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Formation Cure de Jouvence Module 1 : Avant le départ, 7 vidéos initiales

Les grands principes de base, homéostasie, loi du repos, loi de la force, un nouveau modèle de la santé
basé sur la vie du corps et non sur la maladie !

1. Qu’est-ce que la santé ? (5’45)

Nous sommes tous à la recherche de la santé, sans pour autant savoir exactement comment la définir.

La santé est-elle l’absence de symptômes ? Souvent, l’absence de santé est associée à la maladie. On
décrit généralement la maladie par la présence de symptômes. Par exemple le nez qui coule, une
douleur, une gêne quelque part… Il y a pourtant nombreuses situations dans lesquelles il n’y a pas de
symptomatologie, il n’y a pas de douleur, il n’y a pas de signe, et pourtant il y a des situations de
disfonctionnement dans le corps qui sont préoccupantes. Par exemple une tumeur cancéreuse peut
être asymptomatique. Donc on ne peut pas associer la maladie, la santé aux symptômes. Ça va être le
point fondamental de tout ce qui va être présenté ici.

Est-ce que si vous n’avez aucun symptôme, vous avez la santé ? Est-ce que se moucher est signe de
mauvaise santé ? Est-ce que vous vous êtes déjà posé toutes ces questions ?

Dans l’approche que je vais vous proposer la santé se définit simplement : la santé, c’est la capacité à
s’adapter à notre environnement. Notre environnement, c’est tout ce qui nous entoure : notre
nourriture, l’air que nous respirons, le lieu dans lequel nous vivons, notre environnement social. Plus
vous avez une capacité à vous adapter à des conditions extrêmes, plus vous êtes en santé. Moins vous
avez une capacité à vous adapter à des conditions extrêmes, moins vous êtes en santé.

Dans cette approche, un symptôme est le signal que nous dépassons notre capacité à nous adapter,
tout simplement. Tant que nous nous adaptons à notre environnement, tant que notre corps a les
ressources pour répondre aux changements de l’environnement (froid, chaud, stress au travail,
manque de sommeil…), il n’y a pas de symptôme. Le symptôme apparait à partir du moment où
l’individu n’arrive plus à s’adapter. C’est un signal qui nous dit simplement que nous sommes à la limite
de notre capacité adaptative. Le corps rame, il n’y arrive plus. Le symptôme, c’est un signal qui
s’allume. Imaginez, vous êtes en voiture, la jauge d’essence s’allume. Vous pouvez choisir de la
considérer comme un problème en tant que tel. Dans ce cas, toute votre action va viser à supprimer
cette jauge d’essence alors que cette jauge n’est en fait qu’un signal que la capacité de votre véhicule
est en train d’être dépassée. En détruisant la jauge d’essence, vous n’allez rien changer à la situation
et vous vous dirigez même droit à la panne sèche. Alors que vous prenez en compte ce signal, vous
réalisez que la capacité de votre véhicule est en train d’être dépassée. Vous allez alors certainement
accepter de faire un détour pour aller chercher de l’essence. Bien sûr, un détour n’est jamais plaisant,
voire même désagréable comme peut l’être un symptôme. Vous allez perdre du temps, peut-être qu’il
pleut, il fait froid, il y a du vent et vous allez devoir sortir de votre voiture et vous n’en avez pas envie.
De la même manière, un symptôme n’est pas forcément agréable. C’est un signal qui va demander une
action, qui va demander de prendre en considération ce qui se passe. C’est une information que nous
envoie notre corps qui nous demande d’agir en conséquence.

Dans le modèle que je vous propose, la santé c’est l’adaptation. Plus vous êtes capable de vous
adapter, plus vous êtes en santé. Et moins vous aurez des symptômes puisque les symptômes sont les
signaux que vous dépassez votre capacité adaptative. Si Votre capacité adaptative est immense, les
signaux n’interviendront que très rarement, voire quasiment jamais. La santé, c’est l’adaptation.

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2. Peut-on être en « mauvaise santé » ? Qu’est-ce qui est usé ? (10’22)

A partir de là, vient naturellement une deuxième question : Peut-on être en mauvaise santé ? Si la
santé est la capacité à nous adapter à notre environnement, est-il possible d’être en mauvaise santé ?
Est-ce qu’il ne serait pas plus juste de parler de niveaux de santé plus ou moins grands ? Pour certains,
ce niveau va être tellement faible qu’ils n’arrivent plus à s’adapter et réagissent à « à peu près tout » :
alimentation, pollution de l’air, cosmétiques, relations sociales … ils n’arrivent plus à rien. C’est en fait
le signe que leur capacité adaptative est minimale, mais elle n’est pas négative ! On ne peut pas être
en mauvaise santé. On peut s’approcher du niveau de santé zéro (c’est-à-dire la mort) mais on ne peut
pas passer en négatif. C’est la première bonne nouvelle. Vous n’êtes pas en mauvaise santé, vous avez
tout simplement une santé, une vitalité, une force qui sont faibles. Et il va s’agir maintenant de
renforcer votre organisme tout azimut, de manière à avoir une santé, une force, une adaptabilité qui
ne cessent de croitre. Et dans ce cas, vous allez pouvoir dire au revoir aux symptômes (plus
communément appelés maladies).

Quand on parle de santé faible, on parle d’usure. Quelque chose a été érodé, usé dans notre corps ce
qui a engendré cette faible adaptation. Qu’est-ce qui est usé ? Encore une fois, c’est notre capacité à
nous adapter. C’est l’ensemble des mécanismes de notre corps. Ce concept de capacité adaptative est
en fait très large. Par exemple, une personne peut avoir des difficultés à s’adapter au froid (nous
verrons plus loin à quoi cela correspond au niveau physiologique). Mais il faut bien comprendre que
quelque chose a été perdu au cours de notre vie. C’est le fil de la santé, le fil de l’adaptation. Tant qu’il
y a adaptation, il y a santé. Et là où il y a santé, il n’y a ni symptôme, ni maladie.

3. Un nouveau modèle d’analyse et d’action (13’08)

C’est vraiment un nouveau modèle d’analyse et d’action que je vous propose. Pour l’instant,
certainement, chaque fois que vous voyez un symptôme apparaitre, c’est l’affolement et il s’agit de le
contrer. Vous allez consulter votre médecin qui va vous permettre de supprimer un symptôme. Pour
un mal de tête, vous allez demander un cachet pour la tête. Mais si ce mal de tête n’est qu’un signal
que votre capacité adaptative est en train d’être limitée, est-ce qu’en faisant taire le mal de tête, vous
avez répondu à la problématique première ? Absolument pas ! Donc ici, notre obsession ne va pas être
le symptôme. Les symptômes sont des signaux. Parfois ils vont nous renseigner et parfois le signal est
tellement brouillé qu’il sera très difficile d’en tirer une information. Mais il va falloir nous départir de
cette culture qui veut que, à un signal, à un symptôme donné, il y a une solution : la suppression du
symptôme. Ce n’est pas du tout le modèle dans lequel je vais vous proposer d’avancer.

Dans ce modèle, il y a les besoins du corps et on va y répondre. Les symptômes apparaissent ou pas,
peu importe. S’ils sont là ils vont nous permettre de comprendre, de décrypter un peu mieux ce qu’il
se passe, mais s’ils sont absents, ça n’a pas d’importance. Jusqu’ici, on a toujours cru qu’à un symptôme
il y avait une cause unique. Or c’est faux. Par exemple la dépression a une infinité de causes, car chaque
individu est différent. Et si vous avez choisi de suivre cette formation, c’est certainement que vous avez
suivi ce modèle-là par le passé, mais que vous n’en voulez plus parce que ça ne marche pas, ça ne
résout rien. Et en continuant ainsi année après année, vous risquez d’être amené à prendre de plus en
plus de pilules, car vous n’avez pas répondu à la problématique initiale. Si tous ces symptômes
indiquent que votre capacité adaptative est en train d’être diminuée, en supprimant les symptômes
vous n’y répondez pas. Et année après année, vous avez de plus en plus de symptômes et donc prenez
de plus en plus de médicaments. Donc on oublie cette approche : le symptôme n’est pas le problème.

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Au cours de ces 3 semaines, vous verrez certainement apparaitre des symptômes. Il y aura des
moments où vous alles vous sentir un peu plus faible, en difficulté, avec des éruptions cutanées, un
nez qui coule, une toux, des douleurs articulaires, des troubles digestifs… Ça sera le signe que votre
corps est vivant, que la mécanique se remet à fonctionner. On fera en sorte que ces symptômes ne
soient pas trop douloureux et désagréables car il n’est pas question de souffrir pour souffrir. Mais on
ne va pas s’en inquiéter. C’est un changement complet de regard que je vous propose car le principe
sur lequel on va se fonder, c’est que le vivant ne dysfonctionne jamais. En permanence il est en train
de tendre vers la pleine santé.

4. L’homéostasie : la règle d’or du vivant ! (16’40)

L’homéostasie est une loi, un principe qui vaut pour tout ce qui est vivant qui dit que tout système
vivant revient spontanément vers l’état d’équilibre, l’état de pleine santé. Cela signifie que votre
corps en permanence va vers la santé tout au long de votre vie. C’est valable pour tout le monde, c’est
la règle d’or du vivant. C’est un principe qui malheureusement n’est jamais évoqué. Il permet de voir
les symptômes, les maladies d’une toute autre manière : ils sont en fait la manifestation du corps qui
tend à retourner vers son état de pleine santé. Cela inclut parfois la souffrance, c’est vrai, mais c’est le
signal du corps qui demande à être entendu, mais cela n’empêche que ces symptômes ou maladies
sont la tentative du corps à s’adapter, à retourner vers la pleine santé, à retrouver sa vitalité.
L’homéostasie est une loi du vivant indiscutable. Maintenant, c’est à nous de l’entendre et de
l’intégrer.

Prenons un exemple : vous roulez en voiture, vous démarrez et vous avez oublié de boucler votre
ceinture. Un signal commence à retentir. Il indique seulement qu’il est nécessaire de boucler votre
ceinture. Si vous ne l’entendez pas, le signal va sonner de plus en plus fort de manière à attirer votre
attention. C’est exactement ce qui se passe dans notre corps. Au début, cela commence dans la
jeunesse par des petits rhumes, des petits signaux qui indiquent que le corps est à la limite de son
adaptation. Si vous ne les entendez pas, ils vont évoluer en troubles métaboliques, diabète, problèmes
cardiaques, problème au foie, troubles intestinaux chroniques, dépression, baisse de vitalité… Et si
vous continuez à les ignorer, vous développez alors un cancer, une maladie neuro-dégénérative... Dans
tous ces messages que le corps envoie, il y a un signal qui dit : « je fais ce que je peux pour maintenir
l’équilibre et tu ne m’entends pas ».

Durant ces 3 semaines je vais vous proposer d’entendre le corps. Mais dès à présent, je vous demande
d’intégrer cette loi, de l’accepter et par la suite, vous pourrez le vérifier. Tout le temps, chaque jour,
quoi qu’il arrive, votre corps va vers la pleine santé. Tous les phénomènes qui vont apparaitre et que
vous allez qualifier de maladies sont en fait des signaux du corps d’une tentative d’aller vers la pleine
santé. Et ça s’appelle la loi de l’homéostasie.

5. Le repos et l’action : les deux modes du vivant (20’02)

Le vivant fonctionne selon deux modalités : le mode d’action et le mode de repos. Cela inclut le
système nerveux, le système endocrinien… autant de mots qu’on verra dans la seconde vidéo. Le mode
d’action c’est le mode d’adaptation. Notre environnement change et il y a quelque chose à faire dans
notre relation avec notre lui, ce qui enclenche le mode d’action. Vous mangez quelque chose, vous
allez devoir le digérer, l’assimiler. Vous devez vous déplacer et donc mobiliser vos muscles, c’est encore

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le mode d’action qui intervient. A l’inverse, le mode de repos intervient pendant le sommeil ou
pendant une relaxation profonde, une méditation.

Ces deux modes ont des caractéristiques très particulières. Il n’y en a pas un meilleur que l’autre. On
n’est fait ni pour passer tout notre temps à dormir, ni pour le passer à s’agiter. Il faut un équilibre entre
les deux. Et souvent, cet équilibre n’est pas respecté.

Le mode d’action est fait pour que nous puissions nous adapter à notre environnement. Il va induire
une consommation des ressources de l’organisme et une production de déchets. Le mode d’action est
dit catabolique. A l’inverse, le mode repos est dit anabolique, c’est-à-dire qu’il favorise le stockage et
le réapprovisionnement de nos ressources. Là où le mode catabolique d’action consomme nos
ressources, le mode anabolique regarnit nos ressources. Le mode repos favorise l’élimination, le
nettoyage et la régénération de l’organisme. L’élan vers la pleine santé évoqué dans la loi de
l’homéostasie, c’est dans le repos que l’organisme va le trouver.

Mode action ou catabolique : consommation des ressources et production de déchets. Mode repos
ou anabolique : stockage des ressources, nettoyage et élimination des déchets, régénération et
reconstruction.

On va particulièrement s’intéresser au mode repos pour lutter contre l’épuisement et régénérer le


corps. Mettre la priorité au mode repos va permettre à l’organisme de se réparer de lui-même. Il va
s’agir de repos digestif, repos sensoriel, repos relationnel, repos d’action… Bien sûr, l’action est
importante mais c’est de l’équilibre entre ces deux modes que va dépendre notre niveau de santé.

Quand on parle de « mauvaise santé » ou plus exactement d’une faible capacité adaptative, c’est le
mode d’action qui est épuisé, par sur-sollicitation.

Que représente exactement le mode action ? L’exercice physique, les relations avec les autres, la
digestion bien sûr. Mais c’est aussi la pensée, les ruminations, l’inquiétude, l’anxiété. Notre société
moderne est très pourvoyeuse du mode action (travail, transports, courses, ménage, enfants,
téléphone, gestion administrative… et tout le stress associé). Nos modes de vie sont pour beaucoup
complètement fous et nous font dépasser largement notre capacité adaptative. Et là que les
symptômes apparaissent car nous n’arrivons plus à nous adapter à notre environnement.

6. Le repos et la loi de l’hormèse (30’07)

La loi de l’hormèse indique qu’une fonction du corps qui est sur-sollicitée s’épuise. Mais si elle est sous-
sollicitée elle s’atrophie. Un muscle trop stimulé risque le claquage mais s’il est sous-employé, il va
s’atrophier. Sur-sollicitation = épuisement, sous-sollicitation = atrophie. La loi de l’homèse indique
que le repos n’est pas l’absence de sollicitation. Le repos est la sollicitation de l’organisme à la limite
de sa capacité adaptative sans la dépasser.

Imaginons que vous évoluez dans un environnement avec un besoin d’adaptation zéro : température
parfaite, conditions de vie parfaites, conjoint parfait, alimentation parfaite, travail parfait, pensée
parfaite… Bref un environnement qui n’existe pas ! Vous êtes donc dans un confort total. Si vous
commencez à vous éloigner de ce point parfait, vous allez devoir vous adapter et rencontrer des zones
d’inconfort. Tant que cet inconfort est tolérable, vous êtes dans les limites de votre capacité
adaptative. Mais si l’inconfort devient intolérable, vous avez dépassé votre capacité adaptative et c’est
là que les symptômes vont se manifester.

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La loi de l’hormèse nous dit que l’organisme, pour s’améliorer, pour regagner de sa capacité
adaptative, pour devenir plus fort et gagner en vitalité, il faut régulièrement le solliciter à la limite,
juste en-dessous de sa capacité adaptative.

Le repos, ce n’est pas solliciter notre organisme au-delà de sa capacité adaptative. Mais ce n’est pas
non plus ne pas le solliciter. Ce programme va nous conduire à la pleine santé.

7. Que va-t-on faire durant ces trois semaines ? Repos de l’organisme et sollicitation par pic
adapté. Quels pics dans quels domaines ? (33’30)

On va rechercher le repos avec des sollicitations adaptées. Il va donc s’agir de définir plus précisément
le repos et les limites de la capacité adaptative propres à chacun. C’est pour cela que je ne peux pas
faire l’économie de vous donner ces grands principes parce que chacun de vous va devoir élaborer ses
propres recettes à partir des principes que je vais vous donner. Pour l’un, changer drastiquement son
alimentation va être parfait, pour l’autre cela va être une catastrophe. Car la capacité adaptative est
individuelle. Je vais vous donner les règles qui vont vous permettre de bâtir un programme
parfaitement adapté. Pendant ces 3 semaines, nous allons cultiver le repos avec des pics de sollicitation
adaptés.

8. Quand est-on en action ? Principes spirituels incontournables (34’35)

Les sollicitations de notre adaptatif sur le plan physique ont toujours une fin. Tout travail, tout exercice
physique a une durée limitée dans le temps. En revanche, il y a un domaine dans lequel l’adaptation
peut ne jamais s’arrêter, c’est notre mental. Ça peut tourner dans notre tête 24h/24. Vous pouvez être
en train de vous reposer et dans votre tête, c’est la guerre (inquiétude, culpabilité, jalousie, remords,
regrets, colère…). Tant que ce sera la guerre dans votre esprit, votre capacité adaptative sera sur-
sollicitée.

Déjà, vous allez pouvoir arrêter de vous inquiéter pour votre santé, et c’est là que je vais pouvoir vous
aider. La bonne nouvelle c’est que votre corps va spontanément vers la pleine santé et il n’y a pas de
raison pour que vous n’y alliez pas. Quelque soit le diagnostic qu’on vous a posé. Je peux en témoigner,
à 33 ans j’étais presque mourant on me donnait quelques jours à vivre. J’avais une tuberculose, une
hépatite, une pancréatite aigüe, je ne digérais plus rien, j’avais perdu la moitié de mon poids (30kg
pour 1,75m) j’étais en chaise roulante, j’enchainais les arrêts cardiaques, j’étais au bout du bout. J’ai
changé de direction et les forces de vie ont fait leur travail de régénération.

Mais si votre corps fait 2 pas en avant vers la pleine santé et que vous faites 4 pas en arrière, alors c’est
encore 2 pas en arrière. Si vous faites 2 pas en avant, c’est 4 pas ou plus pour vous vers la pleine santé
! Alors réjouissez-vous et rassurez-vous.

Pour les autres sentiments négatifs que vous nourrissez, sachez que ce n’est pas à l’autre que cela nuit,
mais bien à vous. Sans un vrai travail de lâcher prise, sans un travail de confiance, de pardon, il y a de
grandes chances que votre mode d’action qui est sur-sollicité, ne se répare pas. Il va falloir pendant
ces 3 semaines, prendre un temps dans le silence, prendre une feuille et écrire pour comprendre ce
qui se passe dans votre tête. Et de vous poser la question : est-ce que la colère, le ressentiment, la
culpabilité que vous éprouvez vis-à-vis de telle ou telle personne vaut le coup que vous mourriez pour
eux ? Qu’une pensée négative intervienne dans votre journée est normal, mais il va falloir arrêter de
la cultiver.

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9. Quand est-on au repos ? La paix de l’esprit et des organes (repos digestif / repos action /
repos mental) (39’17)

Le repos est un mode de paix. Cultiver le pardon, le lâcher prise, rendre à l’autre ce qu’il nous a fait,
lâcher la culpabilité, avoir confiance, cultiver l’amour… ce sont des moyens thérapeutiques essentiels.
Je vous donnerai quelques clés, sans connotation spirituelle, pour cultiver la paix.

C’est aussi le repos digestif. On va aller vers une alimentation qui demande beaucoup moins d’énergie
digestive. On va parler du jeûne qui est une expérience extraordinaire pour l’organisme.

Il s’agit aussi du repos physique. Vous pourrez aller marcher en forêt, chahuter avec vos enfants, mais
je vais vous encourager à laisser un maximum d’énergie au corps pour qu’il puisse se réparer. Peut-
être arrêter les entrainements frénétiques et de vous sur-solliciter, vous qui êtes déjà épuisés. Pendant
ces 3 semaines la priorité ça va être de renforcer l’organisme. Focaliser votre énergie vers la
régénération.

10. Que nous reste-t-il à faire pour aller mieux ? (41’25)

Ambroise paré au XVIème siècle disait « Je soigne, mais c’est Dieu qui guérit. » Que l’on soit croyant
ou non n’a aucune importance. Ce qu’il faut comprendre c’est que notre part est d’apporter les bonnes
conditions pour que la guérison puisse advenir. Le propre du vivant est d’aller vers la guérison, notre
travail est d’aller dans le sens du vivant et non de travailler contre le vivant. Mais il suffirait déjà
d’arrêter de mal faire et le corps irait spontanément dans le sens de la vie.

Il n’y a donc pas grand-chose à faire, mais à laisser faire. Notamment quand vont apparaitre les
symptômes. Durant ces 3 semaines vous allez avoir des symptômes qu’il va falloir arrêter de vouloir
contrer à tous prix. C’es très important à retenir. Il n’y a rien de plus à faire, sinon d’aller vers la pleine
santé. Je sais que c’est compliqué car notre mental a été habitué à collectionner les solutions. Pariez
sur le vivant et sur le corps et vous verrez qu’il n’y a pas grand-chose à faire. Juste laisser faire.

11. Diagnostic & pronostic (44’09)

Sur certains d’entre vous a été posé un diagnostic. Et donc certainement un pronostic. Avec des
avertissements comme « si vous n’agissez pas, si vous ne prenez tel médicament, si vous ne subissez
pas telle opération, vous allez mourir ou vous allez être handicapé à vie. Souvenez-vous de ça : entre
le diagnostic, qui est la situation présente objective, et le pronostic, il y a un paramètre à prendre en
compte : c’est vous et vos choix. Si vous changez votre orientation, que vous arrêtez de partir en arrière
et que vous repartez vers l’avant, alors le pronostic n’est plus jamais valable. Invalidez les pronostics
avec des choix forts dans votre mode de vie. C’est le programme de ces vidéos. Ne vous laissez pas
enfermer dans un pronostic. Je ne connais rien qui ne soit inéluctable. Ce qui est vrai, c’est que des
choix de mode de vie inchangés entrainent toujours les mêmes résultats.

Soyez prêts pour du merveilleux, pour du nouveau. Est-ce que ça peut tout guérir, même les maladies
graves ? Bien sûr que oui. Tout peut changer. Car je vais vous aider à étendre votre capacité adaptative.

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