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L Etude de La Geolocalisation Dans Les Reseaux Mobiles GSM Et CDMA A MOBILINFO-2
L Etude de La Geolocalisation Dans Les Reseaux Mobiles GSM Et CDMA A MOBILINFO-2
2008/2009
Sommaire
Remerciement .................................................................................. 1
Sommaire........................................................................................ 2
Abstract ......................................................................................... 7
.............................................................................................. 8
Listes des figures : ............................................................................. 9
Liste des tables : .............................................................................11
Glossaire des acronymes : ...................................................................12
Introduction Générale ........................................................................15
Chapitre I : Présentation de la société MOBILINFO ......................................16
Chapitre II: Les techniques de géolocalisation et de positionnement .............18
II. Les techniques de géolocalisation : ..............................................18
1. Le système GPS :......................................................................................................... 18
1.1. Généralités :.................................................................... 18
1.2. Les applications de GPS: ..................................................... 19
1.3. Les composants du GPS : ..................................................... 20
1.4. Le Principe de fonctionnement : ........................................... 22
1.5. Les avantages de GPS : ....................................................... 23
1.6. Les inconvénients de GPS : .................................................. 23
2. Localisation par GSM : ................................................................................................ 24
2.1. GPS assisté (A-GPS): ........................................................... 24
2.2. L’angle d’Arrivée (AOA): ..................................................... 25
2.3. Le temps d’arrivée (TOA) : .................................................. 25
2.4. La différence de temps d’arrivée TDOA (Time Difference Of Arrival):
26
2.5. La puissance du Signal : ...................................................... 26
2.6. Identifiant de la cellule (Cell-ID) :.......................................... 26
3. Localisation hybride :................................................................................................. 27
4. Localisation par wifi:.................................................................................................. 27
III. Les méthodes de base de positionnement : ....................................28
1. La triangulation : ........................................................................................................ 28
2. La trilatération : ......................................................................................................... 28
IV. Conclusion : ...........................................................................29
Résumé
La localisation est devenue une composante majeure des services de
télécommunications .Les services de localisation vont aider les opérateurs à
estimer la position du terminal mobile dans le réseau avec une précision qui
dépend de la technique utilisée et des conditions de l’environnement. Dans ce
rapport, on étudie la localisation dans les réseaux mobiles GSM et CDMA. Dans
GSM on utilise les techniques de différences de temps d’arrivée (TDOA) et
l’angle d’arrivée (AOA) et dans CDMA la technique de trilatération en liaison
descendante avancée (AFLT).
La méthode TDOA dans GSM exige au moins trois stations de bases pour être
implémenté et demande des modifications dans l’infrastructure pour assurer la
synchronisation des composantes du réseau GSM et fournir les services de
localisation.
La technique AFLT dans CDMA est similaire au principe de TDOA dans GSM avec
une précision meilleur vu les avantages qu’offre CDMA pour cette technique
comme la largeur de bande importante et la capacité inhérente de rejet de
multitrajets.
Abstract
Location position technology has become a major component of services of
telecommunication. Location services will help the operator to estimate the
location of the mobile station in the network with an accuracy which depends
on the used technique and on conditions of the environment. In this report, we
study location position in wireless GSM and CDMA. In GSM, we use the technique
of time difference of arrival TDOA and angle of arrival AOA and in CDMA the
technique of advanced forward link trilateration AFLT.
The technique of AFLT in CDMA is similar to the principle of TDOA in GSM with a
precision better seen the advantages that offer CDMA for this technique like The
important width of band and its inherent multipath rejection capability.
The simulation with software matlab of the technique TDOA in reverse link is
made with the method of cross-correlation and with the method of generalized
cross-correlation using the Phase Transform which optimizes the value of TDOA
and reduces the effect of noise.
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A
A-GPS Assisted-Global Positioning System
AFLT Advanced Forward Link Trilateration
AMRC Accès multiple par répartition du code
AMPS Advanced Mobile Phone System
AOA Angle of Arrival
AUC Authentification Centre
B
BCH Broadcast channel
BSC Base Station Controller
BSS Base Station Subsystem
BTS Base Transceiver station
C
CC Call Control
CC Cross-Correlation
Cell-Id Cell Identity
CDMA Code Division Multiple Access
CFU Call Forwarding Unconditional
CLIP Calling Line Identification Presentation
CLIR Calling Line Identification Restriction
CNIL Comité National de l’informatique et des libertés
D
DS-CDMA Direct Sequence CDMA
D-TDOA Downlink Time Difference Of Arrival
E
ECID Enhanced Cell-Id
EIR Equipment Identity Register
EOTD Enhanced Observed Time Difference
EVRC Enhanced Variable Rate Codec
F
FDMA Frequency Division Multiple Access
FH-CDMA Frequency Hoping CDMA
H
HLR Home Location Register
G
GDOP Global Dilution Of Precision
GMLC Gateway Mobile Location Centre
GMSK Gaussian Minimum Shift Keying
GSM Global System for Mobile communications
Introduction Générale
MOBILiNFO est une société S.A.R.L basée à Casablanca, qui opère dans le secteur
des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Elle a pour
activité principale l’étude, le conseil et l’ingénierie des solutions télécoms
intégrées pour permettre à ses clients de réaliser des infrastructures optimales en
télécommunications, de meilleure qualité de service et garantissant des économies
immédiates et durables.
A l’origine, La géolocalisation est la localisation d’un objet sur une carte à l’aide
de positions géographiques. On utilise la géolocalisation par GPS (Global Positioning
System) pour localiser des mobiles en déplacement.
Depuis quelques années, ce concept est de plus en plus utilisé pour des
applications de gestion de flottes et de sécurisation de véhicules.
1. Le système GPS :
1.1. Généralités :
Le GPS utilise le système géodésique WGS 84, auquel se réfèrent les coordonnées
calculées grâce au système.
Les applications militaires paraient dans l’utilisation de la navigation par GPS qui a
permis d'accroître les performances de certains missiles utilisés par le DoD
(Department Of Defense).
Les applications civiles du GPS sont multiples, nous avons ci-dessous quelques
grands domaines touchés :
• Navigation aérienne.
• Navigation maritime.
• Suivi d'itinéraire pour compagnie de transport.
• Etudes géodésiques et géographiques.
• Assistance aux équipes de secours.
• Utilisation personnelle (randonnée en montagne, etc...).
Bloc I: Satellites lancés entre 1978 et 1985. Tous les satellites du Bloc I sont
Maintenant hors service excepté un seul, qui est activé de manière périodique.
Leur Durée de vie est de 4,5 ans. La principale différence entre ces satellites et les
Générations suivantes est l'impossibilité de dégrader volontairement le signal
Transmis.
Bloc II et IIa: Seconde génération de satellites GPS mis sur orbite à partir de
1985. Ils ont la capacité de dégrader le signal émis et leur durée de vie est de 7,5
Ans.
Bloc IIr : Ils ont été construits pour avoir une durée de vie de 10 ans. Ils sont
Capables de communiquer entre eux et ont été mis sur orbite depuis 1996 afin de
Maintenir une constellation complète.
Bloc IIF : Les satellites Bloc IIF (Follow-On) construits par Boeing seront lancés à
partir de 2009. Le programme vise à atteindre ainsi une constellation de 33
satellites.
Bloc III : Les satellites du Bloc III sont encore en phase de développement et ont
pour but de faire perdurer le GPS jusqu'en 2030 et plus. Les premières études sont
lancées en novembre 2000. En mai 2008, Lockheed Martin Corporation a été choisi
pour réaliser 32 satellites qui doivent être lancés à partir de 2014 [1].
Le segment utilisateur est constitué de récepteurs qui ont été conçus afin de
Décoder le signal transmis par les satellites pour déterminer la position, la vitesse
et Le temps de l'utilisateur [3].
Premier satellite :
Deuxième satellite :
Troisième satellite :
- Le GPS est un système américain sur lequel les utilisateurs européens n’ont aucun
Contrôle ni aucune garantie légale de bon fonctionnement.
- Géométrie des satellites : Ceci se rapporte à la position relative
Des satellites selon l’instant d’observation. La géométrie satellitaire idéale
Existe quand les satellites sont situés à des angles relativement larges. On
Dispose d’une géométrie faible quand les satellites sont alignés ou en groupe serré.
- les trajets multiples : ceci se produit quand le signal de GPS est reflété par
Le GSM est de plus en plus utilisée pour faire de la géolocalisation des stations
mobiles, Pour se faire, le GSM a besoin d’utiliser ces structure physiques, en
l’occurrence BTS, BSC, VLR….nous allons dans ce qui suit découvrir les différentes
techniques utiliser pour la localisation des individus.
La station mobile mesure le temps d’arrivée des signaux envoyés par trois
Satellites ou plus, les données reçues par le récepteur sont ensuite envoyées via
Connexion radio aux BTS, ceci tend à résoudre les problèmes liés à la
consommation d’énergie abordés en section, puisque le traitement du signal ne se
fait pas directement par la station mobile.
En mesurant les angle d’arrivé des signaux transmises par au moins deux BTS, il est
Possible de déterminer la position de la station mobile par triangulation. La
majeure contrainte de cette méthode est que celle-ci requière un environnement
libre d’obstacle, cette méthode est donc peu efficace en zone urbaine.
Cette méthode va être détaillé dans le prochain chapitre.
C’est cette méthode qu’on va utiliser par la suite pour étudier le positionnement
dans GSM et CDMA.v
Cette méthode est basée sur le réseau GSM et plus particulièrement sur
L’indentification de la cellule. Elle utilise l’identifiant de la BTS dans lequel la
station Mobile est actuellement enregistrée. La topologie du réseau GSM est
3. Localisation hybride :
Cette méthode de localisation mobile associe les technologies de localisation
basées sur réseau et celles basées sur téléphone et tire parti des avantages de
chacune des méthodes pour obtenir une précision et une fiabilité supérieures à
celles de n’importe quelle autre simple technologie de localisation.
La solution hybride de localisation offre une plus grande précision et une meilleure
cohérence pour les services grand public (recherches locales ou publicité localisée,
par ex.).
1. La triangulation :
Six-cent ans avant l'ère chrétienne, Thalès mit au point une méthode pour évaluer
la distance d'un bateau en mer à la côte. Pour avoir une mesure approximative de
cette distance, il plaça deux observateurs A et C sur le rivage éloignés d'une
distance b connue. Il demanda à chacun d'entre eux de mesurer l'angle que font les
droites passant par le bateau B et l'un d'entre eux, et la droite passant par les deux
observateurs (Figure 14).
Figure 14 : La Triangulation
d d
l= +
tanα tanβ
l
d=
1 1
+
tanα tanβ
2. La trilatération :
Figure 15 : La Trilatération
IV. Conclusion :
Parmi les techniques on trouve la localisation par wifi qui utilise une base de
donnée contenant les points d’accès connus pour déduire la position du terminal
mobile. Pour tirer profil des avantages des techniques de géolocalisation et pour
améliorer la précision on utilise la localisation hybride qui est une combinaison
entre au moins deux techniques.
Enfin on a vu les méthodes de base de positionnement les plus connues qui sont
utilisée par les techniques de géolocalisation pour déterminer la position du
terminal mobile. Ces méthodes sont la triangulation et la trilatération.
Dans la partie géolocalisation par CDMA, on va commencer par donner une vue
générale sur le réseau CDMA puis on va parler la méthode trilatération en
liaison montante AFLT qui est unique pour CDMA.
1. Introduction :
Les réseaux de téléphonie mobile sont basés sur la notion de cellules, c'est-à-dire
des zones circulaires se chevauchant afin de couvrir une zone géographique.
Lorsqu’il constate qu’il reçoit mieux une autre station de base que celle
avec laquelle il échange les signaux, il en informe sa station de base
Ce processus oblige tous les mobiles GSM à écouter les stations de base des cellules
voisines en plus de la station de base de la cellule dans laquelle il se trouve.
Dans un réseau GSM, le terminal de l'utilisateur est appelé station mobile. Une
station mobile est composée d'une carte SIM (Subscriber Identity Module),
permettant d'identifier l'usager de façon unique et d'un terminal mobile, c'est-à-
dire l'appareil de l'usager (la plupart du temps un téléphone portable).
Les terminaux (appareils) sont identifiés par un numéro d'identification unique de
15 chiffres appelé IMEI (International Mobile Equipment Identity). Chaque carte
SIM possède également un numéro d'identification unique (et secret) appelé IMSI
(International Mobile Subscriber Identity). Ce code peut être protégé à l'aide d'une
clé de 4 chiffres appelés code PIN.
La carte SIM permet ainsi d'identifier chaque utilisateur, indépendamment du
terminal utilisé lors de la communication avec une station de base. La
communication entre une station mobile et la station de base se fait par
l'intermédiaire d'un lien radio, généralement appelé interface air (ou plus rarement
interface Um).
Le registre des abonnés locaux (noté HLR pour Home Location Register): il s'agit
d'une base de données contenant des informations (position géographique,
informations administratives, etc.) sur les abonnés inscrits dans la zone du
commutateur (MSC).
Le Registre des abonnés visiteurs (noté VLR pour Visitor Location Register): il s'agit
d'une base de données contenant des informations sur les autres utilisateurs que les
abonnés locaux. Le VLR rapatrié les données sur un nouvel utilisateur à partir du
HLR correspondant à sa zone d'abonnement. Les données sont conservées pendant
tout le temps de sa présence dans la zone et sont supprimées lorsqu'il la quitte ou
après une longue période d'inactivité (terminal éteint).
Le registre des terminaux (noté EIR pour Equipement Identity Register) : il s'agit
d'une base de données répertoriant les terminaux mobiles.
Le réseau cellulaire ainsi formé est prévu pour supporter la mobilité grâce à la
gestion du handover, c'est-à-dire le passage d'une cellule à une autre.
Enfin, les réseaux GSM supportent également la notion d'itinérance (en anglais
roaming), c'est-à-dire le passage du réseau d'un opérateur à un autre.
5. La carte SIM :
Le GSM utilise deux bandes de fréquences, l’une pour la voie montante (TX),
l’autre pour la voie descendante (RX) plus un TS de signalisation. La puissance du
signal est modulée selon la distance entre l’antenne et le mobile GSM considéré, ce
qui permet de déterminer dans la pratique la distance entre un utilisateur et
l’antenne.
La bande 890-915 MHz est utilisée pour la voie montante, tandis que la bande 935-
960 MHz est utilisée pour la voix descendante. Chacune de ces bandes comprend
124 porteuses (canaux) de 200 KHz chacune, la modulation utilisée sur ces porteuse
est la GMSK, qui permet d’éviter les chevauchement des porteuses.
Chaque BTS est équipée pour travailler sur un certain nombre de canaux, en
général 5 ou 6, qui sont autant de paires de fréquences émission-réception.
Toute BTS émet en permanence des informations sur son canal BCH (Broadcast
Channel) appelé aussi voie balise. Ce signal constitue le lien permanent reliant
mobile et station de base à partir de la mise en route du mobile jusqu’à sa mise
hors service, qu’il soit en communication ou non.
- Mobile en veille : le mobile échange avec sa base des signaux de contrôle sur la
voie balise (Émission en slot 0 à f1, réception en slot 0 à f1 + 45 MHz)
Le niveau de la voie balise (BCH) est connu et sert pour un certain nombre de
fonctions de contrôle :
• Ce signal véhicule les messages qui seront affichés sur l’écran du mobile
• Toutes les 15 secondes si le signal reçu est fort et toutes les 5 secondes s’il est
faible, le
Récepteur écoute les balises des cellules voisines pour détecter un changement de
cellule.
C’est la raison pour laquelle le mobile s’arrête d’émettre et de recevoir toutes les
26 trames (slot idle) ce qui lui permet d’écouter et de décoder le canal de contrôle
d’une cellule voisine.
Figure 20 : Mise en évidence de la trame de décodage des voix balises des cellules voisines
Durant cette trame 26, le mobile GSM doit écouter et décoder la voie balise de
l’une des cellules voisines [9].
1. Le protocole Call Control (CC) prend en charge le traitement des appels tels que
l'établissement, la terminaison et la supervision.
2. Le protocole Short Message Service (SMS) qui permet l'envoi de courts messages
au départ d'un mobile. La longueur d'un SMS est limitée à 160 caractères de 7 bits,
soit 140 bytes.
Les antennes des mobiles et des portatifs sont généralement des dipôles de
longueur λ/4 appelés « antenne 1/4 d’onde ». Ce type d’antenne repose sur
l’hypothèse que la surface de support (sol, toit d’une voiture) est conductrice et
qu’elle réfléchit les ondes. La longueur de l’antenne apparaît doublée. Dans le plan
horizontal, les antennes sont omnidirectionnelles. Le gain théorique est alors de
3 dBd soit 5’15 dBi. En pratique le support n’est pas un réflecteur parfait et le gain
considéré est O dBi à la fois pour les portatifs et pour les antennes sur véhicules.
Pour les antennes montées sur un véhicule, il est possible de disposer d’antennes
colinéaires constituées de deux brins λ/2 qui présentent un gain typique de 5 dBi.
Ces antennes sont dites « à gain ».
Dans tous les cas, il est nécessaire de prendre en compte l’environnement
immédiat. Le rayonnement d’une antenne placée sur l’aile d’un véhicule n’est pas
le même que lorsqu’elle se trouve au centre du toit. Pour les portatifs, le corps
humain situé à proximité de l’antenne induit un masque supplémentaire typique de
3 dB [11].
Les antennes omnidirectionnelles offrent un gain variant de 2 dBi (il s’agit alors
D’un simple dipôle λ/2) à 11 dBi. Dans ce dernier cas, l’ouverture verticale à 3 dB
Est de 6,5°, la hauteur de 3 mètres pour GSM 900.
En plus d'archiver des informations sur vos communications (le numéro appelé, la
date, l'heure et la durée de l'appel ainsi que les coordonnées de la cellule d'où il a
été émis), les opérateurs téléphoniques mobiles peuvent en permanence vous
localiser en interrogeant les bases de données des HLR / VLR. Les informations
Grâce à une application embarquée, le téléphone mobile peut se charger lui Même
de la récupération et du traitement des informations. Pour permettre une
localisation géographique, l'application doit être en relation par le réseau avec
certaines bases de données, au minimum pour faire correspondre l'identifiant d’une
cellule (Cell-Id) avec ses coordonnées géographiques. Tout cela implique, lorsque
Les algorithmes de calcul sont complexes, un problème de performances et de
surconsommation du fait de la puissance de calcul des GSM actuels.
Un exemple de localisation par mobile : La différence de temps observée optimisée
E-OTD.
Ces phénomènes sont déterministes si les différents trajets sont bien identifiés.
Par exemple l’erreur typique introduite par la propagation NLOS dans GSM est
entre 400 et 700 m.
Lorsque des émetteurs radio émettent sur la même fréquence que l'émetteur
que l'on souhaite capter, et même si ils sont très éloignés, ils peuvent perturber
la réception. C'est ce défaut que l'on appelle l'interférence de co-channel
On utilise la même fréquence sur des stations de base différentes : Diffusion des
ondes ce qui donne des Interférences co-canal.
Pour assurer la fonction de localisation des terminaux mobiles, des éléments sont
ajoutés à l’infrastructure GSM. Les principaux éléments sont les suivants :
Dans GSM ou UMTS, l’unité de mesure de localisation effectue des mesures radio
pour permettre la localisation des terminaux mobiles. Deux catégories de mesures
Sont identifiées, la première identifie les mesures spécifiques à un MS utilisé pour
calculer son emplacement. La deuxième méthode fournit les mesures d’assistances
qui sont spécifiques à toutes les stations mobiles dans une zone géographique
définies. Il existe deux types de LMU, LMU de type A n’étant pas connectée a à la
BTS et de type B connecté à la BTS.
On introduit dans le standard GSM un nouveau élément pour le but de traiter les
services de localisation, cet élément s’appelle le centre de localisation mobile
(Mobile Location Centre) et il est responsable d’une série de services comme
l’autorisation et l’authentification, délivrer les informations de localisation aux
applications autorisée, accéder au coordonnées de BTS et d’autres paramètres
physiques exigé pour la localisation et estimer la localisation finale en se basant
sur les mesures du signal reçues du MS et la BTS. Un MLC peut être un serveur MLC
(SMLC) ou une passerelle MLC (GMLC).
Le SMLC est soit un élément séparé du réseau ou une fonctionnalité intégrée dans
le BSC. Le SMLC contient les fonctionnalités requises pour supporter les services de
localisation LCS (LoCation Services). Cet élément gère la coordination complète et
la planification des ressources requises pour la localisation de la MS. Il calcule aussi
l’estimation de la position finale et estime la précision exacte. Le SMLC peut
contrôler un nombre de LMU afin d’obtenir de mesures d’interface radio pour
localiser ou aider à localiser la MS se trouvant dans la zone qui le serve.
o Cette technique utilise les pylônes cellulaires (cell towers), les antennes
radio et l’infrastructure existant.
Le temps d’arrivée du signal transmis par la station mobile (station cible) est
enregistré par l’unité de mesure de position de U-TDOA à chaque station de base
qui peut recevoir ce signal, le temps d’arrivée du signal est comparé pour chaque
deux sites, par exemple le site A reçoit le signal à l’instant X, le site B reçoit à
1. Demande de localisation par MSC ou l’application LBS qui est une application
qui permet de trouver la position du terminal mobile.
2. SLMC demande au LMUs de mesurer le temps d’arrivée TOA du signal
provenant de la station mobile.
3. Les LMUs mesure les temps d’arrivée TOA et les dirige vers SMLC.
4. SMLC calcule la position de la station mobile.
5. Le centre de localisation redirige les données de position vers GMLC par BSC
et MSC.
6. GMLC dirige les données de position vers l’application LBS [13].
Critères Spécification
Précision Entre 50 et 400 m. Dépend du GDOP et de l’environnement
Disponibilité Au moins trois BTS Sont exigées, par conséquent faible dans
les zones rurale et bonne dans les zones très peuplées
Impact Pas de changement exigés.
(Equipement
mobile)
Impact (Réseau) Infrastructure (LMUs) et signalisation supplémentaires exigée.
Compatibilité Valable pour GSM et UMTS. Des infrastructures sont exigées
pour émerger à UMTS.
Spécification Exigence d’utiliser une bande passante supplémentaire pour
technologique la signalisation
4.2.1. Principe :
C’est une méthode à base de triangulation qui mesure les temps de parcours des
signaux en provenance de plusieurs stations de base. Cette mesure est effectuée
par une application spécifique intégrée au terminal. Le terminal mesure les
Différences du temps d’arrivée des signaux émis par au moins trois stations de
base. Des données d’assistance sont de plus envoyées au terminal pour calculer sa
position (en particulier les positions des BTS, des données de type BCCH et BSIC,
les différentiels de temps entre les stations de base). Connaissant avec précision la
position des différentes stations, on peut en déduire une ligne (en l’occurrence une
hyperbole) pour laquelle cette différence est constante et égale à celle mesurée
par le mobile. En répétant cette opération pour plusieurs stations, on aboutit à un
faisceau d’hyperboles dont l’intersection donne la position estimée du mobile.
Les mesures des différences du temps sont basées sut trois paramètres : La
différence du temps réel RTD, La différence du temps observée OTD et le
différence du temps géométrique GTD.
La variable GTD peut être aussi exprimé par la formule ci-dessous avec d1 et d2 les
distances entre l’équipement mobile et deux différents BTS et C la vitesse de la
lumière :
GTD =
(d 2 − d 1 ) (3.2)
C
L’illustration suivante montre cette intersection avec les formules et les variables
employés.
Dans la figure ci-dessus, di est la longueur de chemin de propagation entre les BTSs
et la station mobile et dLMUi la longueur du chemin de propagation entre les BTSs et
le LMU. La position des BTSs est notée (xi,yi). La ligne brisée représente l’hyperbole
calculée à partir des valeurs des GTDs. L’intersection des hyperboles donne la
position du MS.
Le calcul de la position peut être exécuté avec deux BTS en intégrant dans E-OTD
des informations additionnelles en utilisant une combinaison entre E-OTD et le
paramètre Timing Advance TA.
TGSM 3,69.10 −6
= 3.10 m / s. s = 554m
8
Pr = C. (3.3)
2 2
Cette résolution doit être optimisée (c’est pour cela que la méthode est appelée
différence de temps observé optimisée) pour avoir une précision plus bonne, cela
Est réalisé avec le suréchantillonage quatre fois le nombre de bits par seconde
(Chipe rate).Selon la formule ci-dessus, la résolution est évolué à 277 m.
Les valeurs de GTD peuvent être représentés à un bit TGSM sur 256 atteignant une
résolution de quatre mètres [14].
Une solution unique et exacte est trouvée avec l’intersection des hyperboles en
P=[x, y].
Cette méthode fait une combinaison entre les approches TOA et TDOA. Cette
méthode mesure le temps d’arrivée des signaux du BTS à la MS et au noeud du
réseau LMU et utiliser l’équation décrite ci-dessous pour déterminer la position de
la MS.
Pour chaque BTS on aura une équation, puisque on a trois inconnus (les
coordonnées x et y de la MS et l’offset ε, on a besoin au moins de trois BTS pour
trouver la position de la MS et l’offset. Cette position est déterminée par
l’intersection des cercles dont le centre de chacune d’elles est une BTS(Voir figure
30) [15].
Parmi les avantages de E-OTD on peut citer la grande disponibilité dans les zones
denses et le fait que le mobile est capable seul de mesurer les différences de
temps observées. Les inconvénients de cette technique sont qu’elle est coûteuse
Et faible en zones rurales.
Critères Spécification
Précision Entre 50 et 400m, dépend du GDOP et l’environnement.
Disponibilité Au moins trois BTS Sont exigées, par conséquent faible dans
les zones rurale et bonne dans les zones très denses
Impact Mise à jour du logiciel exigée
(Equipement
mobile)
Impact (Réseau) Infrastructure (LMUs) et signalisation supplémentaires exigée
Compatibilité Désigné pour GSM
Spécification Exigence d’utiliser une bande passante supplémentaire pour
technologique la signalisation
Tableau 3 : Les caractéristiques de E-OTD
En général les modèles de propagation des ondes sont des modèles mathématiques
qui permettent de prédire l'impact d'un émetteur sur une certaine zone de
réception soit la puissance du signal reçu.
Ces modèles sont utilisés pour planifier la couverture d'un réseau radio, mobile
(GSM, UMTS,..), Broadcast (radio, TV).
L’atténuation médiane :
En milieu urbain l’atténuation médiane en dB est :
Lu= 69,55 + 26,16Log (f) − 13,82Log (hb) − a(hm) + [44,9 − 6,55Log(hb)] Log(d) (3.6)
Dans ce cas, la hauteur de l’antenne mobile est 1,5 m, le coefficient a(hm) est tout
à fait négligeable. Le tableau suivant montre l’atténuation dans les systèmes DCS et
GSM dans différents environnements.
Tableau 4 : Atténuations dans les systèmes GSM et DCS dans différents environnements
Dans le cas d’un utilisateur au sol en milieu urbain et avec 925MHz, on a d’après le
tableau ci-dessus :
Alors
Pe1+Gm +Gb1 – Pr1 = 123 + 33,8Log(d1) (3.13)
De même Pe2+Gm +Gb2 – Pr2 = 123 + 33,8Log(d2) (3.14)
Par suite
log(d1) =
(Pe + Gm + Gb − Pr − 123)
1 1 1
(3.15)
33,8
log(d2) =
(Pe + Gm + Gb − Pr −123)
2 2 2
(3.16)
33,8
(d2−d1)
TDOA = T2 − T1 = (3.19)
C
Avec C la vitesse de propagation de l’onde.
Cette méthode est basée sur le calcul de l’angle d’arrivée du signal en provenance
du terminal mobile par plusieurs stations de base. En utilisant un réseau
d’antennes spécifiques, qui consiste en 4 à 12 antennes séparées par moins d’une
longueur d’onde, on peut estimer la position du mobile comme l’intersection des
lignes de visée depuis chaque réseau d’antennes. Néanmoins, la précision de la
mesure est fortement dégradée s’il n’y a pas de ligne de vue entre le mobile et
l’antenne. Par ailleurs, la pose et la maintenance des antennes nécessitent des
calibrages très précis et donc très sensibles à toute perturbation
MS
BTS
Figure 32 : Calcule de la position de la station mobile avec AOA
Alors,
Donc,
C.τ12
θ1 = arccos
a (3.23)
C.τ34
θ2 = arccos (3.24)
a
On peut calculer les valeurs des TDOAs τ12 et τ34 par les relations suivantes :
(d 2 −d 1)
On a τ 12 = (3.25)
C
(d 4 − d 3 )
Et τ 34 = (3.26)
C
Avec di la distance entre la MS et l’antenne Ai et i=1, 2, 3,4.
Critères Spécification
Précision Dépend de la distance de la station mobile et le nombre de
BTS employés. 300m dans Milieu urbain avec deux BTS et
200m avec trois BTS.
Disponibilité Indisponible pour les réseaux GSM sans modification des BTS
employée, une visibilité directe LOS exigée.
Impact Pas de changement exigés
(Equipement
mobile)
Impact (Réseau) Nécessite l’installation d’antennes complexes.
Compatibilité Compatible avec les réseaux cellulaires 3G si les antennes
complexes sont disponibles.
Tableau 5 : Les caractéristiques de AOA
CDMA en français Accès multiple par répartition en code (AMRC), est un système de
codage des transmissions, basé sur la technique d'étalement de spectre. Il permet à
plusieurs liaisons numériques d'utiliser simultanément la même fréquence
porteuse. Il est appliqué dans les réseaux de téléphonie mobile dans le segment
d'accès radio, par plus de 275 opérateurs dans le monde surtout en Asie et en
Amérique du nord. Il est aussi utilisé dans les télécommunications spatiales,
Selon le CDMA development Group1, à la fin 2007, 275 opérateurs dans plus 100
pays ont déployé (ou sont en train de déployer) des services CDMA commerciaux
dans les bandes de fréquences de 450, 700, 800, 1700, 1900 et 2100 MHz [18].
• Une Large couverture : 2 fois plus grande que celle du GSM, ce qui fait une
économie pour les opérateurs qui optent pour le système CDMA.
Exemple : Exemple: Pour Couvrir une zone de 1000 km2 le GSM a besoins de
200 BTS, alors que la CDMA a besoins de 50 BTS seulement
Attention: pour un résultat exact il faut prévoir une planification “Link
Budget ”.
Etudier La technique TDOA dans CDMA semble être important car CDMA va devenir
la technologie d’accès multiple la plus dominante pour les systèmes de
communications sans fil dans le futur prévisible. La technique TDOA appliqué au
réseaux CDMA s’appelle AFLT : Trilatération en liaison descendante avancée.
● L’avantage le plus important de CDMA pour TDOA est que c’est un système large
bande comparant avec AMPS ou GSM. En effet la résolution du temps de
l’estimation TDOA en présence de multitrajets est limité à 1/B ou B est la bande
passante du signal reçu. Par exemple, recevoir un signal de 1 MHz donne un délai
temporel résolu avec seulement 1 µs équivalent à 300 m. Dans ce cadre IS-95 est
le standard le plus répandu de CDMA et ayant la plus large bande. Cependant la
précision peut être améliorée en augmentant le pas d’échantillonnage du signal, ce
qui diminue l’erreur de quantification dans l’estimation du temps de propagation
(timing) et par conséquence obtenir des mesures TDOA plus précise. De plus la
largeur de bande importante va permettre de transmettre des données de
signalisation (en particulier de positions) sans influencer la qos (Qualité de service)
de la voix et les données.
Mesures temps/distances des BTS voisines et reporter ces mesure au réseau qui fait
une triangulation pour estimer la localisation du mobile. Dans le réseau le calcul
Est fait par le serveur de localisation. Le grand avantage de cette méthode est
qu’il ne demande pas beaucoup de changement dans le réseau cellulaire. Elle
fourni aussi une bonne précision dans les zones denses. La précision de AFLT est
entre 50 et 200 m [21].
La figure ci-dessous illustre la technique AFLT :
V. Conclusion :
On a vu dans ce chapitre que les techniques U-TDOA et E-OTD ont presque les
mêmes performances mais la technique U-TDOA à l’avantage d’opérer avec le
terminal mobile existent.
D’après ce chapitre, les techniques TDOA dans GSM et CDMA sont plus convenables
aux milieux suburbains et urbains tandis que la technique AOA est convenable pour
milieux ruraux, alors faire une combinaison entre les techniques TDOA et AOA
donnera une précision plus bonne et un élargissement des conditions de
fonctionnement.
I. Introduction:
Les signaux reçus au niveau de chaque BTS sont écrits comme suit :
Avec S(t) le signal émis par la MS, N1(t) et N2(t) représentent le bruit affectant le
signal et D le retard entre la réception des signaux X1(t) et X2(t).
Ce modèle suppose que S(t) n’est pas corrélée avec les bruit N1(t) et N2(t).
R x1x2 (τ) = E [(S(t). S(t+τ- D) + S(t). N2(t+τ) + N1(t). S(t+τ- D) + N1(t). N2(t+τ)] (4.5)
On déduit que la fonction de corrélation croisée entre deux signaux reçus est égale
à la fonction d’autocorrélation du signal émis retardée du délai D. Sachant que la
fonction de corrélation est maximum à la valeur 0, c’est-à-dire pour τ −D =0.
Donc la fonction de corrélation est maximum pour τ = D qui représente la
différence de temps d’arrivée.
Donc D= arg max[Rx1x2(τ)] (4.9)
C’est une méthode plus robuste que CC qui permet de rendre plus précis (pointu) le
maximum de la fonction de corrélation croisée. On utilise dans cette technique la
fonction de pondération dont le rôle est de blanchir le signal d’entrée avant le
calcul de la corrélation croisée afin de réduire l’effet du bruit. Le diagramme de la
corrélation croisée généralisée est présenté dans la figure ci-dessous.
1
Avec ψ p (f) = (4.11) est la fonction du filtre PHAT
G x 1 x 2 (f)
Gx1x2 (f) est le spectre de la fonction de corrélation croisée du signal reçu, ψp(f)
est la fonction de pondération PHAT.
V. Résultats de la Simulation :
Dans la simulation, j’ai utilisé le logiciel matlab, La raison de choisir ce logiciel est
que c’est un logiciel performant et a plus de choix flexibles pour supporter la
simulation.
En première cas on considère que le signal émis est un signal sinusoïdal avec 128
échantillons et une fréquence d’échantillonnages égale à 8KHz et avec une
fréquence du signal f1=1KHz. On suppose que les deux signaux reçus sont retardés
de 30 échantillons et affectés à un bruit gaussien.
Le schéma suivant montre les deux signaux reçus sans bruit.
La figure ci-dessous présente les deux signaux reçus en présence du bruit pour
chaque récepteur :
Figure 44 : Signaux reçus au niveau des récepteurs en présence du bruit atténué par un facteur
de deux
Dans la figure suivante, les deux signaux reçus avec l’ajout du bruit gaussien :
:
TDOA12=200.Ts avec Ts=1/Fs
200
Alors TDOA12 = = 0,027 s
7418
On déduit que l’ajout de bruit n’a pas d’effet sur la précision des résultats mais à
un certain seuil de bruit on observe une distorsion dans la courbe, si par exemple
On multiplie l’amplitude du signal bruit par cinq, on obtient le schéma suivant qui
ne donne pas le résultat cherché. On trouve la même chose pour le signal
périodique.
Dans le cas du signal de parole mtlb et avec un retard de 200 échantillons entre
les deux signaux reçus.
La figure représente la corrélation croisée généralisée GCC en utilisant la méthode
de phase PHAT.
D’après la figure La technique GCC-PHAT à un pic maximal plus pointu que celle de
la technique CC.
TDOA= 200.Ts
TDOA12= 27ms
Rx1x2(τ) =δ(τ − D)
On fait la même chose pour les BTS1 et BTS3 pour déterminer TDOA13.
Alors deux valeurs de TDOA suffisent pour résoudre deux équations hyperboliques
avec deux inconnus. Dans la partie suivante on va parler de la méthode de
résolution de ces deux équations.
Une fois les estimations TDOA sont obtenues, elles sont converties à des équations
hyperboliques non linéaires, résoudre ces équations linéaires est difficile, il existe
plusieurs algorithmes pour rendre linéaires ces équations mais l’algorithme le plus
efficace et le plus précis est l’algorithme de CHAN.
La différence de distance entre la BTS serveur et les autres BTS est donnée par :
Ri ,1 = C.Ti ,1 = Ri − R1 (4.21)
2. La Méthode de CHAN :
−1
x X 2,1Y 2,1 R2,1 1 R2,1 − K2 + K1
2
K 1 = X 12 + Y 12
K 2 = X 22 + Y 22 (4.24)
2 2
K3 = X 3 + Y3
VII. Conclusion
Conclusion Générale
Ce stage m’a permis d’avoir une vue générale sur les services de localisation et
leurs possibilités de mise en œuvre dans différents environnements. Un grand part
des futures recherches et investissements dans le domaine de télécommunications
vont s’orienter vers l’amélioration des qualités de services des technologies de
localisation. Aujourd’hui l’infrastructure des opérateurs du réseau mobile est
exploitée pour faire de la localisation ce qui a amélioré la précision dans des
endroits non couvert par le GPS comme les environnement indoor.
On a vu dans ce rapport que la technique TDOA dans GSM et CDMA exige au moins
trois BTS pour être implémenté, cette condition est réalisée en zones urbains mais
difficiles à réaliser en zones rurales ou les BTS sont très éloignés entre eux.
On a vu aussi que La technique AOA est adéquate aux zones rurales surtout ceux
couverts car il n’exige que deux BTS au minimum pour être implémenté et la
condition de visibilité directe est réalisée.
Les technologies de localisation ont tous des points forts et des points faibles. La
meilleure solution est de faire une combinaison entre ces techniques pour avoir le
maximum de précision, ceux-ci peut être réalisée en faisant une association entre
le système GPS et les technique de localisation par GSM ou CDMA comme par
exemple EOTD/A-GPS ou AFLT/A-GPS.
Annexe
Une propriété significative de UMTS est qu’il offre deux différents modes de
multiplexage. Le premier est nommé UTRA TDD (UMTS Terrestrial Radio Access
Time Division Duplex) et garanti la synchronisation entre les BTS employés, alors on
a pas besoin de mesurer RTD dans ce mode. Au contraire
De cela, le second mode nommé UTRA FDD (UTRA Frequency Division Duplex) opère
de façon asynchrone, dans ce cadre OTDOA exige la détermination de valeurs
précise de RTD qui est calculé au niveau de plusieurs LMUs. UTRA FDD est le mode
UMTS opéré dans toute l’Europe. Par conséquent l’hypothèse que dit que seul les
stations de bases synchronisées peuvent être utilisées dans OTDOA n’est pas tenue.
Au contraire LMU peur être nécessaire aussi dans la version descendante de TDOA
dans UMTS.
Grâce à son haut taux d’énergie qui est 3,84Mcps par seconde, UMTS fournit une
résolution de position meilleure que dans GSM. Sans faire le suréchantillonage, une
résolution de 78m est possible. Cette résolution peut être améliorée à 19,5 m en
échantillonnant à un taux de 4.3,84 Mcps.
Le désavantage majeur de OTDOA est similaire que dans E-OTD, OTDOA exige aussi
des infrastructures additionnelles comme LMUs et une bande supplémentaire pour
la signalisation. En outre, cette méthode demande au moins trois BTS pour une
position en deux dimensions ce qui est difficile en zones rurales.
Un avantage majeur de OTDOA est le fait que le mode UE assisté est supporté par
toutes les stations mobiles sans aucune autre modification. De plus la précision est
meilleure que les autres méthodes de localisation GSM [14].
Critères Spécification
Précision Entre 50 et 400m, dépend du GDOP et l’environnement.
Disponibilité Au moins trois BTS Sont exigées, par conséquent faible dans
les zones rurale et bonne dans les zones très denses.
Impact Le mode UE assistée est supportée par le mobile, des
(Equipement modifications sont nécessaires dans le mode basé sur UE
mobile)
Impact (Réseau) Infrastructure (LMUs) et signalisation supplémentaires exigée
Compatibilité Désigné pour UMTS
Spécification Exigence d’utiliser une bande passante supplémentaire pour
technologique la signalisation
La bibliographie
- [1] http://fr.wikipedia.org/wiki/NAVSTAR_GPS
- [2] http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t/physique/d/topographie-
decouvrir-le-fonctionnement-du-gps_504/c3/221/p3/
- [4] PHAM Quang Hieu ‘La localisation géographique des robots mobiles :
Méthodes et Outils correspondants’ O7/2007
Institut de la francophonie pour l’informatique
- [5] http://reperageterrestre.free.fr/gps.html
- [7] http://en.wikipedia.org/wiki/Triangulation
- [8] http://www.commentcamarche.net/contents/telephonie-mobile/gsm.php3
- [12] http://www.trueposition.com/web/guest/u-tdoa
-[13]http://www.commscope.com/andrew/eng/product/geometrix/location/1206
596_13569.html
- [17] Jianjun Ni*, Dickey Arndt+, Phong Ngo+, Chau Phan+, Julia Gross+
‘UWB Tracking System Design for Lunar/Mars Exploration’
*david.ni1@jsc.nasa.gov
+NASA Johnson Space Center, Houston, Texas/USA
- [18] http://fr.wikipedia.org/wiki/Code_Division_Multiple_Access
- [21] Gidon Lissai ‘Assisted GPS Solution in Cellular Networks’ November 2006