Regulated Service) : il s'adressera en
priorité aux utilisateurs d'applications gouvernementales de sécurité.
- Le service de recherche et secours, SAR (Search And Rescue) : pour la recherche et
le sauvetage. Il permettra de localiser l'ensemble du parc des balises Cospas-Sarsat
utilisées pour les signaux de détresse. [8]
4.2. Signaux
Sur la porteuse nommée E5a, de fréquence nominale 1176.450 MHz seront transmis
deux signaux binaires dans la bande de fréquences 1164-1215 MHz.
Sur la porteuse nommée E5b, de fréquence nominale 1207.140 MHz seront transmis
deux signaux dans la bande de fréquences 1188-1215 MHz
Sur la porteuse nommée E6, de fréquence nominale 1278.750 MHz, trois signaux
seront modulés dans la bande de fréquences 1260-1300 MHz
Sur la porteuse E2-L1-E1, centrée sur la fréquence 1575.42 MHz seront modulés
trois signaux dans la bande de fréquences 1559-1591 MHz. [9]
Pour les services gratuits (OS pour « Open Service ») : E1B, E1C, E5aI, E5aQ, E5bI,
E5bQ ;
Pour le service de haute précision (HAS pour « High Accuracy Service ») : E1B, E1C,
E5bI, E5bQ, E6B, E6C ;
Pour le service public réglementé (PRS pour « Public Regulated Service ») : E1A,
E6A. [9]
4.2.2. Code
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F/NAV : le message de navigation d'accès libre, contenant toutes les informations
nécessaires au positionnement. Il faudra 20 min pour disposer des informations de
l'ensemble de la constellation.
I/NAV : le message d'intégrité, assurant la fiabilité du système. Il contient également les
informations nécessaires au positionnement.
C/NAV : le message commercial, contenant les corrections nécessaires à un
positionnement sub-métrique.
G/NAV : le message réglementé, contenant les informations d'intégrité, de
positionnement ainsi que des informations actuellement peu documentées, relatives au
positionnement via le service public réglementé. [1]
L'échelle de temps Galileo (Galileo System Time) sera une échelle de temps continue
calée sur le TAI. Sa stabilité est assurée par un ensemble d'horloges atomiques. Les écarts
de cette échelle de temps avec les temps TAI et UTC seront transmis dans le message de
navigation. [1]
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étaient en orbite début 2015. Les performances à terme de Beidou-2 seront comparables aux
trois autres systèmes mondiaux opérationnels (GPS, GLONASS et Galileo). [10]
5.1. Segmentation
Tout comme Galileo, plusieurs services devraient être disponibles permettant différents
niveaux de précision. La précision attendue sur un positionnement standard est
comparable à celle donnée par les autres systèmes (environ 10 m).
5.2. Signaux
5.2.2. Code
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5.2.3. Message de navigation
Le BDT (Beidou Time System) est basé sur le TAI, réalisé par les stations de contrôle du
système. Le temps est compté en semaine et seconde dans la semaine à partir du
dimanche 1er janvier 2006 à 00h00min00s UTC. [1]
Les systèmes d'augmentation par satellites (SBAS) ont été développés pour améliorer
localement les performances que l'on pouvait attendre des systèmes GNSS en place, et
fournir des informations supplémentaires. Ils sont constitués de petits ensembles de satellites
géostationnaires couvrant généralement une zone de l'échelle d'un pays à celle d'un continent.
Pour des applications critiques, telle que l'aviation, l'intégrité du système est un facteur
essentiel. Les systèmes SBAS permettent d’en prévenir en un espace de temps très court
(quelques secondes) de la défaillance d'un satellite d'une constellation GNSS. Les SBAS
fournissent aussi aux récepteurs des corrections différentielles permettant de corriger les
erreurs sur les mesures de pseudo distance dues à l'atmosphère, aux biais et dérives d'horloge
des satellites et aux imprécisions dans les éphémérides. Il s'agit de toutes les erreurs qui sont
communes à tous les signaux reçus dans une même zone.
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Système américain, proposant sur l'Amérique du Nord une précision variant entre 1 m et
1,5 m à l'aide de 3 satellites. Chacun de ces satellites émettent un code de positionnement
compatible avec GPS. [1]
Système japonais constitué de 2 satellites proposant sur le territoire japonais une précision
sur la position de l'ordre de 2 m. Chacun de ces satellites émettent un code de
positionnement compatible avec GPS. [1]
Le système sera composé de 4 satellites géosynchrone, dont les orbites ont été fixées de
manière à disposer en continu de l'un d'entre eux proche du zénith sur le territoire
japonais. Les fréquences utilisées sont en parti les mêmes que celles du GPS (L1, L2 et
L5, mais des codes supplémentaires modulent ces différentes porteuses) avec des
possibilités de WADGNSS. Le premier satellite de la constellation (Michibiki ) est
actuellement en orbite (lancé en septembre 2010). L'interopérabilité et la compatibilité
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avec les GNSS sont assurées avec le partage de certaines bandes de fréquence identiques.
[2]
Deux porteuses seront utilisées pour le positionnement (l'une d'entre elle correspond à la
porteuse L5 du GPS). Le premier satellite de la constellation a été lancé en juillet 2013 ; la
constellation devrait être complétée d'ici à 2014. Aucun accord finalisé d'interopérabilité
et la compatibilité avec les autres GNSS n'existe pour l'instant. [2]
8. Conclusions et Perspectives
Les GNSS sont des systèmes complexes nécessitant d’avoir des connaissances minimales
sur le vocabulaire des systèmes de navigation satellitaire et sur les bonnes pratiques à
adopter sur le terrain ; bien choisir son matériel, les étapes de préparation de la mission
d’acquisition de relevés sur le terrain et bien mesurer les géopositionnements pour
atteindre une précision importante.
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Références:
[1] – Pierre Bosser. GNSS : Systèmes globaux de positionnement par satellite
[2] – Pierre Bosser. (EDITION DE DECEMBRE 2014). Apprendre le positionnement par GNSS
[8] – Jean-Marie Barnaba. 2017. GALILEO – Le premier système de navigation par satellites
europeen. http://agirard.free.fr/GPS/Galileo.php
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