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Sommaire
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Sommaire du chapitre 1 : Machine à courant continu
1- Constitution
1-1- L'inducteur (ou circuit d'excitation)
1-2- L'induit (circuit de puissance)
1-3- Le collecteur et les balais
2- Principe de fonctionnement
2-1- Fonctionnement en moteur
2-2- Fonctionnement en génératrice
3- Schéma électrique équivalent
3-1- Expression de la fem induite
3-2- Expression du couple électromagnétique
3-3- Conversion de puissance
3-4- Flux magnétique crée sous un pôle
3-5- Schéma équivalent de l'induit
4- Les différents types de machines à courant continu
5- Moteur à excitation indépendante
6- Moteur à excitation shunt
7- Moteur série
8- Génératrice à courant continu (dynamo)
9- Exercices
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Chapitre 1
Machine à courant continu
1- Constitution
- l'inducteur
- l'induit
- le dispositif collecteur / balais
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1-2- L'induit (circuit de puissance)
Le collecteur est un ensemble de lames de cuivre où sont reliées les extrémités du bobinage de l'induit.
Les balais (ou charbons) sont situés au stator et frottent sur le collecteur en rotation.
Le dispositif collecteur / balais permet donc de faire circuler un courant dans l’induit.
2- Principe de fonctionnement
- Fonctionnement en moteur
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2-1- Fonctionnement en moteur
⇒ couple électromagnétique
⇒ rotation du rotor
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champ inducteur + rotation de la spire
• Remarque
La machine à courant continu est réversible :
Elle fonctionne aussi bien en moteur qu'en génératrice.
3- Schéma électrique équivalent
n : nombre de conducteurs
k = p.n/(2π.a): constante qui dépend de la machine considérée
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k = k‘
En résumé :
B α i
Φ α B (par définition)
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Loi des branches : U = E + RI (en convention récepteur)
Fonctionnement :
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5- Moteur à excitation indépendante
Induit : U = E + RI
Excitation : u = r i (r : résistance du bobinage de l'excitation)
En pratique : r >> R En charge : I >> i
• Vitesse de rotation
E = k.Φ.Ω
d'où :
Finalement :
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Si on coupe accidentellement le courant d'excitation (i = 0),
la vitesse augmente très rapidement : le moteur s'emballe !
• Variation de vitesse
A excitation constante :
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Bilan de puissance
• Rendement
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6- Moteur shunt ou à excitation parallèle sous tension constante
6-1) Remarques
Les caractéristiques du moteur à courant continu dépendent du mode d’excitation.
Si l’induit est alimenté sous tension U constante, il n’y a pas lieu de séparer l’étude
de l’excitation indépendante de celle de l’excitation shunt . Il est alors logique d’utiliser
la même source pour alimenter l’induit et l’inducteur.
Dans le cas de très gros moteurs il est nécessaire d’ajouter un rhéostat de démarrage car
le courant de démarrage même sous tension réduite ( 5% de Un) pourrait atteindre 30In .
d’où le schéma du moteur shunt:
U = E + RT I
où R T correspond à la résistance totale du circuit R + Rhd +...
L’étude de la réaction d’induit qui est due au passage du courant dans le bobinage d’induit ,
montre que le flux utile sous un pôle n’est pas le même , à courant d’excitation identique, à vide
et en charge.
Soit φ o le flux utile à vide ( I dans l’induit est nul ) , la fem correspondante sera donnée par
Soit le flux utile en charge φ = φ o - Δφ ( I différent de 0 ) , la fem correspondante sera donnée par
Nous négligerons les effets de Io pour la réaction magnétique d’induit ainsi que la chute de tension
ohmique, ce qui nous conduit à l’expression :
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b) En charge
or à i donné le flux et la vitesse sont à peu prés constants .Il en est de même pour les pertes
mécaniques et fer .
On peut trouver ces pertes lors de l’essai à vide
UI 0 = p m +p f + R I 0 2
UI 0 = p m + p f
Ces courbes se déduisent des courbes Cem par translation de I d’une valeur Io .
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Le courant à vide Io va dépendre de la vitesse et du courant d’excitation car les pertes mécaniques
et fer dépendent de ces paramètres ;
Si i augmente la vitesse diminue pm est proportionnelle à la vitesse diminue mais pf variera peu où pas
car elles dépendent à la fois de la vitesse et du flux. Globalement Io diminue lorsque i augmente.
Les courbes N(Cu) se déduisent des courbes précédentes N(I) et Cu(I) à i constant.
Pour limiter l’intensité au démarrage il est nécessaire dans le cas de grosse machine d’introduire
un rhéostat de démarrage .
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Pour le déterminer il faut connaître le courant de démarrage maximal admissible Id . Celui ci peut être
de 1,5 à 2,5In.
On écrit alors l’équation électrique en tenant compte de N qui ne sera plus nulle à partir du moment où
nous serons sur le deuxième plot .
Dés que la vitesse augmente le courant diminue . On change alors de plot pour conserver un courant à
une valeur élevée ( donc le couple ).
A l’instant où on passe d’un plot au plot suivant, le courant d’induit passe de Imin à Imax.
(sauf au démarrage ,le courant passe de 0 à Imax )
Si le curseur reste sur le même plot le courant d’induit décroit et atteint Imin.
Dès que I= Imin on change de plot .
La vitesse et le courant I sont liés par la relation :
0< Rh <Rhd
En considérant que le flux est pratiquement constant lorsque I varie , alors pour différentes valeurs
de Rh nous obtenons un réseau de droites qui part du même point à I=0 et arrive à des vitesses différentes
(N1,N2,N3,…) lorsque I=Imax;
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b) Calculs d’un rhéostat de démarrage.
La mise sous tension se fait en plaçant du plot 0 ( plot mort ) au plot 1 ( c’est le premier plot actif ).
L’intensité du courant d’induit passe brutalement de 0 à Imax .
Le rotor commence à tourner et nous passons d’une vitesse nulle (point A ) au point B au bout
d’un certain temps.
Le point B correspond à une vitesse N1 pour le Rhéostat au maximum et I=Imin mais aussi pour
I= Imax après avoir enlevé Rh1 .
Si nous travaillons à flux constant et si U = Cste alors
Kφ= Cste et en utilisant le fait que la vitesse est la même aux points A et B
Nous pouvons dire que
Points A et B point C
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En procédant de la même façon pour le troisième plot nous obtenons:
Au point A , N=0 , nous pouvons remplacer Rhd+R par U/Imax ce qui nous donne une expression
en fonction de U et Imax .
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7- Moteur série
• Schéma équivalent
T em α I²
• Inconvénients
La vitesse de rotation dépend fortement de la charge :
elle augmente rapidement quand la charge diminue.
• Applications pratiques
Le moteur série est intéressant quand la charge impose d'avoir un gros couple, au démarrage et à faible
vitesse de rotation.
- démarreur (automobile ...)
- moteur de traction (locomotive, métro ...)
- appareils de levage ...
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8- Génératrice à courant continu (dynamo)
- Puissance absorbée :
puissance mécanique reçue
+ puissance consommée par l'inducteur : ui = ri²
• Rendement :
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Exercices sur la machine
à courant continu
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Exercice 01 : machine à courant continu
1- Un moteur à excitation indépendante alimenté sous 220 V possède une résistance d’induit
de 0,8 Ω.
A la charge nominale, l’induit consomme un courant de 15 A.
Calculer la f.e.m. E du moteur.
Une génératrice à excitation indépendante fournit une fem de 220 V pour un courant
d’excitation de 3,5 A. La résistance de l’induit est de 90 mΩ.
Calculer la tension d’induit U lorsqu’elle débite 56 A dans le circuit de charge.
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Exercice 06 : génératrice à courant continu à excitation indépendante
Un moteur à courant continu à aimants permanents est couplé à un volant d’inertie (disque
massif) :
Le moteur s’emballe
Le moteur change de sens de rotation
Le moteur s’arrête lentement
Le moteur s’arrête rapidement
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Exercice 08 : moteur à courant continu à excitation indépendante
Un moteur à courant continu à excitation indépendante et constante est alimenté sous 240 V.
La résistance d’induit est égale à 0,5 Ω, le circuit inducteur absorbe 250 W et les pertes
collectives s’élèvent à 625 W.
1- Calculer :
- la f.e.m.
- la puissance absorbée, la puissance électromagnétique et la puissance utile
- le couple utile et le rendement
La plaque signalétique d’un moteur à excitation indépendante porte les indications suivantes :
U = 240 V I = 35 A
P = 7 kW n = 800 tr/min
1- Le rendement du moteur sachant que les pertes Joule inducteur sont de 150 watts.
2- Les pertes Joule induit sachant que l’induit a une résistance de 0,5 Ω.
3- La puissance électromagnétique et les pertes « constantes ».
4- Le couple électromagnétique, le couple utile et le couple des pertes « constantes ».
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Exercice 10 : moteur à courant continu à excitation indépendante
Une machine d'extraction est entraînée par un moteur à courant continu à excitation
indépendante.
L'inducteur est alimenté par une tension u = 600 V et parcouru par un courant d'excitation
d'intensité constante : i = 30 A.
L'induit de résistance R = 12 mΩ est alimenté par une source fournissant une tension U
réglable de 0 V à sa valeur nominale : UN = 600 V.
L'intensité I du courant dans l'induit a une valeur nominale : IN = 1,50 kA.
La fréquence de rotation nominale est nN = 30 tr/min.
1– Démarrage
2-1- Exprimer la puissance absorbée par l'induit du moteur et calculer sa valeur numérique.
2-2- Exprimer la puissance totale absorbée par le moteur et calculer sa valeur numérique.
2-3- Exprimer la puissance totale perdue par effet Joule et calculer sa valeur numérique.
2-4- Sachant que les autres pertes valent 27 kW, exprimer et calculer la puissance utile et le
rendement du moteur.
2-5- Exprimer et calculer le moment du couple utile Tu et le moment du couple
électromagnétique Tem.
3-1- Montrer que le moment du couple électromagnétique Tem de ce moteur est proportionnel
à l'intensité I du courant dans l'induit : Tem = KI.
On admet que dans le fonctionnement au cours d'une remontée à vide, le moment du couple
électromagnétique a une valeur Tem' égale à 10 % de sa valeur nominale et garde cette valeur
pendant toute la remontée.
3-2- Calculer l'intensité I' du courant dans l'induit pendant la remontée.
3-3- La tension U restant égale à UN, exprimer puis calculer la fem E' du moteur.
3-4- Exprimer, en fonction de E', I' et Tem', la nouvelle fréquence de rotation n'. Calculer sa
valeur numérique.
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Exercice 11 : moteur à courant continu à aimants permanents (moteur de
rétroviseur électrique)
Calculer :
- la puissance absorbée
- les pertes Joule
- la puissance utile
- le rendement maximal
- la vitesse de rotation
- la puissance électromagnétique
- le couple électromagnétique
- le couple utile
- le couple des pertes collectives
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Exercice 12 : moteur à courant continu à excitation indépendante
1- La fem E du moteur vaut 150 V quand sa vitesse de rotation est n = 1500 tr/min.
En déduire la relation entre E et n.
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Exercice 13 : moteur à courant continu à excitation série
1- Donner le schéma électrique équivalent d’un moteur à courant continu à excitation série.
2- On donne :
Calculer :
2-2- La puissance absorbée, la puissance dissipée par effet Joule et la puissance utile si les
pertes collectives sont de 100 W.
En déduire le moment du couple utile et le rendement.
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Exercice 14 : moteur à courant continu à excitation série
Un moteur à courant continu à excitation série est alimenté par une source de tension continue
et constante U = 220 V.
Pour simplifier l’étude, nous négligerons les résistances de l’inducteur et de l’induit, ainsi que
les pertes collectives.
1-1- Montrer que le couple du moteur est proportionnel au carré du courant qu’il consomme.
1-2- Montrer que le couple est inversement proportionnel au carré de la vitesse de rotation.
1-3- En déduire que le moteur s’emballe à vide.
1-4- D’après la question 1-2, on peut écrire que :
a
Tu =
n²
2-3- Le moteur entraîne un ventilateur dont le couple résistant est proportionnel au carré de la
vitesse de rotation (15 Nm à 1000 tr/min).
En déduire la vitesse de rotation de l’ensemble.
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Exercice 15 : génératrice à courant continu à excitation indépendante
Une génératrice à excitation indépendante délivre une fem constante de 210 V pour un
courant inducteur de 2 A.
Les résistances des enroulements induit et inducteur sont respectivement 0,6 Ω et 40 Ω.
Les pertes « constantes » sont de 400 W.
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Chapitre 2: Machine asynchrone triphasée
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Sommaire
1- Introduction
2- Glissement
3- Plaque signalétique
4- Fonctionnement à vide
5- Fonctionnement en charge
6- Bilan de puissance du moteur asynchrone
7- Exercices
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Machine asynchrone triphasée
1- Introduction
• L'inducteur est situé au stator, l'induit au rotor.
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Dans la suite, on s’intéressera au moteur asynchrone triphasé à cage d'écureuil :
2- Glissement
• Exemple : Soit un réseau triphasé (f = 50 Hz) alimentant un moteur à trois paires de pôles (p = 3) :
nS = 50/3 = 16,7 tr/s = 1000 tr/min
A la charge nominale, ce moteur tourne à 950 tr/min :
gN = (1000 - 950)/1000 = 0,05 = 5 %
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3- Plaque signalétique
Exemple :
4- Fonctionnement à vide
D’ou:
5- Fonctionnement en charge
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Commentaires :
- Le courant consommé à vide est important
- La vitesse de rotation varie peu avec la charge
• Caractéristique mécanique Tu(n)
A.N :
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• Pertes joules au rotor
• Les pertes fer sont essentiellement localisées au stator (elles sont négligeables dans le rotor).
• Rendement
AN :
- Le rendement nominal
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Exercices sur le moteur asynchrone
Dans ce procédé de démarrage, le stator est couplé en étoile pendant le démarrage, puis en
triangle pour le fonctionnement normal.
1- Montrer que le courant de ligne consommé en couplage étoile est trois fois plus petit
qu’en couplage triangle.
2- On admet que le couple utile du moteur est proportionnel au carré de la tension.
Montrer que le couple utile est divisé par trois pendant la phase de démarrage.
3- Quel est l’avantage du démarrage « étoile – triangle » ?
Quel est son inconvénient ?
Les tensions indiquées sur la plaque signalétique d'un moteur triphasé sont :
400 V / 690 V 50 Hz
(cela signifie que la tension nominale aux bornes d’un enroulement est de 400 V).
Quel doit être le couplage du moteur sur un réseau triphasé 230 V / 400 V ?
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Exercice 05 : fraiseuse
La plaque signalétique du moteur asynchrone d’une fraiseuse porte les indications suivantes :
3∼ 50 Hz
∆ 220 V 11 A
Y 380 V 6,4 A
1455 tr/min cos ϕ = 0,80
1- Le moteur est alimenté par un réseau triphasé 50 Hz, 380 V entre phases.
Quel doit être le couplage de ses enroulements pour qu’il fonctionne normalement ?
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Exercice 06 : moteur asynchrone triphasé
1- Déterminer :
- le couplage du moteur
- la vitesse de synchronisme
Déterminer :
Calculer :
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Exercice 07 : moteur asynchrone
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couple utile Tu (Nm)
10
0
0 200 400 600 800 1000
vi t esse de r ot at i on n ( t r / mi n)
1- Ce moteur entraîne un compresseur dont le couple résistant est constant et égal à 4 Nm.
2- Ce moteur est maintenant utilisé pour entraîner une pompe dont le couple résistant est
donné en fonction de la vitesse de rotation par la relation suivante :
Tr = 10-5 n² avec Tr en Nm et n en tr/min.
2-2- En régime établi, déterminer la vitesse de rotation de l'ensemble ainsi que le couple utile
du moteur.
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Exercice 08 : moteur asynchrone triphasé
Un moteur asynchrone à cage est alimenté par un réseau triphasé de fréquence 50 Hz, de
tensions entre phases égales à 380 V.
Il a été soumis aux essais suivants :
A vide :
En charge :
Les enroulements du stator sont couplés en étoile ; la résistance de chacun d’eux vaut 0,75 Ω.
Les pertes fer sont évaluées à 130 W.
4- Le moteur entraîne maintenant une pompe dont le moment du couple résistant Tr est
proportionnel à la fréquence de rotation et vaut 18 Nm à 3 000 tr/min.
Dans sa partie utile, la caractéristique mécanique Tu(n) du moteur peut être assimilée à une
droite.
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Exercice 09 : moteur asynchrone triphasé
Un moteur asynchrone triphasé tétrapolaire 220 V / 380 V à cage est alimenté par un réseau
220 V entre phases, 50 Hz.
Un essai à vide à une fréquence de rotation très proche du synchronisme a donné pour la
puissance absorbée et le facteur de puissance : Pv = 500 W et cos ϕv = 0,157.
1-1- Quelle est, des deux tensions indiquées sur la plaque signalétique, celle que peut
supporter un enroulement du stator ?
1-2- En déduire le couplage du stator sur le réseau 220 V.
4- Le moteur entraîne une machine dont le moment du couple résistant (en Nm) est donné en
fonction de la fréquence de rotation n (en tr/min) par la relation :
Tr = 8⋅10-6 n²
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Exercice 10 : moteur asynchrone triphasé à cage d’écureuil
2- Applications numériques
Un moteur possédant deux paires de pôles est alimenté par un réseau de fréquence 50 hertz.
Au fonctionnement nominal, on mesure :
3- Montrer que le rendement d’un moteur asynchrone est toujours inférieur à (1 - g).
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